Forum Age Of Sea Dogs

Tortuga, au coucher du soleil. Une taverne miteuse ouvre. Des buveurs, bretteurs, joueurs et musiciens entre peu a peu.
Une heure plus tard, la taverne regorge d'activite. Puis peu a peu, seuls les buveurs reste, et quelques bretteurs. C'est l'heure des pirates, tout le monde est au courant.
Ils viennent, ces chiens de la mer, ces aventuriers qu'ont dit charmants et mystiques, mais qui ne sont que des ivrognes et  des combattants sanguinaires epris de liberte. Nul malediction, nul pouvoirs, juste une bouteille de rhum, une rapiere, un pavillon, une chanson fredonnee du bout des levres tremblantes avant la bataille, un ideal.

Ces pirates n'accostent pas n'importe ou. On sait que la taverne du boiteux recoit  frequament les memes pirates , de la pire espece, mais qu'on respecte pour de nombreuses choses : les cicatrices, l'eloquence, le charme, les histoires qu'on raconte, les affiches de recherche....

Une multitude de raison font que les gens partent a la recherche d'une taverne mieux frequentée. On ne sait jamais ce qui arrive.

Le port de la Tortue est calme ce soir. Quelques gamins viennent sur le bord observer les navires, revant d'aventures et de periples. Ces gamins sont interrompus dans leur reves par les pirates qui descendent de leurs navires, deja ivres par l'odeur du rhum et des femmes. Des vrais hommes de mer. Pas fait pour la terre. Ils titubent, du mal de terre ou d'une blessure recue.

Ensuite vient le capitaine, accompagne de ses fideles seconds et bosco et de quelques autres hommes. En l'occurence, le capitaine SilverFalcon est accompagné de Wolf et Graham le medecin ce soir la.

Il sait ou il veut aller, la Taverne du Boiteux, tenu par un de ses anciens  compagnons de larcins. Il parcoure les quelques metres qui separent son navire et la taverne avec une aisance peu coutumiere chez un marin. Il ouvre la porte et salut la cantonnade. Il hume l'air frais de l'interieur, rempli d'odeurs de tabac melangée a celles du bois et de l'acool.

SilverFalcon s'approche du comptoir et salut le tenancier :


-Salut l'ami! Comment va ta femme? Comme d'hab aujourd'hui un whisky et deux bouteilles de rhum. Euh, j'attends deux trois amis, previent moi si tu vois quelconque me connaisant.  

Scar entra dans la taverne, assez trembé
- Maudite pluie, mon chapeau ne ressmble plus à rien. Il vida l'eau de son chapeau d'un geste lent et vit SilverFalcon. Il souria et s'écria
- Vous ici!! Je pensiez que vous étiez mort!!  Scar serra fort dans ses bras son ami.
-Que faites vous depuis tout ce temps! Vous avez voyagez et traversez le monde je suppose.
Allez raconté moi tout cela, dit tout �  un vieux loup de mer en recherche d'hisroire!
SCar assit de force son ami �  une table et vit son maitre d'équipage arriver. Il l'invita et paya une tournée pour la table. Ulric sorti une longue pipe de bois et commenca �  fumer. L'odeur du tabac se mèlangea �  celle de l'alcool. Ulrci regarda Silver de ses yeux de feu et le décoiffa. Avant de parler avec sa grosse voix.
- Vous vous êtes un homme de splus étranges et dieu! vous avez changé!
Scar pirt son gobelet de terre cuite et en bu une gorgée, puis d'une voix préssé il demanda l'histoire �  silverfalcon  

Au fond de la salle, une femme étais en train d'observer la scène, en buvant pénarde une bouteille de rhum...

Elisa aimait les endroit comme celui-ci même si la plupart du temps, les femme autre que des catin était mal vue dans les tavernes... Mais le plus étrange... c'est qu'elle partageai sa couche avec des femmes, des bagasse ou parfois et rarement, avec un peu de chance, d'autre femme pirate, étrange pour une femme, elle étais si étrange au yeux du monde qu'elle du fuir son pays natal... Et devenir une hors la loi... Une pirate!...  

