Forum Age Of Sea Dogs

"Le rat qui pette" était la plus grande taverne de La Tortue. Ses propriètaires avaient été très riche �  l'époque de la flibuste, où les francais étaient de loin les meilleurs, avec des clients comme Jean Francois Nau ou Grammont et plein d'autre. La tortue en ses heures n'était que l'ombre de son passé, elle était devenu honnete même si on y accepté les pirates ils n'étaient pas vu de bonne oeil �  cause de leur écart totale de la société, de même pour la taverne, plus que son ombre, toujours belle avec un toit en ardoise, un balcon longeant tout le mur qui donne sur le quai où elle trone. Sa pancarte, qui comme une voile est victime des vents et pend comme un corps. Ses planches de parquet en bois usé par le temps et les nombreux vomi de client trop confiant de leur résistance �  l'alcool.
La vie y était joyeuse avec peu de bagarre mais des duels et autre parti de dès, où nombreux marin s'étaient ruinés et avaient gagné des richseses énormes.
Les taverniers et ses clients ne voyaient plus grand chose de spèciale dans leur vie, parfois la venu d'un pirate ou d'un exentrique changé leur vie. Mais ce jour personne ne pensa �  cela.

le ciel était nuageux, le temps assez calme, juste un peu de vent ridant la mer. Les marins travailant sur les quais virent une chose étonnante, du jamais vu pour eux. venant de l'horizon, trois petits navires entrèrent dans le port. Leur pavillon était inconnu, l'écriture du nom du navire inconnu et de ce fait indéchiffrable. Les trois anvires étaient inconnues en caraïbes, ils ressemblaient �  des sloops ou des lougres mais ils s'agissaient de deux féloques et d'un chebex. mais lègeremnt modifié, le grément plus nombreux et les navires plus fin et petit, sans canon. Très rapide les vaisseaux firent �  quai très vite. Ses hommes ne faissaient pas attention aux marins mais regardaient la ville. Ils avaient la peau mate les cheveux sombres, de drôle de vetêment et armes. Peu nombreux sur les navires un petit groupe du chebex déscendi, et un homme donant des ordres dans une langue incompréhensible.
Les plus instruit et les connaisseurs savaient qu'ils s'agissaient de musulman mais les créoles de naissance et les ingnares pensaient voir un peuple totalement nouveau qui les découvrait comme les espagnols l'avaient fait avec les indiens.Les gens étaient méfiants.
Dans la taverne personne ne savait ce qui se passait dehors quand la porte s'ouvrit rapidement et un garcon apparu
- Fouine tu veux quoi? demanda le tavernier, d'une voix servère.
sans lui répondre le jeune enfant cria la découverte, les plus curieux allèrent voir, seuls les hommes bourrés ou ceux qui s'étonné de rien ne sortirent pas.

Dans une foulle de curieux les victimes des regar pénétrèrent dans la taverne, leur air fatigue, comme par un long voyage fut vite enlevé par leur menaces et leur armes. La population s'élogna et retourna �  ses activités dans la chaleur mais tout en jettant des regards anxieux ou curieux aux trois navires où une centaine d'homme travaillaient.

La troupe d'homme allrèetn jusqu'au comptoir et un homme en tunique avec un accent étrange mais dans un francais parfait demanda le vin le plus frais pour une quizaine de personne. Un autre avec une voix très garve demanda du rhum.
- Di Rhum je vais essayé leur boisson!!
Les hommes payèrent leur somme en riant et posèrent une bourse en cuire contenant une part de leur dernier ravage. L'homm en tunique ordonna ua tavernier d'allait porter du vin aux hommes sur les navires
Puis il allèrent s'asoir en riant et burent, certain joué aux dés, d'autre �  des jeux un peu étrange et certain ce contenté de manger. Parmi eux l'homme au rhum resta sans rire, il souriait �  se samis mais la tête dans els mains il réfléchissait.
ils étaient maigre, la peau usée par le soleil et le vent, il devait venir de l'ancienne Europe, Mais du sud. La chaleur ne les génait pas du tout, mais certain étaient squeletique et d'autre fatigué


Edit: je tiens �  dire que totu est historique dans la description de cette taverne qui a existé �  la Tortue...
un peu de culture pour vous
Scar  

La porte s'ouvrit... Laissant apparaître une femme... Une femme... Dans la taverne, certain se retournai pour voir qui c'étais... Elisa!... Non... ça n'étais pas Elisa... La vie repris son cour normale... La jeune femme qui venais d'entrer se dirigea vers le comptoir, �  sa taille, on pouvais voir deux petite épée... Une de chaque coté...

Au comptoir... La jeune fille au dread blond demanda un rhum... Etrange... La boisson préférer d'Elisa... Mais ce n'étais pas Elisa... Une légende naissais et allai peut-être mourir dans de sombre condition comme "la tribade" tell un phoenix renaissant de ses cendres... La jeune femme leva sa tête... Son visage étais rond, le menton doux... Elle regarda le tavernier... Mais elle s'en foutais... Le rhum et rien d'autre pour Carole-Anne dite "Mad Ethel"...

- Bonjour, je suis nouvelle dans le coin... Puis je avoirrreuuu un rhum s'il vous plais...  

Un homme fin et habillé en riche bourgeois entra dans la taverne. Un sourire sadique se dessina sur les lèvres des rufiands qui composaient la majeure partie de la clientèle, mais quand la lueur du lustre éclaira le visage de l'homme, le regard bleu acier et dur de l'homme fit s'éteindre les sourires.
L'homme s'approcha du comptoir:
"Eh comme d'habitude s'il te plaît, et dis moi, y aurait-il dans le coin un type qui s'y connaîtrait un peu en médecine?"

Puis Guyde aperçut la jeune femme aux traits et �  l'accoutrement différent de celui qu'on s'attends �  trouver sur une femme dans cette taverne. L'étudiant clmement de pied en cape, il s'approcha d'elle et lui proposa un des gobelets de rhum que le tenancier lui avait versé:
"Le bonjour gente demoiselle, je me présente, Chevalier Guy De Kervalek, je suis quelque peu surpris de voir une aventurière en ces lieux, ou peut-être que je me trompe. Dîtes moi, chercheriez-vous un engagement sur un navire digne de ce nom?"  

L'homme qui semblait réfélchir leva la tête en voyant une femme, il eut un geste de dégout, et jeta son verre puis mit la tête dans ses épaules. Un homme arabe, �  la barbe nourri avec un reste d'embonpoint et une femme �  son coté de même origine que lui entra. La plus part de marins regardèrent la femme mais aussi le sabre dans son fourreau d'or �  la ceinture de tissu rouge pale de l'homme. Ils allèrent saluer les hommes de son pays.
ils discutèrent longemement dans une langue incompréhensible, puis un petit groupe d'homme vint dire une chose �  l'homme au drôle de comportement. Celui l�  se leva et quitta rapidement la taverne. Il alla vers des enfants qui observaient ses navires et d'une voix grave leur ordonna de partir.
Puis l'homme rerentra dans la taverne il observa ses occupants, des marins mal rasés ou pas rasés, habilé de vêtement lègers afin de ne pas avoir trop chaud, �  leur ceinture, s'il en avait, un coutelat, des bandeaux et des foulars aux cou.
Il alla se rassoir et parla avec un arabe aux cheveux très frissés mais coupés.  

A ce moment-l� , un homme entra. Il avait, visser sur sa petite tête brune un tricorne humide et rapé. Sous son front crasseux deux yeux noirs très expressifs scrutaient les alentours. Ce regard jettait une ombre sur ses joues creuses aux pommettes hautes et saillantes. Quant �  son nez, il était d'une extrême finesse et se finissait en deux narines parfaitement symétriques surplombant une bouche joliement dessinée. Il s'avança alors dans la fumée et la rumeur sourde de la taverne puis réussit �  trouver une table vide. Le capitaine s'assit alors avec discrétion et majesté sur une chaise. A sa position on pouvait maintenant voir que pendait �  sa ceinture un sabre magnifique et un redoutable pistolet...  

La porte s'ouvrit brusquement. Trois hommes entrèrent. Celui du milieu se démarquaient des autres. Il était gigantesque, et devait peser 150 kilos...De muscles. Un sabre d'origine asiatique était suspendu dans son dos, de sorte qu'il puisse s'en saisir rapidement. Ils se dirigèrent vers une table libre, en écartant brutalement les badauds qui leur baraient le chemin.

-Tavernier ! Trois rhum ! Et dépêche toi ! Nous avons fait un long voyage !

Son arrivée avit jeté un froid sur la taverne et tous les regards étaient fixés sur Bike et ses hommes. Se sentant observés, les trois arrivants se retournèrent et tous le monde baissa les yeux. L'ambiance revint ensuite �  la normale.

   

Guyde regardait la jeune femme blonde qui n'avait toujours pas répondue, il lui semblait l'avoir déj�  rencontré mais il ne savait plus ou, de plus en plus sa mémoire lui jouait des tours et cela commençait �  l'inquiéter. La jeune femme restant muette, il se dit que peut-être elle cherchait �  sonder ses intentions. Cherchant �  faire bonne impression, il se força �  sourrire, mais sur son visage émacié et crispé, ce sourrire ressemblait plus �  une grimace...  

Le capitaine avait reconnu celui qui venait d'entrer. Ils s'étaient déj�  rencontrer dans une taverne il y avait de cela peu de temps... Malgré cela, celui qui en réalité était nommé John Blow sourit. Son sourire était discret et amusé. Il aimait �  observer les entrées des capitaines dans les tavernes. Elles étaient toujours très remarquées, pleines de majestés et les badauds regardaient entrer ces personnages comme deux religieuses aurait regarder Jésus après sa miraculeuse résurrection. Cette béatittude et cette soif de se faire remarquer faisait sourire le capitaine. Ainsi restait-il l� , silencieux, observant chaque nouveau venu, le détaillant avec précision et intelligence jusqu'�  ce que celui-la ne s'assoit...  

Carole-Anne se retourna vers son interlocuteur...

- Excuser moi monsieur... Mais j'étais dans de profonde pensées... Je ne puis faire le deuil de ma chère Elisa...

Elle le lui sourira quand même...

- Chevalier Guy De Kervalek... Donc vous vous appeler  Chevalier Guy De Kervalek, enchantée, je me présente Carole-Anne Del Pero, père Espagnol et mère Française... C'est vrai... Je n'ai point de navire... On me l'a voler il y a... Heu... Trois ou quatre ans déj� , en angleterre... Un magnifique sloop tout neuf tout chaud... Et depuis, je me retrouve sans navire... Comme abandonner sur cette maudite île, en plus, j'ai du venir ici par navire de commerce... J'aurai pu me faire attaquer par des pirate enfin bref... Si vous chercher un second... Je suis votre homme... Heu Je veux dire votre femme... Heu non... Enfin bref... Vous avez compris quoi...  

Guyde sourit cette fois franchement �  Carol-anne, ainsi c'était en compagnie d'Elisa qu'il l'avait vu. Serait-ce une conquête de la Tribade, si cela était cela serait amusant de l'engager �  bord et e voir tous les hommes se casser les dents en essayant de la séduire. Guyde souria encore plus franchement �  cette idée, mais il ne tarda pas �  se reprendre et �  afficher son air habituel plus austère.
"Ainsi vous connaissiez Elisa. Sa mort est une lourde perte pour notre cause, c'était l'une des plus farouche pirate que j'ai connu..."
Levant soudain la tête avec vigueur et grimpant souplement sur le comptoir, Guyde leva son gobelet vers l'assemblée et hurla:
"Messieurs, votre attention, une formidable soeur nous a quitté il y a peu. Buvons en coeur �  sa santé. POUR ELISA LA TRIBADE HOURRA!!"
Il but son gobelet d'une traite, puis ,comme presque toute l'assemblée l'imita en poussant des hourras, certains envoyèrent même leurs verres vers le ciel, ceux-ci se heurtant aux massives poutres de soutainement, Guyde redescendit sur le plancher et prenant Carol par l'épaule:
"venez, j'ai aperçu un ami, nous allons nous joindre �  lui."
Ils s'approchèrent de John Blow et Guyde s'adresssa �  lui
"Le bonjour capitaine, connaissez-vous Carol-anne, c'était une amie d'Elisa. Savez-vous qu'elle cherche un poste? Nous pourrions tous deux lui faire passer un entretient pour vérifier ses compétences maritimes et évoquer cette chère disparue ensemble..."  

Bien le bonjour Guy... Oh, dit-il en dévisageant Carol-Ann, vous ici ? Je n'avais pas remarquer votre présence ma bonne amie... Comment vous portez-vous ? L'océan est-il clément pour vous ? Devant l'air surpris du chevalier, John Blow répondit : Nous nous connaissons déj�  mais j'ignorais en revanche que cette charmante Carol cherchait un emploi...
Parlons-en... Tavernier ! Un tonnelet de rhum.
   

Carole-Anne leva son verre, elle tenta de sourire mais sans succès... Elisa lui manquai de trop... Mais elle leva son verre en la direction du ciel, en la direction d'Elisa, la jeune fille au dread blonde s'écria malgré tout, avec toute la voix qu'elle avait...

- Pour Elisa la tribade!!! pour Elisa... Je vais boire ce rhum pour toi... Toi qui aimait cette boisson...

Carole-Anne ne pu s'empêcher de verser une larme, mais elle bu de bon coeur son rhum...

- Mmmm... Le rhum... C'était la boisson préférer d'Elisa... Elle en buvait, se saoulant jusqu'�  en être malade... Elle était si... Chouette...

Elle se tourna vers John...

- Bonjour mon ami... Comment va depuis notre dernière rencontre?... Et oui... Je cherche un poste...  

- Bha... C'n'est pas grave l'ami... Je comprend que tu soie fatiguer toi et t'es ami... Vous avez l'air de venir de loin... Et j'insiste pour que tu ne paie pas de dédomagement... bien... Je me présente... Carole-Anne Del Pero... Père espagnol et mère française... Et vous...

Carole-Anne tendit sa main pour serrer celle de la nouvelle connaissance...

- Vous parlez une bien étrange langue... Venez vous du pays de shéhérazade?...  

Les trois hommes presents dépéchèrent pour serrer la main de Carole, l'un d'eux les cahssèrent d'un coup de pied et leur dit en arabe
-Je suis le chef c'est �  moi de commencer!
- Oui d'accord pour les connaissances mais j'étais pas obligé de faire connaisance �  ton pied avec mes fesses.... Les trois hommes rièrent, puis l'homme serra la main de Carole-Anne, il sembla se fixer comme se rappleant d'un chsoe, puis il dégagea sa main avec rapidité et souria. Les deux autres hommes serrèent la main de la jeune femme.
Puis l'homme en tunique se carressa la barbe et parla.
- Le pays de Shéhérazade? bien sur pas pour tousn mais c'est vrai. Je me présente "l'Imam déchu" comme on m'appele mais le nom que mes parents m'on donnés devant Allah est L'homme prononca un nom incompréhensible pour les européens mais le nom de famille était akbahnwesif  (se prononce aba'ne oauisif). Notre chef et seigneur
Seth saL'homme lui fit un signe de la main pour qui'il s'arrete et parlant d'une voix grave
Ces gens n'ont pas besion du nom de ma famille.

Puis les trois hommes invitèrent leur compagnon à boire à leur table  

Se levant, Guyde effectua une légère révérance, la plume de son chapeau effleurant le plancher.
"Messieur, je me présente: Guy De Kervalek, capitaine de l'Or Félin. Je vous prie de bien vouloir pardonner ma rustrerie, mais je n'ai pas saisi une goutte de votre nom. Peut-être accepterez-vous de nous le répéter voir éventuellement de nous préciser un surnom court que vous porteriez. En attendant, je vous présente également le capitaine Jon Blow, fier pirate et homme d'honneur."
Guyde resta debout, détaillant l'accoutrement original des arabes. Il avait souvent entendu parler des féroces pirates barbaresques qui semaient la terreur en méditerranée, faisant échec �  l'Espagne, aux chevaliers de Malte et aux galères de Venise, mais s'était la première fois qu'il en voyait ou du moins qu'il voyait des marins s'en approchant. Tout en observant les marins arabes il préparait les nombreuses questions qu'il voulait leur poser.  

l'homme à la tunique souria
akbahnwesif est mon nom mais on me surnomme "l'Imam déchu" j'étais avant de rencontrer sur un navire notre capitiane un homme de religion.
- Je m'appele Seth, ce nom est d'origine egyptien, c'est celui d'un dieu je crois. Mais on me surnomme le "tourbillon de fer" ou "seigneur des armes", en rapport �  mes compétences de combat au corps �  crops. Mais appelez moi l'étrangers je préfére ce surnomme de votre part au vrai.

