Imprimer la page - Survivre et s'enfuir

hrp: bon c'est le poste de la quête de survival horror, les joueurs pourront y participer si il me demande...
le groupe des survivants:
Martin Rapsodie(scar)
Santos Antonio juan (victormcbernick)
Noémie Valois (Black)
postes non occupé:
Simon Tafol
Valentin Samuel Dawn
Poste d'ouverture

La ville était maintenant déserte il ne restait plus d'âme qui vivent, en effet malgré les êtres qui se mouvaient dedans aucun semblait encore vivre.
Enfin presque, malheureusement alors qu'au loin les hélicoptères s'en allaient avec le reste des survivants, bien maigre nombre et les militaires eux aussi en deuil, une troupe d'homme était encore dans la ville.

La nuit couvrait la ville de son voile donnant � la situation un air encore plus lugubre, de certain coin de la ville de la fumée s'élevait, témoin des zones de combats où pour tenter d'éradiquer les menaces de ce qu'on appelé les hordes, les zone savaient été bombardé au napalm. Une odeur de chair brûlée s'échappait de ses charnier de corps carbonisés.

Dans un garage d'un gratte ciel se tenaient les dernières personnes respirant encore. Ils étaient barricadés entre trois voitures, autour d'eux quatre autres hommes morts et plus d'une vingtaine de ces choses déchiquetées par les balles.
L'endroit était sombre éclairé seulement par les lumières rouges de secoure du garage et les faisceaux des lampes des armes, on pouvait voir le projeté des ombres, seulement des voitures mais la peur d'y voir un "homme" voire un mutant se ressentait dans le groupe. CE qu'ils appellaient mutants étaient des morts qui avaient eut des mutations et se trouvaient ainsi mutilé et transformé possédants une résistance hors du commun, alors que les autres tombé comme tout mortel sous quelque balles, certain avançaient le ventre presque coupé en deux, d'autre avaient des tentacules ou des pinces ou autres choses tout droit sortie des films d'honneur.

Mais rien juste le silence. L'un des hommes, le plus âgé sorti et alla sur le cadavre d'un des soldats totalement dévoré � la forge par un cadavre qui tenait encore entre ses dents la chair du soldats. Il prit son arme de soutient une PKM, mais heureusement elle était hors d'usage, elle aussi détruite par la rage des morts.

- Faut se bouger d'ici!
- Comment gars? On a peut entendre dans les haut parleurs l'annonce que les soldats se tiraient! Rétorqua Martin, qui s'avanca aussi l'air nerveux et mauvais.
- Soit on reste ici soit on tente nos chances! faut trouver un moyen de partir ou de communiquer!
- Impossible dit le soldat. La ville est sous brouillard magnétique il a fallut des hélicos capable de résistance � un champs magnétique plus dense pour y entrer, toute nos ondes seront brouillées! On est coincé
- On va mourir! S'écria l'employé de bureau.
- Non Hurla le vétéran, sa voix résonna dans tout le garage, on resta sans rien faire les armes pointés, mais rien ne vint. On va pas se laisser crêver ici! faut se battre! J'ai connus très jeunes le vietnam et la guerre du golfe, on a put être abandonné par notre pays mais pas par nos forces intérieures!

On y va!

le ton était presque un ordre, il se leva posa son fusil sur son épaule et regarda ses compagnons de fortune. sûr qu'il y allait, seul si il le faut, mais les autres le suivront-ils?

San antonio juan se leva et prit son arme, c'était un fusil britanique, un BAR M1918, utiisé pendant la 1ére guerre, Il s'avanca et regarda le carnage, un corps décompose par les vers par ci, une voiture brulé par la, il essayait de se rappeler pourquoi il était la, les choses lui revinrent peu � peu, sa mission qui était d'assurer la sécurité de l'île, ses supérieurs qui l'avaient envoyé il y'a 2 ans, les soldats qui fuyaient la ville, il prit son arme et son sac dos, puis suivit la fille.
Il connaissait cette île par coeur, il en a été le médecin pendant 3 ans, il connaisait les endroits ou se cacher, il se retourna et parla au groupe.
je connais un endroit ou l'on sera tranquille pour la nuit, vous me suivez?
Alors qu'il parlait, un bruit se fit entendre dans les buissons, Tout le monde braqua son arme sur ceux-ci.

Dawn regarda les deux soldats, ils avaient pas la force de volonté que lui avait eut durant ses combats... Mais ils avaient raison, il avait eut raison de les motiver.
Talfo les regarda et dit dans un murmure.

- je pense que j'ai pas le choix...
- Ta cachette est proche? demanda Samuel qui sans même attendre commença à marcher.
- Tu nous y mèneras!

Il marcha lentement, droit l'arme au poing le canon devant lui, Martin alluma sa lampe et avança juste derrière le vétéran.
- que l'un d'entre vous surveille nos pas, et protège nos arrières. Et toi Martin éteint ta lampes faites tous de même! faut économiser les piles l� où on peut.

Martin obéissa sans hésiter et eut les deux mains libre pour tenir son famas.

Le garage était vide et silencieux, ils devaient soit monter par le chemin des voitures où l'escalier ce qui était le mieux. Un panneau indiqué l'escalier de secoure � deux cent mètres � gauche, on pouvait voir dans le noir la lumière rouge indiquant l'escalier.

Noémie couvrait les arrière du groupe, l'arme � la main. De temps en temps, elle placait son oeil dans la lunette de son fusil d'assaut, laquelle pouvait fonctionner en vision nocturne. Marchant plus ou moins � reculons, elle pointait son arme dans de nombreuses directions, prêt � tirer.

Noémie avait déj� une certaine expérience de ce genre de situation, où l'on doit protéger un groupe de civil en terrain hostile ; expérience aquise lors de ses début dans l'armée, lors de la Guerre du Kosovo et plus tard lors de l'Opération Licorne, en Côte d'Ivoire, mais également lors des diverses opérations de contre-terrorisme, où chacun doit veiller sur le reste du commandos.

