Forum Age Of Sea Dogs

Il y a plus de dix ans, sur l’île de Dominique. Ile française


- Alors comme cela vous avez localisé un île, parfaite pour mes études. demanda le scientifique
- Oui quand je suis venu dans le caraïbe, le navire marchand qui m’avait prit, a du y faire une escale. Il y a beaucoup de spécimens �  étudier et je crois qu’il n’y a pas d’indigène et aucune activité humaine…
- Une île vierge de toute activité humaine ? Mais c’est ce qu’il me faut !!!
Le gouverneur par cette nouvelle me donnera un navire et payera l’étude.

Trois jours plus tard, les deux hommes étaient allés voir le gouverneur lors d’un dîné, ce dernier accepta de financier l’excursion en échange que l’on parle de lui dans les rapports de l’étude.
Le lendemain dans toute les auberge de la noble ville centrale de l’île, des affiches y étaient placardées.

«. »



hrp: cette quête excepetionnelment peut être fait en même temps que celle d'Hyorg (normalement pas plus d'une quête �  la fois pour un joueur)
cette quête s'adresse aux joueurs débutant pour le rp ou sans idées pour les raisons qui ont poussé leur personnage �  prendre la mer.
Donc: silverfalcon, Feryoto et Blink  y sont invités

voila �  vous de faire ce que vous voulez et je previens pas de gros combat, de massacre. C'est une aventure calme, avec beaucoup de dialogue et relation rp entre joueur.
Les grands évènements ne pourront être fait que par le maitre du jeu (comme le début de la quete)
de plus cette quete ce passe donc quand vos personnages sont jeune inconnu au bataillon ni très puissant.

a vous de vous inscrire:
- bike
- Feryoto
- Pitsam
- Mort de rire (mais modifie ton arrivé vos persos on dix ans de moins que maintenat et je pense pas que ton perso soit maitre d'une frègate �  20 ans...
fais juste un perso comme Bike sans navire)
désolé je t'ai prévénu par mp toujours pas de modification... recalé
- Silver Falcon

après cela c'est bon on y va

   

-Je doit dire que l'expérience serait intéressante. dit le capitaine Feryoto �  son second.
-Oui mais capitaine. On ne peut pas abandonné notre sloop et notre équipage...
-Notre???
-Je veut dire votre mon capitaine. Et nous avons des navire �  piller.
-Des navire, quels navire? Ça fait déja 3 semaine que nous sommes cloué au port parce que les agents de l'espagne nous suveillent et en plus, les gouvernements sont sur la déffensive et font escorté tous les navires marchands.
-Je vous avait bien dit de ne pas couler se brick espagnole!!! Et de toute manière, que feriez vous du Black Scorpion.
-Nous allons le vendre.
-Le vendre??? Alors la je crois que vous avez trop bue.
-Non. Je suis parfaitement lucide. Nous ne pourrons jamais reprendre se navire. L'Espagne nous traquerait jusqu'a nous couler. Alors vas voir le gouverneur et dis lui que nous participerons au voyage. De cette manière, nous quitterons la ville subtillement. De mon côté, je vais vendre le navire.
-Qu'est-ce que vous direz �  l'équipage?
-L'équipage? Tu dois vouloir parler de cette dizaine de truants qui ne fait que boire. Eh bien nous ne leur dirons rien. Il leur faudra une semaine avant de se rendre compte que nous sommes partit.

Sur ce, les 2 hommes se quittèrent.  

Bike lut l'affiche, et un sourire mystérieux se dessina sur son visage
-Une expédition ? Pourquoi pas ?
Son ami parut étonné
-A quoi cela nous servirait ?
-A gagner un peu d'argent. Je te rappelle qu'on vient de débarquer, et qu'on a pas un rond. Cela peut nous aider �  commencer une vie de marin.
-On aurait pas du partir d'Europe.
-On était recherché par la majorité des pays ! Je n'ai pas envi de finir pendu !
-C'est toi qui a insisté pour cambrioler tout ces nobles.
-Mais c'est toi qui nous fait repérer �  chaque fois avec tes gérémiades !  

Le capitaine Quintus vit l'affiche.
-Je serai heureux d'offrir mon aide sa me permettra de me débarrassé des anglais . Je suis toujours prêts �  suivre le Royaume de France.
Son second arriva est lui dit
-Oui, mais chef nous sommes des pirates nous devrions les piller les navires anglais .
-Tu veux qu'on se fasse prendre il ont des galions avec chaque navire de commerce on a que le sloop que j'ai j'ai put obtenir �  la marine de France.
-Vous avez raison mon capitaine notre butin est grandissant mieux vos comme même eviter les problème.  

Après avoir lu l'affiche le Capt'tain Ptisam dit à son équipage:
"Bon les gars ça vous dit une tite escurtion?"
Un marin s'avança et dit:
"Oui mais bon avec notre sloop nous n'allons pas aider beaucoups.
-Oui mais nous avons le temps déconomiser pour acheter un plus grand bateau avant le dépard je pense. Au pire pas grave on servira simplement d'apat aux navires qui veulent attaquer!
-Heu... Vous n'avez pas peur Cap'tain?
-Bin non et pis ça peut vous entrainez parce que la vous êtes un peu mou je trouve!
-Mais c'est une escurtion non militaire Cap'tain. Sinon tous le monde et partant mais faudrais trouver un peu plus de monde pour faire navigner le navire.
-Vous avez totalement raison pour une fois! On se retrouve ici pour le départ de la quêtes!
Le Capt'ain Ptisam s'ennala retrouver son second au navire.  

SilverFalcon, fraichement débarqué d'un navire marchand courait dans les rues avec trois de ses compagnons. Ces jeunes hommes d'a peine 17 ans fuyaient les officiers de la marine. Ils s'arreterent dans une ruelle essouflée et se mirent �  exploser de rire :

-Ta vu la tête au lieutenant quand il a vu le poulpe qu'on a mis dans son lit!

-Oh oui!

-On ferait mieux de remonter sur le bateau! On ne sera pas la bienvenue dans ce port pendant au moins 2 mois les gars!


Wolf, le meilleur ami �  SilverFalcon, s'appuya sur un mur, faisant voler un papier. ce dernier atterit tout droit dans les mains de SilverFalcon qui le regarda, son sourire d'emerveillant de plus en plus a chaque ligne.

