Imprimer la page - Les voyages de Seth

Le navire "vent d'or" filait sous le vent. L'île de leur départ diminué � l'horizon.
Le ciel était bleu clair, peu de nuage, mais un vent assez puissant.

Le vent augmenta le lendemain, pas un risque de tempête mais plutôt un risque de voir un mat s'endommager. Les vagues étaient un peu plus forte, l'étrave coupait se rideau d'eau devant eux.

sur la dunette le capitaine fit calculer la vitesse. 7 noeuds très rapide, puis quartier maitre, monta, c'était un homme robuste et assez petit. Il était presque chauve avec une couronne de cheveux long et brun. Cela donnait l'impression d'un moine avec une tonsure qui se laisserait pousser les cheveux.

- capitaine!! le mat de misain craque un peu. il faut réduire la voilure..

Le capitaine regrada thomas son second puis inclina sa tête. Le second se pencha de la dunette et hurla.

allez les gars faut réduier la voilur du mat de miainse. carguez le petit perroquet!

A cet ordre le pont s'activa les matelots prirent la drisse et attendaient que les gabier soient au niveau de "la vergue de petit perroquet".

ces derniers s'activèrent � monter sur le mat, Seth qui se tenait sur la grande vergue, dessendit comme le font souvent les gabiers en se laissant tomber d'une des maneouvres. Les mains un peu brulante il commenca � monter sur els haubans de misaine.

Deux minutes plus tard tout était pret. Les matelots défaire les noeud d'écoute et de l'armure. Puis le carguage commenca.
Les marins commencèrent � chanter un air enfantin que le maitre d'équipage chantait afin de donner un rythme � la manoeuvre.

- J'ai dix sous dans ma poche j'ai aucun argent!
j'ai dix sous dans ma poche j'ai aucun argent.
Mais toujours gai, toujours gaiment car dans mon village y en qui en n'ont pas tant!

j'ai huit sous dans ma poche j'ai aucun argent.

Ce chant joyeux et rythmé remplti le navire, � chaque "j'ai" les matelots tiraient sur les cordages et la voile grimpait un peu le long du mat.
La voile fut hisser lentement, mais rien ne pressait, puis les gabiers sous un vent puissant qui fessait tanguer le marche pied finfirent le travail.

Le quart de Seth était fini, il dessendit et alla chercher le quotidien qui cuisait dans l'entrepont.
une odeur pas mauvaise d' légume frait, tel salade et de la viande arriva aux narinnes des marins.

Le petit groupe de repos prit place sur els tables de bois de mauvaise qualité, heureux de pouvoir se reposer et de manger chaud.
le repas se passa dans un silence, seul bruit des cullière de bois raclant les écuelles de fer, ou le bruit des machoires machant et parfois d'un rot se firent entendre.
Le bruit des vagues tapant sur la coque et des canons se déplacant un peu avant que leur matient ne se tendent, rappelaient � tous qu'ils étaient sur un navire.
Après le respas les marins se levèrent pour aller sur le tilalc afin de le nettoyer, un sourire sur leur lèvre.
Mais la journée commencait.

Seth et son matelot étaient occupés � nettoyer le tillac. Travail pas trop fatiguant masi ennuyant.

dans le carrée des officiers la tension était � son comble. c'était une salle au couleur vive assez belle et spacieuse, un bureau au fond collé � l'etambot couvert de carte avec un baton de Jacob posé dessus et au milieu de la pièce une table propre. Des fauteils confortable et une armoire remplie de livre et de boisson.
Un tapis rouge et des teintures sur deux murs réchauffaient un peu la salle. Au fond sur l'étambot des fenêtres qui laissaient passer la lumière et la beautée du paysage.

Le capitaine, son second et le cannonier étaientdans la pièce, le capitaine � regarder la mer derrière eux. Il se retourna et regarda les deux marins assis � la table buvant tranquillement et attendant que leur chef parle. Le capitaine avance et but un peu de vin puis se décida enfin.

- Les amis il va falloir jouer serré avec les marins! les deux hommes ne dirent mot, il continua. Notre tache première n'est pas d'aller déposer nos câles � St Lucy.
-Mais alors? demanda le second.
- J'y viens monsieur Bense... cela était juste un moyen de gagenr assez d'argent d'une et de deux, d'aller sur cette île sans trop éveiller de doute. Cela nous rapproche de notre véritable cible.
- qui est?
- Oui trop de mystère capitaine dit le canonnier de sa voxi forte et rauque.
- Nous devons retrouver un ancien marin et le ramener � la justice. Je ne vais aps vous dire qui c'est...
Il s'agit d'un pirate, un déserteur qui était au servcie du Roy.

Les deux sous chef comprirent le besoin de se taire la dessus durant le voyage, qui devait avoir un but calme, si les marins le savaient. S'ils savaient qu'ils allaient se battre, cela risqueraient d'en énerver.

Sur le tillac innoncent de la véritable mission. L'ennuie était pas encore arrivé mais viendra avec la monotonie des journées. Les hommes travaillaient sous l'oeil avisé du quartier maitre, les artisants s'occupaient � vérifier l'état du navire.
Seth regarda son matelot.

-Dis moi mon gars tu es jeune!
- vingt ans... l'ami
- Pas tant que cela en faite. Seth marqua une pause, ilregarda la mer et les mouettes voler autour du navirre, il respira l'air pur, puis posa une question.

- tu m'as jamais dit pourquoi tu t'es engagé dans la marinne. Jes ais que cela fait trois ans que tu vogues de mer en mer mais pourquoi.
- pourquoi cette question?
- Pour rien pour discuter dit d'une voix lente Seth, son coeur était serré.
Son matelot souria et parla d'une voix rapide et gaie.
- Pour faire comme mon oncle, prendre la mer et voir de nouveau horizon, de nouvelles terres, je ne voulais pas être comme mon père rester sur une même île � cultiver et ne rien voir d'un monde nouveaux.

Le matelot, jeune mince mais le visage légèrement joufflu, les cheveux clair et mi long, les dents déj� un peu jaunie et le regard toujours vif avecun éternel sourire au lèvre. il s'accouda au bastinguage profitant d'une brise pour se rafraichir et regarda l'arabe continuer de nettoyer le pont.

- Et cela te plait?
- biens sur "l'étrangers!" et toi pouruqoi tu vas sur l'eau.
- tu ne sais bien, je suis mrin de père en fils. répondu gaiement Seth.
- non je veux dire pourquoi cette mers? Pourquoi as tu fui tes mers.

seth resta immobil penché il regarda par terre. Puis il leva la tête et fixa son regard dens celui de son matelot. que répondre � cette question.

- L'aventure! dit il enfin espèrant que son mensonge passe. La même chose qui moter.. heu *non* motive certain ce vos confères.
J'avais entendu parler ce ces mers et leur beautée je voulais les voir.

Le matelot souria, il n'était pas dupe, puis comme s'il l'avait pas vu ce mensonge iL demanda si les mers et les beautées plaissent � Seth.
- enormement * il ne me manque que deux choses.
* Je citerais un de me sanciens compagnons qui m'a dit cela.
Si Allah devait choisir une terer où faire un paradis sur Terre ce ne devrait pas être chez nous mais ici... dans un monde encore vierge de nos folies religieuses.

- tu crois en ton Dieu?

Les réponses ne vint pas le maitre d'équipage qui passait demanda aux deux marins d'aller aider le charpentier et quatre autre marins pour renforcer le mat de misaine.

les deux hommes y allèrent.

le navire continuait sa route. Les voiles gonflées par un vent frai et constant. Le ciel était un peu grisé, le soleil était assez haut dans le ciel.

seth était de quart, son repas du midi était pour lui un vague souvenir. son ventre n'allait pas tarder � crier famine. Il était occupé sur l'étrave � vérifier si cette pièce de bois était intacte. il avait été désigné car c'était l'un des rares marin � savoir nager.
se tenant � une corde qu'il avait attachée � ses ganches. Seth se trouvait � environ un mètre de l'eau, ses pieds posés sur la coque étaient rafraichi par les écumes. Par moment une vague se brissant sur le navrie arrosait totalement l'arabe. Il examina la coques rien...

Il devait aller maintenant sous le mat de beupré que les gabiers n'avaient pas examiné. Seth tira deux fois sur sa corde, sur le tillac les marins voyant le signal commencèrent � tirer sur la corde un peu puis un autre signe, ils s'arretèrent.
Ils attachèrent la manouvre au bastinguage et virent s'accouder au bastinguage pour suivre du regard leur compagnon. L'un d'entre eux parla.

- J'aimes pas ce gars!
- Pourquoi tu dis cela lui demanda le maitre charpentier plus occuper � suivre des yeux l'homme qui allait lui faire l'état des lieux que de faire la conversation.- c'est un inconnu, on sait rien de lui.
- je trouves bizarre qu'il reste toujours armé! ca sent l'assassin. clama un autre de petite taille. Un des marin souria et dit.
- je le trouves sympathique et extrèmement compétent! on peut pas dire cela de tous.
- il croit pas en Dieu! rétorqua le premier Cela va nous porter la poisse.
-L'important c'est qu'il n'a pas d'attaches ici!! il est plus libre que nous... je pense pas qu'il va nous cuaser des soucis malgrè ses origines dit calmement le plus vieu marin du groupe.

leur conversation fit stopper par la voix de la vigie, qui clama avoir vue une voile sur tribord.
Tout les marins allèrent sur tribord pour voir en effet un navire assez grand naviguer vers eux.
Les mairns en oublièrent Seth et laissèrent la corde pendre attaché au bastinguage. L'arabe lui se laissa tomber presque dans l'eau se retenant par un bras au mat de beaupré et les deux pieds sur une manoeuvre. il plissa les yeux pour voir le navire au loin.

Le capitaine surgit sur la dunette, longue vue � la main, il examina le navire inconnu. après une minute d'observation il rengea d'un coup sec son instrument dans son étuie et resta silencieux � parler avec le second. Les marins ne parlaient qu'entre eux � voix basse attendant les autres du capitaine.
Ce dernier alla au devant de la dunette, son long manteau soulevé par le vent, les cheveux court aérés. Il regarda ses hommes en souriant. et il dit sechement

- Je pense que nous n'avons rien � craindre! Il s'agit d'un navire battant pavillon espagnol. C'est un navire marchand! une frègate goelette!
Retournez � vos occupations que la vigie reste sur ces gardes et surveille notre visieur s'il s'approche trop nous ferrons donner le branle bas de combat.
Mais en attendant retournez � vos occupations!!!

Les matelots étaient soulagés, pas � se battre contre des pirates. Le visage souriant ou anxieux tout le monde travaillé.
Les marins occupés � aider Seth arrivèrent � leur poste quand il entendre unc ris et le bruit d'une personne tombant dans l'eau. Tous furent étonner, puis comprire très vite en voyant la corde filer, qu'il s'agissait de seth. Il avait lacher brise � cuase d'une forte vague et la corde n'étant pas tendu il s'enfoncait dans l'eau tentant de remonter � la surface mais géner par le courant ous marin que provoquait le navrie en avancant.
Il se débattait, puis il se sentit lèger et tiré vers l'air. Il remonta � la surface comme une fusée tiré par se scompagnons, il respira un grand coup et commenca � se décaler de la paroi glissante et coupante tandis que ses amis le remontaient.

Une fois remonté sur le tilalc seth commenca � crier contre le smarins incapable, les mains et une épaule en sang, sans grande douleur juste des coupures. Il regarda le maitre charpentier et lui dit qu'il n'aurait pas se boulot � faire, que tout été très bien. Il alla chez le médecin du bord.

Durant une heure la tension montait car le navire espagnol avancait vers eux. Il possèdait quelque canon, plus que celui du brick, juste deux de plus par bordée. Il sembalit assez rapide avec un filant d'eau haut, donc les câles en parti vide. le capitaine commenca � douter puis soudain il dévia sa route et continua son chemin. une énorme joix envahissa le navire. pas � se batter!!!

Seth était de quart la nuit. Il pensait � ces compagnons disparu sans doute mort et � cette attaque indienne. Il y avait survécu par l'intervention d'Allah... Mais pourquoi
Cela le surpassé. Son ami imam lui avait dit que les voix du Seigneur sont impénétrable mais qu'il ne fait rien par erreur, il disait que si Seth acceptait de l'écouter il pourrait comprendre pourquoi il était élu.
Seth ne croyait pas � ces histoires mais respecté allah, mais pour lui sur terre celle la nature était présente mais que dans le royaume des morts allah vivait et règnait. Mais seth devait admettre que allah pouvait intervenir sur Terre ou que la nature l'avait élu.

Il avait survécu � trop de chôse pour un homme...