Soudain, la porte éclata et plusieurs zombie apparurent. Noémie se retoura, s'accroupit et tira. Soudain, un zombie attrapa Antonio avec sa langue. Malgrés l'agitation du médecin, le zombie ne lachaient pas prise. Noémie lâche son F2000, sortie son Desert Eagle, visa et tira dans un grand bruit. La balle transperça la tête de zombie, ce qui lui déchicta le crâne. Antonio s'empressa de revenir près du groupe, tandis que Noémie repris son F2000.

A peine eu telle ramasser son arme que des bruits arrièvrent par derrière.

- Attention derrière ! cria-t-elle.

A peine eu telle tiré trois balles qu'une planche lancé par un zombie l'assomma.

Antonio courut vers la maison et remercia Noémie de l'avoir sauvé, l'homme reprit son fusil et tira sur un zombie, il eut a peine le temps d'avertir Émilie, que l'un d'entre eux lui lança une planche dessus, antonio s'approcha du zombie et le tua avec la crosse de son arme, il prit son pistolet et l'un des zombies s'écroula � terre, le reste fuya et antonio alla voir noémie.
ca va,dit-il, vous n'avez pas d'hématome trop grave dit-il pour la rassurer.
le groupe de survivants s'aventura dehors.
l'église est de l'autre côté de la ville, mais il y'a un laboratoire sur une colline pas loin d'ici, que diriez-vous d'aller la bas?
antonio avança avec précaution, en longeant le mur d'une maison, il se rendit compte que sa boite de cartouche était tombé de sa poche.
je n'ai plus de cartouche, elle ont du tomber de ma poche dit-il
Il pesta contre lui-même, et les survivants continuèrent d'avancer.

Noémie s'était relevé. A travers le noir elle distingua un zombie et le tua d'une rafale. Malgrés son casque qui l'avait protégé d'une blessure, elle restait un peu sonné. Elle suivit le reste du groupe au dehors du bâtiment. Suivant Antonio de près elle remarqua aussi qu'il n'avait plus de munitions.

- Prenez mon pistolet. C'est un Deser Eagle calibre .50, un pistolet de fabircation israélienne. Chargeur de 9 balles de gros calibre. Il est assez précis mais le recul est important, faite gaffe en tirant, je vous conseil de le tenir � deux mains. Il est chargé, voici 4 chargeurs. J'en ai encore 2 si besoin.
- Merci beaucoup.
- De rien, si je vous trouve une arme plus conséquente, je vous la prend.
- D'accord.

Noémie retourna couvrir l'arrière du groupe, tandis que Antonio, suivit de Dawn, continuait d'avancer.

Tout avait été si calme et sombre avant cette attaque, où la porte en fer s'était ouvert avec une telle violence qu'elle en était presque sorti de ses gondes. Sans hésiter Dawn tira le premier suivit de tout les autres, rapsodie le fit plus nerveux que conscient.
Le garage s'illumina par éclairs des tirs, les coups résonnaient et les créatures s'écroulaient juste après être passé par la porte. Après que la dizaine de zombies furent exterminé tout redevint calme.

Dawn s'avanca et observa un des cadavres, vraiment pourri. Soudain venant de derrière eux, un énorme cris tous se retournèrent ils entendirent quelque chose grincer puis une voiture venant de trois rangées de voiture plus loin volant par dessus et s'écrasa sur une ford noire dans un vacarme assourdissant. On ne voyait pas la chose responsable de cela mais on entendait son pas, lourd et violent on balya la zone d'où provenait le bruit.

Tafol trembla il voyait le projeté de l'ombre, une énorme masse. Souadain la chsoe sauta sur une voiture enfonçant son capot et son moteur de son poids, il vit les survivants. Dawn calmement visa et tira dans la tête, la balle qui aurait du normalement faire éclater la tête de ce qui avait été un humain entra mais ne fit rien. la chose hurla et ouvrit sa petite mâchoire frappa du poing faisant voler le capot de la voiture puis elle fonca vers les survivants qui commencèrent tous � tirer mais cela n'arrêté en rien leur cible qui défonçait les voiture qui séparaient la bête des humains.
Quand les chargeurs devinrent vide, tous furent envahit par la peur.

vite l'escalier hurla Noémie! Tous courirent sautèrent par dessus les cadavres et commencèrent � monter l'escalier de fer en rechargeant. l'endroit était haut mais très étroit ils ne pouvaient fuir que par les autres étages. La créature s'avança et défonca le mur, envoyant des débirs dans un nuage de poussière...

Les survivants étaient passés � deux étages et s'étaient retrouvés au rez de chaussés du bâtiment, par chance juste � temps car le poid du monstre avait fait cédé l'escalier qui s'écroula derrière eux dans un vacarme de fer, brisant le silence.

- Ouf! C'était quoi ce truc! Dit Simon les yeux grand ouvert par la peur.
- Chait pas mais il est mort. Dit Valentin en s'asseyant un moment et baissant la garde. Mais il faisait erreur, la porte éclata et on put voir la bête se hisser elle n'était pas tombé par on ne sait quel miracle.
Le groupe la regarda se hisser, le corps humant par les brûlures, la musculature sur développée, osant rien faire, Martin pointa son Famas sur elle, les mains tremblantes.

La créature avait presque finit son ascension. Noémie réagissa en premier tira trois balles mais elle recut en réponse un coup qui la pojetta contre le mur, sa tête heurta le béton. valentin se leva et avec tout le groupe tira un feu si fourni que la chose ne put avancer, Martin visa les pieds.

Les balles tranchées la chair et arraché des morceaux d'os, Valentin le regarda et souria malgré sa peur il fit de même. En effet en quelque pas la monstre eut les pieds déchirés et son corps tomba lourdement mais il n'était pas mort. Mais la puissance des impactes le projetta en arrière et il retomba de nouveau. Cette fois on peut entendre l'être tomber dans le vide et s'écraser sur les restes de l'escalier.