-Les gars! Je viens de trouver un truc largement mieux que les traitement que nous inflige le cap'tain! Borgne! Va donc voler des sacs de vivres dans le bateau quand a moi, je vais chercher des armes! Nous partons �  l'aventure les gars!

Et c'est ainsi qu'il se retrouverent tous les quatres devant la flute qui était prète �  partir...
   

         HRP: commence ment de la quête....
ordre de passage:
   
- bike
- Feryoto
- Ptisam (n'oublie pas que tu n'as pas de navire et que tu es simple matelot)
- Silver Falcon
ps: si en rp vous faites des personnages qui connaissent pas grand choses au vocabulaire et manière de marin c'est encore mieux....
pps: Silver Falcon que je nomme second maitree du jeu de la parti il bénifira de mes avantages de maitre du jeu (faire intervenir l'environnement du jeu) mais je pourrais le corriger et lui non...



            Maitre du jeu


    Après une semaine d’attente un équipage pour « Le Brûlant » fut recruté. Les préparatifs prêts. Le rêve des deux scientifiques commence. Le capitaine Geffroy Cineau a demandé �  l’équipage de se rassembler sur le tillac.
-Voila mon cher Louis. Il s’agit des hommes avec qui vous et votre ami de science vous allez vivre pendant un moi.
Ce sont des jeunes hommes inexpérimentés pour la plus part ou des vieux loups de mer sans navire.
- Mieux vaut s’en méfier de cela ils sont capable de tout mais je pense que s'ils travaillent pour la couronne de France ils respecteront leur contrat.

Presque tout les marins du « Le brûlant »  étaient en effet des  blessés de combat des jeunes mousses et des marauds.

 -Mes amis, s’écria Cineau, je me présente Le capitaine Geffroy Cineau, sergent de l’armée du Roy et capitaine de cette flûte. Je tenez �  vous dire que je ne tolérez pas d’indiscipline. Toute tentative de mutinerie sera punie de mort, comme la loi l’oblige.
Maître d’équipage intervient.
-Je tiens �  dire que en tant que maître d’équipage que je ne cherche pas �  vous dominer juste faire respecter l'ordre et la bonne entente. Je serais �  votre écoute.
- Merci, Jean Roniak. Donc Je souhaite que notre travail sera parfait, notre cohabitation sans problème.
Vous comment vous appelez vous ? demanda le capitaine après avoir regardé l’équipage.
-Feryoto
-Capitaine !
- Feryoto, capitaine… balbutia ce dernier jeune marin
-  Je vous nomme quartier maître et vous aurez comme matelot votre voisin. Il me semble peu connaître la marine et vous pas vraiment mais je vous demande de lui apprendre ce que vous savez.

Ainsi Feryoto se retrouva le matelot de Bike. Le capitaine distribua encore les rôle entre les matelots le jeune Silver Falcon reçut comme matelot un homme maigre mais marin depuis longtemps du nom George Bouc et son ami un autre avec qu’une seul main surnom « cinqu doigts »
Après un court discourt où il présenta Louis De-Bois et Francis Muse, les deux scientifiques, et le but de l’excursion ainsi que le mode de vie �  prendre �  bord, les hommes manœuvrèrent pour quitter le port.
Les voiles du gréement furent toutes tirées. Le bateau commença son voyage vers l’île de Quantéluzam. Un voyage bien mouvementé…   
 

Feryoto était assi sur le pont et écrivait sont journal personnel.

<<2e jour

Cher journal, le capitaine a ordonné de jeter l'ancre pour la nuit et je me suis vu assigné le premier tour de garde. La mer est calme et tous l'équipage dort. Les 2 premiers jours de navigation ce sont passé sans problème. Nous avons rencontré quelques navires marchands mais rien d'autre. J'ai commencé �  faire connaissance avec l'équipage mais surtout avec bike qui est mon matelot. C'est un jeune homme inexpérimenté, comme moi, mais il travail très bien et fait se qu'on lui dit. Dans quelques années, il fera un très bon marin voir même un capitaine. En parlant de capitaine, le notre n'a toujours pas voulu préciser le but du voyage. J'espère que nous n'aurons pas de problème car je ne veut pas perdre ma vie inutilement dans une simple expédition. Il y a un vieux marin a bord qui a axcepté de m'apprendre se qu'il sait. Il se nomme  George Bouc et est très sympatique. Je suis sont apprenti comme il se plait �  m'appeler. Il n'a pas voulu me dire pourquoi il était sur se navire. Je ne sait pas combien de temps durera l'expédition mais j'espère qu'elle durera assé longtemps pour que j'apprenne se dont j'ai besoin pour faire partit de la marine royale. Et en parlant de George, je dois aller le réveiller pour qu'il prenne le 2e tour de garde.>>     

Le premier jour j'ai inspectait le navire que je trouve assez grand mais bon je ne mi connait pas tellement en bateau.

Le deuxième jour je commence �  grimper sur les haubans, je me promenne.
Bref, je commence �  m'y habitué. Quand je serai plus grand j'aimerai bien devenir un capitaine mais ya encore le temps.  

Le premier jour au matin, Bike s'accrocha au bastingage, avec un teint verdatre. Son ami se tenait debout �  côter de lui.

-Eh oui ! Sa fait ça quand on est pas habitué !
-Beuuuuuuuuuh ! Quelle nuit horrible ! Mal de mer !
-Ce n'est rien, au bout de quelque jour, sa passera
-Parle pour toi ! Je n'ai pas de père pêcheur qui m'emmenait sur son bateau chaque fin de semaine !
-Je dois avouer...
-Je n'ai pris la mer que deux fois ! Pour venir au Caraïbes et maintenant !
-Je t'ai dit que sa passera !
-Je suis obliger de te faire confiance

Après que Bike se soit remis, ils visitèrent ensemble le navire.Dans la nuit, avant son tour de garde, Bike monta en haut du grand mat, visiblement remis de sa maladie.
-On a une jolie vue d'ici ! Je me demande combien mesure ce mat !

Quelqu'un l'interpella

Hé gamin ! Descend de là ! Tu est de quart ! Lambine pas !

Bike regarda l'homme et reconnu Geoffroy Cineau

-Oui, je descend !

Et il prit le tour de garde.
   