SilverFalcon salua Scar et ses hommes, puis s'assit posement. Il but au goulot le whisky et se racla la gorge. Il demanda le silence, pour créer un effet. Puis, il se leva sur la table et declama :

-Amis pirates! Sachez que je suis parti pour mieux revenir!! L'aventure, vous la cherchez tous, cette canaille qui nous envoutes et nous fait rever. Et bien, cette mysterieuse camarade, je l'ai decouverte par mes voyages. Nul mystication de la chose, nulle malediction, le monde tout simplement fut ma peine et ma joie. Laissez moi donc vous conter cette histoire,celle d'un equipage, celle d'un navire, celle d'un voyage au confins du monde.

Il marqua une pause, laissant la salle se concentrer sur ses propos, but une gorgée et commenca :

-Je suis parti il y a de cela un an et demi. A bord d'une brigantine, L'aigle de la Tempete. J'avais son mon commandement 150 gaillards, du fier marin débutant au vieux loup de mer. Tous a la recherche d'un meme but : l'aventure. Mais je vais d'abord vous conter comment je fut résolu �  partir, et les circonstances.
C'etait en mars. Au port de Grenade. Je venais de piller quelques navires marchands et rentrai tranquilement pour boire. Malheuresment, le port fut attaqué par les Anglais ce soir la. Un veritable massacre. Je me suis battu au coté des Francais, une vieille rancune étant reveillé contre ces Anglais. Malheursement, ce fut mon camp qui perdit la bataille.
Je fut mis au fers, dans un grand navire prison, pour être ramené �  St Kitts ou je devais être pendu. La bonne fortune fit abbatre sur ce navire une tempete inimaginable. Poseidon crachait, grondait et les Anglais en furent reduits a quiter le  navire, nous laissant la, nous les prisonniers. Puis, la tempete se calma, et les quelques hommes qui avaient reussis a se liberer grace aux mouvements incertains du navire s'appercurent que nous avions atteint le coeur de l'ouragan.
La liberation des autres prisonniers se fit en hate, dans une grande debacle, et quelques uns en mourrirent. Mais cela importait peu. Nous étions 300 hommes, 300pirates, résolus et assoifés de vengeance. Je fut nommé capitaine, mes exploits ayant parvenus aux oreilles de certains. Mais la joie de la liberation fut de courte durée. Nous devions encore affronter les elements.
Cette nuit fut une des plus eprouvantes de ma vie, apres celle que j'ai passé en la compagnie des femmes de cette auberge. Nous nous battions contre la mer elle même, qui était résolue a nous envoyer par le fond.
Enfin, le cyclone se calma. Nous eûmes a peine la force de faire cale sèche et nous tombames tous comme des masses. D'apres certains, nous dormîmes  durant 2jours. Je ne sais pas si c'est véridique, mais quand nous nous reveillâmes, nous avions atteint les côtes de St Barts, donc de St Kitts.
A St Barts, nous buvames comme des trous pendant 1 jour entier, sachant tous que le lendemain serait peut etre notre dernier jour.
Armé par les bons soins de la France, nous atteignimes a l'aube St Kitts. La bataille fut mémorable. Nous les écrasâmes avec une facilité déconcertante, et le port fut pillé le soir même.
Mais cela ne vous dit pas comment jen fus a partir a l'aventure. En fait, le jour d'apres cette bataille, un conseil de pirates fut tenu. J'étais présent, Wolf Derrings Graham, ici présents, aussi. Le conseil était dirigé par un vieux loup de mer du nom  de Kino. Il venait des mers orientales. Durant ce conseil, la décision fut prise : étant tous recherchés par toutes les nations, nous allions a Madagascar.

