Forum Age Of Sea Dogs

Le capitaine de "La Boussole" eut énormement de mal �  trouver un mouillage, car les courants assez fort risqués de projetter le navire sur les recifs durant la nuit.

Mais au bout de trois jours de navigation un bon mouillage près de l'île fut trouvé. L'île était assez grande et rocaileuse, couverte d'un maquis et de quelque région de forêt séche.
L'île était en partie bordé de falaise sauf d'une grande grève sur le Nord, se situant entre la mer et des grandes dunes.

Le mouillage fut dans une zone devant une falaise, les courants étaient inexsitant et il y avait une petite falaise de pierre et de gravat de taille diffèrent assez proche.

- tu vois Seth.. c'est l'île du singe. une peite île sans grande importance enfin presque.
- il y a quoi dessus? Demande Seth
-Rien sauf... un petit trèsor qu'un compère anglais Joill Obrien avec qui on a navigué durant un mois, a été enterré ici. c'est sa part et celle de son équipage après notre voyage de conserve.
- pourquoi l'on t-il enterré et non dépensé comme tout pirate?
- Ils se sentaient en dangers, les anglais leur avait lancé un chasseur de pirate sur le dos. Ils ont préféres s'allègé de cela pour fuir.
- et on va leur piller leur trèsor.
- non... Répondit le capitaine en souriant. Ce trèsor appartient �  plus personne. Le Diable a pris leur âme et nous sommes les seuls a savoir où se trouves cette or...
- On va juste prendre �  crédit �  des morts... Ironisa l'un des gabiers qui se tenait accoudé au bastinguage.

La nuit se leva, et l'ancre fut jeté �  la mer. comme prévu le cotre ne bougea pas et lorsque les premiers rayons du soleil apparurent au large, les deux canonts furent mis �  l'eau chargé de plus de vingt hommes qui ramèrent jusqu'�  la plage de gravats.  

Les hommes débarquèrent sur la plage de gravat, la chaleur commencait �  monter. La mer était calme et bercait tou le monde de son éternel aller-retour.
Tout le monde avait des vêtements assez décontracté, s'équipant du minimum, une arme blanche, certain des mousquet et les autres des pelles.

-Bien Commenca le capitaine. Qeu certain repartent avec des barques charcher des compagnons. Le vrai souci c'est que nous savons juste que feu Howard a enterré son butin dans une zone rochaieuse...
Alors on va essayer de trouver une zone favorbale et y établir un petit campement, pas la peine de barricade ou autre on risque pas grand chose étant seul sur l'île.

Les marins restèrent encore le temps que d'autre virent du cotre. Puis la trentaine d'hommes pénétra dans l'île par un petit chemin de assez étroit et risqué. Ils grimpèrent la falaise par ce passage et commenèrent �  entrer dans le maquis.

Les insectes silencieux et discret étaient partout, il ne grouillait. le chemin cré par les éclaireurs ne fessait que monter puis descendre.
Les hommes avanciant, le fusil ou la pelle sur l'épaule, un bandana sur le crâne pour se protèger du soleil.
Seth torse nu arriva au niveau du capitaine.

- chef c'est quoi s'histoire d'êveque anglais.
- C'est pas tout a fait un êveque, les angloch n'en ont pas, c'était juste un prêtre. répondit un des hommes qui trenaient des vivres.
- c'est vrai continua le capitaine. C'était malheureusement pour nous, aussi le fils d'un Lord... un noble quoi et donc cela revient �  avoir égorger le noble on a l'église profane et les nobles anglais sur le dos...
- eglise profane ?questionna Seth. se grattant le ventre et regardant le ciel.
- Ouais les anglais ont fondé leur propre culte de Jesus et du tout puissant au mépris des dires du Papte. Ils ont crée leurs  propres pratiques et idée sur Dieux. Ela y a plus de cent ans...
Bref notre religion est divisé... On avait déj�  des soucis avec les musulmans... Excuse moi...
- aucun souci.. allah est puissant et sage.
   

une nuit était passé apèrs l'arrivé des pirates.Le petit campement fait de tente fut placé assez proche au pied d'une falaise, dans une zone peu boissée. Les tentes étaient installées en rond autour du feu central. La végétation entourant les tentes étaient surtout des buissons et arbuste sec de couvert jaune.

il y avait une petite foret de pin et d'arbre des régions aride au moins de cent mètres.
L'occupation au camp était �  reprendre des forces avant de partir travailler, car le soleil venait de percer dans la nuit, quand un homme couru �  toute allure appelant le chef.

Le capitaine se leva étonné de voir appeuré non pas un hommes mais trois des prospecteurs ne nuit.
Ils n'étaient pas nombreux, il s'agissait de cinq personnes qui eux allaient la nuit dans les zones rocailleuse afin de trouver les meilleur endroit pour els indiquer �  leur compagons le lendemain matin.

- Faut que vous venez!
- Y a quoi comme souci? sa va  demanda le chef.
- suivez nous et prenez votre longue vue avec vous.
thibeaut se gratta son menton qui était orné d'une petite barbe dû à un manque de soin.

- Je l'ai pas...
- Pas le temps alors venez dit l'homme éssouflé.
-L'étrangers! Larope! tranche d'aigle. la vigie, surnommé ainsi �  cause de son profil et de son nez tombant mais aussi grâce �  sa vue percante.
- Edwin! jean-Louc et Sym! venez avec moi! et que l'un de vous trois préviennent Jean sur le navire.

Les appelez prirent leur armes et suivirent  Thibeaut qui était mené par un marin d'une trentaine, qui avait le crâne chauve qui lui permis de se faire nommer crâne luissant.
La troupe progressa curieux de voir ce qui avait avoir, mais plus il s'y approca puis Crâne luisant leur demandait de faire attention et cela augmenta l'anxieté des marins. Ils arrivèrent au niveau des dunes de sable devant la grève de l'île.

Ils s'allongèrent et s'avancèrent pour monter sur la dune. Devant eux une mer d'un bleu azur pur reflétant un ciel bleu et clait. Mais sur cette eau assez calme un brick.

Un navire était au mouillage devant la grève.
- Par les barbes du Diable! Hartur c'est ca que tu voulais qu'on voit!?
Hartur se grata son crane chauve.
- C'est la merde.