Rapport de flotte du matelot SilverFalcon


   Cela fait maintenat cinq jours que je suis en mer! L'excitation du départ a été vite remplacé par la découverte du navire, puis par le travail. Je suis en charge d'un gaillard de mon âge : George Bouc de son nom, mais tout le monde préfère l'appeler simplement Cinq Doigts! J'ai fait connaissance avec lui et il s'avère que c'est le meilleur loup de mer que j'ai jamais connu!! N'ayant déjà servi que sur trois navires en tout, j'ai moin d'expérience d'experience que lui, mais je suis comme même son responsable! Il est très doux mais les nombreuses ciciatrices qu'il porte laisse facilement paraître son passé de pirate! Il raconte ses batailles tous les soirs : après que les musiciens jouent leur dernier accord, il s'asseoit en tailleur et toute l'assistance boit ses paroles comme si c'était du grog brulant (celui du navire est d'ailleur délicieux!) Il nous parle de légendes marines, de bateaux effrayant comme l'Hades, de batailles épiques et de trèsors enfouis! Même le capitaine les écoute!

   Le capitaine m'a demandé de tenir ce rapport pour "raison personelle". Je n'ai pas très bien saisi ce qu'il voulait dire par là, et sur le coup, j'avoue que cela m'a fait un peu,peur! C'est un homme bien le capitaine, quoiqu'un peu sévère! Mieux que Malamuera, mon ancien capitaine! Ici, pas de coup de fouet, seulement deux trois enervements suivis de quelques coups du second et du coq, Grumito (surnom donné à cause des nombreux grumeaux qu'il y a dans ses pains, et aussi du à son jeune âge) qui n'apprécient pas tellement les farces que  Borgne, Wolf et moi faisons!

    Mais nous savons restés lucides, ainsi on a tout de suite était sur le qui vive dès l'appel du capitaine,alors qu'on était de double tour de garde (punition qui n'est pas si atroce lorsqu'on la passe avec ses proches!)  

                 Maître du jeu


La nuit été déjà tombé depuis longtemps sur le navire et les marins dormaient dans leur toiles dans le faux pont. Le capitaine Georges Cineau,quand à lui, rédigait son journal de bord, un brule gueule à la bouche. Lorsqu'il eut fini, il prit quelques mesures à l'aide de la carte, puis alla dehors, pour prendre la latitude à l'aide du compas. Il salua les jeunes marins qui étaient de garde puis monta sur le gaillard d'avant pour se pencher près du beauprè. Il plissa les yeux pour mieux voir. Soudain un mince filet sombre apparut à l'horizon.

Cineau coura demander aux matelots de leur tenir son compas et monta sur les haubans. "Cela me rappele des souvenirs! Cela fait longtemps que je ne suis pas monté sur des haubans! Que penserait l'Amiral s'il me voyait ainsi! Mais bon! C'est pour la science dirait ce cher newton!"Arrivé à la hauteur du cacatoes, il grimpa sur la hune, à la grande surprise de la vigie qui somnolait. Le capitaine le gronda tout en chuchotant :

-Imbécile! C'est à ca que vous servez?! Ce n'est pas pour dormir que je vous ai engagé!Il prit violement la longue vue que le malheureux avait à la main puis après avoir scruté l'horizon, lui balance tout aussi brusquement, Regardez donc l'horizon avec votre longue vue et attendez que je sois descendu pour lancer le signal!

Le capitaine descendit alors des haubans et ouvrit la trappe qui menaient au fau pont. La vigie lanca alors le signal que le capitaine attendait tant :

TERRE!!

Le capitaine hurla alors à son tour :

-TOUS A VOS POSTES! ON ACCELERE LA CADENCE!

Et c'est ainsi qu'a midi, l'ancre fut laché dans une petite crique pourvue d'assez de végétation pour que Le Brûlant puisse échapper aux éventuels pirates qui passeraient par là.

   

Maitre du jeu

     Après le mouillage du "Le Brulant" le capitaine descendi de son navire
- Second prenez en charge l'équipage. Mon cher ami scientifique vous et votre compagnon pourront étudier un peu sur cette île. Le temps que nous pratiquant un petit carènage. Car nous avons un trop mauvais rendement au grand large �  cause de la surchage des la coque sans doute.

Les econd se retourna vers l'équipage
- Allez les gars il va falloir mettre le navire hors de l'eau. il regarde les hommes qui ne bougés pasGrouillez vous c'est un ordre, sinon vous allez tater peu du fouet.
Toi le jeune blanc bec Cria t-il sur SiverFalconj'espère sincerement que ton mal de mer est passé et que tu vas pouvoir travailler. Va avec ton matelot prendre les amarres. Fait le sinon tu carèera tout seul et avec que tes mains. Espèrons que les coquillage ne te trancheront pas les mains!!!

L'équipage se mit au travail aidé par la coordination du quartier maître.  

-pfff, ce second il ma l'air pas tellement commode! je l'aime pas trop!
se dit Ptisam  

       Maître du jeu


Vers la tombée de la nuit, le carénage fut entièrement fini sans qu'aucune personne n'eut �  se plaindre sérieusement. Le capitaine Cineau qui d'habitude refusait les fêtes et les beuveries autorisa pourtant ses hommes �  fêter dignement le voyage, "�  la facon marine" disait le coq, facon qui consitait �  se souler joyeusement toute la nuit. Les hommes dansèrent et chantèrent toute la soirée, mais Cineau resta sobre et prépara l'expedition. Il s'asseya sur un tonneau de punch vide et �  l'aide du second et du maître d'équipage, il dressa des plans approximatifs de l'île d'après de détails de carte maritime et d'après des esures de l'île.

-Chers amis, je crois que nous avons trouvé l'île idéale! il nous faut maintenant organiser l'expedition! Monsieur Morneau dit il en s'adressant au maître d'équipage qui choisirai vous pour être de garde au navire les deux jours suivants? Nous dormirons en effet �  la belle étoile deux jours de suite pour situer l'île et prendre quelques relevés! Alors?

-Eh bien mon capitaine, je conseille des jeunes recrues! Nous avons ces jeunes mousses impétueux, dirigé par celui qui se fait appeler SilverFalcon et deux de ses amis! Il y a aussi Ptitsam qui râle souvent! Ca leur ferait du bien �  ces quatres l�  de rester de garde!

-Personelement,intervint le second,je suis pour ces quatres gaillards mais rajoutez donc deux marins inexperimentés mais plus calmes, Bike et Feryoto! Il pourrait avoir un effet bénéfique sur les garnemments, mais cela leur apprendra aussi l'attente �  ceux l� !

