Forum Age Of Sea Dogs

Au sein des petits ports pirates des Caraïbes, de vieux loups de mer racontent, �  tous les curieux qui veulent bien les écoutés une légende ancienne et peu connue des pirates. Cette légende nous emmène dans les eaux sombres et capricieuses de la Mer de Chine...

Il y a de cela cent ans déj� , une célèbre pirate dénommée Madame Ching, sillonait les mers orientales. Peu après qu'elle est été promue au rang de capitaine, on entendit parler d'elle et de ses exploits. A bord de son navire : l'Indomptable Ying, elle pilla de nombreux ports et massacra l'équipage de plusieurs navires... Grâce �  ces terrifiantes tueries qui la rendirent célèbre, elle amassa un butin incomparable qu'elle cacha, peu de temps avant sa mort, sur une île située au large des côtes orientales... La légende raconte que le trésor dormirait toujours dans les entrailles de cette île.
Depuis quelques années, les autorités impériales sillonent les mers �  la recherche de ce butin perdu. Aucun résultat n'a encore été offert �  l'Empereur qui s'agace de plus en plus...


Sur la porte d'une taverne, les marins pouvaient lire :

"Amis de la mer, éternels forbans, je vous convie �  une quête qui j'espère sera mémorable. Moi, Capitaine John Blow, vous invite �  silloner les Mer de Chine �  la recherche d'un butin légendaire qui, a l'heure où je vous parle, repose sur une île.
J'aimerais que sois �  mes côtés tous les coureurs de mer ayant soif d'aventure.
Je souhaite seulement que le nombre de participants n'exèdent pas les six.
Il ne vous reste plus qu'�  pousser cette porte mon ami...
Signé : John Blow"  

Le capitaine Carole-Anne dite "Mad Ethel" Se promena sur le port... Il fessai calme et la journée étai ensoleillée... Que demander de plus... Du bon temps et quelque bouteilles de rhum...

Mais la capitaine s'arrêta net..."Amis de la mer, éternels forbans"... J'aimerais que sois �  mes côtés tous les coureurs de mer ayant soif d'aventure... Signé : John Blow"...

-...

Carole-Anne resta muette, le regard fixer sur l'affiche ...

- Mais voila qui est une bonne idée... Un voyage en mer de chine... Mmmouai... Simpa... Et c'est signé le capitaine John Blow... John Blow... Cela me dit quelque chose... Mmmmaaaa oui! Le capitaine que j'ai rencontrer en compagnie de cette ivrogne d'Elisa... Hé hé... Celle-l� ... Je me demande comme va t elle... Elle étais si... Simpa... Ho la la... Elisa... Pfff...

Carole-Anne rentra dans la taverne et vit enfin son ami au fond de la pièce ...

- Bien le bonjour mon ami... Tien... La compagnie n'est pas l� ... Elisa "L'ivrogne" ou... Elle préfère mieux s'appeler "la tribade"?... hé hé... Celle l� ...

La capitaine alla s'asseoir en face de John...    

John Blow salua chaleureusement la nouvelle venue. Mais, quand elle prononça le nom d'Elisa, le capitaine frémit.
- Je n'ai pas eu de nouvelle de mes compagnons Dark, Black et la tribade depuis longtemps. Je crains fort que leur corps ne gise déj�  dans les abisses... Il caressa ses moustaches et fit tourner le bout de son index droit autour du bord de sa chope.
- Mais vous ma chère, d'où venez-vous et comment allez-vous ?  

- Elisa... Plus... De ce... Monde... Non... Impossible...

Carole-Anne baissa la tête... Elle réfléchissais... Impossible...

- Dommage parce que... Je la trouvai vraiment charmante... Dommage et Dark aussi... Mmmm...

La jeune versa une discrète larme... Elle commanda un rhum... La boisson préférée d'Elisa...  

Le capitaine Joe lui aussi entra et s'écria :
-Bien le boujour mes amis serveur trois bouteilles de rhum pour moi et mes amis,comment allez vous ?
En voyent leur tete il devina tout de suite mais il dit quand meme :
-Oui je sait il sont morts mais nous ni pouvont rien au faite Capitaine John j'ai entendus dire que vous aviez l'intention de partir a la recherche d'un trésor enfuit sur une ile peut etre que je peut partir avec vous si sa ne vous gene pas bien sur alors je suis pret si vous voulez bien que je vienne ?
   

Revenant du port où il venait d'acquérir un nouvel esquiff, un magnifique galion, �  un jeu de hasard (truqué ca va de soi) et où il s'était réaprovisionné en pièces d'artillerie et en munitions, Agonie la Belle était accompagné de son second le colosse germanique Henrich et son bosco le nègre en perruque Ulysse, quand il passa devant la porte de l'auberge où était affichée l'avis. Le français malingre machouilla le tuyau de sa pipe orientale, et en dévissant son cou vers ses compagnons, il fit:
-Allons voir à l'intérieur de quoi il retourne, ca n'engage à rien!
Ils entrèrent donc sans autre parole, et Ulysse remarqua une table où se trouvaient des parchemins, de l'encre, des tampons, un homme élegant discutant avec une jeune fille et un grand type �  l'aspect louche, qui plut immédiatement �  Agonie. Il supposa que ce devait être le bureau d'inscription, et se dirigea vers le groupe. Arrivé en face du capitaine John Blow, il déclara:
-Monsieur, permettez-moi de vous dire que je suis quelque peu interressé par votre projet, l'idée de visiter les eaux chinoises me plait beaucoup, seulement, avant de m'engager, j'aimerai avoir une estimation des risques et des bénefices que nous rapporteront �  la fin de cet interressant périple. On me nomme Agonie la Belle.
Il tendit sa main sèche et crispée comme une serre de rapace, et étira sa bouche en un sourire qui découvrit ses dents éclatantes de blancheur et d'or, contrastant avec l'aspect négligé de son habillement.  

Deux navires approchèrent au loin . La nuit commença a tombé . Les deux brigantine entrèrent dans le port . L'un de était d'un noir de nuit mais ces voiles étaient blanche comme les étoiles , et l'autre était sans doute , d'origine espagnol . Ils entrèrent dans le port et jetèrent l'ancre .
-Borice , tu reste la avec le navire . Ulric , vient avec moi . Henry , toi aussi vient .
Les trois hommes montèrent a grand pas le chemin amenant a la taverne .Quand Ils entrèrent , de nombreux regard se tournèrent vers eux . Un grand homme s'approcha du capitaine .
-Qui est tu morveux ?
-Je suis Kévin Analak , capitaine du Black Angel , commodor du Black Angel et du Tigre , et je suis le fils du capitaine Dark .
A ces mots la taverne tout entière ce tue .
-Venez , dit Kévin a ses compagnons . Ils allèrent s'instalé au fond de la taverne .  

- Dark... Dark...

Ce mot disais, se repétant dans sa bouche, ils lui disaient vaguement quelque chose a Carole-Anne... Dark...

- Mais!!! Oui!!! Dark!!! Le frère d'Elisa!!!

La jeune fille se tourna vers le jeune garçon...

- Ne me dit pas que... Non... Tu es le neveux d'Elisa Novalis!!! C'est �  peine croyable ... Impossible... Heum... Carole-Anne Del Pero... Dit "Mad Ethel" par mon équipage enchantée ...

Carole-Anne tendit la main à Kévin pour lui la serrer ...  

Kévin la lui serra .
-Comment connaisez vous ces nom ? Je ne vous connais pas . Tavernier , trois bouteille de ... il demanda a ces compagnons ce qu'ils voulaient , de wisky !
   

- Elisa... Elisa Novalis... Je l'ai rencontrée une foi avec ton père... Haaaa... Elisa... Que de souvenir de cette charmante fille...

Carole-Anne pris un air de mélancolie comme si Elisa étai un être cher a ses yeux...

- Elisa... Non, je ne crois pas qu'elle soit morte... C'est tout a fait impossible, je ne peux le croire... Alors Kevin... Fière d'être un descendant d'une famille de héros...  

-Ainsi vous seriez le fils de Dark le Sanguinaire ? J'ai connu votre père et la Tribade, pas très longtemps, juste le temps de les accompagner sur l'ile de Black Stone pour libérer le capitaine Henry, et de les voir partir pour la caverne de l'ile maudite. C'étaient des grands personnages, ton père était un épéiste hors-pair, j'ai eu le privilège de le voir �  l'oeuvre. J'ai aussi eu la joie de séjourner dans les geoles de son navire, masi ca c'est une autre histoire!
Agonie s'accouda au comptoir et demanda à Kevin Analak:
-Vous vous joignez à cette aventure, monsieur Analak ?  

Kévin réfléchissa un moment , puis .
-Oui , j'ais hérité du Tigre et nous sommes redoutable !  

A ce moment, un homme entra dans la taverne. Son visage était caché par un cache oeil, placé sur l'oeil gauche.
- J'aimerai également venir si cela ne dérange personne. Mais auparavant je vais régler mes compte.
L'homme braqua son pistolet sur Agonie.  

Devant le geste du borgne, Heinrich et Ulysse dégainèrent leurs armes �  feu, mais Agonie la Belle leur intimma de les ranger. Depuis le temps qu'il cotoyait les forbans, il avait vu des centaines d'armes braquées sous son nez, la plupart du temps ses agresseurs avient d'excellentes raisons de le menacer car il était un pirate dans tout les sens du terme, pas seulement sur mer mais ausi sur terre, voleur, égorgeur, tricheur et comploteur, adorant se faire des ennemis. Il s'en était souvent tiré avec plus de plaies que de chance. Même si il était habitué �  ce genre de surprise, cet homme l'intrigua, pas parce qu'il croyait l'avoir déj�  vu quelque part, mais parce qu'il avait le sentiment que pour une fois il se souvenait de la raison de cette menace. Il demanda stoïquement �  son interlocuteur armé:
-Nos routes se sont croisées récemment, monsieur ? Car �  n'en pas douter d'après vos dire, nous sommes en compte depuis longtemps, et je croyais plutot avoir une dette envers votre ex-capitaine,...monsieur Jéricho!  

- Alexandre, ou Black, et mort sur Black Stone, en voulant aidé Dark dans sa quête. Vous disiez avoir un dette envers lui ? Envers le capitaine du Black Shark ? Je suis le capitaine du Black Shark. Comme il savait qu'il avait peut de chance de revenir, il fit son testament, où il me légua le Sharh. C'est envers moi que vous avez une dette.  

- s'il vous plais messieurs ... Je trouve ridicule de... Se chamailler de cette manière... Il pourrai y avoir des blesser...

puis Carole-Anne se tourna vers l'homme au cache oeil...

- Pourquoi vous réagissez de cette manière ... Il ne vous a rien fait... C'est ridicule...

La capitaine mit sa main sur une de ses deux épée de chaque coté de ses hanche au cas où...  

- Quand Elisa alla sur Black Stone pour aider son frère Dark, elle fut accompagné de Alexandre Torik, plus connu sous le nom de Black le Libérateur. Vous en avez surement entendu parler. Tous 3 moururent mais ils réussirent leur mission. Et pendant que Alex, dont j'était le second se battai pour aider ses amis, ce traitre, ce lâche perfide n'a rien trouvé de mieux que de rester sur son navire, afin de venir voler sur le navire un trentaine de lingot d'or. Pendant que certain ce sacrifie, d'autre les dépouilles !  

-Non, laisser mademoiselle, sa colère est justifiée, je plaide coupable, je le reconnais je suis une crapule de la pire espèce, une charogne comme vous m'avez judicieusement appelé, et ce fut pus fort que moi que d'aller me servir dans les cales du Shark.
Agonie déglutit et sourit en se dégageant du comptoir:
- Cependant, poursuivit-il, j'estime avoir déj�  réglé une partie de cette dette en sabordant mon propre bateau la Fiancée de la Rochelle, pour échapper �  Geoffroy, le second de feu le père de Kevin. De plus j'ai perdu nombre de mes hommes, j'ai également été capturé par Geoffroy, j'ai du lui abandonner tout mon butin en attendant que Black ne me juge. Bref, après un coup d'éclat dont je suis somme toute assez fier, le sort s'est retourné contre moi, et j'ai presqur totu perdu dans les eaux de Blakc Stone, l'Angel Ocean ayant sombré avec ma part du butin, ne laissant s'échapper que moi et mes officiers.
D'aileurs Agonie projetait vaguement de retourner un jour sur ces rivages pour y récupérer les trésors de l'Angel Ocean. Mais il revint �  Jéricho:
-Votre désir de vengance est tout �  fait louable, mais je vous en prie, pensez que Black est mort, peut-être tué par Siegfried avec Dark et Elisa, j'ignore cette partie de l'hsitoire car j'ai un trou de mémoire �  ce moment l� . Je me souviens juste que je pense avoir déj�  payé le prix de ma trahison, et que nous devrions oublier ce regrettable incident. Je n'ai jamais eu l'intention de me jouer de votre capitaine, mon principale but était de l'accompagner dans Black Stone, mais lors de la libération d'Henry j'ai été trop gravement blessé et subit de trop lourdes pertes d'hommes pour prendre part �  cette fin.
   

- Black aussi était blessé.
Jéricho bassa son arme et la rangea.
- Alors que je guettais le retour de mon capitaine, des boulets nous tombèrent dessus. Un éclata près de moi, et un éclat me fit perdre mon oeil. J'ai toujours a mon bord la famille de Black. Chacun de ses 2 enfant deviendront capitaines, et le nom de Black le Libérateur fera de nouveau trembler les mers.  

Joe dit :
- Tavernier ramener moi une autre bouteille de rhum pour mon ami . Alors comme sa tu était a bord du navire !  

- Je voulais moi aussi aller sur l'île. Mais Black n'a pas voulu sois disant que c'était trop dangereux. Et il avait raison. Peut-être aurais-je du lui désobéir ?  

Soulagé que Jéricho se soir décidé �  ranger son pistolet, Agonie déclara en posant la main sur son épaule avec chaleur et sincérité:
-Croyez-moi Jéricho, je regrette la perte de Black, nous n'avons eu que peu l'occasion de parler, mais j'ai vu que c'était un homme aux principes innébranlables, fier, brave, loyal, un grand flibustier. Pour me racheter je compte obtenir une part de la récompense de cette quète qui nous menerai en Chine. J'utiliserai l'argent pour m'acheter des terres ou m'établir �  la Rochelle, et prendre ma retraite un jour futur. Je ne rehcerche que l'amitié des gens de trempe et d'honneur, et si nous nous pouvons être amis, je considérerai comme une joie de me lancer dans cette aventure �  vos côtés, Jéricho.  

- Cela me ferais plaisir de travaillèrent avec vous. Cependant, vous ne pouvais ressentir la même peine que moi concernant la mort d'Alex. Nous avons vécu trop d'aventure depuis que nous nous connaissons, il y a maintenant près de 20 ans.  

-moi aussi ca me ferais plaisir de travailler avec vous ! j'en serais meme trés heureux dit le Capitaine Joe .  

- Heum... Jéricho?... Vous avez connu Elisa... Je suppose raconter moi ou... Kevin et agonie?...

Carole-Anne ravala sa salive en fixant du regard l'homme au cache oeil...

- Et... Elisa n'avais pas de descendance non plus... C'est une chose que je ne lui ai jamais demander ça... Mais je suppose grandement que non... J'aimerai tan trouver l'endroit où elle est morte... Lui rendre un dernier hommage...

Carole-Anne prit un air triste mais il passa vite...

- Hé!!! Tavernier!!! Encore un rhum pour moi merci... Haaa... Je me rappelle quand elle m'avais dit "Ha! Le rhum, c'est un breuvage magique, rien ne peut l'égaler!  

- Je pourrais vous amener à Black Stone, mais ne porrais vous comter sa mort.
A ce moment, une jeune fille d'un quinzaine d'année entra.
- Capitaine Jéricho, Mon oncle est l� . Il vous cherche.
- Fait le entrer.
- D'accord.
Et la jeune fille s'éloigna.  

- Non!!! elle n'est pas morte!!! Ce... Ce n'est pas possible... Non... M'emmener sur Black Stone... Oui... Si vous pouvez m'y emmenez cela serai formidable... Elisa... Novalis...

Carole-Anne regarda l'homme dans son unique oeil... Il avais une allure sévère ... Puis un grand homme trapu rentra...

- Qui est-ce?

Demanda la jeune fille à Jéricho...  

Jéricho avança vers le nouvel arrivant.
- Erwan, heureux de te revoir.
- Moi aussi, Jéricho. Alex, n'est pas l�  ?
- C'est pour ça que je t'es fait venir. Ton frère est... mort.
- Quoi ! Alexandre ? Mort ?
- Tuer sur Black Stone, aux côté de Dark et Elisa, ses amis pour qui il s'est sacrifié.
- Qui l'as tué ?
- On ne sait pas exactement. Sans doute un sbire de Scar.
- Scar, le capitaine de l'Hadès ? J'ai apris qu'il était mort.
- Oui. Erwan, je te présente Carole-Anne, une amie de Elisa. Et voici Joe et John, avec qui Alex eu fait son tour du monde.
- Ainsi il eu temps de le faire. C'était son rêve.
Erwan salua les capitaines, avant de s'assoir et de demander une bouteille de rhum.  

- ha... Heu... Bonjour monsieur Erwan... Vous êtes le frère de... Dark?!...

Carole-Anne étai abasourdie par ce que venais de dire Jéricho, elle repris une gorgée de rhum, la taverne étais vide, vide de d'âme et de sentiment... Dark, Black, Elisa manquai �  l'appel... Elle voulais tellement réentendre une dernière fois Elisa faire le pitre, draguer imprudemment des catins...

Carole-Anne se retourna précipitamment, elle cru entendre une femme crier "Et où sont les filles ha ha ha... Non... Il n'y avais rien... C'était une illusion... La capitaine ne voulait pas reconnaître la mort de son amie...  

Sur la question de Carole-Ann, Erwan répondit :
- De Black vous voulez dire ? Oui en effet. Nous avons souvent travaillé ensemble, après quelque réglement de compte, n'est ce pas Jéri ?
- Pour sur, il t'en voulait. répondis Jéricho la mort dans l'âme.  

John Blow, le regard perdu dans le vague avait assisté �  la scène en restant silencieux. Ce n'est qu'après les paroles de Black qu'il se décida �  prendre la parole :
- Mes amis je peux donc compter sur vous pour prendre part �  cette quête ?
Tous les capitaine hochèrent la tête. Blow saisit alors sa plume et inscrivit le nom de chaque participants sur un bout de parchemin :
-Joe le terrible
-Kevin
-Carol-Ann
-Jéricho
-Agonie
-John Blow
Le compte est bon déclara-t-il, si le départ était fixé pour demain cela déplairait-il �  quelqu'un ?  

