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Auteur Fil de discussion: Les flammes du passé.  (Lu 12117 fois)
Elisa
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« le: 13 Juin 2009 à 14:46:36 »

Citation de: Elisa Novalis
Par faute de temps, je n'ai pas encore pu mettre des image de la quête, je les  rajouterai par la suite, en attendant bonne lecture!



Les flammes du passé



c'est ainsi que tout commença, sous la voix des moines...


Chapitre 1... Quand la tache nous menace.

Angleterre… 1728...

Fin octobre…

Il faisait sombre, les nuages se faisait menaçant… La brume envahit la ville de Londres telle une armée de fantômes! Les nuages dans le ciel couvrait toute la ville et la pluie tombait, telle des corde de cristal  naissant des cieux, les goutes ne faisait que remplir les creux des pavés, formant des flaques boueuse �  terre.
Il n’y avait personne, ni même un chat! Jusqu’�  ce que une ombre étrange vint déranger cette tranquillité d‘un matin pluvieux dans une des ruelle des quartiers chauds de la ville, on pouvait y entendre raisonner entre les taverne et les maison close fermé, des sabots, cette ombre étaient plus grosse en bas et plus fine en haut, elles était en fait deux. Un cavalier et de sa monture.

Le cavalier tournait en rond… Comme si il attendait quelque chose, puis s’arrêta net, �  l’autre bout de la ruelle, une autre ombre apparu. Sous sa cape �  capuchon vert émeraude, le cavalier souri alors �  la vue de la silhouette… Et descendit de sa monture, donnant une claque au postérieur du cheval pour qu’il s’en aille en hennissant dans les brumes et l’obscurité de la ville.

Pas un bruit, pas un mot, les deux silhouette allèrent �  leur rencontre, toutes les deux portèrent une cape pour se protéger de la forte pluie. Le cavalier leva alors son bras pour aller chercher quelque chose en direction de son cou et sortit alors de son fourreau dorsale son arme, un magnifique cimeterre en or massif! Le second, l’arrivant eu un mouvement de recul et �  son tour dégagea son arme cacher sous sa cape.

Le cavalier enleva sa capuche et laissa tomber sur ses épaule, de long et ondulé cheveux d’argents… Elisa Novalis… C’était une femme, elle affichait �  ses lèvres un sourire enfantin. Celle-ci se mit en garde devant son adversaire, ce dernier attaqua Elisa en premier, mais la femme para le coup aussi tôt et avec une facilité déconcertante, elle fit un quart de tour, accroupi en esquivant une contre attaque de l’homme, celle que l’on surnomme « la tribade » donna un coup de pied en pleins ventre de l’inconnu qui tomba au sol, mais l’adversaire se releva aussi tôt sous le regard moqueur et toujours souriant d’Elisa.

- tss tss tss… Déjà épuisé, je n’ai rien fait, je viens juste de commencer!

L’homme fonça une fois de plus vers Elisa qui esquiva et fit un croche pied �  l’homme qui retomba �  terre dans les eaux boueuses de la ruelle, « la tribade » donna un petit coup de tête vers la droite pour dégager ses cheveux argentés, trempé, qui gênait se vue, elle s’avança lentement vers l’homme toujours �  terre qui s’empressait de ramper sur le sol avant de se relever tout en donnant un coup d’épée dans le vents.

- Tu es bien lent… Je m’attendait �  mieux qu’un homme qui se bat contre le vent et la pluie! Assez jouer!

Cette fois-ci, c’est la femme aux cheveux d’argents qui ouvra le bal, armé de son cimeterre, elle se mit en garde du faucon! Cette garde est aussi appelée garde haute ou la garde du toit. Elle prépare les attaques par brisés. Elle peut constituer une invite �  un coup d'estoc qui sera paré par une attaque au fer réalisé par brisé dextre ou senestre… L’adversaire n’était pas prêt �  ça… Surtout quand il vit le regard d’Elisa… Rouge comme le sang, ou… c’était plutôt une impression? les coups de multiplièrent, les épée valsaient dans les air, le bruit métallique des lames s’entrechoquâmes devenait une musique rythmée qui retentissait dans la ruelle, raisonnant avec le son de la pluie tombante. Mais Elisa était bien plus rapide, elle donna en rafale des coups au visages, aux cotes et aux jambes par vague successive, l’adversaire commençait �  faiblir, il avait du mal �  suivre… Jusqu’au coup fatale. Juste un cri étouffé sortit de la bouche de l’inconnu…
Elisa, elle, restait l� , ne disait rien, ne faisait rien… Elle prenait plaisir �  regarder le corps dont le sang jaillissait abondamment… Calmement elle s’accroupit alors �  coté du gisant, l’agrippant violement par le menton, lui arrachant presque la mâchoire. « La tribade » le regarda bien droit dans les yeux… L’homme était encore vivant, Elisa en profita pour lui ôter sa capuche qui masquai encore le visage de l‘adversaire.

- Bon bah… La prochaine fois que ton maitre envoi un assassin pour me tuer, qu’il choisisse au moins une personne �  ma hauteur! Pour qui travail tu?!

Demanda Elisa… Mais l’homme ne répondit que…

- Le… Chiens galeux… Tav…

La femme resta septique.

- Pour qui travail tu?… Bon, c’est vrai tu n’es pas obliger de répondre, car avec ou sans réponse, avec moi tu crèvera!

Répéta la femme aux cheveux d’argents d’un air calme et serein, prenant presque plaisir �  le voir mourir �  petit feu…

- Souvient toi de ce nom… Novalis, Elisa Novalis, celle que l’on surnomme… « La tribade »!

Il ne fut pas plus de temps pour qu’Elisa lui porte le coup fatale dans le cœur. La femme se relava, sortit de sa manche un morceau de papier chiffonner, on pouvait constater clairement dessus une tache noir, en forme de croix chrétienne! C’était son deuxième de la semaine, « la tribade » poussa un soupir face �  ce dessin qu’elle jugeait de « débile »… Puis elle sourit, puis ricana, puis ria aux éclats. Elle se repencha une dernière fois vers l’assassin, ouvrit sa main et mit le morceau de papier entre ses main.

- Tiens, je te rend ton invitation, merci pour le bal camarade, vous êtes un excellent cavalier, �  bientôt chez le malin!

Elisa nettoya sa lame de son cimeterre d’or puis le rangea dans son fourreau placer dans son dos, remit sa capuche, se couvrant de sa cape… Pour ne plus devenir qu’une seul et simple silhouette verte émeraude et partir comme si de rien n’était, laissant le cadavre, inerte derrière elle. Il s’agissait du deuxième assassin en une semaine, mais jamais deux sans trois! Qui les envoyait? C’était une question qui commençai �  agacer Elisa. « La tribade » leva les yeux vers le ciel… La pluie avait cesser et laissa place petit �  petit au soleil… La femme regarda alors le soleil �  s’en éblouir les yeux, puis elle afficha un timide sourire, comme pour accueillir la lumière qui chassait les ténèbres avant de se remettre en route.