-Vous oubliez qu'ils sont tous plus ou moins expérimentés si ce n'est les trois canailles qui ont déj�  servi! Ajoutons Bouc et ces deux l�  dit le capitaine en montrant une luiste de l'équipage sur laquelle il avait entouré le nom de ceux qui resteraitPuisque nous sommes d'accords, je propose que nous allions faire la fête! Mais restez distants sur la boisson! Il faudra bien quelqu'un qui n'ait pas la gueule de bois pour diriger ces poivrots au réveil !


Le lendemain, les hommes eurent en effet du mal �  se réveiller et ce fut pour tous une matinée harassante en raison de la chaleur qui régnait. Un cas de malaria se déclara et le pauvre fut obligé de rester avec ceux de garde du navire, sur ordre de Graham, le médecin de bord.
Les personnes restant au navire étaietn SilverFalcon, Wolf, un borgne appelé borge, Ptisam,Feryoto,Bike,Bouc,Maynard,et un jeune homme ne parlant pas francais, un ami de Maynard qu'on appelait le Brésilien.

Les provisions furent emballés vers midi et le repas fut frugal malgré la végétation nourrisante qui régnait sur l'île. Les hommes ne s'en privèrent pas et certains en stockèrent même clandestinements, espérant les revendre dès le retour. Lorsque tout fut emballé, le tri fut fait, pour emporter le stricte nécessaire. Ainsi des sacs entiers restèrent au navire, déclenchant des protestations dans l'équipage.
Puis enfin, vers le milieu de l'après midi, la troupe d'hommes menée par le capitaine Georges Cineau partit, laissant le navire aux mains des jeunes marins qui étaient sous la direction de Georges Bouc.  

Feryot observa l'expédition s'éloigné. Il avait renoncé �  écrire son journal étant donné qu'il avait très vite manqué d'encre et que le capitaine avait refusé de lui en donner. Aussitôt que le capitaine fut hors de vue, Feryoto alla se coucher pour se remettre de la veille. Bouc ne s'y opposa pas étant donné qu'il n'y avait rien �  faire.

Il ne se réveilla tard le soir, mangea et offrit de prendre le premier tour de garde étant donné qu'il avait dormit toute la nuit. Bientôt, il se retrouva seule sur le pont du navire.  

L'immobilité du navire ennuyait Bike. La vie marine commençait �   lui plaire. Appuyé contre le bastingage, il semblait perdu dans sa contemplation des flots

-Je n'avais jamais réalisé ... Un bateau... Une liberté totale...
Son ami arriva
-Oh ! Sa va ?
-Ah ! Euh oui, sa va. je suis fatigué.
-Ouai, c'est normal. On dort pas bien dans un bateau.
-C'est pas le bateau le problème. Je ne sais pas. Depuis que j'ai embarqué, je suis paumé.

Il partit se coucher
   

Ptisam m'onta sur le pont et vi Feryoto
-Bon aller Feryoto va te coucher je prend le tour de garde!
Ptisam admira les étoiles et se dit:
"Cette nuit et magnifique!"  

SilverFalcon s'était levé lui aussi et croisa Feryoto dans les couloirs,éclairés par une faible lumière. il lui fit savoir qu'il allait prendre le tour de garde mais Feryoto repondit que Ptisam l'avait déj�  fait. SilverFalcon haussa les épaules en se disant "Je le trouve un peu trop bizarre celui l� ! Son attitude fait certes de lui un bon marin mais trop distants! Enfin bon! Allons voir Ptisam!"Et il continua à marcher lentement. Puis, il croisa Bike et l'invita à prendre un verre :

-Salut l'ami! Tu a l'air bizarre? C'est la mer! Ca m'a fait ca aussi la premiere fois! C'est tellement enivrant! Ca donne envie de faire ca toute sa vie! C'est d'ailleurs mes intentions! Et toi? Allons donc parler de ca sous le faux pont! Nous ouvrirons un tonneau de rhum!  

Bike tourna légerement la tête

Ok sa marche ! J'ai une de  ses soifs !

Il s'éloigna en compagnie de SilverFalcon et de Feryoto  

Ptisam qui admirait les étoiles se dit:
-C'est une nuit magnifique mais bon tout le monde dort.
Ptisam entendit du bruit sous le faux pont, il alla voir avec son couteau
-Qui est là?
Il n'entendit rien a part des personnes qui rigolait
Qui est là?
Ptisam descendit les marche et vit SilverFalcon, Bike et Feryoto autour d'une table en train de boire.
- Puis-je me joindre à vous?  

-Eh bien... tu devrait normalement faire la garde mais étant donné que la seule attaque que nous risquons de recevoir provienne de termites, je crois bien que tu peut te joindre �  nous. répondit Feryoto

Tous les marins rièrent et s'amusèrent une bonne partie de la nuit.

Le lendemain, Feryoto se leva et vint se joindre �  l'équipage qui mangeait leur nourriture. Il regarda ce que le coq lui tendait avec dégout.
-Je part �  la chasse. Qui m'accompagne? demanda-t-il.     

SilverFalcon qui mangeait leva le doigt et déglutit avant de parler :

-Objection mon cher ! Le capitaine nous a dis de veiller au grain! Je ne crois pas que ca soit une bonne idée de partir ! Allons plutôt voir si il n'y a pas quelques tortues de mer ou des poissons au bord de la mer! Savez vous nager? Personelement je ne me débrouille pas mal pour un marin!

Et, sur ces paroles, il enleva le morceau de toile qui lui servait d'habit du matin et torse nu, il enleva ses chaussures, attendant que quelqu'un le rejoigne.  

Allez piquer une tête j'ai pas fini mon tour de garde
Ptisam pris une chaise et s'assit dessus et regarda le ciel puis le bateau puis il monta la garde. Il entendi tous d'un coup un bruit
Qui va l� ? ah non ça doit étre SilverFalcon qui doit étre en train de faire du bruit avec l'eau
Puis il se r'assit.
Bon ya pas un ti chiffon la que j'astique mon pti couteau parce qu'il est vraiment sale.
Il trouva un chiffon sur un tonneau, il le pris et astiqua son couteau.
Bon quand est-ce que le capitaine arrive la ça fait longtemps qu'i est pas revenu!  

Bike appela Silver Falcon

Attendez-moi ! J'arrive ! Je ne suis pas mauvais en natation !

Il se tut une minute, avant de reprendre

En y réfléchissant, je n'ai jamais vu de marin qui ne sache pas nager

Il se mit torse nu, se mit debout sur le bastingage et plongea

Alors ? Vous venez ?  

