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île précolombienne => Grenade => Discussion démarrée par: Tal le 04 Juillet 2007 à 20:02:26



Titre: La Taverne de Grenade
Posté par: Tal le 04 Juillet 2007 à 20:02:26
Puisqu'il ne savait pas où mettre son argent,le Capitaine Glen Wallacce décida d'acheter un bâtiment neuf et de le transformer en taverne,l�  où il est né...Grenade.

Il était l� ,tout seul,dans sa taverne et attendait que des clients arrivent et puisque c'était aujourd'hui la journée d'ouverture,lui et ses employés s'attendait �  voir beaucoup de personnes.  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: le_zigouilleur le 04 Juillet 2007 à 20:04:24
Un homme entra a ce moment . La taverne était vide . Il se dirigea vers son tavernier .
-Bien le bonjour ! Je suis le capitaine Joe ! Je désirais un bouteille de whisky !  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Tal le 04 Juillet 2007 à 20:18:21
Puisqu'il était content de voir son premioer client ,Glen décida d'aller lui parler:
-Alors... Il est bon ce Wisky??.Moi je suis le Capitaine Glen Wallacce et bienvenue dans ma taverne toute neuve.  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: le_zigouilleur le 04 Juillet 2007 à 20:23:55
Joe lui tendit la main .
-Enchanté ! Il est exellent ce whisky !
Joe jeta un regard a la taverne .
-trés belle taverne !  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Elisa le 04 Juillet 2007 à 20:26:16
Carole-Anne poussa la porte, a chaque pas qu'elle fessai, ses deux épée sonnai en se cognant l'une contre l'autre et au boucle de fer qui les soutenaient ... Elle alla s'installer �  une table au milieu de la taverne, elle prit une chaise et s'asséa, la jeune fille regardai tout ce qui se passai au comptoir ...

- Bien l'bonjour Glen... Et comment va depuis?...

La jeune fille au dread croisa ses jambe, elle portai un pantalon bouffant et une chemise assez ... "légère"...

- Puis je avoir un verre de rhum?...

- Le mot magique...

- S'il te plaid hé hé... Je suis une pirate que veux tu...
 


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: le_zigouilleur le 04 Juillet 2007 à 20:27:51
Joe se tourna vers la nouvelle venue .
-Tien , mais c'est vous , Elisa ?! Comment allez vous depuis notre dernière rencontre ?  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Tal le 04 Juillet 2007 à 20:36:22
-Élisa?? mais de quoi parler vous mon cher ami..ce n'est guère Élisa mais son amie Carol-Anne...Alors Carol-Anne comment trouver vous ma taverne que je me suis acheter, tout  en se rapprochant d'elle avec un verre de rhum ,pour elle ,�  la main??  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Tal le 04 Juillet 2007 à 21:24:48
-Dite moi Carol-Anne ca va ?? on dirait que vous etes dans la lune.  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Elisa le 04 Juillet 2007 à 21:35:53
- hein!!! heu!!! Ouai quoi?!!! A oui Glen! Heu... oui oui... c'est une très très belle taverne... Je le comfirme... Heum... Oui j'étais en train de penser �  Elisa... Quand je suis rentrée et que l'on ma appeler Elisa... Je ne puis m'empêcher de penser �  cette femme on étai très proche et si vous connaissez sa légende vous comprendriez pourquoi...

Carole-Anne poussa un soupire puis elle prit sa chope de rhum...

- On me confond beaucoup avec Elisa... La seule différence entre nous, c'était ses cheveux argenté et puis elle était beaucoup plus belle que moi...

La jeune fille qui regarda par la fenêtre se tourna enfin vers son ami...

- Ce n'est pas facile de faire le deuil de quelqu'un qu'on aime... Enfin! Parlons d'autre chose que cela sinon je vais finir par craquer!  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Capitaine le 04 Juillet 2007 à 21:48:53
En passant devant l'enseigne du nouvel établissement, Agonie la Belle se sentit attiré par l'ambiance détendue et calme qui y régnait. Il entra et vit qu'il n'y avait pas foule. Le français était nus pieds, il portait seulement une chemise blanche avec un veston noir, un vieux pantalon de toile sombre remonté aux niveau des genoux (Agonie était arrivé en chaloupe et avait retiré des bottes pour éviter de les mouiller), et arborait un nouveau pendentif �  l'oreille gauche. Il ne portait aucune arme, �  la place de son sabre il tenait une guitare de fabrication simple.
-Bien le bonjour, messieurs-dames, lanca-til.
Il reconnut de suite Carolle-Anne, et alla à sa rencontre en s'écriant:
-Caroll-ann, ma chère, le modne est petit ! Quel bon vent vous amène à Grenade ?!  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Elisa le 04 Juillet 2007 à 21:55:54
Hé!!! Agonie!!! Mais comment va mon cher!!! Oui effectivement le monde en petit... Hé hé... Je suis revenue pour revoir mes parents tout simplement... Et vous mon cher... Laisser moi payer votre boisson j'insiste hé hé...