Martin et simon coururent � la porte et vidèrent leur chargeurs en bas pour s'assurer qu'elle était morte, la cage d'escalier totalement obscure s'illumina un moment mais Dawn leur ordonna de s'arrêter.

- Gars tu es pas un génie! Bien joué pour ton idée de lui trancher les pieds mais maintenant il te reste des balles? Martin le regarda gène. Prend le fusil � pompe de la fille elle va pas s'en plaindre... Comment elle va sergent?

- Appelé moi Antonio... Dit le médecin penché sur le corps de Noémie.Elle va rien juste un peu choquée, elle saigne de la tête mais c'est juste une déchirure de la peau riend e grave un bandage pour éviter que ca saigne et ca suffira.

Le groupe était sur pied, tous se tournèrent vers antonio, baissant cependant par leur garde.

- A vous de nous conduire! Dit noémie calmement.
- Vite y a pas de temps à perdre! rajouta Talfo.
- Calme et silence! C'est comme une guérilla ici, comme le vietnam ou les guerres d'amérique du Sud. dit Valentin, en mâchant rien du tout. Il sortit son paquet de cigarette. Le regarda, plus que cinq! Pas maintenant ca va me gêner, faut que je tiennes. Pensa t il.

Le hall était large, haut de trois étages, avec un balcon dans le hall face � la porte d'entrée: une baie vitrée de quatre mètres de haut. Les portes étaient cassés, des morceaux de verre répandu un peu partout.
- Ca sert à rien de rester ici allons y lentement! Dit Noémie allongeant le pas. Le groupe avanca lentement vers la rue, regardant partout. Leur pas n'étaient pas silencieux, chaque fois qu'ils posaient le pied, les morceaux de verre craqué sous leur semelles heureusement épaisses.

La rue, très large faite d'une rue � double sens et de troitoir large de plus de trois mètres chacun, était un décor chaotique, le ciel était sombre, la nuit couverte. Seul quelque lampadaires marchaient encore, illuminant d'un rayon léger la rue, couverte de débris et d'impacts de balles. Les voitures étaient renversées pour la plus part, les vitres brisées, les carrosseries défoncés. Il y avait eut un combat ici et � voir les voitures, la police avait intervenu au début des évènements. Prêt de la voiture on pouvait voire par l'irrégularité du sol des cadavres sans aucun doute des policiers et des mutants. La plus part des fenêtres des bâtiments étaient en ruine.
Les arbres étaient les seuls sauvés du massacre, dénudé de fenêtre, certains étaient marqués des coups.

le groupe n'avait plus qu'� suivre antonio, dans cette endroit silencieux

La nuit était longue. Le laboratoire n'était pas fait pour accueillir des personnes de nuit, mais il fallait diminuer la zone � surveiller et le fait qu'il y ait que deux portes dans la salle où ils étaient simplifié la chose.

L'endroit était blanc, silencieux et ordonné, il ne s'était rien passé ici. Le temps passa lentement, sous le conseil de rapsodie antonio avait éteint sa lampe et tentait l'oreille aux ronflements du retraité, Talfo, s'avança vers lui.

- Je peux pas trouver le sommeil avec tout ces évènements. je me demande comment font les autres. Comment tenez vous?

regardant l'homme, antonio répondit
eh bien, j'ai déj� passé 3 ans sur cet île, en tant que médecin, et je ne trouvais pas le sommeil moi non plus a l'époque, je me déplaçais chaque nuit pour visiter une maison de l'autre côté de la ville, donc je ne devais pas m'endormir, c'est presque une habitude de passer une nuit blanche pour moi.
Il prit une fiole par terre et souria, puis il reprit
je me réfugiais dans ce laboratoire et je m'amusais a tenter des expériences invraisemblable de temps en temps, quand je n'avais rien a faire la nuit.
Il posa son arme prés de son sac et alla vers les survivants, antonio secoua doucement Noémie en lui chuchotant
c'est ton tour de garde
Il s'endormit.

elle ouvrit lentement l'oeil, se leva et alla rejoindre Talfo pour monter la garde. Le temps s'écoulait en silence, soudain Talfo tendit l'oreille. Au bout de quelques secondes plus aucun doute il y avait autre chose dans le laboratoire.
- Madame! écoutait lui murmura t il. Elle retenu sa respiration et en effet elle entendait des pas silencieux, d'une chose se déplaçant � très grande vitesse. Elle arma son arme et murmura

- On est pas seul Les bruits semblaient s'approcher, la tension montait puis un coup frappa � la porte, un autre coup où des griffes traversèrent la porte. Mais disparurent aussi tôt. La troupe s'était réveillé en sursaut. Martin prit son fusil l'arma et se leva, le regard vide, secouant sa tête pour se réveiller.

- Elle va nous traquer! Faut rester ici et surveiller Murmura Noémie.

Martin leva les yeux au plafond et vit les conduits d'aération il braqua son fusil sur la grille et attendit.

Antonio s'était réveillé un peu vite, il prit son arme et courut rejoindre les autres survivants, il entendit des coups de griffes a travers la porte, et entendit des coups a travers la grille, soudain, Un horrible zombie tomba de la grille et saisit Antonio par la taille. L'homme se débattit et le tua après l'avoir frappé trois fois avec la crosse de son arme, L'espagnol fut recouvert d'une matière visqueuse, une bande de zombie brisait soudainement la porte, et se jetèrent sur Antonio.
Le soldat tira une rafale de son arme, mais n'ayant plus de munition, il jeta son arme sur les zombies, il sortit une grenade de sa poche et la lança sur les zombies, plusieurs d'entre eux brulèrent, mais le reste continuait son chemin, Antonio sortit de son sac un MP5, et mitrailla les zombie, mais il lâcha son arme car un zombie venait de l'attraper avec sa langue

Antonio qui s'était séparé du groupe sans que personne ne s'en aperçut, fut prit en pleine charge; les survivants accoururent pour l'aider. Ils virent la masse humain qui le submergé, Martin n'osa pas tirer alors que les autres firent feu faisant attention � ne pas toucher leur camarade. Martin fonca avec sa clef � molette, frappa un coup sec sur le crâne d'un premier zombie et attrapa la langue qui tenait son ami, d'un autre coup il la déchira. On entendit un hurlement et la créature fonca traversa les autres zombies. Martin cracha sur le sol, se tenant droit alors qu'autour de lui tout se battait, les balles sifflaient et déchiquetaient les chairs en putréfactions.