Feryoto s'approcha du bastingage
-Veiller au grain? C'est pas toi qui te soulait hier soir?lança-t-il à silverfalcon.

Il ne lui laissa pas le temps de répondre. Il sauta dans l'eau et se mit à la recherche de quelque choise de commestible qui serait meilleure que se que le coq préparait, non sans arroser Bike et silverfalcon au passage. Bientôt, les 3 compagnons commençèrent une partie de chasse plus au moins sérieuse.    

Bike coula Feryoto pour se venger de l'arosage subit

Et si on fesait un petit concours ? Celui qui trouve le plus de poisson ou autre trucs �  bouffer gagne une ration suplémentaire de rhum !  

Ptisam regardait les autre nageait et montait la garde dit aux autre:
Bon ya pas quelqu'un qui pourrait prendre mon tour de garde juste une heure ou deux? parce que j'ai envie d'aller faire un tour sur cette terre qui m'est inconnu
Ptisam regarda les autres qui ne faisaient même pas attention a ce qu'il disait.
Bon ok  je vais partir une heure ou deux et pis si vous faites pas votre tour de garde tant pis pour vous!!
Ptisam parti dans cette forêt qui lui est inconnu. Il avait pris un peu d'encre et une plume et un calpin pour noter se qu'il trouverai sur cette terre.
Tient un bout de tissus...
Ptisam le rammassa, le pris sur soit et continua son chemin....  

Bike regarda Ptisam d'éloigner

Et encore un qui va se faire engueuler par le capitaine !

Il crut voir quelque chose briller au fond de l'eau. Il plongea et remonta avec une poignée de pièces d'or

Hé ! Regardez ce que j'ai trouvé ! Il y en a plein en bas !  

-Ne parle pas trop fort lui dit Feryoto.
-Pourquoi? demanda Bike
-Tu voudrait séparer se butin avec tous les autres marins sur le navire? Et en plus, si sa vient aux oreil du capitaine, il revendiquera l'or.

Feryot s'approcha, plongea et remonta.

-Il y a une véritable fortune dit-il �  silverfalcon qui venait de s'approcher. En le divisant �  trois, on aurait assé d'argent pour s'acheter chacun un manowar ou bien passer le reste de nos jours sans travailler.

Silverfalcon plongea afin de voir par lui même.

-Il y a aussi des bigeous dit-il en remontent �  la surface.

-Qu'est-ce que vous diriez de le remonter subtilement �  bord? La plupart des marins dorment encore et nous pourrions facilement passer inaperçu. Nous le diviserons ensuit sur le navire. dit Feryoto.    

Bike écouta Feryoto

-Objection. Le capitaine fouille toujours le navire pour savoir si on a volé quelque chose.On a aucune chance.  

Maitre du jeu

   Le second qui parcourait le pont, vit Bike à la mer.
Sort de l'eau toi! on a besoin de toi ici. Et au travail tout le monde tas de faigneant.
Les deux scientifiques parcouraient le pont. Ils regardaient avec admiration les voiles gonflées au vent. Ils discutèrent un moment quand la voix puissante du second retentit.
Gabiers!Le vent est de largue, carguez les voiles hautes. la petit perruche et la perruche ainsi que le cacatois. Vite. Nous devrions nous mettre de prés le mat d'artimont �  trop de quête. la biture indique seulemnt quinze brasses, il vaut mieux viré de bord lof pour lof
-Proposition accepté... on devrai y arrivé répondu le quartier de timonier.


ps (hrp) si le vocabulaire vous échappe c'est normal et rp demander le �  vos matelot et autre personnage du navire que j'incarne
   

-L'or est dans un coffre, dit Feryoto. Il faut le remonter a bord.
-Non le second on vera.
-Regardez, dit silverfalcon. Le capitaine a fait ouvrir les sabords pour aérer la cale. On peut faire passer le coffre par l�  et le récupérer plus tard.
-Bonne idée silver. UNE ÉCHELLE!!! cria Feryoto

Aussitôt, une échelle de corde fut lancer par dessus bord. Silverfalcon récupéra le coffre et Bike et Feryoto le hissèrent jusqu'�  le hauteur des sabords. L� , il le firent passer �  l'intérieur du navire et les 3 jeunes marins montèrent sur le pont, comme si de rien n'était. Personne n'avait vu la courte manoeuvre qui avait demandé un effort physique énorme. Bike, Feryoto et silverfalcon firent se que le second leur demanda et tentèrent de ne pas laisser paraître leur épuisement.  

Pendant la nuit, Bike montait la garde. Bien qu'il fut épuisé, il n'avait pas la moindre envie de dormir. Il dessendit dans la calle se chercher un petit fût de rhum. Tout en buvant, il regardai le large d'un regard perdu. Il pensait �  voix haute

-Un coffre rempli d'or... il suffirait de déserter avec pour s'acheter un navire...Oui... Pour être pourchassé par les autorités ?

Il disserta ainsi sur les avantages et les inconvénients d'une désertion pendant près d'une heur, lorsque Feryoto vint prendre son tour de garde. Bike resta sur le pont �  parler de la découverte de la veille avec Feryoto, lorsqu'il décida finalement d'aller dormir.  

Le reste de la nuit se déroula sans ennuis. Lorsque la soleil se leva et que l'équipage se réunit sur le pont pour manger, Feryoto s'adressa �  George Bouc qui mangeait près de lui.

-Dit. Qu'est-ce qu'on est supposé de faire aujourd'hui? Parce que franchemment, j'ai apsolument rien comprit de se que le second �  dit hier.  

Un marin sur le tillac entendit Feyroto. Il s'approcha de lui s'aassit sur le bastingage
- Alors tu n'as rien compri?? Tu es nouveau dans la mrinne je suposse...
C'est simpleil a dit que la mat d'artimon penché de trop et que pour évité qu'il ne se détériorie il fallait que nous nous metions au pré du vent. Il regarda son interlocuteur qui esmblait perplexe...
Pour faire simple: bout au vent, pré, large grand large et vent arrière sont des allurees. C'est des termes qui indique par où vient le vent...

- Comment-appeles tu l'ami? Moi Sam Woodsin mais on me surnommes fouineur... et toi?  