La vigie se cacha derrière un buisson et observa le brick, qui semblait pour l'instant calme. Il murmura.
- il a que trois canons par bords.... Mais... Mordieu! Y a un max d'hommes. En effet une énorme troupe de marin sorti de l'entrepont et attendit sur le tillac alors que sur la dunette ce qu'il semblait être les officiers discutaient entre eux. Ils doivent être plus de cent!
- Quoi...* Par la barbe du prophète!* Pisse de chat! s'écrièrent les hommes en écoutant leur vigie.
Le capitaine invita ses compagons �  descendre la dune pour être �  l'abris des regards.
- Trop nombreux pour un assaut frontal, on peut pas essayer de les attaquer sur la plage, ni dans l'île je pense. Peut être par la mer, nous aurons une meileur puissance de feu.
- Pas sûr! je pense que leur canons sont de meilleur calibre que les notres.
- et puis chef, cette zone est pleine de courant, un brick est un navire assez lourd qui peut y resister mais pas notre cotre.
- retourons au camps...

- Le cotre ont en fait quoi? ils le verront peut être! demanda Seth.
- oui on a que deux choix soit livrer notre destin �  dieu en laissant ici le cotre, soit en demandant �  thibeaut de faire voiles sur l'île la plus proche.
Dans tout les cas faut fortifier notre campement
- Inutil Dit Sym. Nous sommes sous une falaise ils leur suffit de monter au dessus et de nous tirer dessus.

La troupe arriva au campement et resta silencieuse duant le voyage, Hartur resta sur les dûnes surveiller le brick.

Une desicion fut prise, le cotre et vingts cinq hommes quitta l'île.
Ils étaient trente trois prêt �  livrer le combat. Hartur arriva en courant.

- Ce sont des anglais! ils ont mis des chaloupes �  la mer! Deux! et elles ont fait trois allé-retour chacune et avec des gars de dans je peux vous le dire.
- c'est la merde! S'exclama un marin assez imposant. Le chef monta sur un rocher et demanda le silence, les hommes qui parlaient tous entre eux de leur doute et leur espoir.

- Bon les gars! Que se soit des anglais est un bon signe! Il s'agit sans aucun doute des fils de chien qui ont tué Howard! Ils ont dû capturer des compagnons et les torturer pour qu'ils parlent. Si les anglais sont venus c'est que nous étions pas venus pour rien!
reste que les anglais vous pas partir comme cela! On peut toujours partir si vous préférer fuir que tenter de se battre contre un ennemi en avantage numérique.
Notre navire n'est pas encore loin on peut lui faire signe et n'oubions pas que chaque nuit ils naviguera près des cotes on pourra lui faire signe de venir nous chercher.
- On va pas se ti'er comme cela la queue ent'e les jambes! Devant les rosbifs.  cria un noir avec un forte accent et une voix grave. L'Assemblé ria, le capitaine souria et redemanda le silence.
- Eux qui veulent rejoindre Jean peuvent y aller... c'est pas de la lacheté de leur part.

un long silence s'installa au bout d'une minute.
- bon je penses que vous êtes tous pret à vous battre...
-Ouai!!!!
- on utilisera une technique d'embuscade. Défier des chasseurs de pirate c'est autre chose que les crétins de l'armée, mais cela ne nous stoppera pas! Mais ils sont en avantage numérique et en arme.
donc voila ce qu'on va faire on sa rester cacher... et quand ils auront le trèsor on leur prendra!
Mais comme Seth nous l'a proposé ils faudra se séparer durant les attaques. Il faut pas attendre qui s'ont sorti toutes les pièces! dès qu'ils ont trouvé où il ets on les attaquera d'un peu partout et un peu tout le temps.

On a assez de mousquet et de fusil pour assurer une puissance de feu assez impressionnante.

Les marins crièrent au combat, ils burent tous un coup de rhum et les hommes furent divisé en quatres groupes, beaucoup porté deux fusils sur leur dos. Tous sauf Seth avaient une arme �  feu. Ils cachèrent �  diffèrent endroit des barils de poudre de grande taille et portèrent sur eux, leur tente et leur tonnelet et poudre et de vivre.

Les anglais eux avaient conquis la plage et commencait �  organiser leur entré dans le maquis.


Il falait ne faire aucun pas dans cet guerre.  

Les deux premiers jours se pasèrent très bien, les anglais c'étaient installés en deux camps. L'un en plein milieu de la prairie de haute herbes, sur une petite colline, ayant même consturie une petite palissade de bois et l'autre en plein foret aride proches des zones rocailleuses.

le premier jour, les anglais ne cherchèrent rien, le deuxième ils commencèrent �  inspecter les roches. Vu leur organisation un mèlange de militaire et d'anarchie il s'agissait soit de corsaire ou de chasseur de pirate mais pas de frère de la coté ni de soldat.
Leur vêtement et leur armes ne prouvaient.  

Une nuit particluièrement et étonnement fraiche pour cette saison tomba, le ciel était clair, parsemé d'étoile éclairant de leur faible lueur la mer et la terre.

Trois hommes marchaient, ne se reposant pas, c'était trois anglais sans doute exités par la soif de l'or qui avaient décidé de chercher durant la nuit des zones où le trèsor fut caché.

Une petite troupe de cinq marins dormaient tranquillement quand vint aux oreilles d'un homme jeune aux cheveux blond et frisés le bruit de pas et d'une conversation. Il se réveilla et prévint ses compagnons. il ne faissait aucun doute, des anglais, certain posèrent lentement leur mains �  leur pistolet chargé, un autre commenca lentement �  recharger son fusil. Ils attendirent deux minutes puis plus rien.

Soudain des cris s'élèvèrent dans la nuit. Les cinqs hommes qui se tenaient dans leur trou de roche levèrent �  leur tour la tête et virent les trois anglais, qui furent appeurés par leur découverte non d'or mais de pirate.

le premier reçut dans la poitrine une lame venant du jeune blond. Les deux autres couruent fuyant espèrant pouvoir prévenir leurs compagnons. Dèrrire eux montant le rocher un des pirates vida son arme, la détonation fut sec et claire dans la nuit, la balle traversa la peau et le fuyard mouru.
Son compagnon armé d'un pistolet se retourna et vit deux autres hommes armés le braquant. Il compri qu'il ne pouvait fuir et tenta de se venger en tirant, la balle s'écrasa sur une pierre tandis qu'en même temps une autre pénétra dans la gorge de l'anglais.