N’ayant que faire de toute cette journée, Elisa chercha une taverne, simple et la plus proche si possible, ici, dans les quartiers chaud c’était trop risquer soit de se faire repérer comme « tribade » ou pire de se faire violer, la femme aux cheveux d’argents avait beau être une personne vaillante, robuste et sans pitié, elle restait malgré tout une proie pour plus forte qu’elle…

« La tribade » se rendit au port, le port de Londres… Un lieu regorgeant de bonnes tavernes. Elisa se promenait alors sur les quais, cherchant un endroit où se sécher, où se reprendre de ce duel matinal qui la fit se réveiller trop tôt �  son gout, elle avait l’air de mauvaise humeur et bousculait touts les passants sans exceptions qui ne s’écartait pas de son chemin… Puis, une enseigne retins son attention. « La taverne du chien galeux », le nom de cette taverne inspirait la femme, cet insulte, c’est  ce qu’avait cité l‘assassin de tout �  l‘heure… Enfin, d’il y a quelques minutes, « la tribade »  se dit que au fond cela pouvait être une insulte que lui crachait l‘homme avant de crever, ou peut-être étais-ce le surnom du gars qui l‘avait engager… Allez savoir, mais, Elisa ne pensait pas vraiment au duel de tout �  l‘heure, elle ferma les yeux et se ré imagine… Ce mot, il lui faisait penser �  son ancien métier qui était jadis: la piraterie… Chien galeux, elle entendait encore dans sa tête comme si c’était hier cette insulte qui se répétait sans cesse entre les membres de son équipage… La femme aux cheveux d’argents soupira de ses bon vieux souvenirs, puis pénétra dans l’établissement.  
« Dernière édition: 13 Juin 2009 à 20:05:06 par Elisa »
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Elisa
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« Répondre #1 le: 13 Juin 2009 à 14:53:07 »

- Une chope de rhum… Et le meilleurs que vous aviez!

S’écria Elisa, elle alla s’accouder directement au comptoir, se défit de sa cape verte émeraude, trempée, se mit les cheveux en arrière et se les attacha, pendant ce temps, le tavernier s’empressa de descendre �  la cave. Le femme songea, resta septique et cette fois-ci repensa �  ce qu‘avait l‘homme tout �  l‘heure, il se fichait peut-être d‘elle… Le chien galeux?… Bah! « La tribade » commençait �  tapoter ses doigts sur le comptoir, le chef des lieux se faisait lent… Cela faisait bien dix minutes qu’il n’était pas remonté.

- Haaaaaaargh!

Un cri �  glacer le sang retentit dans la taverne, ou du moins, cela ne venait pas de la salle commune… Les rare occupant du matin s’échangèrent leurs regard, inquiet ou surprit. Un silence de plomb régnait �  présent dans l’établissement, Elisa n’avait toujours pas bouger, elle tourna les talon pour apercevoir l’entrer de la cave… Elle était ouverte, il n’y avait apparemment rien dans ce carré qui donna accès �  un endroit froid, humide et empestant le rat mort… La femme eu un moment d’hésitation puis se dit…

- Bon puisque il n’y a personne qui se bouge le cul, il va bien falloir que quelqu’un ait voir une tête de con qui s’est ramasser un tonneau dans la gueule!

Elisa se rendit donc �  la trappe, s’accroupit et descendit les marches pourrie par l’humidité ambiante.

- Pouaaaa… ça pue ici, ça été inondé depuis peu ou quoi?…

Murmura-t-elle. Elle n’y voyait rien, que dalle et pas de lanterne sous la main. Se faufilant entres toiles d’araignées, cadavre de bouteille et rats, le dos vouté dû au plafond très bas, elle s’avança tout doucement dans le noir, la cave était vaste et diviser en plusieurs couloirs successifs, tous parfaitement parallèle les uns aux autres relier par un seul et grand couloir, le choix des alcool immense, mais pas le temps de se pochtronner pensa Elisa! L�  au fond du sous-sol, dans un des dernier couloir… Une lueur jahï de l’obscurité ambiante, la femme aux cheveux d’argents s’en approcha doucement, elle commençait �  avoir un doute, une sorte de pressentiment, si le tavernier se serait reçu un tonneau sur sa… « Gueule », il y aurait eu plus de vacarme que ça, la lanterne aurait certainement mi feu �  l’alcool… Mais tout ces songes n’empêchèrent certainement pas Elisa de s’écrier.

- Heu… ça va monsieur!?

Mais aucune réponse. La femme restait figée, elle n’osait pas trop se l’avouer mais elle commençait �  avoir un peu la frousse et commençait �  douter cette fois-ci sérieusement que cela soit un tonneau qui serait tombé sur le tavernier, elle dirigea sa main vers son coup, malheur, le cimeterre était rester en haut avec la cape.

- Fichtre!

« La tribade » continua malgré tout dans l’obscurité de la cave, sur ses gardes, Elisa retins son souffle puis, vira dans ce couloir où elle vu avec stupéfaire l’homme �  terre sans vie, la femme s’en approcha, lui tapota l’épaule.

- Bon, c’est bon là, tu peux te relev…

Elisa en avait profiter pour retourner le corps du tavernier bien en chair… Sans vie, sa bouche jhaïssant de sang frai, le cœur poignarder �  plusieurs reprise, tout se mélangeant dans la terre battue du sol formant de la boue écœurante. La femme aux cheveux d’argents eu un mouvement de recul et mit sa main devant sa bouche.

- Ok… c’est pas le moment de rester ici!

Elisa tenta de prendre la fuite, l�  ça commençait �  bien faire, tout ces meurtres et ces agressions mystères qui pesait sur elle depuis qu‘elle avait mit les pied �  Londres! La femme fit demi tour mais trop tard, l�  en face d’elle, sur une poutre, une lueur argentée avec un bout de papier avec dessus griffonner une fois de plus une croix chrétienne!

- Encore!

S’exclama Elisa.

- S’en… S’en est de trop cette fois-ci! Qui es là!? Que me voulez vous!?

La femme aux cheveux d’argent se retourna, tourna les talons, regardait partout, par-dessus son épaule… Mais rien, juste du noir, de l’obscurité, pas un souffle, juste des couinements de rats, un bruit de fond de compte goute angoissant. Elisa commençait �  avoir des sueur froide, quelqu’un voulait sa peau et était prêt �  tout et n’abandonnerait pas apparemment! Elle arracha avec violence et fureur le morceau de papier et lut ce qui était inscrit derrière.

«  Rendez-vous �  20h devant le navire « HMS Hanover » amarrer �  Greenwich. Et comme la dernière fois, un cheval vous y sera attribuer, mais �  la posterrie cette fois-ci, dans des faubourgs de Londres. »

Hanover! Cela percuta Elisa, cet endroit, ce rendez-vous et ce nom n’était choisit au hasard! Rendez vous au HMS Hanover, ce navire portait le nom de sa ville natale! Et cette homme qu’elle avait tuer tout �  l’heure, cette endroit était aussi un rendez-vous qui inspirait son passé… chien galeux!

- J’en ai mare de ce petit jeu!

Murmura « la tribade ».  Elle se retourna, il n’y avait toujours personne, puis elle pensa au cadavre, il ne fallait pas qu’elle reste ici, sinon elle se ferait choper! Cela serait trop bête. Elisa remonta vite dans la sale commune, elle courut dans les escalier pourrit quatre a quatre. Dans le hall, les occupants n’ayant toujours pas bouger de leurs place et n’ayant ni même bu leurs boissons regardèrent Elisa en attendant une réponse de sa part, mais cette dernière resta muette, elle ne préférait ne rien dire, elle prit alors sa cape et son cimeterre, se dirigea tranquillement comme si de rien n’était vers la porte puis s’arrêta net, fit une grimace mais tenta de se calmer, les clients la regardait encore. « Pffff… Bon! Vite une explication bidon! »

- Bon les gars je vous salue! Désolé je ne l’ai pas trouver votre tavernier! A la prochaine!