-Feiri l'otto. Mais appelle moi Feryoto. Je déteste mon vrai prénom. C'est domage, je croiyais que l'on allait enfin bouger de ce trou mais a se que tu vient de me dire, c'est pas le cas. Je me demande bien se que nous faisons ici d'ailleur. Tu as entendu parlé des résultat cette expédition que le capitaine a mené sur l'île hier?  

- Tu ne m'as pas compri l'ami. Nous allons justment bougé, le fond est trop peu profond pour se risuqer ici. On va si je ne me trompe, faire un virment lof pour lof et donc direction le nord...
l'Excursoion avec le capitaine? Rien entendu dessus, esperson qu'il ne leur soit rien arrivé.    

-A d'acord je commence �  s'aisir!!! Mais se ne serait pas plus simple de simplement dire que nous quittons vers le nord car le fond est trop peu profond que d'utiliser se charabia? Peut importe, je ne veut pas savoir. Et est-ce que nous quittons l'île ou bien nous reston �  proximité de la terre?  

je ne peux pas te dire mais je pense que on partira pas tout de suite...
Esperons que cela soit avant la fin de semaine.

L'homme se mit debout sur le bastingage. Il regarda le ciel et ses teintes sombres argentées ou noir profond. La lune se reflété sur l'eau. Il respira l'air doux et dit
-Regarde ce paysage l'ami, il n'y a qu'en mer que tu vois cela!!
Et pour le "charabia" quand tu a saise le vocabulaire tu verras que c'est plus simple que de parler comme les terriens.    

Bike écoutait la conversasion

- Si le fond n'est pas assez profond, pourquoi avons-nous mouillé ici ? Je pense qu'il aurait été plus simple de jeter l'ancre directement au nord, non ? Enfin, ce petit déplacement rompra la monotonie de l'expédition. Je serais quand même plus entousiaste si le capitaine était revenu.

Il s'appuya sur le bastingage à côté de Sam Woodsin

- Dis -moi, pourquoi te surnome - t on le "fouineur" ?    

Tu sais l'ami, quand on jette l'ancre le navire ne devient pas totalement immobil. Les courants le déplacent un peu... c'est pour cela que nous nous retrouvons en dessus d'un recif.
On mle surnommes le "fouineur" �  ma facon de me meler de truc qui me regarde pas. CEla m'a tout de même sauvé la vie et risuqe celle le plus d'un fois.    

Bike regardait le large

Fait tout de même attention �  ne pas te mêler des affaires de tout le monde. Je pense que certains ne l'apprécierait certainement pas. Et sa pourrait mal se terminer pour toi...  

[/u][/b]
-Tu as raison je fais attention après cette tentative d'assassinat sur ma personne, ce nom n'est plus qu'une abitude plus qu'une réalité.

Deux jours plus tard le capitaine revint de l'île. Il était assez souriant, il donna un tonneau de rhum �  l'équipage. Et ordonna le soir de lever l'ancre  

Feryoto était assit sur le pont, les yeux grand ouvert. Il n'arrivait pas �  dormir. Chaque fois qu'il fermait l'oeil, il voyait des images horrible de se qui c'était passer la nuit de sont 13e anniversaire. Nuit qui c'était soldé par la mort de son père. Son attention fut attiré par un mouvement près de la réserve. Surment un marin qui veut une plus grande ration de rhum pensa-t-il.

Il dessendu �  la cale et sans faire de bruit, il sortit son sabre de dessous sa paillasse. Il retourna sur le pont, tira la sabre de son foureau et l'affila jusqu'�  ce que la fatique le submerge et qu'il n'est d'autres choit que d'aller se coucher.

Le lendemain matin. très tôt, trop tôt même, le capitaine cria:

-Réveillez-vous bande de fainéent. Tout le monde sur le pont.
-Je me serais bien passer de son retour lança Feryoto �  Bike alors qu'il enfilait ces pantalon.    

Alors que tous les marin étaient alignés sur le pont, le capitaine donna ces ordres qui consistaient en gros a faire le ménage du navire.

-Je veux que tous brille. dit-il avant de remmettre le comandement au second et de s'enfermer dans sa cabine. Feryoto fut asigné au nettoyage de la cale avec Bike et George. Il fut soulagé de constaté ceci car il en profita pour cacher son trésor dans un recoins où personne ne se rendait jamais, s'assurant ainsi que personne ne le trouverait.

-Le capitaine ne sait plus quoi nous faire faire. dit George alors qu'il revenait avec un seaut d'eau. Le navire est en excellente condition. continua-t-il.   

- Erreur l'ami Dit un marin, avec un seul bras. Un navire sa se néttois toujours...

Deux jours plus tard, ont leva l'ancre, ils étaient repartis...
Le voyage fut sans embuche �  par SilerFalcon que l'on surpis jouer au jeu de hazard. Comme il était mousse et qu'il ne savais pas que le jeu était interdi �  bord, il ne fut pas pendu, mais juste chatié de dix coups de fouet. qeu Bike étant maitre d'équipage fut oubligé de donner, malgrè son premier refus.  

hrp:sans vouloir te vexer, je ne suit plus très bien qui est qui mais bon pas grave. (je parle des postes a bord du navire)


rp: Un matin, alors que le capitaine avait donné congé �  la plupart des membres d'équipage étant donné que tous allait très bien, Feryoto était assit sur le pont et regardait les mouettes se battayer pour les restes de la nourriture infecte du cuistot. Cela lui donna une idée. Il alla chercher son sabre et dit au reste de l'équipage qui s'emmerdait autant que lui:

-Quelqu'un veut s'entrainer au maniment du sabre avec moi?  

le matelot de Feryoto entendit sa demande. Il se leva et alla prendre deux sabres et en donna un �  son ami
-Tu veux apprednre �  te battre, l'ami. Alors suis mes conseils. Déj�  la garde comme cela Il lui expliqua plusieur positiond e combat et comment bien parer quand le second passa et regarda. Puis gentiment proposa un combat contre Feryotot pour qu'il puisse mettre ne pratqiue ce qu'il avait appris.  

Le second donna quelque conseil a Feryoto. Il se contentait de parer les attaque de ce dernier et parfois, de répliquer. Il perfectionna un peu les position de Feryoto avant de retourner �  son travail.

Les jours qui suivirent, le navire profita de vent favorable et d'une mère calme se qui veut dire que les marins eurent beaucoup de temps libre. Le capitaine interdisant toujours les jeu de hasard �  brod, Feryoto paça tous son temps �  perfectionner sa technique au manniment du sabre. Bientôt, il put facilement dominer son matelot, mais jamais il ne pu avoir les dessus sur le second. Il se fixa donc comme objectif, de pouvoire battre le second avant la fin du voyage.