- Non... Non... Demain ça ira mon cher John... ça ira...

Carole-Anne posa ses coude sur la table et elle croisa ses bras... Elle avais le regard perdu... Comme une âme envolée ...

- Bien... Nous parton à quel heure demain?...

Carole-Anne étais de plus en plus mélancolique plus les secondes passaient ...

- John?...  

Kévin qui écouta longment la conversation , intervint .
-Non , Carole-Anne , vous ne ourez allé sur Black Stone . Seul scar a put , je supose , aider on père a la trouver , car seul un des membre maudit peu la trouver ! Mais loin de nous est cette intention ! Ne croyez vous pas qu'il y a eu assez de mort comme sa ?
Kévin devint de plus en plus froid a mesure qu'il parlé .  

-Oui ? Ah,l'heure... Je dirais que l'aube nous sera plus propice et agréable que le soleil brulant de midi, ainsi nous partirons tôt dans la matinée... Qu'en dîtes vous ? Vos cales sont-elles suffisament pleines pour assurer un voyage comme celui que nous allons affronter... ?
Sans même attendre de réponse, il sortit une carte très ancienne rongée par l'humidité et la putréfaction. Il s'échappait des plis de celle-ci une odeur nauséabonde qui fit froncer le nez �  plus d'un pirate. Blow la posa sur la table, de ses grande mains brunes, il l'applanie. Quand tous ses compagnons furent placés autour de lui, il commença.
-Je pensais contourner le continent sud-américain comme ceci fit-il en fesant glisser son doigt jusqu'�  la terre de feu et remonter en direction de la chine comme ceci. Je n'ai aucune idée de combien de temps durera le voyage seulement... naviguer �  proximité des côtes durant la première partie du voyage nous permettra de piller quelques ports et de nous ravitailler si nous venions �  manquer de quoi que ce soit... Il lissa ses moustaches et attendit que l'un de ses compagnons ne prennent la parole.  

- Si nous contournons le continent sud-américain, il nous faudra franchir le cap horn.
Jéricho se tourna vers Erwan.
- Qu'en pense-tu ? lui demanda Jéricho
- J'en pense que la chose est risqué. Mais si vous êtes prudent vous devriez y arriver.
- Tu viens avec nous ou pas ?
- Je n'en sais trop rien.  

- Bien John...

Puis Carole-Anne se tourna vers Kévin...

- Vous avez peut-être raison mon cher... Vous avez peut-être raison de ne pas aller sur Black Stone... Pauvre Elisa... Mais vous, Kévin, vous l'avez connu, vous pouvez m'en dire un peu plus sur Elle... Elle est rester si... Discrète avec moi... Elisa...

Cette femme devenais une réelle obsession pour la jeune Carole-Anne... Cette femme, elle l'avais peu connu, mais elle étai mystique, autant que le saint graal ... La jeune dreadée attendais, le dos tourner �  Kévin, retenant ses larme, elle attendais une réponse et pourquoi pas un mot disant qu'elle étais encore en vie...  

Kévin la regarda mais aucune pitié ne se fit dans ces yeux , tout comme son père .
-Elle était sympa . Que dire de plus a part qu'elle était obstiné et entété ! Mais elle était trés ... "douce" .
Il sa tourna vers Jéricho .
-Avez vous peur du cap ? Vous ne serez que mouillé , rien de plus ormis quelques cyclone ou autre .  

- Oui... Elle était très douce... Elisa... Haaaa...

Carole-Anne regarda son verre de rhum, il étais presque vide, vide comme son coeur...

- Hé bein Kévin... Tu... Reprendras bien un verre avec moi n'es ce pas? ;)  

-Au , tu sait , je n'ais guère trés soif en ce moment .
Il se tourna vers John .
-Alors , mon ami , pouvez vous me racontez le but de cette quête ?  

- Selon vous j'ai peur maître Kévin ? Quand on a vu autant de chose que moi on n'a pas peur de franchir le cap horn. Disons que j'en garde un mauvais souvenir. Mon père qui était marchand devait aller en chine. Entre le cap Horn et le cap de Bonne-espérance, il choisi le cap Horn. Un maestrom a englouti son navire.  

-Désolé pour cette perte capitaine , mais le cap horn n'est qu'un des passages les plus ifranchissable et c'est pour cela que je désir le franchir ! Cela na vous plairez point de le traversé , Cela montrerez que vous êtes plus fort que votre père et sa pourez etres un honneur en sa mémoire de voir son fils le franchire .  

- Vous savez, je l'ai déj�  traversé, plusieur fois. Quand la Courrone deFrance nous envoyait en mision dans la pacifique, pour raison personnel, comme le tour du monde. Vous devez vous en souvenir. Le passage fut assez humide.  

Kévin se souvint de ces moment et de ces bataille .
-Moui , c'est exact ; Soit , le traverseront nous ? Vous devez savoir qu'en temps que fils du capitaine Dark , j'adore les défis dur a réalisé !  

- Kevin... Vous me sembler assez froid... Je vous fais peur à ce point...?

Carole-Anne avait prit un ton aussi froid que le jeune garçon...

- Mmmmm... Tu es aussi étrange et froid que ton père...  

Kévin se tourna vers Carole Anne .
-Froid ... N'avez vous pas été habitué a mon père ? Et bien , je le suis depuis l'age de 15 ans Pour une des raisons que je garde précieusement . Mais je le serais toujours , alors faite comme Jericho , habituez vous .  

- Parce que je suis en deuil, je peut être assez froid moi aussi. dit Jéricho d'un ton froid. Cependant Erwan prit la parole.
- Bien, je vous accompagnerai bien, mais la courrone anglaise m'a demander de mettre les voiles vers Londre, en prévision de la guerre contre la Hollande.  

-Ha ? Une guerre va encore éclaté ? Je m'y serais bien rendut mais pour le compte de la hollande ! Enfin , la guerre avec la france n'ayant pas encore éckaté , je m'y prépare .  

Carole-Anne se leva brusquement et se tourna vers Kévin avec un regard noir...

- Je n'en ai vraiment rien �  foutre de ton putain de passer... Et tu ne me parle pas sur ce ton Ok!!! Parce que moi aussi j'ai un deuil a faire... Celui d'Elisa!!! Sauf que je sais qu'elle n'est pas morte et je la chercherai jusqu'en enfer si il le faut!!! Alors ta gueule vermine!!!

La jeune femme serai ses poings de toute ses force, la colère l'envahi petit �  petit... Ses yeux bleu... Comme ceux d'Elisa semblai plus noir que azur...  

Kévin se tourna vers elle d'un regard noir et il mit discretement sa main sur la garde de son sabre .
-Tu ause ?
Il se leva et déguéna son sabre .
-Tu ause me traité de vermine ? Alors que tu n'est guère plus respectable qu'une ... truie ?
Malgrés son jeune age , Kévin était de taille a lui faire façe .  

Mes mais calmez-vous... Si avant même de partir nous avons des morts alors notre compte est bon ! Il faut que nous soyons unis, l'Empereur chinois n'hésitera pas �  nous lapider si il met la main sur nous ! Pour éviter cela restons souder. Il y a eu assez de mort : Dark, Elisa, Black... cela suffit ! Ce n'est pas en  tuant ses amis que l'on fait un deuil. Mettez plus d'ardeur �  combattre vos ennemis si c'est cela qui vous calme mais ne tuez pas vos amis...
Quant �  votre question Kévin, dit John Blow en posant sa main sur l'épaule du jeune capitaine afin de le faire asseoir,  la réponse est simple. Avez-vous déj�  entendu parler de la célèbre Madame Ching ?
Kévin se rassit et John Blow fit de même. Le capitaine de l'Inssaisissable caressa ses moustaches et sourit, énigmatique...  

-John a resont nous nous calmeront sur nos enemis en attendent serveur six bouteilles de rhum dit Joe Le Terrible .  

- Oui... Vous avez raison John... Il y a eu beaucoup trop de mort... Dont une personne que j'y tenait �  coeur...

Carole-Anne fusilla encore une fois la vermine avant de se rasseoir �  coté de la chaise de  John, elle reprit la bouteille de rhum offert par Joe et elle le sirota...

- Moi!!! Je crois avoir entendu parler de cette grande femme autant que Anne Bonny...  

Ou que Mary Red n'est-ce pas ? Et vous autres connaissez-vous Madame Ching ?
John Blow se tourna vers l'assemblée de capitaines qui l'écoutaient attendant une réponse.  

- C'est une grande pirate chinoise... Une femme aussi digne que Elisa Novalis!!!

Carole-Anne pris un ton fière et grave, elle reprit une lichette de rhum puis elle se tourna vers Kevin...

- Hé hé... Tu ne la connaissait pas madame Ching �  ce que je vois... C'est dommage qu'on ne peux pas s'entendre vermine...  

A ce moment-l� , John blow fusilla carol-Ann du regard. Kevin quant �  lui se leva de nouveau, comme prêt �  bondir.
-Rasseyez-vous ! siffla John Blow. Un lourd silence s'étira dans le temps...
-Reprenons, Madame Ching était en effet la plus grande pirate que la mer de Chine n'est jamais connue. Elle vécut des aventures trop longues et compliquées pour que je ne puisse vous les compter. Tout jurait-il qu'un jour alors qu'elle s'était fait capturée, elle fut conduite �  l'Empereur. Nous ne savon rien des négociations que Madame Ching �  réaliser pourtant le résultat est l�  : elle sorti du palais impérial libre comme l'air et repris ses activités malhonnêtes sans plus jamais être embêtée. Certain raconte qu'elle vaut sa liberté �  une énigme. En effet, Madame Ching aurait livrée �  l'Empereur une énigme dont la réponse révèlait l'emplacement du trésor que la pirate avait amassé durant sa carrière. Un trésor bien plus important que celui que les caisses de l'Empire ne renfermait �  cette époque.
Le but de ma quête est donc le suivant : Trouver l'énigme, la résoudre puis faire main basse sur le butin que nous partagerons bien entendu de façon équitable... Il s'arrêta et observa une �  une les réactions de ses partenaires.
Cette quête comporte cependant certain points sombres : l'Empire chinois est devenu très fort sur le plan maritime et il est, lui aussi, sur la piste du trésor de Madame Ching... or je ne sais pas encore comment nous pourrons connaître l'énigme que seul l'Empereur et ses conseiller connaissent... du moins c'est ce que l'on raconte...
Des suggestions ? Des questions ? Exprimez-vous camarades... Tavernier un tonnelet de ton meilleur rhum !  

-Hé bien nous n'avons qu'a allés la lui prendre dit joe
-Et après nous massacrerons les chinois et nous irons foulliez de fond en combre cette ile    

- Pffff... Tu crois que c'est si facile que ça!!! Aller tue les chinois est une chose périlleuse autan maritime que terrestre!!! Ils sont les meilleur combattant du monde grâce à leurs arts martiaux!!! C'est du suicide, il faut agir avec ruse!!!

Carole-Anne avait élever le ton contre son ami... Aujourd'hui elle semblai fort irritée...  

Carol a raison, il faut ruser mais avez-vous un esprit assez malin pour échaffauder une ruse impossible �  déjouer... Soyons imaginatifs... John bLow se plongea dans une profonde réflexion...  

-Une ruse voillons j'en connait une mais sa sera pour prendre l'enigme vous voillez nous tentons une embusqua et pendant se temps un autre navire contourne tout et vu que les garde seront surment partis combattre nous nous pourons prendre l'énigme . dit le Capitaine Joe  

- On peu toujours infiltrer le palais impériale. On vole l'énigme, ils l'on surement écrite quelque part, et on repart discrètement.  

-Bonne idée a par que si l'empereur lui est dans son palais je supose que lui aussi conné les arts martiaux dit joe  

- Moi je suis volontaire pour infiltrer le palais impérial ... Je ne crains pas la mort...

Carole-Anne prit un air plus doux, elle se calma, se détendit affaler sur sa chaise en buvant toujours son rhum... Il fessai chaux et on pu voir le bandana qui retenais les dreads de la jeune fille tremper...  

-Je suis aussi partant mais laissé moi l'empereur si il nous barre la route dit joe  

- Non!!!

S'écria Carole-Anne...

- Tu veux mourir?... Laisser moi l'empereur et ses garde pendant que je les distrais... Je sais que l'esprit d'Elisa me protège... Elle est l�  parmi nous...  

-D'accord,d'accord je te les laisses !!  

-Moi je prefers ... Disons , vous "couvrir" . Je pourais rester sur mer et canarder les eventuel navire qui tenteré de vous abattre ? Quant dites vous ?
Il regarda la lesbienne avec un regard plus noir que la nuit .
-Hors mis cela , je suis d'accord avec le reste .  

Ne vous inquiéter pas, il ya aura de la mort et des blessures pour tout le monde... déclara John Blow d'un ton sarcastique. Quant �  vos propositions elles sont pas initéressantes seulement, il faut que l'Empereur l'est écrit quelque part, savoir où et...
Il me semble plus simple d'utiliser les rivalités politiques... l'Empereur ne s'entend plus très bien avec l'un de ses conseillers Chow Yung, nous pourrions essayez d'entrainer celui-ci pour nous aider, si il refuse il n'aura que la mort... Que pouvons-nous y perdre ?  

-Hmmmm , disons que , si il refuse , on est dans de beau draps ! Mais soit , essayons tout de même , comme vous le dites , nous n'avons que peu a perdre .  

Très bien, cela me semblait être la seule chose �  éclaircir... En voyez-vous une autre ? John Blow saisit une chope, l'a remplie au tonnelet et but goulument en attendant que l'un de ses compagnons ne prennent la parole.  

- Mmmm... C'est vrai... Nous n'avons rien a perdre ou plutôt ... Je n'ai plus rien �  perdre... J'ai déj�  perdu tout ceux que j'aimai ... Alors moi... Je suis partante !!! Hein Vermi... heu... Kevin... Bon... Suis désolé pour tantôt, c'est sorti tout seul...

Carole-Anne s'était tourner vers l'adolescent qui buvais goulûment son rhum... Et dire qu'Elisa étais de sa famille... Incroyable ...

- Et dire que tu est le neveux d'Elisa... On ne le dirai pas... Vous êtes si... Différant...

La jeune fille dreader passa sa main dans ses cheveux...  

-Different ? Non , je ne suis guère different d'elle . C'est vous qui n'avez pas eu le temps de la connaitre , tout simplement . Vous n'avez guère beaucoup de point en commun hormis votre choix sexuelle .
Carole-Anne le dévisagea .
-Oui , mon père vous a rencontrez une fois avec Elisa et il me la dit .  

- Arrêtez de vous disputer tous les deux ! Notre mission demande une amitié entre chaques membres. Si vous vous disputez ça pourait mal tourner. De plus, je ne pense pas que Dark et Elisa seraient heureux de vous voir vous disputer.  

-Et en plus personne n'a le droit de parlé de quelqu'un comme cela surtout quand on devra combattre pour le meme but dit le Capitaine joe d'un ton sevère  

Etonnant, songeait Agonie comme les descendant spirituels des héros come Dark et Elisa peuvent se chercher des poux dans la tête alors que leurs ancêtres étaient comme les doigts de la main!
Il n'avait jusque l�  qu'écouté les autres proposer, postré dans un coin plongé dans l'oscurité, et prit la parole:
-Une fois arrivés en Chine, comment aborderons-nous Chow Yung ? Si il ne s'entend plus avec lui, L'Empereur pourrait prévoir un complot ou un coup d'état, il aurait donc des raisons de le faire surveiller. Bien gardé, espionné, nous ne devrions songer que des pirates ne pourrons pas l'approcher sans essuyer quelques coups de sabres ou de canons. Nous pourrions nous faire passer pour des émissaires occidentaux ou des commercants pour entrer en contact avec lui en toute neutralité. Après, pour attirer l'attention de l'armée certains d'entre nous pourraient bombarder ou piller allegrement le port, mais pour de vrai!
Je propose une technique d'approche pacifique dans un premier temps car ca m'arrange, vu que mon équipage a été réduit de trois quarts lors de l'expédition précedente. De plus j'ai récemment acquis un galion tout frais, n'ayant pas encore de marques de combat, il pourrait facilement passer pour un navire marchand.  

- Je trouve que c'est une exéellente idée. Qu'en pensez-vous ? Pour ma part, je marche. Ma garde-robe possède des habit et des pavillons de tout genre. Je pourrait facilement vous prêter des habit plus aproprié.    

- Je suis aussi partant dit Joe Le Terrible entre deux gorgée de rhum  

Kévin regarda lentement Jericho qui lui semblait légèrement inquiet ; Probablement a cause de la mort de son capitaine . Il regarda ensuite Belle qui semblait serein .
-Oui , pourquoi pas . T'en que l'on peu canarder une bonne dizaine de navires , moi sa me va . Mais pour l'action sur le terrain , il faudra voir aprés .  

Carole-Anne qui avait jadis afficher un sourire, s'était tue après ce que venait de dire Kévin ... "Vous n'avez guère beaucoup de point en commun hormis votre choix sexuelle, oui , mon père vous a rencontrez une fois avec Elisa et il me la dit..." Mon choix sexuelle?... Je n'en suis même pas sure ... Elle étais dans de profonde pensées, le regard au loin...

- C'est vrai... J'ai été avec Elisa... Mais j'aurai bien voulu que ton père ne dise rien de ce qu'il avait vu et entendu...

Carole-Anne essaya quand même de se relaxer en étendant ses jambe sous la table...

(hrp: Capitaine je ne suis pas une descendante d'Elisa, mais une connaissance assez intime ;) )  

Kévin regarda fixement Carole-Anne , puis il lui répondit .
-Mon père était mon père et par conséquent , nous étions trés proche . Il m'a donc parlé de ma tante et de ces "manière" . Sachez que je n'insulte pas la mémoire d'Elisa , loin de moi cette idée car c'était l'une des plus brave femme que j'ai rencontrer jusque maintenant .  

-Une chose est certaine, intervint Belle Agonie, il ne nous servira �  rien de ressasser les souvenirs, bons ou mauvais, car ils ne peuvent que nous distraire et brouiller notre jugement. Etant l'un des seuls rescapés de ce voyage maudit qui a couté la vie et l'âme d'être chers, je pense que vous ne pourrez mieux honorer la mémoire de vos amis et proches qu'en étant amis ou vous laissant en paix, car si vous devez être tout deux du voyage, il ne sera pas réalisable si nous sommes tous en état d'alerte permanent et sous la menace des balles! Nous sommes des gentillhommes et damoiselles de fortune!