Seth y réfléchissait son esprit était ailleurs, il regardait au loin vers l'Orient. Il marcha un peu sur le tillac pour se réchauffer, puis fut prit de vertige. Seth posa ses mains sur le bastinguage respira lentement.
Il regarda l'horizon assez dégagé. Il vit une ombre, des voiles. Puis des lumières rouge orangé, il se retourna et couru vers la roue puis en poussant le timonier il fit virer le navire.
Le timonier le repoussa.

- il te prend quoi!!! dégage de l� !!!
- Un navire � babord il nous attaques!
- Hein??

Le second de quart n'ordonna pas de réveiller les autres hommes, il avait aussi vu la scène et s'appercevait que le navire tirait sur une autre cible. Les bruits de canon tonnaient dans le silence de la mer où seul le vent et la mer se fessaient normalement entendre.

La nuit passa angoissante, puis le lendemain. aucun navire... rien...

Une vision commune, non car certain domeurs avaient étés réveillé par le bruit des canons.
Un spectre cette idée ne les réjouissait pas. Les marins étaient pressés de toucher terre, dans trois jours certain vieux loup de mer racontèrent l'histoire du Hollandais Volant d'autre de L'Hadès.
Seth ne connaissait rien de cela, mais savait que la mer est lieu de mystère.

La corvette quitta le port le lendemain � l'étonnement des marins.
Ils n'avaient pas chargé le navire mais leur capitaine leur expliqua que cela était voulu.

La vie monotone des marisn reprit son cours, les qurats furent suivi les quotidiens prient dans un grand silence.

Le navire glissait sur les eaux chaudes des caraïbes, il voguait depuis plusieur jours et arriva près de son but dans une zone très peu profonde rempli de récif et d'îlot .On fit dresser seulement la brigantine et la grande voile, pour aller le plus lentement possible évitera de se brisser sur un îlot.

Les marins étaient nerveux et la tension montait, chaque geste était calculé, tout le monde ne pouvait s'empécher de lancer des regards craintif dans la mer cherchant un recif que les vigies ne verraient pas.

Tout se passa assez bien, la vitesse lente permettait en cas de choc d'éviter un voie d'eau.
A l'avant du navire une petit embarcation fut installé. Elle servait de pilote, dessus trois marins avec des bitures calculaient la brasse des fonds et vérifiaient que c'était supèrieure au tirant d'eau du navire.

Le "vent d'or" quitta cet endroit au grand soulagement des hommes. Le capitaine fit réunir les marins sur le tillac. La maitre d'équipage ordonna le rassemblement de tout les hommes.
au bout de dix minutes les cents hommes furent sur le tillac. Le capitaine et le second devant eux sur la dunette.

Seth était assis sur le bastinguage taillant un morceau de bois et écoutant le chef.

Marin compagnon de mer! Je dois vous prévenir que nous allons traverser une zone très fréquentée par ces marauds des mers: Les pirates!
a ce mot, un silence s'imposa, tout le monde écouta enxieux, seul Seth était calme il leva la tête surpris et regarda son capitaine qui fit des aller et retours sur la dunette.

c'est pour cela que j'ai engagé un vrai canonnier! Moniseur Francois Maprès! Je
Maprès était assez agé, il évait une barbe blanche et un foulard sur le crâne cachant son crâne dégarnie. Il parla avec une voix forte autoritaire mais un peu tremblante.

- Afin d'éviter de perdre du temps je demande que vous rechargiez les pièces chaques matins et aujourd'hui nous allons mouiller afin que je puisse voir vos talents en servant de pièce!

Seth sera les dents (il va pas aimer mes talents). en effet la journée se passa dans les tonnement sourd des canons et le sifflement des boulets traversant les airs. Par moment l'objectif sur l'île, une énorme pierre, était touché et détruit dans un houra général. Le canonnier put voir que les chefs de pièces n'étaient pas de superbe pointeur mais que l'équipage était assez rapide en rechargement.

le soir tout le monde eut le droit au repos et le lendemain dès l'aube, tout le monde sans exepction fut réveillé. les canons de 9 armés. L'équipage alla au grand cabestant sous els ordres du maitre d'équipage et releva l'ancre puis enfin le navire continua sa route en longeant les îlots.

La corvette vogua encore une journée sans rien � l'horizon. Juste � trbord des petites îles. Puis sudain la vigie cria qu'il avait vu une voile � babord, tout l'équipage alla vers babord et pu voir navire assez petit.
les officiers allèrent sur le gaillard avant avec des longues vus. Ils restèrent un cartain moment � observer le navire puis � discuter. Ils remontèrent sur la dunette et convoquèrent l'équipage.
Tous réuni sur le tillac regardant leur chef attendant une réaction de leur part.
la capitaine prit la parôle.

- Il est temps que je vous dises la vérité! Nous ne sommes pas ici par hasard nous sommes ici pour chassez un pirate!

Des cris de contestation de peur d'indignation s'élèvèrent le second tira avec son pistolet pour obtenir le silence ce qui fut fait.

- Si je ne vous ai pas parlé de cela c'est que je craignais votre réaction. Mais maintenant il est trop tard pour fuit car c'est le sloop devant nous.
avez vous peur des pirates? craingez vous un sloop dans notre corvette? en une volée de mitraille leur tillac sera néttoyé de leur précense!
Pour montrer ma bonne foie je vous faits la part du diable durant tout le combat et je vous donnerez la totalité des ressources dans le sloop pirate.

Un silence tomba puis une voix grave cria.
- Hip hip hip
Hourra!!!

Cria l'équipage motivé! c'est vrai un sloop contre une corvette la part du diable... Ils étaient motivés et prêt pour le combat. Seth alla prendre son poignard pret pour le combat, il descendit dans l'entrepont.

Sur le tillac, on entendit cinq coups de canon. Puis des sifflements et le choc. Les haubans du grand mat furent tranché en emportant la vie d'un marin, trois boulet ramé parcourèrent el tillac en sa largeur coupant tout sur les passages, par chances les mats furent épargnés masi pas les vies. Les débris de bois volèrent dans tout les sens blessant les marins qui évitèrent les projectile, mais moins chanceux furent coupé par les boulets.
Un dernier boulet vint s'écraser sans dégat sur l'etnrepont.

Seth remonta rapidement et vit de sdizaiens de blessé lèger et un bastinguage ravagé.

Derrrière un îlot rocailleux surgit un petit navire de type sloop, c'était un cotre.

Prit contre deux ennemis dont un sloop allant droit sur la proue du "vent d'or" l'équipage perdit de sa motivation.
les deux canons de chasse du sloop tièrent sans effet enfin presque, le premier boulet alla dans l'eau l'autre traversa l'étrave bombé et détruisit un navire de chasse.

Le combat allait commencé.
Le canonier ordonna de mettre � douze degré les canons. Le second demanda de metter toute voile.

seth monta dans le gréement.

Le combat s'engagea. La corvette fit feu sur la cotre, les canons du tillac firent mouche mais ceux de l'entrepont � cause de leur mauvaise visibilité et des mouvements de la mer toucha � coté.
Le sloop fonca sur la corvette puis vira de bord au dernier moment et fit feu � la mitraille de ces 4 canons, la mitraille travsersa les baux et massacra les servants de pièces , la chair fut déchicté envoyait partout, le sang coula et pire, un petit tonneau servant pour el rechargement explosa. Le souffle souleva les latets du tillac en l'air et fit trembelr de gréement. Les pirates crièernt victoire mais la riposte du "vent d'or" expédia une partie des marins trop sur d'eux en enfer.
seth sur les enfléchures du grand mat risqua de tomebr lors de l'explosion, son pid glissa mais ses mains attrapèrent une enfléchures. il remonta et vit le navire de Sparrow.

Pensant � un autre pirate il hurla au capitaine, ce dernier de peur fit virer le navire de bord et se fut sa dernière actioncar le coter dans un dernier espoir tira � son tour, les bouts s'écrasèrent sur le gaillard arrière deux allèrent nétoyer les cabines des officiers et les autres tombèrent sur la dunette. Le choc souffla le capitaine qui s'croula sur le tillac la jambe percée de morceau de poid et la seconde arraché il ne disa rien, ni hurla. Le seond prit els commandes, le canonier fit tirer les canons une dernière fosi sur le cotre.
Coup au but sous la ligne de flotaisson, ce dernier alla s'échouer sur un îlot avant qu'il ne coule au fond de la mer.
Ses pirates quittèrent le navire en chaloupe.

Le combat sembalit perdu un galion arrivait. Seth tira sur l'écoute du grand hunier et deqscendit sur la grand vergue avant de se laisser tomber grace � la drisses. Il coura et s'arreta sur le tillac.

son âme de chef le rattrapa, avec le second il se mit � hurler des ordres. Le second George Tirfeulle regarda Seth et souria. Tout deux parcouèrent le tillac préparant le combat contre le sloop qui allait les aborder.

Totus regarder le spectacle, et quand la cotre fut détruit, il hurla de bonheur. Après cette instant de bonheur il ordonna qu'on fasse des signaux au "Vent d'or" pour l'informer qu'il venait en ami! Se n'est qu'une fois fait qu'il vut que le sloop se fonçait droit sur la corvette, Totus se demanda s'il aurait le temps de protéger la corvette, et voulu s'interposer entre les 2!
-ON DOIT A TOUT PRIX ENVOYER SE VAISSEAU SOUS L'EAU, PRÉPAREZ-VOUS A LEUR ENVOYER UNE 2éme VOLER!
Le sloop voulut � tout prix venger la cotre, et dans cette élan de vengeance il déplièrent toute les voiles, et le mats d'artimon déj� bien abimé, s'effondra sous la puissance du vent! De cette manière le sloop se fit rapidement rattraper par le galion, qui lui envoya une volé de boulets, explosant la timonerie! Le sloop n'était plus dirigeable, et son équipage fermèrent les voiles et jetèrent l'ancre pour éviter de se fracasser contre les récif, et se trouva en incapacité de se défendre, étant donné que les 2 navires allié s'était poster comme ceci:
!
/
A la prochaine rafale le sloop et son équipage irait rejoindre les poissons au fond de la mer!

Edit: message accepté mais attention dernière fois car pour tout combat et action important contre des pnj tu dois me défier, une fois si c'est jsute ton eprsonnage, 5 fois si c'est ton personnage et des hommes avec.

scar

Le vent d'or ne tira pas. Il ne fallait pas couler le sloop, dedans était l'homme dont on devait ramener la tête comme preuve. On fit signe de cesser le feu au galion et pour cela on vida même deux canons � l'avant du navire qui risquèrent de toucher la proue pour lui demander de stopper tout action.

La corvette se dirigea vers le sloop, salemetn amoché. L'équipage était désorienté et � la panique. Mais dans les deux camps plus aucun canons armés et laisser le temps au sloop de recharger était dangereux car il avait moins de canon et un meilleur état donc rechargerait plus vite que la corvette.

Les deux navires étaient donc bord contre bord, leur équipage salement amoché, en peu plus d'un tier des deux équipages étaient mort.

Les hommes de la corvette en avantage numérique et en position surelevé fut pris de joix et ils vidèrent toute leur arme � deux sur les dix homems sur le tillac.
Puis plus rien, plsu un bruit.
l'équipage descendit, Seth descendit du mat et se mit debout sur le bastinguage.

soudain alors que les amrins marchaient paisiblement entre les cadavres et que la fumée des coups de pistolet tiré pour achever les marins se dispersés, un cris de rage et de haine s'éleva et sortant du petit entrepont du sloop une trentaine de pirate blessé pour certain montaient sur le tillac de leur navire.
Ils déchargèrent leur armes sur les membre du "vent d'or" qui 'avaient rien pour leur riposté, seth regarda avec horreur la scène. c'était une ruse. Il souria puis sauta dans la melée.

Seth frappait dans tout les sens, le combat était d'une rare violence, les marins se tapait dessus avec le peu d'arme , on se servait des cadavres pour se protèger d'un coup, les membres étaient tranchés, les artères ouvertes laissant le sang couler � flot sur le tillac. Seth commencait � être couvert de sang , les giclés de sang qu'il soulevait � chaque coup recouvret son redoutable et magnifique cimeterre et son corps. A chaque fois qu'il parlait il crachait du sang le sien et celui qu'il avait avalé en ouvrant la bouche lors d'une ciglée.

Les bruits de détonation de pistolet � silex se fessaient parfois entendre mais très rare. Le combat était incertain pour l'équipage et perdu pour les pirates qui devraient affronter le galion. C'était leur dernier combat pour tuer le plus d'homme possible afin de se venger...

Seth combattait, il frappait dans tout les sens, le combat allait être gagné par l'intervention du galion.
Seth tournait, frappait tranchait, soudain il senti un homme contre son dos sans même se retourner prit d'une fureur il se baissa et fit tourner son arme par dessus sa tête, la lame trancha chair et os.