Un jour, alors que la fin de sont attraînement avec le second arrivait, il lui demanda:
-Quel est le but de cette expédition au juste?  

Le second souria et pointa du doigt une île.
-C'est ca notre but!
Capitaine, nous arrivons!! toute voiles dehors! Cria t il; il donna un coup de pied au cul du matelot pour qu'il aille travailler. A ces phrases, les deux chercheurs sortient de la salle des compas. Tout content il allèrent sur la gaillarda avnt pour regarder l'île qui grandissait devant eux.
Arpès deux heures de voyage, le navire jeta l'ancre. Le capitaine demanda dix hommes courageux pour aller explorer l'île  

Feryoto s'offrit pour aller explorer l'île.

-Tu crois que tu es courageux gamins? He bien t'as tor.
-Sans vouloir vous vexer capitaine, je doute fort qu'il y est de très grand danger sur cette île.
-Ouais. T'as peut être raison ptit. dit le capitaine en reniflant bruyament.    

Une chaloup fut mit �  l'eau. et Feryotot avec le second, deux hommes de confiance et six autre bon marins courageux et fort montèrent dedans. Ils pagaièrent jusqu'�  l'île. L�  tout le monde mit pied �  terre pour la première fois depuis plus de deux semaines. Feryotot regarda le spectacle de l'île
-Merveilleux j'ai bien fait de m'engager.
- On ne vois que cela aux caraibes!Lui dit un marin e tlui tapant dans le dos
- Déchargeons un peu le matériel les gars!
Feryoto et l'und e smarins travail pas vraiment, ils regardaient la coté.
Un sable chaud et fin, humidifié par de légers allez et venu de la mer. Qui reparté dans un couvert d'écume. Devant eux, une falaise d'aux moins cinq metrès, de pierre éscarpés et grise. Juste au dessus, des arbres et autre plantes exotiques, dont certaine tombait le lond de la falaise. Encore derrière ils pouvaient voir la cîme du point culminant de l'île, qui percait un ciel d'un bleu pur. Sur leur gauche un petit passage arbute qui montait la falaise.
Mais Feryoto regardait la jungle, où il voyait quelque oiseaux de toute les couleurs les observer dans leur impénétrable forterreste de vert et de de jaune-marron.
   

Feryoto resta un moment ébahis devant le paysage �  couper le souffle. Lorsqu'il se décida enfin �  aller aider l'équipage, il réalisa que tout avait été débarqué.

-10 minutes pour vous préparer et après on part. cria le capitaine.

Feryoto réajusta son sabre qui pendait �  sa ceinture et s'approcha des marin qui se préparait une réserve d'eau et de nourritutre. Il fit comme eux mais lorsqu'il se releva pour s'éloigner, il réalisa qu'une des caisse était remplit de pistolet �  silex. Il vit un peut plus loin quelque barils de poudre. Feryoto s'approcha du second et lui demanda:

-Pourquoi avoir apporter des arme �  feu sur l'île? Après tout, l'affiche disait bien que c'était une excursion sans danger.  

Bike regardait l'expédition partir. En absence du capitaine et du second, c'était lui qui prenait le commandement du navire.

-Eh bien, on va encore rester cloué ici pendant une semaine. Peut-être même plus.

Il regarda une nouvelle fois l'île, lorsqu'il vit une fumée blanche s'élever du milieu de la jungle.

-Ce doit être l'expédition... Mais j'aimerai autant en être sûr.

Plusieurs marins avaient remarqué cette fumée. Bike donna l'ordre d'aller vérifier sa provenance, et d'en avertir le capitaine en cas de besoin.
   

Après de longue marche dans la jungle. Le groupe fit une pause. loe jeune marin Feryotot fut envoyé chercher ed quoi faire du feu par le second. Sa recherche fut longu car la foret avait subit une pluie ces derniers temps et toutes les branches étaient humide. Il se perdi, plein de desespoir après une heure de recherche il s'assit pour pleurer quand il entendit la voix du second et de son matelot.
- C'est pour quand?
- On peut la faire maintenant mais attention aux capitaines et son matelot ils sont de bon guerrier.
- Tous sont de notre coté?
- Dans l'éxpedition tous, sauf le capitaine son matelot et le patit boiteux. Pour le mousse il ne sais rien.
- Vaut mieux pour lui ou je le tue.  

SilverFalcon qui avait accompagnes les mutins sortit d'un fourré juste devant Feryoto. Il avait l'air affole. Il saisit Feryoto et s'appreta a parler lorsquil entendit le second. Il l'ammena plus loin et chuchota :

-Eh l'ami! Sors de ta stupeur! Il va se passer quelquchose d'étrange!! Le second et le bosco veulent faire mouille au captain! me regarde pas comme ca! Ils veulent se mutiner quoi!! Les armes ne servent pas qu'a tuer des sangliers!!
J'ai un plan , ou plutot deux : soit on reste avec eux, et alors, l'ami un seul mot me vient a l'esprit : Pirates!
Ou nous aidons le capitaine et alors la fortune nous sourira enfin! Alors? Libre ou riche?  

Après plusieurs jours, les hommes que Bike avait envoyés n'étaient pas revenus. Il fit alors descendre une chaloupe et se dirigea vers l'île. Après une heure de recherche, il trouva le campement de l'expédition. Il trouva SilverFalcon et Feryoto.

-Autant ne pas me montrer tout de suite... Je ne sais pas pourquoi mais je sens qu'ils vont dire quelque chose d'important.

Il écouta  la conversation. Il fut surpris quelques instants. Il aurait pu dénoncer tout le monde au capitaine, mais il n'en avait aucune envie

-Eh ! Je peux me joindre à vous ?  

Les deux hommes entendirent la phrase de Bike. L'un disparu dans la jungle aride et l'autre sorti son coutela et sa lame. Il s'avanca lentement.
-Qui est là? pas de blague sinon je vous tues l'un après l'autre.

Il s'avanca, il était nerveux. Une mouche vint se pousser sur sa barbe mal rasé. D'un mouvement de tête il la fit s'envoler, son foulard au coup le seré, la sueur coulait sur son front. Mais il avancait sur de lui, il pouvait se les faire sans doute. Quand la voix du second l'appela il se retourna et partit  

Feryoto et SilverFalcon furent surpris de voir Bike sortir des fougères.