Il leva sa masse de fer et frappa sur le bras du monstre, on put entendre un os se briser mais la créature n'eut rien � faire et appliqua son poing dans le ventre du garagiste. Puis un coup de pied, qui lui fit lâcher son arme et deux autres coups de poings le projeta � terre, les lèvres éclatées d'où un filet de sang coulait et la jambe gauche qui le faisait souffrir. La créature se mit posa son pied sur sa pointrine et commenca � se baisser avec le reste de sa langue pour l'étrangler, elle serait le cou de martin.

Personne ne le voyait, antonio se débattait � main nu contre les créatures qui l'encerclé et Tulfo et Noémie durent rediriger leur tirs vers le mru qui avait cédé d'où d'autre zombies sortaient.
Seulement huit zombies avaient attaqués Antonio mais ils tenaient dur même si il y en avait que 3 debout et la "langue" qui étranglait rapsodie. CE dernier sentait l'air lui manquer, il serrait son coup pour lui offrir une résistance mais ses jambes tremblaient, tout allait être finit dans quelque secondes malgré les coups qu'il donnait aux monstres et tentant de lui arracher la langue. Son révolver! Il le chercha sacrifia ainsi son cou qui fut serré de plus en plus fort. Ses mains palpé sa ceinture, rien où était il.
Martin commencait � tourner de l'oeil, ses muscles se lâchés lentement puis soudain, trois détentes dans la poitrine de la "langue" qui se releva presque mort. Martin reprenant son souffle, se redressant sur un coude, et allongeait � terre le visage bleuté et grimaçant il tira une autre balle qui fit exploser le crâne du monstre.

Dans ce combat personne ne vit que le corps du monstre aux grandes griffes avaient disparu.
Le combat continuait encore.

Alors que le combat faisait rage, antonio aperçut un zombie qui allait l'attaquer par derrière, L'homme fit une roulade et prit un fusil a pompe par terre, il tua le zombie en lui donnant deux coups de feu dans la tête.
Les zombies reculèrent finalement, Antonio demanda un peu de patience a ses compagnons.
je dois vérifier quelque chose, attendez-moi ici
Antonio prit une seringue, une plaquette et versa un peu de boue que le zombie lui avait lancé dessus en explosant.
Il mit la boue sur la plaquette et étudia celle-ci au microscope.
L'homme alla avertir ces compagnons de sa découverte.
faites attention, certains zombies explosent et libère de la boue qui attire leurs amis, il y'a comme une odeur qui les attire vers nous dedans.il reprit son souffle et demanda vous voulez rester ici?

Noémie, qui avait massacré plusieur zombie, s'avança vers Antonio.

- Si ces saleté sont attiré par cette odeur, � moins de faire le ménage en 2 secondes, il vaut mieux mettre les voile, sinon il y aura assez de zombie pour coulez le Charles de Gaulle.

Le jaune sergent rechargea son fusil d'assaut et regarda ce qui lui restait dans son sac � dos. 6 chargeur de F2000, 8 chargeur de Desert Eagle, des vivres pour 4 repas, des barres de céréales, 4 grenade � fragmentations, 4 fumigènes, 2 flashbang, 1 grenade au phosphore, des pansements, du désinfectant, un aspi-venin, de l'onguent, une bobine de fil avec une aiguille, 2 barettes métaliques pour servire d'attèle, sans oublier son couteau de combat.

- Toubib, si vous avez besoin, j'ai du matériel de premier soins, il y a une trousse dans la grande poche. Si vous avez besoin allez-y. Je sais utiliser ce qu'il y a l� , mais je ne suis pas un chirurgien, et généralement, on ne se soigne pas soit même, c'est le membre de votre groupe qui a une qualification. Ici, c'est vous.
- Merci, j'y penserai.

Noémie fit un signe de tête � son collègue espagnol. Et se raprocha, afin d'écouter la réponse des autre membre.

L'équipe était nerveuse, tous se tenaient � l'affut des dangers. martin le fusil � pompe sur l'épaule regarda par terre et dit.

- Hey! Il en manque un!
- Quoi tu parles de quoi? Dit Noémie.
- Il manque qui? Demanda à son tour Samuel en arma son arme et regardant au plafond pour trouver la chose.
- Le truc qui a attaqué antonio! il est pas là...

Martin avait presque crié cette phrase car il vit la chose passer, elle les regarda tous la braquaient, prêt � tirer. il émit un son, comme un sifflement et disparut � toute vitesse entre les survivants, les vêtements resta un moment en l'air puis descendirent lentement. le mouvement provoqué par la vitesse de cette chose avait été impressionnant, comme le souffle d'une explosion, aucun l'avait vue passer entre eux, la chance voulut qu'elle n'en tua aucun.

- Faut se tirer!

évènement rp

La troupe partit dans la direction opposée de la chose, ils montèrent plusieurs étages et arrivèrent dans la zone de vie et d'accueil du laboratoire; des étages bien plus chaleureux que ceux du sous sol, des endroits avec de la moquette bleu azur, des murs blanc décorées de tableaux, des salles de conférence et une petite cantine et un salon.
- Le grand luxe! Ironisa le cascadeur.
- ouaip! De quoi vivre heureux! Rajouta l'employé de bureau en allumant les lumières.
- Y a l'électricité ici? S'étonna l'ancien soldat.
- Oui il y a un générateur ici, enfin pour les cas d'urgence comme pour l'hôpital Dit le médecin de l'armée.
- c'est pas mal ca nous permettra d'économiser nos lampes! et d'avoir un endroit où nous chauffer.
- Nos confrères on coupé la centrale on pourra jamais la remettre en marche on a de la chance. Dit pour finir noémie.