Vous avez un nom �  ralonge comme votre chapeau. Dit Seth avec humour, ils allèrent �  leur table. et présentèrent les hommes présent. Tous des seconds ou capitaine des deux feloques, mais aussi un chirurgien et le maitre d'équipage. Parmi tout cela pas un maitre canonnier.
-Pourriez vous nous parler un peu plus des pirates des caraibes?? Nous sommes sous même des pirates même en savoir plus sur nos confrères occcidentaux. Dit 'Imam.  

Les pirates des Caraïbes, comme tous les pirates d'ailleurs, commença John Blow, sont des hommes d'honneur... Ceci dit, les mettre tous dans le même sac et les décrire tous par deux ou trois qualités ou défauts serait irrévérencieux. Apprenez plutôt par vous même �  connaître chaque capitaine, et sachez que la mer des Caraïbes en cache des grands ! C'est cela qui vous sera le plus utile... du moins �  mon noble avis...
N'est-ce pas Guy ? John Blow pivota sur sa chaise et fixa le chevalier/capitaine...  

Guyde s'assit, dégageant discrétement son pistolet afin qu'il puisse si nécessaire le dégainer rapidement. Certes les étrangers avaient l'air sympathiques et ouverts, mais on ne sait jamais, de plus la Tortue n'était plus ce qu'elle était et un groupe comme le leur e manqurait pas d'attirer l'attention...

"En effet capitaine Blow, mais peut-être pourrions nous essayer néanmoins de défricher le terrain en dégageant de grandes tendances. Que dire �  propos de nos frères. Pour commencer vous devez comprendre que contrairement aux pirates mauresques nous ne sommes officielement pas autres chose que de la vermine �  écraser pour les autorités. Cependant les difficultés de la colonisation, les luttes d'influence et de pouvoir et les ressources militaires limitées dont disposent les gouverneurs font que ceux-ci font régulièrement appel �  des équipages comme le mien pour effectuer toutes leurs basses besognes et coups tordus. Ensuite parmis nos frères on peut distinguer diverses catégories, il y a ceux qui sont pirates par soif de l'or ou de la gloire, d'autres par rejet de la société en général et qui cherchent vengeance contre tout et tous, et ceux qui ont choisi cette voie par amour de la liberté comme je l'ai fait. Pour ces derniers, être pirate est avant tout un moyen de briser ses chaînes, de fixer ses propres règles et de survivre par le fer, en espérant qu'un jour le monde se secouera et se libérera. Nombre d'intellectuels et de religieux éclairés soutienent cette vision et oeuvrent en ce sens et chacun tente d'apporter sa contribution.
Mais nous sommes tous de féroces guerriers et d'avides aventuriers, attirés par les richesses, l'nconnu et curieux de découvrir tout ce que le monde recèle.

Et vous-même qu'est-ce qui vous a mené ici? Et si vous le voulez bien, parlez-nous donc des pays dont vous venez."  

- Oui... L'amour de la libertée... C'est le choix de la plupart des pirate venant sillonner les mer des caraïbe... Tout comme une personne que j'aimai... Mais peu importe... Je suis ravie de faire votre connaissance Seth... Moi aussi j'ai un surnom... Ou du moins j'en avait un avant que l'on me vole mon navire, c'était  Mad Ethel... Mais maintenant c'est plus des surnom du genre l'Ethel sans coque ou aussi Ethel l... Non celui l�  est trop heum... Il me rappelle des chose trop personnel...

Carole-anne eu un sourire nerveux, elle fessai comme elle en avais l'habitude, étendre ses jambe sous la table et s'affaler sur sa chaise, chope �  la main...  

Le petit groupe arriva �  la table des arabes. Très joyeuse on y voyait un carnaval de couleur, rouge, jaune, bleu et noir mais aussi marron et vert; des armes étrangers de nombreux ciemetere mais aussi des haches et des pistolets.
Les hommes mangeaient et jouaient aux dès. Tous saluèrent leur chef dans leur langue et firent des signes de bienvenu aux européens.
Deux d'entre eux jouaient aux échec, jeu quasiment inconnu aux craïbes. Mais une grande parti se bourré la gueule, plusieur arabe virent dans la taverne et les rejoignit. Imam déchu prit la parôle, c'était le seul �  bien parler francais.

- Les pays d'où nous venons, notre chef est egyptien mais aussi kurde, comme le seigneur-prophete Saladin, l'homme qui a unifié nos culture. Nous sommes tous d'origine diffèrente, des egyptiens, des perses et des arabes musulman, des berberes, des maures tout un mèlange mais nous partageons une chose l'art du combat �  l'épée. Aucun homme recontré n'a battu Seth, un véritable monstre!

Nos pays sont pourtant assez diffèrent, certain sont guidés par le coran et la religion d'autre par la tradition et d'autre par la culture de l'esprit, mais nous paratgeons une même langue et un même dieu un peu comme vous.
Nos pays, ils ne sont pas très beaux vu comme cela �  comparé �  ces lieux. Je dirais une chose: Allah a fasonné ce monde comme un paradis et celui de sarabes il n'y a rien fait, mais la main de l'homme guidé par Allah et le courage ont fait des choses sublime qui embelissent er permettent �  la nature de prendre toute sa beautée. A l'inverse d'ici, où Allah n'a rien fait trop occupé avec nous ou tout simplement ne voulant pas aider les infidéles.
Seth intervient afin de calmer son ami

N'essaye pas de les convertirs ils croivent en la liberté. Pour moi je pense que Allah a donné �  la nature toute sa puissance afin qu'elle s'épanouisse sans son aide et pour qu'il s'occupe de tout les hommes. Pour moi il y a deux dieux allah et Dame nature.
- tu n'es qu'un hérétique et Dieu te le fera payer! Répondi sechement l'ancien homme de religion avant de rire. et moi je ne suis pas un fanatique juste un peu nostalgique de cette folie.
mais sur terre tu es le Dieu du combat! personne ne peut te battre et tu es l'homme le plus sympathique que je connaise.
Voyez vous, nos terres sont arides, que du sable et de la chaleur. Imaginez une plage de sable masi sans la mer et s'étendnant sur plus d'un pays. Cela est moceh mais magistrale et imposant. Mais dans cette mer de sable se cachent de soasis, des merveilles.
- Comme les îles, rien d'autre, le désert est une mer de sable et les oasis des îles et îlots qui abritent l'homme et les animaux autour d'un lac. le second de seth dit quelque chose en arabe son ami souria
-Il a raison c'est l'inverse d'ici, l'eau pour nous ce sont les îles et le sable la mer.

Les hommes discutèrent un peu et Imam regarda carôle.
-C'est la première fois que je vosi une femme vetue presque comme un homme et armé des arems des hommes et de leur courage, je m'incline devant vous. "Mais pas trop nous plus faut pas abuser" Dit il pour ses amis en arabe, ses derniers rirent et seth esquisa un souri en regardant Carôle-Anna qu'il ne quitta pas des yeux durant une minute.  

- C'est la première fois ... Vous connaissez donc pas beaucoup de femmes pirates... Mmmm... Disons que... Je m'habille comme un homme car ces habits, ils me permettent d'avoir de ample mouvement pendant les combat, je ne me vois guerre habillée en robe pour aller �  l'abordage d'un navire... J'aime aussi me battre... Cela me relaxe... Vous prendriez bien un rhum l'ami... Je vous le paie, j'ai adorer votre discour...

Fit Carole-Anne �  seth... Elle le fixa également du regard l'homme �  la peau mi brune... La jeune fille plongea son regard �  la ceinture de Guy, celui-ci tenait son pistolet �  silex, il étai comme méfiant...  

Les arabes offrirent �  boire aux étrangers.
Seth sembla nerveux en regardant Carôle-Anne, ses amis savaient pourquoi. Puis Imam prit la parôle.
- si vous savez pourquoi nous avons quitté le mer Rouge et la mer Mediterranée. Ce'st très simple après l'attaque qu'Avery, cette anglais, �  fait sur un navire du grand moghol. ce dernier a decidé de diviser ses trèsors, qu'il fait circulé, en deux, chacun avec un grand navire et deux autres pour les surveiller. Seth et un de ses compagnons pirates on en profité pour attaquer l'une des deux flottes. L'attaque fut rapide et se fut les sabres et hache qui désidèrent de l'issu du combat, mais les canonnades de nos ennemis tuèrent presque tout l'équipage de notre allié. L'aborage lui fit fatal. Mais sur le navire ennemi du grand Moghol il y avait pas que de l'or masi un membre de sa famille. Sans le vouloir nous lui avons hoter la vie.
le grand Moghol nous laissa une semaine pour partir ou nous rendre avnt de lancer une grande chasse. Notre choix fut simple car moi et seth avons appris le Francais grace �  un ancien pirate des caraïbes. il nous avait raconté pleind e chose grandiose sur ces archipels. Afin de pourvoir continuer notre vie sur la mer nous sommes venus ici.

C'est purement pour fuire une menace  

- Oui... Parfois on na pas d'autre choix que de fuire... Mince... J'oubliai que les musulman ne buvait pas d'alcool...Veiuller m'excuser de mon ignorance, je ne voulais point vous... Manquer de respect... Bon... Je... Vous buviez quoi a la place?...

Carole-Anne s'était rendue compte qu'elle avait dit... Les arabe la regardèrent son accoutrement ridicule... Puis Carole-Anne reprit

- Heum... ça va Heu... Seth?... Vous m'avez l'air... Nerveux?... Les caraïbe vous semble t elle pas rassurante...  

- Non nous buvons un peu dit Seth. C'est un peu notre symbole de note liberté. Faire ce que l'on veut du coran en respectant allah, car pour nous l'amour d'un Dieu est dans  coeur et non oun code. tavernier du hum sil vous plit!!!
l'alcol fut apporté et les hommes sourirèent devant l'air étonné de la femme.
- vous semblez bien nous connaitre, du moins les coutumes de notre peuple dit Imam déchu.
Puis les trois hommes parlèrent un peu. Seth regarda la taverne elle était très diffèrente des tavenre de son pays, qui était soit très belle décoré de bronze et d'or avec de la soie ou très mal famé, avec du la chaume et des murs qui se craquent sous la chaleur.
Ici c'est loin d'être riche mais pas pauvre, faite pour durer si on l'entretient. ses nombreuse poutres et armutures en bois rappelaient un peu un navires, mais ses murs de pierren et ses nombreuses décoration rappelaient le chic de ce lieu. au dessus de leru tête des filets avec des tonneaus et des objets de mrinnesn, sur la cheminés la maquette du navire et accroché �  certaine poudre verticale des lanternes éteintent. Seth respira pui s'adressa �  Carôle-anne.
- Je suis assez nrveux en votre présence car sans lui ressemblez vous me rappelez une autre personne, morte. en disant se smots une petite larme coula, il ne s'en appercevait.

-le voyage n'a pas éffacé son souvenir Seth...
-Pire il a marqué son absence....
Puis les arabes proposèrent une partie de dès, ce n'est pas leur genre de gener les gens avec leur problème.  

- Morte...

Carole-Anne pensa immédiatement �  Elisa... "Non... ce n'étais pas possible, elle ne l'aurai jamais croiser... A moins que dans le tours du monde... Mmmm... Non sinon elle lui en aurai parler..."

- Une personne décédée... Excusé moi mais de qui parlez vous... Je ne veux point vous attrister en vous posant cette question...

carole-Anne reprit une gorgée de rhum dont une goutte coula sur le coin de sa bouche pour aller tomber sur sa chemise déj�  salie...  

Au fil de la conversation Guyde s'était détendu, il avait laché la crosse de son pistolet, l'histoire de ces étrangers et leur comportement coïncidait et laissait penser qu'ils disaient vrai. Cependant, Guyde était toujours méfiant, les arabes étaient mal vus dans les caraïbes, seul un motif impérieux pouvait les avoir poussé ici dans une zone contrôlée par les européens chrétiens où ils risquaient leur vie �  tout instant. Leur histoire semblait véridique, mais elle pouvait avoir été inventé, peut-être étaient-ils en mission commandée...
Malgrès ses doutes subsistant, Guyde décida d'essayer de se détendre, s'ils disaient vrai ces hommes pourraient être des alliés précieux. De plus il n'avait pas l'habitude d'acceuillir de nouveaux frères de manière distante.

Guyde prit les dés �  sont tour, mais la chance n'était pas avec lui.

"Eh bien messieurs, votre séjour commence bien, me voici soulagé de trente pièces hahaha. Mais dites moi j'ai aperçu d'étranges navire par les fenêtres de l'auberge, sont-ce les votres? J'ai entendu dire que les étrangers comme vous disposez de navires aux qualités nautiques incomparables, j'aimerais beaucoup pouvoir y jetter un coup d'oeil..."  

Seth se leva et accepta la demande de Guyde.
- J'en profiterais pour vérifier si tout est fini. Les deux hommes sortirent. dès que la porte fut fermée Imam se pencha d'une ait présse vers Carôle-Anne.

- Un conseil ne parle jamais de ce que je vais te dire, Il n'aime pas trop que l'on la cite, alors uné étrangère il prendra cela pour une insulte �  son nom.
La femme défunt était la personne qui se trouvé sur les vaisseaux du grand Moghol... Il s'agissait de sa fille, évidemment seth qui fait tout dans le grand et la gloire en était amoureux. tout deux s'aimaient mais disons un pirate même celèbre pour nouvelle famille ne plaisait pas trop au grand Moghol qui projeté de la marié �  un sultan.
Mais ce n'est pas une simple mort, c'est seth lui même qui a hoté la vie de sa fiancée.
Elisa sembla térorissait, comment aimer la personne que l'on aime?
- ne vous choquez pas, ce fut un véritable accident une tragèdie. Nous attaquions le vaisseua mère, je en sais pas s'il savait qu'elle était dedans. Mais quand il la vue il a tout pour la retrouvé et est allé dans la cabine, l�  il a combattu le capitainze du navire sur le tillac pour que tout le monde voit sa puissance au combat. Le combat fut très bref, seth passa dans le dos de son ennemi le fit mettre genou �  terre et le décapita mais dans sa rapidité il planta un cimetere dans la personne venant de derrière la porte, en pensant qu'il s'agissait d'un asssassin. Il le vit que trop tard que c'était ELLE.
je ne vous dirais aps comment il était, en pleur il a fallu se laisser tuer mais notre brave second, mais totalement débile et drôle, il passe son temps �  rire, l'empécha de partir seul contre le dernier navire...
Bein sombre affaire pour une bien grande personne L'Imam se carresa la barbe. Ce serait temps que je me rase une temps car l�  on dirait l'un de ses fous de Dieu... Tavernier un rhum.
L'alcool fut servi masi l'Imam  crut perdre ses poumons �  la boire, il eut l'impression d'avoir la gorge en feux.

Sur le quai Seth montrait �  son ami Gyude ses deux fèloques et son chebex, des vaisseaux très lègers et nameouvrable avec de voiles latines.
- Voila ma flotte la plus rapide de mer qsans doute et heureusement car comme vi le voyez il y a pas de... de sabot non sabords. Pas un canon sur mes bateaux, cela les alourdis et de plus moi et mes hommes sont disons très très mauvais �  la cannonde, plus de chance de nous couler nous même que de toucher notre ennemi. Seth ria.
- Mais dites moi pourquoi un chevalier devient il un maraud, un pirate. Vous éties l'élite de votre peuple avant....  

carole-Anne regarde Imam dans les yeux... Elle se sentait un peu gênée de ce qu'elle venait de demander...

- je vous prie de m'excuser de mon impolitesse envers votre égard ... Mais nous les pirate... Nous n'avons pas vraiment de savoir vivre hé hé... Encore désoler... Je suis vraiment desoler pour cette tragédie ... Moi aussi j'ai perdu une personne qui m'étais cher... Très cher... Je ne l'oublierai jamais, elle aura toujours une place dans mon coeur... Ma cicatrice se refermera avec le temps... Parlons d'autre chose je vous prie, sinon me connaissant je vais encore me lamenter pendant des heures... Puis je aller voir vos fabuleux navires?...

Carole-Anne fini son verre offert par l'étranger et elle le regarda en attendant une reponse...  

- Vous savez c'est Seth le plus triste, moi et Mehi, l'un des capitaines d'une fèloque l'avions protègé d'un tel acte, nous avions éssayés de le détourner de cela, mais vous semblez connaitre le puissance d"un amour. Puisque 'il a a ouvert une crevasse dans votre coeur, que le temps et son sablier remplira de sable jusqu'�  la boucher. Mais cela peut prendre toute un vie voire plus.

Il se leva et regarda els hommes.
-Malheuresment je suis l'un des euls �  parler francais avec seth, il faudra leur apprendre cette langue, et encore seth parle pas vraiment comme moi. Vous l'avez sans doute remarqué...
Une parti d'échec??