PS pour Leboboss: c'est fait exprès que Kevin fasse la même erreur que son père ? :) Agonie la Belle n'est pas mon nom, c'est un surnom! >:( >:( >:( quand tu parle de moi tu peux écrire Agonie, ou Agonie la belle ou encore Belle Agonie, et pas Belle parce que sinon je vais faire une dépression  ??? :-X:'( Merci.
PS pour Elisa: au fait je sais bien que tu es une proche amie d'Elisa, mais je veux dire que tu es sa descendante spirituelle.  

John Blow sorit de la rêverie dans laquelle il s'était plongé...
Votre proposition est judicieuse Agonie... Vous avez même tout a fait raison, répliqua le capitaine en se redressant sur sa chaise... D'autant plus que j'ai oublié de vous prévenir  mais l'Indomptable Ying, le redoutable navire de Madame Ching est aujourd'hui en la possession de notre majesté l'Empereur et que ce navire peut distancé n'importe quel sloop...
Il se replongea alors dans sa réflexion, puis se leva et se mit �  tourner autour de la table en caressant sa moustache...    

- Bein... Pour le navire on pourait... Le leur voler pendent qu'il font une escale, que l'équipage déserte le bateau pendant qu'il on quartier libre, que le capitaine est parti faire un tour et hop! C'est dans la poche... Et nous aurions un navire assez rapide pour pouvoir exécuter notre operation... Tout se fera dans la vitesse... Enfin moi je dit ça, je dit rien hé hé...

Carole-Anne regardai encore Kevin...

- Hé! Kevin... On fait la paix... Ou tu continue a me tirer la gueule parce que j'ai eu des relation avec ta tante... Oui je l'avoue!!!  

A cette révélation, John Blow une une drôle de réaction. Ou plutôt, un drôle de regard : ses yeux prirent une teinte étrange et son sourcil droit se releva. Il attendit un instant avant de réagir...
-Vous et Elisa... hm je m'en étais douté mais... je l'ignorais. Quant �  votre plan il est séduisant par certain côté mais nous verrons sur les lieux : j'adore improviser. Il leva son verre et s'écria :
-A notre départ mes amis ! Je vous attend demain �  l'aube... Faites en sorte que vos navires soient prêts. john Blow sentit alors que l'on l'attrapait par le coude. C'était Carol-Ann.
-Capitaine, je n'ai pas de navire...
-Comment ? Mais je croyais.
- Non, je n'ai pas de navire.
John Blow sirota son verre et toisa la jeune femme.
-Il me serait pénible de vous laisser ici je l'avoue mais... cela vous dirai de monter �  bord de l'Inssaisissable ?
La jeune femme sourit. Signe que la réponse était positive. Les deux compagnons trinquèrent.  

- Hé hé hé... Oui... Je sais... J'en ai déj�  surpris plus d'un... Elisa... Enfin bref! A notre dépars mon ami!!!

Carole-Anne leva son verre bien haut, elle trinqua avec John, Agonie et même Kevin...

- Et vive la mer de chine, vive l'aventure...

Puis elle murmura...

- A toi Elisa... Mon amour...

Elle bu son verre cul sec...  

-A l'aventure!!!
Agonie leva haut sa choppe de tafia et trinqua.
-Et à l'or!  

Avant que vous ne partiez vous ébattre �  votre guise je fixe la prochaine escale : quand demain la cloche sonnera, ce sera pour faire voiles en direction de Rio de Janeiro. Le voyage sera long, préparez-vous bien...
Quand il eut fini son discour, John Blow s'approcha du tavernier ;
-Ne connaîtriez-vous pas une adresse �  laquelle on peut passer un peu de bon temps ?
- Qu'entendez-vous par bon temps, demanda le tavernier
- Besoins de tendresses et de plaisirs charnels.
- Deuxième rue �  gauche tout de suite en sortant murmura le tavernier. Le capitaine lui glissa alors deux grosses pièce d'or et s'en fut.
Il passa la nuit dans les bras de femmes délicieuses qui le comblèrent de caresse. Au petit matin, alors que l'horizon s'éclaircissait, il quitta ses conquêtes d'un soir et se dirigea vers son batîment. L'Inssaisissable était l� , fier et droit. Le navire n'attendait que le départ... John admira un instant son galion qu'il aimait tant et monta �  bord.
-Pablitto. Où est passé ce marin d'eau douce ! Fichtre ! Pablitto...
-Oui capitaine !
-Prépare-toi, nous partons...
Après cela, il entreprit de partir �  la recherche de Carol-Ann mais celle-ci était déj�  sur le pont.
-Jack, veuillez laissez la barre �  cette demoiselle s'il vous plaît !
Après cet ordre, le capitaine vérifia que ses capitaines étaient tous l� ... En effets, les capitaines étaient tous prêts. Il adressa un signe �  chacun d'eux et sonna la cloche annonçant le départ...  

-HISSEZ LES VOILES!!!!!!LARGUEZ LES AMARES!!!!!!Hurla le français du poste de pilotage. ET MAGNEZ VOUS LE TRAIN BANDE DE CHIENS GALEUX, TAS DE MOLUSQUES PUANTS!!!!!
Les ordres furent executés, et bientot le Diable Rochellais, nouveau vaisseau du capitaine Agonie la Belle, fut couronné d'étoffes blanches gigantesques, tels des nuages, au centre desquelles étaient cousues la fleur de lys, symboles de la royauté française. Le galion quitta le port lentement, puis progressivement s'accorda avec le vent. Les hommes grimpaient, escaladaient les cordages comme des singes vus de loin, mais leur capitaine, immobile accoudé �  la barre, vu de près, lui avait vraiment une tête de macaque. Les cheveux noirs bouclés aux vents, le front ceint d'un bandana baigné de la lumière matinale, son caban flottant, les boucles d'oreilles et pendentifs étincelants, le visage stoïque, il était le calme au milieu de la tempête d'activité �  bord du navire. Il songeait �  son premier voyage en mer, très jeune,  �  bord d'un navire marchand britannique. Il était alors curieux, rêveur, impatient de parcourir les océans. Quelques années plus tard, il avait vu un bateau pirate pour la première fois-et de très près.

-Quelle est la prochaine étape, cap'taine? demanda son second Heinrich montant au poste, le tirant de ses souvenirs.
-Rio de Janeiro, fit Agonie. Notre escale finale sera en Chine.
-C'est pas la porte à côté, dit le teuton. Enfin, j'espère qu'on fera le voyage en plusieurs partie, parce qu'on a sacrément besoin de recruter.
-En effet, approuva Agonie. Mais cette fois 'y a pas d'abordage surprise de prévus! On va se rabattre sur ce pourquoi on a tous prit le large un jour, et quitter famille, terre, et l'amour: naviguer!
Le Diable Rochellais s'avanca majestueusement, tracant une longue route d'écume derrière lui.

   

Au sonnement de la cloche, Jéricho donna le départ.
- LARGUEZ LES AMARRES ! AFFALEZ ET BORDEZ LES VOILES ! TOUS LE MONDE A SON POSTE ET QUE CA SAUTE !
Le capitaine monta sur la passerelle, au près de Antoine, le timonier.
- Faîtes voile vers Rio, Antoine.
- A vos ordre lieutn... euh capitaine !
Le Black Shark était armée �  bloc. Tous les marins possible présent. Jéricho savait que le périple serait difficile, et que plus difficile lui serait de se faire un nom et de rendre sa gloire au Black Shark, depuis la mort de son capitaine.  

Le Capitaine Joe larga les amarres et suivit Black
-Hans suivait Black je vait dans ma loge
-Oui Capitaine Joe dit Hans  

Kévin sortit lentement de la taverne et se dirigea vers ses navire . Les autres avaient déj�  larguez les ammarres et avaient commencé leur voyage . Il monta a bord du Black Angel .
-Capitaine , que devons nous faire ? Demanda Ulric .
-Levez l'ancre ! Issez la misaine , bordez l'artimon ! Que les hommes du cinquième quart ce prépare a prendre le relais ! Allez allez !
Tous le monde s'activa sur le pont . Le Tigre lui aussi leva l'ancre et metta toute voile dehors . Les deux manowar prirent la mer côte a côte . Au bout de quelques minutes , ils avaient dépassé le Shark et le Black Demon et il se mirent de chaque côté du navire de John .  

Alors que l'Inssaisissable voguait, paisible, sur la surface des océans, une heure environ après le départ, John blow s'avança vers Carol-Ann. Celle-ci, toujours �  la barre regardait l'océan en laissant flotter ses cheveux blonds dans le vent.
-Madame, vous naviguer très bien... Si Jack n'était pas l�  je vous nommerai pilote... Mais savez-vous vous battre �  l'arme blanche. Ne vous vexez pas, sachez seulement que je pose cette question �  n'importe qui monte �  mon bord car de nos jours, beaucoup de marins sousestiment l'épée. Grave erreur de calcul...
Quand il eut terminé, on vit s'avancer Pablitto. Celui-ci avait un visage terne et miséreux. Cela ne lui était pas habituel...
-Capitaine, capitaine... Venez.
John Blow se retourna et laissa Carol-Ann �  la barre pour suivre Pablitto.
-J'ai peur d'une mutinerie...
-Pourquoi une mutinerie, il y a du rhum et des vivres pour tout le monde, je ne présage aucun abordage qui massacrera mon équipage... Pourquoi une mutinerie ?
Pablitto baissa la tête et désigna Carol-Ann du regard.
- Ne vous souvenez-vous pas du code des pirates, quiconque fait monter une femme �  bord mérite la peine de mort. John Blow réfléchit et s'avança vers son équipage qu'il rassembla.
-Mes chers amis, la présence de cette demoisele vous gênerait-elle ?
Aucun pirate ne répondit positivement.
-Seriez-vous tous des menteurs messieurs... N'ai-je qu'�  mon bord de la vermine tout juste bonne �  hisser trois voiles ? Répondez, soyez courageux !
Plusieurs pirates levèrent alors la main.
-Je préfère ça messieurs. Mais rappelez-vous, n'a-t-on pas déj�  eu une femme �  notre bord ? Vous vous souvenez tous de la belle Frida chez qui vous étiez, il y a une semaine encore en train de boire un rhum ! Alors pourquoi cette réaction messieurs ? Votre attitude me déçoit. Si quelqu'un �  encore quelquechose �  ajouter,il aura affaire �  moi. Cette jeune femme fait partie intégrante de notre équipage. Acceptez-la.
Il se retourna et siffla un ordre :
-Que tout le monde retourne �  son poste !
Un seul des pirates refusa et resta planté l� . Il saisit son pistolet et pointa le capitaine de son canon. John Blow ne le voyait pas, il était retourné. Mais, au regard que lui lança Carol-Ann de la barre, il comprit. Il fit volte-face et saisit son pistolet. Ni une ni deux, il tira sur son agrsseur et lui blessa l'épaule. Le malheureux s'écroula. Pablitto accourut.
-Cher Pablitto, que l'on mette ce ver puant, cet être infâme cet abominable tâître au fers.
Pablitto regarda, surpris le capitaine et mit un instant avant de s'éxécuter.
-Vite, souffla le capitaine qui se dirigea ensuite vers Carol-Ann.
-Où en étions-nous ? A oui l'arme blanche...  

Carole-Anne étai encore un peu sous le choc de la réaction du pirate voulant tuer John... Elle laissa la barre �  Jack pour avoir les main libre pour pouvoir montré ses talent d'escrime médiévale... Un mode de combat oublier de nos jours... Mais la jeune fille pensa �  ce qu'elle pouvait créer dans le navire de son ami...

- Bon dieu... Je pourrai être la cause d'une mutinerie...

Murmura Carole-Anne... Elle regarda John puis elle dirigea son regard sur Pablitto, elle fit un sourire en coin, la jeune fille au dread sorti de leurs fourreaux ses deux épée ressemblant a des lame de croiser du douzième siècle, forgée pour se battre en terre sainte. Carole-Anne mit sa garde et s'apprêtait �  recevoir n'importe qu'elle attaque de la part de ses amis...

- Ok... Je vous attends ... Auriez vous peur d'une femme hé hé...  

John Blow retint un marin et fit signe �  Pablitto de s'avancer vers Carol-Ann. Celuic-i frémi mais s'avança le pas décider. Il sorit sa lame de son fourreau et mit sa garde. C'est le capitaine qui donna le signal du début du combat après en avoir énnoncé les règles : La première blessure devait mettre fin au combat. Après cela, John Blow gravit l'escalier le menant �  la barre et prit la place de Jack. De l� , il surplombait la scène et cernait bien les qualités et les failles de Carol-Ann ou de son second...
Pablitto enrageait. Pourquoi lui ! Il sentait que le capitaine lui edmandait de préserver son statut de second et de montrer sa supériorité et ses quelité de second. Qu'advciendrait-il si il perdait face �  Carol-Ann, serait-elle nommée Second �  sa place... Non ! Le jeune homme s'élança sur Carol...  

Carole-Anne esquiva la première attaque du second, elle tenait une épée devant elle et l'autre, tenue a la main gauche se tenait en garde de faucon, parer �  frapper... Carole. Esquiva encore une fois une attaque de la part de Pablitto, elle n'attaquai pas encore, elle attendait qu'il s'énerve un peu plus, il allai s'épuiser a force d'attaquer de cette manière...

Carole-Anne en avait mare d'attendre, elle décida de porter sa première offensive, en ligne droite dans la direction de l'abdomen de l'homme... Mais sans succès, ce dernier avait réussi a parer l'attaque de la jeune fille au dread a temps... Mais Pablitto oublia qu'elle avait une seconde arme...

Le combat fut rude, ils se battaient aussi bien l'un que l'autre, le départage serai soit un coup de chance, soit un moment d'inattention...

- pfiou... Tu te bat bien...

Fit Carole-Anne à l'homme...  

John Blow, comprenant que le combat ne prendrait pas fin. Carol-Ann semblait assez redoutable comme il l'avait prévu et la rage de Pablitto qui voulait �  tout prix garder sa place l'empêchait de commettre la moindre erreur... Le capitaine fit donc stopper le combat...    et s'empara de l'épée de Pablitto.
Sur le navire il n'y avait de la place que pour le silence... Les deux adversaires se toisèrent. John Blow souriat, Carol-Ann paraissait éberluée. Il se mirent face �  face et mirent leur garde. John Blow n'avait qu'une épée, la pirate deux. Quand Pablitto annonca le début du combat, rien ne se passa. Carol-Ann attendait surement que John fasse la même erreur que son second mais celui-ci ne kle souhaitait. il attendait que la jeune femme attaque...  

- Et bein... Tu as peur John?...

Carole-Anne souriait à son advairsaire...

- Bien... Je commence...

Elle laissa ses deux épée pendante �  ses mains, elles rayaient le plancher du navire... La jeune fille s'avança doucement, décontracter vers John... Jack regarda la scène depuis la barre... Qui allai gagner ce combat?...  

La démarche décontractée de la jeune fille distrayit John... Il la regardait s'approcher veillant bien �  avoir tous ses sens en éveil... Quand soudain Carol s'élança tel une guêpe pour piquer de sa lame l'épaule du capitaine. Celui-ci contra magnifiquement l'attaque et le combat commença. Les adversaires tournoyaient joliement. Il se livraient �  une danse mortelle durant laquelle beaucoup avait perdu la vie sur ce navire...
Puis, �  un moment, Carol-Ann baissa sa garde. L'impitoyable capitaine en profita, il fit voler l'épée que la jeune femme tenait dans la main gauche. Cette action fut suivie par les vivas de l'équipage qui soutenait son capitaine... John Blow sourit devant l'air dépité de la jeune pirate. Mais bientôt ont vit une lueur de hargne danser dans les yeux de celle-ci qui s'élança de nouveau �  l'attaque...    

Kévin et Henry qui entouré de chaque côté le navire de John virent la scène .
-Mais , que font ils ?
Kévin prit sa longue vue et observa . John et Carole-Anne étaient en train de se battre a l'épée . Henry me regarda mais je lui fit signe de ne pas intervenir .
-Non , il doivent sans doute s'entrainer ou quelques chose comme sa .  

Carole-Anne chargea avec son unique épée, elle la tenait �  deux main... elle leva son épée le plus haut possible au dessus de sa tête pour s'abattre de tout son poids sur John. Mais celui-ci bloqua le coup, La jeune femme ne s'arrêtait pas l� , elle attaqua le capitaine par sa gauche... Encore rater... Carole-Anne freinai ses attaque, le précédant combat l'avait épuisée mais elle ne baissa pas les bras... Une offensive surprise serai bien pour John... Mais comment faire... La jeune fille au dread réfléchi, toujours son épée en garde...  

La jeune fille était distraite, elle réfléchissait. John Blow le sentait bien, il profita de cet égarement et se mit �  tourner autour de la jeune femme. Ce geste bloquait ses réfléxions le capitaine la dominait, elle ne pouvat que contrer ses attaques... John Blow s'avança, il abattit son épée sur l'épaule droite de la jeune femme tendit que Carol-Ann abattait la sienne �  l'aisselle doite de Blow...    

- Bien...

Carole-Anne resta bouche bée face au talent d'escrime de John... Mais ils étai né en moins �  égaliter... La jeune fille ravala sa salive, elle tourna sa tête et vit, a bâbord que le navire de Dark junior étai a proximité et regarda amuser ainsi que son équipage le combat entre les deux pirates...

- Bon... Bravo John... Toute mes félicitation...  

Moi aussi je tiens �  vous féliciter, dit john en se tenant l'aiselle droite. La blessure que vous m'avez infligée est redoutable ! ajouta-t-il en riant. Il se retourna lui aussi vers le navire de Kévin et lui adressa un signe de la main :
-Ne t'inquiète pas camarade ! Nous ne fesons que nous amuser et tester nos capacités !
Il alla ensuite s'accouder au bastinguage laissant son sang s'écouler sur ses vêtements. La blessure était minime mais bien placée elle le faisait un peu souffrir mais pas suffisamment pour qu'il juge nécessaire d'appeler le chirurgien. De plus, il avait toujours vu le médecin comme un peu sanguinaire étant donné qu'il avait amputé pas mal de ces matelots pour des choses parfois bien minimes...  