Carole-Anne qui avait prit une mine mélancolique reprit ses esprit en voyant "Agonie la Belle" rentrer dans la taverne, désarmer comme un vent pacifique qui venait bénir les lieux... Sa guitare �  la main du capitaine remonta le morale de la jeune femme...

- Vous comptez nous chantonner un petit air marin mon ami?...  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Tal le 04 Juillet 2007 à 22:11:18
Mais quelle bonne idées avez-vous dont...mais je ne crois pas qu'on c,est déj�  renconter mon cher ami..moi je suis le Capitaine Glen Wallacce et bienvenue dans ma taverne tres cher...Alors ..vous nous jouer une petite chanson??  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: leboboss le 05 Juillet 2007 à 14:39:40
Un grand homme portant un tricorne , entra dans la taverne . Il était précedé par son second . Il se dirigea vers le tavernier .
-Salut , je voudrez un whisky et une bouteille de rhum pour mon second .  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Bike le 05 Juillet 2007 à 14:47:02
La porte s'ouvrit brusquement et trois hommes entrèrent. Ils étaient trempés. Celui du milieu, Bike, était vêtu étrangement. Il portait un pantalon moulant , lui permettant de se déplacer rapidement et agilement. Des étuits �  poignards étaient situés sur ses molets. Il portait également un débardeur noir, moulant également. Dans son dos était acroché un grand sabre asiatique. Des protections étaient visible sur ses avants-bras

-Bien le bonjour, messieurs, dames. Il s'est mis �  pleuvoir dehors et on est venu s'abriter.

Il regarda les clients un à un, puis s'adressa au petit groupe qui venait de se former.

-Je suis le capitaine Bike, et voici mon second, Jack, et le bosco, Aldrick.
   


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Capitaine le 05 Juillet 2007 à 15:28:59
-Enchanté, monsieur Wallace et messieurs Bike, Jack et Aldrick. Je vous jouerai bien volontier un morceau, mais pas la gorge sèche!
Agonie commanda un tafia, et en s'asseyant sur une chaise entamma quelques accords pour se faire les doigts, avant de commencer un air
-Ca s'appelle Cheveaux sauvages, et je chante comme une casserolle alors je vais simplement vous jouer le thème.
Il baissa le tête, et fit danser ses doigts sur les cordes. C'était une petite balade simple, agréable qui égailla un peu plus la taverne.
   


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Bike le 07 Juillet 2007 à 17:33:55
Bike écouta attentivement l'air joué par Capitaine. Une fois celui-ci finit, il commanda un verre de rhum et l'offrit �  Capitaine

-Très joli, l'ami. Cela mérrite bien que je vous paye un verre...  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Elisa le 07 Juillet 2007 à 20:06:32
- Ouais! Bravo... Cela remonte bien notre morale... Franchement si on te vole ton navire... Comme on l'a fais avec le mien... Rhaaa... Si je tenais la personne qui a fais ça... Enfin tu pourrais toujours te recycler dans la chanson hé hé...