Mentit Elisa en courant vers le seuil de la porte, l’ouvrant et la referment avec fracas!
Dehors le soleil brillait, rayonnait, montrait toute sa splendeur, il n’y avait guerre un nuage dans le ciel, cela contrastait tellement avec le temps de ce matin. « La tribade » se dirigea vers les faubourgs de Londres, c’était une grande ville et il fallait au moins une heure de marche, mais avant de s’y rendre, la femme fit un détour par les échoppes pour y acheter de la nourriture durable tel que de la viande séchée comme le font si bien les boucaniers sur les îles des Caraïbes qui manquait tant �  Elisa et ainsi que des biscuit sec fait de farine de blé sans levain, ils pouvaient se conservé très longtemps mais ils était… Presque sans goût.
La femme aux cheveux d’argent arriva enfin �  la posterie, celle-ci se situait �  coté d’un grand portique fait de pierre très ancienne, on pouvait y apercevoir des ruines de mur effondré. Elisa se dirigea vers les écurie, elle vit un petit garçon âgé d’une quatorzaine d’année vêtu d‘un pantalon large, sale et déchirer en bas et une chemise simple avec des bretelle par dessus. La femme sourit et lui annonça.

- A ce qu’il parait, j’ai un cheval qui m’est réservé?

Le gamin, quand �  lui, répondit d’une manière grossière et hautain.

- Ouaip m’dam! On vous r’conait vite, vous au moins avec vos cheveux! Franchement j’pensait pas qu’une personne avec des tifs pareil ça existait! C’est le bouffon de tout �  l’heure qui vous l’a réservé!

 Elisa resta passible et sourit �  la remarque du gamin, ce genre de remarque l‘amusait, elle s’approcha de celui-ci et lui demanda d’une voix douce et calme.

- Il ressemblait à quoi ce bouffon?

- J’peu pas vous l’dire! Il m’a donner cette pièce d’or pour que je la boucle, alors désolé j’peu rien vous dire! ça tête faisait peur en plus!

La femme haussa d’un sourcil, elle ne pouvait pas trop marchander, elle n’avait pas vraiment beaucoup d’argents �  dépenser �  une petit fripouille qui l‘arnaquerait certainement.

- Ok…

Répondit celle-ci en soupirant, puis reprit en pivotant la tête vers les ruines, « la tribade » fit une grimaça tout en parlant au gamin.

- C’est quoi c’est ruines?

- ça m’dam! Pfff! C’est les reste des enceintes médiéval de Londres.

- Et bien! On peu dire que dans mon pays, on conserve mieux nos morceau de cailloux!

Elisa repensa �  sa ville, Hanover et surtout �  son enceinte très fortifiée.

- C’est pas tout petit, tu peu me préparer ma monture s’il te plais?

La gamin s’en alla dans l’écurie, la femme, quand �  elle attendait dehors, elle profita un peu du soleil, bon, peut-être un soleil d‘automne, mais un brin de lumière quand même, �  vrai dire depuis qu’elle était revenue en Europe, elle n’avait eu que de la pluie. Le garçon ressortit enfin avec le cheval de l’établissement, il était noir, fin et léger, un pur sang apparemment. Elisa n’hésita pas une seconde et monta dessus, pas de temps �  perdre, une promesse de duel, c’est une promesse! Elle lança une pièce au gamin, certes de moindre valeur que lui avait donner le « bouffon » tout �  l’heure.

- Salut petit!

- Ouaip schuss l’étrangère! Hé hé

Elisa parcourut alors tout les faubourg de Londres, le long de la Tamise, les forêts, les chemins délabrer… Jusqu’�  enfin arriver �  Greenwich en fin d’après midi, le beau soleil commençait �  se coucher, c’était un soleil d’octobre, de début d’hiver… Les cloche de l’église du village d’�  coté retentit, la femme compta le nombre de sonnerie… Il n’était que sept heure, elle avait encor elle temps.
Elle décida alors d’attendre devant le navire où on lui avait donner rendez-vous…

«  HMS… Her Majesty Ships Hanover… J’avait oublier que nous fessions partit de la grande Bretagne indirectement, comme beaucoup de colonie… ces britannique sont vraiment étrange, je suis un peu de chez eux et pourtant ils me traite comme une étrangère. »
Pensa Elisa, elle avait l’air de songer, toute cette heure, elle n’avait pas arrêter de contempler son cimeterre, faisant refléter �  terre, grâce �  celle-ci les derniers rayons du soleil qui disparu �  l’horizon �  l’instant même, ce cimeterre, cette épée qui appartenu �  celle qu’Elisa avait aimé auparavant, avant qu‘elle ne meurt sur le bucher, �  Hanover… Elle était originaire d’ici, de Londres… La femme aux cheveux d’argent prit une triste mine, elle se regardait dans la lame de l’épée s’échangeant des regards avec sois même.
Tout d’un coup elle sursauta! Les huit coup de la cloque de l’église retentissait… Elisa s’empressa de se relever et se mit sur ses garde… Le nuit commençait �  être glaciale, la brume se levait. Puis une voix retentit, Elisa se retourna précipitée, le regard empli de haine.

- Ha! Te voila donc… Cher Elisa.

Citation de: Elisa Novalis
La suite... Très bientôt!
 
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Elisa
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« Répondre #2 le: 14 Juin 2009 à 10:08:56 »

(La folie... La haine... Le destin.)


- Encore un assassin pour tenter une fois de plus de me tuer!? Arf!

S’écria alors Elisa d‘un air serein mais exaspérer en même temps.

- J’en ai marre de ce petit jeu!

Une silhouette apparu �  travers la brume, puis une autres, puis encore une autre, la femme était en fait encerclée!… Encerclée par cinq hommes qui, contrairement au deux assassins précédent… ceux-ci étaient habillés pareils… D’une tunique rouge sang, tous vêtu de la même cotte avec dessus broder une croix chrétienne noir, ainsi que du même masque: une tête de loup, tout était identique, sauf leurs armure, elles furent différente d‘un guerrier �  un autres, on aurait dit des cuiraces de mercenaires.

Elisa se remit en garde, son cimeterre en avant, pointant un des hommes prête �  embrocher le premier qui la menacerait, les cinq autres guerrier suivirent son geste, d’un coup sec et rapide, ils ôtèrent leurs armes de leurs fourreaux et la pointait ensuite vers « la tribade ». Il eu un grand blanc, personne ne bougeaient… Jusqu’�  ce qu’une voix s’élève.

- Tu ne feras pas le poids, jeune fille. Rend toi au nom du seigneur!

- Mais qu’es ce que c’est que ça!? Qu’es ce que vous me voulez!?

S’exclama avec rage Elisa, prête �  bondir sur l’un des mercenaires... Un de ceux-ci s'approcha d'un pas lent �  un mètre �  peine de la tribade et enleva son masque sans prévenir d'un geste furtif. la tribade sursauta, ce visage... Argh! Elisa avait fait un bond en arrière, ce, cette tête, il était... Non! Elle détourna le regard dégoutée, elle regarda alors tout autour d'elle... Cette fois-ci il y avait quelque chose qui clochait! Tout ces drôle de mercenaire ne bougèrent pas d'un poil, ils étaient tous serein. Mais la femme aux cheveux d'argent prit malgré tout son courage �  deux mains.

- Allez! Venez!

Cette fois-ci... Elle commençait à trembler, de peur et de colère.

- Pourquoi!? C'est quoi ce délire?...

Mais aucuns des hommes ne répondit, il y régnait un silence de plomb, le même que celui dans les églises…

- Qu’es ce que j’ai…

Elisa n’eu pas le temps de terminer sa phrase que un des guerrier derrière elle ne lui tire un carreau d’arbalète dans l’épaule! La femme aux cheveux d’argents s’écroula, �  terre, sur ses genoux. Elle se sentait lourde, ses paupières se fermaient toutes seules, sa tête tournait…

- Non… Mais… Qu‘… Qu’es ce que j’ai fait?… C’est… Non, je ne doit pas… Pas… Pas mourir…

Ce fut son dernier mot avant de s’écrouler �  terre.