La nuit se finit sans rien � avoir � signaler, on avait bariccadé les portes et autres entrées.

La nuit s'était passée sans aucun bruit, juste par moment le son angoissant de certains monstres marcher dans la rue, mes les tuer auraient été inutile.
Le soleil se leva, réussissant � percer les nuages éclairant une ville désastrée et silencieuse, c'était certain; ils étaient les seuls survivant ou d'autre étaient dans une autre zone fortifiée.

La troupe se mit sur le pied de guerre, mangeant ce qu'ils purent. Ils retirèrent les meubles devant les portes et les ouvrirent, l'escalier était désert silencieux...

Ils descendirent pas tout de suite, car un bruit de raclement vint de l'étage supérieure.

- On fait quoi? demanda Raphsody, nerveux empoignant son arme de pleine main.

Tous en firent pas un bruit, on entendait au plafond marcher, le bruit venait de l'étage du dessus, un bruit de pas doublé par moment d'un grincement comme quelque chose qui était planté puis trainée sur le sol.

Alors que les survivants descendaient l'escalier de service, surveillant � la fois en bas et en haut, un cris se fit entendre � l'étage où il avait entendu le raclement.

Un appel au secours. Noémie regarda ses compagnons.
- Un survirant? dit elle presque en bégeuillant.
- Faut y aller! répondit Talfo, préparant son arme.
- pas de précipitation... dit calmement Dawn qui continuait � descendre.

Mais déj� les deux civils et le médecin montaient � toute vitesse � l'étage. Le vieux vétéran soupira alors que Noémie les suivait afin de les aider, le vétéran remonta l'escalier tout en surveillant que rien ne monte.

dans l'étage, le couloir était désert, les portes ouvertes menant � des bureaux. On pouvait entendre des bruits de combats et d'un appel au secours sans hésiter tous coururent � toute allure, alors que Dawn mit un bureau devant la porte bloquant ainsi l'accé � l'escalier.

le bruit venait d'un bureau dont la porte était fermée. D'un coup de fusil � pompe Noémie la fit sauter. L'endroit était sombre mais on pouvait y voir un mur détruit et une masse penché sur ce qui appelait � l'aide.

Sans hésiter tous tirèrent. Dans la lumières des éclats, la salle s'illumina de jaune et d'orange, d'ombre. les projectiles sifflèrent et allèrent s'écraser dans la chairt ou le mur; la créature � la peau totalement noir, carbonisé avec deux énorme pinces reçues les balles en plein torses sans réagir. la cadence continua un moment avant que l'un des membres se déchira et que la créature eut un mouvement de recul, l'arme de Martin était vide.

noémie mit une balle dans son fusil qu'elle avait déchargeait et couru vers la chose qui ne bougeait plus; elle se mit devant et appuya sur le détente, la chevrotine vola et fit éclater la cage thoracique.

Le monstre s'écroula inerte. Un homme se releva, il semblait s'être battu, son vêtement était déchiré, il saignait un peu.

- qui êtes vous? interrogea Juan en déchirant la chemise pour voir l'étendu des dégâts; très sommaires.

Tandis que les autres membres du groupe s'occupait du miraculé rescapé, Noémie se placa près de la porte, afin de monter la garde. Ne voyant que du noir, elle voulus activer la lampe torche situé sous le canon de de son fusil d'assaut, mais pensa soudainement que cela trahirai leur position. Aussi, elle enfila ce que possède tous bon commando, des lunettes de visions nocturnes.
Scrutant le couloir, elle constata que tous était redevenu calme. Elle en profita pourjeter un coup d'oeil � ses compagnons. Antonio s'occupait de soigner le survivant. La jeune sergent commenca alors � vérifier ses munitions. Il lui restait encore de chargeurs de 30 coups, sans compter le demi qui était déj� dans l'arme. Soudain, un bruit alerta la jeune femme. Au fond du couloir, des bruit de pas et de grognements. Noémie endossa son arme et la pointa vers les arrivants.

- Préparez-vous les gars, on va avoir de la compagnie.

Davis encore sonné mis quelques secondes avant de répondre au médecin.

-Moi c’est Jeff Davis et vous doc’ vous pouvez vous identifier vous et le reste de mes sauveurs ?

Cela blesser son ego mais il devais bien avouer que sans ces personnes il serait il tripes a l’air en ce moment

-Moi c’est Antonio le médecin comme tu l’as deviné. Dit le doc’ tout en bandant l’unique plaie qui saignée relativement abondamment, une entaille au cuire chevelu. Ensuite voici Martin, Simon, Valentin et Noémie du commando de l’ONU. Tous le saluèrent d’un signe de tête, Jeff se releva en prenant appui sur Antonio.

-En tout cas j’vous remercie les gars… heu et vous aussi mademoiselle biensûr. Noémie ne sembla pas calculé la remarque, visiblement trop occupé a vérifier les munitions qui lui restée. Davis ramassa son M80 pour vérifier qu’il n’est pas subit de dégâts.

-Ha parfait la lunette est intacte la chasse aux zombie peut reprendre. Dit-il avec un sourire
-Waw ! Mate moi la taille de sa pétoire ! S’exclama Martin.
-Ouais avec il aurait pu décapiter monsieur Pince…si ils s’étaient retrouver a 25 mètres l’un de l’autre…Souligna le vétéran
-Exact heu Valentin c’est ça ? L’homme acquiesa . Vous avais servi dans l’armée ?