SilverFalcon avait insisté sur le dernier mot. Il rebut une gorgée et continua :

-Le navire fut acheté deux jours après la réunion. Seulement 150 hommes sur 250 partaient. Nous nous rapprochions peu �  peu de l'aventure, elle nous guettait tapie dans l'ombre du voyage, que nous devinions éprouvant. Ainsi, j'en vient au point de départ de mon récit. Une brigantine,150 hommes, un périple avec pour seules armes notre courage et notre volonté. Les canons importent peu dans ce genre de voyage, car c'est contre nous mêmes et contre les élèments que nous allions faire face.
Nous partimes le 2 avril a l'aube. Personne ne se doutait de ce qui nous attendait alors.

Il toussa et s'assit. Il but goulument, versant du whisky sur son long manteau.

-Laissez moi me reposer je vous en prie. Je continue, ne vous inquietez pas, soyez attentifs, c'est tout ce que je vous demande, ceci n'est que le début. La nuit va être longue, pirates!  

SCar applaudissa le discour de son ami. Il se leva et le salua en disant
- Tu es digne de nos pères! et j'aimerais dire une chose pour certain homme qui me considère pas comme un pirate. Sachez que je ne le suis pas! Je suis un flibustier, le dernier. Aucun de mes hommes des mes frères de sang n'a signé la chasse partie car nous sommes tous égaux, par l'amitié et notre confiance les un des autres. J'ai entendu un jour que Scar était qu'un vendu, qu'un importin. Et je répondu non! je ne profite de rien et je suis bien placé pour le dire! Je suis un aventurier c'est tout. Je n'hisse ni pavillion noir ni code. Je vis et voyage en respectant autant la mer que son dieu. Dites le �  ce qui disent que Scar est pas pirate digne de notre confiance, dites leur.
Scar s'assit et ajouta
-Et tournée générale! Il posa lentement comme si il était bléssé mortellement une bourse de cuir usée apr le sel de mer.
Il respira et félicita encore une fois SilverFalcon pour ses dons d'orateur.
L'humeur de la taverne était joyeuse sans être seule d'une fête. Chaque marin joué sa soldde aux dés. Certain buvaient enracontant leur exploits  

Elisa se retourna subitement, entendant cette voix si familière... Scar, elle l'avait reconnu rien qu'au son de sa voix...

Elle prit sa bouteille de rhum, et se dirigea vers la table où se trouvai Scar ainsi que SilverFalcon...

- Bien le bonjour messieurs, comment allez vous? Alors, vous racontez vos exploit d'homme entre homme?...  

SilverFalcon, regarda la jeune femme dédaigneusement et eut un sourire narquois.

-Des exploits veut tu? Eh bien, a moins que tu ne sois sourde, je crois que je viens a l'instant d'en raconter! Tu es impatiente, je raconterai la suite petite!

Il but une grande gorgée de rhum et sans preter plus d'attention a la jeune pirate se retourna vers Scar :

-Alors cher Scar?! Comment allez vous? Content que vous ayez apprecier mon récit, mais ce n'est que le début. La populace est trop facile a captiver!
Toujours aussi....vous? De nombreuses choses ne me plaisent pas depuis que je suis revenu!! Trop de choses ont changées! Le monde va trop vite pour un pauvre tueur comme moi!    

BlackFlint entra dans la taverne en s'approchant tout d'abord de SilverFalcon

alors Silver? On aplus eu des nouvelles de toi depuis longtemps!Quoi de neuf sur les mers?    

Scar tapa avec sa main gauche la joue de Silver.
-  vous  vous trompez mon ami. le monde ne vas pas plus vite mais il trouvé de quoi s'ocuper. Vous savez quand vous voyagerez plus de vingt ans sur les mers vous pourrrez dire qu' vos yeux le monde �  changé. Car �  mes débuts les flibustiers disparaissaient, je préfére ces hommes de gloire et de fortune aux pirates actuel. Désolé de te dire cela, car tu en fais parti, mais au moins tu as aussi le grand esprit d'aventure qu'avaient Morgan ou Drake.
Les forbands de smers attachent trop d'importance �  l'or et la liberté en oubliance la chose dont je donne le plus de valeur: la gloire, le panache et l'immortalité du nom.  