Carole-Anne mit sa main sur son épaule, elle lui fessai un peu mal... C'est étrange... C'était sa première cicatrice... Tout comme Elisa et �  la même place... Cette dernière la lui avait montrée quand elle étai dans son lit, elle lui avait aussi raconter que c'était John qui l'avait soigner... Comme un signe du destin... Carole-Anne se secoua la tête... Elle essaya de ne plus pensée a ces délicieux souvenir entre elle et Elisa qui lui font souffrir aujourd'hui...

- John... Auriez vous un morceau de lin ou tissu pour que je puisse éponger ma blessure?... Et encore bravo...

   

-Gautier, cria John �  l'adresse de son chirurgien. Aurais-tu un morceau de lin pour cette demoiselle dans ton bric �  brac. L'homme accourut et appliqua sur les plaies des blessés des pansements... John sourit �  la jeune femme et lui murmura :
-Elisa serait sûrement très fière de vous savoir si imbattable ! J'espère que vous ne serez pas trop incommodée par ça ... dit-il en désignant la blessure qu'il lui avait infligée... Venez donc boire un coup de rhum pour fêter ça !  

- Non... Non cette blessure ne me gêne pas du tout... Pas du tout, elle est même au contraire... Symbolique...

La jeune fille regarda dans les yeux John, elle lui sourit et le suivi jusqu'�  sa cabine, il y avait une couchette dont la couverture étai en laine, des affaire de mesure comme des compas, une longue vue étaient rangé sur des étagère. Il y avait une table �  droite, dessus y étai placer une bouteille de rhum et le vieux parchemin où l'on pouvait lire dessus "
-Joe le terrible
-Kevin
-Carol-Ann
-Jéricho
-Agonie
-John Blow... Il s'agissait de la liste des participant...
John se dirigea vers cette table... Et il prit deux verre qu'il rempli avec la boisson faite de canne �  sucre...  

Le capitaine Joe resortit de ses loges il avait une bouteille de rhum a la main et il chanté :
-Nous les pirates nous sommes de braves geurriers , Hans tu peut me rendre ma place maitenant .
- Mais c'est hors de question ! dit celui-ci .
-Et pourquoi donc ?
- Mais parce que vous ete bouré !
- Donc tu veut que je retourne me couché ?
-Escactement  dit celui ci
- D'accord dit le capitaine Joe et il repartit tout en rechantant :
- Nous les pirates nous sommes de braves geurriers tralalalala youpi ic ic ic !!  

-Symbolique vous dîtes ? Et pourquoi cela ?
John Blow ne comprenait pas ce qu'avait boulu dire la jeune fille. il attendit patiemment sa réponse en dissimulant aussi discrètement que possible un cadre derrière son armoire...  

- Cette blessure... Elle est symbolique parce que... Vous vous souvenez d'Elisa... Vous, c'est vous qui l'aviez même soigné d'une balle... C'était au même épaule et au même endroit... Une stigmate du destin peut-être... Vous faite quoi John?...

Carole-Anne vit qu'il mettais sa main derrière une armoire... Pourquoi?...

- Heu... Puis je m'asseoir sur votre banquette monsieur John?...

Demanda t elle toujours en s'interrogeant et le regardant dissimuler sa main derrière l'armoire...  

John Blow se raidit...
-Une broutille de ma vie... Euh Elisa, vous avez entièrement raison, c'est vrai, cette une bien étrange coincïdence...
Il s'éloigna de l'armoire et alla déposer son tricorne sur la table...
-Asseyez-vous je vous en prie murmura-t-il...
Ils trinquèrent !  

- Oui... A votre santée...

Les verres se cogna et Carole-Anne se mit à l'aise...

- Mais... Pourquoi, si c'est une chose sans importance �  vos yeux... Pourquoi cachez vous cet objet... Ho! Et puis, qu'es ce que je raconte moi... Ce ne sont pas mais affaire...

La fille regarda par la fenêtre qui se trouvai �  coter d'elle, elle vit deux navire, celui de Kévin et celui de Joe...

- Oui... Bien étrange coïncidence...

Fit Carole-Anne en carresant sa blessure, elle regardai dans son verre dont elle bu une petite gorgée avant de se retourné vers son ami, la jeune fille afficha un sourire...

- Dite moi John... Je peux... Es ce que je peux faire partie de votre équipage?...  

- Je croyais avoir répondu �  cette question... je ne comprends pas ?
John Blow fronca les sourcils... il but une gorgée de rhum et observa Carol-Ann avec bienveillance... Puis, il tourna la tête vers l'armoire.
   

Carole-Anne regardai toujours John... Souriant continuellement en attendant une réponse de la part de son ami. Celui-ci avait son regard diriger vers l'armoire, il étais un peu nerveux...  

-Ma réponse est bien sûr, aussi longtemps que vous voudrez, votre présence m'honore. Vos pensez bien, une femme si douée !
Blow avait remarqué l'intêret que Carol avait pour le secret qu'il avait dissimulé derrière l'armoire. Il soupira et se dirigea vers le meuble. Il en ressortit alors un cadre d'or. Au milieu, une peinture magnifique représentait une femme brune �  la peau mat. Elle tenait dans ses bras une fillette aussi blonde que sa mère était brune.
-Cela n'est pas un bien grand secret... dit-il en soupirant... Une larme perlait �  sa paupière. Il se tourna et remit le portrait �  sa place. Avez-vous compris ?
   

- ho... Je... Je suis désoler... Je ne voulais pas... J'ai compris... Je... Je suis désoler cela m'apprendra �  me mêler des affaire des autre... Je peux vous dire que... Cela me touche, je ne voulait point vous importunez... bravo Carole-Anne...

Carole-Anne se rappela quand John l'avait consoler pour la mort d'Elisa dans la taberna del filibustero... Elle décida de faire de même...

- John... Je ne voulais pas vous attristez...

Elle le prit dans ses bras...  

Oh, vous savez, chacun �  des blessures, des chagrins... cela va de soit... Il ferma les yeux et s'abandonna dans les bras de Carol-Ann, il était bon de se sentir apprécier et soutenu par les gens que l'on aimait pensa-t-il... Vous êtes d'ailleurs la première �  le savoir n'est-ce pas ?
C'était �  Barcelone...il faisait nuit. J'étais au service de l'Espagne �  cette époque et j'avais... j'y avais rencontré ma femme celle...celle du tableau. Mariage heureux, festivités heureuses qui firent de nous des jeunes parents peut de temps après. Oui, nous n'étions pas bien vieux. Elle avait seize ans moi vingts... Nous avions donc eu une petite fille si frêle, si gracieuse, si émouvante... C'est peut-être ridicule mais je m'étais attaché �  cette gamine plus qu'�  quiconque... Un soupçon de sourire voila ses lèvres. Il observa Carol-Ann doit dans les yeux. Ne vous en voulez pas, je vois bien que je vous rend mal �  l'aise avec mes histoires mais je n epeux m'empêcher... Je n'en ai jamais parler �  personne alors...
Il était émouvant. Cet homme que la vie avait brisée réfugiée dans les bras de la conquête d'une tribade...  

- Non John... Non vous me déranger pas... Au contraire, raconter ses souffrances �  quelqu'un peu soulager son coeur... Moi contrairement �  Elisa, je n'ai pas vraiment eu un passer aussi tourmenter, un passer où elle du fuir, je suppose qu'elle vous avait contée un peu sa vie...

Carole-Anne serrai plus fort que jamais John, il avait les yeux mouiller tout comme celle qui le tenait...

- Ne vous inquiétez pas... Je vous comprend... Je sais que votre douleur est insupportable...

La jeune fille caressa ses cheveux, elle Fermi également les yeux et pensa �  Elisa...  

Sur le Diable Rochellais, c'était le calme plat. Seul le souffle du vent dans les voiles, le grincement des cordages et le fracas des vagues sur la coque se faisait entendre. Théodosos le pilote maniait la barre comme si il y était soudé, les mains ne bougeant pas, seuls les bras et les poignets faisant le plus gros du travail. Ulysse le bosco arpentait le pont d'un air absent, tout en scrutant chaque recoin et chaque marin. Heinrich était aux fournaux avec Silverburgh le cuistot, préparant de la choucroute arrosée de wisky, une de ses inventions. DuGuesclin le charpentier et Désirée le grisou jouaient aux cartes sur un baril de pommes. Le reste de l'équipage était s'occupait comme il pouvait. Mais Agonie la Belle lui était autrement préoccupé, par une question d'ordre moral, ce qui ne lui avait jamais posé problème avant.
Dans les geoles du Diable, le flibustier était seul en face �  face avec un détenu, un indien des Amériques, aux cheveux noirs longs lui arrivant jusqu'aux épaules, la peau cuivrée, le visage peint en blanc et noir, des anneaux d'or pendant �  ses oreilles rallongées, un pagne et un unique poncho rouge aux motifs aztèques sur ses épaules et lui recouvrant la totalité du corps. Ses yeux étaient très clairs, perdus dans le vague, malgrè que le français y vrillait les siens. Il était accroupi devant l'indien, lui même adossé paresseusement contre le mur de sa geole. Le silence était aussi épais que de la chaux, et dura jusqu'�  ce qu'Agonie le brise en disant simplement:
-Alors, ca te revient maintenant ?
L'indien cligna des yeux comme si il revenait de loin, et d'une voix grave et profonde il répondit:
-L'objet de tes tourments a fait coulé beaucoup de sang, et il serait préférable de le laisser dans sa cachette. Cependant, ta convoitise est forte, et ton désir si pressant qu'il me semble que les Dieux souhaitent te montrer son emplacement.
Agonie sourit d'un air triomphant. Cela faisait bientot un an qu'il avait trouvé cet indigène. Avant l'expédition sur Black Stone, il l'avait confié �  un ami tavernier �  un comptoir portugais. Lorsqu'il avait gagné le galion �  un jeu de hasard, Agonie l'avait récupérer, en l'enfermant. Ce n'était pas qu'il craignait un acte dangereux de sa part, mais c'était parce ses hommes ne supportaient pas la présence de l'indien �  bord. Aucun ne s'était risqué �  le brutaliser, ni même �  lui parler, car il ne répondait qu'au capitaine. Le français l'avait donc logé dans les cales, en laissant la porte ouverte, pour que l'indien vienne le voir si il avait besoin de quoi que ce soit. Mais jusqu'ici il n'était monté le voir que pour deux raisons: la première pour lui demander si il pouvait se servir dans les réserves de fruits du cuistot, et la seconde pour lui confier que si il voulait trouver ce qu'il cherchait avec obstination depuis près de deux ans, il devait venir tout les jours le voir dans sa cellule, le laisser méditer pendant 10 minutes, et l'interroger. Ils jouaient �  ce manège depuis bien longtemps, et Agonie n'en savait pas plus que lorsqu'il l'avait rencontré, �  part que ce métèque connaissait l'emplacement tant révé.
-Et après ? reprit-til avec une certaine insistance.
-Et il te faudra accumuler beaucoup, beaucoup d'or si tu veux pouvoir l'atteindre. Tu devras emmener beaucoup d'hommes, beaucoup mourront dans d'atroces souffrances, comme beaucoup ont jadis souffert et péri pour le cacher. C'est le prix �  payer pour contempler son éclat.
-J'ai déj�  envoyé de nombreux hommes �  la mort pour l'avoir. J'ai déj�  eu la chance de tenir le Coeur de l'Ocean dans mes ensanglantées, et je le referai volontier!
-La parure de Davy Jones est très convoitée de par le monde, murmura l'indien. Nombreux sont les aventuriers, les brigands et les puissants qui sont déj�  lancés �  sa recherche.
-Davy Jones, c'est une légende, répliqua Agonie la Belle, et moi je fais partie de ces trois classes l� . Eux ils recherchent un mythe, mais moi j'ai le meilleur indice pour trouver la réalité: toi!
L'indien détourna lentement la tête, sans que son visage ne change d'expression, et fit:
-J'ai vu la ligne de ta destinée en songe, Buveur-de fumée, j'ai vu �  quelle moment ta route te menera au Coeur de l'Ocean.
Puis il se tut.
Agonie la Belle se releva, satisfait malgrè ses inombrables questions toujours sans réponse. Il quitta la cellule en disant d'un ton égal:
-Merci de m'avoir éclairer un peu plus, vieux renard. A plus tard!
Il remonta sur le pont, Heinrich était au poste de pilotage, silencieux, ses bras de colosses croisés, la barbe rousse hirsute volant au vent.
-Rien de nouveau? interrogea le français
-Nein, her capitaine, répondit le germain.    

Sentant que son récit ne dérangeait pas Elisa, John Blow continua. Il avait toujours les yeux fermés, toujours le même tremblement dans la voix...
- C'était en été je crois... je ne sais plus... Si, c'était en été, je... nous étions sur la terrasse quand j'ai entendu la cloche de l'église sonner... J'ai regardé la mer...  oui c'est ça, je l'ai regardé et j'ai tout de suite compris. La voix du capitaine se fit plus dure, elle ne tremblait plus d'émotion mais de hargne.
Il y avait �  l'horizon une armada de navires pirates... J'étais dans l'armée vous comprenez alors... alors je suis parti, j'ai laissé ma femme et ma fille dans la petite villa blanche qu'ont habitait elles et moi... Il s'arrêta et souffla un instant. Je me suis battu longtemps... toute la nuit peut-être, il réfléchit en plissant les yeux... non, moins... Il faisait encore noir quand je suis rentré. J'ai poussé la porte, enfin, les lambeaux de bois qui autrefois était ma porte pour trouver chez moi une scène horrible. Il s'arreta...
A ce moment-l�  Pablitto arriva :
-Navire battant pavillon Hollandais �  tribord capitaine ! Qu'est-ce qu'on fait ?
Le capitaine quitta les bras de Carol-Ann �  grand regret et monta sur le pont du navire. Le navire d'Agonie et de Kévin était suffisament près de l'Inssaisissable pour qu'il puisse se parler. John Blow s'essuya une dernière fois le visage et cria �  l'adresse de ses compagnons :
-Navire battant hollandais �  tribord ! Vous sentez-vous d'attaque camarades ?!
   

Carole-Anne regarda sa chemise... Elle était toute mouillée, John avait verser des larme sans qu'elle ne s'en l'aperçoive... cette dernière leva son visage, elle sentit de l'eau sur ses joues... Elle aussi pleurai, de la trigique histoire de son ami... Mais aussi cela lui fesai penser également �  la mort d'Elisa... Elle s'essuya ses larme en prenant la précaution que personne ne la remarque ... Carole-Anne se dirigea vers le pont, elle suivait John...

- Moi je suis prête capitaine!

La jeune fille sorti ses deux épée et s'apprêta �  recevoir son premier commandement de la part de son capitaine... John...  

Seule Carol-Ann avait répondu �  son appel... Le capitaine attendit un peu, mais plus il attendait, plus le navire Hollandais s'approchait. Excité par l'idée d'attaquer un navire il se précpita sur le bastinguage, s'y appuya et  hurla :
-KEVIN NOUS ALLONS LE PRENDRE A DEUX ! CELA NOUS EVITERA D'AVOIR TROP DE PERTE QUAND DIS-TU ?!
On vit alors le navire du fils �  Dark s'avancer �  la hauteur de l'Inssaisissable. Les deux batiments étaient maintenant face �  la frégate Hollandaise...
John Blow, debout sur le bastinguage, le bras pris dans une écoute donna ses ordres :
-Mes chers mais, nous allons prendre le navire par la gauche, Nous avons peu de canons, je veux toute notre atrillerie sur la partie gauche du navire. Chargé avec des boulets !Laissons les mitrailles pour des navires plus imposants que celui-l� . Kévin et son manowar se chargera plus de la cannonade, il est donc inutile de les utiliser maintenant. Pablitto, toi, tes hommes et Carol-Ann aborderez le navire dès que nous serons �  proximité de celui-ci, je compte sur toi. QUE DIEU VOUS GARDE MES AMIS !
Le capitaine dégaina son épée et observa Carol-Ann... Il n'y avait plus de larmes dans les yeux des deux compagnons, seule la hargne qui envahit un Homme avant un abordage.
Sur le navire hollandais, on paniquait, ce n'était que grande pagaille et insurmontable panique...
-FEU !!!! hurla alors John Blow  

Kévin se placa en position de combat .
-Ben , hisse nos couleur !Un long drapeau monta lentement jusqu'en haut du grand mat .
(http://i20.servimg.com/u/f20/11/33/59/91/187b10.gif)
-Canons de chasse  ..... Feu !!!!
Les quatre canons firent feu en même temps . La fregate fut emdommager par l'avant .
-Ben , barre a Tribord ! Canoniers babords , a vos pieces ! Attention , a mon signal .... Feuuuuuuu !
Les canons crachèrent leur décharge mortel sur la fregate . Maintenant c'était au tour de John d'intervenir . Le Tigre était juste devant la fregate et continué a la canarder mais en faisant attention a ne pas viser le Black Angel et l'Inssaisissable .


Edit: je crois l'avoir dit, mais je suis pas ur donc je vous le dit. Les canons de proue comme vous dites ce nomme les canons de chasse et ceux se situant �  la poupe les canons de fuite. Vous comprendraient tout de suite pourquoi je suppose et je vous laisse �  votre rp

Scar  

Pablitto s'écria alors
-A l'abordage compagnon !!!
Une pluie d'homme s'abattit sur la frégate. Les hollandais se battait vaillamment. Ce fut une dans macabre qui dura plusieurs longues minutes. Une vingtaine des hommes du capitaine perdirent la vie... Seuls Pablitto, Carol-Ann et le capitaine avaient réussi �  former un cercle autour d'eux. Ce n'est qu'après une importante bataille que John Blow et son équipage prirent possession du navire. Une trentaine de hollandais seulement avait survécus... Les hommes de Blow les ligotèrent. Le capitaine comptait prendre possession du navire, une frégate, ce serait beaucoup mieux que son Inssaisssable. Il songeait �  cela, quand Pablitto arriva, le visage en sueur :
-Capitaine, un boulet �  endomager la coque �  babord... La frégate coule !
Carol-Ann arriva
-Il faut abandonner le navire !
Le capitaine, décu due bien se rendre �  l'évidence...
-Camarades PILLEZ TOUT JUSQU'A FOND DE CALE ! Le navire va rejoindre les abysses, pressez-vous ! Pablitto, fais monter les hollandais sur l'Inssaisissable. Mettez-les aux fers pour l'instant.
Le capitaine se retourna vers Carol-Ann, elle souriait...  

- C'est vraiment pas de chance ça... Il était si beau ce navire... Dommage... Enfin bref... Kévin ne les aura pas épargner...

Carole-Anne se rapprocha de John...

- C'était une belle première pour moi... En tan qu'équipage et non capitaine... Hé hé...