Dawn allait répondre quant Noémie leurs annonça l’arriver d’invités surprise.

les bruits dans les couloirs devenaient envahissant et insaisissable, il y en avait partout même au plafond et � l'étage du dessous.

Par la fenêtre du bureau dévasté Martin regarda la rue. Un être grand mené, le terme était exacte une horde d'infectés dans le bâtiment en poussant des hurlements terrible digne d'un ours. Martin plissa les paupières pour mieux voir, l'être était de taille humaine, et avait été un homme mais sa peau semblait couverte de plaque rouge et une de ses mains était absente déchiquetée sans doute.

- Bordel ca arrive par la rue y en a des tonnes!

Dawn et le medecin regardèrent par la fenêtre, tout les anciens habitants et travailleurs du quartier semblaient débouler des rus, dont l'une des extrémités était bouchée par un carambolage de voiture et un camion renversé qui formait comme une muraille de carcasse.

- Ho merde! On est finit! dit Martin la voix tremblante, comme son corps, la sueur froide glissant le long de l'échine.
-On doit monter y a pas le choix: sur le toit ca sera plus simple � protéger! Vite courrons!

Tous s'élancèrent dans le couloir. Valentin courait devant, ouvrant la route, tandis que Noémie protègait l'arrière du groupe. Pendant ce temps, plusieur zombies et monstres brisèrent les fenêtre situé � droite du couloir.
Un moment, le groupe arriva au bout du couloir, qui repartais vers la droite, pour descendre au rez-de-chaussé. Noémie se placa au coins du mur.

- Filez, je les retiens !

Noémie commença � tirer sur tous ce qui bougeait, tandis que le reste du groupe continuait d'avancer. Qunad elle eu vidé son chargeur, elle rechargea et recommença � tirer. Les zombies s'écroulaient sous la grêle de balles Soudain, un monstre d'une laideur et d'une agilité incroyable sauta sur Noémie, après avoir brisé la fenêtre. Dans un reflexe inhé, la jeune femme lui donna un magistral coup de crosse qui le repoussa. Quand elle li visa et tira, le monstre bondis s'un saut et esquiva. Noémie vida son chargeur sur les autre, afin de les empêcher d'aprocher, mais...

- Merde, plus de balles.

La jeune femme fut interpellé par grognement provenant de la fenêtre � sa droite. Elle vit la tête d'un monstre agripper sur le rebord, se lechant les babines. Noémie lui balanca son fusil d'assait FN F2000 � la figure, et le monstre tomba � la renverse. A ce moment, le monstre a grande agilité sauta sur Noémie, mais celle-ci eu le temps de tirer un coups avec un pistolet Desert Eagle, et le monstre s'écroula raid mort avec une balle de .50 dans la tête. Noémie dégoupilla ensuite une grenade � fragmentation et la lanca, avant de descendre l'escalier.

-Bande d'imbécile monter l'escalier ils viennent de la rue! Hurla Dawn et l'autre civil.

Martin qui avait commençait � descendre comprit son erreur, plusieurs créatures montaient l'escalier � toute allure. Martin vit un extincteur � côté de lui il le posa sur le sol et remonta d'un palier. Quand trois zombies arrivèrent aux niveau de l'extincteur Martin tira dessus, il avait pas arrêté de le viser. La balle fila droit dans la bombonne qui éclata sous la pression faisant voler les trois monstres par dessus l'escalier et un autre reçut l'extincteur en pleine face le décapitant sur le coup.

Martin montait l'escalier par deux marches quand il revint au niveau de Noémie qui semblait submergé. Il ouvrit la porte et commença � son tour � tirer pour la protéger.
- Bouge ton cul vite ils vont pas tarder par l'escalier! Disant cela, martin put entendre des coups de feux derrière lui c'était Valentin et le nouveau venus qui alignaient ceux qui montaient l'escalier.

N'ayant pour arme que son gros pistolet, Noémie fit attention lorsqu'elle tirait. Alors que Valentin et Jeff tenait en respect les zombies venant d'en bas, Noémie tira sur ceux d'en haut. Sa grenade en avait éliminé un paquet, amis il en arrivait toujours. Heuresement Martin l'aidait � les contenirs.

- Ils faut qu'on trouve un moyen de sortir, si on reste ici on se fera massacrer ! s'écrai Noémie.
- Ah, oui ! Et comment tu compte faire ? répondit Valentin en tirant.

Noémie n'avait pas trop d'idée. D'un côté, un couloir avec des monstre, de l'autre, un escalier avec d'autre monstre. Seul issue, la fenêtre. Seulement, l'équipe se trouvaient au premier étage.

- Pourquoi mon idiot de frangin n'est jamais là quand on a besoin de lui ? se demanda la jeune femme.
- Vous avez un frère ? demanda Martin.
- Ouais, il est sergent-chef dans le 1er RPIMa, dirige sa propre équipe et parcoure le monde depuis 1998. Mais évidement, quand on a besoin de lui, il est pas l� ce con !

Martin souriat tandis que Noémie rechargeait son Desert Eagle, avant de recommencer à tirer.

Les survivants était tous en cercle, Davis était a coté de Rapsodie, l’ancien tireur d’élite ne savait pas sur quelle abomination tiré ,ils était trop nombreux, trop prés, il pointer le canon de son arme de cibles en cibles sans osez tirer, il commençai � suer. Ca ne lui était jamais arriver, même en Irak lorsque il a avait été pris sous le feu ennemi et que ses meilleur amis, ses frères d'armes avait était tués, il avait su gardé son calme et s’en tiré.
-« Hé Davis c’est pas le moment de nous lâcher ! » Hurla Dawn.
Jeff n’avait pas compris ce qu’avait hurler Valentin mais cela suffit � lui remettre les idées en places en une poignée de seconde il était redevenue normal. Il mis son fusil de précision � l’épaule et pris le Taurus que Martin avait � la ceinture.
-« T’inquiète pas mec j’te le rendrais après.
-Hein…heu…ok mais…
-Cessez le feu ! Ils n’avancent plus ! » Hurla Noémie coupant Martin dans ses propos.
Et elle avait raison les hordes d’infectés qui les avaient encerclés c’étaient stoppés � quelque mètres d’eux.
-« Qu’est-ce qui leurs arrivent ? » Demanda Talfo.
-On dirait que…non ça peut pas être ça…
-A tu pense a quoi Jeff ?
-Bin… on dirait qu’il attendent un ordre…mais c’est un possible ces chose ne peuvent être si bien organisés…
-A mon avis elles attendes juste que l’on tombe de fatigue. » Rajouta Antonio.
Quoi qu’il en soit la situation était bloquer, sept mètre tout au plus séparés les rescapés des hordes affamés qui les encerclés

Le sniper essayer de voir l’espace qui sépare les deux toits, mais les hordes l’empêcher d’appréciait correctement la distance.