SilverFalcon retira vivement la main de Scar.

-Le panache et la gloire dis tu? Tu dis aussi que nous accordons trop de place a la liberté! Le monde a evoluer! Et de nos jours pour que ton nom soit immortel, il faut avoir reussi a ammasser une fortune. Moi, l'or m'importe peu, mais j'ai mes raisons pour défendre la liberté si hardiment. Les flibustiers étaient de grands hommes , et les pirates sont des canailles, je te l'accorde, mais les flibustiers ont disparus, et quand viendra l'heure de la fin pour les pirates, car elle approche, eh bien certains seront restés célèbres par courage et hardiesse, poura voir défendu des causes nobles, je te le dis l'ami, dans 3 sieècles on parlera encore de nous, comme des défenseurs de la liberté, des bandits courageux, des aventuriers intrepides, et malheursement, ce genre d'homme a disparu avec les flibustiers. Se battre pour soi même est un signe de volonté de survie, se battre pour une cause, un proche ou pour une ou plusieurs personnes, c'est un signe de gloire! Les notions changent, et les hommes aussi, la gloire ne s'exprime plus comme avant. Il nous reste comme même ce petit rien, qui nous fait frémir, qui nous permet de rester nous mêmes : la liberté. Tu as beau la mépriser, mais tous les plus grand de ce monde l'avaient, les flibustiers se demarquaient grace a elle, et de nos jours elle est grandement menacée!

Ah BlackFlint! Ca fait longtemps jeune gaillard! Que racontes tu?  

SCar écouta Siver els yeux pétillants.
- Tu as du panache! et sache que les flibustiers étaient pire que vous car nosu ne défendions aucune cause juste notre inetret personnale mais cela était graniose. Car chaque combat final n'était pas pour une cause comme la vie ou la liberté ou l'epoir. on pour rien juste la gloire et l'amusement et cela est unique.
Mais tu as le panache et la gloire il ne te reste qu'une chose l'immortalité de ton nom et je pense que tu l'aura.
Quant �  moi je pense que le temps de rejoindre �  tout jamais la mer et les flibustiers est venu. J'ai fais comme eux mon temps sur cette terre, je le sens.  

moi q'est ce que je raconte? qu'il faut que je reparte sur l'heure venger le gouverneur de Santa Marta!  

- Alors bein... Bon vent et bonne chance l'ami... Et tâche de revenir entier ;) ...

Fit Elisa en levant son verre dans sa direction, la jeune femme écoutais la conversation de Scar et SilverFalcon, d'ailleurs, elle étai assise non loin des deux pirates qui étais plonger dans leurs discutions...  

On entendit alors la porte de la taverne claquer. Le capitaine John Blow accompagner de son Second entra. Il marcha calmement jusqu'�  la table où se trouvait Elisa... Il s'assit en face d'elle et sourit. Ses deux dents en or semblaient être des éclairs de lumières qui se réflétait sur son visage sombre. Ses yeux, enfoncés sous les sourcils étaient animés par des flammes...
- Alors, les sirènes se portent-elle bien ces temps-ci ? demanda-t-il �  la jeune femme.  

- Ha ha ha... Mon cher John... Tu ne changeras jamais...

Fit Elisa en souriant a son tour à son interlocuteur ...

- ça fait vraiment plaisir de te voir tu ne peux même pas t'imaginer mon bonheur... Et oui, les sirènes... J'ai encore entendu leur chants... Elle ont l'air assez charmante ici. Hé hé hé...

- Et toi, c'est la même chose qui t'amène ici ou c'est parce que tu avais soif... Ou les deux pourquoi pas! Ha ha ha...

