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Les antilles => Port royal => Discussion démarrée par: scar le 01 Août 2008 à 17:46:04



Titre: évènement : le cyclone vint
Posté par: scar le 01 Août 2008 à 17:46:04
L'air de la ville était bien humide et chaud, plus qu'�  l'accoutumée. Les animaux semblaient nerveux et pour certain pressé d'entrer dans les terres de la ville.

Personne ne savait ce qui se préparait dans la mer; un énorme cyclone , tourbillon de vent, s'était levé; et avec lui la colère de la mer. Les caresses du vent sur l'eau faisaient lever des vagues haut comme des maisons �  un étage. Le sommeil des morts en mer était éveillé et avec eux une colère sans nom, leur cris retentissaient en foudre dans le ciel.

Deux jours plus tard ce cyclone vint s'abattre sur la ville enfin le vent qui le précédait. Il était d'un telle puissance que peu pouvait marcher face au vent. Certain marins et un homme de science comprirent ce qui arrivaient. d'autre pensait que la tempête était déj�  �  son apogée.
Les marins couraient �  leur navire luttant avec les avirons pour accéder aux navires qui mouillé au milieu du port. On mettait en place le plus rapidement possible le parbatages en corde et laissait �  la chaîne de mouillage un peu plus de mou afin que le navire sans risque d'aller s'échouer sur un autre bâtiment puisse monter les vagues et non se bloquer �  cause d'une chaîne trop courte. Mais personne n'osait quitter le port, car la tempête venant du Sud les navires se trouveraient entre le marteau et l'enclume, le vent et les rochers et seraient poussés dessus où ils se briseraient.
Malgré tout le port était l'endroit le plus sûr pour les navires; les vingt-deux qui se trouvaient.

Le vent soufflait, s'engouffrant dans les rues, sifflant aux oreilles des gens et soulevant les choses les plus petites, comme des paquet de paille et les tissus. La poussière se soulevait et aveuglant tout le monde formait un mur. Certain habitant et les animaux aller se réfugier dans els terres de l'île, d'autre remettant leur âme �  dieu dans les églises et d'autre chez eux. Fermant les volets avec des planches de bois. Les tuiles en ardoise volèrent et se brisèrent sur les murs ou la tête d'un homme l'assommant dans un filet de sang.

le niveau de la mer commença �  monter engloutissant les quais, alors que le ciel noir commençait �  cracher la pluie qui rendait boueux les chemins non pavés.

Le cyclone arrivait.