-« Mouais ça va être tendu, y’a un peut moins de trois mètres mais l’autre toit est en contre bas sa joue pour nous ça.
-Bon ok dans ce cas l� on y vas, allumé tous ceux qui vous barrent la route. On a pas le droit a l’erreur, la prise d’élan est restreinte et étroite. » Dit Dawn avec autorité
Le groupe resserra le cercle jusqu'� qu’il soit dos a dos , � ce moment l� Valentin compta jusqu'� trois et la petite escouade se rua en direction des carcasses sur patte qui la séparée de son objectif en faisant feu de tout bois. Les zombies furent pris de vitesses et leur réaction fût tardives,tant et si bien que les rescapés purent franchir l’obstacle sans rencontrer une véritable résistance. Ils réussirent � atteindre le toit opposé, non sans peur, Talfo avait manqué de glisser sur le rebord mais Noémie le rattrapa � temps.

-« 3 mètres, mon cul ouais ! Il y avait facile trois mètres cinquante ! » Dit l’employé de bureau fous de rage d’avoir faillit mourir a cause d’une mauvaise appréciation de la distance
-« Hé mec en même temps quand t’as une meute de zombies devant toi c’est pas facile d’y voir quelque chose , alors maintenant si t’as un problème on peut le régler de suite.
- Aller les gars c’est pas le moment foutre sur la gueule essayons de descendre. » Jeff allait rejoindre les autres quand quelques chose attira son regard
-« Hey, Davis t’as entendu faut que l’on se bouge ! » Hurla le vétéran.
-« Non, non…attend, regarde ça Valentin.
-De quoi qu’est-ce qu’il y a ?
-La debout sur la carcasse de voiture, � 150 mètres légèrement sur la droite, tu le vois ? » Le tireur indiquer � l’ancien soldat un infecté au teint apparemment rougeâtre, mais difficile � dire de cette distance et dans la nuit, qui semblait motiver ou donner des ordre ainsi que des directives avec sa dernière main au autre membre dans cette Grande Horde.
-« Mouais c’est pas très nette tout ça…mais il semblerait que t’as théorie de « l’ordre » soit finalement exact et que ce serait se truc qui commande. Tu crois que tu pourrais l’abattre ?
-Je prend cette question comme une insulte Valentin…Sache que je ne rate JAMAIS ma cible
-Ok relax max c’était juste…
-Putain ils sautent sur le toit ! »Hurla Martin
-« Ok couvrez moi je vais luis faire péter la gueule a cet enfoiré.
-On vas faire de notre mieux . » lui répondit Noémie.
Les Hordes d’infectées commençaient a essayer de sauter sur le toit opposé mais le manque d’élan fit que les premières ligne ne réussirent qu’� s’écraser au sol, par contre les vagues suivantes eut plus de facilité � franchir cette obstacle malgré pas mal de chutes. Davis trouva un trous dans le petit mur de béton qui servais de rebord au toit, il y pris position, déplia le trépied de son fusil, s’instala le plus vite possible repéra sa cible, il n’avait pas le temps ni le matériel pour calculer la distance qui le séparé sa cible et l’angle de tir comme souvent il allait devoir y allait a l’instinct, il fit attention de ne poser son coude sur aucune veine ou artère pour éviter que la pression artérielle ne le fasse bouger, il calma également sa respiration afin d’être le plus stable possible. Il été enfin près � tirer,il pressa doucement la détente…et le coup partit dans un fracas assourdissant, en même pas un demi seconde le crâne de l’infecté en chef explosa jusqu’� hauteur de la mâchoire inférieur, mais le tireur n’eut pas le temps de savourer son succès que trois monstruosités l’attrapèrent par les jambes, il dégaina le taurus qu’il avait emprunter � Martin mais un des zombies lui donna un coup de pied dans la main projetant l’arme a plusieurs mètres de l� .

Martin regarda le nouveau venu.
-" Hé le héro! Te réjoui pas trop vite de ton tir parce que grâce a toi mon flingue est perdu ! Et comment t’as survécu tout ce temps? et comment ça se fait que tu nous es fuit?
-Fui? s'étonna Dawn
- J'sais pas mais on a fait pas mal de bruit et reconnaissable et tu t’es pas manifesté
-Bah tu c'est mon gars rien ne pouvait me garantir que vous alliez survivre, et puis tant qu'ils étaient occupés avec vous le pinceux et ses potes me laisser tranquille donc je me suis fais oublier...et ça fonctionnait, jusqu'� ce que je me casse la gueule de ma chaise... et t’inquiète pas pour ton Taurus fillette, le poste de police n’est pas très loin et on devrais y trouver des armes et des munitions.
- En tout cas tu tire mieux que tu ne marche! ironisa Dawn dans une toue pour détendre l’atmosphère entre les deux hommes.
- Fillette?" Dit Martin avec un sourire au lèvre; c'est vrai qu'il était pas de grande corpulence mais ses années � manier la clef � molette et faire des cascade et de la boxe lui avait fait les muscles.