Les coups de pistolets retentirent le combat était fini. Seth se retourna et vit avec horreur le maitre charpentier mort par sa main. Une lame dans le cou et une homme tenant cette arme le dos lacéré la chair tranchée. Seth s'immobilisa, les yeux ouvert, devant lui une autre scène. Il vit cette scène qui le hante tant. Son arme lui glissa de ses mains sanglante, la peau déchirée. Il se laissa tomber � genoux, ce n'était pas l'horreur du combat mais celui du souvenir. Il venait de tuer le tueuer du maitre charpentier, sa lame du pirate était dans la gorge du vieux homme.
Seth avait agis trop tard.

Les corps couvraient le tillac, le sang coulait dans la mer, les membres déchictés sur le sol. Les hommes � moitié mort pleurant et appelant � l'aide.
Totus allait voir le second qui était � coté de Seth droit et fière, le matelot de Seth tenait dans ses mains ses entrailles appelant Seth.
Seth se leva lentement, le visage sévère énervé il laissa totus sans l'écouter et alla devant son matelot.

- Je ne veux pas mourir....
- Comme tous ici Répondit Seth. Tu étais trop jeune! Mais tu étais avec moi...
Le matelot hurla de douleur puis commenca � pleurer, seth lui prit sa tête dans ses mains, posa front contre front et dit.
- Ce n'est pas de ta faute mais de la mienne, je sui maudit.
Dors bien, va au paradis!

Seth regarda sans rien dire le matelot qui parlait de sa mère et de ses espoirs. Puis il s'arreta de parler Seth lui ferma les yeux.

Seth se leva et alla vers le second.
- Partons Dit il d'un ton sec.
- Va te reposer sur notre corvette occupe toi des blessés de la corvette. Merci pour tes talents Seth. Le second souria à Seth.
- Des talents à quel prix?

Seth remonta sur le navire, se posa sur le bastinguage et commenca à réfléchir.

sur le cotre... suite de mon royaume pour un bateau

Le cotre filait sur l'eau lentement, le vent était calme et la chaleur presque insupportable. Seth qui avait vécu toute sa vie dans les régions chaude supportait cela facilement même si son corps était couvert de sueur comme de nombreux marin dont les années aux caraïbes les avaient endurcies.

Le navrie avait quitté il ya deux jours l'île de la Tortue et voguait vers une petite île.
L'équipage dans lequel étaiet tombé Seth était bien loin de ce qu'il attendait. Il s'agissait surtout de jeune marin mais aussi de vieux loup de mer tous amis, un véritable esprit de camaraderie et malgrè qu'ils étaient plus interessés par l'or que par des idéaux d'égalité et autre ils partageaient tout entre eux. Seth qui était maitre d'équipage se fit une place rapidement.
ayant longtemps était capitaine sur des navires de ce type, seth n'eut aucun soucis � ordonner les manouvrer et � maitriser le navire. l'équipage était assez réduit mais compétent et prêt � tout, chose importante pour des pirates.

Seth était sur la dunette surveillant l'évolution des sjeunes mateot dans el gréement aidé par les gabiers.

- allez plus vite! Dans les combats sous la pluie de mitraille, de balle et de boulet vous n'aurez pas tout ce temps pour monter par les haubans et vous serez des cibles facile!!
- Maitre d'équipage?
- Oui... a capitaine!! appelez moi Seth ou l'étrangers...
-merci de votre confiance on dit que vous en donnez presque jamais votre nom et pourais je connaitre votre nom de famille? Seth souria et dégaigna son arme.
- Pour cela il faudrait me tuer... Car seul dans els caraïbes celui qui tuera l'Ultime Guerrier en combat loyal pourra connaitre le vrai nom de celui ci.
- Je suis pas si curieux finalement... Répondit le capitaine en regardant la terrible lame. Seth ria et retourna aux ordres, le capitaine revint après avoir regardé le large desert de tout navire.
- Dites moi Pourrez vous me remplacer au quart cette nuit
- Sans souci mais pourquoi vous serez pas l� ?
- Tutoyons nous... Le capitaine regarda le petit gréement. Nous n'avons aucun pilote et je vais devoir essayer de travailler notre route. L� où nous allons il y a pas mal de petite île donc de recif.
- Sans problème... tant que vous en tentez pas de profiter de votre statu de chef...
- Jamais ici on est tous égeaux tous dans la même gloir et même merde. Mais tu aura double ration de rhum et de ragout ce soir.
- Merci cap...

La fin de la journée et la nuit ce déroula sans souci, le soir le vent s'était levé une bonne brise qui n'iquieta personne et qui projetta le navire sur les vagues et le fit filer sous une bonne allure.

Le matin une voie réveilla l'équipage.

- Navire de guerre!!! A babord a environ quatre milles!!
Tout le monde debout navire de guerre!!

L'équipage se réveilla � la hate. La capitaine sorti de sa petite cabine et grimpa sur la dunette avec sa longue vue. Il observa le navire. Seth lui se réveilla difficilement ayant travaillé plus de douze heure de suite � veiller et surveillé les autres marins.

Il s'arma et monta sur la dunette. Il n'y avait aucune activité, un peu anxieux les marins attendaient les ordres.
Le second rejoigna le capitaine.

- Alors cap?
- c'est au moins un quarante canons.. on a aucune chance. Le capitaine mouilla son doigt et observa d'où venait le vent.
- Merde grogna t-il. Le vent est un grand large, c'est pas notre meilleur allure et le navire espagnol possède un gréement idéal pour ce type de vitesse.
- Il faut fuir.
- Oui. Le capitaine alla sur le tillac et hurla les ordres.

Toute voile dehors! le timonier vire tribord de manière � ce que nous ayons le vent en bon prè!!

- Capitaine ne navire changes de cap il a l'air de s'einteresser � nous.

Le capitaine se figea en entendant cela. Il se retouna vers le maitre canonnier. L'échange fut bref et rapide.
- Armes les canons!
- boulet ramé? pour couper les mats.
- Non mitraille! il faut rester cahcher le plus longtemps possible et n'agir que s'il vient.
- et si nous utilisons nos boulet pour couper les mats on risque d'être dans leur angle de tir et leur riposte sera ravageante... continua le maitre canonnier en souriant non pas de la situation mais content de s'y connaitre en cannonnade, mais son sourire était plus une grimace.

Il couru � son poste.

au bout d'une demi heure, les canons furent rechargés, cachés par des baches et des cordes.
Les voiles toute dehors sous la meilleur allure du cotre, le navire fila. au bout d'une heure, la flute vira de bord et abandonna l'espoir de pouvoir aborder le vaisseau. d'ailleurs le capitaine espagnol esperait juste tomber sur un navire de pêche pour lui confisquer ou payer celon la nationalité le produit de sa pêche car il manquait de nourriture fraiche.
Devant la fuite du cotre il compris qu'il s'agissait d'un navire d'une autre nationalité et qu'il devait être francais, car ils étaient en guerre, et cette homme ne voulait pas tuer des pecheurs ou d'innoncent marin.

Sur "la Boussole" se fut un soulagement, on boucha la lumière des canons pour éviter que leur poudfre soit mouillé. Le navire reprit sa route.

suite d'une grande île déserte.

Le cotre filait sur la mer, un vent de bon pré et de bonne brise gonflait les voiles du navire. La mer était teinté d'orange avec des reflets brillant comme de l'argent.

les mains s'étaient réveillés. Ils se tenaient tous debout sur le tillac silencieux. Seth était assis sur le bastinguage la tête baissée. Le capitaine fit un mémorial pour les marins qui étaient morts et qui avaient tous étaient amené sur le navire.

Après une prière breve et un amen générale même de Seth on lanca les corps � la mer.
Seth demanda que l'on découse le branle qui contenait le corps de Colins. Il regarda une dernière fois le visage de cet homme ivrogne avait qui il avait été heureux. il se rappela les concour de cracha, beuvrie, concour d'historie et bataille fai ensemble.
Seth avait veillé sur cette homme la nuit, attendant qu'il meurt et lui apportant tout l'alcool qu'il avait pu prendre pour la donner � cette ivrogne.

L'arabe posa sur le corps un pistolet, appartenant � colins puis d'une voix ferme demanda que l'on jete le corps du marin. Seth se leva sur le bastinguage pour voir les corps couler, suivit par plusieurs marins. En l'honneur de Colins il ouvrit une bouteille et but de longue et longue gorgée comme le faissait cette homme aux joues rouges. Certain marins firent de même.

tout le monde savait que Colins et Seth éternel ennemi étaient en réalité les deux hommes les plus proche du navire, toujours � discuter ensemble � vouloir connnaitre le monde d'où venait l'autre et lui apprendre le sien. Il savait que la mort de Colins était un choc pour Seth comme l'avait été celle de Adwinhamed.

seth sous l'effet de la fatigue, de l'émotion et de l'alcool fut mou durant toute la journée.

Le navire continua sa route, le capitaine préféra que cette journée soit seul d'un dueil sous le signe du repos. Tous étaient exténués d'avoir navigué de nuit et combattu avant. Il y avait de nombreux blessé et seul dix hommes étaient totalement sain, même le capitaine n'y faissait pas parti.

La voilure fit réduite et l'on garda que le grand foc et la bringantine.

- Cap sur Tobago... Ce fut trois mots. Trois mots du capitaine de la "boussole" qui réveillèrent tout l'équipage.

L'activité repris son cour � toute vitesse. On vira de bord, les bras de vuerge du grand hunier furent inclinés dans la meilleur allure possible. Le cotre glissa sur les crètes des vagues d'un coup et s'écrasa dans un creux soulevant des germes d'écumes. Le vent était fort la mer assez agité mais rien de dangereuse seul les terriens pouvaient s'inquieter.

Le navire progressa sans aucune rencontre, l'après midi tout l'équipage s'était regroupé sur le tillac, la chaleur montée et les vagues se faisaient plus petite, leur hauteur avait diminué d'au moins dix centimètres.

- On fait du dix noeuds capitaine! Cette nouvelle du mousse ravit les coeurs.

- Capitaine! Hurla un homme assez musclé quand allons nous ouvrir se maudit coffre!
- il a raison on aimerais savoit pourquoi on a risqué nos peaux! Les matelots commencaent � s'agiter. Le capitaine n'avait pas voulu que le coffre soit ouvert avant de faire une escale mais devant cette agitation il préféra faire amener le coffre sur le tillac. Une mutinerie peut très vite arriver.

Seth qui mangait sans rien dire se leva et ordonna le silence, comme les autres il voulait savoir combien de pièce d'or il pourra faire couler dans ses mains et dépenser mais il voulait de l'ordre. Devant les insultes et les cris le calme revint.

Le coffe en bois épais renforcé d'énorme barre de fer avec un cadena fut présenté au capitaine.

- Monsieur Firtoch...
-Tenez capitaine. L'homme donna au capitaine qui se tenait fier et droit devant le coffre, son mousquet de boucanier. Le capitaine épaula l'arme visa et tira. On entendit quelque chose sauter dans le coffre, le second poussa le haut du coffre. il était ouvert.

Plusieurs marins se précipitèrent pour observer le contenu mais le secodn tira son sabre suivit de seth.

-Reculez mes braves pas de précipitations bande de molusque tout le monde aura sa part! Cria le second. Il était nerveux il savait que le contenu du coffre pourrait provoquer des ravages sur le navires.
Ils arrivaient, deux hommes sortirent des pistolets. Deux chacun, c'était prévu. Seth s'avanca et les ordonna de les ranger il recut pour réponse un coup dans le dos suivit d'un autre dans le flanc.
Seth tomba � terre. Un autre homme, un noir de forte stature aux cheveux tressés, surgit avec dans sa main un tromblon et une massue.

- Ecartez vous du coffre! et vite. Le second obéissa. Thibeaut sorti le pistolet d'un autre hommes et menaca celui qui sembalit être le chef.

les autres mains se savaient que faire quel parti prendre.

- qui est satisfait du capitaine Thibeaut? Demanda l'homme à la barbe et à la cicatrice d'une voix moqueuse. qui ets content de ses erreurs? de nous avoir presque tous envoyés au massacre?
- Pauvre crétin! Range ton arme ou je te tue.
- tu me rejoindra et toi reste � terre par les vierges de Dieu! cria t-il pour Seth qui reçut un coup de pied, le noir l'immobilisa. seth commenca � crier et menacer.

Les nouvelles recrues qui n'osaient rien faire étaient visiblement de l'avis des mutins. Le massacre avait été pour eux une aubaine � leur cause.

- Qui nous rejoind recevra le double de sa part!

Alors que l'on pensa la situation perdu, plusieurs marins s'étaient levés et mis du coté des mutins, ce n'était que des étrangers sauf le chirurgien. ils étaient armés et dangereux. comme Ils le demendaient, tout les autres furent placés au fond du tillac, Seth lui était toujours tenu par le noir et le capitaine était sur le tillac menacant le chef des révoltés. il y avait que autre réel mutin, dotn un qui venait de se faire ennemi de Thibeaut, les autres le savaient rejoind par peur. Les quatre hommes dominaient la situation et meanca les autres sous les armes. soudain comme inexpliqualement le chirurgien fit un signe au capitaine et s'avanca.