-Que fais-tu l�  ? ,demanda Feryoto. Le capitaine t'avait dit de rester sur le navire !

-Je ne pense pas que le capitaine le soit encore dans 1 heure.

Il se tourna vers SilverFalcon

-J'ai écouté ton petit résonnement, et j'ai trouvé LA solution :
On peut, comme tu l'a dit, aider le capitaine ou les mutins. Combat dans lequel nous aurions des chances de mourir. Ceci dit, on peut aussi s'éclipser avec le navire, sur lequel il y a déj�  un équipage, et dans lequel est caché un coffre rempli d'or. Comme ça, la réponse �  ta question "Libre ou riche", je réponds "Libre ET riche". Alors, qu'en pensez-vous ?  

-Tu semble oublier une chose Bike. Nous n'avons n'y la savoir n'y l'expérience pour commander un navire. Nous ne savons même pas où nous sommes. Je doute fort que l'équipage nous fasse confiance. Notre bu premier est de rester en vie et de pouvoir garder l'or. Est-ce que tu es venu seul. demanda-t-il à Bike  

-Non, j'ai entendu des gens pas très loin, mais ils sont partis. Et on ne peut peut-être pas commander un navire, mais l'équipage nous emmènera si on désigne un capitaine et si on les paye.  

-Et pourquoi ne pas simplement prévenir le capitaine.... On vera après comment sa tourne. On lui dit qu'il se prépare une mutinerie et on le laisse se démerder avec ça. Si le second et ses hommes prennent l'avantage,  on prend leur partit et on les aide. De cette manière, on reste en vie et l'or est toujours �  porté de main. Toutefois, si le capitaine réussit �  les dégouer, on prend son partit et on tombe dans ses bonnes grâces. Et l� , on se fait déposer où on veut avec l'or et �  nous la belle vie.  

-Tu semble oublier que la quasi-totalité de l'équipage est avec les mutins, exepté ceux qui sont �  bords du navire. Avertir le capitaine reviendrait �  se condamner �  mort.  

SilverFalcon, pensif, s'exclama soudain :

-Je sais! Aidons les mutins! Ils accepteront n'importe quelle aide. Ensuite, une fois a bord et en securite, declenchont une seconde mutinerie près de la cote, la bataille qui s'ensuivera au bord du navire nous permettera de s'enfuir dans une barque avec l'or! Libre et riche! Sinon, notre porte de sortie est notre age! Nous sommes plus jeunes que l'équipage. Voler l'or pendant qu'il seront ivres morts dans une taverne. Ils voudront garder jalousement l'or. Les armes sont simples a se procurer dans une ile pirate, qui est la premiere destination des mutins apres un coup reussi, nous n'aurions qu'a liquider les poivrots qui garderont le coffre. Alors?  

-Il faudrait déj�  que l'équipage nous fasse confiance. et si on part avec un canot, on va aller où ? On va dériver pendant je ne sais combien de temps ave cun minimum de provisions. Je vous l'ai dit : si on paye l'équipage pour nous emmener �  terre en leur disant que le capitaine et toute l'"expédition" sont morts tué par une mystérieuse épidémie. Et après, on se paye un navire avec l'or ! Et dans ce cas, on aurait pas �  participer aux mutineries dans lesquelles ont risquerait surement de mourir ! L'équipage ne dira pas non. La plupart veulent rentrer chez eux.  

-Et tu crois qu'il vont nous donner l'argent comme ca!!
Ils vont nous liquider a peine apres que nous aurions dit notre volonte!!
Non, mon plan est tres bien! Nous n'aurions qu'a declencher la mutinerie pres des cotes!!! Le voyage aura tendu l'equipage mutin qui se rebellera a la moindre attaque. Pendant ce temps, nous n'aurions qu'a se servir et a partir directement aux cotes, une fortune immense a nos cotes!  

-Oui, c'est faisable. A condition que les mutins nous fassent confiance. A ce que j'ai cru entendre, il ne tte porte pas trop dans leur coeur Feryoto. Ils ont aussi du mal �  me voir depuis que je sui maître d'équipage.  

-Toi aussi tu semble oublier une chose Bike. L'équipage ne sait pas qu'il y a un coffre d'or dans le bateaux. D'ailleur, plus j'y pense, plus je croit que c'était idiot de le laisser sans surveillance... Mais c'est sans importance. Je croit que le plus simple, c'est d'aider le seconds. Une fois qu'ils aurons prit le bateau, ils se dirigeront vers la terre. Et l� , on divise l'or et on le cache dans nos effets personnels. On quitte le bateu en disant qu'on va boire dans une taverne et on ne revient pas le lendemain. Si ils nous chercher dans la ville, se que je doute fort, on s'embarque sur un navire marchand et on fil en douce.  

-Ou alors on vole le navire marchand... Mais le début de ton idée est faisable. Reste �  convaincre les mutins...  

-Une fois �  terre, on verra se qu'on fait. Bon, si on est tous d'accord, je vait aller voir le second. D'acord?  

-Je ne vois pas d'objection!

SilverFalcon parraisait comme même peu assuré, et marmonna des choses incomprehensibles.  

Bike ne paraissait pas à son aise non plus.

-Je suis aussi d'accord. Mais si ça rate on est mal barré.
   

-Très bien! dit Feryoto en partant par le chemin qu'avait utilisé le second. Étant donné qu'il était perdu, il esspérait que ce sentier le conduirait au campement. Bike et silverfalcon le suivirent sans dire un mot. Lorsque le campement fut en vue, Feryoto dit �  Bike:

-N'oubli pas que tu est supposer être sur le bateau alors on te posera des questions. Tante d'inventer une excuse valabe...

Rendu au campement, feryoto se dirigea seul vers la tente du second. Il entra sans même prévenir et se planta devant celui qui préparait la mutinerie. Si ce dernier fut choquer par le manque de respect du jeune marin, il n'en laissa rien paraître.

-Nous voulons vous joindre �  vous. dit Feryoto sur un ton qui n'autorisait pas la réplique. Moi, Silver et Bike. continua-t-il.

Le second parut ne pas comprendre tout de suite. Puis, après quelques secondes, son visage s'éclaira:

-Ha! c'était donc vous qui étaient dans la forêt tantôt.  

Bike intervint rapidement

-Oui, c'était nous. Mais tu nous a pas dit si on pouvait venir ou pas...