- Vite blondin! cachons les corps.
-Inutil répondi le tireur, un homme au visage durci par la mer. Leur compagnons ont du entendre les détonations... Il faut être sourd pour pas entendre.
Vite prenez ce corps et qu'en a moi je vais laisser mon mousquet.
- quoi ton arme mais on a en peu. S'exclama le blondin. il leva les yeux au ciel et répondit.
 c'est notre seule chance petit! Ils y a eut trois tirs! Mais que deux détonations on a tiré en même temps...

Les pirates changèrent la position des corps et mirent dans la main de celui qui avait reçut la dague, le fusil et disparurent.

Un petit plus loin, dans le campement de la prairie personne n'avait entendu mais au niveau de l'ex campement des compagnons de Seth qui était occupé par les anglais la chance n'était pas pour les cinqs hommes.

les anglais furent réveillés par les coups de feux on fit l'appel, verdique trois absent. On fit fouiller rapidement la zone d'où venait les coups et les corps furent retrouvé. Le second regarda les corps.

*- George, Big et Steis sont morts...
- Ils se sont entretués. répondit un marin.
- Et qui te dis cela?
- Ba c'est simple, ils sont essayés de trouver de l'or pour faire gagner du temps �  tout le monde.
- On pour ne pas partager tout...
- voila ils se sont enguellés, Big �  recut un coup de couteau de la part de Steis, c'est son couteau qui est dans la poitrine de notre ami. cette enflure �  recut une balle dans la gorge et George le responsable �  tenter de fuir mais big avant de mourir �  réussit �  le tuer... sans doute qu'ils étaient tous ennemi.
- Ca tiens pas debout... et autre chose je crois avoir entendu 3 cousp et non 2!  répondit le second.
On doit pas être les seuls sur cette île. La nuit est notre ennemi... ON RENTRE!!

Les anglais ramassèrent les coprs et les ramenèrent au campement. Demain une chasse �  l'homme sera lancé.

Les cinqs francais dècidèrent de prévenir les trois autres groupes qui avaient tous entendu les coups de feux. Comme prévu ils allèrent �  leur point de rendez vous en cas d'embuscade. Il fallait savoir s'ils devaient faire des signe sua navire qui la nuit navigué loin des cotes mais assez proche pour voir une signal lumineux.  

Le lendemain tout les anglais furent prévenus de cet accident, et la longue et chaude journée fut non pas passé �  chercher un tresor mais �  chercher des pirates.

Aussi petite quel l'île fut, moins de 15 kilomètre carré, et nombreux les corsaires. Ils ne trouvèrent rien, pas un homme, rien juste un peti troupeau de chèvre sauvage.

les personnes qu'ils recherchaient été elle plus loin sur un cotre.

- quel chance que tu as pu nous retrouver �  temps.
- Thibeaut! tu as raison et je pense que c'est risqué de revenir.
- Jamais il fait pas laisser not'or �  la main de ceux qui on tué Howard cria un marin.

La désicion de l'assemblée fut prise ving hommes redésendront sur l'île �  la nuit.  

Les pirates prèférèrent finalement attendre trois jours avant de revenir...

Le cotre s'approcha de la plage de graviat, les pirates descendirent en chaloupe puis montèrent armées de nombreux fusils et avec de la nourriture, sans tente, pioche ou autre juste l'essentiel: poudre arme, eau et nourriture.


Les vingts hommes se divisèrent en deux groupes, les plans sera simple attendre que le le trésor soit trouvé pour commencer les hostilités. Mais surtout ne pas attendre que l'or soit totalement dégagé ni être vu.

Les anglais eux étaient rassuré par une personne trouvée durant les deux  jours de chasse �  l'homme. Mais leur premier jour de travail fut sans résultat.

Il fallait être patient. Le jour qui suiva fut le même, les anglais avaient trouvé une petite grotte. un grand nombre décida de fouiller la grotte tandis que le reste cherché dans les zones rocailleuses. Les deux groupes de pirate choisir chacun leur cible.  

Les anglais découvrirent une petite grotte. Le groupe qui travaillait dans cette partie rocailleuse se divisa en deux groupes: l'un fouillant la grotte et l'autre le reste de la zone.

Les francais ne firent il fallait attendre, il était évident que l'or était ici: Howard parlait d'un trou de roche. Les anglais l'avait trouvé mais pas l'or convoitée, il fallait être sur que l'or était l�  et même était dégagée. Les pirates avaient décidés que faire une guerre ouverte serait que folie. il faudra occupé les anglais dans les embuscade tandis que d'autre prendraient l'or.

Seth était de ceux qui veillait �  la grotte, leur ennemi n'était que six, ils avaient établi un campement d'une tente et d'un foyer.  

Cela faissait deux jours d'attente quand soudain un cris. Il avait fouillé dans cette grotte humide et chaude et enfin sous un rocher un trou remplie de glaise et boue. Quelque coup de pelle et soudain un bruit sec quelque chose de dur dans la glaise.

L'homme s'acharna son énergie redoubla et il dégagea une malle de fer énorme encore enfoncée dans la glaise. L'exitation de voir seulement les barres de fer était énorme. Il couru appeler ses amis leur montra sa découverte.
L'un d'eux décida e courir jusqu'au campement de la plaine pour annoncer la nouvelle les autres commencèrent �  creuser. La fatigue monta vite car ils travaillaient depuis déj�  5 heures avant d'avoir découvert le coffre.

Seulement deux marins restèrent au travail, derrière eux un bruit.

- *tu viens nous aider?*
*- Notre recherche matèriel s'arretes ici, et vous allez avoir les réponses aux questions spirituel de la Terre*

Les deux hommes s'arretèrent étonnés.
* C'est quoi cette langue?*

Ils se retournèrent et virent un arabe armé d'un cimeterre, ils ne purent rien faire, le tranchant s'abatta sur eux. Ils s'écroulèrent sans vie, leur sang commenca �  couler dans le trou.