Dehors sur le tillac du chebex plusieur hommes s'entrainaient au combat montrant ainsi la diffrèence de style de combat entre eux et les pirates des caraïbes.  

- Oui c'est vrai... La puissance d'un amour est impressionnante ... Avec le temps ça ira mieux... Mais votre ami, il apprendra vite notre langue si il a de la volontée... Je le trouve bien sympathique... Heum...

Carole-Anne souri �  son interlocuteur, elle en profita pour boire une gorgée de rhum...

- C'est vraiment une délicieuse boison... hé hé hé... Oui je veux bien faire une partie d'échec, volontier... J'irai voir vos navire après... Mais je vous préviens tout de suite que je ne suis point très forte �  ce jeu...  

Imam souria
-C'est normal ce jeu est un jeu arabe, je pense que vous avez jamasi vu avant untel jeu. C'est très compliqué mais ne laisse rien au hazard, c'est de la tactique pur, je m'en sert avec seth, afin que l'on puisse s'entrainer �  prevoir les attaques ennemis et toujours utiliser un plan de secour. Certes c'est loin d'être éfficasse car les combats réel sont très diffèrent mais permet de dévolopper un sens logique et rapide.

L'arabe �  la tunique blanche disposa le jeu devant lui et assit Carôle devant lui. Certain des marins si bien arabe que francais allèrent faire un tour autour du jeu pour observer la partie soit par pur curiosité soit pas interet.
- Si ce jeu vous lasse nous avons inventé durant notre long voyage un jeux de dès...  

- Non non... Ce jeu est si intrigant... Si intéressant �  connaître... Il y a deux sorte de pion... Je suppose que c'est une couleur par clans...

Carole-Anne prit prit un pion triangulaire qui se terminai, courber avec une silhouette ressemblant �  une tête de cheval puis elle prit un autre pion, celui-ci semblai avoir une courone... Mais le plus intrigant étais tous ces pièce, sans forme précise, elle étai nombreuse et très simple...

- Dite moi imam... Ces pion l� ... Ceux qui sont nombreux... Ils serve �  quoi? Il ne sont pas décorer comme les autre... Comme celui-ci...

Elle pris alors un pion rectangulaire terminer au sommet par des rempare ...

- Je suppose que celle-ci doit représenter une tour mon ami... Alors... Comment fait-ont... Heum...

Elle reprit une gorgée de la boisson faite de canne à sucre...  

Imam fut patient pour lui apprendre les règles. Ce qui l'énèrvent le plus n'était la femme mais les commantaires débiles de ses amis. Une fois les règles expliquaient il commenca la parti avec les blanc pour lui monter comment faire.
- si vous avez une question sur le jeu posez moi là? et il commenca �  dire une phrase en arabe �  un des hommes, ce dernier parti de la taverne pour aller sur le chebex.
-J'ai diffèrente question �  vous poser sur les caraïbes. La première est quelle sont les véritables denrées de cette règion, ce qu'elle produit et qui n'est produit nul part ailleurs.  

- Pour votre question... Mmmm... Le rhum produit dans tout les caraïbe... Cette boisson n'est point produit ailleur... Elle est même interdite d'importation en France car ceux-ci veulent protéger leur renommée et leur commerce d'alcool tell le cognac ou leur vin regional... Heu... Du tabac aussi est produit ici, dans les caraïbe...

Carole-Anne prit alors un air concentrée pour la partie... elle s'empara du pion représentant la tour, mais elle le déplaça sur l'échiquier en diagonale... Imam interviens, il saisi la main de la jeune femme délicatement en lui indiquant le bon itinéraire �  prendre avec la pièce... Carole-Anne le remercia de l'avoir remis sur le bon chemin...

- Ce jeu est vraiment passionnant...

Fit la jeune femme en déplacent cette fois-ci le fou, Imam prenait le dessus de la partie, il étai avantager puisque il connaissait ce jeu depuis bien plus longtemps que Carole-Anne, celle-ci réfléchi, elle s'appuya �  présent sur le dossier de sa chaise et observa son adversaire déplacer son pion, la fille profita pour boire une lichette de rhum...  

- C'est un jeu compliqué certes mais qui permet l'esprit disons de d'interprétation des actions �  venir et surtout un grand sens stratégique.
Où est Seth? demanda t il, on lui répondit.
-Merci je dois aller le voir je vous laisse noter fidèle second et de plus si il veut il prend ma place je ne suis que maitre d'équipage. les deux hommes èchangèrent leur place et des plaisanteries. plus le second regarda gentiment Carôle-Anne et dit son seul mot francais
- Bonjour. pui s'inclina sur le jeu, en caressant sa petite barbe mal rasée


edit: j'y pense si votre personnage �  une voix et ou une allure ou une apparence déj�  existente, comme seth et le pince de perse ou autre...
n'hésitez pas �  le dire, mais pas dasn le rp dans un ps, afin que nous puissons mieux visualiser le personnage ou mieux "entednre" sa voix...
Scar  

- Heu... Bien le bonjour

Carole-Anne souris �  son tour... Elle regarda le jeu... Devenant de plus en plus nerveuse... Son nouvel adversaire était tout aussi fort que son prédécesseur, Imam... La fille déplaça un pion puis elle attend... Elle n'osait guere interroger l'homme en face d'elle, de peur que celui-ci ne comprenne pas un mot de ce qu'elle dira...

Carole-Anne ravala sa salive, c'était une journée chaude, des goutte de sueur coula sur le front de la demoiselle. Elle se caressa les lèvres avec ses fin doigts, elle était plongée dans une profonde réflexion...

ps: Carole-Anne a une allure asser décontracter �  l'origine, elle a un charactere timide et un peu renfermer sur elle même. Sa voix est une voix très feminine et douce...  

L'homme était concentré il sorti son énrome cimeterre qu'il planta dans le couvercle du tonneau qui lui servait de siège.
* Il me géne* Comme ils venaient d'endroits extrèmement faux et surtout sec et aride la chaleur ne les géneait pas. Il joue une pièce et prit la tour de Carôle, mais ne vis pas qu'il se mettait echec si il ne bougeait pas son roi.
* que fais Seth, Edalarim?
- je sais pas l'ami, il montre les navires au gards avec le chapeau �  plume.
 - oui! c'est vrai bon préviens les hommes sur les bateaux qu'ils prennent leur temps libre et retrouve ceux qui sont en train de boire afin que se soit eux qui travaillent. Les autres ont assez travaillé durant toute la journée ils prendront un peu de repos puis ce soir on se retrouve comme d'abitude sur els fèlouques �  faire la fête
- On invite pas les étrangres? demanda un colosse avec le vrane rasé et jsuet une longe tresse, d'une voix grave.
- ba stupide nous demanderont à Salahdin ou Imam de les inviter.*

La discussion des arabes prit fin, le petit homme interepplait totu au début sorti de la tavenre, les arabes ayant fini leur nourriture commencèrent �  jouer aux dès ou quitter la taverne, le ton de leur voix augmenta un peu jusqu'�  ce que l'homme avec la femme leru ordonna de se taire.
La partie repris


ps: tu n'as pas comprit ce qu'ils disaient... c'était un arabe
le second ressmbel (je te l'ai déj�  dit) au "second" de saladin dans Kingdom of Heaven, l'homme toujours habillé en noir qui se fait passer pour un serviteur au début quand il rencontre Balian.  

tout d'un coup, Carole-Anne remarque une faille dans le jeu du second... Certes les pion de la pucelle disparaissais comme si ils fondaient comme neige au soleil mais le roi de l'homme restai immobile... C'était une chance pour la fille qui déplaça son cavalier...

- Échec et math... Heu... C'est bien ça qu'on dit?...

Carole-Anne se rappela qu'elle doutai que l'homme sache parler francais, elle ravala sa salive tout en le regardant...    

L'homme regarda stupéfié l'échec il souria en erlevant sa tête et fit un signe de tête courtoi puis déplaca son roi dans la seule case qu'il lui restait pour ce dernier.
Une grande partie des hommes avaient arrêté de regarder le jeu, certain retournaient �  leur verre d'autre �  leur occupation hors de la taverne, mais d'autre par curisosité continuaient de regarder le jeu. la sueur de la chaleur perlait sur le front de presque totu de monde, le second s'éssuya le peu de sueur qu'il avait.
Le batîment de bois et de pierre n'était pas l'ideal pour s'isoler de la chaleur.  

- A ce que je vois vous avez chaud... Une boisson ne vous fera pas de tors ... Tavernier! Apporter moi une cruche d'eau... Pour moi même et mon ami ici présent...

Carole-Anne ne buvait qu'un verre ou deux et puis stoppa.
Le bandeau qui soutenait les dreads de la fille étais tremper de sueur, elle ne supportai pas la chaleur d'ailleurs, a l'opposer de l'homme en face d'elle, sa peau étai blanche et peu bronzer, elle venait du nord de l'europe...
La cruche fut apportée et les deux marin fut servi

- Merci mon brave... Tien voila les pieces...

carole-Anne payas le garçon pour ensuite se retourner vers l'homme �  la tunique noir... Elle tendis son verre en sa direction tout en lui fessant un clin d'oeil...


Seth et Gyude visitèrent le chebex. Gyude était étonné de l'énorme diffèrnces du gréement oriental et occidental.

- ques des voiles latines et qu'une seule par mat c'est étonnant
-* mais cela permet des manoeuvres très facile juste �  tourner le gouvernail et les voiels font le reste, mais je compte remplacer la voile du mat d'artimon par une voile aurique et augmenter la taille des mats pour y rajouter des voiles comme sur vos vaisseuax. Mais sans trop en abuser, juste une voile par mat et des cividières en plus des focs pour le mat de beaupré. mais vous n'avez pas répondu �  ma question
pourquoi être vous devenu pirate, la liberté en tant que noble vous l'aviez...


Edit: elisa est morte cette taverne �  était faite après la mort de nos personnages donc comme cellede grenade Scar, Elsia, Blakc et dark sont mort et enterré (du moins facon de parler)
ps: pour éviter un flood bête et méchant je me suis permis de rajouter un petit message de steh �  la fin du tien..
Scar  

Guyde était véritablement fasciné par la chebek, on lui avait parlé des navires arabes, pas forcément puissants, mais agiles, rapides et gracieux et il se rendait compte que leur conception était vraiment impressionante de simplicité, d'élégance et d'efficacité, si bien qu'il mit quelques temps �  saisir la question de Seth.

"Hum, et bien voyez-vous la liberté est pour moi un idéal qui doit être recherché pour tous et non pour le bon plaisir de quelques uns. De plus, bien que noble, je n'étais que peu libre car la valeur du sang est souvent moins importante que celle de l'argent, hors mes parents n'étaient pas si riches qu'ils le faisaient croire et je n'étais pas, loin de la, l'héritier de leur domaine. Mon père avait révu de me faire devenir homme d'Eglise et ce projet ne me contrariait pas jusqu'�  de que je reçoive l'appel de la mer. Comme tous les marins qui méritent ce nom vous l'avez sans doute vous aussi reçu, je ne me voyais pas hors d'un navire, si bien qu'au grand désarroi de mon géniteur je finis par embarquer sur un corsaire français qui luttait contre les anglais. Mais la guerre prit fin et la marine royale n'avait plus besoin de nous, si bien que l'amiral De Mortuis envoya plusieurs petits navires corsaires dans une mission suicide. Cette trahison acheva de me dégoutter de la société d'où je venais et j'embarqua pour la nouvelle-France où je voulais monter une affaire maritime, mais de lourdes dettes et un amour fou pour la liberté, légalité et l'honneur finirent de me mettre au ban de cette société en déliquescence où la masse meure pour le plaisir et la richesse de quelques uns.
Aujourd'hui je hante ces mers et cherche le moyen de mettre en pratique ce projet fou de faire de tous les hommes des frères.
Mais pardonnez moi, ce discour fut fort long et le soleil tape dur, peut-être préférez vous retourner �  la fraîcheur de la taverne pour que nous nous désaltérions, vous pourrez alors me conter les richesses du savoir de votre peuple, j'ai ouïe dire que votre peuple détient les parchemins contenant l'antique sagesse de Bizance, mais peut-être ce que je nomme votre peuple n'est-il pas aussi uni que ma sottise me le fait croire."  

Seth écouta attentivement Guyde mais quand il entendit son ami parler de peuple, il se crispa et sera des dents et des poingts

* je n'ai plus de peuple, seule l'océan et le combat sont mes parents. La mort mon oncle m'a enlevé mon amour et mon peuple m'a supprimé son regret. Jamais je n'obeirai �  autre chose qu'�  moi même*.

Il souria puis alla �  son tour dans la taverne en suivant Guyde et une fois arrrivé commanda une bière.  

Carole-Anne se retourna vers Seth et Guy qui revenait dans la taverne...

- Ha... Vous revoil�  mes ami... Alors... Guy?... Ils sont bien ces navire?... Et vous Seth... Es ce que les caraïbe vous plaise? C'est une magnifique région du monde mais aussi dangereuse du �  la nature... Et les pirates... Je vous paie votre bierre...

"Mad Ethel" sorti de sa poche deux pièces d'argent... Elle but le fond de son verre d'eau et en recommanda un autre...  

Guyde s'assit sur une des chaises de la table de Carole-anne et sortit un parchemin de sa besace. Il se mit �  griffoner des plans de navire tout en répondant �  celle que l'on surnommait Mad Ethel:
"Eh bien je dois bien avouer que j'ai été bluffé par la conception ingénieuse de ces navires. 
Je ne pense pas que ces navirs résiseraient �  un vaiseau de ligne, mais ce sont de véritables petits bijoux, capables d'en remontrer �  la plupart de nos navire de haute mer. Voyez-vous les voiles et les gréments semblent faire corps avec la coque, je pense que cela est du � ...
Hum, excusez de devenir technique, l'ingénièrie navale fut ma première passion. Mais aujourd'hui je suis plus un ingénieur de l'humain en quelques sorte et la beauté et lé simplicité de la technique me manque. Bon, buvons �  la science et �  la liberté que ces navires nous offrent."  

Les trois pirates discutèrent puis l'heure de ce quitter arriva. seth retourna sur son chebex.
La taverne ne ferma pas ses portes, un autre tavernier vint remplacer son compagnon durant la nuit. Elle fut calme et fraiche, les faiseaux de lumière jaune venant de la taverne soratient par les fenêtres et de la porte ouverte au public.
Le soleil se leva et la vie reprit son cour


ps: voila comme cela la taverne redevient vierge de message et discution netre joueur et tout el monde peut y entrer  

La taverne accueillait peu de visiteurs le matin, en dépit de la soif notoire des pirates. C'est donc dans une salle pratiquement vide qu'une silhouette fluette entra. Fluette et petite, portant tricorne, chemise usée et corsaire de toile. Un petit poignard comme celui que les filles de joie cachaient dans leurs jupons, dans son fourreau, pendait �  la ceinture du personnage. Personnage qui, bien que taillé comme un adolescent très frêle, avouait son appartenance �  la gent féminine par sa démarche, point provocante ni timide, mais alerte, pétillante presque, et révélatrice. Elle n'avait pas seize ans. Le teint était hâlé, le pied léger, le regard espiègle et les manières simples : une sang-mêlée née sur l'île, fruit des amours d'une gourgandine et d'un pirate de passage. La jeune-fille courut presque vers le comptoir, frappa sur les planches et, d'une voix puissante pour ce corps mince, sans gène aucune, cria pour appeler le patron du "Rat qui pète", qui devait être dans la réserve : "Tavernier, du rhum ! Aujourd'hui est mon jour !"  

Carole-Anne descendit de l'étage supérieur tout en baillant, la chemise écrue mal rentré dans son pantalon, ses deux fourreaux enrobé dans la ceinture noir cirée qui les maintenait fièrement quand elles étaient attaché au hanche de la jeune fille...
Elle dévala bruyamment et d'un pas lourd les marche de la taverne faisant retourné les quelque rare client déj�  présent, sirotai leur rhum, whisky et tout autre boissons forte en si bon matin...

- Bien bonjour messieurs!... Mademoiselle...

Fit Carole-Anne en faisant une référence tel un gentilhomme ...

- une demoiselle en ces lieux ... Et si jeune et si belle... Permettez moi de me présenter...

La jeune femme déposa ses épées sur la table d'�  coté et souri �  la jeune demoiselle...

- Carole-Anne Del Pero, mère Française et Père Espagnol... Pour vous servir mademoiselle, je suis heureuse de ne pas être la seule dame présente ici... Puis je savoir votre... Nom?...  

Seth rentra dans la taverne, sa nuit passait �  faire la fête sur ses navires ne lui avait pas vraiment permis de se reposer. Il entra dans l'établissement par la porte déj�  ouverte et marcha pied nue sur le parquet de bois encore un peu frai de la nuit.