Elisa ria bruyamment en donnant une tape amicale dans le dos de John...

   

-Hé, hé une soif de sirènes !
Il frémit quand Elisa lui donna une tape amicale dans le dos...
- Vous les avez entendu, poursuivit-il, je n'ai pas eu ce bonheur ... Peut-être pourriez-vous me dire où les trouver ? Il rit.
Tiens mais n'est-ce pas Scar l� -bas... Il salua le capitaine et se retourna vers Elisa.  

Elisa laissa apparaître un sourire au coin de sa bouche ...

- Haaaa... Les sirène sont pourtant facile a trouver quand on est un homme... Moi en tan que femme, c'est beaucoup plus délicat �  aborder car c'est quelque chose qui est sévèrement puni par la loi mais... Je veux être libre et aimer des femmes... Un jour, un ami m'a apprit ça: Que quand on est pirate, c'est oui même si la personne refuse ... Bon c'est vrai, moi parfois si ça ne marche pas je laisse tomber... Il faut être doux avec des être doux...

Elisa étai de bonne humeur aujourd'hui... Elle prenais du bon temps...

- Si vous voulez des femme, regardez là bas...

Fit Elisa en pointant du doit quelque catin au fond de la piece...

- Tu voix, toi tu y va et elle ne dirons certainement pas non tu sais... Tandis que moi, je me ferai certainement gifler et insulter de sale tribade... Que voulez- vous mon cher... C'est la vie...  

Pas tout de suite. J'ai envie de boire une bouteille de rhum en votre compagnie. Alors pourquoi s'en priver ?
Tavernier ! Une bouteille.
Votre ami vous a réellement dit ça ? enchaîna John Blow en prenant un air sombre et méprisant. Je ne suis pas de son avis... Il caressa sa moustache. Il faut être doux avec les être doux, murmura-t-il... Les femmes ne sont pas toutes douces vous savez. La majorité de celle que j'ai connues étaient des femmes libres, garantes de leur indépendance. C'est d'ailleurs peut-être ce qui m'a toujours perdu avec les femmes, je n'aime que les femmes libres, sauvages ou inaccessibles ! dit-il en riant.
Son regard se perdit alors dans une profonde mélancolie...
A la votre !  

Elisa souri, elle eu un moment de nostalgie...

- Oui... Vous êtes un peu comme moi mon ami... Nous aimons les femmes libre... A la votre également...

Elisa trinqua avec John...  

Ce grand amour dont vous parlez souvent était une femme dans ce genre l�  je suppose... Excusez ma curiosité, je vous rend triste et moi aussi, je suis incorrigible, parlons plutôt de Dark, cela fait longtemps que je ne l'ai pas vu, a-t-il encore fait de nouveaux exploits ?
John Blow fit signe �  deux catins de venir vers la table où lui et sa compagne était attablés.  

- Dark... Il... Il...

Des larmes apparu dans les yeux d'Elisa...

- Dark... Est mort... C'étais mon frère...  

Dark est mort, votre frère... Je suis navré, je n'étais pas au courant de... je... je, je suis désolé. Comment êtes-vous au courant. Il est mort �  vos côtés ou bien pendant une attaque...
Elisa je vous en prie ne pleurez pas, c'est une nouvelle affligeante mais vous voir pleurer par ma faute est insupportable.
John Blow se pencha alors vers une des deux catins.
"Consoleriez-vous la jeune fille pour moi ?" La catin le regarda d'une étrange façon...
"Vous êtes fous !" murmura-t-elle...
Le capitaine glissa alors dans sa poche suffisament d'écus pour que la catin se dirige vers Elisa et tente de la consoler.-Je ne savais pas que vous aviez des frères, c'était votre seule famille j'imagine, pauvrette... murmura-t-il...    

- Non John... Non... Ce n'est pas de votre faute voyons... Il est mort en détruisant l'Adès...