Chapitre 2... La requête.



- Hein… Où… Quoi… Où suis-je?

Elisa venait juste de se réveiller, elle regarda tout autour d’elle, où était-elle! La tribade avait du mal �  percevoir le décor et ne se rappelait de rien. Celle-ci voulu alors se lever précipitamment, mais elle se sentait trop faible et une force inconnue l’entrainait vers le mur contre le quel elle avait dormis, ce qui la fit tomber �  terre, c’est alors qu’elle vit que ses poignets était attachés �  des chaines! La femme aux cheveux d’argents ne se posa pas plus de question, elle regarda par-dessus son épaule le mur imposant de pierre froid et humide. Sa vue revins petit �  petit, �  présent, elle distinguerait plus clairement l’endroit où elle était… Une geôle. Juste devant elle se dévoilait enfin les barreaux et des torche où la lumière valsait. Mais la mémoire elle, ne revins pas pour autant! De ses yeux exorbité et cerner, son regard voyageait partout dans la pièce, puis, il vint se déposer sur elle, Elisa découvrit qu’un imposant bandage couvrait son épaule, la blessure avait apparemment été soignée, ensuite, ses yeux se posèrent sur elle… Elle se trouvait torse nu, la poitrine dévêtue, celle-ci ne portait qu’un pantalon écru, sale et déchirer.

- Hey!

La tribade était tellement épuisée qu’il en sortit de sa bouche qu’un infime son.

- Hey!

Répéta la femme bien apparemment �  bout de force, elle tenta une dernière fois de crier, mais cette fois-ci aucun son ne sortit de sa bouche, Elisa agita ses chaines et c’est alors qu’apparu un garde, il portait un masque en forme de loup et une toge rouge. Les souvenir d’Elisa revins, mais oui, c’était le même, le même que l’autres fois, quand la tribade fût agressée. Celle-ci comprit alors que dans la flèche il y avait un fort somnifère, ce qui l’eu rendu vulnérable.
La femme aux cheveux d’argents, �  genoux sur le sol boueux regardait le garde d’un air hébété.

- Vous… Vous êtes qui?…

Lança celle-ci, le garde, lui ne répondit pas, il s’avança vers la tribade lui saisit le poignet violement et l’obligea �  se retourner face au mur.

- retourne toi tribade!

Ordonna l’étrange homme. Elisa rassembla toute ses force pour se trouver face au mur, cela était dur avec les chaine au poignet qui lui croisaient les bras dans son mouvement, ça lui faisait mal, ça tirait sur ses muscle et força ses tendons. La tribade renifla bruyamment puis s’exclama.

- … Vous… Qu’es ce que vous voulez!?

La femme aux cheveux d’argents faisait volte face avec le mur fait de grosse pierre, elle attendait, n’entendait aucun bruit, comme si le garde était partit. Elle profita du mur pour poser sa tête, prendre appui pour un minimum d’effort.
C’est la qu’une douleur violente frappa de plein dos la tribade, celle-ci hurla d’un cri perçant et profond, c’était comme si elle avait soudain retrouver la voix… Puis une autre douleur… Encore une autre, elle était accompagnée d’un bruit sec et très net, une autre douleur survins alors… Cela était insupportable, cela continuait continuai, Elisa n’avait pas le courage de se retourner, elle aperçu juste un brève instant par-dessus son épaule un homme portant une cagoule s’élancer dans toute sa splendeur, ses muscles sayant, le bras en arrière prêt �  charger de son fouet qui claqua sur le dos stigmaté de la femme aux cheveux d’argents… Cette dernière par reflexe ferma les yeux et du supporter la douleur… Cela ne cessera jamais pensa-t-elle. Une voix survins enfin entre deux claquements.

- C’est bon arrêtez, elle en à eu assez… Nous ne pouvons pas nous permettre de la tuer.
Le bourreau s’écarta et laissa la place �  un homme assez âgé, portant une tunique rouge sang border d’une croix noir… Comme les agresseurs de la femme aux cheveux d’argents.

- Bien… Je suppose que vous ne savez pas pourquoi vous êtes ici?

- Non!

Répondit Elisa entre deux sanglots, elle soufrait le martyr, l’étrange personnage reprit alors la parole.

- J’ai besoin de vous… On m’a dit que vous étiez une hérétique pas vos mœurs de tribade, par vos croyances!… Mais… Vous avez quelque chose que quiconque d’autre n’as pas et qui fait de vous une personne exceptionnelle… On dit que vous êtes revenue des enfers! Que vous êtes une guerrière digne de ce nom! Et surtout… Que vous recherchez l’impossible, nous pouvons vous le donnez... Cet impossible!…

L’homme alla vers la tribade et la fit se retourner en la saisissant pas l‘épaule, la soulageant de ses bras tordu par les chaines et fixa sa poitrine déchirée d‘une longue ligne rougeâtre et déformée en relief par de la peau morte et la surface des muscle déchiré, s’entremêlant, rentrant, sortant, déforma le torse de la femme aux cheveux d’argents, cette balafre qui commençait de la clavicule, passant entre ses deux seins pour se terminer un peu en dessous de l‘un de ceux-ci.

- Cette cicatrice… C’est elle qui nous parle!

Le mystérieux homme souri.

Citation de: Elisa Novalis
La suite... Très bientôt!
 
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Elisa
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« Répondre #3 le: 15 Juin 2009 à 10:59:17 »

- Je suis l’évêque de Florence et j’ai une mission pour vous… Si vous la refuser, il n’y a pas de problème pour nous! Nous couperons juste votre langue pour ne pas révéler certains secrets qui nous tiens �  cœur… Hum hum… La mission consiste �  retrouver la croix de St pierre, mais nous avons découvert dans un fragment de parchemin un verset qui ne figure pas dans la bible… St pierre lorsque il fut crucifier vers le bas, cela ne s’agissait pas que par respect de son maitre: Jésus… Bien, heum… Je vais vous demander que l’on vous détache et qu’on vous mène �  l’infirmerie la plus proche, je n’ai jamais aimer voir le sang couler…

Et l’homme partir aussi tôt qu’il était venu… La tribade baignait dans son sang et ne comprenait pas comment elle arrivait �  être encore vivante!… Peut-être étais-ce la vengeance… La force qu’elle forgea �  force de baigner toute sa vie dans son sang… Sa rumeur comme quoi elle serait revenue des enfers… Ou tout simplement parce que elle voulait venger, ou mieux, faire revenir Ivy d’entre les morts…
Le sang « impure » d’Elisa coulait �  ses genoux, souillant son seul vêtement, son pantalon… Elle se sentait faible, mais ne voulait pas passer la barrière d’entre les morts… Pas maintenant… Ses yeux se fermèrent petit �  petit… Petit �  petit une lueur sombre envahi la vue de la femme…

- Allons! Allons! Réveillez vous!

La femme aux cheveux d’argents se réveilla en sursaut… Que c’est-il passer? Un lit!? Se dit celle-ci… Elle se trouvait dans un lit avec des drap propre et blanc, aussi blanc que de la neige, une sale propre et des murs qui avaient été recouvert par une sorte de torchis. Tout autour de la tribade, les épais murs de pierres, froid et humide avaient disparu pour laisser place �  des rideaux pourpre clair. Elisa tenta de s’asseoir, mais une femme qui était présente dans la pièce, dont la tribade n’aperçu pas tout de suite accourra vers celle-ci.

- Allons! Couchez vous madame! Nous allons vous soigner.

- Qu’es ce qu… Aïe!