Dehors les trois auters anglais étaient morts, l'un d'un  couteau lancé et les autres de poingard dans le dos, celui qui pensait trouver la plaine trouva la mort en se fessant jeter d'une falaise.

les francais étaient maitre du trèsor.
Soudain un anglais arriva, rentrant de son rapport armé d'un mousquet il vit ses compagnons mort. Il arma son fusil et allé braquer ses ennemis il appuya sur la gachette quand une balle le faucha et le tua

- non!
- quoi!!
- Fallait pas tirer...
- il allait le faire
- Pas le temps de se plaindre le mal est fait Seth va prévenir les autres...
- Par chance la nuit tombe.. étaignez le feu.

en effet, le second campement de quinze anglais avaient entendu les deux coup de feu, ils compirent que quelque chose allait pas bien. une guerre d'embuscade allait commencer  

Les anglais ne tardèrent pas �  réagir et en moins d'une demie heure ils envahirent le coin. Le coffre était recourt d'une énorme pierre. Mais pour les anglais la préoccupation 'était pas �  l'or mais �  trouver les responsable de ces meutres.

Ils prévinrent rapidement leur compagnon du brick une dizaine de marins descendirent pour aider leur frère d'armes.

Pour les francais ils ne pouvaient plus fuir ni se cacher et attendre il fallait agir. Le cotre accosta l'île et on decida que tout les hommes descendirent, laissant le cotre avec les marins les plus faibles.

Les pirates étaient tous prêt au combat, il fallait le livrer le plus vite possible. Mais cinquante hommes conter cents environ le combat allait être dur.

Les marins se divisèrent en trois groupe ils devaient harceler les ennemis et leru faire croire qu'ils étaient innombrable, mais leur nombre de fusil étant que de quarante cela allait être dur, pour égaliser la puissance de feu ennemi.  

Les anglais lancèrent leur chasse �  l'homme. Ils étaient tous en petit groupe se dispersant dans l'île.

Le soleil était au plus haut dans le ciel, d'un bleu clair.
Mais cinq francais ne virent pas le soleil se coucher, poursuivit par dix corsaires ils se dèfendirent jusqu'au dernier emportant avec eux deux anglais.

a ce tythme la défaire était certaine. il fallait agir attaquer le petit groupe qui montait dans la montagne afin d'avoir un champs de tir avantageux, les francais s'étaient tous regroupés comme ils le devaient �  la montagne apèrs avoir entendu les coups de feu. Seth et ses compagnons allait se charger de débarassé cette zone rocailleuse de sa patrouille  

Les six anglais marchaient dans un petit passeg bordé par des petites falaises de roche rouge, le ciel était d'un bleu azur et la chaleur écrasante.

*- c'est quoi ces bruits?* S'écria le premier

Ils tendirent l'oreille et commencèrent �  attendre, leur mousquet �  la main, au desus d'eux des petits buissons et devant eux un passage étroit entre deux pierres de bonne taille. L'un de sanglais �  l'oeil unique fixa un buisson, des oiseaux jaillirent de l'épais mais sec arbuste. Il regarda le vol des animeaux puis fixa l'arbuste il bougeau encore. Il n'eut pas le temps de réagir qu'un coup de feu retenti, une fumée blanche sorti de l'endroit fixé et l'anglais recut �  la poitrine comme un coup de poingt mais d'uen force inégallable. Ses os s'éclatèrent sous le choc, il tomba mort une balle dans le poumon.

pour les autres s'étaient la merde, commencant �  regarder partout, puis diffèrent coup de feu retentirent en échos au premier. Un autre marin s'écroula mort et un autre fut touché �  la jambes.  Le plus jeune sauta derrière un abris comme ses compagnons, il scruta le haut de la falaise. Il vit un homme armé se dresser lègérement, il épaula son arme, adressa une courte pensé �  Dieu et appuya sur le gachette. Le coup fit trembler son bras et la crosse, bien calée, frappa contre son épaule. L'homme se leva d'un bond et porta ses mains �  son ventre avant de faire une chute de trois mètres, il était immobile, il n'avait pas eut le temps de crier.

une autre balle fut tiré, elle atteint en pleine gorge le jeune marin qui se jeta par terre et hurla de douleur, mais il sentait sa vie s'enfuir de son corps, il serra les dents et se aissa mourir.

Le combat déjç très bref car il n'avait commencé que depuis quarante seconde fut très vite écourté. Les deux derneirs survivant, voyant en même temps que le mousse le chef recevoir deux balles de plomb et mourir, se lèvérent et courir. aucune balle ne fut tiré personne ne pouvait les tuers leur agresseurs inconnus rechargé. L'un se montra et menacant un anglais recut une balle dans l'épaule, il hurla et se jeta par terre tentant de bouché sa plaie.

Ils étaient en vie et allait dépassé les rochers quand l'un des pieds du premier fut tranché net, aucun crie l'homme tomba par terre se trodant sous le choc, son compagnon n'eut que le temsde voir un homme torse nue faire tournoyer son cimeterre avant de le planter de toute sa longueur dans la cage thoracique du soldat anglais.

seth se retourna d'une saut et s'écrasa sur le premier qui gémissait, en lui plantant son arme dans la nuque.

Plus loin les bruits des combats, même courtn furent entendus les naglais s'armèrent et vingt d'entre eux parti en éclaireur six autres allèrent chercher des renforts du campement de la plaine.

les pirates francais s'enfuirent sans s'attarder, ramassant les mousquet et la poudre ils allèrent rejoindre leur frère d'armes  

Les anglais couraient �  toute allure, mousquet dans la main, couteau et sabre �  la ceinture. Ils arrivèrent très vite au lieu du drame et continuèrent �  toute allure, deux groupes fut formé.

le ciel commenait �  se couvrir de nuage, l'air devenait un peu lourd, il allait pleuvoir. Mais pour l'instant le temps était humide et chaud, et le soleil traversait les nuages de ses rayons.
Dix anglais marchaient dans une zone très rocailleuse, l'asencion fut lente et difficile, les pierres de toute forme et toute taille empéché de courir et même parfois de se tenir droit sans effort. Les pieds des marins commencaient pour certain �  saigner, s'écorchant sur des pierres et roche tranchante.

Devant eux la petite montagne de roche rouge, recouverte de mousse et arbuste quasi sec. Mais aussi devant eux, invicible, six mousquets. Le premier anglais se dressa sur une pierre scrutant l'horizon plat et bleu, un bruit sec et une balle lui perfora le ventre, il s'écrala presque mort par terre, se tête s'ouvrit sur un roche.

les autres anglais commencrent �  se jetter �  plat ventre, se lancant sur des roches, le choc fit très mal, de nombreuse balle sifflèrent encore et deux autres hommes tombèrent.

les sept restant savaient d'où venait leur ennemis. ils vidèrent leur mousquet et celui d'un mort, les morcaux d'éclats de roche volèrent. Ils étaient impossible pour les francais de sauter et d'aller au contact des  anglais, le chemin qui les séparait, était terriblement génant et leur ennemi auraient tout le temsp de recharger ou de ramasser les fusil ancore chargé et de tirer sur des cibles qui ne pouvaient se cacher.

ils rechargèrent tous, la fussillade recommenca, deux anglais furent lègérement touché mais les pirates restaient intouchable.
Les sixs hommes riaient de tenir tête �  dix combattant mais c'était cela la flibuste, être audacieu et tenir tête et faire face même �  des ennemis en supèriorité.
Un cris se fit entendre derrière eux.