- Tavernier un vin et du pain! Commanda t il.

Un petit de marin arabe arriva, tous saluèrent leur capitaine et parmi eux le second.

* Heureux de te voir en pleine forme!
pas pour toi Répondit le second seth on joue aux dès?
 Avec joix mais je suis aps vraiment en forme excuse moi si je ne vai pas vite.*

Les hommes s'assièrent �  la table et leur commanda arriva, Seth paya avec un peu du reste de leur dernier butin, leur premier aux caraïbes, d'un navire espagnol.
Seth se dégagea la vue en mettant se scheveux long et noir en arrière et vit Carole qu'il salua  

La Brunette, un peu surprise par le salut de Carole-Anne, se découvrit de son tricorne, révélant un foulard bleu nuit, secoua ses boucles noires et lui répondit :
"Qu'importe mon vrai nom... Les gens en ont choisi des centaines pour moi. On m'appelle La Brunette, Cafard, et bien d'autres encore. Peut-être avez-vous entendu parler de moi. Je suis la petite protégée des filles du bordel des "Fifteen's et de Monsieur Henry"...
A l'entrée de Seth et de ses hommes, La Brunette, curieuse, demanda �  Carole-Anne :
"Oh... Qui sont ces hommes ?"  

- Moi je préférerai t'appeler la belle... Je trouve que ça te va bien...

Carole-Anne souri �  la jeune fille avant de se retourner vers l'arabe...

- Ho lui... C'est un ami, il vient de très loin... Du pays de shéhérazade, il se bat bien, il a un grand coeur... Mais aussi une blessure interne dont seulement le temps pourra le guérir ... Et moi, j'ai la même si vous voyez ce que je veux dire...

La jeune femme rendit le signe �  Seth avant de diriger son regard vers le comptoir toujours vide en caressant les pommeaux de ses deux épée...

- Bon! Tavernier! Il vient ce rhum pour la demoiselle!...

Fit elle en tapant du poing sur la table...

- Permettez moi de vous l'offrir, je vous en prie... Par contre en ce qui concerne des "Fifteen's et de Monsieur Henry"... Je ne vois vraiment point de quoi vous voulez parler, excusé moi de mon ignorance et de mon inculture...  

(En fait je me suis trompée avec mes guillemets, c'est le bordel "Fifteen's")
"Merci beaucoup, dit La Brunette, en fait je viens d'avoir seize ans et j'ai pris une décision... Le rhum ne m'est guère familier, les filles me l'interdisent. Elles disent que la boisson est l'affaire des hommes, qu'une femme trop abreuvée est un e proie et non plus un prédateur, et que ça n'est pas bon pour moi. Monsieur Henry est un homme très savant qui me raconte ses voyages... Un pirate admirable. Sans lui je crois que je ne saurais pas lire. Mais aujourd'hui, mes rêves de piraterie, j'ai décidé de les concrétiser... En fait je cherche une place comme mousse, malheureusement j'ai peur qu'on ne m'accepte pas... Les filles portent malheur, �  bord d'un navire... Ces hommes du pays de Schéhérazade, pourquoi sont-ils venus... Si loin ? Combien de temps restent-ils ? Est-ce qu'il est question d'une alliance avec je ne sais qui ? Et puis... Sont-ce vraiment des pirates ?"  

- Tu sais, la belle, si tu veux commencé avec le rhum... Va y mollo car... La première fois, je m'en rappelle bien, même trop bien... hé hé... Un bien mauvais souvenir hé hé... Sinon, la belle, tu as vraiment de la chance de savoir lire, moi je ne sais point lire... non...

Carole-Anne poussa un long soupire avant de reprendre la parole...

- Moi je suis déj�  engagé par un capitaine mais... Un jour, je serai capitaine... Et je vous promet de vous prendre sous mon aile... Mais pour le moment, je ne peu que vous souhaiter bonne chance la belle... Sinon, mes ami, si ils sont ici c'est plus par... "Choix personnel", une alliance je l'ignore mais en tout cas, ils vont rester ici pour longtemps, même voir jusqu'�  leur mort si ce sont de vrai marins...

La jeune femme fixai toujours la Brunette...

- Moi, j'ai 19 ans... C'est jeune... Et vieux pour une pirate... Beaucoup ont eu une vie très courte... Une femme, dont j'étais très lier, est morte il y a �  peine deux moi... Elle avait 24 ans... Mais, juste une question un peu... Plus intime, mais que fessiez vous dans un bordel la belle?...  

19 ans ? C'était bien peu, se dit La Brunette. La prendre sous son aile ? C'était une offre tellement généreuse... Quant �  la question, elle ne s'en offusqua point et répondit simplement :
"Et bien... J'y suis née. En vérité ma mère est une femme de petite vertu, comme on les appelle. Sans honneur et sans foi... Et je ne connais pas mon père. J'ai toujours vécu ici... J'ai grandi dans une maison de plaisir. Et je ne compte pas y rester. Si un jour vous êtes capitaine, vous voudriez bien de moi ? Je vous suis extrèmement reconnaissante... Vraiment. Et au fait, qui était cette pirate dont vous parlez ? Ne s'agit-il pas de... De celle qu'on appelait la Tribade ?"

Voyant les yeux de Carole-Anna se voiler, La Brunette réalisa soudain �  quel point elle avait manqué de tact.

"Oh pardon... Je suis désolée, je suppose que vous ne souhaitez pas en parler."  

- Elisa...

Murmura Carole-Anne qui mit sa main sur l'épaule de la jeune fille, visage bas, "Mad Ethel" comme on la surnommait dit...

- Ne soyez pas désolé la belle... Vous ne le saviez pas... Et comme son surnom l'indique, �  cette femme...

La jeune femme se rapprocha plus de la Brunette pour lui murmurer sans se faire remarquer...

- C'était bien plus qu'une amie pour moi... Si vous voyez ce que je veux dire... En parlé me ferai du bien... Mais me ferait également du tort, mais c'est ça la piraterie, la liberté a un prix...

Carole-Anne fixa les yeux de la belle, puis lui sourit...

- Vous la connaisez?... Bon! Et il viens ce rhum pour finir chien galeux!...

- Oui... Oui... J'arrive, j'arrive...

Fit une voix résonnante venant des sous sol de la taverne...  

"Oh, non, je ne l'ai jamais rencontrée, mais on en parle beaucoup. Pour les entraineuses du "Fifteen's" les tribades sont une curiosité, mais elles inspirent plus de dégoût que de fascination... Mais vous savez, l'être humain est ainsi fait, la différence lui fait peur et l'intrigue en même temps..."
La Brunette se sentait quelque peu mal �  l'aise. Ainsi, elle avait en face d'elle une conquète de la "terrible" Elisa ? Qu'en penser... Ne lui avait-on pas dit de fuir les tribades ? Cependant Carole-Anne ne lui inspirait aucune méfiance ni aucune peur. Que dire ?
"Euh... Vous savez, hésita La Brunette, �  voix basse en jouant avec une mèche de cheveux, je n'ai rien contre les tribades... Mais... Je trouve ça juste un peu... Comment dire ? Etrange."
La Brunette but d'un trait le verre de rhum que le tavernier venait de lui servir, sans quitter Carole-Anne des yeux.  

seth s'approcha des deux femmes. Souriant mais sale, depuis seulement une journée qu'il avait posé le pied sur une terre depuis sa traversé de l'océan atlantique, donc se laver n'étais pas son occupation principale, comme beaucoup de marin.

- Bonjour Carole! Bonjour madame? Demanda t il �  l'inconnue et sans même attendre la réponse il se retourna vers Carole anne et la regarda.

-Une question. Les pirates sont bien acceuilli ici je crois?  

- Étrange?... Ha ha ha ha!... Si vous le dite...

Carole-Anne se mit �  rire en entendant ce mot... "étrange"... Puis, la jeune femme se tourna vers le tavernier et lui ordonna de lui apporté également un verre de rhum...

- Et oui... C'est ça notre différence, elle fais fuir, pourtant, qu'avons nous fait de mal?... Je ne savait pas qu'Elisa étais un fameux débat au sein de votre "communauté"... Enfin bref...

Le maître tavernier apporta enfin sa boisson tan attendue...

- Ho tien?... Seth?... Oui, oui... Ici n'ayez crainte, c'est une ville dirigée en quelque sorte par des pirate...  

"Ca ne doit pas être très facile pour une tribade de trouver... Euh... Une amie." dit La Brunette. Puis elle ajouta précipitamment : "Sans vouloir être indicrète bien sûr !"  

- Non... C'est vrai... Mais avec Elisa... Il faut dire que j'ai eu de la chance... Beaucoup de chance...

Puis, Carole-Anne lui sourit en ajoutant...

- Voulez vous un autre verre de rhum... Pour que nous trinquons �  l'amitié et �  la flibuste?...  

"Volontiers, répondit la Brunette, mais il ne s'agit pas de prendre une cuite..."
S'imaginant la tête des filles du bordel qui la verraient arriver émêchée, elle éclata de rire.
"Ha ha ha ! En fait, je crois que je n'oserais même pas rentrer si je bois trop... Peut-être même que je n'y arriverai pas, en fait. Après tout, il faut bien que je quitte la maison un jour ! Si ce n'est pas ses habitantes qui m'en chassent..."  

- Ha ha!!! Si vous êtes cuite après deux verres... Ha ha...

Carole-Anne fit une tape amicale �  l'épaule de la jeune fille, elle lui souriait toujours et bu une gorgée de rhum...

- Et pourquoi pas quitté la maison maintenant, si vous ne voulez pas y resté, envolez vous! Car, franchement, je t'imaginai mal dans un bordel... Tu es bien trop belle pour cela...

Sur ce, "Mad Ethel" lui fit un clin d'oeil...  

"Vous... Tu es très gentille, j'aimerais vraiment partir, mais pour aller où ? La Tortue n'est pas si grande en plus... Enfin je trouverai, j'aviserai, en fait j'ai souvent rêver de me retrouver dans ce genre de situation, on verra comment je m'en sortirai... Et oui, il me suffit de peu pour être cuite... N'oublions pas que je ne bois jamais ;) qui plus est... Je ne pense pas être le genre de personne très résistante... Haha !"
La Brunette prit son verre en riant et en bu quelques gorgées. Le premier verre qu'elle avait bu cul-sec commençait �  se faire sentir...  

- Allé où... Mais où tu veux! avec moi si tu veux... Vous croyez que je suis arrivé comment ici... hum?... Mmmm... Je vois que pour toi le rhum est un peu fort ha ha...

Carole-Anne s'installa �  la table, l�  où elle avait mit ses deux épées...

- Allons, assied toi donc, c'est ton dernier verre, mais âpre! De l'eau ok?... Ha ha... Mais... J'aimerai tan savoir ton nom... Enfin, si ça te dérange... tu n'es pas obligée...

La jeune femme vida son verre en attendant une éventuelle réponse de son amie...  

La Brunette s'assit et hésita un instant avant de dire :
-Soit... Après tout, autant le dire. Mon prénom est Maria, personne ne l'utilise, la vérité est que je n'ai pas de nom de famille... Je n'ai pas de père, enfin personne ne sait qui il est, ma mère descend d'esclaves libérés, elle a sûrement un nom mais même moi je ne le connais pas. Je suis juste Maria dite La Brunette ou Cafard, née sur la Tortue, fille de Zita. Il y en a qui disent que mon père est un Anglais du nom de William Martin qui serait mort dans une bagarre �  Nassau mais ma mère dit que ce n'est pas lui, et je ne pense pas qu'elle puisse se tromper l� -dessus.

Elle avait prononcé sa dernière phrase avec une sorte d'amertume et se tut. Puis elle repensa �  son projet de fuite.

-Avec vous euh toi ? Ma foi... Pourquoi pas ? Mais je ne voudrais pas t'importuner... En plus... Enfin tu es engagée par un capitaine, sur un bateau, non ? Je ne pourrai pas...  

- M'importuner... Mais non bien au contraire, je crois plutôt que c'est moi qui t'importune, mon capitaine voudra bien, pour ça, ne t'inquiète pas hé hé... Non, mais c'est vrai que je t'importune, désoler mais je crois que c'est votre beauté de jeune fille et de jeunesse éternelle qui m'aveugle...

Carole-Anne cessa de sourire pour prendre inconsciemment un air mélancolique, elle se tourna vers le tavernier...

- Tavernier! Apporte moi Une bouteille de rhum!...Et que ça saute...

Elle poussa un soupir tout en pensant à Elisa...

- Je suis désole pour votre père, qui il soit?... Mais, moi je ne suis jamais allé sur Nassau, Elisa, elle oui, elle aurai pu dire si oui ou non c'était ton père?...  

Seth tenta de suivre la conversation mais les femmes parlaient trop vite pour qu'il comprenne tout. Puis d'un coup il s'écria

Silence!! Les deux femmes sursautèrent et Elisa murmura surprise
- Mazette ca c'est du son!!!
Le calme revenu Seth prit son verre le leva et dit
- Un toas heu... un verre �  notre rencontre! seconde journée aux caraïbes j'ai rencontré deux charmantes personnes et tué une cinquantaine...
Seth vida son verre et toussa la gorge en feu.
- vous avez des projets ou autre? mes navires sont au retour mais mes hommes veulent de l'action?  

la brunette, quelque peu intimidée, répondit �  Seth :
-Euh désolée, je ne peux pas beaucoup vous aider, l'action n'est pas encore mon rayon... Hahaha je ne suis jamais montée sur un navire, je crois bien. Mais moi aussi, un peu d'action me ravirait...  

- Savez vous vous battre?? je peux vous apprendre.
mais je n'ai pas de place sur mes navires pour une femme...

Seth invita les duex femmes �  s'assoir �  sa table avec ses hommes qui jouaient aux dès ou mangaient.


ps: aucune imagination pour descrire ou autre aujourd'hui... du flood rp trop nul de ma part  :'( :-  

- Bha... Pour moi non plus je crois pas qu'un peu d'action ne me fera pas de mal...

Le tavernier apporta enfin la bouteille de rhum �  carole-Anne qui, précipitamment, la déboucha avec ses dent et en bu une grande gorgée...

- Burb... Désolé...

La jeune femme poussa encore un soupire puis sourit, un bien mince sourire forcé...

- Moi, mon capitaine est partit, donc jusqu'�  présent je me trouve sans rien... A part avec assez d'économie pour m'acheter un sloop... Mais bon... Je suis un peu trop attaché �  mon cap'taine... Et je serai tellement ravie qu'une si joli demoiselle monte �  bord de "L'insaisissable"...  

La Brunette jubilait.
-Oh, oui, je sais me battre, enfin me défendre du moins... Grace �  Monsieur Henry ! dit-elle, enthousiaste. En fait il m'a appris �  manier une épée... Enfin juste les bases quoi...  

- Mais... Si vous voulez... Je peux vous en apprendre d'avantage la belle...

Fit Carole-Anne en reprenant une gorgée de son rhum...

- Haaa... Il est vraiment bon... C'est bon l'alcool quand on est triste parfois... Pour nous, les pirates, il arrive que ces boissons deviennent nos seul amis...  

Seth souria en entendant la femme qu'il ne connaissait pas.

- L'attaque est la mailleur défense madame. Je peux vous en apprendre plus mais cela sera long et fatiguant.

Un des hommes de SCar, un homme un peu gros avec un barbe noire tressé, un foulard bleu azur comme ceinture où un superbe cimeterre tenaint. Son turban rouge avec une plume et ses vetements laissaient supposer qu'il était riche. Il salua les deux femmes et parla en arabe.


* Seth combien de temps on va rester ici.
-Le temps de se ruiner et de devoir prendre la mer...
- comme toujours mais ici on est mal vu.
- tu as une meilleur idée.
- Oui! tu te rappeles l'homme qui t'a apprit la langue d'ici... avant de mourir il nous a parle d'un trèsor et d'un île
Seth fronca les sourcils et répondit
- Sans doute et?
- On pourrait aller le chercher
- pas bête!! retourne sur "le faucon" Sultan prince!!*

L'ancien sultan salua son chef et remit sa cape sur ses épaules et quitta la taverne seth rapidement se tourna vers les femmes.
- J'ai un travail �  vous proposer... Et si voulez madame vus pourrez aller sur mon chebex...
Madame, votre nom je ne l'ai pas entendu
   

La Brunette réalisa qu'elle avait oublié de se présenter.
-Et bien... Je suis La Brunette. De la Tortue... Et je n'ai pas l'honneur de connaitre votre nom non plus...  

- Écouté La belle... Je ne vais pas vous importuné longtemps encore... Si vous voulez je vous laisse tout les deux et... Et... Et puis voila... Si vous avez besoin de mon aide et... Et surtout Maria, si vous avez besoin de quoi que ce soit, appelez moi... Je prend l'air dehor...