D'un coup il attrapa l'homme � la barbe par le dos, passant ses bras devant lui et lui écarta les armes.
- C'est quoi ce merdier!?

Le chirurgien très rapidement après avoir écratez les armes il appuya sur la détente d'uen d'entre elle, la balle sorti et rentir dans le bras du nouveau mutin. Ce dernier cria de douleur et lacha son arme. Le capitaine fit feu sur son ennemi qui reçut la balle en pleine tête.
Seth � se moment profita d'un moment de relachement du noir pour q'écarter de lui et lui sauter au cou. Levant son genou jusqu'au menton du noir il lui fit éclater deux dents. Puis rapidement il lui attrape le bras armé et lui expédia un coup de pied en plein dans les testicules. L'homme lacha son arme.

le derniers mutins braqua son pistolet et tira en touchant � la jambe le capitaine et alla tirer le chrirgien quand une autre détonation retenti, seul d'un des marins qui avaient réussi � garder son pistolet. la balle traversa le poumon et il tmba mort.

Seth d'un seul mouvement ramasse la masse et passa sur le dos de son ennemi qui se redressait. Le noir eut un coup � la nuque presque mortel, il perdit le controle de son corps. il tomba sur le sol.

le mutin blessé ramassa une arme � deux et menaca le capitaine.

Cette fois c'est la vengeance de Robert! Tu vas crever sale rat.

Le capitaine senti sa dernière heure venu. L'homme braqua son arme visa sur Thibeaut qui était presque immobil. Seth commenca � courir mais s'était trop tard. Un sourir se désina sur les lèvres du tireur puis il écrata les yeux de surprise et posa son regard sur sa poitrine. Il vit jaillire de son ventre une lame. Un filet de sang sorti de sa bouche et il tomba mort, derière lui surgit le mousse espagnol, le plus agé qui sorti la rapière du corps avant de la replanter dans le dos du mutin.

Cette instant fut un moment de joix, l'enfant était accepté dans l'équipage et ne fut plus concidéré comme mousse mais marin. Ceux qui avaient rejoind les mutins ne furent pas punis car souvent étrangers, ils avaient tous avis par peur, sauf Robert qui s'était rallié � eux pour se venger du capitaine.

Edit: poste d'Eric le jeune mal placé par une erreur de ma part (blocage du topic)

*Raphaël était en mer � la recherche d'un cotre avec � son bord au moins un pirate arabe, "Autant chercher une aiguille dans une meule de foin" se dit-il quand Franz l'interpella*

_Hola mon ami! Tu as l'air soucieux!
_Comment ne pas l'etre? Nous avons traversé les îles du vent et RIEN! Cela fait un bout de temps que nous sommes a la recherche de ce foutu cotre et toujours RIEN!
_Il fallait s'y attendre. Tu sais rien ne nous empeche de rester un peu ici et de nous rabattre ensuite sur une île civilisées comme Anguilla, elle n'est qu'� quelques jours de mer il me semble, d'ailleurs Olaf m'a fait savoir que nous avions un minimum de vivres. Nous ne pourrons pas tenir 6 mois en mer. Quelques semaines tout au plus. Pour l'instant nous ne faisons pas de rations trop sévères pour ne pas décourager l'équipage mais si dans 2 semaines nous sommes toujours en mer il faudra y repenser.
_Oui je sais. Nous resterons une semaine et quelques jours de plus en mer dans les environs ensuite nous nous dirigerons vers la civilisation et enfin...

*Soudain un beuglement se fit entendre de la hune de la vigie, c'était en hollandais et Raphaël dut attendre que Franz fasse la traduction*
_La chance nous souris mon ami. Tomäs vient de voir un petit batiment par babord a quelques emcablures. Il file vite mais avec un peu de chance si nous nous aidon des courants nous pouvons croiser sa route.
_A t-il un pavillon?

*Plusieurs séries de phrases furent échangées entre tomäs, la vigie et Franz le capitaine. Il se retourna vers le second français*
_Il n'arrive pas a voir, la brise le rabat sur le mat.
_Bien. Hissez la flamme des parlementaires, chargez les canons babord mais gardez les sabords fermés! C'est une mesure de prévention nous ne les attaquons pas! *Il insista sur ce point*. Ce batiment aura deux réactions en nous voyant, nous sommes un brick de course armé, ce navire ralentira ou au contraire essaiera de nous échapper cela voudra dire qu'il ne tient a croiser la route de personne mais nous ferons tout notre possible pour l'intercepter. S'il ralenti ce qu'il fera j'espere je veux que tout soit fait pour qu'il sache que nous sommes un batiment de commerce et que nous n'allons pas les attaquer!! Ce n'est aucunement notre intention. Ils foncent toute voile dehors cela ne m'étonnerait pas qu'ils soient poursuivis... Bien lancez la chasse.

*Franz s'éxécuta et alla vers la dunette, Raphaël s'étonna, lui le second avait intimé un ordre a son capitaine! Mais apres tout c'était sa course, sa quete et sa chasse. il était a bord d'un brick de course, ils parviendraient peut-etre a les rattraper ou au moins a les suivre. Au pire ils tirerait un coup de semonce pour les stopper.

Raphaël alla au bastingage babord ou il distingua une voile du petit navire repéré par la vigie. Il sourît; vu la taille de la voile il y avait de fortes chances pour que le navire soit un cotre et peut-etre y avait-il a son bord l'homme qu'il recherchait presque désespérément.*

(hrp: il se peut que a partir de maintenant je ne répondes pas tous les jours car étant en vacances je n'aurais peut-etre plus l'occasion d'aller sur internet régulierement (acitivités familiales oblige) je préfere prévenir /hrp)

L'après midi se passa dans une énorme activité, le noir fut juger pour trahison, le procé n'était qu'une proccédure morale pour le pendre. Seul Seth jean, le second et le capitaine avait droit aux armes durant ce procé qui se déroula sur le tillac, les autres furent fouillés afin d'éviter les meutres.

On ne laissa pas � l'accusé la possibilité de s'exprimer, on lui liassa plusieur fois la parôle mais la rage des marins couvraient ses mots, le capitaine et les deux derniers officiers du navire, tout trois haissant le noir, ne tentèrent rien pour entendre l'accusé.
il fut pendu haut et cour sur le mat de beaupré, une fosi mort on détacha la corde et laissa le corps tomber � la mer.

- Il ne vaut même pas la corde qui le pend! Dit le second en crachant dans la mer.
Le coffre fut enfermé dans la chambre du capitaine et un conseil fut organisé pour savoir que faire des ralliés des mutisn et du trésor. Le conseil venait � peine de commencer qu'une soudaine agitation se fit entendre sur le tillac.

Les marins montèrent sur l'entrepont et virent un brick. Ce dernier fit une salve de somation. La tension était grandissante sur le navire, l'équipage était trop affaibli pour combattre mais il ne voulait en rien se laisser faire.

- Il faut fuir! Se battre c'est mourir!
- Nous devons virer sur tribord � 40 degré je pense que c'est le mieux!
- Mais nous nous éloignerons de notre destination! protesta le capitaine.
- Pas trop grave Rajouta Seth qui n'avair rien dit. on a eut assez de mort pour que nos vivres nous permettent de tenir deux semaines de plus.

le capitaine se retourna.
- Vous avez raison! Dressez toute la voilure on va virer à 40 degré! Simon vire la barre à 40 degrè!! Le timonier du quart s'executa. Frêler le grand foc et chargez les canons de boulet ramés!

La fuite commenca.
- On est trop de blessé pour nous battre capitaine! Protesta le chirurgien rejoind par un gabier Dalim, le des premiers hommes � avoir navigué avec Thibeaut.
- Je sais c'est pour cela que la mitraille ne sera pas donnée.

ps: pour me rattraper 5 duel de navigation si tu gagnes tu nous rattrape sinon tu vous vois partir au loin eric....

[hrp: j'ai gagné 3-2 j'ai donc mis du temps avant de vous rattraper /hrp]

*Enfin, apres une course poursuite halletante le brick "Francesca" de Franz et Raphaël avait rattrapé le cotre grace a des vents capricieux et un courant favorable. Ils s'étaient positionnés a babord de celui-ci et ils étaient maintenant assez pres pour distinguer l'équipage sans pour autant pouvoir les voir en détails. Raphaël scrutait le navire depuis la dunette a la recherche du pirate arabe. Franz et Olaf s'approchèrent, Olaf tenait un porte-voix qu'il donna a Rapahël, Franz prit la parole*

_Apres le coup de semonce j'ai donné l'ordre de garder les sabords fermés mais quelques hommes se tiennent prets a charger les canons tribord au cas-ou. Que vas-tu faire? Les aborder pour voir si ton homme est parmi eux? Tu ne veux pas les attaquer mais cela resterait un abordage. On ne voit pas grand-monde et outre le fait que ce soit un petit batiment je trouve cela étrange, soit ils préparent un piège pour se sauver soit il s'est passé quelque chose sur ce rafiot.

*Raphaël restait songeur comme s'il n'avait pas entendu ce que Franz venait de dire et il prit le porte-voix et apostropha l'équipage du cotre*

_Hola du navire!! Je m'apelle Raphaël je suis le second français de ce batiment! Nous sommes un navire marchand qui faisons voile a votre recherche depuis Santiago de Cuba, je suis a la recherche d'un marin arabe qui se dit corsaire du Roy de France! On m'as dit qu'il s'était entretenu avec un officier français: Eric Lejeune dont je suis a la recherche. Nos intentions ne sont en aucun cas d'engager le combat, nous ne sommes aps au service d'un quelquonque seigneur et j'aimerais que cet homme s'il est ici veuille-le bien discuter quelques minutes avec le capitaine et moi-même. Vous pouvez lui donner une escorte si vous le voulez et si vous le souhaitez vous pouvez venir sur ce batiment. Si vous refusez de me dire quoique ce soit vous me verrez dans l'obligation de lancer un abordage de force. Et si vous me dites que l'homme que je cherche ne fait pas partie de l'équipage nous vérifierons en inspectant ce batiment.

*Raphaël laissa un moment a l'équipage du cotre pour qu'il puisse décider. Franz l'aborda*

_T'y vas pas un peu fort?
_Non je ne pense pas. Je leur laisse le choix. Soit il se montre et tout se passe pacifiquement soit il n'est pas dans ce navire et au cas-ou je l'inspecte pour vérifier leur bonne-foi. S'il est la il peut décider ou il veut me parler. S'ils coopèrent tout ira bien, je ne vois pas pourquoi ils opposeraient une résistance dans tous les cas. Soit il n'est pas la et tout va bien pour eux soit ils ne répondent pas ou tentent de fuir ou d'engager le combat et ca ira mal pour eux. Nous sommes a mon avis plus nombreux et nous avons 9 canons qui ne demandent qu'a cracher la mort. Et puis qu'est-ce qu'il risque?? Je ne suis plus officier je ne pourrais donc pas l'arreter et de toute facon je n'en ai pas envie.
_Mouais... je suis pas sur! POur moi ca fait quand meme un peu "Soit vous vous laissez-faire soit on vous tue"
_Non je pense qu'il a raison. *Intervint Olaf* Ce n'est pas dans leur interet de résister et s'ils veulent nous cacher des choses il suffira a cet arabe de venir sur NOTRE batiment. Et de toute facon nous avons un avantage. Nous aurions pu leur proposer ce marché apres avoir dévasté leur pont. Je trouve ce marché honnête.
_Tu vois! *renchérit Raphaël*

*Il reprit le porte-voix, le brick se rapprocha du cotre et il parla a nouveau*

_Alors que décidez-vous?! Si aucune réponse ne nous parvient nous ouvrirons le feu. Nous n'avons pas d'intentions hostiles mais nous sommes prets a tous pour obtenir ce que nous voulons et vous n'etes pas en position de force. Je vous ai proposé un maché honnête. Laissez-moi parler avec ce marin pendant un peu de temps, sur mon navire *Franz failli l'injurier et le frapper mais Olaf le retint* ou sur le votre. Si je viens sur le votre je veux avoir le droit d'une petite escorte. Je répète que nous voulons juste quelques informations sur un homme et ensuite nous pourrons surement vous aider en quelquechose si vous avez besoin de vivres par exemple ou de tissu ou de bois. Je répète que nous n'avons pas l'intention d'engager le combat alors? Que dites-vous???

[hrp: dernier message pour aujourd'hui. désolé scar /hrp]

Le capitaine était desespéré. Seth alla le voir la peur se lisait dans les yeux de tout les hommes.