Elisa s'essuya avec sa manche ses larmes et elle les retiens, la jeune femme regarda ensuite la catin qui lui caressa le menton dans les yeux...

- Vous savez John... Ce n'est pas la seul perte que j'ai eu... Héléna est également décédée dans son navire l'Angel Océan... Je ne sais pas si vous vous en rappelez d'Héléna... Et on a aussi voler mon navire... Mais ça je m'en fou complètement... En tout cas John...Merci pour cette charmante fille...

Dit enfin Elisa qui essayai tan bien que mal de sourire...  

Un homme entra brusquement, bousculant au passage les trois marins qui se tenaient juste derrière la porte. Il s'avança sans même les regarder.

-Tavernier ! Un rhum !

En regardant la salle, Bike vit Elisa pleurer

-Allons, mademoiselle, pourquoi pleurez-vous ?  

Elisa se retourna vers le nouveau venu...

- Rien... Ce n'est rien... Je pleure juste la mort de mon frère et de celle d'une femme d'on j'étais tombée amoureuse... tu peux venir parmi nous tu sais... C'est comment ton petit nom �  toi?...

La catin qui étais toujours sur les genoux d'Elisa fit tout ce qu'elle pu pour la consolée mais rien n'y fais, Elisa pris dans ses bras la prostituée et posa sa tête juste au dessus de sa poitrine...  

Il prit une chaise sur laquelle était assis un homme apparemment saoul. L'homme tomba �  la renverse mais se releva aussitôt. Il ouvrit la bouche pour protester, mais, au vu de la carrure de Bike, s'en ravisea

-Je m'appelle Bike. Je suis sincèrement désolé pour vos proches. Et vous, comment vous appelez-vous ?  

- Ce n'est pas grave... Je m'appelle Elisa, Elisa Novalis dite "la tribade"... Je suis ravie de faire votre connaissance Bike...

Elle lui tendis la main pour lui la serrer, l'homme la regarda dans les yeux de la jeune femme, ils étaient rouge et mouiller du au chagrin...  

John Blow observait le nouveau venu depuis que celui-ci était entré dans la taverne. Il se décida alors �  sa présenter.
-Capitaine Bike, enchanté, mon nom est John Blow mais appelé moi John.  

- Bon après un rhum... ça ira mieux...

Dit Elisa reprenant des couleur, elle sécha ses larme...

- Je ne doit pas faire honte �  mon défunt frère ... Je me bâterai au nom de la liberté pour lui... Comme je lui ai promis... Et je doit aussi aller dire �  sa femme cette tragique nouvelle...

Elisa ravala sa salive, la catin �  ses coté caressa ses cheveux, un bonheur que la jeune femme profitai pleinement...  

Bike serra la main de John et s'asseya. La plupart des clients l'observaient. Si son entrée brutale en avait fais rire quelques uns, elle en inquiétait la majorité.

-Enchanté John. Vous avez raison, Elisa. Je paye la tournée.

Il se retourna brusquement

-Tavernier, Apporte-nous un tonneau de ton meilleur rhum !!!  

- Merci pour le rhum mon ami...

Fit Elisa �  Bike. Elle avait l'air d'aller beaucoup mieux quand elle vit le tonneau arriver pousser par le tavernier... Ce dernier prit un sabre et trancha un morceau de planche du cylindre qui contenait le délicieux breuvage...

Chacun �  leur tour, les verres se remplissaient, John, Elisa ainsi que la nouvelle connaissance se ruèrent sur la boisson de cane a sucre...

- Mmmmmm Quel délice... Une femme et un bon rhum... Que demander de mieux...  

L'Adès est donc détruit... murmura John Blow, l'Hadès détriuit, je n'arrive pas a y croire...  

Elisa avais entendu murmurer john...

- Oui John... Oui... Mon frère s'est sacrifier pour le détruire... Je suis fière de lui... Je suis fière de mon frère...

Elisa leva son regard vers le ciel... Celle-ci leva son verre en la direction du plafond...