Sur ce, Carole-Anne se leva et se dirigea vers la sortie du bâtiment, sur les marches de la taverne, la jeune femme s'assit, déposa sa bouteille �  moitié consommée �  coté d'elle, puis, croisa ses bras et mit sa tête dedans ... On pouvait entendre qu'elle sanglotait...  

La Brunette saisit rapidement que Carole-Anne n'allait pas très bien. Voulait-elle être seule ou avait-elle besoin d'elle ? Sans hésiter, La Brunette, sans prendre le temps de s'excuser auprès de Seth ni de lui faire part de ses intentions, se précipita �  la suite de Carole-Anne. Quand elle vit la jeune femme assise par terre, elle n'osa tout d'abord pas prononcer un mot ni faire un geste, puis elle se décida �  parler :

-Est-ce que tout va bien ?  

- oui... Oui tout va bien rassure toi... Sniff...

Carole-Anne redressa son visage, elle renifla bruyamment avant d'essuyer ses larmes qui perlaient sur son visage et son nez pour ne pas que Maria voie qu'elle pleurait... La jeune femme serra ses poing puis ses dents... Mais replongea dans ses bras croisé...  

Seth regarda la Brunette et répondit
- "L'étrangers" c'est nom surnom... Et vous n'avez pas �  me demander pourquoi regardez moi vous avez la réponse.

Alors mes deux amies partante pour un voyage??

Seth vit la triste Caroel et regarda un peu géné partout. Il appela un de ses hommes pour lui demander de ramener une chicha.
Il espèrait que cette découverte pour Carole-Anne lui renderait un peu de sourire. Seth respira calement et regarda le port par la porte laissez ouverte. Les bateaux européen étaient imposant et grandiose mais pas rapide.


ps: non pas du tout Elisa
laissez c'est pour répondre �  un message hrp d'Elisa que j'ai supprimé...  

La Brunette regardait Seth anxieusement. Elle s'inquiétait pour Carole-Anne et se demandait ce qui avait pu provoquer ces pleurs soudains. Il ne pouvait pas s'agir de l'alcool ! Le fait est qu'il aurait été génant de la questionner sur les raisons de sa tristesse mais que sans les connaitre il était probablement impossible de réussir �  faire cesser les larmes de la jeune femme.
-Que faire pour Carole-Anne ? lui demanda-t-elle à voix basse.

Seth sembla hésité puis alla parler à Carole anne.
- Sans paraitre génant et de m'occuper de se qui me regarde pas. Je peux savoir la raison de votre comportement Carole???

(P.S : Scar j'espère que tu donnes les ordres en Français sinon mon post ne colle pas...
non seth est l'un de strois seul hommes de son équipage �  parler francais... et quand je met * blabla* le blabla est en arabe... donc seth parles toujours �  ses hommes en arabe
mais erreur corrigé)

pps: je me suis permis de poster mon message dans le tien pour éviter un flood rp
ppps: la taverne ne se passse que le lendemaind e l'arrivé de seth donc dans le passé vis �  vis de nombreuse taverne (seth �  encore ses navires...)  

- Non... Non... Ce n'est rien... C'est juste que... Heu...

carole-Anne avala sa salive avant de reprendre une gorgée de la bouteille qu'elle bu cul sec...

- Elisa...

Murmura la jeune femme qui regardait dans le vide la rue bondée de flaque de boue...  

La Brunette n'avait jamais perdu d'être cher. Elle n'avait jamais vu son père et ne s'attristait donc pas plus que ça de ne pas être auprès de lui ( il était peut-être un homme exécrable, d'ailleurs on pouvait déj� , sans savoir qui il était, lui reprocher de fréquenter les maisons closes) cependant elle se sentait étrangement vide et pensait comprendre ce que ressentait Elisa.
-Elle vous manque n'est-ce pas ?  

- Terriblement... Elle me manque terriblement...

Carole-Anne ne dit plus rien... Elle laissa ses larmes couler sur ses joues... La jeune femme prit la bouteille et la lança contre le mur du bâtiment en face la faisant se fracassé en mille morceaux avant de se réfugier encore une fois dans ses bras croisé sur ses genoux...  

Un petit groupe entra dans la taverne teant deux étranges objet, les arabes sourièrent et s'exclamèrent de joix en voyant les deux chichas. L'une �  trois embout fut posé sur la table au milieu des matelots. Autour els hommes de la taverne regardaient cette curiosité orientale. L'autre �  seulement deux embouts fut mise entre Seth et les deux femmes mais aussi "L'Imam déchu" qui venait de rentrer. Ce dernier salua Carole-Anne.

- bon je vais vous expliquer dit avec impatience l'imam. nous allons allumer un bout de charbon ici cela va chauffer l'eau et donc la faire évaporer avec l'essence de fruit et le peu de tabac quil y a dedans. nous respirons cetee vapeur comme ci. L'homme en noir respira avec l'embout pour montrer aux femmes.
Puis un homme avec un tison rouge alluma le morceau de charbon.
- Laissons l'eau chauffer Ordonna calmement Seth, qui se tenait vautré sur le table en finissant son repas.
Les deux hommes entrèrent dans une conversation en arabe au sujet de l'idée de leur comagnon.  

-Oh... fit La Brunette. C'est bizarre ! Regardez, Carole-Anne ! A vrai dire je n'ai jamais consommé de tabac mais ceci a l'air plutôt amusant !

Elle observait l'objet avec intérêt, et aussi avec émerveillement : il était richement décoré, celle que l'on appelait Cafard était totalement étrangère au luxe...  

Carole-Anne regardait �  peine les deux étrange objet, elle étai toujours en larme et ne pensai plus qu'�  une seule chose, enfin deux... Elisa... Et mourir...

- Non merci... Je n'en ai pas envie... Elisa... N'aimait pas le tabac...

les deux épées de la jeune femme était toujours sur la table, elle les saisit, toute les deux et en dégaina une, elle étai tranchante comme un rasoir, mais pas devant la belle... Pas devant la belle... Elle est trop jeune... Et trop belle... Sa beauté lui aurait elle donné ce chagrin "d'amour"... Peut-être... Peut-être... Carole-Anne ne pouvait contrôler son coeur et elle le savait... Elle le savait qu'un jour ou l'autre elle allait souffrir...
"Mad Ethel" regarda la sortie... Se dit que cela ne serait pas raisonnable... Mais... Elle pouvait, elle avait la chance de pouvoir la rejoindre au paradis...  

La Brunette avait suivi Carole-Anne des yeux. La voyant sortir son épée, avec cet air toujours empreint de tristesse profonde, La Brunette fut prise de panique. Un instant elle demeura figée, avant de bondir sur ses jambes. Sans réfléchir elle sortit son poignard et le brandit devant la tribade, en tremblant légèrement.

-Qu'est-ce que vous faites ? Lachez ça ! s'écria-t-elle.

Puis elle se ressaisit et baissa son poignard.

-Enfin... Etes-vous folle ? Vous vouliez vous donner la mort ?  

- oui... Tu as tout comprit petite...

Carole-Anne regarda le poignard de la fille, puis son épée, puis le poignard...

- Si tu veux le faire �  ma place... Tu... T... Tu peux... je ne t'en empêcherais pas et... J... Je... J'aurai moins de mal pour mourir...  

La Brunette, horrifiée, rangea son poignard.

-Jamais je ne ferai une chose pareille ! Allons, Carole-Anne, vous êtes une pirate, une sacrée bonne-femme comme dirait Monsieur Henry, ne soyez pas lâche ! Elisa n'est plus, et vous la regrettez comme de nombreux autres, même si elle représentait énormément pour vous... Mais la vie poursuit son cours, avec ses petits bonheurs qui la rendent belle... Vous devez faire face... Dites-vous que le monde ne vaut pas la peine de mourir... Vous avez la chance d'être l� , ne la gachez pas... Gardez l'espoir...  

- La chance... Quel chance?... La chance de souffrir ... La chance de me cacher pour mes différence ?!... Non... Moi je n'y crois pas...

Carole-Anne se rapprocha d'avantage de la jeune fille, faisant sentir son halène d'alcool...

- je ne veux pas que tu voie cela... Laisse moi, c'est la seule solution...  

Seth entendit Carole se plaindre, il leva les yeux au ciel et se mit derrière elle, D'un coup il lui envoya un ofrt coup de pied qui la projeta sur une table et sauta juste derrière elle avec sa dague. Il la ,planta devant carole-Anne qui hurla de peur. Toute la taverne se leva ses arabes armes au poingts prét �  protéger leur chef et les européens pour tuer un étrangers.
Seth murumra �  l'oreille de la desepéré.

Que crois tu que la mort va te donner.... tu n'ira nul part, se donner la mort ets un signe de faiblesse tu ira en enfer et tu dis qu'elle t'attend au paradis... CEla sera encore plus dure pour toi!
Imam se leva et parla lentement et doucement.
Oublie la c'est presque  un ordre, notre chef est dans le même état que toi mais c'est pire pour lui car il est le seul responsable de la perte de la femme qu'il aime. Mais pleur t il partout comme un faible? Tu es lache c'est tout. Tu espère faire croire que tu meurs par amour alors que tu meurs par lacheté, lache devant la vie et ses épreuves. Si tu veux honnorer une personne que l'on aime, et qui est morte, il faut l'oublier et vivre dignement dans sa mémoire.
si tu pleures partotu en te disant être accablé de tout les maux on peux te rire au nez. Tu n'as même pas la capacité d'imaginé ce que nous avons enduré durant notre long voyage, tout cela �  cause de l'amour... Pret �  nous entretuer et nous manger mais nous ne l'avons pas fait le voila nous y sommes arrivés. Et notre calvaire n'était que prietre chose car cela n'était qu'un petit moment comparé �  la vie des esclaves.

Si tu veux prouver que tu es forte et digne oublie la!
Seth se releva et cracha par terre.
-Sinon crévé mais n'espère pas que l'on te pleura! on te brulera afin que tu ne connaise pas la vie de l'au délas! et partout nous raconteras ta faiblesse et lacheté.

L'Imam fit un signe �  Seth pour qu'il se calme... Seth retourna �  la chicha qui était prête, les hommes dans la taverne voyant de quoi il s'agissait retournèrent �  leur occupation. L'Imam tendit la main �  Carole-anne pour l'aider �  se relever.
-Tu n'interesse personn eici, regarde! tu passes un moment délicat comme nous mais nous pourrons t'aider �  le passer si tu acceptes de le passer et de ne pas te maudir tout le temps. Je te donnes qu'une seule chance.

les arabes laissèrent Imam et carole totu seules, ils commencèrent �  tirer sur les chichas tout en discutant et riant, la fumée envahissait la pièce.


ps: serieusement Elias oublies Elsia... cela comemnce un peu �  m'énervé que tu l'as cite partout  comme tu peux le voir �  travers Seth.... Les pirates savent que la mort est un partie de leur vie on ne pleure pas les morts juste les honnore de souvenir de temsp en temps. Scar qui étais plus qu'aimait n'est même pas citer ni pleuré, on l'a honnoré et maintenant on retourne au présent le laissant chez les morts.
   

La Brunette s'était écartée et collée au mur, figée, alors que Seth avait bondi. Après son sermon et voyant que les hommes s'écartaient, timidement elle s'approcha de Carole-Anne.

-Carole-Anne... Je vous assure que la vie est belle, mais vous êtes encore trop �  vif pour le voir. Faire le deuil de quelqu'un c'est guérir, et vous empêchez votre blessure de cicatriser en remuant le couteau dans la plaie... On ne vous demande pas d'oublier mais de vous ressaisir, et de continuer �  vivre en vous disant qu'elle ne voudrait pas vous voir mourir, l� -haut, et qu'en pensant �  elle, qui n'a pas eu la chance de vivre, vous pourriez en profiter... Quant �  vos différences, qu'importe le regard des autres ? Ceux qui ne les acceptent pas sont des imbéciles, et leur jugement n'a aucune valeur. Allons, rappelez-vous de cette phrase : "it's not over 'till you're underground", il faut garder l'espoir jusqu'�  la mort...  

La jeune femme hurla de douleur quand Seth la plaqua sur la table, ses paroles, brûler son corps pour ne plus revoir Elisa... La prenait en otage, pas le choix... Vivre ou... Disparaître, choix restreins, mais, cela ne rassurai toujours pas Carole...

Mais quand Maria s'approcha d'elle... Cette belle fille... "Mad Ethel" la regardai de ses yeux emplit de larmes... Elle lui faisait trop pensé �  Elisa du �  sa beauté ...

Mais... Mais...

La phrase que venait de citer la jeune fille... Calma Carole-Anne... "it's not over 'till you're underground", il faut garder l'espoir jusqu'�  la mort... Elle était magique... Et si belle... Contrastant avec les paroles de Seth...

- La belle... Vous... Vous avez raisons... Oui... Et... et je m'en excuse profondément, mais je crois... Je vais faire le deuil d'Elisa... Sans pour autant l'oublier... Mais un amour, c'est dur �  oublier... Je ferait de mon mieux... Promis, au contraire, je me bâterai pour elle... Pour la vie... Pour l'espoire... Merci la belle...

Fit Carole-Anne en souriant a Maria...

- Je me bâterait pour elle...

Murmura encore une fois "Mad Ethel" qui se frottai le poignet que Seth avait saisit...

- Je crois qu'après cela, la belle... Je crois que je te dois une faveur...

dit elle en lui fessant un sourire charmeur, comme si elle la courtisait mais... Qui n'aboutira �  rien... Et elle le sait car elle le sent, tendit qu'elle jetait tan en tan un regard noir �  Seth...  

-Vous ne me devez rien, ou pas grand chose. C'est déj�  une faveur que vous m'avez faite que d'avoir ouvert les yeux... Une faveur, �  moi et �  Seth... Mais pourquoi s'est-il emporté ? Enfin c'est �  lui que vous devez la vie sauve, je n'ai fait que vous persuader un peu plus de demeurer parmi nous. J'espère que vous profiterez de chaque instant en mémoire d'Elisa... Mais l'incident est clos, je crois, venez, observons plutôt ce que vos amis ont apporté...

(Ouais je sais ça fait un peu la fille qui veut trop essayer le Narguilé XD ben quoi ?)  

- Heum... Moui avec plaisir...

Fit la jeune femme en se dirigeant vers la table avec sa nouvelle amie...

- Si... Bien sur que si, j'ai une faveur envers toi... tu peux me demander ce que tu veux... Il n'y a pas de problème tu sais... Et pourquoi s'est il emporté mon ami... Pour me protéger, je crois que c'est ça...

Carole-Anne regarda avec rêverie les beau cheveux de la belle... Elle ferma les yeux, secouant sa tête comme un refus et essaya de penser � ... "Autre chose"...  

Seth qui en entendant des histoires de ses marins avait retrouvé le sourir. Il invita chaleuresement "La brunette" a tiré un coup sur la chicha. Elle le fit avec plaisir.
La salle de l'auberge se remplit d'une fumée plus épaisse que celle d'hébitude mais le taverneiere ne dit rien car l'odeur était bien plus agréable. les rayons du soleil traversé par moment cette fumée grise tandis que certain marin commencait �  battre  du tambour sur les tables de bois, le second de Seth arriva d'un coup avec une Luth qu'il commenca �  jouer. L'ambiance était �  la fête. Les musiciens de la taverne, commencèrent �  leur tour �  jouer des morceux joyeux et rapide, tandis que les vieux loup de mer chantaient en coeur des vieille mélodies. Certain hommes commenaient �  danser sur leur tables, On entendit Plusieur tonnelet de bière s'ouvrirent et les chopes se remplir sans attendre.
un concour de buveur d'alccol fut mit en place par des anciens boucaniers �  la peau frippé mais bronzé et tiré par leur muscles.

- Alors l'idée de se joindre �  nous dans une probable chasse au trésor vous palis très cheres??
Seth sans même entendre la réponse leva les yeux en respirant la fumée et parla en arabe de sa voix grave mais plus doucement.

* Je me souviens la première que j'ai fait... Sur le teritoire de mon père en plein desert �  la recherche de trèsors de l'antiquité. Totu ses merveilles tu t'en rappelles
akbahnwesif?
Bien sur c'est l�  que nous nous sommes rencontrés et que j'ai décidé de te rejoindre.
- L'aventure!! rien de mieux pour faire une vrai vie!*

- Alros ? votre réponse excusez moi, des souvenirs...  

A ce moment la, la porte s'ouvrit laissant apparaitre un homme inconnu. Personne ne l'avait jamais vu auparavant, des cheveux noirs, salis par des semaines en mer, une cape tres longue laissant dans son sillage une odeur de sang et de poudre et une épée tres grande, assez inhabituelle dans le coin, les plus affutés auront reconnu un katana et dans son dos, caché par sa cape, un petit poignard. Tout les regards étaient posés sur lui, la musique s'arrêta. L 'homme nullement dérangé se dirigea vers le comptoir et d'une voix calme et posé dit :

Tavernier, une bouteille de rhum, vite !!