Les marins de John se dépêchèrent �  piller le plus nécessaire comme les lingot d'argent, les marchandise de grande valeur et des vivres...  

Carol-Ann et john regagnèrent bientôt le navire.
Le soir, �  bord de l'Inssaisissable, on entendait une musique suraigue provenant du pont. Blow donnait une petite fête en l'honneur de l'abordage réussit fait dans la journée. Il était l� , sombre, parmis ses matelots. Il les regardait rire, danser, et boire comme des trous. Ce n'est que tard dans la nuit que le calme revint. L'Inssaisissable glissait sur les flots docilement suivi par les navires respectids des compagnons de Blow. Celui-ci, debout sur la proue du navire observait les flots que fendait son galion. Il laissait la brise marine se faufiler dans ses cheveux bruns tressés et fermait les yeux. C'était l�  qu'il était le mieux, dans le silence et le vent, survolant l'océan, c'était l�  qu'il était le mieux car c'était l�  qu'il se sentait libre...
Un jour, alors que l'atmosphère paisible et salée de l'océan envahissait l'air, John Blow fit monter les prisonniers hollandais sur le pont...
Quand la trentaine d'homme fut rassemblée, il se plaça face �  eux :
-Chers amis écumeurs des mers... Les hommes qui sont ici sont tous des défendeurs, corps et âme, de la liberté. Ils n'obéissent qu'�  une seule autorité la mienne... il fixa un �  un les hollandais qui tremblotaient légèrement. Je vous propose donc de venir grossir les rangs de mon équipage et vous engager �  défendre vous aussi la liberté et les vertus pirates et... �  m'obéir quelque soit la situation, quelque soit l'ordre que je vous donne... Acceptez-vous ma proposition ?
Les hommes hochèrent la tête. Cinq d'entre eux seulement ne scillèrent pas. Le capitaine s'avança vers eux.
-Vous refusez donc ? Ils acquièçèrent. Pablitto chargea son pistolet. John Blow l'arrêta.
-Très bien, qu'on les remette aux fers...
Deux matelots s'avançèrent et s'emparèrent des importuns.
-Pablitto, ennoncez les règles.
-Les règles �  oui...
Le second de Blow énnonça alors les règles auxquelles étaient soumises les matelots pour contribuer au bon fonctionnement de l'équipage.
Après ce cour évènement, le voyage se déroula sereinement.
Dix jours � près avoir quitté les Caraïbes, la flottile accostait �  Rio de Janeiro...
   

Dans ses quartiers Agonie la Belle avait voulu recréer l'ambiance étouffante d'une fumerie d'opium qu'il avait fréquenté en Inde, il y avait de cela quelques années. Il s'y était fait tatouer un tigre sur l'épaule gauche, symbole de la tenacité de l'Homme dans une situation desespérée. Il avait gouté �  de nombreux produits étranges, �  fumer, �  macher, �  sentir, qui lui avaient retourné le cerveau et l'avaient emmené dans un endroit évioquant vaguement le paradis, plein de danseuses indiennes voilées, de tables surabondantes en mets exquis, aux fontaines débordantes d'alcools en tout genre, et de fleuve d'or pur �  l'état liquide, où il se baiganit comme les empereur incas s'enduisaient de peinture dorée pour honorer leur dieux.
Dans sa cabine, des batons d'encens en train de bruler étaient disposés �  tous les coins, des châles colorés étaient jetés sur les lanternes, des lampions chinois et turques pendaient au plafond, des statuettes indous étaient posées sur les meubles et des feuilles de thé trempaient dans une carafe d'eau chaude, tout cela pour retrouver l'odeur de cette fumerie.
Il fouilla dans sa male et y trouva une vieille pipe décorée, qu'il foura de tabac et y mit le feu. Il s'assit et huma quelques instants la fumée, ses yeux commencant �  grossir, des cernes de dessinant et les pupilles rétrécissant. Quand il entendit la vigie crier. Il se leva et sorti de sa cabine. Heinrich lui annonca que Rio de janeiro était en vu. Agonie fit accoster le Diable Rochellais, et rejoignit John Blow sur son insaisissable.
-Capitaine Blow, voil�  un voyage éclair! Maintenant que nous sommes �  Rio, nous allosesn profiter pour faire le plein d'hommes et de vivres, mais n'avez-vous pas une autre intention en voulant nous faire accoster ici ?
Le français scrutait le visage de John, sans vouloir paraitre suspicieux.  

Que soupçonnez-vous cher ami ? Je vous aurais informer de mes intentions si j'en avais eu... Ceci dit, je voulais vous entretenir d'une certaine chose, mon galion est plein de matelot. Je crois même être en surplus... La moitié des trentes hollandais vous intéresserait-elle ? J'en ai cinq, cinq rebes aussi ? Je ne sais pas qu'en faire... �  vous de voir...
John Blow s'assit sur un tonneau et s'empara d'une bouteille qui traînait �  ses pieds. Il la présenta �  Agonie :
-Ca vous tente ?  

-Pourquoi pas ?
Il prit la bouteille, la déboucha, pôrta le goulot �  ses lèvres et but une razade. Il hocha la tête en faisant la mou, et retendit la bouteille �  John.
-Pas mauvais du tout!
Il sortit de sa veste une fiasque contenant du malaga, alcool très prisé par les mousquetaires de sa Majesté le Roy de France.
-Tenez, goutez ca, ca pique pas et ca vous rechauffe le gosier. Pour en revenir �  votre proposition, ca me convient, c'est une offre très génereuse de votre part. En effet, ils ne seront pas de trop. Et pardonnez moi d'avoir douté de vos intentions. J'ai moi-même une petite course particulière �  faire ici.
Je ne suis pas pressé, mais pouvez-vous nous dire quelle sera donc notre prochaine escale ?  

John Blow saisit la bouteille que lui tendait Agonie, il la fiasque �  ses lèvres... Il but une gorgée et fit une grimace en étirant ses lèvres tandis qu'il rendait la fiassque �  son propriétaire.
-Ah, excellent... Jamais je n'avais gouté, qu'est-ce ? il enchaîna,
Vous disiez, ah oui, vous aviez une course �  faire. Hm, ne vous inquiétez pas pour ça, le voyage que nous venons de faire mérite bien une escale d'une nuit... Vous aure donc le temps du moins je l'espère. Quant �  la prochaine escale, je la prévoyais �  Buenos Aire, après celle-l� , je comptais piller un port, mais cela dépend de vous et des autres capitaines, ceci dit, je pense que nous sommes assez nombreux pour tenter cela...
Il but une lampée de rhum et fixa Agonie en attendant une réponse...  

Carole-Anne vain rejoindre les deux hommes...

- Bien le bonjour messieurs, comment vas tu agonie...

puis elle murmura une feinte tout en ayant un sourire en coin, un peu malicieux et aussi, un peu chaleureux...

- Agonie... La belle hé hé pas si belle que ça... Ne le prenez pas mal hein... C'est pour rire mon ami... Et alors quoi de neuf?... Et si on allai se détendre dans une taverne se trouvant sur le port... Je suis sur que de la compagnie de femmes vous fera le plus grand bien... Enfin... Je supose...

Carole-Anne étais désarmée, elle s'appuyait contre la rampe qui empêchai les homme de passer par dessus bord du pont...  

L'attitude de Carol-Ann troubla John Blow, elle semblait... comme soule ?... ILl observa �  nouveau Agonie avec insistance.
-Carol-Ann a raison, nous discuterons mieux de cela dans une taverne. Venez donc avec nous Agonie !
Puis, se penchant vers Carol-Ann :
-Ma chère, Agonie vous troublerait-il ? demanda-t-il en riant...
Il sourit �  la jeune femme. Et les compagnons se dirigèrent vers la taverne la plus proche.  

- Non non... Pas du tout, du tout, du tout, du tout... Heum... Je paie les verres... J'insiste...

Carole-Anne semblai saoul effectivement... Elisa lui avait certainement montrer le mauvais exemple de l'alcool...
Les homme et l'unique fille rentrèrent dans la taverne, ils décida de s'installer au fond de la pièce.
Tout les occupant déj�  présent dans le bâtiment étain de peau brune même parfois rouge, d'étrange personnage peu rassurant...  

Depuis le début de l'aventure, Jéricho n'avait fait que suivre les autres, ne se mêlant que très rarement aux discutions, et marmonnant des mots incompréhensibles. Alors qu'il entra dans la taverne, il annonça aux autre capitaines :
- Salut. Je voulais vous dire, j'ai reçu la visite d'un officier français, il me demande de me rendre en France. En gros je suis mobilisé. Désolé, mais je ne pourrais vous accompagner.

(Suite �  un départ en vacances imprévu, je ne peut continuer la quêtes. Ainsi, je m'en retire afin de ne pas la perturber. Merci et toutes mes excuses)  

John Blow fut attristé par cette nouvelle, il salua Jéricho. Son aide eut été précieuse durant cette quête... Il était dommage qu'il fusse obligé de partir...
Le capitaine l'invita �  boire une bouteille de rhum et il se tourna vers Agonie et Carol-Anne :
- Nous disions donc, la prochaine escae �  Buenos Aire, cela vous convient-il ? Et le pillage qui le suivra... êtes vous d'accord ? Blow parlait bas, de peur d'être entendu. Il jettait sans cesse des regards furtifs aux alentours...
-Alors Agonie ?  

Carole-Anne regarda Jéricho partir, avant qu'il ne disparaisse derrière la porte de la taverne, la jeune fille lui fit un signe de la main.
A présent, celle-ci réfléchissait longuement �  la question poser par John, elle attendait que Agonie réponde mais elle prit la parole en premier...

- Heu... Oui... C'est une bonne idée... En tout cas moi, je suis d'accord mais je crois pas que cet endroit soit... Très rassurant pour parler de cela... Enfin moi je dit ça je dit rien, je propose seulement de... Parler de cela dehors car... Il y a un drôle de type qui n'arrête pas de nous regarder au fond l�  bas...

Carole-Anne fit un léger coup de tête dans la direction du drôle de gars...  

Je suis de votre avis, mais nous venons �  paine d'arriver, si ce type nous trouve louche il nous trouvera plus louche encore si nous partons avant même d'avoir fini cette bouteille. Faisons donc mine d'être détendu et parlons d'autre chose...
Il sourit �  Carol-Anne et versa dans chacune des chopes le rhum dont l'odeur habitait la pièce...  

-Moi ca me va, fit Agonie la Belle. Le pillage sera une occasion de tester la bravoure et la loyauté de ces hollandais, et ca nous permettra de rentrer dans nos fonds pour mener �  bien cette expédition. Quel dommage que Jéricho doive nous quitter, un navire n'aurai pas été de trop. Enfin ca fera une part du butin en plus �  partager, si butin il y aura!
Le français but une gorgée de son verre, et après avoir scruter l'inconnu qui les fixait avec insistance, il se tourna vers John et Caroll-Ann et leur murmura:
-Vous pensez que c'est un espion des services anglais, français ou hollandais ?
Personnellement, il y a un petit bout de temps que je suis venu ici, et j'y ai pas que des amis. Si il avait une raison de nous suspecter, il nous aurai déj�  abordé.
Voulez-vous que je l'occupe, et que j'entraine �  l'écart ?
Pour appuyer sa proposition, le flibustier tira doucement son coutelas de sa ceinture, un sourire mauvais aux lèvres.  

John Blow se tourna vers Carol-Anne :
-Je m'en remet à vous...
   

- Bien alors... Je pense que notre ami va un peu s'amuser que diriez vous de... Pourquoi êtes vous entré dans la piraterie au fait?... Mmmm...

Carole-Anne s'étendit sur sa chaise, on entendit ses os de ses bras et de son dos craquer... Elle vit John verser le rhum dans sa chope...

- Mouaaa... Moi en tout cas... Après celle-l� , Je ne reprend plus d'alcool pour aujourd'hui... Trop bu je l'avoue... Elisa tenait mieux le rhum que moi Pffff... Mais avant de me répondre �  ma première question, quand repartons nous sillonner les mers?...  

Demain soir... répondit John Blow. Je n'apprécie pas ce coin, je suis persuadé que ce gaillard l� -bas, ne sera pas le seul �  nous espionner. Mais une nuit est assez longue pour que nous prenions un peu de bon temps et que mes matelots calment leur fatigue et leurs ardeurs, ajouta le capitaine, un sourire malicieux au coin des lèvres... Mais pourquoi cette question ? Seriez-vous impatiente de retrouver le calme marin ou auriez-vous une course �  faire dans les environs ?  

Carole-Anne rougi pensant que John avait deviner quelque chose qu'elle aurai bien aimer faire...

- Heu non non... Je n'ai rien à faire... Pas de course... Non non...

Elle reprit une gorgée de rhum nerveusement, elle tremblotai un peu et par conséquent elle renversa sa boisson maladroitement sur sa chemise...

- Rhaaaa... Zut... Fait chier... Vous avez raison, cet endroits ne m'inspire pas vraiment...  

Agonie sourit à pleine dent, et se leva en annonca:
-Je vous prie de m'excuser, je reviens dans un instant...
Il fit un clin d'oeil �  la tribade et au capitaine, et se dirigea vers la sortie. Au passage il déroba la bourse de l'inconnu qui pendait �  sa ceinture (trop facile). Celui-ci s'en rendit compte et sortit pour corriger le voleur, mettant la main sur son sabre.
Mais une fois qu'il eut mis le nez dehors, le pirate tapi dans l'ombre lui posa la main sur la bouche afin de l'empécher de crier �  l'aide, et lui coinca la lame de son poignard contre la gorge.
-Viens un peu par là, mon gars, on pourra discuter plus tranquillement.
Il attira le type dans un coin sombre, et dégageant sa main de sa bouche, descendit oter le sabre de son fourreau.
-Alors, dis-moi, mon vieux: tu nous espionnais, moi et mes amis ?
-!Maldito cabron! !Liberame immediatemente!
-Hein ?...Je cause pas bien ta langue, mon pote, mais je crois avoir compris le sens. Alors si tu me comprend, sache que tu partiras pas avant de m'avoir expliqué ce que tu nous veux!
-! Por favor, no hace usted idiotezes! ! Soy un..
Agacé par la mauvaise volonté de l'homme, Agonie la Belle lui trancha la gorge d'un coup net, brusque. Quand il entendit le cri d'effroi se noyer dans le gargouilli du sang et qu'il sentit le corps s'afaisser avec des tremblements, il l'attira et le cacha au fond d'uen ruelle, en le dépouillant pour trouver une indication, mais il ne trouva comme objets que sa bourse et une bague ornée d'une grosse pierre sombre aux reflets rouge. Il se contenta de ses deux trouvailes et revitn auprès de Caroll-Ann et John. Il portait la chevalière de sa victime, �  un doigt qui en portait déj�  deux.
-Bientot je ne pourrais plus les plier, fit-il en montrant son nouveau bijou. J'ai questionné un peu notre inconnu, il n'a pas daigné se faire comprendre.
Agonie se tut et se servit un autre verre de rhum, assoiffé qu'il était par la petite tuerie du moment.  

John Blow observa longuemment la chevalière de son compagnon. Elle était élégante...
-Vous êtes sur qu'il ne vous a rien dit, du moins rien qui ne vous ai semblé suspecte... un geste... ou quelquechose comme cela.  

-Non, il m'a juste répondu en espagnol, il a du dire un truc du genre "s'te plait, l� che moi la grappe". Et j'ai rien trouvé sur lui indiquant son état civil, son origine, ou si il avait des contacts avec les autorités. J'espère que j'ai pas tué un innocent, mais ca m'étonnerai! Remarque ce serait pas la première fois, pouffa-t'il en tripotant ses nombreux colliers vaudous.  

John Blow sourit. C'était un sourire forcé... Il observa Agonie de pieds en cap et noya ses réflexions et la colère qui commencait �  pointer en lui dans un grand verre de rhum...
-Chers amis, il ne me reste plus qu'�  espérer que notre prochaine escale sera vite atteinte et sans encombres. Mais, où donc est Kévin, je ne l'ai pas vu depuis notre arrivée ? Il but de nouveau et jetta un oeil �  Carol-Anne, l'alcool commencait �  lui monter �  la tête ce qui fit rire Blow...  

- Ha...Aaaa... Kévin Kévin ... Bein moi non pluuus je... Heu... Je ne l'ai pas vou... Heum... Agonie... Vous êtes un type pien! Si si... Vous reprendrai bien un rhummm... Ha... Vous vous êteu déj�  servi bon bein... Que féeu t...T..T on �  present?...

Carole-Anne souris inconsciemment, pour rien... Elle tourna son regard vers John tout en jouant avec son verre de rhum �  moitié consommé...

- Pourquoi t... Tu ris?... Il n'y a rien?... Hé hé... Celui-là...

La jeune femme ne pu s'empêcher de lâcher une éructation...  

John Blow continua �  rire mais ne répondit pas aux interrogations de la jeune femme. Ils bavardèrent un instant avec Agonie et le capitaine sortit. Il faisait très chaud, la sueur perlait �  son front... Il se dirigea donc vers des ruelles sombres et encombrées d'échoppes. Il flana longtemps, ne pensant �  rien qu'�  la fraicheur et au bonheur de vivre. Puis, Blow arriva devant une maison �  la facade rosée. Adossée contre le mur, une catin riait avec un badaud. Il s'engouffra �  l'intérieur. Deux ou trois filles vinrent le saluer. Il ne prit pas la paine de faire de même. Le capitaine se dirigea �  grands pas vers une pièrce plus exigue situé au fond du bordel.
Ce fut tard dans la nuit que Blow ressortit du batiment rose. Il n'y avait alors dans les rues que des clochards unijambistes ou des animaux sales, et rongés par la vermine. Le capitaine traversa les rues majestueusement comme un roi traversant son royaume. Il lançait des regards méprisants aux chats errants et saluait d'une main les clochards, leur jettant une pièce d'or de sa main libre...
Quand il revint sur son navire, les matelots, ivres, étaient attroupés autour de trois musiciens... Les lanternes de l'Inssaisissable toutes illuminées projettaient sur l'eau de faibles halos...  

Carole-Anne vint l'accueillir �  son bord, elle étais avec une bande de marin ivre, mais encore potable...

- Bien le bonsoir capitaine... Alors... Vous vous êtes promener longtemps... Moi et l'équipage on a décider de se relâcher un peu comme vous pourrez le le voir...