Hurla la tribade, son dos lui faisait horriblement mal, ses blessures se réouvraient… Ce n’était pas un cauchemar… Ces geôles…

- Où… Où suis-je?…

Demanda Elisa complètement dans le vague, elle avait perdu beaucoup de sang, le flèche qui s’était loger dans son épaule, ensuite la séance de torture au fouet…

- Au Vatican Madame!

Répondit l’infirmière.

- Quoi!?

- Au Vatican, vous êtes à Rome madame.

La femme aux cheveux d’argent n’en revenait pas, elle se trouvait… A Rome, et au Vatican plus.

- Drôle de manière de m’accueillir… Merci…

Grimaça alors la tribade regardant toutes ses blessures, son regard se déposant sur son épaule, sur son dos.

- D’abor on me torture puis, on me soigne, c’est quoi ce délire!?

- Je ne vois pas de quoi vous parlez madame!

Répondit sèchement l’infirmière, faisant comme... Si de rien n'était. Elisa quand �  elle restait muette, apparemment ce n’était pas la peine d’insister. La tribade ne portait certainement pas les catholique dans son cœur �  vrai dire… Elle repensait �  Ivy… Ce sont eux qui l'ont assassiné, ces fanatique! Pendant ce temps, l'infirmière, voilé d'un tissus noir comme les donnes pensait Elisa de ses blessures, la recouvrant d'une sorte de graisse mal odorante. C'est ensuite qu'elle prit une sorte de récipient contenant un liquide tiède. L'odeur n'était pas mieux que la "pommade" mais enfin bon si cela calmait les douleurs. La femme aux cheveux d'argents bu d'une traite ce liquide tout en grimaçant ridiculement.

- Ah! Comment va notre ange gardiens!

S’écria une voix masculine dans l’infirmerie, l’infirmière entrouvrit les rideaux de la cloison et mit son doigts sur la bouche poussant un souffle, grondant qu’ici in s'agissait d'un hôpital et non d'une cour de récrée jusqu’�  ce qu’elle s’aperçu qu’il s’agissait de l’évêque accompagner de deux des gardes sur les cinq resté �  l'entrée de la bâtisse, dans le couloir. La tribade ne devait pas s'échapper, malgré ses blessures, il ne fallait guerre la sous-estimer. C'est alors qu'apparu l'évêque.

- Ho!… Veuillez m’excuser messire.

- Mais ce n’est rien, c’est vrai que je n’aurais pas du crier, comment va-t-elle? Je peux rentrer dans la chambre?

- Mais je vous en prie.

Répondit la femme tout en faisant une référence. L’homme pénétra dans la cloison.

- Comment allez vous Elisa Novalis!?

Celle-ci dévisagea l’homme… elle se rappelait, la dernière fois qu’elle l’avait aperçu c’était dans la cave… Elisa resta retissant et méfiante �  la vue de cet homme. La tribade changea de personne du regard, sa vue se posa sur la main d’un des garde, tenant fermement son masque en forme de tête de loup en main, Elisa pu enfin voir ce qu’il se cachait sous ces sculpture protectrice de fer des guerriers « saint » qui eurent capturer la femme aux cheveux d’argents. Elisa remonta tout doucement son regard pour se poser sur leurs visages, la femme sursauta, grimaça, se figea, puis détourna précipitamment le regard, ils étaient… Non, s’en est de trop, elle se rapella du port de Londres... Ce regard, le même qu'a présent!

- Regardez donc leurs visages… Elisa…

Dit l’évêque en souriant.

- non… Par pitié… C’est bon!

Répondit aussitôt la tribade, s'égosillant presque.

- Remettez vos masques… Elle s’y fera vous savez, mes enfants!

Puis, il se tourna vers l’infirmière.

- Comment va-t-elle?

- hooo très bien! Elle sera sur pied d’ici quelque heures!

Elisa n’en revenait pas, elle était gravement blessée et… Elle allait être rétablie qu’en quelques heures? C’était vraiment impossible! Mais que se passait-il ici!? La tribade était vraiment désorientée, elle ne savait pas vraiment ce qui lui attendait… Elisa n’eu pas eu le temps de terminer de penser qu’elle se pencha violement vers la droite et vomi �  terre une flaque de contenu gastrique mélanger �  du sang. Cela ne surprit pas du tout, ni les gardes, ni l’infirmière qui accourut appeler un concierge, juste l‘évêque détourna le visage �  la vue du sang. La femme aux cheveux d’argents continua �  rendre tripe et boyaux sur le sol en pierre blanc-cassé, une fois fini, elle reprit son souffle, cracha �  terre pour ensuite s’essuyer d’un revers de manche sa bouche en sang.
Un homme de taille assez massive revins avec une brosse, un morceau de chiffon et un sceau en bois remplis d’eau. L’évêque en profita pour s’approcher d’Elisa, tout en chipotant �  sa moustache blanchâtre de ses longs et fins doigts osseux.

- Mademoiselle Novalis… Ne vous en faite pas, cela est normale, madame Risolini vous �  certainement donner la boisson des anges, vous risquer de vous sentir encore un peu mal, mais cela ne devrait pas persister longtemps, d’ici trois ou quatre heures vous serez sur pied, croyez moi! Hum… Dans cinq heures, un de ces garde vous conduira au siège des guerriers de la croix.  
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« Répondre #4 le: 17 Juin 2009 à 10:02:13 »

L’évêque souri une dernière fois �  la tribade, un sourire qui au fond la narguait puis disparu derrière les rideaux de l’infirmerie avec un de ces deux gardes. Elisa se retrouva seul avec l’infirmière et le deuxième étrange guerrier qui restait dans un coin sombre du caisson.
La femme aux cheveux d’argents ne pouvait pas fuir, ni encore moins se battre contre tout ces soldats présent ici. Le Vatican… A quoi ressemblait donc le quartier générale de toute cette folie, cette croyance qui traite toutes les personnes différente d’hérétique… Comme le fût condamné Ivy, le femme qu’elle eu aimé auparavant.

Plusieurs heures passèrent, Elisa se sentait enfin mieux. Ses blessure au dos et �  l’épaule ne lui faisait plus mal du tout, cela faisait longtemps également qu’elle n’avait pas dormit dans un bon lit et eu droit a des soins médicaux digne de ce nom.
Accompagné du garde faisant virevolter sa cape d’un rouge sang. Elle parcourra alors les sous sol de la chapelle Sixtine, bordé de tombeaux de papes qui eurent succéder ainsi de suite au pouvoir catholique. toute étaient différentes, beaucoup en avait fait de… Statue d’or massives, des caveaux fait de marbre de Carrare. La tribade les dévisagea les une après les autres ayant une bien forte envie, une pulsion de rage, une irrésistible sensation de vouloir pisser sur l’une d’entre elle. Le petit trajet sous terrain continua malgré tout, sans encombres, sans coup dans le dos de la part d’un garde caché, sans traitrise de ce garde qui lui servait d’ôte, la femme aux cheveux d’argents commença �  gagner de la confiance et de la compassion pour cet homme, son visage… Elle s’en souvenait… Les deus personnages ne décrochèrent pas un mots du voyage entre les couloirs, les colonnes, les voutes, mur épais et humide. Tout les deux arrivèrent devant une grande porte de bronze, le garde annonça d’une voix grasse et caverneuse.

- Nous y voici Mademoiselle Novalis, je vous en prie…

Le garde tendis la main dans la direction de la porte qui s’ouvrait comme par magie… Elisa y pénetra, restant quand même sur ses gardes, apparemment, elle pouvait éventuellement encore avoir des ennuis, du moins, c’est-ce qu’elle pensait. Son cimeterre, ainsi que son révolver lui avait été ôté, il ne restait que sur elle sa bandoulière qui lui servait de fourreau, elle était trop légère sans ses armes, cela ne la rassurait pas...
La tribade arriva alors dans une pièce ronde, au centre y était meublée une table ovale de marbre avec �  son centre une sorte de lampe �  huile, elle aussi fait de marbre, les flamme sortait de cet objet dessinant toute sorte de forme, la lumière dansait elle aussi avec ces silhouettes de feu. Il y régnait une chaleur d'enfer dans ce sous sol, des goutes de sueurs perlait sur le front de la femme aux cheveux d’argents.