L'homme se fit servir, et se dirigea dans le fond de la taverne ou une semi obsucrité, aidée par la fumée, régnait. Les regards étaient toujours posés sur lui, il posa alors sa bouteille de rhum et son katana sur la table, fit apparaitre envrion 30 centimetres d'une lame d'un éclat et d'un tranchant incomparable et annonca de sa voix toujours aussi calme et posé :

Un probleme messieurs? Je vous en prie reprenez la musique

et il prit une grande rasade de rhum avant de se décontracter completement.  

  Un grand homme entra dans la taverne. Il ne se fit pas remarquer tout de suite,la tete cachée dans l'ombre d'un petit tricorne et le pas lourd,il parut d'abord un quelconque ivrogne venu se saouler,un simple marin d'eau douce. Il s'adossa au comptoir et poussa un long soupir. Puis il guetta la porte,a l'afft du premier venu,semblant attendre une personne. Et cette personne ne se fit pas tarder.
Son entree se fit largement plus remarquer que celle de l'homme. C'était un jeune homme essouflé qui avait ouvert la porte d'un coup de pied. Il avait des yeux penetrants qui commencerent a examiner la salle. Puis il reconnut l'homme et vint se poser pres de lui. S'ensuivit une longue discussions chuchotes,parsemée de quelques eclats de voix. Puis le jeune homme sortit,l'air renfrogné.
   L'autre marin put alors se decouvrir dans un souffle de soulagement. Le tavernier le reconnut tout de suite. Ces cheveux bouclés aussi clairs que ses yeux noisettes,Elias Walter,alias SilverFalcon gardait son habituel air imperturbable et nonchalant,presque ennuyé. Il sourit aux trois jeunes filles qui gloussait a cote de lui,s'extasiant et jettant des regards en coin au bel homme,puis les gratifia d'un regard froid. Il commanda un whisky et alla parcourir les allées de la taverne,sa bouteille en main.
    Son regard se posa sur la table ou se trouvait Carol Anne. Il sourit,content de voir une connaisance et s'approcha.
 

-Bien le bonjour. Ca fait un bail! Toujours aussi embourbée dans un petrin impossible ma chere amie.

Il appercut le regard que Carole Anne avait jeter a une jolie jeune fille posée a la table.

-Et toujours aussi fidele a ce sentiment idiot des simples humains,l'amour. Je le hais et il m'a causé pas plus tard que cet apres midi de serieux ennuis.

SilverFalcon tapota l'epaule d'un marin lui jeta un regard que personne ne vit et lui ordonna de donner sa chaise.Le marin,terrifié,s'executa en deblaterant des mots incomprehensibles dont "monseigneur" "maitre". Et ,sans prendre la peine d'etre invite,il s'assit a la table et but une grande gorgee de whisky. Il remarqua Seth qui le regardait etrangement.

-Mmmh,un pirate barbaresque? Salam'ou alikoum a sidi! S'miti Seth oula la?(qu dieu te benisse mon cher. Tu t'appeles Seth n'est ce pas?) Ana femti smit diel nt'a!(J'ai deja entendu parler de toi!)
Mais je suppose que tu parles notre langue d'apres les dires de certaines personnes.

Il enleva sa large cape mouillée,ce qui occasiona une forte odeur de tabac mouillé,de poudre et de sel. Puis, il se mit a l'aise.  

- ha! salut silver...

Fit Carole-Anne en sursautant...

- Je... Je... oui... je me suis laissée un peu allé sur... La... L'alcool... Et... Et voila Je...

"Mad Ethel" regardait toujours la jeune Maria assise �  la table voisine, avec envie et mélancolie...

- Fffff... Vous avez peut-être raison en ce qui concerne les sentiment mais bon... C'est un truc stupide que seul l'être humain et qui nous fait souffrir comme moi par exemple et... et et merde!  Bon, parlons d'autre chose sinon je sent que je vais encore craquer... Et... Heu...

Carole-Anne vira au teins blanchâtre...

- Heu... Où sont les... Latrines?... Burb...  

La Brunette contemplait sans aucune retenue les deux personnages qui étaient entrés avec fracas. Le premier au long sabre avait attiré tous les regards un instant jusqu'�  l'arrivée du second, que Carole-Anne semblait connaitre. Jusqu'�  la fuite de cette dernière, La Brunette n'avait pas quitté ce dernier des yeux, captivée par sa désinvolture pleine de noblesse et ses yeux froids et perçants. Elle se sentit terriblement troublée lorsqu'il posa sur elle son regard d'aigle, tellement fin qu'il lui semblait qu'il pouvait lire �  travers elle et tout comprendre en lui jetant un simple coup d'oeil. Pourtant il ne lui prétait pas plus d'attention qu'�  une mouche posée sur la vitre. "Silver"... Un bien curieux nom. La Brunette brûlait d'envie de lui adresser la parole mais quelque chose la retenait, et elle se contentait d'observer, que dis-je de fixer le nouveau venu avec déférence, avec un respect ouvertement proclamé par sa mine muette d'admiration.  

Ce pirate qui venait d'arriver juste apres notre homme l'intriguait, qui etait-il, il semblait etre connu ici et il connaissait la fille  blanchatre partie aux latrines. Notre homme avide d'aventure et intrigué par ce pirate alla au latrines pour questionner la pirate, un pirate malade est toujours plus apte a discuter. Il pousse la porte des latrines du bout de son sabre et annonce d'une voix claire :

Bonsoir !! Besoin d'un coup de main? Envie d'un peu de rhum? Hum, je me présente, capitaine Katana, je porte le nom de mon sabre, c'est plus pratique et vous? J'aimerai avoir des informations sur ce pirate qui vient de rentrer, pouvez-vous m'aider?  

Le premier des pirates qui était entré avait foncé aux latrines �  la suite de Carole-Anne. La Brunette, troublée dans sa rêverie, eut un sursaut et, sans savoir vraiment pourquoi, le suivit aussi. Elle l'entendit alors se présenter et demander �  Carole-Anne qui était ce marin �  la prestance incroyable qui était entré dans la taverne après lui. Se glissant �  ses côtés silencieusement elle dit :
-Bonjour capitaine ! - l'homme au sabre parut surpris, il ne l'avait pas entendue arriver - Je suis La Brunette mais je n'ai pas l'honneur de vous connaître... Peut-être pourrions nous faire plus ample connaissance autour d'une table ? Carole-Anne, moi aussi j'aimerais savoir qui est cet autre personnage étrange... Un de vos amis ? Et puis, allons-nous participer �  cette chasse au trésor proposée par Seth ?  

Carole-Anne revins enfin dans la taverne, la main au ventre suivi de katana...

- Hips... Heu... Je croit que... Je vais... Arrêter de boire pour aujourd'hui... Hips...Mmm... Merci mais je suis assez malade comme vous pouvez le constater Hips... Burb... Beuuuu... ça a faillit... Et!!!.. Et j'vous dirait rien! Que neni!!! Niet!

Après cela, "Mad Ethel" n'osa plus croiser le regard de la jeune Maria... Elle lui avait dit jadis, qu'elle tenait mieux l'alcool que la belle qui disait ne pas tenir l'alcool... Mais erreur, ce fut la tribade qui eu rendu tripe et boyau après �  peine trois chope de rhum...

- Bon... je... je crois que je vais m'asseoir...

Carole prit une chaise mais par malheur, elle s'assit �  coter tombant �  terre...

- Oups...

Maria, avec un Léger sourire aida la jeune femme �  se relever, elle lui tendit la main... Mais, "Mad Ethel" avec un sourire on ne peux plus pervers, mais rendu indifférente la belle...

- Aller Caro, relève toi et arrête de me regarder comme ça...

- Et... Hein... a oui... Hé hé, tu... t... Quand j'serai cap'taine, tu embrraquera... Embarquera sur mon navire et... J... j'te partagerai même mon lit avec toi s'tu veux... Sa t'intéresse?...

Pendant que la jeune fille riait bêtement, Silver lui fit un signe a la jeune femme de se taire pour ce qu'elle venait de dire sous le regard, tordu de rire de Katana...

- Arrêtez! Vous êtes folle, de plus! Vous intimidé cette petite nouvelle!...

Murmura falcon...  

Apres la surprise de l'arrivée de La Brunette, notre pirate se présenta a elle

Bonjour La Brunette, je m'apelle Katana, je viens juste d'arriver mais oui, allons autour d'une table.

Notre pirate, précédé de Carole-Anne qui ne se sentait toujours pas bien et suivi de La Brunette, se sentit bien entouré et assista a une scene qui le fit le tordre de rire. Ensuite, l'homme qui intriguait notre capitaine parla, et Katana décida de s'asseoir a sa table afin de parler a cette personne intrigante et du trésor dont La Brunette avait parlé. Mais tout d'abord pour ne pas paraitre pour un rustre il se leva et dit :

Tavernier amene nous plusieurs bouteilles de rhum j'offre la tournée a ma table. La Brunette je vous invite a vous joindre a nous. Excusez moi cher Falcon devant le refus de Carole-Anne je viens en personne, je m'apelle Katana. Votre arrivée m'a baucoup intrigué de plus cette histoire de trésor m'interresse savez vous quelque chose?

Notre pirate aida Carole-Anne et posa un verre devant elle dans lequel il avait mis une poudre blanche.

Buvez ca ira mieux apres
Maintenant profitez de ces bouteilles et discutons un peu si vous n'y voyez pas d'inconvénients  

SilverFalcon regardait d'un air amusé la scène,ainsi que La Brunette qui continuait de le fixer de ses beaux yeux. Il accepta de s'asseoir et but son rhum,tout en fixant de cet air moqueur la jeune fille deconcertée. Puis,vyant qu'elle n'allait pas oser lui parler de si tot,il enleva son chapeau tricorne,but une grande lampée de sa bouteille et approcha le maigre morceaude bois rapiecé qui lui servait de chaise de la Brunette.

-La Brunette ? N'est ce pas? Un pseudonyme fort bien choisi. Eh bien vous restez muette. D'admiration j'espere? Laissez de coté Carole,bien qu'elle soit tout ce qu'une femme reve d'etre,elle ne supporte pas tres bien l'alcool. Enfin. Etes vous tribade pour qu'elle vous regarde a ce point?
Dites le moi si je vous fais peur,je me tairais de suite. Bien que je sois pirate,je sais rester galant.
Mais pourquoi me regardez vous donc ainsi? Vous m'intriguez vous savez...

Il se remit en arriere,et murmura d'un air penseur.

-....peut etre trop j'en ai bien peur.....  

Seth discutait tranquillement avec ses amis sans se préocuper des nouveaux arrivant.
Quand silverFalcon lui parla en arabe il fut étonné et lui répondi. Mais soudain il s'apercu qu'il n'avait pas eut de réponse pour son excursion. Il se leva sur la table et frappa avec violence sur un poteau de gros bois, avec le plat d'une caserole.

Silence!! Tous ici...

* Chef regardé j'ai fait une quadruble six!! je vous ai battu!!

-Ta gueule!! cretin. Je parles

L'homme confut s'enfonca sur son tabouret afin de paraitre plus petit.
Seth marcha lentement sur la table, comme le faisait un défunt pirate scar. Il regarda l'assemblé puis de sa voix forte et puissante s'exclama.

- Nombreux d'entre vous cherche l'aventure la gloire et la richesse. J'ai pour vous l'aventure, de la richesse au bout et si tout ce passe bien la gloire retombera sur vous mais faiblissez, au moindre combat si il doit en avoir, ou trahissez moi et la mort sera votre récompense.
Je vais pas vous mentir même moi je ne sait où se cache le trèsor, donc me damné le pion ou me torturé en ces temps ne vous rapportera rien. Restons groupé et ensemble.
L'Imam lui chuchota �  l'oreil, alors que l'assemblé riait du ridicule de la phrase.

* c'est la même chose.
forcement...Dit Seth.
Puis il hurla pour obtenir le silence, tout en sortant l'un de ses cimeterres avec lequel il joua. Le bruit du fer fendant l'air, et des piedqs nus sur le bois furetn les seuls bruits dans la taverne durant trente secondes. Seth sauta de sa table et atterisa sur une autre en enchaiant sur une galipette, il finissa sa course au bout de la table carré en plantant son arme dans le bois.

- Si vous voulez l'aventuer faite le de mon coté ou mourez. Seth leva la tête pour observer les occupants de la taverne, et dégagea ses cheveux noir et long de ses yeux. Plusieurs européens applaudissèrent.
- Pour tout ceux qui veulent nous rejoindre, l'inscription est ici. Pour tous même els capitaine.

Seth montra avec son arme une table où se trouavit la chivha mais aussi L'Imam Déchu et le bourreau Medhi. un turc colossale, maitre d'équipage sur "le faucon", fière féloque sous le commandemetn de seth.

- L'étrangers" c'est comme cela que vous m'appelerez. fini l'arabe en allant �  la chicha et tirer un coup qui fut signe que la fête recommencé.
La musqieu reprit l�  où elle s'était arreté...



ps: pour ceux qui ne le savent pas... totu dialogue entre * * veut dire qu'il ets en arabe
et aussi peut d'entre vosu en rp peuvent parler l'arabe couramment -même aucun, c'était une langue quasi inconnu en europe et pire aux caraibes... et sur ce bon rp  :D  

La Brunette sursauta et devint cramoisie lorsque le dénommé Silver lui adressa la parole.-Oh euh... Non, je n'ai pas peur de vous... bredouilla-t-elle, manquant terriblement de conviction.
Hésitant un instant, elle réalisa ce que l'homme lui avait demandé et avec précipitation elle s'écria :-Euh non je ne suis pas une tribade ! Et euh... Je ne vous regarde pas... Euh...
La Brunette rougit encore plus sous le regard incrédule de Silverfalcon. Elle qui maniait très bien le mensonge d'habitude, pour avoir été élevée dans un univers plein de traitrise, se trouvait désarmée...
Heureusement pour elle, elle n'eut pas �  affronter les yeux du faucon plus longtemps, car "l'étranger" qui prononçait son discours retint l'attention de tous et lui donna un prétexte pour se dérober au regard inquisiteur de "Silver".  

- Pas... Pas tribade... a... Dommage... Je... A... Vous... vous êtes sur... A... Heu desoler la belle

Carole-Anne fut embarassée et prit alors un air encore plus triste qu'elle ne l'était auparavant ...

- A... Tavernier... Apporter moi... Un... Non deux bouteilles de rhum! Et qu'sa... S... Saute!!! Merde... Excuser moi... Je reviens tout de suite...

La jeune femme se dirigea vers le comptoir, tête bien basse et larmes aux yeux...

- Putain... Mais putain de merde... Je m'suis prise encore une gamelle... Je doit vraiment être conne pour agire ainsi avec les filles... Hips... Burb... Oups...  

Il se passa alors une chose étrange,presque amusante,si ele n'était pas deconcertante : SilverFalcon souria et rougit.
Il se sentit géné et détourna le regard,préféra couper la conversation pour écouter Seth. Il rendit a Seth son regard puis se racla la courage,sembla prendre son courage et se tourna vers la Brunette.

-Bien...eh bien...je vois que......ca vous dirait de participer a la quete? J'y vais,et si vous chercher un navire je peux.....enfin venez donc avec moi soumettre votre nom a Seth....si vous le voulez.

Il se tourna vers Carole qui les regardait d'un air jaloux mais amusé. Il lui jeta un regard noir et parla heut,pou qu'elle l'entende.

-Ah,cette pauvre Carole. Quelle desilusion!  

Le visage de La Brunette s'éclaira en entendant les paroles du faucon. Dans la seconde qui suivit elle baissa de nouveau la tête et rougit de plus belle.
-Oh... J'aimerais beaucoup y participer mais... Vous savez... Enfin je n'ai aucune expérience, même si je rêve de prendre la mer et... Enfin bon... Je n'aimerai importuner personne, surtout pas vous...
Puis elle se tourna vers Carole-Anne qui badait encore ;D.
-Carole, enfin... Vous ne vous intéressiez donc �  moi que pour me mettre en votre couche ? interrogea La Brunette avec un sourire en coin. Allons... Je n'y peux rien, je suis bien jeune mais je pense être sûre d'aimer les hommes... Je suis désolée, ma nature n'est pas celle d'une tribade... Soyons simplement amies...  

- Je... J'en ai marre!... je m'tire d'ici! je ne sais pas! Et pour la quête, je ne sais pas, je vais y réfléchir!...

Fit Carole-Anne avec colère et méprit, elle se leva violemment de sa chaise, la faisant tombée a terre avec fracas, "Mad Ethel" fusilla du regard le Faucon...