Carole-Anne avait toujours son allure détendue sur sa chaise, elle regarda de temps en temps le plafond, soutenu de par de grosse poutre de chaîne ardent. Elle sirotai son rhum délicatement profitant de chaque gorgée sucrée, la journée se terminai, le soleil laissa enfin sa place �  la fraîcheur et l'obscurité de la nuit...  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Capitaine le 07 Février 2009 à 17:59:34
Deux hommes vêtus de redingotes chamarées et de linges blancs éclatants entrèrent. Des allures de bourgeois pour des têtes de gibiers de potences auraient pu penser n'importe quel quidam au temps où l'activité pirate était �  son apogée. Malgré le fusil que le plus jeune en apparence portait en bandoullière �  l'épaule, ces deux personnes ne semblaient pas faire partie de cette turbulente communauté qui constituait jadis la majeure partie de la clientèle de cette taverne.
-Hé, mais je suis déjà venu ici! fit celui aux cheveux gris avec de la nostalgie dans la voix. Ca fait un sacré bout de temps, même...
Des images défilèrent devant ces yeux: une jeune aventurière, quelques marins louches, des bouteilles d'alcool...Qu'étaient-ils devenus, ces forbans ? Morts, l'arme �  la main, au cours d'un abordage ? Noyés ? Séchés, au bout d'une corde, après avoir tenté d'échapper �  la Royal Navy et aux chasseurs de pirates, comme de nombreux autres très récemment ? Ou couraient-ils encore, vivant dans l'angoisse de la potence et la joie du défi ?
Agonie la Belle chassa ses pensées amères et alla s'installer �  une table avec son comparse. Il commanda �  une jolie serveuse de quoi manger, l'autre de quoi boire. Ce dernier, Pulovsky, reluqua de façon très concentrée la serveuse, et retourna �  son compagnon, qui poussa un  long soupir.
-Qu'est-ce qu'il ya qui va pas ? lui demanda t'il.
-Tout va très bien, justement, répondit l'autre avec un rictus. Et j'ai comme l'impression qu'on dit au revoir aux ennuis une bonne fois pour toutes.
-Comment ça ? fit l'autre.
-Crois-en ma longue expériences des galères et de la cavale, cette fois on est �  l'abri. Pour deux raisons.
Agonie exhiba son index et son majeur.
-La première (il plia l'index): on nous croit morts et enterrés. La deuxième (il plia le majeur): on a ça.
Il sortit d'une poche interieure un rouleau de parchemin brun, aux bords cacinés. Pulovsky hocha lentement la tête.
-C'est ce rouleau dont tu m'as parlé l'autre jour, en cellule.
-Oui, dit Agonie la Belle. Ca pourrait être la source de mes récentes emmerdes, mais ça pourrait tout aussi bien être une opportunité.
-Une opportunité ? Tu peux développer, s'il te plait ? fit Pulovsky qui recevait les plats et la bouteile de whisky. Il gratifia la jeune serveuse d'un long sourire et lui glissa une pièce dans la main en sussurant: Merci beauté.
Agonie resta pantois devant ce spectacle. Pulovsky venait se désinteresser de l'affaire pour faire du gring �  la fille avec une rapidité stupéfiante. Voyant que le polonais continuait �  fixer d'un air narquois la demoiselle qui s'éloignait en faisant une grimace d'inquiétude, Agonie claqua des doigts devant ses yeux en faisant:
-Woh? Who!!! On se reconcentre!
Pulovsky recouvra ses esprits avec le plus grand sérieux.
-Bah dis, si tu gaspilles aussi vite l'argent on va pas faire long feu!
-Oah, dis pas de sottises, elle en vallait la peine, répliqua Pulovsky d'un air navré.
-Bon, je reprend, fit Agonie: cette chose, je le sens, c'est la route toute tracée vers le pognon.
-Mais tu as avoué ne pas comprendre ce qu'il y avait d'écrit!
-C'est juste, mais je connais quelqu'un qui pourrait nous éclairer.
-Mouais...
-Quoi "mouais" ? fit le français interloqué.
-Non rien, je réflechissais.
-A quoi ? Comment emballer la serveuse ? lança Agonie en pouffant.
-Non, ça c'est qu'une question de temps, je vois clair dans son jeu, elle est complétement folle de moi, riposta très sérieusement Pulovsky. Non, je réflechissais �  une vieille histoire. Celle du moineau qu'est enfoui sous un tas de bouse bien chaude et qui piaille de contentement, jusqu'�  ce qu'un chat, attiré par les piaillements, vienne le tirer de la merde et le bouffe.
-Très amusant, rétorqua Agonie. Mais la différence entre ta petite parabole et notre situation, c'est qu'on sort du cimetière et qu'on est blancs comme neige pour repartir �  la recherche d'un fortune probablement colossale.
-Ou pour tomber sur des chasseurs de pirates ou un navire de la Navy...
-T'inquiète pas pour ça, la plupart des grands loups de mer sont morts, et les chasseurs de pirates se chargent de ceux qui restent. Nous on est que deux innocents aventuriers, Agonie la Belle est tombé dans l'oubli, les seuls liens qui pourraient me rattacher �  mon passé ne sont pas décemment visibles, et mes vieilles connaissances sont trop occupées �  fuir la justice. Alors, rassuré ?
Après, un temps, Pulovsky afficha un large sourire de rapace et remplit deux chopes d'un whisky ambré. Agonie leva le sien devant lui et dit:
-Associés, Pulovskly ? Cinquante pour cent des gains chacun, pareil pour le sale boulot et la gloire ?
Son partenaire leva sa chope et annonça:
-Associés, Agonie. Plus les femmes pour moi comme bonus en raison du risque que je prend �  m'associer avec un vieux forban comme toi. Quant �  la gloire, je doute qu'on en trouve beaucoup. Le panthéon de la flibuste est déj�  surpeuplé.
Ils trinquèrent, et avant de boire, Agonie, murmura pour lui-même:
-Allez, une dernière course, maintenant que les rêves de liberté et d'héroisme n'existent plus.  