Un des pirates tourna la tête et vit, un nuage de poussière se soulever lègérement au dessus du sol et devant lui dix anglais, dont le martelement des pieds soulevaient �  chaque fois un filet de poussière. Il hurla, sonc ris fut suivit de dix détonations, les balles de plombs perforèrent  la chair des marins.
Tous sauf un étaient �  terre, le dernier une balle dans le ventre, sorti son sabre et marcha, lentement la douleur était horrible, devant lui le maitre d'équipage ennemi souria.
Le pirate s'apprétait �  surprendre son ennemi en prenant son coutela et en le lancant. il leva la main en l'air et sa cervelle sorti de sa boite cranienne qui venait d'explosé sous le l'impact.

debout sur une pierre, le fusil encore fumant un anglais du premir groupe venait de faire vengeance �  tout ses compagnons morts.

Les six francais gisaient mort. Les anglais hurlèrent de joix et portèrent l'homme le plus blessé en arrirèe avec tout els autres blessés: trois hommes juste éraflé ou coupé par des éclats de roche qui avaient volé en l'air.

Pour les francais le combat n'était pas gagné d'avance et cela commencait �  sentir la mort, il y avait uet dans cette embuscade plus de mort dans les frères de la cote que chez les corsaires, ou pirate, anglais  

Le soleil commencait �  se coucher, il peignait un ciel de nuance d'orange de jaune et de noir. Il pleuvait, une eau assez chaude et supportable contrairement aux pluies d'Europe. c'était une pluie légère, fine ne génant pas la vue, mais les gouttes elles collaient �  la peau et ruisselaient le long des corps. Les gens fessaient très attention �  leur cartouchière.

Les anglais avancaient en masse, ils étaient plus de cinquante. Tout les francais étaient l�  pour les recevoir, un éclaireur avaient vu cet énorme déplacement d'homme. Les anglais avancaient car ils connaissaient la technique de leur ennemi et avancer d'un bloc serait une erreur.

Ils étaient méfiant scrutant toujours devant, réparties en petit groupe de dix hommes mais chacun des groupes restaient �  porté de vu de deux autres équipes, un groupe d'éclaireur avancaient dans la zone des deux derniers combat, les roches étaient glissante et le sol devenu presque boueux.

Les pirates attendaient le sachant par où viendraient leur ennemi.

Le ciel commencait �  s'obscursir, le vent augmenta, mais on pouvait voir devant soit sans soucis.

Les éclaireurs passèrent l'endroit du dernier combat et suivirent un passage étroit presque noyé par dix centimètres d'eau, isl remontirent �  contre courant , quand ils firent chemin arrière. Pour eux s'était évident on les attandait au bout de ce boyau dans la roche. Laissant ce chemin et ce lit de ruisseau se former. Les anlais passèrent dans un maquis tous acroupis.  

la nuit venait de tomber et l'atmosphere etait lourde, il alait y avoir de la pluie et peut etre meme de l'orage le lendemain, les pirates etait rassemblé dans une cavité,  tout le monde savait que demain il risquai d'y avoir des combat

Raithen s'approcha de Seth qui etait pres d'un feu caché de la vue des ennemi grace au relief du terrain.

-Seth, croyez-vous que nous ayons la moindre chance? demanda Raithen en s'asseyant
Il continua tout de suite sans attendre la reponce de l'arabe

-tout a l'heure j'ai été cherché des herbes au cas ou la bataille de demain ferait des blessé parmit nous, et j'ai decouvert une chose interessante :le sols de l'ile est propice a la croissance d'une certaine plante: la Digitale, cette plante est souvent utilisé en medecine mais est aussi connue comme un poison rapide qui peut tuer un homme en quelques heures

-j'ai eu l'idée que moi et quelques de nos homes pourions essayé d'aller dans le camp ennemi et d'empoisoner leurs réserve de nouriture avec de la digitale ,nous ne les tuerons pas tous comme sa mais cela pourait etre un avantage décisif pour les prochaines batailles!  

Seth regarda sans rien dire raithen... Seth chuchota.

* Ce type part vaincu d'avance...*
- je sais pas si ton idée est bonne mais saches que nous nous en sortirons. avec l'or ou sans et mon gars...

- Venez tous!

C'était la vigie qui venait de chuchoter, tout le monde murmura pour faire passer l'odre. Au dessus ,le ciel sombre fit tomber une douche d'eau tiède mais coulante.

Les marins montèrent avec leur mousquet et  une bache pour protèger leur réserve de balle et de poudre. Les anglais avancaient. ils étaient dans une zone rocheuse assez étoite, il s'agissait d'un large passage rempli de roche entre deux parois rocheuses, un petit chemin menait l�  où les éclaireurs n'étaient pas venus. Devant le chemin une sorte de mur naturel.

Les pirates se divisèrent en groupe, dix d'entre eux dont Seth et son matelot commencèrent �  contourner les anglais les autres se placèrent juste au niveau du mur où les anglais commencaient �  avancer. La nuit était encore clair car tombée seulement depuis vingt minutes.

- mamelle du diable! ils sont nombreux ses anglishs! Tenez vous prêt ils sont ausi nombreux que nous.Murmura le capitaine.
Tout était prêt et sans cirer garde l'enfer fut déclenché. Les pirates francais tirèrent �  tour de role. Des lueurs orangées apparurent devant les anglais suivit dans le même instant des détonations.

les balles sifflèrent et se plantèrent dans les corps des éclaireurs  qui s'écroulaient mort. Les anglais disparurent derrière les rochers et autre planque. Ce fut un combat d'un nouveau genre, les coups s'échangèrent peu touchèrent leur cibles.