- Je suis fière de toi Dark, je sais que tu aurais bien aimer boire un coup avec nous, me voir en compagnie de catins t'aurai fais une fois de plus rire... A t'a santé celui que j'ai ignorer que ton sang coulai dans mes veines...

Elle prit son verre et le bu en cul sec...  

A la tienne toi que j'ai malheureusement si peu connu ! John Blow leva son verre �  son tour... et, voyant qu'Elisa s'était calmée, il hasarda une question
- Avez-vous vu le capitaine de l'Hadès ?  

- Oui... Je l'ai bien vu... Mais il est mort également ... Lui et Dark se sont entre tuer... Un combat d'immortelle contre immortelle ... Le capitaine étais... Scar... Et oui, c'était lui Siegfried... Salopard!!!... Je suis fière que Dark t'ais embrocher et emporter en enfer démon...

On pouvais tout a fais resentir toute la haine qui sortis de la bouche d'Elisa... Mais elle se calma aussi vite...

- A la votre John, a la votre Bike...

Ils trinquèrent ensemble... A part Sanday et Kévin, le fils de Dark... Elisa n'avais plus qu'eux comme famille, ses ami, les catins et la mer...  

La porte de la taverne s'ouvrit en grand fracas, le tonnerre et l'éclat lumineux de la foudre déformant le faciès déj�  assez ignoble du nouvel arrivant.
-Bonsoir, mesdames et messieurs, grogna une voix éraillée par la boisson et le chant.
Mais après avoir refermé l'huis, il s'avera que c'était une type de taile moyenne, �  la tignasse brune bouclée et grisonnante, le front ceint d'un bandana pourpre, les oreilles ornée de croix orthodoxes, de symboles asiatiques, le col de sa chemise blanche revelant d'étranges tatouages remontant �  l'échinne, les doigts ornés de grosses chevalières originaires d'un bric-� -brac ou de la main d'un riche aristocrate italien, de nombreux colliers et pendentifs religieux (vaudous et indiens pour la plupart) pendant �  son cou maigre �   d'aspect élastique. Son caban avait l'air de contenir plus de sel de mer qu'une choucroute, et dans son ceinturon de cuir étaient coincés deux pistolets �  silex, une dague de type arabe, et une fiasque.
Mais c'était surtout ses yeux qui frappaient, des yeux cernés de noir, avec des valises de vieillard, d'un blanc presque jaune, �  la pupille très étroite. Ambroise Auguste de Poncy, dit Agonie la Belle, d'un pas raide malgrè l'expression euphorique de son sourire se dirigea vers le comptoir. Il s'y assit lourdement, et commanda un verre de tafia coupé avec de l'eau.
Lorsqu'il entendit parlé de l'Hadès, il tourna sa tête dans la direction de la jeune femme. Sans dire un mot, il la reconnut, et espérait ne pas l'être étant donné ses  agissements crapuleux lors de sa denrière rencontre avec elle, Dark, et les commandants Scar et Black le Llibérateur.  

Bike ne fit pas attention au nouvel arrivant.

-A la votre Elisa. Et ne soyez pas triste.Votre frère ne s'est pas sacrifié inutilement. Je ne vous ai même pas vu sourire depuis mon arrivée.

Il remplit à nouveau son verre et le vida brusquement.  

Elisa bu aussi son verre en cul sec. En vidant son récipient elle remarqua Agonie... Mais elle ne dit rien... Elle avais honte d'avoir fui les sien, avoir laisser son frère au main de Siegfried... Elle regretta de ne pas être morte avec eux... Elle aurai pu avoir la chance de mourir en héros et de retrouver sa bien aimée... Mais son amour pour une autre femme en a décider autrement... Mais cette dernière en également décédée durant la bataille... Qu'espérer de plus que la mort �  présent quand tout ceux que l'on aimai son parti dans l'haut del� ... Elisa elle n'ira jamais au paradis, elle reposera en enfer �  tout jamais... Tell est sa destinée de "diablesse" comme certain la qualifie pour son orientation affective... Destinée souiller de sang et de désespoir d'aimer des personne qui meurent quelque temps après les avoir connu...