Titre: Re : La Taverne de Grenade
Posté par: Capitaine le 10 Février 2009 à 21:46:03
-Bon c'est bien joli la poèsie, mais maintenant place à l'action! clama Pulovsky après avoir sifflé un bon quart de la bouteille de whisky. On a du vin sur la manche, j'te rappelle, part'naire!
-Ouais, t'as raison, mettons les voiles, fit Agonie, mais évite de brailler, tu veux ?
-Quoi, je braille pas...marmonna Pulovsky. T'as les oreilles sensibles, mon vieux.
-Et toi t'as une sacré descente! fit le français en éloignant la bouteille de son compagnon. A propos d'oreilles, il vaudrait mieux éviter de se faire remarquer, les clients ne sont pas forcément obligés de savoir le genre d'activités qu'on a lintention de pratiquer...
-Non mais dis, s'exclama Pulovsky manifestement de plus en plus euphorique, c'est toi qui me rabachait tout �  l'heure que y avait rien �  craindre des autorités, des collègues, et tout ça!
Dans la taverne les regars commençaient �  se tourner fréquemment vers le maigre polonais, ce qui semblait quelque peu indisposer le tavernier.
Agonie la Belle se pencha vers son associé et chuchota:-Mais tu vas fermer ta grande gueule Pulovsky ?! Je te rappele qu'il y a pas si longtemps t'étais connu ici comme contrebandier! Une fois qu'on sera loin tu feras tout le tapage que tu veux, mais pour le moment on file droit, sacrebleu!
Pulovsky se leva brusquement, faisant trembler la table, et dit, la tête dodelinante:
-Ze sssuis d'accord avec toi, mon pote, alors on va payer, j'vais zaller fourrer la taulière, et pis hop! direction les quais!
Il posa d'un coup sec avec le plat de la main 3 pièces d'or. Agonie se leva, et le tavernier s'approcha.
-Excusez-moi, messieurs, mais le compte n'y est pas.
-Comment ça ? fit Agonie.
-Avec la deuxième bouteille ca fait 5 pièces, précisa le tavernier.
Agonie ajouta deux pièces.
-Tenez mon brave.
Les deux hommes s'apprétaient à franchir la porte quand le tavernier s'exclama:
-Hé vous! L'homme aux cheveux noir et au fusil! J'vous reconnais!
Pulovsky s'immobilisa, les dents serrées. Il se retourna lentement.
-Oui c'est ça, continua le tarvernier, le regard excité, t'es bien ce type qui venait avec ces forbans, l� ! J't'ai vue te faire arrêter par la garde. T'as un nom de ces pays d'europe, Zukowsky, Kowalsky...
Agonie était déj�  prêt �  filer �  l'anglaise que le brigand aux cheveux noirs en porc-épic réagit en un quart de seconde: il épaula son fusil de boucanier et visa le patron de l'établissement. Le whisky semblait ne plus avoir d'effets sur lui.
-Le premier qui moufte je lui saborde la tête à coup de plomb! cria-t'il. Tout le monde reste où il est!
Un client témeraire fit le geste de tirer son sabre, mais Pulovsky vira et tira dans direction. Le pichet posa devant lui vola en morceaux. Il n'y eut pas d'autres réactions.
Après trois secondes d'immobilisme, les deux hommes décampèrent.

-Désolé, part'naire, ma réputation m'a ratrappé, s'excusa Pulovsky en courant le long d'une rue descendant vers le port. C'est la première fois qu'on me reconnait dans ce genre d'endroit.
-Moi, ça m'arrive tout le temps! pouffa Agonie. En tout cas, t'as assuré. Comment tu fais pour viser aussi juste après avoir autant bu ?
-L'alcool m'aide �  être précis au tir, admit le contrebandier. Sobre, je suis incapable de viser correctement.