- que te veulent ils?
- J'en sais rien mais vous ne mourirez pas pour moi!
- un sentiment de sacrifié ta vie au nom du groupe, héroïque... Dit un marin enriant passant derrière eux.
- Non bien sur puisqu'ils ne me veulent aucun mal je risque rien.

Faites réduire toute la voilure!! Hurla le capitaine, qui monta sur les haubans et hurla.

Nous acceptons que notre compagnon discute avec vous! Mais � une seule condition que c'est vous qui montiez sur le navire, armé et avec dix hommes si vous le voulaient mais aucun de mes hommes ne montra sur votre navire!
- Ca serait pas judicié de se battre car s'ils tiennent � toi ils peuvent te tuer d'un coup de mitraille ou de mousquet se serait stupide. D'ailleurs ils sont des canons.. J'ai pu le voir par dessus leur bastinguage. Rajouta le capitaine en redescendant sur le tillac.

- Bordal! On n'a même pas de mitraille Murmura un marin.

Le cotre n'était plus que porté par son erre, tous étaient armés de pistolet et sabre prêt � un combat espèrant que ce dernier n'aurait jamais lieu.

Seth se tenait seul sur le tillac arme au point en cas de duel. il regarda le tillac rempli de cordages soyeusement enroulés sur eux même pour qu'ils ne gènenet personne. Il attendait. Le brick était libre de les aborder sans soucis.

*Sur le brick la satisfaction se lisait sur le visage des officiers et des autres membres d'équipage. Franz ordonna a ses hommes d'aborder le cotre le plus doucement possible. Les matelots s'attelèrent a la tache et bien vite les deux navires se retrouvèrent bord a bord. Aidés par les hommes d'équipage du cotre une petite passerelle fut mise en place pour permettre a Raphaël et son escorte de passer sur le cotre comme convenu. Avant de changer de navire Raphaël s'adressa a Franz:*

_J'ai besoin de 8 hommes bien armés et Olaf? Peux-tu m'accompagner?
_Si tu veux mais pourquoi? Répondit Olaf
_Ta carrure est impressionante cela dissuadera surement l'autre bord de tenter quoi que ce soit. Maintenant Franz il vaut mieux que tu restes ici. Dis a un groupe d'hommes d'aller charger discretement des mousquets a la cale et si possible charge les canons je ne veux prendre aucun risque. Je pense que nous nous isolerons pour parler...Si dans une heure non deux heures nous ne donnons pas signe de vie...lance l'abordage dabord et ensuite si tu y es obligé...fais tirer les canons.
_Comme tu voudras. Bien je vais chercher les hommes Olaf arme-toi et vas-y en premier

*Olaf s'éxécuta et une fois les hommes armés rassemblés ils monterent sur le pont du cotre. Raphaël s'approcha de l'arabe:*

_Tu dois etre le marin que je recherche je m'apelle Raphaël et je cherche un officier français Eric Lejeune. A Santiago on m'as dit que tu t'étais entretenu avec lui... j'aimerais que tu me racontes les détails de cette entrevue et ensuite j'ai une ou deux question a te poser. Discuterons-nous ici sur le pont ou irons-nous autre part?? En tout cas je ne me séparerai pas d'Olaf mon bosco ce n'est aucunement une marque d'agressivité mais je prefere assurer mes arrières et je t'avoue que je ne te fais pas vraiment confiance...sans vouloir te vexer.

*Ca y est Raphaël pouvait glaner quelques renseignements sur Eric et il pourrait peut-etre enfin le retrouver et alors... Raphaël bouillonait d'excitation mais il fesait son possible pour ne rien montrer. Il était encore tres jeune; la fougue et l'empressement de la jeunesse brulaient en lui comme le feu ardent du foyer des Enfers d'Hadès.*

[hrp: je prefere autant ne pas commencer les mp maintenant car je n'ai pas énormément de temps a consacrer a internet pour l'instant mais fais selon ton bon-vouloir ^^ /hrp]

Seth salua les marins, et ria en son fort intèrieure. il s'assit ent ailleur sur le tillac du navire puis dit d'un ton sec .

- On discutera ici. Seth posa son cimeterer, arme au trancahnt ravageur mais décoré et tailleur d'or. Une merveille d'arme de combat d'une résistance d'un équilibre, d'une allure et d'une tranche exeptionnel.
Il respira un bon coup et regarda les cordages du gréement.

Dans l'entrepont tout le monde attendait, on s'occupait des blessés et discutait jouant pour certain d'autre vérifiant leur armes.

- Je connais pas votre homme.

Raphaël insista en décrivant son homme et en lui parlant de leur rencontre. seth réfléchissa un peu puis dit.
- Eric le jeune? Un gars un peu jeune vous dites... Un officier de marine? Attendez je crois avoir un souvenir un gars jeune tolèrant mais un peu grande gueule? si je me souvien bien...
- C'est cela! Clama Olaf qui recut sur le pied un coup de la part d'un marin.
Les interlocuteurs étaient accrochés aux lèvres de seth.
- J'en sais rien. Il a tenu � faire route avec nous mais disons que la prèsence d'un officier du roi dans nos activités de corsaires nous géné un peu donc on l'a laissé sur l'île. il a dut prendre la mer puisque vous l'avez pas vu sur l'île. Mais où? j'en sais rien.

-Vous n'avez pas une petite idée? Demanda Olaf. Seth ria un peu plus dit lentement.
- J'ai parlé dix minutes avec et homme y a presque un mois c'ets un miracle que je me souvienne de lui ne m'en demandez pas trop. L'immensité de la mer peu cacher n'importe quel navire n'importe où. Si vous voulez savoir où se trouve votre compagnon trouvez sur quel navire il vogue et questionnez les chefs de chantiers et maitre de quai ils seront peu être où le navire se trouve ou fait voile.

Seth ètrangers venu depuis quatre ans aux caraïbe commencait � bien connaitre la disposition géographique de l'archipel, pouvez reconnaitre les grandes cotes des île smais ne connaissent rien de l'intèrieure des îles, � part certaine un peu, comme beaucoup de marin. il était donc incapable de savoir où pouvait aller un navire.

C'est tout ce que j'ai à vous dire. Clama Seth en se levant d'un ton sec et grave. ses cheveux volaient dans la bonne brise de la mer. Il regardait l'immensité de la mer, tout autour de l'horizon que de l'eau, d'un bleu clair brillant au somment des lègéres vagues faites par le vent. Cet endroit était l'un des plus beaux du monde pensa l'arbe, qui voyait en son exile la possibilité de découvrir un monde plus beau que les autres.
-Regardez tout cela. nous en sommes qu'une tache dans la mer. Recherchez dans les îles se sont des oasis dans un désert d'eau. des endroit vitaux et important.

C'est tout ce que j'ia � vous dire.

ps: comme dans la réalité j'ai dit ce dont je me souvien � l'instant de l'affaire j'ai peut être faut mais bon seth � vu ton homme y a plus de trois semaines donc se souvien de rien.

*Olaf se pencha vers son second et lui chuchota a l'oreille:*

_M'est avis qu'il ne nous dit pas tout ce qu'il sait.
_Et moi je pense le contraire. De toute facon cela m'étonnerait qu'il m'en dise plus. En tout cas Eric est bel et bien passé par Santiago et il a bien répondu aux questions sur les traits physique et de caractere d'Eric. Je lui fait confiance.
_Mouais. C'est vous qui voyez. C'est votre recherche apres tout.
_Exactement. répondit Raphaël plus sechement qu'il ne l'aurait voulu

*Il se tourna vers Seth en pleine contemplation. Raphaël se surpris a admirer lui aussi la magnificience et le l'immensité bleue du monde. Il parla a Seth et parvint un peu a détacher son regard de l'horizon ou le bleu du ciel rejoignait le bleu marin*

_En effet eric a toujours été grande geule. Ce qu'il pense il le dit et il est franc surtout envers les hommes qui selon lui méritent son respect. C'est un homme bon et de grand talent. S'il a été franc avec vous quelque part vous pouvez en etre honoré. Et c'est vrai qu'il est officier du roy mais il est plus a son propre compte, il ne pourchasse que les pirates qui lui ont fait du tort ou qui sont moralement condamnables. Il n'aime pas trop les anglais et encore moins les espagnols pour une raison qui lui est propre et malgré son inconstante insubordination aucun gouverneur français n'a jamais eu a se plaindre de lui. Je comprends que vous n'ayez pas voulu faire route avec lui mais a mon avis vous auriez du dans mon interet premier et aussi dans le votre accepter sa proposition pour quelque temps. Son navire aurait été une bonne protection, tout comme pourrait l'etre le mien *il insista sur ces mots* et quelque chose me dit d'apres l'état de vos hommes qu'un soutien n'aurait pas été de refus. Si vous le désirez je peux vous procurer du matériel pour soigner vos blessés, réparer vos avaries et vous fournir un peu de vivres. Qu'en dites-vous??

*Olaf eut l'air outrée mais il se retint quanq il croisa le regard de Raphaël. Celui-ci avait toujours été généreux de nature et maintenant qu'il n'était plus officier du roy il pouvait venir en aide a quiconque en avait besoin.*

- Ca c'est pas à moi d'en décider.
Dit Seth après avoir écouté le capitaine. Il allait � la lumière de l'entrepont et appela son capitaine. Il y eut de nombreux bruits dans le navire puis le capitaine monta suivit de cinqs hommes armées.
Sous le tillac tout le monde commencait � devenir nerveux, deux hommes montèrent sur le tillac et commencèrent � s'étirer.

Les deux capitaines discutèrent un peu, il ne leur fallait rien mais juste un barille d'eau douce pour les blessés. Ce dernier leur fut offert assez rapidement. Scudamore monta � son tour et salua les francais, les mains tachées d'un sang écaillé.

Les pirates las d'attendre commencèrent � monter et � reprendre leur activité. Seth rejoignit un groupe de marin et leur expliqua quelque finesse du bordage de voile, ces hommes étant pas des gabiers ils n'étaient jamais montés sur le gréement. L'arabe profita de l'immobilité du navire, porté juste sur son erre � une vitesse de trois noeuds, pour initier ceux qui restaient sur le tillac au gréement.

seth monta rapidement sur le senflêchures suivit par les autres qui grimpèrent facilement. Garder l'équilibre et travailler en même temps furent pour eux une autre histoire.

afin de pouvoir continuer mon rp je laisse en plan ce cher Eric... (peut être une autre fois) et je continue.

Le cotre avait repris sa course, le tanguage du navire avait disparu avec la vitesse aquise.
Il n'y avait rien � faire, il profitait d'un vent favoriable. Le capitaine demanda � ce que l'on borde l'armure du grand hunier. Seth sur le tillac veillé � la manoeuvre.

Le capitaine était déscendau prendre du repos, il passa le caïbotti et observa les marins qui lui servaient. Ce n'était pas un grand équipage, tant sur le nombre que les manières. Les blessés avachis dans leur banle somnelaient, certain saluèrent le capitaine qui leur rendu par un sourire la politesse. L'un d'entre eux au fond chantait une chanson de manouvre, qui était repris par certain homme comme il fallait, plus par habitude de chanter quand il entendait ces parôles que par envie. Un marin au pied tranché s'iniciait � la flûte.
Le capitaine regarda scadumore assis sur un tonneaux, face � un bau et qui avec son couteau tué les pucerons, plus pour tuer le temps que les bêtes.
Ce dernier émis un son non articulé en voyant le capitaine, puis il but un peu et dit.
- Comment va votre bras?
- Assez bien mais je ne peux pas tenir la barre! C'est gênant.
- Vous restez notre capitaine. dit pour conclure le chirurgien qui se laissa tomber du tonneau et continua sa chasse avec non chalance.
L'air était humide et lourd, la lumière venu de la lumière du tillac uniquement, éclairant les quatres premiers mètres de lentrepont puis plongeant le reste dans une semie obscurité.
Le capitaine passa dans le quartier des officiers, leiu plutot ridicul sur ce navire et ouvra les deux sabords de l'étambot, trop petit et trop haut pour acceuilir la bouche d'un canon. Cela apporta un peu plus de lumière et d'air frai.
Le chirurgien souria, l'air devenait irrespirable � cause de la chaleur, la renouvller n'était pas un mal.

Seth se tenait � la barre, barrant comme il le fessait dans la mer rouge, une main sur la roue et l'autre � la hanche le regard au loin défiant la mer. Il porta son attention sur le pont du navire, sans grande activité.

- Paul remplacement moi!
- Ok j'te prend ta place mais tu connais mes talents.
- n'exagères pas trop!
- Oauip! faudrai pas qu'ils vomissent en bas! Coupa Paul, en riant laissant dévoiller ses dents jaune et pourrie par le scorbut. Seth ria aussi et lui taper dans le dos avant d'aller au niveau des haubans.