Jins était avec trois hommes entrain de recharger. il essayait de trouver un des diables qui leur tiraient dessus. Soudain il vit tomber sur la pierre devant lui une sacoche de cuir avec une méche. Il compri très vite hurlant �  ses amis, il se jeta par terre. Son matelot leva la tête et vit la grenade il hurla de tous ses poumons, mais cela ne couvra pas l'explosion qui lui arracha la tête, projetta un autre marins et envoya en morceau le haut de la roche, dont certain morceau se plantèrent dans la chair du survivant qui s'écroula en hurlant dans son sang.

une autre grenade tomba sur une flaque d'eau.  mais l'explosion avait choqué les anglais, ne sachant pas si c'était une grenade ils craignant la prèsence de canon, Jins se leva pour leure prévenir des grenades. "Grenade" fut son dernier mot avant de tomber les deux pouùmons percés de deux balles.

La pluie mouillait terriblement les baches des pirates qui étaient écroulé par le poid de l'eau mais leur poudre était seche, leur ennemi eux mettait autant de poudre seche que de poudre inutilisable dans leur canon, les tirs étaient presque sans grande précision et puissance. Le terrain devenait boueux, le sang se mélangea �  l'eau et �  la boue, les corps couvraient le terrain.

Les pirates n'avaient pas encore de mort mais plusieur blessé, les balles s'écrasaient près d'eux, les étincelles apparurent �  chaque choc, fessant voler des morceau qui par moment tranchaient un peu de peau.

Cinqs pirates décidèrent de surprender leur ennemis par derrière. Ils vidèrent leur mousquet et pistolet, quatres anglais qui se tenait protègé des pirates derrière un bloc tombèrent dans un cris de douleur. es anglais se retournèrent et les virent,  la réponse fut fatal, les balles traversèrent les arbustes sec et fauchèrent les vies des pirates.

Seth couru, ses ennemis étaient sans balles. ils tomba sur un groupe de trois hommes, prit d'une rage guerrier il frappa un coup qui fut paré par un fusil, il décocha un coup de pingt puis un coup de pied �  un autre anglais et d'un rever de lame il tua deux ennemis et planta après en sautant son cimeterre dans le dos du marin qui était �  terre. Puis Seth se leva le corps couvert de sang et d'eau il cracha et partir.

Le combat continua, les anglais avaient perdu plus de vingts hommes ils se lévrent face �  leur ennemis qui sembaient invincible et sous l'odre du second prirent la fuite. Le second se leva et tira une balle elle atteint l'oeil et le cerveau d'un francais mais la riposte transperca par sept fois le second.

Plusieur d'entre eux furent fauchés par les balles. C'était une course �  la vie, ils voyaient leur compagnons mourir �  coté d'eux et cela leur donnait du courgae; pas celui de sauver son ami mais celui de sauver sa vie et ceux qui prenait leur amis sur leur dos espèrait que la balle qui leur était destinait se plantera sur leur compagnons.

Quatre anglais descendirent le petit passage étroit quand ils tombèrent sur un marin armé d'un tromblon, il fit feu. Cela eut l'effet de la mitraille mais en moins fort, les morceaux de chair déchictèrent le premier et arrachèrent la jambe du second. Le dernier anglais reçut une balle dans la tête. l'estropié mouru d'une perte de sang.

les fuyrads tombèrent sur Seth, Fyche et deux autres pirates, ils furent taillé en pièce. Seth fit volé le sang en gerbe dans le ciel, la terre fut couverte de sang.


Le combat était fini mais six anglais avaient réussit �  fuir, cinqs hommes furent lancé �  leur poursuite.


hrp: si tu veux tu peux décrire le combat de ta vision.... après je décrirais le plan qui va suivre    

La bataille était belle et bien finie et c'était une victoire éclatante de la part des pirates francais. Tous hurlèrent leur victoire, commencèrent �  chanter un ôde �  la mer. Tandis que ceux qui en demandaient encore poursuivaient les fuyards. On commenca �  s'occuper des blessés, les pirates achevèrent les anglais trop blessé, seul deux ne furent pas executés.

Les hommes commencèrent �  ramasser les corps et �  dégager les blessés, le barbier-medecin du bord avait quitté le navire pour ce combat. On installa une tente de fortune, avec d'énorme bâche entre un arbre sec et deux rochers énorme. La boue qui se trouvait dans la tente devenait rouge.

Un marin alla voir le capitaine.

- On a écrasé nos ennemis!
- Combien de mort chez nous? demanda sans joie Thibaut.
-  Jean, Homel, Dent-rouge et pierre d'Arc sont morts. Jean Fritali, le frère de Homel, va sans doute le rejoindre, le chirurgien dit qu'il a prit par les fièvres, il lui a amputé et depuis son état empire. Sinon il y a dix blessé.

- Et plus de trente anglais massacré et huit achevés! Ajouta colins qui venait de se faire bander la jambe, le bandage blanc avait une énorme tache rouge, il boitait un peu. Il vit Seth qui marchait lentement fatigué.

- Je vais me reposer, je suis mort. Ca fait deux jours que je veille.
- ok l'étrangers tu as encore prouvé ta valeur, va faire soigner cette égratinure et repose toi!

Seth se retira du groupe et déscendit un chemin, il trouva quatre marins discutant du combat, ils saluèrent leur officiers et l'invitèrent �  boire avec eux. Seth s'excusa de ne pas accepter l'invitation et se glissa sur un vieux tapie déchiré, comme il le faissait dans le temps. Il regarda le ciel noir couvert de nuage, l'orage c'était calmé mais la pluie tombait toujours.

Le capitaine du cotre alla voir les deux anglais.
* Combien êtes vous?* demanda t-il dans un anglais plutot bancal. Le premier cracha sur le marin, qui lui enfonca sa lame dans la tête sans autre forme de proèce, le second plutot jeune devant cet acte trembla et son débit de parôle était tel que le capitaine ne comprit pas tout et l'ordonna de se raire et de répondre aux questions.