- Installez vous l� !

Dit sèchement le garde désignant la chaise qui se trouvait au fond, �  l‘extrémité de la longueur du meuble. La tribade obéit sans poser de question, c’est alors qu’il apparu le mystérieux homme, celui des geôles et de l’infirmerie et s’assit juste devant elle, bien de l’autre coté de la table, puis, une autre porte s’ouvrit, de l’autre coté de la pièce sombre. Il apparu alors les quatre autres gardes, ils était tous au complet, comme au port de Londres.

- Bien, bien, bien… Mademoiselle Novalis… Nous aimerons faire part de vos service.

La tribade ne disait rien, elle regardait tout autour d’elle l’étrange salle, c’est alors qu’elle aperçu des énormes statue sculpter dans la roche brut du sous sol.

- Donc nous aimerions que vous nous rapportiez la croix de St Pierre… Je vous l’avais dit, l’autre fois, que nous avions retrouver un verset de la bible qui ne fût jamais découvert auparavant! C’est pour cela que nous avions besoin de vous! Je vais vous expliquer pourquoi, cela n'est guerre compliqué!

Reprit l’évêque, celui-ci sortit de sa manche de velours, une sorte de parchemin.

- Voice le document en question, très remarquablement conservé! Lisez-le par vous-même!

Et il le tendis à la tribade.

- désolé, mais je ne sais pas lire!

Répondit sèchement la femme aux cheveux d’argents. L’homme ne s’offusqua pas, au contraire il prit le parchemin pour le lire �  vois haute.

- Dans la bible… Il est marqué que Pierre demanda aux Romain de le crucifier �  l’envers par respect pour son maitre: Jésus. Ensuite après sa mort, Pierre fut alors enterrer �  Rome et sa croix aussi. Cette croix repose actuellement sous cette basilique même… Mais sur ce parchemin! Il nous montre tout le contraire! La bible nous �  mentit! Pierre n’aurait jamais demander d’être sacrifier �  l’envers! Jamais il n’aurait tenter de faire cette chose, c’est contre son maitre, c’est l’œuvre du diable! Jamais il n’aurait fait un acte tel quel… Satanique! Ce sont les romains qui le crucifièrent �  l’envers, ceci est un acte satanique, sainte mère de dieux!… Les romain l’on sacrifier sur la croix de Satan!

L’évêque s'arrêta un moment pour s'oxygéner et prendre le temps de respirer calmement de son long monologue fanatique en faisant un signe de croix, puis reprit son longue explication interminable, chiffonnant son précieux document nerveusement, l‘ouvrant, le roulant, le pliant.

Sur ce parchemin, St pierre voulait être inhumé et non pas crucifier en l’honneur de son maitre! Ça, c’est la vrai version! Les romains le crucifièrent �  l’envers, tel la croix de Satan! Harg! Désolé, cela m’enrage tant! C’est infidèles! Donc revenons �  votre mission, cette croix pourra retrouver sa bénédiction grâce �  un prêtre au cœur pur qui baptisera cette croix en l’honneur du premier pape qui purifiera ce saint souillé! Ce qui amènera un air de paix dans le monde, éloignera tout les hérétique du royaume et enfin bénira toute les personne qui on eu la foi jusqu’ici! Seul une personne ayant fait le plus grand des pêché, étant revenu des enfers, étant lui-même un hérétique pourra nous conduire et saisir cette croix! D’où votre importance mademoiselle Novalis…

Sur ces mot, la femme fronça ses sourcils, ses yeux devinrent sombres… Ces mots l’avait blessé, mais cela semblait être tellement normale pour cet homme! Elisa tenta d’ignorer tant bien que mal ces paroles, elle n’avait guerre le choix! Puis, ce fut �  son tour de prendre sa parole.

- Mais! Pourquoi moi, je vous préviens tout de suite. Je ne ferai rien pour vous! C’est bien gentil de m’avoir invité, mais… Comme vous dite… Je ne suis qu’un hérétique! Et même plus! Alors, laissez moi, c’est ridicule, je ne marche pas dans votre folie…

- Ho! Désolé, j’ai oublier de vous prévenir de quelque chose, vraiment désolé, j’espère que vous me pardonneriez. Ma mémoire, haaa.. Ce n'est plus comme avant! Il y a un problème majeur dans tout cela, vous ne devriez rien savoir sur ces lieux et encore moins sur moi-même et mes disciple.

Les hommes masqués se redressèrent, approuvant ce que disait l’étrange personnage.

- Toutes tentatives de fuite, d’échec ou de refus… Nous vous arracherons vos yeux et couperons votre langue, je suis sincèrement désolé, mais que voulez vous faire �  cela, vous ne deviez rien savoir de ce qu'il se passe ici, nous ne faisont pas trop confience aux hérétique et au mauvaise langue! C’est le divin qui vous �  choisi… Et puis… Ivy.

Le cœur de la femme aux cheveux d’argents fit un bon, elle sentit une boule remonter �  sa gorge et une envie d’agripper l’évêque, de l’étrangler, il venait de prononcer un nom qui fut souillé par la même folie, la foi, la fascination de l‘évêque.

- Celle que vous aviez aimé… Par pêché de la chair, par hérésie… Vous sera rendue, nous pourrions la faire revenir d‘entre les morts. Certes, j’avoue, ce fut un crime que nous avions commis envers votre personne, votre personne qui nous rendra une chose tellement importante pour l’église. Et nous tenon �  nous en excuser, mais pour cela… Il faudra d’abord que vous accomplissez votre mission.

Elisa n’en revenait pas, tout dans sa tête se bousculaient! Ivy… Il était possible de la faire ramener, non, idiote… c’est impossible, je suis trop naïve… C’est alors que, le prêtre désigna du doigt les gardes.

- Ils reviennes de l’autre monde, tout comme vous, mademoiselle Novalis, je peu faire de même pour votre… hum petite amie, au nom du seigneur. Que dieux bénisse mes paroles envers cette hérétique!

La tribade sursauta. Ces visages, c’était donc cela ces visages de ces… Qui était si… Enfin, passons! Le prêtre continua �  expliquer encore bien des choses, mais Elisa ne l’écouta pas, elle-même revenait soit disant des enfers… Mais cela étais-ce légende, illutions, ou niaiserie…?! Pouvait-on faire revenir quelqu’un d’entre les morts? C’était l’occasion rêver de le savoir et même encore mieux! Surement, même, sur et certainement de faire revenir Ivy d’entre les griffes du malin!

- Alors mademoiselle Novalis?

La femme sursauta et sans hésité accepta la proposition, sous le sourire machiavélique de l’évêque.  
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« Répondre #5 le: 01 Juillet 2009 à 17:04:57 »

Chapitre 3... Combattre les flammes par les flammes.