- Toi maraud tu la ferme! Et quand à toi la belle...

Dit la jeune femme avec plus de douceur... De mélancolie ainsi que de la souffrance...

- Si tu veux que nous soyons amies... D'accord, si tu veux... Mais sache que oui... Mon coeur s'est reposer sur toi et je n'en peu rien... Bon c'est pas tout mais... Je m'en vais, le temps que... Que je me remette de mes émotion, excuser moi...

Carole-Anne prit un tonnelet de rhum et... En courant sorti de la taverne, sans payer, la manche contre ses yeux pour égoutter ses larmes...  

   SilverFalcon sembla abasourdi pendant quelque secondes puis reprit ses esprits et parut desolé de la fuite d'Elisa,mais content de la réaction de la Brunette. Il se tourna vers cette derniere et lui sourit,lui tendit le bras et declama,dans toute sa splendeur retrouvée,sa noble allure nonchalante maitrisée et son regard percant.

-Allons donc inscrire notre noms chère  Brunette! Vous ne me derangerez en aucun point!  

La Brunette, qui hésitait une fois de plus �  se lancer �  la poursuite d'Elisa, se ravisa finalement, et pris le bras que le faucon lui tendait.
-Et bien... D'accord, lui répondit-elle, rayonnante. Au fait, comment vous appelle-t-on ?  

Carole-Anne continua �  marcher dans la ruelle elle s'installa sur une dalle en pierre bleue et laissa ses larmes couler, pensant �  Elisa... Et... A la jolie Maria...

- Merde... Je suis vraiment maudite... A présent, je comprend mieux la souffrance de ma bien aimée... tan pis...

Murmura t elle... Son tonnelet de rhum trônai toujours a coter de "Mad Ethel"... attendant d'être bu... La jeune femme poussa un profond soupire puis croisa ses bras pour se plonger dedant...  

-Hum,mon vrai nom est Elias Richard Wagner Du Mont Parvis,mais je le hais,Elias m'insupporte alors je ne sais quel titre plus soporifique qu'honorifique.... Mais appelez moi Silver ou SilverFalcon. Et vouss?  Je voux connais sous le nom de La Brunette,mais je suppose que ce n'est pas votre vrai nom?

Il se detachade la jeune fille au teint halé et se dirigea pour signer,puis la laissa passer,pour apposer son nom a l'expedition. Puis ils se dirigèrent vers leur table ou ils prirent place,toujours cet air ambiant de gene présent,mais les rougissements passagers des joues s'estomppaient peu a peu,laissant apparaitre les prémices d'un climat de confiance,d'amitié,peut etre meme plus.....  

Notre pirate, sorti prendre l'air se retrouva face a la pauvre Elisa seule, avec sa bouteille de rhum. Il decida de s'arréter et de discuter un peu avec cette nouvelle connaissance.

Re-bonsoir. Que vous arrive-t-il?

Apres un petit résumé, il décide de s'arréter quelques instants pour discuter un peu

Ne vous inquietez pas chere Elisa, Pour vous tribade, la mer etant un nom féminim, voila déja un amour qui ne vous laissera jamais tomber.Vous seule etes maitre de cette relation. Ne vous laissez pas abattre et repartez de plus belle.

Apres cela, notre pirate, sentant qu'il devait laisser Elisa seule afin qu'elle réflechisse disparu dans une ruelle sombre avec pour seul compagnon son sabre et sa cape, deux amis qui ne l'avait jamais laissés tombés contrairement a bon nombre d'autres.  

- La mer... Oui, c'est vrai... La mer... Mon plus belle amour...

Puis, Carole-Anne se tourna vers l'endroit où "Katana" avait disparut ...

- Merci l'ami... Merci...

Murmura la jeune femme, puis, elle fixa la bouteille qu'elle tenait dans ses main, elle se leva et la donna �  un clochard qui traînai �  l'ombre du soleil brûlant des caraïbe, ce qui fit son bonheur... "Par contre... Par contre... Pourquoi m'appelle t il tous Elisa???... Je... Je n'ait été que sa maîtresse, je n'ai pas l'immense honneur d'être cette grande femme... Enfin bref... Une stupide question au quel je ne comprendrai jamais le sens... Peut-être voient ils... Son esprit et son aura en moi... Voir son esprit ... Possible... Possible..." pensa "Mad Ethel"... Et pourquoi pas appelée "Elisa"... Magnifique surnom...

Pendant que Carole-Anne regardait la porte d'entrée de la taverne... Sans avoir l'envie d'y retourner...

- Bha... Je les sens bien tout les deux l� ... Je les sent bien... Pffff... Elle était si belle... Mais bon... Mes amours sont la mer... Et... Une femme que je rencontrerait un jour... Même voir un homme pour... Avoir un enfant... Mais je n'oserait pas lui briser le coeur, lui dire qu'au fond je ne l'aime pas autant que les femmes... Cela va être dur... Bon je retourne ou je n'y retourne pas?... Je leur demande pourquoi ils m'appellent tous Elisa ou pas... telle est la question?...

(hrp: desoler scar de parler encore d'Elisa, mais je vais le faire progressivement, je n'ai pas le choix car c'est pour que l'on comprène au moin un peu les origine de mon personnage, ses but, son caractere, encore désolé :'( :-* )  

Seth vit Carole-Anne sortir en trombe de la taverne, comme un trouble fête tout en parlant d'Elisa il dit �  l'oreille de son second.

* la lecon, ,va être dur pour elle...
- Oui dur et longue je pense Seth.
- Surtotu s'il va sur nos batîments car elle n'aura pas d'autre choix que de ce taire sinon, j'espère pour elle qu'elle sait nager.
- Si il sait pas, le spoissons lui apprendront.

les deux hommes rièrent. Le recrutement n'avais pas vraiment de succer, nombreux marin �  la mine patibulaire, vieille ou blessé voualient venir mais pas sans un capitaine de leur nation et non des arabes. Ils craignaient sans doute une trahison de la part des engageurs. certain pirate tentèrent de faire connaissance avec les arabes pour gouter �  la chicha mais comme peut d'être eux parler une langue commune, si l'Imam ou le medecin n'étaient pas present aucun conversation était possible.

Seth se leva et alla voir SilverFalcon. il posa sa main sur son épaule et l'autre naturellement sur la poignée de son couteau. Il lui souria

- Alors partant ou non? dite le vite nous partons demain à l'aube

Cela était faux mais cela pourrait accélérer la décission. il resta debout avec Silver.
   

ebouriffé, pas rasé , un marteau a sa sceinture, un homme entre dans la taverne, regarde autour de lui en plissant les yeux ce qui fait resortir encore plus ces rides acquise au grand aire.
d'un pas lent prend place a une table vide au plus sombre de la taverne.
il ne commande rien . pose son marteau de forme bizarre sur la table...
le regard dans le vide il attend ...
   

Seth vit cet homm entrer et rester dans son coin, la bouteil �  la main le pied sur sa chaise il appela l'inconnu.

- Viens te joindre à la fête l'ami!!
Présente toi!  

surpris par cette invitation , il mis un temp avant de ce lever ,repris son marteau et le remis en place a sa sceinture .
en silence il veint s'assoir et accepta le verre que l'on lui tendais .
il dit :
je suis darack ... ( ce nom n'etait pas vraiment le sien mais plutot sa nouvelle identité )
puis bu d'un trait son verre    

SilverFalcon jugeait l'homme,regardant du coin de l'oeil la frele adolescente. Il examinait Seth du regard autant que lui,les deux hommes livrant une bataille sans merci. SilverFalcon,toujours ses yeux fixes dans ceux de l'Arabe, sourit en coin et dit clairement,d'une voix maitrisée qui ne laissait passait aucune émotion,une voix pure....une voix de tueur.

-Votre rétputation est fondée mon cher. Ainsi donc voila le fameux regard percant de cet étrange personage dont les gens parlent,ce Seth,ce pirate qu'ont dit inteligent,cultivé,maitre de soi,un homme parfait en quelque sorte.

Devant le sourire moqueur de l'arabe,silver se detendit et sont ton se changea,se muant en un ton proche du degagement,un ton de discussion.

-Vous ne m'impressionez pas. Mais cependant,vous m'intriguez. Dans la vie,il y a trois sortes de categories : ceux qui donnent les ordres,les chefs nes,les grands hommes comme les manipulateurs,les fraudeurs ou les voleurs les meilleurs du globe. Il ya ceux qui executent sans broncher,des braves hommes,ou des assasins. Et il ya ceux qui subissent. Vous faites parti de la premiere categorie.
Vous etes un grand homme,le regard ne trompe pas. Mais vous etes dangereux. C'est pour cela que je veux vous connaitre.
J'accepte volontier cette expedition,au nom de SilverFalcon,capitaine d'une brigantine appelée L'Aigle de La Tempete. Pour les noms des marins,et bien mon second s'en chargera.
Bonne fin de soiree cher......ami? Non ce n'est pas le mot? Collegue? Confrere? Associé? Non je pencehrai plutot pour "bonne nuit". Les mots valent peu de nos jours malheuresement.
A la revoyure. Ah,au fait! La date du depart est scandée depuis tout a l'heure par un jeune marin arabe. Nous ne demarrons donc pas demain.
Autre chose?

Seth devint calme et détentu il prit l'embout de la chicha et la proposa à silver qui resta hesitant.

Je ne veux pas le nom de vos homme juste le votre et celui du navire...

J'ai cru l'avoir fait savoir....


ps: comme à mon habitude pour éviter le flood rp j'ai posté dans ton message silver.
Scar

   

-Tiens, répondit La Brunette �  Silverfalcon, nous avons un point commun... Moi aussi je hais mon nom... On m'a baptisée Maria mais je ne tiens pas �  ce qu'on m'appelle ainsi, si cela ne vous dérange pas je préfèrerais que vous me nommiez comme tout le monde le fait d'habitude : La Brunette ou Cafard... Il est étrange que votre surnom signifie "le faucon d'argent"... Bizarrement je vous trouvais l'oeil aiguisé d'un rapace.
Puis elle réalisa que ses derniers mots étaient plus ou moins insultants. Elle rougit une fois de plus.
-Euh enfin je veux dire... Ceci est un compliment !  

Carole-Anne se tenait debout, face a la taverne... Elle rentre ou pas... non... si... Non... "Et puis zut! Ce n'est pas un coeur qui s'emballe de jalousie qui va m'arrêter!"...

Poussant la porte violemment, trébucha en ratant la petite marche �  l'entrée, "Mad Ethel" se releva, gênée et fusilla Silverfalcon encore et toujours...

- Oui! Messieurs!

Fit la jeune femme avec enthousiasme et une pointe de... tristesse ...

- Je part �  l'aventure avec vous! C'est décider ... Mais, je n'ai point de navire... Que faire... Mon capitaine est absent, cela est bien dommage car il aurai bien aimer partir avec nous...

Carole se dirigea vers ses amis... Par chance sa chaise, sur la quel elle s'était assise dessus étai encore libre et l'attendais...

- Messieurs... Burb... Je puis vous dire que mon capitaine est un grand... Très grand homme... Enfin bref... Sinon, je m'excuse profondément de mon comportement... Je suis désolée sincèrement mais... échec après échec... amoureuse... Voila ce que ça donne, je me demande parfois pourquoi je me suis investi en pirate pour la... Burb... Liberté, or que... Je ne vit vraiment pas si libre que ça... Rhaaa... Et puis zut je la ferme... Je suis partante pour votre expédition ou je ne sait pas quoi la...  

Guyde, après avoir interrogé maintes personnes sur les quais afin de savoir qui rencontrer pour réparer son brick, finit par entrer dans la taverne du Rat qui pette.
La taverne était plutôt calme, tous écoutaient avidement Sangredios, le quartire-maître de l'Or Félin, faire un récit enflammé des dernières peripéties de son équipage. Guyde s'assit précautionnesement avec ses hommes. Il ne voulait pas déranger Sangredios, qui cherchera sans doute après son récit �  recrûter un maximum de nouveaux marins pour le brick, comme son poste le lui imposait. Guyde écoutait le récit de la bataille entre la frégatte et le brick. Bien que Sangredios ne soit pas un orateur avec une bonne technique, la passion qu'il y mettait et ses mimiques drôlatiques retenaient l'attention de tous.
Une fois le récit dramatique achevé, plusieurs marins payèrent �  boire aux malheureux hommes de l'Or Félin. Ceux-ci, malgrès l'amèe perte de leurs compagnons lors du combat, furent rapidement d'humeur �  festoyer, � célébrer le fait d'être encore en vie.
Guyde quant �  lui commença �  faire le tour des tables pour récolter des informations.
Arrivés d'Europe depuis peu, lui et ses hommes en avaient curellement besoin pour éviter que se reproduisent de si facheux drames. S'asseyant �  une table où se trouvaient des personnages �  la mise riche mais peu soignée, il leur offrit un cruchon et commença �  discuter:

"Le bonsoir Messieurs, permettez-moi de me présenter, Guy De Kervaleck, anciennement chevalier de Pont-Aven, et capitaine du brick libre l'Or Félin. L'un d'entre vous aurait-il une idée des causes de la mésaventure que mon équipage et moi-même avons vécu? Je me demande bien ce qui amena cette frégatte �  nous attaquer sans provocation, de même que qui a bien pu attaquer mes hommes sur cet ilôt juste avant..." (voir le post "un ilôt apparement tranquille")  

La taverne donnant directement sur les quais, on pouvait distinctement voir une flûte battant pavillon Français arriver.
Une fois débarqué, un homme mince et pas bien grand pour ne pas dire petit parla �  un matelot qui poussait un tonneau, celui-ci pointa le doigt en direction du "Rat qui pète", l'homme lui fit un signe de tête puis avança en direction de la taverne.
L'heure était encore matinale et les rayons rouges du soleil donnaient des reflets d'or sur la mer calme, le vent marin faisait bruisser les voiles et ramenait l'air salé du large.

L'homme rentra dans l'auberge marchant d'un pas souple, ses fines bottes de cuir sans talons ne faisant aucun bruit sur le vieux plancher, il avança vers le comptoir et s'arréta devant le barman.
Celui-ci passait un coup de torchon et n'avait sans doute pas vu arriver l'étranger.
L'homme toussota et le barman se releva en sursautant.

-Oui, que puis-je...
-Donnez moi un bol d'eau chaude et �  manger, répondis l'homme
sans laisser le temps au tavernier de finir sa phrase.

Il se dirigea ensuite vers une table dans un coin de la taverne, ayant une bonne vue sur l'entrée et le comptoir.

Il était habillé d'une tunique de cuir noir, d'une large cape qu'il avait ramené devant lui et d'une capuche qui dissimulait ses traits, mise �  pars une longue cicatrice qui lui parcourait le visage.

En s'asseyant, il ouvrit sa cape et l'on put apercevoir un étuit pour dagues de chaque côté d'une ceinture en cuir asser large ainsi que plusieurs autres, plus petites, le long d'une fine ceinture en bandoulière, ce système lui perméttait de pouvoir s'asseoir sans avoir besoin de quitter ses armes une seconde.

Après avoir été servi, il pris une petite besace accrochée �  sa ceinture et en retira quelques plantes pour les mettre dans le bol d'eau chaude puis commença �  manger tout en parcourant des yeux la grande salle et inspectant les nouveaux arrivants...

---

(16h45: p'tite mise à jour)

La taverne était particulièrement calme aujourd'hui, quelques marins sans capitaines buvaient ou jouaient aux dés, souvent les deux. Les plus costaud tentaient les bras de fer et d'autres étaient en compagnie de filles.
Même le tavernier c'était mis �  jouer une partie de dès, curieusement avec des catins, d'on l'enjeu, je vous laisse le deviner était assez spécial...

Silk en profita pour se détendre un peu.
Il prit un parchemin sur lequel était dessiné une cible simple qu'il accrocha �  l'aide d'une des dagues qu'il portait en bandoulière, recula de plusieurs pas, pris cinq autres dagues et commença �  les lancer sur la cible.

Les dagues filaient dans les airs avant de percuter la cible,
Celle-ci était doublée de cuir épais pour ne pas s'abimer trop vite.


Tout en lançant ses coutelats, Silk repensait aux raisons qui l'avait poussé �  quitter Saint Malo (hrp: voir présentation du personnage), aux longues journées passées en mer et bien sûr, à ce qu'il allait faire maintenant.
"Pour le moment", pensa-t-il
"Je me repose...on verra la suite plus tard"

Silk n'étend pas un gros penseur et vivant le moment présent, cela ne lui servait �  rien de se prendre la tête maintenant.
Il fera ce qui doit être fait en temps voulu.