Elisa sorti de ses pensée et regarda Bike qui lui parlai, mais la jeune femme ne l'entendais que d'une oreille, elle n'entendis que ses dernier mot, celle-ci souris donc, un sourire timide et difficile �  exprimer...

- Et encore merci pour le rhum mon ami... Et merci �  toi aussi John pour cette charmante catin...  

John Blow remarqua bien le désespoir d'Elisa. La flamme qui habituellement allumait son regard s'était éteinte... Que pouvait-il bien faire... Il s'en voulut alors... Ses remords ne durèrent qu'un temps car, peu après il se rendit compte qu'Elisa avait une vie assez semblable... Il était sûr maintenant de comprendre la douleur de la jeune femme pour l'avoir ressentit auparavant. Cette douleur l�  avait laissée une cicatrice qu'il ne fallait pas éffleurer dans le coeur du capitaine et il savait que seul le temps et l'amour de la liberté et de la mer permettrait �  la jeune capitaine de passer au dela de sa souffrance...  

- Je reprendrai bien un verre... On verra dans quel états je serai après ... Boire pour oublier est une bonne chose... Haaaa...

Elisa soupira, elle regarda sans cesse le plafond comme pour attendre un éventuel signe de son défunt frère . Elisa serra davantage dans ses bras la catin qu'elle côtoyai, elle essaya de se réconforter avec la femme mais rien n'y faisait...

- Dite John... Vous penser faire quoi après, vous avez une quête ou... Une mission �  accomplir?...  

Edit: y a un truc que j'aime bien c'est que vous parlez déj�  de la mort de l'hadès alors que tu peux en faire parti elisa....
scar  

Edit:juste... :- je crois que je me suis un peu emportée... bon c'est pas grave... On fait comme si de rien n'étai... :-X

ps: j'ai écrit ces textes quand je n'avais pas encore eu l'idée de devenir amnésique( tien, une avant premierre ::) )j'ai commencer a écrire que quand on s'étais fixer sur que j'oublie seulement le passage ou je me battai contre les homme de Siegfried... Mais, c'est vrai que je peux mourire :'( :'( :'( Mille excuse Scar :-[  

alors on va dire tout ceux qui est écrit est pas vrai c'est du faux bien imité c'est du faux toque...
je croisq eu je vais arretr les nous c nous....
donc le dialogue sur siegfried est hop supprimé et si je tue Scar et leboboss c'est pour ne plus jamais entendre parler de l'hadès.... je me tues �  la tache (la blague de merde) et elle ressort la lègende plus vrai que natuer elle est vraiment désépèrante  

edit: ok ok :-[ plus d'Adès promis :-* :-* :-*, Elisa devra seulement redécouvrir son passer...(donc devenir amnésique est vraiment une bonne idée pour ce cas ::) ... Du moins si je ne meurs pas... :'( :'( :'( )  

Deux mois après le massacre, la tragédie dont personne ne fut temoin sur l'île de Black stone. La disparaition de Scar, Dark, Elisa et black laissa les gens étonnés mais sans plus. Cela était le risque de leur vie d'aventurier: mourir. dans la taverne on discuté joyeusement, la facon de parler de Scar leur manqué un peu et les étravangances de Elisa et Dark. mais qu'importe bien plus grand sont mort et d'autre viendront prendre leur place.
Dans les soirs de mèlancolies ont s'en rapellent, comme des fantômes damnés, mais leur souvenirs ne laissent que de la tristesse ce que tout le monde cherche �  faire disparaitre... Donc on les oublie, et leur souvenirs sont au fond des coeurs et non dans les discours.

Deux mois plein de choses se passa durant ce temps et plein d'autre allait se passer.