Mais il n'avait aucune intention de se battre, la ville était déj� assez hostile pour que le groupe ne voit des tensions se créer dedans.

Hum je pense qu'on a un peu oublier ça ^^

Le groupe descendit du toit par un escalier de sécurité assez vétuste, dont les endroits où la peinture était parti, étaient rouillés.

La rue n'était pas silencieuse ni déserte on pouvait y voir au fond, par la lueur de flamme des zombies trainer lentement, certain rampant.

Le groupe marcha un peu restant le plus possible dans l'ombre, pourquoi? un reflexe car les zombies ne semblaient pas les voir comme eux les voient, mais les détecter par un autre moyen.

Ils marchèrent pas mal de temps, quand ils virent dans une rue qu'ils voulaient emprunter deux choses courir et sauter � toute vitesse sans un silence totale, semblant flotter au dessus du sol. Ils étaient impossible de les viser. Le groupe décida de passer par un bâtiment � gauche, long bâtiment de brique et de béton, qui était le bureau de poste.

- Il y a forcement un passage par l'arrière! dit Valentin.Le groupe fit le détour.

Ils arrivèrent � l'arrière par une petite route assez large pour faire passer un camion, ce dernier était d'ailleurs encastré dans le mur en face. Le lourd rideau de fer était fermé et trop lourd pour être soulevé. Martin se proposa, il prit quelque outils et s'activa avec l'aide dont il demandait alors que le reste du groupe fixait toute les allés possible sachant qu'ils leur en manqueraient une.

Soudain Martin qui réussit � faire coulisser le rideau de fer dans une grincement se pétrifia comme tout le groupe.

Dans la salle une odeur � vomir, ce que fit d'ailleurs Noémie et les civils, une charnier de cadavre, de corps déchiquetés et en décomposition, que les mouches dévoraient.

- Pas par là fiston ca sent la mort! dit l'ancien soldat.
- laissons ce chemin et passons par devant.

Le groupe préférait en effet retourner en arrière. Les deux choses avaient disparues.

Ils marchèrent lentement encore plus méfiant se regardant tous quand dans l'air on peut entendre un virement. Tous cherchèrent le monstre qui allait surgir puis sourirent. C'était le bruit d'un hélicoptère, les soldats faisaient un dernier avis pour voir s'il y avait des survivants.

Le groupe s'agita, tira même, monta sur des voitures mais leur salut ne les vit pas. On pouvait malgré tout entendre un appel.

Tout les survivants doivent se rendre � la mairie! Ils y a une radio faite un appel et nous viendrons vous y chercher! Un centre a été installé pour que vous puisez y survivre assez longtemps pour qu'on puisse vous sauver!

Le pilote remarqua les survivants � leur coup de feu, par le haut parleur il leur demanda de se diriger vers le parc au bout de la rue l� où il pourra se poser.

L'espoir dans le coeur et le soulagement de la fin de ce cauchemar envahit les survivants. Mais alors que l'hélicoptère survolait la rue les deux créatures qui avaient disparut surgir de toits et bondirent � une telle vitesse et s'agrippèrent avec aisance au véhicule. Le pilote et son associé paniquèrent, les survivants ne pouvaient rien faire qui ne mette pas en danger leur seul moyen actuel de survie.

Les deux choses pénétrèrent dans l'hélicoptère, ce dernier alla s'écraser dans le parc.

Le groupe arriva peu de temps après l'explosion, ils trouvèrent juste trois corps calcinés.

- L'un est encore sur pied. dit Noémie regardant les arbres qui les entouraient.
- Il faut traverser le parc, le marie de trouve sur la grande place. Elle est juste en face du parc. Enfin en face mais au bout de la plus grande rue de la ville...
Dit le médecin.

Antonio n'y croyait pas, ils allaient pouvoir quitter cette île, depuis le temps qu'il l'attendaient.
Mais un incident arriva, l'hélicoptère commença a perdre de sa vitesse, et bientôt s'écrasa par terre, Antonio avait du mal a l'accepter, ils étaient si proche de quitter enfin l'île. Qu'importe il devait se rendre a la marie pour survivre.
Il commença en éclaireur, et arme a la main avança a petit pas, le groupe était dos a dos, pour surveiller chaque côté.
Il y'eut un petit bruit, puis le silence se fit, Antonio était nerveux, il entendit quelque chose bouger dans un buisson et tira dans tout les sens.
Ce n'est rien, probablement le vent qui a fait bouger les buissons dit Noémie
La route était encore longue, il y'avait 15 kilomètres entre ici et la marie, Noémie entendit quelque chose, tout le monde se retourna et pointa son arme dans la direction du bruit, une horde de zombie arrivérent, le groupe ouvrit le feu, Antonio s'abrita derrière un arbre et tirait droit devant lui.
Mais ce n'était pas fini, les zombies arrivaient maintenant de partout, l'un d'entre eux se saisit d'Antonio avec sa langue.....

La horde de zombie ne semblait pas très grande, mais elle venait de partout elle était comme une pieuvre sortant ses tentacules. Les survivants devaient former un cercle pour se protéger.

Ils étaient vite acculé, dos � dos personne ne vit qu'Antonio avait quitté le groupe trainé par une chose au loin.

Martin manquait de munition, pour dire il en avait plus il avait envoyé les dernières cartouches de fusil � pompe, qui comme la mitraille avait crée des trous dans les rangs de zombies qui sautèrent sous les impactes se déchiquetant.

Le cascadeur prit son fusil par le canon encore chaud et le visage marquait plus par la rage que la peur, qu'il tentait d'oublier il frappa le premier zombie. Une femme au visage décomposé, dont la mâchoire sauta sous le choc faisant voler ses dents.

- allez venez vous battre! hurla t il pour lui mais il savait et en avait peur qu'il n'aura jamais la force de tous les tuer.

Les rangs de zombie se réduisaient sous la cadence de feu qui elle augmentait. S'en était fini.
- Où est l'autre? demanda le nouveau du groupe.

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