La fille souri au capitaine et se retourna, d'une démarche aisée, elle rejoignis Le bastingage où plusieurs pirate chantai et se saoulaient. Elle retira sa ceinture et laissa ses épées derrière elle, celle-ci la gênai dans ses mouvement. Carole-Anne fixai toujours John, toujours avec le sourire aux lèvres...
La nuit étai étoilée, les nuages couvrai que très peu le ciel, les vent froid du nord se levai enfin, rafraichissant la journée torride qui venait de se terminer, la brise caresser les vagues de la mer calme... Puis la fille se releva...

- John... Vous venez faire la fête avec nous?... Hé hé...  

Kévin n'avait pas mis le pied a terre . Il restait sur son batiment en compagnie d'Henry , de Nelson , et d'Ulric . Il regardaient les différente carte de la chine .
-Peu être , sugéra Henry , qu'ils possède des navires trés puissant ? Je n'ais jamais entendu parlé de leur flotte .
-Moi si . Dit Nelson . Je suis déj�  allé en chine . Leur navires sont peu ordinaire . Ils appel sa des "jongue" ou quelques chose dans ce genre . Mais ces navires sont trés bizarre . Ils sont plus petit et passeraient sous notre premier pont .
-Hmmm , voila qui devient interressant .  

-Je pourrais... répondit-il...
Il regarda le ciel. La voute céleste piquetée d'étoile ne présageait rien de bon selon lui. Il haussa les épaules et se retourna vers Carol-Anne. Allons-y.
Les matelots formaient un cercle autour des musiciens. Certains écoutaient, les yeux fermés, maussades et tristes. D'autres avait aux lèvres un sourire farouche qui faisait naître un rire gras et bestial... On vit alors un homme se détacher de la foule et s'avançer vers les deux compagnons. C'était Pablitto. Il avait un peu bu et une haleine acre s'élevait des profondeurs de sa gorge. Il s'approcha de Carol-Anne et lui dit, une grimace audacieuse sur le visage :
- Vous danserez bien avec moi demoiselle... ? S'il vous plait, cela fait tellement longtemps que je n'ai pas dansé avec une fille ...
Le visage de John fut alors voilé par une ombre de dédain et de mépris. Un sourire carnassier couvrit ses lèvres... mais il n'osa pas chasser le malheureux ivrogne...  

Le capitaine Joe qui ne savait que faire , décida de se rendre sur le Black Angel . Quad il monta a bord , il ne vit personne . Il s'approcha du Kiosque et entendit des voix . Il entra dans la pièce . Le capitaine Kévin , Henry , ainsi que leur second , Ulric et Nelson , étaient autour des cartes .
-Ha , mes amis , permettez moi de me joindre a vous .
-Oui , venez .Fit Kévin .Nous étudions les navires chinois . Savez vous quelques choses sur eux ?
-Non , mais mieu vos le demander a John . Lui il le saura .  

Carole-Anne leva ses yeux et regarda Pablitto...

- Oui Bien sur...

fit elle d'un ton déterminer. La fille se laissa pendre dans les bras de l'ivrogne et commenças �  danser avec... John les regarda, il avait un regard sombre pour son second.
La fête battait �  son plein, les marin chantèrent de plus en plus fort, des chanson joyeuse, des chansons de pirate et quelque chansons payarde... Jusqu'�  ce que Carole-Anne quitta les bras de son partenaire, la fille murmura dans l'oreille de ce dernier...

- Chacun son tour mon ami...

Sur ce, elle ria tout en traversant le pont pour rejoindre un ami, un ami qui restai seul �  écouter les chanson, celui-ci étai dans la lune, il réfléchissait, ou plutôt, il boudai...

- Voulez vous dansez avec moi john?...

Fit Carole-Anne avec un ton timide et hésitant . Elle lui tendit la main pour l'aider �  se relever espérant qu'il répondrai par l'affirmative �  sa question...  

John sourit. Il pensa "Espérons que le fantôme de la tribade ne m'en tiendra pas rigueur." Il hésita et s'empara de la main de la jeune femme...  

"Ouais! Il a accepter"... Pensa Carole-Anne...

- Et bein... Heum...

"Mad Ethel" rougi subitement... Cela lui fessai d'étrange sensation dans tout son corps...

- Heum... Je... Je...

La jeune fille souri nerveusement, elle fixa du regard John...

- Je suis ravie que vous ayez accepter ma demande...

"Elisa... Ne m'en veux pas que je tienne la main �  cet homme"... Pensa Carole-Anne...  

John Blow et sa cavalière s'avancèrent dans le cercle fait par les musiciens... Un murmure parcourut l'attroupement de matelots mais il fut bientôt réduit �  l'état de souvenir... John Blow fixa Carol-Anne. Elle lui semblait moins pâle qu'�  l'ordinaire... mais peut-être était-ce ces rêves secrets qui l'ennivraient un peu ...
Il lui prit la main et lui chuchota :
-Valse, tango ... ?
   

- Hé hé... Valse...

ce fut seulement qu'un mot, murmurer par la bouche de la jeune fille, comme si elle ne contrôlait plus son corp... Carole-Anne ne sentait plus ses pied poser au sol... Elle était ailleur...  

John Blow saisit alors la main de la jeune fille et posa son autre mmain sur ses hanches. La valse débuta... John Blow avait connu, avant de se faire pirate, les bals et les soirées pompeuses de la haute société. Il devait �  cela ces sourires hypocrites si bien imités, ces aimables galanteries sans oublier son savoir-faire concernant la danse. Une chose pourtant l'intimida un peu. Il conduisit moins bien sa cavalière que toutes les autres... Peut-être était-ce parce-que le fait qu'elle soit pirate... Non, si, c'était surement cela... Ou bien peut être parce qu'elle était, tout comme Elisa, une tribade...
Ces réfléxions inutiles furent bientôt stoppées par le plaisir de danser avec une si aimable cavalière. Il oublia bien vite son trouble et virevolta avec Carol-Anne aussi longtemps que le diable le lui permit !    

Carole-Anne stoppa net... Elle fixa le regard de John... Elle n'avait pas la même sensation que les autre hommes... C'était comme si... Son coeur battais comme si elle étai avec Elisa... Plus elle regardai John... Plus son coeur battais la chamade... Carole-anne ne pu le regarder de plus... Cela ne pouvait être possible...

- John... Excuser moi... Je...Crois que...  

Le capitaine se stoppa net :
-Carol, qu'avez-vous... ? John fut soudain apeuré. Il frémit. La jeune pirate tremblait. Blow l'emmena avec lui. Il la fit s'accouder au bastinguage. Il lui semblait maintenant que la jeune femme s'apaisait, qu'elle respirait mieux... Il l'observait.
   

Agonie la Belle était resté en compagnie des autres clients, il avait sympathisé avec un grouep de marins anglais forts sympathqieus, avec qui il avait joué de la guitarre et chanté des balades parlants de navigateur qui quittent leur bien aimée pour parcourir l'océans. Le "vieux et gris faiseur de veuves" comme le surnommait les vikings. Pour maintenir la forme il s'était saoulé comme il n'en était pas habitué, et c'est donc quasi ivre, ne tenant presque plus debout sur ses jambes, qu'il quitta l'assemblée. Il fit un détour et gagna une petite construction, dénuée de fenêtre et d'enseigne. Le français s'arrêta face �  une porte plutot basse, et frappa quatre fois. Au bout de quelques secondes la porte s'entrebailla doucement, pour laisser voir un oeil bridé et une bouche qui demanda:
-Que voulez-vous ?
Agonie qui avait fréquenté nombres de ces établissement connaissait la réponse nécessaire pour entrer, et il la donna:
-Je viens pour gouter aux vrais joies terrestres et spirituelles.
L'asiatique ouvrit grand la porte, et la referma vite après que le français fut entré. L'intérieur de la fumerie d'opium était totalement baigné de lumière ocre, et de la fumée stagnait entre le plafond et la ceinture. Après qu'il eut donné quatres pièces �  une jeune chinoise fort élegante dans sa robe rouge et or, elle l'emmena et l'installa sur une couchette en le débarassant de tout ses objets et vêtements encombrants comme son sabre, sa boussole, sa bourse, ses bottes, ses pistolets, son poignard et sa pipe indienne. On lui apporta un narguilet dans lequel bouillonait de la fumée bleuâtre et une longue pipe déj�  fumante. Il tira une première fois sur le calumet, et tomba dans les vaps. Il rêva comme toujours de danseuses, de plais dorés et d'ivoires, de tables abondantes, de fontaines de diamants. Puis dans son délire il prit le narguilet, et après avoir tiré une bouffée fut transporté des années en arrière, sur un port, pendant une tempête, avec en face de lui une jeune fille aux cheveux noirs comme la nuit, ses grands yeux blancs débordant de regret, la peau mate de son visage innondée par les larmes...
Agonie la Belle pouffa de rire et se tordit, en proie �  des hallucinations plus ou moins agréables.
Deux heures après, tard dans la nuit, il se réveilla sur le quai où était arrimé son galion, avec tout ses objets personnels. Il monta �  bord et vit Heinrich sur le gailalrd avant, fumant la pipe, l'air perdu dans ses pensées. Agonie vint �  coté d elui, et lorsque celui-ci le vit, l'air ahuri, les yeux cernés, il fit avec inquiétude:
-Himmel! Ambroise, vous allez bien ? Que vous est-il arrivé, vous allez l'air tout retourné!
-T'inqiète pas, Heinrich,  je t'ai déj�  dit que tu pouvais me tutoyer, mais pas m'appeller par mon vrai prénom!
J'ai juste un petit peu trop fait la fête ce soir. Vous vous êtes bien amusés vous ?
Il perdit l'équilibre et Heinrich dut le soutenir, en disant:
-Je vais vous conduire �  votre cabine capitaine, vous allez vous reposer et demain vous serez en pleine forme.
-J'crois pas, moi, bredouilla Agonie. Ecoute Heinrich, en tant que capitaine en second, tu as le devoir de me rempalcer si il m'arrivait une couille, d'accord ?
-Ya, cap'taine, mais...
-Alors, écoute-moi bien: demain, après demain, et surement quelques jours après, je vais pas aller très bien. Je vais délirer, je vais pas tenir debout, il faudra mieux que je reste couché avec une bouillote et notre toubib monsieur Starkey. Tu seras donc responsable de l'équipage et du navire. Tu seras �  la disposition du capitaine John Blow l'organisateur de cette expédition, tu suivras ses instructions durant toute la durée de mon incapacité. C'est bien compris, Heinrich, je compte sur toi ?
-Parfaitement, Belle-Agonie. Maintenant, allez vous coucher.
Le colosse germain le borda, et vant qu'il ne soufle la chandelle, Agonie lui prit son poignet massif et lui murmura �  moitié inconscient:
-Heinrich...elle était sublime, et je l'ai abandonnée... pour l'océan, pour l'aventure...je suis...maudit...
Sa voix s'éteignit, et il ronfla deux secondes après. Le teuton éteignit la bougie, et remonta sur le pont. Il scruta la surface calme de la mer, et chantonna avec un doux sourire:
-Le vieux et gris faiseur de veuves...
Dans la soirée Heinirch et Ulysse informèrent l'équipage qu'Agonie la Belle était temporairement remplacé par Heinrich Von Schartzbourg, et que monsieur Ulysse était nommé capitaine en second. Ils allèrent ensuite informer John Blow et les autres capitaines de la situation.
PS:Je vais m'absenter pendant 4 jours, alors je voulais que mes persos soient toujours du voyage. A mon retour je reprendrais mon poste et continuerai l'aventure �  vos cotés. Jusque l� , Talisca je te le laisse le commandemant rp de mon équipage et de mon galion. Bonne continuation!! 8)  

Carole-Anne regarda le ciel envahi d'étoiles...

- Excuser moi, je ne sais pas ce qui m'arrive...

Elle baissa sa tête, son regard étai ailleurs, pour finir, la fille leva ses yeux, fixant ceux de John... Il n'avait rien d'une femme... Pourtant... Son coeur se comportai de la même manière que comme si c'était avec Elisa... Mais elle pensa �  sa famille defunte qu'il avai eu avant elle... Puis �  Elisa... "Non... Elisa est heureuse �  présent... Mais je l'aime encore..."
Carole-Anne poussa un soupire, elle fixai toujours les yeux de John...

- Je crois que... Je crois que je vais aller me coucher!...  

John ne savait que faire. Que dire. Jamais il ne s'était trouvé si désemparé. Carol-Anne lui semblait si frêle maintenant. Rien �  voir avec le jeune femme farouche et indépendante avec qui il s'était battu dans l'après-midi. Il lui prit l'épaule et la raccompagna, clopin-clopan, �  sa cabine...  

Carole-Anne frémi quand l'homme mit sa main sur son épaule... Pourquoi l'accompagna t il jusqu'�  sa cabine?... Peu importe... La fille se laissa guider par la main de l'homme... Arriver devant la porte de sa cabine, Carole-Anne se retourna vers le capitaine Blow, la jeune fille le regarda dans les yeux tout en s'appuyant contre la porte...

- Je suis désoler pour tantôt John... Je ne sais pas ce qui ma prit...  

John Blow sourit.
-Ne vous justifier pas...
Il caressa la joue de Carol-Anne, ouvrit la porte... et la laissa l� ,devant sa porte, chancelante et pâle... Il s'en fut en sifflotant l'air d'une chanson pirate. L� -haut sur le pont, la fête battait son plein. Le capitaine salua ses matelots, les avertit que l'on lèverais l'ancre tôt le lendemain et partit s'enfermer dans sa cabine. L� , �  la flamme d'une bougie, il étudia le trajet menant jusqu'�  Buenos Aire et réfléchit, de longs instants �  on ne sait quelles choses qui paraissaient le tourmenter... Blow restait l� , les yeux perdus dans un vague inaccessible...    

Le soleil se leva... Carole-Anne n'avait pas fermer l'oeil de la nuit. Elle avait pensée toute sa soirée �  John... Elle resta couchée pendant quelque instant sur sa couchette regardant par la petite fenêtre le lever de soleil...
La jeune fille se leva et s'habilla pour enfin se présenter sur le pont où quelque marin n'avaient pas regagner leur dortoir et s'étaient endormi du au trop bu d'hier...
Carole-Anne aperçu John qui parlai avec Jack... Son pilote...

- Heum... Bien le bonjour messieurs...

Fit timidement la jeune fille...  

John fut ravit de voir la jeune femme de nouveau sur pieds. Il la salua en souriant, comme �  son habitude et se dirirgea vers la proue du navire ou Carol-Anne le rejoignit. Il faisait frais ce matin l� . Le souffle marin gonflait les voiles du galion. De maigres vaguelettes se brisaient contre la coque faisant chanter dans l'air la douce musique de l'eau. Cet agréable chanson se mêlait au grincement de la coque...
-Vous vous sentez mieux à ce que je vois... murmura John à Carol-Anne.
   

carole-Anne mit un pied sur le mat beauprés, elle retira son bandana qui lui servait �  attacher ses dreads pour laisser le vents s'engouffrer dans sa chevelure. Elle souriait puis elle tourna sa tête vers John, la fille rougi encore en voyant l'homme...

- Oui... ça va mieux... Merci... Mais je n'ai pas vraiment fermer l'oeil de la nuit...

Sa main sur sa cuisse, on pouvais remarquer qu'elle portai une bague �  son annulaire que lui avait offert Elisa...

- Alors...    

Alors ...
John Blow fixa Carol-Anne. Voyant que lsa compagne ne répondait pas, le capitaine continua.
-Alors nous avons un point commun. Nous avons tout deux le sommail léger... Je n'ai pas fermé l'oeil...
Il sourit et laissa son doigt caresser le menton de Carol. Il frissona. Que faisait-il avait-il perdu la tête... Il ne pouvait s'arrêter c'était... trop, plaisant... Ses yeux obscurs se noyèrent dans ceux de Carol-Anne qui ne respirait presque plus. Blow était moite. Son cou frémissait...  

La respiration Carole-Anne se bloqua, elle pensa plus �  rien �  present, la jeune fille se laissa caresser le menton puis le cou... Cela lui fessai tellement du bien, elle avait des frisson partout... Elle ferma les yeux... Elle se laissa porter par le vent, elle ne pouvait plus se controler, elle rapprocha son visage vers celui de John...  

Il y eut un quart de seconde pendant lequel John Blow hésita �  offrir ses lèvres. Durant celui-ci, il repensa �  beaucoup de choses. la tribade, Barcelone, le mignonne tête blonde... tant d'images qui défilaient dans sa tête, indélébiles. Puis, il refusa. Il refusa de penser �  ce passé révolu... Il se rapprocha �  son tour de Carol-Anne et posa ses lèvres sur celles de la jeune femme. Le baiser dura longtemps. Il était langoureux et ... parfait, pensait Blow... Le capitaine se laissait transporter par les vertigineuses sensations qui transcendaient son corps. Il ne se souciait ni de ses souvenirs ni du regards de tout les matelots qui fixaient, éberlués, la scène...  

Le baiser semblai être une éternité, un moment de bonheur intenses, les lèvres de John étai si sucrée... Elle ne les lâcherai plus...
Carole-Anne avait renoncer �  "La tribade" cela ne voulait pas dire qu'elle l'avait trahi ni souiller sa memoire... Juste renoncer �  son passer et a son amour... Cela ne voulait pas dire qu'elle l'oubliai mais au contraire elle se battrai pour elle...
A présent elle aimai quelqu'un d'autre... Et cette personne étai un homme, cet élu de son coeur s'appelait John... John Blow... Carole-Anne essaya de ne plus penser, de ne plus se reprocher son passer dans les bras d'une femme... Cela ne voulait pas dire non plus qu'elle n'aimai plus les femmes... Mais la nature joue parfois de drôle de tours... Comme lui avait dit un jour Elisa... "Ne pense pas, ne te pose pas de question, aime la personne que ton coeur choisi... Même si c'est "contre nature"..." Elle se laissa tomber dans les bras de l'homme, elle l'enlaças puis la jeune fille rouvrit ses yeux et elle murmura...

- C'était magnifique ... John... Je vous aime...  

La nuit tomba lentement sur le port . Les capitaine commençèrent a élaborer un plan pour l'attaque .
-Moi je propose que nous canardions en priorité le fort , si tout fois ils en ont las-bas .
-Moui , se n'est pas une trés mauvaise idée . Mais si ils ont un fort , ils ont une armurie ! De cette manière , nous pouvons la faire sauté !
-Oui , cette idée est a retenir .
Kévin intervint enfin .
-Bon , je ne sais pas combien de temps encore les capitaine Agonie la Belle , John , et Carole-Anne vont rester dans cette taverne , mais moi , je vais me coucher .
-Bien capitaine , nous allons en faire de même .  