La lumière dansait… Les rayons du soleil traversèrent les vitraux, les ouvertures et les fenêtres bordant les murs des longs couloirs pour se déposer sur  le marbre blanc des colonnes et des gigantesque statue d‘artistes d’entant vivant �  la renaissance. Tout cela en donnait une impression de pureté dans les couloirs, les pièces et le lieux de cérémonies… De la chapelle Sixtine.
Plusieurs cardinaux, ainsi que des prêtre et des évêques venu tout horizons étaient installés les un �  coté des autres dans cet immense pièce, ou plutôt chapelle. On ne voyait plus le bois et encore moins la couleur des banc sur les quels étaient assis tout les religieux. Les colonnes très haute se terminaient en arc voutant au dessus des têtes. Il ne manquait pas de lumière dans ce lieu saint. Quelques bougies allumées dans la gigantesque chapelle appartenant �  la papauté faisait concurrence, jouait et s’entremêlait avec la lumière du jour, parfois coloré par les vitraux. Cette illusion angélique, ces rayons de soleil qui enveloppait l‘endroit jusqu‘�  l‘oxygène que nous respirions et toute cette pureté donnait l’impression d’une vision du paradis. Pas un bruit, pas un mot. Seul des pas raisonnaient au fond de la salle en chœur accompagnant des enfants de cœur qui commencèrent �  chanter quand six silhouettes apparurent dans la chapelle. Ils chantaient une langue qui fût disparue il y a des siècles de cela. Le latin.
Ces six silhouette… Les cinq gardes et l’évêque de florence s’avançaient vers le cœur du Vatican d’un pas pressé! L’étrange personnage qui n’était tout autres que évêque tenait en main… Une sorte de cage en fer crachant de la fumée, le faisant se balancer comme un pendule, de gauche �  droite. Des prière sous forme de chant commencèrent alors �  sortir de la bouche de tout les religieux, tout les prêtre, cardinaux, évêques, sœurs chantèrent avec les enfants de cœur.
Les cinq gardes prirent place �  des fauteuil de marbre situé juste �  coté de l’autel. L’évêque, quand �  lui prit place derrière cette table, elle aussi faite en marbre, c’était �  croire que les entrailles de l’Italie, ses terre n’était fait que de cette roche pur et précieuse.
Au fond de la salle se dessinait une nouvelle silhouette… A nouveau, les pas de cette silhouette accompagnèrent les chants résonant dans la chapelle.
Ces pas était autant pressé qu’hésitant, autant violent que léger. Des cheveux d’argents virevoltait au dos de cette personne habillée d’une armure blanche… Aussi blanche que ses cheveux bordé d‘une croix noir devant. Une tunique rouge sang, une tunique guerrière, en haut bouffante aux manches et en bas, tombant jusqu’aux pieds.
Elisa s’avança vers le cœur du plus grand bâtiment de la religion qui l’avait meurtrit elle et sa copine. Elle arriva au cœur de cette chapelle. Elle se tenait fière et droite, sa main fermé en un poing, porté au niveau du cœur, de son cœur absent qu’elle n’entendait plus battre depuis un bien mauvais souvenir, celui qui l’eu détruit je cite l’accident de l’île maudite! La tribade ravala sa salive, anxieuse, elle alla se faire baptiser, elle ne l’avait jamais été auparavant sous le souhait de son père. Cette purification de sa personne si soudaine la rendit vraiment nerveuse, elle ne savait que faire.
L’évêque, cet homme qui l’eu fit venir ici de force de Londres s’approcha de la femme aux cheveux d’argents… �  cet instant tout les chants céleste se turent.

- En ce jour du 3 novembres. Nous avons été guider par la voix du seigneur.

Un des gardes se leva, il s’agissait du plus grassouillet de tous, le masque toujours au visage il commença �  chanter en soliste d’une voix grave, grasse et envoutante tel un ténor.

- Que le seigneur soit avec nous…

C’est alors que toute la salle dit en cœur, Elisa de même.

- Amen…

L’étrange personnage reprit.

- En ce jour, nous avons trouvé la personne qui délivrera la croix de St Pierre des griffes de Satan.

- Que ce jour soit bénit…

- Amen.

- Que cette personne soit purifiée par les mains du seigneur!

Le ténor reprit alors.

- La foi est plus forte que les infidèles à dieu.

- Amen…

La tribade s’impatientait, cela la dégoutait. Ceux qui la prenait pour une soit disant sauveuse du monde étaient �  ses yeux de vrai pourriture, ingrate et sournoise. Les parole semblait terminée, Elisa ne l’avait pas remarqué.
L’évêque s’approcha alors de la femme aux cheveux d’argents qui sursauta.il tendit vers le ciel une coupe en or massive. Les rayons du soleil la percuta et éclaira, illumina cet or. L’homme posa sa main sur la tête d’Elisa et la fit basculer vers le bas.

- Que ce jour soit bénit, en ton honneur. Elisa Novalis, le seigneur t’offre sa protection. Tu iras au paradis.

C’est ainsi que l’homme déversa le contenu sur les cheveux de la tribade. L’eau bénite dégoulina alors le long de sa crinière, coula sur ses épaule, son armure pour terminer sa course au sol… Sur le sol marbré.

Elisa se releva, elle venait d’être bénite! La tribade regarda, dévisagea un par un les différente personnes, tout ces naïfs. Croyant que cet eau gesticulée par de simple prières laverai tout ses pêchés passé. Tout cela n’est qu’absurde!
Mais… Il s’agissait également du premier baptême de la femme aux cheveux d’argents. Celle-ci porta sa main �  son crâne humide. Les différent invité, évêques, prêtre, cardinaux de la chapelle prièrent en même temps.

Un des soldat �  tête de loup s’approcha d’Elisa.

- à genoux Dame Novalis.

La femme aux cheveux d’argents sursauta, c’était la première fois que l’on l’appelai ainsi. Elisa s’exécuta sur le champ.

- Joint tes mains.

La tribade s’exécuta. L’homme loup prit alors une épée �  la garde en or et bordé de diamants. Il la leva.

- Toi, dame Novalis, au nom du père, du fils et du saint esprit. Tu seras adoubé au nom du seigneur. Jure dene jamais trahir l'église �  partir d'aujoud'hui!

- Oui je le jure au nom du seigneur.

C’est ainsi que l’homme fit un rituel vraiment étrange, chevaleresque tel que l’on pouvait lire dans les romand. Il adouba Elisa, son épée allant de sa tête �  ses deux épaules, la tribade en avait des frissons.
Les autres soldat de l’évêque apportèrent alors une épée… Une épée d’or de diamants et d’acier blanc. Qu’ils remirent �  la femme aux cheveux d’argents. L'évêque, cet homme mystéreux restait muet, lui, il avait déj�  accomplit sa mission, trouver et bénir l'élu.

- Embrassez là dame Novalis.

Elisa embrassa alors la lame de sa nouvelle arme puis, elle s’en empara pour la mettre dans son fourreau respectif qui fut offert avec. Elle attacha le tout �  sa ceinture, ayant un peu de mal car, habituellement, son cimeterre elle le mettait dans son dos. La tribade n’avait guerre l’habitude de porter le fourreau �  sa hanche. Mais cela n’était qu’une question d’habitude. Une question d’habitude…

- Levez vous dame Novalis, nous allons vous conduire �  votre chambre car c’est demain que débutera la grande croisade.

Elle et les cinq soldats au masque de loup quittèrent la faramineuse chapelle sous le regard de tout les religieux et de l'évêque exécutants le signe de croix.  
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Elisa
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« Répondre #6 le: 22 Décembre 2009 à 20:51:45 »

Elisa s’était allongée dans son lit. Un lit qui ressemblais plus �  une couchette et la chambre �  une cellule de prison. La couche n’était rien d’autre qu’une médiocre planche de bois suspendue en l’air  par une paire de chaines. Le matelas, un amas de pailles recouvert d’un linge de coton bruni par le temps.
De temps en temps un rats passait par l� , faisant des couinements vraiment agaçants.
Les murs étaient épais et humide, des trace de moisissures surgissaient par endroit.