- On va brasser le rand hunier les gars venait m'aider. Les trois hommes qui briquaient le pont se levèrent et attrapèrent le cordage tendu par Seth, qui monta dans le gréement.
Les marins tirèrent sur le bras de vergue alors que Seth lui donna du mou � l'armure.

- On va virer lègérement � environ 4 degrés sur babord!
-mais ca nous éloigne de notre route! Protesta Paul à la barre.
- Dis pas de connerie! 4 degré c'est rien et on va revenir � notre position demain matin ou se soir!
- alors pourquoi tu fais? DEmanda un des trois hommes entrain de tirer sur la manoeuvre. seth droit sur l'espar se tint � la drisse et regarda l'horizon, ses cheveux dansaient au vent et sa barbe aussi.

On va avoir un changement d'allure très légèr mais faut pas le perdre!
- OK!! Tenez vous prêt murmura Paul, qui lanca la barre d'un grand coup. Le navire sauta du haut de la crête de la petite vague et s'écrasa, l'étrave et le tribord en premier dans l'eau puis le timonier en riant rectifia la trajectoire. La brigantine suivit le mouvement, ses cordages glissèrent dans les poulies sous le bôme et la voile se placa sous sa manière allure.

seth resta sur la vergue de grand hunier observant la mer remplacant une vigie non présente.
a part le navire fillant du nommé Raphael pas une voile � l'horizon

Le lendemain de la venu de Raphael le capitaine réveilla tout l'équipage avec la clochette d'alerte. Les hommes se levèrent d'un coup, commencant � se préparer au branle le bas de combat quand leur capitaine descendit et leur dit.

- N'ayez crainte! c'est juste que je demande tout le monde pour élire notre nouveau quartier maitre. Prenez un quotidien que notre coq a préparé sous ma demande!

Cette nouvelle fut bien acceuillit, Seth qui se leva et s'étira dit.
- Pourquoi tant de bonnes intensions? vous voulez être le capitaine et le quartier maitre? Seth le capitaine ria mais le répondit pas.

Les hommes avaient mangés des biscuits sec et bu un gobelet d'eau qui commencait � devenir croupie puis montirent sur le tillac. Le vent était fort et frai mais la mer calme.
Le capitaine � la barre appela Jean le barreur, leur meilleur timonier pour le remplacer.

- Tu sais comment ca se passe ce genre d'évènement "l'étrangers" questionna le jeune mousse espagnol.
- aucune idée mais j'ai hate de voir cela. Dit Seth presque � voxi basse.

Le capitaine, qui avait mis ses meilleurs vêtements pour saluer l'évènement expliqua l'importance du quartier maître � ce bord et l'importance donc de bien choisir puis il laissa libre au candidature. A l'étonnement de certain Seth ne se présenta pas, étant illètré, il ne préférait se concenter de son poste. Le plus ancien des compagnons de Lefèvre se présenta ainsi qu'un ancien scribe.

les votes eurent lieux et ils donnèrent raison au scribe Quentin Doriani, mais � la surprise de pas mal de monde le chirurgien obtint trois voix, pourtant non initié � l'art de la navigation. Seth avait voté pour le scribe car il avait confiance en un homme de lettre pour défendre les matelots sur le droit du navrie et veillait � ce que le capitaine ne tente rien seul.
Le capitaine fit ouvrir un tonneau de rhum l'un des trois derniers. Tout le monde se rua.
Les timballes de fer, cabossés, furent remplis directement dans le tonneau, la boisson tant convoitée était bu par gorgé rapide. Les hommes avaient tous bu cul sec leur verre même seth qui commenca � toussotter la gorge en feu, pas abitué � l'alcool aussi fort.

On referma le tonneau et plusieur hommes le descendirent.

Dans combien de jour on met pied à terre capitaine? Demanda Amien, un marin sans grande valeur.
- dans cinqs jours au mieux...

Les cinqs jours se déroulèrent sans soucis, le cotre, filait sur la mer calme sans tempête. "La boussolle" fut tenté par une bisquine qui s'était risqué en mer mais le quartier maître et le second jugea cet acte dangereux. Ils virent une carave de trois navries marchands faire voile vers Hispaniola durant leur voyage.

Puis un jour l'île osa se montrer � l'horizon, le tajet fut calme et long. Puis le navire fut � quai.

Ce fut au bout de deux semaines après cette aventure avec ce dénommé Kevin que les pirates de la "boussole" décidèrent de reprendre la mer.

Le cotre fila sur les mers des caraïbes et en un jour sans soleil, un jour couvert de nuage gris, mais non menaçant, qu'une flûte tomba dans les mains des pirates.

Le bâtiment défendu par seulement trente hommes et quatre canons s'étaient rendu sans se battre, on fouilla les cales et l'on vit qu'il n'avait pas grand chose � protéger, leur vie valaient plus que cela. Les pirates heureux de ne pas avoir eut � se battre furent aimable, ce qui étonna les assiégés, on prit les trois barils de teinture indigo.

contrairement � ce que demanda le quartier maître Quentin, le capitaine refusa de faire juger l'anglais Will Pongs, le remerciant de sa sagesse.

Le cotre quitta le navire, qui repartait assez heureux de sa mésaventure, avec deux hommes en moins qui avaient rejoint les pirates.

Seth regarda les deux recrues.

* Merde ils parlent pas français ni arabe... évidemment ils sont pas curieux!*
- Toi occupe toi de traduire ce que je vais dire! Ordonna t-il à un des membres de l'équipage parlant anglais.

- Nous vous demandons de faire preuve de courage et de ne pas hésiter dans vos actes!

La conversation continua, Seth regarda du coin de l'oeil, une conversation tout autre, celle des deux puissances du navire, le capitaine et le quartier maitre, sur la dunette. Ce dernier ne semblait pas aimer que son pouvoir soit réduit � néant

- Ferme la Quentin! Laisser vivre un homme qui c'est laissé faire c'est le moins que l'on puisse faire!
- Et ainsi on ne sera jamais si nous avons laissé un tyran vivre! C'est dans notre charte de juger les capitaines sous notre main.
Thibeaut plongea son regard dans les yeux bleu de Quentin il fit quelque pas vers lui et dit.
- alors toutes lois ne sont pas justes! il faut savoir se montrer humain comme tu le dis!

Plusieurs marins virent la dispute et Quentin préféra y mettre fin, il préférait paraitre faible que de rendre instable les liens entres l'équipage. Il fit un sourire au capitaine et vint prendre la place de Seth et mit fin � la conversation entre seth et les anglais plus grotesque que serieuse.

Le navire voguait sous un ciel bleu azur, les nuages s'étaient vidés sur l'île d'Hispaniola. La mer turquoise illuminée le jour sous un soleil de feu.

Seth s'occupait � monter sur les haubans en se servant uniquement des enfléchures, suspendu dans le vide se hissant � la force des bras. Une chute ne serait pas mortelle, le gréement étant assez petit, mais pouvait vous briser la nuque ou le cocsis si par malheur vous tombiez dessus.

Les muscles tendus et contracté, les veines apparaissantes sous la douleur, le visage dur et rouge, seth escaladait pour la deuxième fois les haubans. les hommes regardaient cela amusé.

la vigie hurla le capitaine sorti de sa cabine, Seth passa du bon coté des enfléchures, les hommes s'activèrent. A tribord une proie, un sloop. Le capitaine ordonna de border toute les voiles et de profiter de ce vent adossant pour donner la chasse, le sloop vira bout au vent et fonça vers Hispaniola.

La course dura jusqu'� la nuit, rapprochant les deux navires des falaises, mais au petit matin le navire avait disparu profitant de la nuit pour aller se réfugier vers un port.

Le cotre pilla un chasse marée, la proie était faible, seulement quinze hommes des pêcheurs. On leur prit de quoi manger et le peu de matériel de pêche puis le cotre reparti. Mais déj� il avait une cible, une frégate goélette.

La course dura deux jours. Les deux navires allaient de bon train, les pirates avaient été repérè la veille mais le navire n'avait que fait mettre toute voilure il ne voulait pas changer de cap.
Seth alla voir son capitaine.

- thibeaut tu peux m'indiquer où est le Nord avec la boussole?
Le capitaine répondit � la demande Seth et le regarda s'agenouiller vers l'Est et faire la prière comme il la faisait deux fois par jour, loin des 5 demandées.

Durant la prière personne ne dérangeait seth on respectait les cultes même ceux des ottomans, mais Seth put s'apercevoir que l'on changea de cap et il se retrouva � prier vers le Nord, on vers a Mecque. Quand il eut fini, il se releva et constata une agitation sur le tillac il alla voir le capitaine et lui demanda d'une voix amusé.

- Ca t'amuse de changer de cap quand je pris?
- C'est pas pour rire Seth c'est important! Rétorqua le capitaine d'un ton sérieux. il indiqua un navire qui fonçait vers eux. Lefèbre mit son tricorne et fit sonner la cloche, le branle bas était sonné.

- c'est un navire armée pour la guerre! un sloop jamaïquain! et il fonce sur nous!
- Un navire du roy? Demanda un matelot passant sur la dunette.
- Tout justre! mais pire qu'un vaisseau de guerre! Un chasseur de pirate. Je préférais mille fois être devant un brick mené par un officier du roy!

ce gars l� est un corsaire ou un des nôtres qui nous a trahit!
- où est le gros dangers? Demanda Seth.
- il connait nos manière de livrer bataille et les utilise, le combat n'est pas gagné d'avance!

Chargez avec des boulets ramés! Hurla Jean Grandami.
Y a un gars qui s'y connait en canon? rajouta seth après s'être retourné vivement, un homme se montra, mal entendant, témoignage des ses longs services au près des pièces de marine. Tout le monde le connaissait.
- écoute kevin blonch je te charge d'être le nouveau maitre canonnier!
- Depuis quand tu nomme à ma place?! Demanda froidement Jean, puis souriant rajouta.
- Ca devrait faire longtemps que tu aurais dû avoir ce poste Blonch! Tu calculera l'angle de tir pour chaque pièce!
Gabier dans le gréement, risez moi la grand hunier et affaler toutes les voiles!

l'activité sur le pont fut intense, le grand foc et le foc furent déployés, l'ennemi se prèparait au combat.

seth descendit prendre son cimeterre.

Les deux navires se faisaient face, fonçant l'un sur l'autre.

Le vent adossant "La boussole" ce dernier n'eut pas de mal � tirer avantage du vent
Le vent frai et fort, gonflant les voiles. Sur le tillac les canons étaient chargés, ils firent feu l'un après l'autre, emplissant les oreilles d'un vacarme assourdissant et recouvrant le tillac d'une épaisse fumée blanche qui se dissipa grâce au vent.

les boulets ramés déchirent le foc du sloop, la voile claqua en l'air et la déchirure la traversa d'un bout � l'autre alors que l'étai, tranché, pendait en l'air. Mais ce tire ne fut pas très efficace car tiré � trois encablures, les chasseurs eurent le temps de changer le foc, avant que les deux navires soient � distance où l'avatage de manœuvrabilité était vital. Mais cela eut sur le moral des ennemis un effet, le capitaine ennemi compris qu'il avait � faire � un dangereux pirates mais il le savait car c'tait bien "La Boussole" qu'il voulait stopper.

Le cotre chevaucha les vagues écarlate, � l'horizon qu'une voile qui fuyait la bataille et le sloop. on rechargeait encore aux boulets ramés, Seth aidé � la manœuvre en bordant les cordages nombreuse Jean Grandami mit sa main � la pâte et rechargé la pièce de chasse.
Seul la capitaine imperturbable fixant son ennemi restait sur la dunette.

Les deux navires furent � une encablure quand la pièce de chasse rétentit un coup, le boulet de fer alla droit dans l'étrave de son ennemi la brisant nette, on entendit les planches de bois grincer après que leur suipport principal se soit fragilisé.

Les deux navires virèrent de bord et se retrouver bordée contre bordée, comme dans les grandes batailles les deux navires ouvrirent le feu en même temps. Mais les boulets ramés ne tranchèrent qu'un hauban et la flèche du navire ennemi alors que les boulets plein s'abattirent sur le bastingage du navire, le traversant comme une feuille, un des affuts explosa sous le choc. L'énorme canon vola écrasant la tête des deux servants de pièces avant de sombrer dans la mer.
huit hommes étaient morts, cela ne renforça que le désire e se battre des pirates, mais avec un canon en moins et un bastingage dévasté il fallait aborder le navire au plus vite.
thibeaut devait jouer avec le vent.

Le navire vira vent de bout, le canon de chasse, par cette manœuvre, eut la possibilité de faire feu. Le boulet parti sans faire mouche, le navire rapidement fit un demi tour, alors que l'on avait chargé la batterie de tribord.
elle fit feu, les boulets transpercèrent la bastingage, c'était un sale coup pour le chasseur de pirate. Il avait essuyé deux bordées et tiré qu'une seule. Le temps que ses hommes eut fini le rechargement le cotre était sorti de l'arc de tir.