* Vous êtes combien?*
-* il doit avoir encore 50 compagnons.* Il recut un coup de poign dans le crane et la garde du sabre dans le ventre.
* Mais c'est la vérité!*
- Je voulais m'en assurer... ils sont encore plus nombreux que nous ces fils de putains!
- Demande lui pour leur brick Ajouta Colins en regardant l'eau ruisselait sous ses pieds. Le capitaine s'exécuta sans trop comprendre.
- Leur birck est surveillé par plus deux hommes et contient 6 canons de calibres 20.
- Pas nombreux mais puissant! s'exclama le maitre canonnier qui venait de rentrer.
- en effet demandons �  Jean de prendre avec lui tout les blessés et qu'ils attaquent le navire durant la nuit. Il faut que le brick ne soit pas détruit mais hors d'état de course... On ne pourra pas vaincre les anglais mais on peut prendre notre or avant eux et fuir, un cotre dévance un brick sans mat!

colins indiqua son stratagème, qui n'eut pas �  être voté par le conseil car les quatres personne présente étaient d'accord comme le serait tout l'équipage.

Le maitre canonnier alla avec les blessés au cotre. Quand soudain les chasseurs arrivèrent annoncant que leur chasse était un désatres, pas un ennemi tué. Ce fut un silence long et pesant dans la tente du capitaine qu'une voix tremblante brissa.

* Et moi?*
* Tu es libre! Va dire �  tes amis que s'il résistent encore ils seront tous tués!* Colins va prévenir Franck et ses trentes hommes de marcher sur le campement!

L'anglais s'enfuya sous les rires des francais. Colins arriva �  niveau de son capitaine.
- c'est quoi cette histoire de Franck? y en a jamais eut!
- C'est un plen...  

La nuit n'était pas finie. De nombreux blessés furent soignés et portés au cotre. Ce dernier reçut un ordre simple mettre hors possibilité de course le brick.

sous une nuit couverte de nuage, le cotre fit voile avec �  son bord le maitre canonnier et le second.
La pluie continuait de tomber en trombe, le ciel était extrèmement sombre et la fin de l'orage ne permit pas au ciel d'être éclairé par moment d'éclair déchirant le noir d'un ciel.

l'eau de pluie ruisselait sur les voiles, les alourdissant ce qui demandaient plus d'éffort pour les carguer ou les frêler. Le pont était recouvert d'un fin filet d'eau froide s'échappant du pont par des ouvertures dans le bastinguage ou dégoullinant dans le caïbotie et passant dans l'entrepont.

Soudain le vent adonna, le course du navire s'accelèra, las canons étaient couvertes d'une bache et déj�  chargés.

Le trajet fut lent car difficile, de nombreux courants et surtotu des recifs.
Au bout de trois heures le navires vit enfin la grève et une lumière sur la mer. Le brick n'avait pas éteint tout ses feux n'étaient pas éteint.

Le cotre fit rentrer ses voiles et se positionna feux éteint.

Sur le brick tout était calme, les marins dormaient dans l'entrepont alors que deux autres surveillés sur le pont sous la pluie. Les deux hommes s'étaient réjugiés �  l'abris de la pluie discutant et riant. Soudain un sifflement aigue, les deux hommes comprirent.

Dans l'entrepont calme un énorme bruit retenti, des morceaux de planches de l'entrepont babord volèrent en éclat sans faire de blessé. Le boulet avait été destiné �  l'un des canons du tillac mais la hôle avait fait rater son tir au maitre canonnier.

les mains se précipitèrent sur le tillac. La profondeur de la nuit les empêchèrent de voir un ennemi, il venait de la mer mais �  quoi ressemblait-il?
L'un des deux hommes de garde se dépêcha de souffler le foyer de la lanternne et observa l'horizon.
Tous virent ce qu'ils redoutent, dans la nuit des lueurs rouge-orangées avec un bruit de tonnerre.

le cotre qui avait tiré de son canon de chasse avait viré de bord pour leur offrir leur volée, seul le maitre canonnier fessait tirer les canons. Règlant chaque pièce séparement, la cadence de tir fut faible mais prècise.
Un des boulets ramés alla trancher l'espar de la contre civadière du mat de beaupré. Un autre s'énfonca dans la mer soulevant un jet d'eau. Un autre siflla et trancha net le mat d'artimont, tandis qu'un autre passa trop haut et coupa les cataras du mat d'artimont aidant ainsi le travail des anglais qu'ils se dépèchèrent de couper les haubans et les étais du mat d'artimont avant que celui ci de tomber.

Cela permi �  Jean de faire virer le navire toute voile pour leur offrir leur deuxième bordée, car recharger serait une erreur, leur objectif n'est pas détruire le navire mais de l'imobilisé comme il venait de le faire.
Les anglais commencèrent �  recharger leur pièces, jurant contre leur agresseur. La deuxième vague de boulet ramée retenti, deux tombèrent �  l'eau, un s'écrasa sur la coque et le dernier trancha le bastinguage et blessa un marin. la riposte ennemi fut moins dangereuse car trop précipité, elle ne fit aucun touché.

Le vent n'était pas en faveur des fançais, trop proche, et fort.

Le cotre réussit �  fuir mais en subissant une autre bordée qui par deux fois toucha le cotre dont un boulet qui traversa l'étambot et ravagea la salle de conseil sans faire d edégat humain, un autre qui rentra dans l'entrepont.

Les anglais venait de perdre un mat sur les deux. Leur navie ne pourra jamais poursuivre le cotre qui était soulavé car il avait réussit sa mission sans perte humaine.

la première partie de leur plan était une réussit mais elle conduira �  un échec de la seconde...  

Les pirates entouraient le campement, dans les hautes herbes de la petite plaine qui donnaient une vu dégagée sur le mer �  l'Ouest.

Les vingt pirates en groupes de 5 étaient cachés un peu partout avec de nombreux mousquet pour offrir une puissance de feu de plus de 60 hommes.

Le campement lui ressemblait �  rien, juste des tentes mise en cercle autour d'un foyer cetrale. Il était entouré d'une barricade haute de plus d'un mètre faite avec du bois de construction et des tonneaux et autre objet réistant et gros qui pouvait être utilisé afin de faire une protection de fortune. Les anglais n'avient jamais pensé devoir se battre ici.
Les anglais avaient plusieur fois tenté de sortir mais le mal leur avait couté. trosi d'entre eux étaient mort plusieur blessé et ils purent découvrir la puissance de feu de leur agresseur, imaginant qu'ils étaient plus d'une cinquantaine, nombre dérisoire.


Plus loin dans la zone rocheuse, sous une chaleur grandissante Seth et plus de six hommes creuséaient dans la grotte, sachant où était l'or il fallait dégager l'énorme malle voir si y en avait pas d'autre et les mettres sur le cotre. Qui lui était au mouillage avec les blessés.

le coffre fut dégagé dans la matiné mais les recherches continuèrent durant plus d'une journée afin de trouver d'autre coffre rempli d'or.