Il continuait de tirer sur la cible avec une cadence régulière quand un badaud ayant sans doute un peu trop bu arriva dans son dos et lui dit d'un ton brutal :

-Hey, l'étranger ! s'ont jolis tes cure-dents.
Silk s'arréta net, gardant une dague dans la main droite
-Passe m'en un, j'ai du lard coincé entre les chicos !

A ce moment, Silk se retourna �  moitié, lui lançant un regard assassin. On entendit soudain un sifflement suivi d'un hurlement.

-Oups, trop bas ! fit Silk d'un ton sarcastique

Le reflexe du malheureux fut de se baisser vers son pied blessé, mais lui valu un coup de genoux dans la tête qui le fit basculer en arrière.
L'homme était sonné, son nez était cassé, mais ce n'était pas tant le choc de l'attaque que l'alcool ingurgité qui le faisait rester au sol.

Silk récupera sa dague puis se remit �  s'exercer, alors que les amis du pochard l'aidaient tant bien que mal �  ce relever.
Les clients de l'auberge se rendirent compte qu'il ne fallait pas juger un homme par sa taille.

Les discussions qui s'étaient interrompues lors de l'incident reprirent peu �  peu et la taverne retrouva son ambiance habituelle.  

Une seule avait stoppée ses paisibles conversations pour se précipiter sur le corps du malheureux. Ce fut au tour de la jeune femme de jeter aux fameux lanceurs d'assassins regards.

- Mélisande ! Mélisande ! conduit-le à sa cabine ordonna-t-elle

Elle se releva une fois que l'homme fut entre les mains de ses matelots et sa seconde. " A nous deux " songea-t-elle alors.

- Alors sa seigneurerie. On joue les jeunes premiers avec des cure-dents ?

Les pupilles de Thisbé cachées par l'ombre de ses paupières et qui semblaient regarder par en dessous lancaient des éclairs. L'individu qui venait de blesser Trompe-la-mort fiot un geste. Aussitot elle dégaina...

- Je ne vous ai jamais vu traîner dans les parages... La piraterie semble être pour vous une chose bien nouvelle...

 * Comme pour toi ma belle* pensa-t-elle * Mais ce n'est pas le moment de perdre la face*...  

-C'était trop beau pour durer, soupiras t-il

La jeune femme tenait fermement son sabre, elle n'avait rien �  voir avec le nilgaut
de tout �  l'heure.
Alors que Silk l'inspectait, il remarqua le doit en moins de la jeune femme, cela lui rappelait sa cicatrice, elle était plutôt belle, un peu plus grande que lui mais les talons devaient joué leurs part du travail.

-ton gars avait trop bu, il ma manqué d'respect, je l'ai remi �  sa place.

La jeune femme ne dessèrait pas la prise sur son arme et son regard noir et profond en disait long sur ses intentions.
Elle ne le laisserait pas s'en tiré comme ça

-Je ne cherche pas les ennuis, je suis fatigué et mes lames ne sont pas aiguisées, lança-t-il d'un ton neutre.

*Encore une boulette, mon passé me rattrape, je ne pourrait jamais avoir une discussion normal bordel* songea-t-il.
   

Guyde venait de descendre de la chambre qu'il avait prise pour la nuit et voulait commander un café chaud lorsqu'il se rendit compte que quelque chose clochait dans la taverne, tout était trop calme.
Remarquant soudain l'homme avec ses dagues et la femme armée qui lui faisait face l'éée haute, il poussa u profond soupir. Avisant un cruchon en terre cuite, il le lança entre les deux duellistes qui se regardaient en chien de faillence. Le cruchon attérit au milieu des deux et se brisa dans un grand fracas. Guyde haussa alors la voix et leur dit d'un ton peu amène:
"Demoiselle et vous Monsieur, si vous voulez regler un différent, je vous suggère vraiment de le faire en vérifiant lequel de vous deux saura coucher l'autre dans un duel de boisson. Sans quoi vous aurez tous deux affaire �  mon pistolet. Trop de mes hommes sont morts récement et je ne saurais souffrir de voir deux braves s'entretuer de si bonne heure !"
Se faisant, il avait déginer son pistolet �  rouet et il le braquait successivement sur l'un et l'autre des fâcheux qui avaient troublé son réveil. Puis baissant le ton il ajouta:
"Ceci dit si vous acceptez de remettre le règlement de votre querelle �  plus tard, je vous offrirais bien volontier un petit déjeuner afin que nous discutions de ce qui vous chagrine �  ce point et des informations récentes que j'ai recueilli hier."  

Thisbé qui ayant entendu les paroles de l'individu avait décidé de ne pas faire d'histoire, son équipage ayant aussi subit un carnage. Elle rengaina alors son arme lorsque Guyde lui pria de le faire. Et sourit au bonhomme avec une de ses expressions faussement joyeuse.

- Alors optons pour le déjeuner car si tout le monde joue �  impressionner les autres ceci n'aura plus de fin... souffla-t-elle. Puis, plus joviale : Mais que faites vous donc ici messieurs ? Et quelle est cette fameuse découverte ? murmura-t-elle plus bas...
   

Guyde, soulagé, s'attabla et fit signe au barman pour qu'il apporte �  manger. Puis, posant son trop grand chapeau, s'adressa �  la demoiselle qui l'avait rejointe:

"Je me nomme Guy De Kervalek, dit Guyde, et mon équipage et moi-même avons récement perdu plusieurs de nos chers compagnons dans une cruelle bataille contre une frégate inconnue au large d'un ilôt où deux de os braves furent tués par on ne sait qui. Autant dire que comme informations nous n'avions pas grand chose, mais j'ai entendu dire ici même hier soir que des tribus d'indiens caraïbes étaient en train de mettre les caraïbes �  feu et �  sang, pillant et détruisant les colonies européennes. Sans doute tout ceci est-il d'une façon ou d'une autre lié, car la frégatte �  laquelle nous n'échapâmes que par miracle était endommagée, peut-être avait-elle eu maille �  partir avec ces indiens. La question qui se pose maintenant est de savoir comment utiliser tout cela. Je ne sais ce qui vous pousse �  vous lever le matin, mais je rêve quant �  moi de fonder une nouvvelle république, égalitaire et fraternelle, où tous les hommes vivraient hors de la domination de leurs semblables. Peut-être que ces drames sont alors une chance, mais j'aurais besoin de plus d'informations, en auriez-vous par hasard que vous seriez prête �  partager?"  

Silk hésitait, ce n'était pas dans son caractère de se faire emmerdé sans rien dire mais il n'avait pas envie de tester l'habilité au pistolet du nouveau venu et sa proposition d'offrir le repas ne lui déplésait pas.

La jeune femme le pris de vitesse. Il pris son temps pour ramasser ses armes et pendant qu'il ramassait sa cible, les deux pirates et vraisemblablement capitaines commencèrent �  parler.

Silk écoutait tout en se raprochant, se roula une cigarette puis vint s'assoir �  côté d'eux.

-Ton histoire est intéressante, dit-il sans laisser le temps �  la personne questionnée de répondre

Sa tête était baissée et sa capuche, toujours rabaissée, masquait son visage de ses interlocuteurs.

-Pour ma part, je viens d'arriver de France où je n'était plus le bienvenu, dit-il en signe de présentation.

-Tout ce que je peux te proposer pour le moment, c'est de finir ton assiette...hum, mais si vous avez autre chose �  proposer l'un ou l'autre, je suis tout ouïe, enchaina t-il avant de reprendre une bouffée de cigarette.

hrp: désolé d'avoir mis tant de temps �  répondre mais j'ai quelques soucis avec internet.
veuillez agrées madame monsieur blablabla... ;)

---

(15/12/07 00h00 : mise à jour)

N'ayant pas put avoir plus d'information, Silk était monté se coucher, laissant les deux pirates boire et discuter entres eux.

Le lendemain, se levant de bonne heure, il remarqua qu'il était le premier �  se lever des trois.
Les autres ayant surement veillé très tard, ils devaient profitaient de la grasse matinée.

Il commanda �  manger et, ne voulant pas attendre le déluge avant de pouvoir proposer ses services �  l'un ou l'autre des deux capitaines, il décida de partir �  la recherche de nouvelles informations sur la fameuse attaque que Guyde avait subit et d'un employeur pour pouvoir continuer �  manger.

Avec un peu de chance, il ne tarderait pas �  trouver quelqu'un ayant besoin d'une bonne lame ou de retomber sur Guyde ou Thisbé, en esperent ne pas être dans le camp adverse.
Cette pensée lui fit esquisser un sourir, il avait déja vu des pirates mais ceux l�  semblaient differents. Au lieu de piller sans réfléchir, ils avaient l'air de vrément vouloir quelque chose. Quelque chose qui soit au dessus de l'or et des massacres.
Bien sur, il se doutait que tout les pirates des caraïbes étaient comme ça mais... il espérait quand même.

Ne connaissant pas la région, il demenda au barman une direction �  prendre.
Celui-ci lui indiqua Saint Domingue, une grande ville espagnole �  quelques encablures.

-Z'avez d'la chance mon gars, y'a justement un commerçant qui par avec une pleine cargaison de vivre et de munitions pour le fort français, dit le tavernier

Silk n'attendit pas plus longtemps. Il se trouva une place �  bord et se prépara �  passé quelques jours en mer.



suite dans les "Mers des Caraïbes" : "Voyage vers Saint Domingue"  

Guyde se réveilla tard ce mati l� , il avait discuté un certains temps avec les pirates, mais n'avait rien appris de particulièrement intéressant. Sans doute devrait-il passer un peu plus de temps dans cette taverne et sur le port pour obtenir plus d'informations. Cependant, son temps était compté. En effet, les réparations du navires avaient coûté cher et l'achat d'un canon de chasse �  affut plus long que des canons normaux avait sérieusement grevé les finances du navires. Le pot commun de l'équipage en avait pris un coup, et il leur faaudrait bientôt reprendre la mer et faire une bonne prise pour rééquiper leur navire, car ils avaient jetté leurs canonss �  la mer pour parvenir �  fuir la frégat et sauver leur peau. Désormais équipés d'un seul canon de chasse l'Or Félin devrait ruser ou bluffer pour prendre un navire un tant soit peu protégé ou armé.

Guyde ruminait ces pensées en ce matin clair �  La Tortue et espérait faire d'intérressantes rencontre, pourquoi pas un futur asocié. Après tout la jeune femme qu'il avait rencontré hier pourrait s'avérer une bonne associée si son navire était potable...  

Guyde pénétra enfin au Rat qui pette. Cel�  faisait des semaines qu'il attndait ce moment où les pirates pourraient souffler et établir un nouveau plan d'action.

S'arrêtant sur le seuil, Guyde observa longuement la taverne. Basse de plafond et fragile d'aspect, d'habitude le Rat qui Pette grouillait d'animation �  cette époque de l'année. Or, aujourd'hui, seuls les pirates descendus de l'Or Félin semblaient d'humeur festive et festoyaient bruyamment en  essayant d'entreprendre les serveuses et les filles �  la poitrine découverte qui hantaient cette taverne réputée aussi pour ses plaisirs.
Guyde fronça les sourcils, mais balaya son appréhension pour aller commander un pichet et de la boustifaille, avant de s'asseoir �  une table où quelques boucaniers, sans doute de retour d'Hispagniola, jouaient aux dés.

De son côté, Sangredios, après avoir examiné les clients et interrogé le barman sur les marins présents, alla se joindre aux autres membres de l'équipage en attrapant par la hanche une jeune métisse �  l'air coquin.  

Cela faisait huit mois que Seth n'était pas revenu dans cette taverne, hui long mois.
mais cela était dérisoire �  coté des quatre ans qui le séparaient de sa mer et de son pays. Jean et tom étaient avec lui. pas mécontent de s'en être sorti de leur derniers navire.

- allez Seth sourit un peu!! la gahe tout de même. Ricana Jean.

ils prirent une table, ils étaient recherché dans Léogane. Jean en riait encore.
- quand j'y pense on avait réussit �  voyager deux semaines avec toi déguisé en malade de peau, recouvert de ton manteau fatigué incapable de parler et sans rien qui nous arrive.
- Et le jour de l'arrivée au port j'en rie encore. tu t'avance fatigué �  se moment un gars a marché sur ton manteau ce dernier �  glissé, dévoilant tes bras �  la peau parfaite et toi tu te retourne lui mettre un coup de tête en jurant en arabe avant de le projeter �  Terre.
- d'un discret rajouta le français et après tu souris devant l'équipage ahuri de la scène.
- il fallait finir le théâtre en beauté! S'exclama Seth fier. J'allais pas me faire marcher sur les pieds, enfin le manteau. et la tête que ces anglais ont fait. Je crois qu'ils sont encore entrain de la faire.
- La chasse d'avoir été accepté le jour même sur un navire partant �  la tortue.
- La course que j'ai fait poursuivit par cinq d'entre eux armés et les habitants qui nous regardaient courir et toi, tom, qui ajouta au capitaine "Tiens il s'est remis de sa maladie!" avec un air innocent
Fit Seth en pointant du doigt tom, les trois hommes rirent de bon cœur comme des enfants, leur aventure était du comique plus que de l'aventure.
On leur servis de quoi manger pour deux et un pichet de rhum, celle chose qu'ils pouvaient payer.  

- On va faire quoi? Demanda Seth.
- Je ne sais pas! après ce qui c'est passé aux autres Dit Jean en déserant son foulard qu'il portait autour du cou Je serais bien tenté de m'installer sur cette île ou de revenir au pays. Je ne risque plus de monter sur un navire.
- Pas moi je vais reprendre la mer. Mais c'est certain pas sous la Jolly rogger. Fit tom. L'ennuie c'est que je suis recherché par l'Angleterre. Tu as de la chance Seth d'être mort?
- Pardon je suis pas maures je suis arabe!
- Non mort M-O-r-T!
Seth eut une moue, il ne comprenait pas en quoi il était mort.
-Lors du procè Quentin a annoncé ta mort. Pour eux tu es mort le temps que tu resurgisse.
- Le temps que les marins anglais comprenaient ce qui s'est passé et dise partout qu'un malade arabe qui a été soigné par la grâce de dieu leur a fauché compagnie. Rajouta Jean en plongeant sa cuilliere dans l'assiette, en ricanant.
- C'est sur je vais vite réssucité
- Comme Jésus!
- Blasphème pas! grogna Jean à tom.

Les trois hommes continuèrent �  discuter, Jean avait pris la décision de s'installer le temps de pouvoir trouver un navire pour aller en France. Seth n'avait pas le choix, ils devraient continuer sa vie de pirate ou aller �  Madagascar, seule cote qui ne le connaissent pas encore assez bien comme pirate. Mais cela le rapproche du Grand Moghol, ennemi bien plus cruel et dangereux que la couronne anglaise.   

Xavor s'attarda devant la porte, depuis combien de temps ne l'avait-il pas franchis? C'est ici que son périple avais commencé il lui semble. Sa mémoire était confuse, tant d'années avaient passé.
Il inspirat un grand coup et poussa la porte, la taverne était resté telle que ses souvenirs la lui montraient, il scruta les clients tentant de trouver ou plutôt reconnaitre une de ses vieilles connaissances. Mais celles ci l'auraient elle reconnu?
La dernière fois qu'il était entré "au rat qui pète", il n'était qu'un jeune capitaine fraichement déserteur et encore en pleine santé. Bien que seulement quelques années s'étaient écoulées, celles-ci l'avaient profondément marquées, et puis aprés tout ce temps sans nouvelles ils devaient certainement le penser mort pour ceux qui ne l'avaient pas oublié dés qu'il avait repassé la porte.
Il resta devant la porte, ferma les yeux et huma ce parfum sucré émanant du rhum.
*Qu'il est bon de revenir chez soit!*
Il ne put s'empècher de sourire en repensant à tout ça.  

La gamine franchissait pour la première fois les portes de cette taverne. Ce n'était pas une grande première, elle en avait déj�  vu des tavernes. Elle en avait vidé des verres de rhum et de la liqueur quand elle s'était enfuit de chez elle. Elle ouvrit doucement la lourde porte de bois qu'un homme venait tout juste de refermer devant elle. Elle s'attendait �  cette heure, �  une pièce peu remplie voire vide. Elle connaissait mal les habitudes des hommes d'équipage. Elle bouscula un homme qui était resté planter devant la porte. Le visage de la jeune blonde était �  moitié dissimulé par le capuchon qu'elle venait de rabattre sur ses cheveux. Sans lever la tête elle s'excusa auprès de lui.

'Scusez moi m'sieur.

Il y avait pas mal de barouf dans la petite pièce, et pas mal de monde pour un après-midi. A croire que certains n'avait rien d'autre �  faire. Elle alla s'installer �  une table, un peu reculée, dans un coin tranquille et commanda une p'tite mousse. Elle venait repérer les lieux. Elle était un peu paumée dans les Caraïbes mais espérait tout de même se faire une petite place.