"La boussole" eut tendance � remonter le vent, il eut une lutte contre le navire et le vent. Les vents défavorable, ne permirent pas d'aborder le navire, les eux vaisseaux se tirèrent dessus, les quatre canons du sloop, de fort calibre firent des dommages parmi le tillac. Seth dans cette pagaille continuait � motiver les hommes, plus de quinze avait rendu l'âme.

soudain, la cinquième bordé, les canons devenaient chaud dur � recharger. Les boulets ramés tranchèrent le mat de beaupré et l'un d'entre eux eut raison de la dunette. Les deux morceaux de fer tournèrent sur la chaine, qui traversa la dunette la capitaine ennemi s'était baissé.

il entendit le bois craqué et vit avec horreur le timonier découpé par la chaine et la barre détruite en parti. Le navire ne pouvait plus être manœuvrer, les pirates décidèrent de passer � l'abordage car le navire pouvait livrer bataille et pouvait aussi utiliser directement la timonerie pour manœuvrer.

Le cotre attaqua le navire, sans recharger ses canons, son ennemi avait lui aussi tiré, détruisant un autre canon et fragilisant l'étambot, il ne fallait pas qu'il rechargea.
Le navire arriva rapidement sur sa proie, les sabres furent tirés, les armes � feu rechargés, tout le monde étaient prêt dans les deux navires.

Le cotre s'approchait du sloop, les marins se tenaient tous collés au bastingage afin de se protéger d'éventuel tire. Certains hommes menaient par le second se chargeaient de la manœuvre afin de ralentir, remontant les voiles, pour éviter que les deux navires s'entrechoquent, car en haute mer une voix d'eau était fatal. seth était heureux de pouvoir enfin se battre, il demanda aux trois moucheurs de lui laisser le capitaine qui méritait un mort noble, les hommes lui promirent de le faire en riant.

Le capitaine regarda le matelot � sa gauche, un homme bien bâti mais plutôt maigre, au pantalon rayé rouge et blanc. il le voyait tremblé, le capitaine lui demanda.
-C'est ton premier combat?
- Ouiap!
- ait confiance en toi, soit sur de toi et fais pas d'erreur en te surestimant! N'imite pas ce fou de Seth, tu y resterais.
L'homme ne semblait pas rassuré, le capitaine se leva serti sa rapière et hurla

Compagnons! Vous êtes tous de bon marin j'ai confiance en vous ne me décevez pas! ce n'est pas des mangeurs de pudding qui vont nous arrêter!! Cette fois nous sommes la proie mais cette chasse est comma la chasse au tigre!
La chasseur n'est jamais sûr de gagner, son adversaire est plein de ressource et une erreur est fatale! Notre ennemi "Epilogue" a commis une erreur!
Je vous connais et je sais que vous ne mourirez pas sans avoir tué un anglais alors soyez sûr on va les écraser!!!
Notre terreur n'est pas près de se stopper!

Les marins brandisèrent leurs armes en l'air, certains auraient tirés si la situation l'aurait permis. Les marins hurlèrent tous d'une même voix, sur le sloop on entendit comme un hurlement inhumain, les marins furent terrorisé. Leur capitaine les ramena � la raison en leur demandant de se battre non pour la couronne mais pour leur vie et leur femme.

Les baux des deux navires se cognèrent, le cotre ralentit subitement sa course et son hère le poussa le long du sloop. Un groupe de pirates se jeta � l'abordage. ils furent reçut d'une volée de balles qui les tuèrent tous. après ça Seth et plusieurs marins montèrent � leur tours. Seth monta sur la bastingage en un saut et prenant appuis il sauta par dessus le mètre séparant les deux navires une hachette et son cimeterre � la main. Il abattit la hachette dans le bras d'un homme armé d'une pique et décapita un autre, une fois � terre il frappa de dos dans l'homme � blessé au bras. Ce dernier vit surgir de son thorax la lame d'un cimeterre, seth reprit sa hachette alors que l'homme tombait mort.
Les grappins furent bien arrimé et on se jeta dans la melée. Le capitaine monta sur le tillac ennemi et vida son arme sur son agresseur.

un vrai bain de sang commença, une bataille meurtrière car aucun camps ne voulait se rendre, le tillac se couvrit de sang, mais le sable déposait dessus au paravent empêchait que l'on tombe.

L'issu de la bataille était incertain

Le combat faisait rage, mais le nombre de corsaire semblait largement supérieures � celui des pirates,malgré les efforts de Seth réduire cet écart... Plusieurs groupes s'étaient formés sur le navire, Seth se tenait sur le gaillard avant, a ses pieds dix hommes gisant presque mort. C'était un endroit tranquille tant que le tillac serait en guerre, car si un homme pouvait recharger son arme Seth ne tiendrait pas. Le capitaine ennemi égorgea son troisième pirate quand une détonation se fit entendre, il était touché au front. il recula, laissant son arme par terre, sous l douleur, et reculant encore, il passa par dessus le bastingage mort. les corsaires semblait démoralisé, mais leur nombre leur donna encore une force.
thibeaut cria victoire trop vite, une lame lui transperça le bras, il garda sa rapière en forçant mais il ne pouvait plus bouger le bras. il regarda son agresseur qui souriait juste avant d'avoir le crâne fendit qu'un coup de sabre d'abordage par l'homme que le capitaine avait encouragé. Ce dernier salua son chef et l'aida � se relever.
une série de détonation fut la fin de tout espoir, plusieurs corsaires avaient rechargés, les balles fauchèrent les pirates, dont le nombre diminuait sans cesse, Mais les blessés continuaient � livrer bataille debout mais même allongé.

Soudain le capitaine se leva et hurla, il demandait le replis, il vit le second, un homme richement vétu, l prit un pistolet � silex mais la douleur l'empêcha de toucher sa cible. Un moucheur rectifia cette erreur, un trou large d'une pomme se trouva dans le ventre de l'anglais qui tomba mort.

plusieurs pirates tranchèrent les cordages des bras de vergues et les armures et écoutes. Seth fit de même avec les étais du foc.

Le sloop était immobile, les pirates qui avant cela avait coupaient leurs grappins et remit les voiles sautèrent dans leur navire.

C'était une fuite, il était plus que dix neufs hommes, le capitaine, maître d'équipage, le quartier maitre et le chirurgien et les vigies, seuls hommes importants encore en vie. aucun n'avait été épargné, Seth touchait par la lame d'un coutelas � la jambe et au torse s'occupa des plus blessés que lui, il pouvait et devait supporter la douleur.
Jean grandami était mort avant de prendre la fuite face � trois hommes en coupant les patatras de la brigantine. Lefèbre était recut encore une balle dans le ventre, il était dans un sale état.

Ont se plaça sous un angle favorable afin s'éviter de se faire tirer dessus. Les pirates blessés qui n'avaient pas fuit livrèrent tous combat, non pas d'espoir mais de rage contre leur compagnons. Ils moururent tous au combat ou pendu.

le navire filait bonne allure, au loin on pouvait distinguer le sloop en panne tentant de reprendre la route.

Les pirates étaient presque tous, sauf Seth, Grosier et Alexandre Lant, dans l'entrepont se faisait soigner par Scudamore. Les trois hommes, les moins blessés, se chargeaient de la manœuvre, ils furent rejoint par la vigie de premier quart et un anglais. Personne ne disait mot, tous étaient silencieux le visage dur énervé, certain avait encore les mains tremblantes.

Les heures passèrent, scudamore et Quentin montèrent sur le tillac, le quartier maitre se chargea de vérifier les cartes tandis que l'autre alla voir l'arabe. Il lui changea les bandages, Seth assit sur un tonneau, le regard sombre.

- On est encore combien? Demanda seth sur un ton neutre et las.
- Seulement 18! Mais je crains que deux d'entre nous ne revoient pas la mer. Arrêtes de bouger ton bras! Le chirurgien prit une grande respiration et dit.
Thibeaut Lefèbre et Tom chief.
- thibeaut? s'inquieta Seth.
- oui j'ai stoppé son l'hémorragie mais les fièvres risquent de le prendre.

scudamore après avoir changé les bandages laissa le pirate � ses pensées.

La nuit passa, on devait faire cap sur l'île la plus proche, la Jamaïque. cinq autres hommes s'étaient remis de leur blessure. quentin discutait avec le capitaine, blessé allongé sur son lit de bois dans l'environnement humide.

- pour t'honorer on n'élira aucun capitaine avant d'être retourné � la tortue...
- C'est gentil de ta part mais cela ne vas pas me soigner.
- on a été obligé de faire cap vers la Jamaïque avoua géné Quentin.
Le capitaine tenta de se relever mais sa cote le faisait mal, il regarda son ami au visage creux qui avait perdu son embonpoint.
- Mais c'est de la folie!
- Je sais mais on aucun autre choix, on sinon certains mourront. Nous utiliserons le mouillage tu sais....
- ah lui, c'est une bonne idée.
Quentin laissa le capitaine, la nuit tombait. Ce fut le dernier � le voir en vie.
Le lendemain tous étaient sur le tillac silencieux, même les blessés dans leur branle. Tom et Thibeaut Lefèbre étaient morts dans la nuit emporté par les fièvres. Il eut un court discours et l'on laissa � la mer leur corps dans leur plus belles parures, dans leur branle cousu.

Seth regarda l'horizon la mer, tournant le dos � l'île. Il s'accouda au bastingages.
-* Je commence à douter de ce qu'à dit L'Imam*
- que dis tu? Seth se retourna et vit son matelot, la vigie de premier quart. L'homme était petit chétif mais fin tireur, Seth lui appliqua une tape sur le bras.
-Jean Prais, je repensais � mes anciens compagnons de mer.
- Tu ne m'as jamais parlé d'eux.
- Ce furent mes meilleurs marins et amis. L'Imam m'avait dit quand on avait découvert les caraïbes, je suis pas près d'oublier! il m'avait dit: *Tu vois si Allah avait fait un paradis terrestre je pense que c'est ici.*
- Et ca veut dire?
- Qu'il y a pas plus beau monde que celui ci. Mais ca fait 5 ans que je navigue sur ces eaux et je commence � y douter.

La vigie eut un léger sourire mais ne préféra rien dire. les deux hommes se séparèrent pour aller � leur activités.
Devant une mer bleu azur et un soleil blanc de chaleur, autre facteur qui écrasé les pirates en plus de leur échec.

Avec Bélénos

Après de longue aventure Seth avait finit par devenir pirate sur le navire de Bélénos, le "jaguar" une goélette � hunier � l'allure vif et rapide, bien armé malgré le faible nombre des canons et surtout manœuvré par un équipage expérimenté, qui a du vécut dans la mer et la piraterie; un équipage attirait par l'or; comme seth en avait connu et avait été.

Le navire filait bon vent, les voiles gonflées � telle point que le pont penché légèrement. Les marins avaient forcé la main au capitaine pour fêter la libération de frère de la côté.
La nuit fut passé � boire, sans excès, pour la simple raison qu'il ne restait que trois tonneaux de rhum. Bélénos avait fait le point alors que ces compagnons buvaient et chantaient calmement. Il fit appelé le second, le réveillant dans son étroite cabine.

- nous sommes � cinq jours de la première île et � plus de deux semaines d'un port favorable, si le vent ne change pas car il nous pousse vers les îles anglaises!
- en effet c'est un long voyage mais on aura assez de vivre le cambusier a fait le compte lors de la prise du chasseur de pirate.
- c'est pas les vivres qui m'inquiètent mais l'eau! On en aura pas pour autant de jour! Faut que dès demains on réduit les rations!
- après une soirée de beuverie? mais ils voudront boire et se dessécher!
- Je vais leur annoncer la nouvelle maintenant, ils seront plus tolérant demain, surtout si Marc est au courant on pourra pas dire que je les ai prit en traite...

Dit Bélénos fier de lui, se bombant le torse et prenant la coupe de vin et la but avant de la regarder.
- bion cap jé'y vais dormir! Dit le second en baillant le regard endormi se grattant le dos et retournant à sa banquette.
-Faudrait que je limite ma consommation si je veux en profiter tout le voyage... Ajouta t il en souriant.

Sur le tillac, c'était une fête calme, les marins restaient assez sobre pour manœuvrer car le navire traversait des zones e surventes et déventes t il fallait souvent border ou déborder les voiles.
La plus part des marins étaient autour du plus vieux des prisonniers qui put enfin raconter son histoire, leur racontant comment les pirates avaient été prit en traite par le chasseur alors qu'ils partaient tout juste en chasse, après avoir passé une semaine � la petite goave � boire et fêter la prise d'une flute hollandaise.