Sur le brick anglais on essaya de réparer le mat trancher mais c'était extrèmement difficil.
Le lendemain, deux jours après l'attaque du brick un groupe de dix hommes furent envoyés prévenir les autres de la mésaventure du brick et d'une menace inconnue.  

Les hommes attendaient tranquillement que les choses se passent.

Seth et ses compagnons n'avaient trouvé qu'un seul coffre qu'y fut déposé sur le cotre.
seth resta sur le navire afin d'être sûr que personne ne tente de fuir avec l'or laissant les autres sur l'île. Deux hommes allèrent voir le groupe qui tenait en siège le campement anglais.

Cinqs francais discutaient, surveillant les mouvements des anglais.

- J'espère que l'on va se tirer d'ici!
- chut... ca vient de l�  ca doit être les autres...

les cinqs francais regardèrent dans les hautes haies cherchant du regard deux marins qui viendraient leur anoncer la fin de leur combat. Une série de détotation résonna, les balles arrachèrent les herbes sur le passage et les marins francais s'écroulèrent mort ou blessé.

alert! Branle le bas de combat on nous attaques de la terre! Hurla le capitaine. En effet il s'agissait des dix hommes partient prévenir le campement que le brick était immobilisé.

Cette attaque fit l'effet d'un bouchon d'une bouteille qui saute. Les anglais décièdrent de sortir du camps, les francais prit entre deux feux tirèrent �  tout va.
Les balles sifflaient, les hommes de tout camps étaient blessés et mort. Les pirates qui se tenaient derrière une série de rocher furent tous tués, avec eux le maitre voilier.

Les morts tombaient, les francais étaient affaiblie. Leur seul chance tenait dans la puissance de leur feu, tous avec deux fusils. Cela vait tenu en retrait le sanglais croyant être en sous nombre, mais la peur et la soif les forcèrent �  attaquer le blocus invisible.

Le capitaine vut le maitre canonnier tomber, il savait, par le bruit des coups de feux, qu'ils étaient de moins en moins nombreux. Il ordonna le replis, sur les vingts cinqs qui surveillaient le campement, seulement treize fuirent, dont de nombreux blessés.
Les anglais déploiraient six morts seulement mais dix blessés. Ils se lancèrent, plein de haine, dans cette matinée qui avait calme, �  la poursuite des francais.

Les pirates couraient dans le petit bois, d'arbre et arbuste sec, entendant derrière eux les corsaires et parfois une détonation.

Jill, un blessé dont la jambe était totalement paralysé, demanda qu'on le laissa avec deux pistolets et plusieurs grenades. A lui seuls il causa deux morts mais grâce aux grenades ils ralentissa l'avancé ennemi.

Mais c'était une course �  la vie.  

Deux marins marchaient tranquillement, oubliant leur ennemis, quand une série de détonation et bruit sec les alertèrent. Des coups de feu, ils sont attaqués.


- Par la barbe du diable! Kevin dépéchons nous! les gars on besoin de nous!
Le dit Kevin, homme de forte stature mais de vue très faible, se caressa la moustache. ils commencèrent �  courir.

Marchant avec difficulté dans un champs de pierre ils virent plusieurs marins courient dont leur chef.

-Courez au navire fuez!!! Hurla le capitaine Thibeaut.

Derrièer lui le marin le plus lent reçut deux balles dans le dos, elles pénétrèrent dans la cage thoracitque, l'homme tomba sur une pierre la couvrant de son sang dégoullinant.

Les deux pirates hurlèrent de peur, mais ils tirèrent sur les premiers anglais qu'ils vurent. Sans effet autre que provoquer une riposte qu'elle aussi n'eut aucun effet.
Les pirate sfrancais connaissant un peu ce champs de pierre courèrent du mieux qu'ils purent mais les anglais eux avancaient lentement avec des mousquet vides.


Les francais réussirent �  devancer leur ennemis. Ils foncèrent sans perder de temps au cotre. Kevin annonca dans un souffle l'unique bonne nouvelle mais eprsonne n'y fit attention n'y si réjouissit.


Sur le cotre tout était calme quand soudain on entendit des cris. Seth monta sur l'entrpont et alla au bastinguage, il monta rapidement sur les haubans et regarda la coté. Il vit les francais désendrent �  tout vitesse laissant derrière eux par moment quelque chose, gardant juste leur arme blanche et leur pistolets en cas de combat.

les francais sautèrent dans les chaloupes. Sur le cotre totu le monde prit des mousquet et commenca un feux de couverture, certain ne mettant que de la poudre afin de faire croire �  une puissance de feux rédoutable.

Les chaloupes réussirent sans acune perte �  accoster le cotre sous le feux des anglais.  

Le cotre filait sous la vu des anglais. Ces derniers de rage se replièrent vers leur brick.

leur espoir de vengeance fut annéanti par la nouvelle d'un marin.

sur le cotre qui filait �  bon allure les pirates étaient heureux, heureux de vivre alors que leur matelot étaient morts.

Dans l'entrepont �  la cuisine le chirurgien-barbier Félinien travaillait du mien qu'il put.
Le coffre et son or fut oublié un moment. Le capitaine regardait l'île s'éloigner au loin, il respira la brisa maritime quand son attention fut attiré par le cris d'un oiseau. Il l'observa voler et se poser sur l'espar du grand hunier.
Un marin prit son fusil et visa la bête.

- Laisse ton fusil gars!! y a eut assez de mort aujourd'hui! Baisse ton fusil c'est un ordre.
- arrr! grogna l'homme en reposant son arme.
Le second, grand avec un tricorne qu'il avait acheté �  la tortue posait sur son crane laissant et serrant ses cheveux long et blond alla voir son capitaine.

- colins est au plus mal.
- Ce jour est taché de sang pour nous... Que dit le docteur.
- Il dit qu'avec les fièvres colins mourira cette nuit ou demain. Il délires. Félinien lui a retiré la balle du foie mais son état ne s'est pas améliorer.
- C'est un échec total! plus de la moitié d'entre nous sont morts

- Mais nous avons le trésor de notre défunt compagnon! Coupa un marin, un homme maigre dont la peau était frippée qui avait été toucha au pied.

Le capitaine souria le moral de certain était bon. La nuit passa mais personne n'osa ouvrir le coffre.