Joe arriva enfin a s'endormir mais avant  il dit a ses matelots de se reléiaient de temps en temps
   

John Blow ne dit rien. Il serra Carol-Anne contre lui comme si ç'eut été un trésor frêle mais immense... Il y avait dans ses yeux un océan d'amour et de tendresse... Il avait enfin trouvé. Il avait enfin redonné un sens �  sa vie �  ses aventures, �  ses quêtes inombrables qui ne l'avait mené �  rien... Même si ce baiser était... futile, même s'il ne scellait rien, même si aucunes promesses ne se cachait derrière lui... Le capitaine ferma les yeux. Il délia ses bras...  

Carole-Anne ne dit plus rien non plus... Elle se laissa porter par un vent d'amour et de force de vivre, elle ne pouvait plus lâcher John... Elle étai ailleurs, dans un rêve...

Carole-Anne releva sa tête, elle vit John... Souriant, lui aussi étai conquit par la flèche de cupidon... L'équipage de Blow les fixai, comme si le temps s'était arrêter, ils ne se préoccupaient plus de leurs tâche et restèrent l�  �  regarder le spectacle, certain se chuchotai des interrogation, d'autre fusillèrent du regard les deux amants... Il n'aurai jamais imaginer ça de la part de leur capitaine...

Carole-Anne prit les mains de John et le fixa du regard, il était encore plus beau...  

John caressa les cheveux de Carol-Anne puis, se tourna �  regrets vers ses matelots.
-Pablitto, sonne la cloche du départ. On lève l'ancre ! Hissez la grand voile. Jack �  ton poste... Et arrêter de me dévisager comme une bête curieuse, vous savez que j'ai horreur de ça !
Il fixa un �  un les marins qui reprirent lentement leur poste, toujours silencieux...
Le capitaine se tourna alors vers son amour, toujours près de lui...
Celle-ci semblait vouloir prendre la parole.

   

- Ne les gronde pas John... ce n'est pas la peine... Je crois qu'il n'ont pas l'habitude de voir leur capitaine amoureux... C'est tout...

Carole-Anne fixai toujours les yeux de John... Ils étai main dans la main...

- Je suis à vos ordre capitaine...

La femme fit un clin d'oeil �  son amour avant d'éclater de rire... Et poser sa tête sur son torse muscler...  

-A mes ordres... en tout et pour tout ? Le capitaine sourit...
Il passa son bras sur l'épaule de la jeune femme et caressa ses mèches blondes...
Le voyage jusqu'�  Buenos Aire fut long et calme... L'équipage s'ennuyait chaque jour un peu plus... On voyait souvent sur le pont de l'Inssaisissable des matelots dormir en hannonant quelques paroles inaudibles.
Il en était de même sur le galion d'Agonie la Belle. Celui-ci donnait ses ordres, se pavanait de temps �  autre sur le pont de son batiment mais le plus souvent, il restait dans sa cabine. Il reposait, plongé dans des songes aux saveurs orientales... rêvant d'ailleurs, de parfums inconnus et d'aventures lointaines.
Ce ne fut que dix jours après avoir quitté Rio que la flottile accosta �  Buenos Aire. John Blow ne descendit pas de son navire. Il laissa �  ses homme quartier libre et alla s'enfermer dans sa cabine où il étudia minutieusement le parcours qui les mèneraient au prochain port. Celui qu'il devaient attaquer... Ce n'est que trois heure après avoir jetter l'ancre que le capitaine quitta son navire. Il marchanda avec quelques commercant pour le ravitaillement de son navire, fit un tour au chantier naval et se dirigea enfin dans une des tavernes bordants le port...  

Kévin se leva soudain . Une cloche sonna assez prés de lui . Il se leva et regarda par dessus bord . Lecapitaine John avait fait sonner la cloche su départ .
-Allez , allez , debout ! On lève l'ancre ! Hissez les voiles ! Godefroy , fait sonné la cloche de rassemblement .
-A vos ordres !
Tous le monde sur le pont et on se dépeche !Ben , au rapport .
-Capitaine , nous avons fait le plein de vivres ainsi que de rhum , bois , tissus , et munition . Le Tigre , lui aussi est plein .
-Bien , nous partons dés que John part . Maintenant , a vos postes !
-A vos ordres !firent ils d'une même voix .
   

Joe se leva et s'écria
-Hissé les voiles , largés les amarres et suivé kevin
- Oui cap'tain s'écrièrent ils  

carole-Anne était restée sur l'insaisissable attendant avec impatience le retour de son amour... Cela ne fessai que quelque minutes qu'il étai parti... Ce sont des jours qu'elle eu l'impression d'attendre ... Elle ne décida pas de partir �  sa recherche, elle pourrai se perdre dans l'immensité citée et ainsi que dans la foule comblant chaque espace des rue et ruelle...

La jeune femme se leva et s'assit sans cesse, s'en étai de trop, mais où étai parti John?... Elle voulait le serrer dans ses bras... Au loin, sur la ligne d'horizon, elle vit un navire... Le navire de Kévin... Elle ne voulait pas vraiment que celui-ci sache que elle et John... "Pfff peu importe" pensa t elle... Il le saura et pas de la bouche de Carole... Ni par celle de John...  

L'Inssaisissable prit la têtede la flotille. Le galion s'élança, défiant la mer de ces longues voiles blanches... Dans deux jours, il serait face �  un port... Canonnant et déversant �  la mer des hommes téméraires dont certains peindraient la plage de leur sang...  

carole-anne ne quittai plus John... De jour comme de nuit... La jeune femme tenait de temps en temps la barre ou aidai parfois John dans ses préparation des itinéraire a prendre sur la carte... Bref... Inséparable... Carole attendais avec impatience l'assaut du port avec son amour tout deux réuni pour une attaque digne de ce nom...  

Un soir, alors que le soleil se noyait dans la mer divulgant aux alentours des rayons rougeoyants, on vit apparaître �  l'horizon une flottile de navires aux grandes voiles blanches.
John était �  la proue de son navire. Il venait de donner ses ordres �  ses hommes. Il se tourna vers Carol-Anne lui sourit et l'embrassa :
-Bonne chance mon amour... N'oublie pas que Blow sans Carol-Anne ne veut maintenant plus rien dire...ça t'empêcheras peut-être de mourir si un traître venait �  te frapper. Il adressa �  sa charmante un clin d'oeil. Il regarda Kévin, fierement dressé �  bord de son navire. Il lui fit signe que l'attaque était lançée. Pablitto sonna la cloche et se posta entre son capitaine et Carol Anne.  

La sonneire stridente de la cloche retentit dans la fraicheur du crépuscule. La flottile de navire s'approchait de plus en plus du port ou des soldats en uniformes bleux sombres s'agitaient.
Le navire d'Agonie la Belle fendait les flots. Le capitaine sembalit ivre, il découpait l'air de sa lame en criant :
-Courage matelots ! La bravoure d'un homme ne se mesure que devant la mort ! montrez moi que je suis capitaine d'un tas de marins téméraires !
Les batiments étaient proches maintenant du fort. Leurs canons crachèrent des boulets qui sifflaient avant d'aller s'écraser sur les murs du fort... Bientôt, ils se calmèrent et les batîment vomirent un flot d'hommes farouches qui s'approchaient en hurlant du fort...  

Carole-Anne étai l� , auprès de son amour, John, elle souriait et attendais avec impatience que son capitaine lui donne des ordre au combat!!!
John lui, criai, hurlai sur ses marin, les cannons nous assourdissais, bientôt la fumée dégager par ces dragon cracheur de feu nous aveugla et Carole ne vit plus son amour, cacher derrière un brouillard �  trancher au sabre...  

John donna bientôt l'ordre �  ses matelots d'aborder le port... Une vague d'homme déferla alors sur le fort.... On entendait que des dris de rage, de fureur... Partout la poudre et la fumée troublait la vue, piquait les yeux...
Ce soir l� , l'astre solaire, assista �  un grand massacre... Le sable de la plage vut bientôt imbibé d'un sang sombre et malodorant dans lequel les pirates et les soldats pateaugeaient avec bravoure... John et Agonie accompagnés de plusieurs de leurs hommes percèrent la défense principale des soldats gardant le port... Il arrivèrent �  pénétrer �  l'intérieur où bientôt Kévin les aient rejoint...  

Kévin avez un large sourire au levre . Alors que les autres débarqué , il resta a bord . John jeta un regard interrogateur mais il lui répondit en tirant un coup en l'air . Des navires arrivèrent alors prés d'eux .
-Tous a vos pieces ! Canoniers tribord , feu a volonté ! Ben , barre a 15° babord , on va les prendre en diagonale .
-A vos ordres cap'taine !
Le Black Angel fit feu sur l'un des navires . Celui semblé incapable de riposter . sentant que son navire était perdu , le capitaine fit abandoner le navire . Des centaines d'hommes sautèrent par dessus bord tendit que leur navire coulé par la proue . Le Balck Angel fut pris en chasse par un navire de classe supèrieur a la fregate .
-Ben , dégage nous de la !
Il prit sa longue vue et observa . Le navire s'avanca lentement mais il gagné du terrain . Soudain , Kévin aperçut le Tigre qui allait prendre le côté tribord du navire . Kévin se précipita sur la barre et fit faire un demis tour côté babord .
-Canonier , feuuuuuuuu !
Le navire n'eut pas le temps de riposter qu'il coula . Un derniers navire fonça droit sur le Tigre .
-Toute voile dehors ! On lui fonce dessus !
Les hommes s'éxécutèrent et , tandis que le navire s'approcha dansgereusement du Tigre , le Black Angel l'éperonna , ce qui a eu comme conséquence de le séparer en deux .
-Maintenant , tous au port mes amis ! Souvenez vous du capitaine Dark et de ces marins ! Souvenez vous de la terreur qu'ils inspiraient ! A nous , désormais , de suivre cette exemple !
-Oui , bien dit capitaine !
-A l'attaque !!!
Les hommes ne prirent a peine le temps d'arrivés . Ils sautèrent sur les quais et massacrèrent les soldats devant eux . Kévin sortis ses deux sabres et massacra tous les hommes devant lui , toujours en gardant ce sourire narquois . Les soldats tombaient par dizaines . Tel était la fureur de l'Ange noir ! Au bout d'un moment , le reste de la garde des quais , qui était encore assez nombreuse , tenta de se replier .
-En avant et pas de quartier !  

Le Black Demon mis son côté tribord braqué sur le port .
-Feuuuuu !s'écria Joe . Les canons ouvrirent le feu sur le fort ainsi que sur le port . Kévin et ses hommes étaient déjà a terre .
-C'est parti  ! Tous au fort !!
Tous les hommes descendirent les chaloupes et prirent les armes . Au bout de quelques secondes , ils atteignirent la côte .
-En avant !s'écria Joe . Il prit le devant de ses troupes . Des soldats arrivèrent a leur encontre . Il déguéna son sabre et tira une balle entre les yeux d'un des soldat . Un autre courut dans sa direction , mais Joe se baissa et le fit passer au dessus de son dos . Il se tourna et lui planta son sabre entre les côte . Il se retourna et courut vers les soldat . Le combat était d'un sanglant épouvantable . Les soldat  étaient si nombreux que les mort n'eurent a peine le temps de tombés . Joe décima les rang et il finit encerclé . Il fonça , sabre brandis , sur le capitaine et lui coupa la tête . Les soldats redoublèrent de fureur mais Hans et ses hommes virent a leur rencontre , sauvant ainsi la vie de leur capitaine .  

L'armada de pirates aux costumes sanguinolants se retrouvèrent bientôt tous dans le fort. A l'intérieur, panique et colère faisait guise d'ambiance générale. le capitaine Blow qui, le premier était entré dans le fort, brandit son sabre et monta sur un tonneau. A ses pieds, des soldats reposaient et des matelots se bataillaient vigoureusement, d'autres pillaient ou couraient dans les ruines fumantes, ayant déj�  perdu leur ultime adversaire...  

carole-Anne surgi enfin des pierre effondrée du flan droit du fort, elle retrouva enfin son amour...

- Ha la la... Me voila enfin! Excuser mon retard mais j'ai du botter les "fesses" �  certain messieurs qui voulait me transformer en... "Brochette" si vous voyer ce que je veux dire?... Hum...

Fit la jeune fille sur un ton humoristique, elle se dirigea vers John en essayant de ne pas se laisser aveugler par l'amour et finir embrocher par les solda du fort...

- Alors quoi de neuf de ton coté cheri?...  

La mélée était sanglante . Kévin se retrouva prit entre ses hommes et les soldat . Il mit un coups de tête a celui qui était devant lui , ce qui le déséquilibra . Il se jeta drois sur leur rang et les décima . Soudain , une baïllonnette se planta dans son abdomen .
-Haaaaaaaaaaaa !
et il s'écroula a terre .  

Blow n'eut pas le temps de répondre �  Carol-Anne. Il tourna la tête pour voir sa bien-aimée et vit Kévin se tordant de douleur �  terre. John Blow sauta �  terre. Il se planta devant Analak et se battit avec les soldats aux costumes poussièreux venus pour l'achever. Carol-Anne, derrière le capitaine se battait vaillament elle aussi...  

Kévin baignait dans un bain de sang . Ulric et ses hommes , a ces côtés , combattaient comme animée par une fureur ardente . John était la lui aussi . Les soldats tentée en vain de repouser l'attaque des pirates mais leur mort les attendaient au bout des sabres . Soudain , aprés un derniers gémissement , Kévin perdis connaissance .
-Yvan , ou est ce que tu est ?! On a besoin de toi !Hurla Ulric . Yvan arriva en courant , le sabre a la main , et son matèriel dans un sac autour de son bras . Il examina Kévin , puis il donna ses instruction .
-Il faut le sortir et le mettre a l'écard . Ulric , prend les commande de l'attaque .
-Je ne peut pas , seul Kévin peut me l'ordonner .
-ON A PAS LE TEMPS ! iL A CONFIANCE EN TOI ! GROUILLE TOI !
-Bien ... Allez les gars , vous avez entendut ? Ont doit massacrer ces salaupard qui ont blessé le capitaine ! Avec moi !
-Oui , En avant !  

carole-Anne n'eus pas le temps de regarder le neveux de celle qu'elle a aimer �  terre, elle étai prise d'assaut par de nombreux soldats, enrager et fou de guerre, elle se débrouillai pas mal au combat mais les gardes du fort devenait de plus en plus nombreux...

- Rhaaaa! Soyer maudit! Maraud! Merde! John... Je n'en sort pas!!! Fichtre! Prenez ça bande de lâche!!!

La jeune fille n'en fini pas de son ballet, un ballet incessant de sang et de fer des lame en furie, mais la demoiselle trébucha �  cause d'un soldat mort, errant au sol et gênant les combattant.
Carole-Anne esquiva du mieux qu'elle pu les épée s'abattant sur elle, elle étai plus qu'un vulgaire proie, �  terre et désarmer au sol, sur sa droite elle vit Kévin, évanoui et inerte...

- Il... Il est mort... Non impossible... Argh!!

Elle évita encore une fois un coup donner par un garde du fort...

- Putain John!!! Non!!!  

Quand il entendit le cri de sa bien-aimée, John fit volte-face, il éventra l'adversaire de la jeune femme et trancha les membres d'autres marauds. Il se battait vaillament. Son sabre tranchait des gorges qui se déchiraient accompagnées par d'infâmes gémissements d'agonie... Puis, Blow vit, derrière les murs du fort, le village où s'agitaient déj� , des pères de famille et des matrones brunes dans les jupes desquelles se cachaient de mignonnes têtes blondes... Le capitaine eut alors la mine triste. Son adversaire profita de ce petit moment de flou et entailla son bras droit. John hurla. Dès ce moment l� , il mania sa lame �  la perfection... Quand son dernier adversaire tomba �  terre dans une flaque rouge sombre, il rengaina son sabre. Il plissa les yeux et regarda la plage.Tous les soldats qui n'avaient fuis l'attaque des pirates mouillaient leur uniforme de leur sang... allongés sur la plage... leur regard vides fixant l'horizon trop merveilleux pour eux qui venaient de tout perdre...
Face �  tous les hommes qui s'étaient vaillament battus, il prit la parole.
-Messieurs, pillez dans ce port jusqu'�  la dernière pièce d'or. Faites tout ce qu'il vous plaira de faire mais je vous interdis. Je vous interdits formellement de toucher �  une femme ou un enfant... Ne tuez que si l'on menace votre vie. Celui qui embrochera un innocent aura �  faire �  ma lame... ALLEZ Y MES AMIS !
Blow s'assit alors sur le sable et regarda l'horizon.  

Aprés les soins procurez par Yvan , Kévin revenez petit a petit a lui .
-Y.....;Yvan ? Mais que c'est il passait ?
-Vous avez été blessé par un des soldat .
-Ha....Aïe !La douleur dans son flan le brulé .
-Attendez , je vais vous aidez .
Yvan passa son bras sous l'épaule du capitaine . Celui ci se releva et commenca a inspecté les lieux .des centaines de corps jonché par terre .  

carole-Anne le rejoignit tout de suite, elle mit sa main sur son épaule et lui dit...

- Merci mon amour... Que ferai je sans toi?...

Sur ce, "Mad Ethel" prit le visage de John et l'embrassa, mais elle quitta rapidement, le coeur lourd, les lèvres de son amant pour se préoccuper �  présent de ses deux lames... Mais le jeune fille eu une pensée en voyant toute ces femme accompagner de leur enfants... "Pauvre femme... Elle on perdu celui qu'elle aimai ici au fort... J'ai ôter la vie de leurs bien aimé tout comme moi on m'a ôter la vie d'Elisa... Non ne pense pas �  Elisa! Pas maintenant! Tu dois te battre avec John... Pille quelque objets et tout ira bien..."

Carole-Anne se dirigea en courant, tout en laissant Kévin au sort d'Yvan, vers les salle où se trouvai les objets, les marchandises et les trésors ayant le plus de valeur...  

John avait vu dans les yeux de sa bien-aimée des préoccupations bien sombres pour un jour de pillage... Peut-être était-ce l'histoire qu'il lui avait racontée. Son histoire qui  subissait un drame immense lors d'un pillage qui troublait la jeune femme...
Lui aussi, pour oublier son malheur, et le recoin de honte qu'il cachait en lui s'en alla crapahuter dans les ruines ou se trouvait des trésors cachés, des bijoux flamboyants, des perles rares...  