« C’est donc là que dorme les soldats de dieu… Hé ben… »

Pensa la tribade, celle-ci s’étirait les bras, les faisant même craquer.
Les rayons de soleil de la cérémonie de tout �  l’heure laissait place �  présent aux rayons de la lune qui traversaient les fenêtre sale, grisâtre et opaque, les coins envahis de toiles d‘araignée ou de toiles de poussières.

Malgré la peur, l’intrigue et la colère de tout �  l’heure… La fatigue gagnait peu �  peu Elisa, ses murmures et ses pensées laissant place aux bâillements. La femme aux cheveux d’argent se couvrit d’un drap dont les extrémités avait été grignotés par les rongeurs.
La tribade avait bien du mal �  trouver le sommeil, touts ces évènements… Touts semblait si loin, comment a-t-elle bien pu se retrouver dans une telle situation!?
Touts la tracassait, elle passait son temps �  se tourner, se retourner dans sa couchette jusqu’�  entendre des pas venir vers sa chambre, ou plutôt sa cellule. Des chuchotements se firent bien vit entendre.

- Roberto… Roberto!

- Quoi!?

- Tu crois qu’elle dort!?

- Ouai c’est bon… À part les rats il n’y a rien qui bouge ici.

- T’es sur… Je ne fait pas trop confiance �  cette nouvelle, tu crois qu’elle est comme nous au fond?… Une sorte de revenante?

- J’en sais rien Enzio.


La tribade regardait l’épaisse porte en bois aux énorme charnière en fer forgé. Une lueur dansait en bas de la porte laissant penser que l’une des deux personnes tenait une lanterne.
La jeune femme écoutait attentivement ce qui se disaient dehors, elle en déduit, d’après leur conversation qu’il s’agissait alors de deux des cinq gardes… Peut-être.

« Ils me surveille?… »

Pensa Elisa… Elle qui avait de la compasion pour eux... Même voir de la confiance!

- Attend Enzio… Je vais aller voir notre élue, j'ai pas trop confiance en elle par moment…

La tribade sursauta, aussi vite que possible, elle mit son drap correctement sur elle, se tourna vers le mur et fit semblant de dormir. Elle garda un œil mi ouvert pour voir ce qu’il se passait.
La porte s’ouvrit avec un long et horrible grincement, faisant même fuir quelques rats qui se trouvaient �  proximité en train de grignoter des petits morceaux de pain rassit.
Le garde regardait fixement Elisa, tapotant le pommeau de sa rapière. Son masque brillait �  la lueur de la lanterne.

- Dors bien, élue des dieux… Demain une longue journée t’attend… Tu ne t’imagine pas! Tu nous est bien étrange Elisa… Et quelque chose me dit que je ne peu pas te faire confiance… Tribade!

Murmura celui-ci, puis, il refermât la porte, toujours dans ce même grincement.

- C’est Bon Enzio… Retourna à tes quartiers.

- Bien Roberto…


La tribade poussa un long soupire, puis murmura.

- Oui… Demain, la journée sera longue très longue et la nuit aussi!

...

Bam bam bam!

Quelqu’un toqua �  la porte comme un dératé. Elisa se réveilla en sursaut.

- Oui!?… Quoi!? Que ce passe t’il!?

Hurla alors celle-ci, sa main masquant les rayons du soleil qui l’agressait �  travers la vitre.

- Dame Novalis il est temps! Habillez-vous! Nous vous attendons dans la grande salle dans une demi heure, je vous attend ici, je vous y conduirait! Car seul moi et mes frères sachons où elle est!

- Bi… Bien! Je me dépêche!

S’égosilla toujours la femme aux cheveux d’argent. Sans tarder, elle sauta de son lit comme si une bête l’avait piquée, elle enfila le plus vite qu’elle pouvait. Sa longue robe rouge sang, la même que la cérémonie, la même que les cinq autres mystérieux gardes.
La tribade cogita, la prenaient-ils pour une demeurée, le Vatican n’était pas si grand que ça, elle aurait pu retrouver la salle où elle avait déj�  été… Peut-être ont-ils un manque de confiance en elle, comme elle a pu entendre hier?…
La voix derrière la porte retentit une fois de plus.

- L’armure, mettez là… Et vos armes aussi!

La tribade resta muette et continua de s’habiller. Son armure fut mise, son épée �  sa anche, Elisa fut enfin prête et sortit de sa chambre.

- Me voila, gardiens.

- Bien dame Novalis, ne tardons pas, suivez moi!

Les deux compagnons avancèrent dans les long couloir sombre qui se trouvaient dans le sous-sol du bâtiment. Le gardiens, la torche �  la main ne cessait jamais une minute de regarder la protégée par-dessus son épaule. Cela mettait vraiment mal �  l’aise Elisa, l’ambiance des couloirs long, interminable, lugubre et un gardiens au visage ignoble sous le masque… Rien n’était rassurant!
Elisa se décida malgré tout �  briser le lourd silence qui planait depuis sa sortie de cellule.

- C’est encore loin? Ces couloirs sont vraiment interminable, je ne me souvenait pas qu’ils était si long et si sombre!

Le gardien, d’une voix grâce et rauque répondit.

- C’est normal, l�  nous somme en train de passer sous la ville, nous somme déj�  loin du Vatican maintenant!

- Ha?... Alors on ne va pas… À la salle?…

Dit timidement la tribade.

- Si! Mais, c’est pas celle qui se trouve au Vatican! Non! C’est pour ça que je vous conduit!

Répondit sèchement l’homme. Cette façon de répondre rendit encore plus muette la tribade qu’avant. Seul les bruits de pas et de respiration rapide, de légers grincement de la poignée de la lanterne… Ou encore des couinement de rats résonnaient.
La marche s’achevait, on pouvait enfin remarquer de la lumière naturelle au bout du couloir.

- Nous y voila dame Novalis!

- C’est pas trop tôt! Je commençais �  me demander si il y avait vraiment une fin �  votre tunnel!

Marmonna la femme aux cheveux d’argents qui s’avança vers la lumière. Touts deux se retrouvèrent en pleine nature, le tunnel menait jusqu’�  un endroit où la nature régnait en maitre absolu. Elisa se retrouvait en dehors de Rome, et effectivement, une salle se dressait l� , en plein milieu de la végétation, il n‘y avait pas de portes, on aurait dit un bâtiment de l‘antiquité... Sauf qu’il était guerre en ruine, une bâtisse de la renaissance surement. La tribade pénétra dans la salle.

- Nous t’attendions Elisa!

Hurla l’évêque, lui aussi était était présent en plus des quatre autres gardiens.

- Vous! Ici!?… Bon je ne comprend plus rien, je…

L’homme de religion fit un signe de main �  Elisa pour qu’elle se taise et puisse prendre la parole.

- Je vais vous expliquer… St Pierre est enterrer sous la basilique, certes, mais pas la croix mais ça… Je n’allai guerre le dire tout haut �  l’infirmerie chère Dame Novalis! Bienvenue dans la salle des six… Maintenant des sept, ceux qui entre ici, meurs ici!

- ça me dépasse… Vous êtes vraiment un fanatique! et... Combiens de salle cachées vous avez? Combiens de bâtiment devrai-je encore visiter avec vous bon sang...

L’évêque sourit �  la jeune femme soupirante. Un sourire vraiment froid et effrayant, il se moquait de la tribade.

- Je sais dame Novalis... C'est ça, la magie de la fois et du Vatican! Vous ne saurez rien, vous êtes perdue et c'est tout �  fait normal! Maintenant… Je vais vous expliquer ce que nous allons faire, je vais, �  vous tous vous donner les coordonnées et nous allons débuter la mission que nous a confié notre seigneur, que cet élu soit bénit.

Dit-il en tendant la main vers la jeune femme.  
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