Forum Age Of Sea Dogs

Les marins marchèrent dans les rues de la ville en chantonnant, marchant de travers et lentement. Seth était devant pressé de retrouver son branle car le sol froid glacé ses pieds.

Ils marchèrent et arrrivèrent au quai. L�  tous ne firent aucun bruit comme admiratif devant les reflets du ciel sur le mer. ils marchèrent sur les quais puis allèrent �  leur navire qui était accoster �  quai.
un brick armé pour la course possèdant une voile de plus que la normale.
Les mats et les verges nues de toute voile laissaient voir les cordages et manoeuvre dromante pendre.

Les marins appelèernt l'homme de garde ce dernier sans bruit abbaissa la planhce afin que les hommes au port puissent monter sur le navire. Sans bruit sur ce tillac désert sombre et propre, les marins déscendirent dans l'entrepont.

Dans cet endroit on entendait le ronflement calme et parfois fort de certain marin, les canons étaient bien arrimé aux baux. les manoeuvres étaient bien rangées, le pont était plus que noire, peut de lumière venant de certain sabord ouvert. Seth alla vers son branle il vit que son matelot y était déj� . Sans bruit Seth monta sur le pont.

Quelle idée de prendre son quartier en même temps!! deux idiots! pensa t-il.

Il s'allongea sur la dunette et regarda les imposants les mats se laissant bercer par le lèger va et vien des vagues. Un des marins de quart le vit et alla le voir.

- L'ami ne dort pas ici!! tu vas te geler! la nuit est très fraiche.

Seth murmura un son inaudible. l'homme enleva son bonnet et se gratta la tête.

- écoute prend mon branle il est libre je suis de quart aves mon matelot c'est pas très fin de notre part car on part demain mais voila!


L'homme accompgna l'arabe dans son branle et le hissa dedans puis retourna �  son poste. Il regarda l'horizon et pria dieu de les sauver d'une tempête. en hiver cela ets très rare ils risquent plus d'être immobilisé par un calme plat.

Seth dans le hamac dormait paisiblement un sourire au lèvre.
La nuit passa
   

Le lendemain les marins furent réveiller assez tôt. Tout était prêt pour partir.
les câles remplit de tabac et d'autre ressource �  vendre �  st Lucy.

Les marins étaient alignés sur le tillac, le capitaine sur sa dunette regarda ces hommes.
Il souria et commenca �  donner les ordres. d'un coup les hommes s'activèrent.

Les amarres, lourde cordages fait d'énorme cordes nouées, furent enlevés des anneaux de fer planetr dans les pavés du quai. Une partie des marins, les plus costeaux allèrent au grand cabestant pour soulever l'énorme ancre. Ils poussaient leur barre sous les cris de motivation du maitre d'équipage.

seth et les gabiers montèrent dans la mature pour détacher le scordages retenant les voilures. Seth posa les pieds sur les enflures, qui reliaient les haubans pour faire une échelle de corde.

ils montèrent très vite puis l'arabe alla sur le marche pied de verge. Il commenca �  détacher un noeud. Il regarda un instant en bas.

sur le tillac les matelots s'activaient, d'un coup la gardne voile fut détachée, les mrins sur le pont tirèrent sur les écoutes et la drisse pour tendre la voile. les gabiers avaient fini leur travail sur le mat de misaine. Seth commenca �  grimper par le mat pour accèder �  la vergue du grand hunier. Les autres gabiers moins stupide remontèrent par les haubans.


Sur le quai une petite foule naissa, de femme saluant leur marie partis sur la mer, les enfants passionés par le mer revant d'être parmi ces hommes ,sur un navrie partant au loin.

sru le navire peu de parôle, un sentiment partagé dans chaque marin, reprendre la mer, revivre dans ce milieu et gagner sa vie mais aussi de tristesse: quitter leur femme ou les terres et devoir risquer sa vie et de vivre durant une semain voire plus dans un petit espace.

La chose qui occupait surtout les esprits des marins étaient surtout le travail.

Le navire quitta la baie du port et commenca �  s'éloigner de l'île sous un vent favorable.
Pour cela on hissa aussi le petit hunier, la brigantine et le peroquet de fougue sur le mat d'artimont encore vierge de voilure.

Le navire partait.
 

Le soiré était avancé quand Hayes arriva au port. En longant le quai, il trouva ce qu'il cherchait ; le Dragon Noir, le navire de Erwan le Truant. Hayes monta sur le navire et plusieur hommes vinrent l'acceuillir.
- Tiens regardez qui voilà !
- Salut !
- Jéricho et pas là ?
Un hommes assez fort se farya un chemin parmis ses matelots.
- Ecartez-vous de là ! Bonjour Hayes.
- Salut Antoine. Je voudrai voir Erwan.
- Il est avec Cancrelat et sa famille à la Tavern or Welcom. Tu connait ?
- Oais, je connais. Merci. Salut.
Hayes repartis salué par les marins et s'engagea dans la ville.  

Erwan arriva en courant, tout essoufflé.
- Larguez... les... amarres ! Hissez... les... voiles !
- Vous voulez que je le face ?
- ... Je veux bien....
- Larguez les amarres ! Hissez et bordez les voiles ! Revlevez la passerelle !
Le pont du Dragon noir s'activa et les ordre furent exécuté, supervisé par le bosco et le second.
- Le cap, cap' ?
- Euh... On sort du port et on remonte l'île jusqu'a Basse-Terre, où nous attend Jéricho pour une opération en or.
Cancrelat monta au gaillard et donna les instruction au timonier. Le Dragon noir prennait la mer.