Kévin s'avanca lentement en compagnie d'Yvan . Ils se dirigèrent vers le fort , ou le pillage avait déj�  commencé . Ulric commandais les hommes du Black Angel . Au loin , Henry regroupait les prisonniers et libéré les esclaves .
-Alors , Ulric , belle bataille !
-Oui , capitaine .Dit celui ci .Heureux de vous voir debout ! Au faite , nous avons trouvé celui qui vous a blessé . C'est un jeune homme , tout juste bon a éplucher les patates . On vous l'amène .
Ulric alla chercher l'homme en question . Quand il revint avec celui ci , il se jeta a genoux , les larmes coulaient sur ces joux .
-Par pitié , ne me tuez pas ! Je me joindrais a vous ! C'est le royaume qui ma forcé a m'enroler . S'il vous plait ...
Kévin le regarda . Cet homme devait avoir a peu prés 17  18 ans , encore plus jeune des 19 du capitaine . Kévin le regarda , puis .
-Bien . Tu fait dorénavent partit du Black Angel .  

Le pillage avait pris fin depuis longtemps maintenant et les ruines de l'ancienne ville apparraissait au loin comme un tas de cendres encore fumant. La flottile de navire faisait aujourd'hui voile vers Santiago, dernière escale avant la Chine. Blow, qui venait de prendre la barre sifflotait un air alors que la moitrié de ses marins, bouteilles au point, somnolait sur des hamacs tendus entre les mats ou appuyés contre des tonneaux.
Agonie et ses hommes, eux, chantaient la victoire �  bord du galion français...  

Les cale du navire remplis a ras bord de pierres précieuse, de marchandise de luxe, avait reprit le large.
Carole-Anne, elle, restai sur le gaillard arrière, le fort avait disparu depuis longtemps, la jeune fille regardai les longue trace blanche des écume laisser �  l'abandon par le navire après son passage... Parfois, elle regardait le magnifique navire d'Agonie, de temps en temps, elle jeta un coup d'oeil par dessus son épaule pour apercevoir John a la barre...
La jeune fille étai dans ses pensée depuis l'attaque du fort... Ces femmes veuve l'avait profondément choquer... Cela lui rappelai trop la mort d'Elisa ainsi que l'histoire de John...
Carole-Anne décida d'aller voir John pour oublier ses idée noir...

- Ca va chéri?... Il fait horriblement chaud aujourd'hui...

"Mad Ethel" poussa un profond soupire avant de se coller a la peau de son amant...  

-Trop chaud oui... Pourtant nous avons passé l'équateur... John Blow sourit �  la jeune femme et passa un bras sur son épaule. Je te sens bien pensive depuis quelques temps... Qu'est-ce qui vous tourmente charmante Carol ?  

- Rien mon amour... Ce n'est rien... Juste quelque petit détaille �  oublier avant qu'il ne me ronge de l'intérieur... Hum...

Carole-Anne embrassa John pour oublier cette question et ses pensée mais une larme coula sur la joue de "Mad Ethel"...

- Je t'aime plus que tout au monde... Rien ni personne ne nous séparera...  

John essuya la larme qui perlait sur les joues de la jeune femme.
-Il ya des chsoes dont il faut faire abstraction c'est vrai... mais ne les oublie pas... ne m'as tu pas dit un jour que c'était ta force de vivre.
Il caressa les cheveux blonds de Carol-Anne et les embrassa en fermant les yeux...  

- Eh bien hans on dirais que le pillage vous a renduts heureux toi et les matelots dit le capitaine Joe
-Oui répondit Hans  

La tristesse que le pillage avait suscité dans le coeur des deux amants s'était dissipée �  mesure que la berge sangalnte s'était éloignée. La flottile continua son chemin.Le trajet pour rejoindre Santiago fut long. La chaleur salée rendait inssuportable le calme qui régnait �  bord... L'ennui ne cédait que rarement place �  des pillages de navires qui divertissaient un peu l'équipage. L'arrivée �  Santiago fut donc fêtée et donna lieu �  des sourires satisfaits et �  des soupir heureux... Dès que l'Inssaisissable eut accosté, John descendit du navire et se dirigea vers une taverne. L� , un homme au teint jaune attendait Blow. Dès que le capitaine entra dans le batiment, l'individu se dirigea vers lui...
-Alors Chu... Y-a-t'il du nouveau ? murmura le capitaine.
-Nous ne peux pas vous dire ici ça, traduit l'inconnu avec un dialecte étrange.
-Très bien, nous attendrons. Viens ce soir sur mon navire... Huit heures. Quand huit heure sonnera. Tu as compris.
L'homme aquiesca et s'en fut. John Blow s'insatlla alors et sirota une chope de rhum en marmonant des paroles de chants de pirates...  

Kévin posa pied a terre pour la première fois depuis l'attaque du port . Sa blessure le faisait encore un peu soufrir , mais il suporta la douleur . Le chant des oiseuax fut un soulagement pour lui . Pour la première fois de sa vie , il écouta la nature . Il monta sur une coline , en dehors de la ville et il s'asseya . Aprés plus d'une heure de repos , il redescendis vers le port , ou les hommes d'équipage faisaient la fête .  

Carole-Anne avait rejoint John qui terminai une chope mi pleine de rhum...
La jeune femme arriva derrière l'homme qui étai assit seul, attendant que le temps passe, elle enlaça ses bras autour de son cou, ce qui fit sursauter John...

- Et bein alors mon amour?... Je t'ai chercher partout, tu attend quelque chose?...  

- Ho, euh non, je... je viens de voir Chu... Un ami qui me devait des informations concernant la quête. Il est censé venir nous rejoindre �  huit tapante �  bord de l'Inssaisissable... Comment vas-tu... T'es-tu balladée sur les quais. J'adore Santiago... C'est un port qui me plait et me ramène dans ma jeunesse, dit-il en souriant.
Blow caressa les cheveux de Carol-Anne, geste qu'il affectionnait particulièrement quand il était en compagnie du femme qu'il aimait, et l'embrassa sur le front.  

-Une opération rondement menée, capitaine! N'est-il pas ?
-Effectivement, approuva Agonie la Belle en exhibant un énième collier serti de pierres et d'argent.
Le butin amassé lors du pillage de Buenos Aires était transporté par l'équipage dans les cales, mais Agonie avait gardé un coffre pour lui, Heinrich et Ulysse. Il n'en finisait pas de comparer les parures, essayant des bagues, des bracelets,  et même un chapeau énorme. Finalement il opta pour un bracelet en chaines de bronze et se coiffa de l'imposant couvre-chef. Depuis sa remise sur pied il débordait d'une énergie nouvelle, il était d'humeur galliarde, candide, et s'était donné �  fond lors de l'attaque du port. Les pirates français avaient fêté tard, et seul lui et ses seconds étaient encore frais.
Le capitaine descendit �  terre en avec Ulysse, et alla trouver John Blow, en compagnie de Carol-Ann. Ils voyaient tous depuis quelques temps une romance se créer entre les deux forbans, et cela amusait Agonie. Lui avait toujours eu une approche compliquée de l'amour, et il lanca avec bonne humeur au couple:
-On vous dérange peut-être, jeunes gens ?!
Il s'esclaffa et prit une chaise.
-Particulièrement lucratif, ce pillage! Alors, capitaine Blow, nous nous rapprochons des rivages asiatiques, et après toutes les idées qui ont été débatues, avez-vous un plan concret pour aborder son Excellence l'Empereur de Chine et son conseiller
?  

-Une visite d'un ancien ami concrétisera mes plans... murmura Blow. Je vous tiendrais au courant dès que je le serais... D'ailleurs, si vous voulez ce soir me rejoindre sur mon navire pour débattre du sujet, vous êtes le bienvenue camarade...
Il but une lampée de rhum.  

- Oui bien sur... Je paie une tournée générale d'ailleurs �  l'honneur de notre ami agonie... Tavernier!!! Trois rhum et que ça saute!!!! Ha ha ha...

Carole-Anne regardai toujours John d'un air rêveur, sur le banc, elle se rapprochai plus de plus en plus de lui jusqu'�  ce que sa hanche soit coller �  celle de son amour...  

-Volontier, fit Agonie la Belle.
Il jeta un coup d'oeil géneral �  la taverne, et fit signe au serveur, �  qui il commanda une bouteille de tafia, un rhum de mauvaise qualité, mais qui arrachait bien la gorge. Il sortit son énorme pipe, et l'alluma. Au bout de quelques secondes un écran de fumée lui voilait le visage, seul son chapeau �  plumes gigantesque dépassait du nuage bleuâtre.
-Une bien jolie ville, Santiago. J'y avais encore jamais mis les pieds. Mais je finis par me lasser des villes espagnoles. Un passage dans les eaux asiatiques nous changera.
Agonie la Belle expulsa de la fumée en abondance de sa bouche de macaque, et se penchant vers John Blow et Carole-Anne, il lui chuchota:
-Dites-moi mes amis, en parlant d'espagnols...avez-vous déj�  entendu parler du Coeur de l'Ocean ? C'est une légende, alimentée par les rêves des conquistadors tels Cortès, Pizzaro, Coronado, et bien d'autres, qui ne vivaient que pour trouver l'El Dorado, les Cités Perdues de Cibola, les ruines de Mü, etc. Mais le Coeur de l'Ocean diffère de ces chimères, lui est bien réel!  

-Je dois avouer que... j'en ai entendu parler mais. J'ai toujours pris ça pour des foutaises. C'était une égyptienne, une de ces vagabondes qui colportent des histoires auxquels personne ne croit guère... Je ne me souviens pas des détails de cette histoire. Mais... peut-être m'en direz-vous davantage ? murmura Blow en se penchant lui aussi vers Agonie.  

- Moui...

Dit Carole-Anne en recherchant d'éventuelle souvenir, elle étai en pleine réflexion, se léchant les babine pleine de rhum...

- Oui! Oui!...

Murmura la jeune fille...

- Ca me revient �  présent oui, j'ai déj�  entendu parler, cela n'aurai t il pas un rapport avec les... Citée d'or?...  

-Et bien, souffla Agonie ravi de pouvoir raconter une de ses vieilles histoires. En effet il y a un rapport. Vers 1522, le conquistador Pizzaro rencontrait l'archevèque de Panam� , Fernando  DeLuque, un moine obsédé par l'or indien. Ce moine avait décidé de mener une expédition �  la recherche de la cité de Guyanacapac, vestige de l'empire indien le plus riche ayant jamais existé. Pour obtenir des informations DeLuque tortura des centaines et des centaines d'indiens, et lors d'un raid dans un village indigène, ses sbires dénichèrent un trésor, apparement les effets personnels d'un empereur inca, qui avait érigé l'une des 7 cités d'or. La plus belle partie de cette trouvaille était une parure magnifique, un collier dont les maillons étaient faits d'or pur, enserrant des joyaux de la grosseur d'un poing. La plus grosse pierre de ce collier était un diamant au coeur duquel flottait une poche d'eau, et si l'on regardait attentivement le coeur de ce diamant, on croyait regarder l'ocean atlantique, par une illusion d'optique jouant avec la lumière. Les conquistadors cachèrent ce collier jalousement, mais avec le temps, on perdit sa trace. C'est l�  que son histoire prend un ton surnaturel, car les vieux marins qui affectionnaient la légende du Hollandais Volant racontaient que son capitaine portait �  son cou le fabuleux collier. On l'appelle ausi pour cela La Parrure de Davey Jones, et l'on dit que si un mortel venait le toucher, Davey Jones entrerai dans une colère digne d'un cataclysme diluvien, les océans se déchaineraient, les démons et monstres de mers surgiraient pour engloutir toutes formes de vies, la face du Monde en serait changée, car le Coeur de l'Ocean aurait battu, avec la force d'un coeur de titan. Voil�  pourquoi on dit que la parure de Davey Jones est maudite, car des fleuves de sang ont coulés pour qu'il soit façonné, volé, conquis, désiré, convoité �  la folie, et finalement craint. Mais moi je ne crois pas �  cette partie de l'histoire. Je sais ce qu'il est advenu de ce collier. Après qu'il ait échappé aux conquistadors, il est passé en de nombreuses mains, des pirates pour la plupart, mais surtout dans celles d'un navigateur britannique nommé McCallister, qui ayant l'� me d'un poète le baptisa le Coeur de l'Ocean. Le gouvernement anglais l'offrit en cadeau �  une dame de la noblesse espagnole, rattachée par le sang �  la famille du roi. Alors qu'elle prenait la mer pour retourner �  sa terre natale, cette dame croisa un boucanier qui s'empara du Coeur de l'ocean, et envoya par le fond les espagnols. J'ai eu l'occasion de rencontrer cette dame, et c'est avec un pointe de tristesse que j'ai tenu le Coeur dans mes mains et c'est avec une immense joie que j'ai étriper ce forban, et lui prendre ce bijou. Hél� s, un corsaire anglais m'a un jour mis le grappin dessus, et a restitué le collier �  la famille royale d'Espagne. Le Roi a fait escorter ce collier ensanglanté sur la route du Mexique, mais le galion transportant le Coeur de l'ocean disparu aux abords de l'Amérique du Sud. Plus personne n'en a entendu parler. De nombreux aventuriers et d'explorateurs se sont lancé �  sa recherche, et moi-même je n'ai pas renoncé �  le retrouver, peut-être poussé par le souvenir de cette noble latine envoutante, au cou duquel le Coeur de L'Ocean resplendissait comme la surface marine �  l'aurore.
Agonie la Belle s'adossa lentement sur son siège, comme épuisé après avoir narré son histoire.
-Un bien beau mythe, effrayant, attirant, et chacun peut y ajouter quelque chose, ou créer une nouvelle version. Mais moi je connais la vérité car j'ai rencontré il y a de cela 2 ans �  peu près, un indien, qui a suivi le parcours de ce bijou. L'un de ses ancêtres aurai enfanter ce chef-d'oeuvre, et n'a cessé de suivre sa trace lui aussi. Il le considère comme l'héritage de son peuple.    

-Et vous ne pensez pas que ce brave indien a raison... murmura Blow.  

Kévin , qui était a bord du Black Angel , regarda la mer avec admiration . Il avait un profons respect pour c'elle qui l'avait toujours soutenue . Il se souvint de ces premiers jour en mer , ou les éléments l'avait presque achevé , mais elle , elle ne l'avait pas abandoné . Elle mis sur son chemin un galion français qui le receuilli .
-Enfin ,fit il par dire ,ceci n'est plus que le passé . Désormais , c'est vers l'avenir qu'il faut se tourné .  

-Il est dans son droit, il est vrai, approuva Agonie en hochant la tête. Il m'accompagne depuis car il a eu une vague vision prémonitoire dans laquelle je serai celui qui le menera jusqu'au Coeur après un long et aventureux périple. Alors il me suit dans mes voyages, et avec le temps ses visiosn se précisent. Ce jeu m'amuse énormement, et c'est une course au trésor qui promet bien plus qu'une simple récompense matérielle. Il m'a prédit que je deviendrai fou en atteignant mon but, car j'aurai accompli tellement d'efforts et perdu tellement que je n'aurai plus aucune satisfaction �  tenir l'or dans mes mains.
Le français semblait amusé par l'idée mais conserva son sérieux. Il fit en balayant la fumée accumulée devant lui:
-A quelle heure pourrons-nous gagner votre vaisseau pour écouter votre ancien ami ?
   

-Huit heures tapantes, murmura Blow...
Le reste de la journée s'écoula entre conversations et bon temps. Ce fut un instant de détente et de gaieté pour les matelots et leurs capitaine qui n'avaient vécus �  bord qu'ennui et lassitude...
Quand huit heure sonna, Blow et tous les capitaines étaient dans sa cabine. Le pont avait été jugé trop peu sur pour une réunion de cette importance. Des bougies dégoulinantes de cire diffusait une chaude lumière dans la pièce un peu trop exigue... Chu arriva au point de rendez-vous �  l'heure dite. Il s'installa face aux capitaines et attendit que Blow ne lui pose une question.
-Du nouveau ? demanda Blow en éxécutant avec les mains des gestes étranges.
Chu, pour simple réponse hocha la tête.
-Quoi ?
- L'île est trouvé. Empereùr satisfait..., l'étranger réfléchit un instant, navires voiles vers île...
-Les navires font voiles vers l'île ?
Chu hocha de nouveau la tête.
-Tu connais la position exacte de l'île ?
Il fit un signe négatif.
Blwo s'arreta, pensif...  

Les pirates n'étaient pas plus avancer qu'auparavant, ils savaient juste que les chinois se rapprochaient de leur but, et que le trésor de Ching risquait de leur passer sous le nez. Agonie ragea et jeta son imposant couvre-chef sur la table.
-Alors nous devons gagner la Chine au plus vite. Les plus rapides d'entre nous pourraient se lancer �  la poursuite des jonques, les autres pourraient s'introduire auprès du ministre perstiféré de l'Empereur, et se renseigner sur la position de l'ile.
   

-C'est en effet la seule chose �  faire... déclara Blow. La question est qui poursuit les chinois et qui s'introduit chez monsieur le conseiller ?  

Après avoir longuement réflechi, Agonie la Belle donna sa réponse:
-Moi et mon équipage irons �  la poursuite des émissaires de l'Empereur. Nous sommes faiblement chargés, et nous avons fait le plein d'hommes et de munitions, nous voyagerons rapidement. Quand nous aurons trouvé l'Ile, nous essayerons de les retarder pour vous préparer le terrain �  votre arrivée, si toutefois les chinois ne nous massacrent pas avant. Nous serons prets �  partir dès demain matin.

HRP:Je vais de nouveau partir, pour deux semaines cette fois. Mais j'arriverai �  me connecter et �  poster au moins une fois. Ma décision s'accomodera avec mon abscence. Bon jeu et bonne continuation!  

Carole-Anne étai présente mais ne dit rien... elle regardai son amour parler avec l'asiatique au fort accent chinois... John lui paru si beau �  ses yeux... Elle l'aimai plus que tout au monde...

"Mad Ethel" quitta sa paroisse de bois sur la quel elle étai appuyée et se rapprocha de son amant, elle l'enlaça par derrière autour du cou et lui murmura...

- Si je dois être utile dans cette mission, surtout n'hésite pas �  me demander quoi que ce soit mon amour...

Carole-Anne lui fit un baiser dans le cou... Comme elle le faisait à Elisa...  

Blow était ravi... La quête dans laquelle il s'était lançé se déroulait �  merveille et lui avait offert l'amour.
-Tu m'es déj�  utile, répondit-il en lui adressant un clin d'oeil.

(ps : je pars en vacances durant deux semaines. Ce serait donc sympa de votre part de ne pas poster durant cette période. Je le bloque donc !) ;)