- La poisse était avec nous! On avait parcouru la mer durant quinze jours sans trouver un navire attaquable
- Sûr Rajouta Henry � part ce convoi de trois navires mais il nous aurait écrasé en une bordée!
- Par tout les démons de l'enfer leur coup de mitraille a recouvert de sang et de tripe notre tillac, le coup fut tellement écrasant qu'on a � peine lutté. Notre capitaine avait été projeté les tripes au vent par dessus bord rejoindre Neptune. On sait battu � moins de trente contre plus de cinquante bien armé qui ont vidés leur armes sur nous.
On été plus que vingt! Dit le conteur en souriant suivit d'un rire des marins.

le capitaine arriva écouta l'histoire et préféra ne pas déranger cette aventure...

Bélénos fut interpellé par le nouveau pirate. Il se tourna vers son équipage et demanda la parôle.
tout le monde se tourna vers lui, la pipe ou la chique � la bouche, le verre � la main, le sourire aux lèvres mais le regard un peu endormi pour certain.
Bélénos s'exprima avec une voix légère, sérieuse mais pas autoritaire.

- Mes compagnons, j'ai le regret de vous dire que nos vivres en eau douce sont très basses il reste tout juste un tonneau d'eau. Donc � partir d'aujourd'hui nous allons réduire de moitié la ration d'eau, car nous sommes � cinq jours de la première île et nous avons un lot de blessé � soigner. Donc ceux dont el combat � épargné devront réduire leur consommation en eau.
- Pas grave on remplacera ca par du punch et du rhum! Dit Ulrick en levant sa pinte.

tout le monde ria, puis devant le regard sérieux du capitaine les rires se taisèrent les hommes comprirent que c'était sérieux. Il faudrait survire avec seulement une gobelet d'eau par jour durant cinq jours. C'était faisable si le ciel était couvert et qu'il y avait du vent. Mais les caraïbes sont chaudes, très chaudes, un soleil écrasant, et par chance on était en été les vents par contre eux étaient puissant et fréquent. Aucune chance de subir un calme plat, fatal dans cette situation.

Les marins continuèrent � discuter et accueillir les nouveaux venus mais on but moins. alors que le capitaine prenait congé de ses hommes en les saluant d'un signe de tête.

Seth avait peu de mal � s'intégrer dans le nouveau équipage, malgré sa couleur de peau et sa religion qui indisposaient certains membre.
le principal frein � son intégralité était lui même. Il doutait encore et toujours; l'impression de revivre sa vie en boucle: de croire la mort venir et le destin lui joue un tour et Seth s'en sortait, comme par un miracle, mais avec un nouveau fardeau sur le dos.

Simon était le plus fidèle pilier qu'il pouvait avoir, sans être un ami, ils discutaient du temps passé et Simon affirmait � l'équipage que l'étranger n'avait aucun besoin de passer un test pour prouver ses talents, ceux � quoi Seth rajoutait "tant qu'on me donne pas une arme � feux!"

Seth alla voir Simon qui était occupé de régler et nettoyer les canons de chasse.

- Simon?
- Ouaip?! Il se retourna, le corps en sueur. Salut l'étranger!
- J'aurais une question � te poser. Au sujet de Taranis.
Simon fronça les sourcils, le regard étonné, il demanda d'une voix légère. Taranis? je t'écoute.
- Voila, Taranis connaissais mon vrai nom. Dit seth en regardant dans les yeux le chef de pièce. Comment il le connait?
- J'avoue que je ne sais!
- Vraiment? Ajouta Seth.
- Tout a fait. D'ailleurs l'étranger j'ai une faveur à te demander. Les deux hommes se regardèrent. Seth eut un sourire, mais le chef de pièce s'avança et reposa sa demande. Je ne connais pas ton vrai nom, peux tu me le donner, en gage d'amitié.
- Pas maintenant! Mais quand mon heure sonnera ou la tienne je te le donnerai. C'est une promesse!

Seth laissa son compagnon sans lui laisser le temps de l'interrompre, ce dernier se gratta l'oreille puis retourna � son canon.

suite de http://fr.youtube.com/watch?v=ZXC9i1MIpP8

le schooner filait encore bon train. l'équipage était ravi, se sachant protéger d'une gorge sèche pour le mois � venir. Les deux premiers jours se passèrent sans que rien ne fut � signaler; Seth tentait bien que mal � s'intégrer dans l'équipage qui l'avait accepté hormis quelques petits groupe qui devait faire au moins un tiers voire la moitié de l'équipage qui voyait dans cet homme pas un être de confiance de part sa religion.

Le troisièmes jours après le premier quart et que ca faisait plus de cinq sabliers que le soleil s'était levé, le vent changea subitement de direction. Se trouvant presque en vent de face les voiles claquèrent dans les airs, vide de toute force. L'équipage se précipita pour border les voiles, tirant sur le halebas de bôme des voiles aurique pour les replacer dans l'axe du navire et sur les écoutes pour les border.

Béléons qui se tenait � l'avant entrain d'inspecter avec le maitre charpentier l'étrave, leva le nez vers le gréement.

- Carguez la grande voile et la voile de misaine vite!!
- Montez dans le gréement, border la grande voile et la voile de misaine! répéta le second.

L'agitation anima le navire, les marins arrêtèrent leur occupation de briquer le pont et ranger les manœuvres pour s'occuper du navire.

Mictlantecuhtli regarda l'horizon, tranquille sans nuage. Il respira l'air frai, la mer était trop calme.
- Nature vouloir nous ralentir! Mauvais signe. Dit il.
- On risque un calme plat? s'inquiété Bélénos.

L'indien ne répondit pas tout de suite.
- Non! mer clémente.
- Très bien faut changer de cap on va vers l'est pour prendre le vent de travers et remonter quand on pourra!
- barre � 280!
- Parez pour virer! répondit le timonier regardant sa boussoleil devait la mettre sur environ 60 degré.

La manœuvre fut lente � cause de la baisse soudaine du vent, imprévisible ce n'était pas une zone de dévente.

Bélénos le même jour monta sur la dunette, le vent faible en bon pré plein avait du mal � gonfler les voiles.

Il alla voir le timonier avec en tête la vitesse calculée par la biture: 5 noeuds.

Il posa sa main sur la barre circulaire, le timonier enleva ses mains pour ne pas gêner son capitaine. Ce dernier fit remonter le navire de 10 degrés vers le Nord.
- Pourquoi ? on va perdre de la vitesse!
- Mais j'ai fait des calculs, on perdra moins de temps on ne sait pas combien de temps va durer ce vent...

Il refit calculer la vitesse après que les matelots eurent border convenablement les voiles sous l'œil d'Angmar et du second. un noeud de perdu, son aproximation avait été correcte.

Bélénos eut un sourire fier de lui. La mer était calme et déserte, un vent faible ridé la surface de la mer et aucune voile � l'horizon, le ciel était couvert de nuage blanc, aucun risque de tempête.

Seth regarda Bélénos, il avait une certaine admiration pour cette homme capable de faire des calculs exactes, Seth avait été un meneur d'homme et avait deviner la mer mais avait eut souvent du mal non pas se repérer grâce au bâton de Jacob et l'astrolabe mais � prévoir sa position.

"Jaguar courant" était comme l'étranger, un homme qui avait su connaitre la mer et la dompter sans jamais pouvoir se prévoir dans le futur. L'indien ne voulait pas de cette vanité de savoir où demain il serait sur cette immensité.

Seth alla après trois heures de travail alla dormir. Descendant dans l'entrepont où tout était calme. Les hamacs pendaient, rempli d'un corps pareil � un sac � viande. Des ronflements et parfois des grognements sortaient des branles.

Il monta dans ce sien après avoir réveillé son matelot qui monta � la lumière d'une lampe qui se tenait tout au fond du navire devant la salle du conseil.

Seth fatigué senti ses muscles et tendons se détendre, le sommeil l'envahit.

Il entendit un bruit, sortant de son sommeil il observa l'endroit autour de lui. il faisait trop sombre qu'il puisse voir quoi que ce soit. Il tendit l'oreille pas un bruit: ses compagnons n'étaient pas l� . Il sentit tout de même le bercement de la mer, la gîte calme qui agitait le navire.

Il entendit quelqu'un descendre de l'escalier qui mené au tillac. Seth porta son regard, il y vit une silhouette fine gracieuse, portant un vêtement fin et blanc. Sa démarche lui avait été gravé dans sa mémoire, sa voix aussi. Seth eut un sourire, une joie immense.
- Je t'aime.
- Moi aussi! aime moi comme la première fois. lui murmura la femme.

Il passa la nuit � faire l'amour, leur deux corps ne faisaient qu'un, il la sentait la touchait, elle était réalité.

Les deux personnes se tenaient sur le hamac se serrant reprenant leur souffle. Seth leva les yeux et écouta le bercement de la mer, le choc sur la coque, il ferma les yeux et écouta heureux. un bruit de pas. Il réouvrit les yeux, elle n'était pas l� . Une voix sortit de nul part.

- Bouge toi l'arabe! Lui dit une grosse voix, celle de Ulrick.
* Juste un rêve, encore un rêve* pensa Seth en regardant ses mains, dont il était sûr qu'elles avaient encore la sensation d'avoir touchée la peau de la regrettée.
- Bouge!

Seth sortit en un éclair de son branle, mit sa veste déchiré qui lui servait de haut et alla rejoindre les hommes de quart pour manger, juste quelque biscuit avant de travailler.

HRP: pour lire le chapitre précedent: http://forum.ageofseadogs.com/index.php?topic=1612.msg66479#new

Le commandant Cantasbois, enfin l’ancien commandant, repenser aux événements de ces derniers mois : l’embuscade contre son escadre, son acte de désertion et le piège tendu par se salopard de capitaine pirate pour le capturer lui et ses trois hommes. Quand une voie familière l’extirpa de ses pensées, c’était Eric Vermont :
-« Eh bah Pierre tu mange pas tes biscuit, c’est pas très intelligent avec la restriction d’eau.
-Non c’est pas sa je repenser a tout ce qui nous était arriver en deux mois.
-Ouais sale affaire j’espère que Benoît et Geoffroy s’en sorte au moins aussi bien que nous ou qu’ils puissent être…
-A ta place je m’inquièterais plus pour leur geôliers que pour eux. » dit Pierre en essayant de décontracter l’ambiance.
-« Oui tu dois avoir raison…bref changeons de sujet, tu a vu l’étranger a l’air d’être préoccuper par quelque chose.
-Ouaip t’as raison si il était un peu plus bavard on pourrais peut être l’aider, mais bon je comprend il soit méfiant d’après ce que j’ais entendu certains ne l’apprécie pas. Pourtant ça a l’air d’un type bien.
-Sur qu’il a l’air d’un type bien et d’après ce qu’on dit il est pas manchot au combat. Ce n’est peut être pas de la méfiance il n’a peut être pas envie de révéler son secret il doit être trop sombre…
-T’as peut être raison en tout cas essayons de ne pas crier notre situation de déserteur depuis le poste de vigie attendons de mieux connaître certains hommes pour ensuite leurs demander éventuellement de l’aide…
-Ok, tu pense a quelqu’un en particulier ?
-Ouais le capitaine a l’air de homme de confiance, l’indien aussi et l’étranger a l’air d’avoir pas mal voyager peut être qu’il sait quelque chose... Aller c’est l’heure d’apprendre comment faire fonctionner se rafiot. » dit Cantasbois en se levant un biscuit sec a la main son sourire, retrouver depuis qu’il étais a bord du « jaguar », au lèvres.

La journée commença � se dérouler � son rythme habituel. les nouveaux venus commençaient réellement � s'intégrer au groupe et � connaitre le navire, grâce � leur matelot qui avait été choisie par Angmar.

L'équipage était un sacré amas de causes perdes, de criminels et de fous, quelque rêveurs aux rêves biens mystérieux et de maudit par la vie comme l'est le quartier maitre. ce sont des hommes bien loin des causes de liberté et d'égalité de Bellamy. Jamais ils ne risqueraient leur vie sans or � la fin; Mais au fil des voyages et des sermons de Jean ils ont appris � respecter leur ennemis, � éviter le massacre inutile et la violence gratuite. Mais nous restons loin des gentil hommes et voleurs délicats.

Vers la nuit la brise de vent contraire avait déj� commençait � changer d'allure la voilure fut augmenté pour prendre une meilleur prise au vent. On resta tout de même plus nombreux que la normal pour surveiller la nuit, le vent avait tendance � changer d'allure légèrement ou de force assez souvent. Ca pouvait être un signe de cyclone mais l'indien disait � juste titre que non.

Seth se tenait sur la bastingage, les jambes passées dans les enfléchures prêt � monter s'il le fallait pour carguer ou hisser une voile du grand mat.

Le lendemain le vent avait donner plus de force mais restait toujours dans cette mauvaise allure.

sur le tillac tout le monde était calme, certain briqué le pont d'autre lové les cordages. La vigie cria.

Voile face à nous!

Le pont s'agita, les marins coururent vers l'étrave, tentant de voir la voile � l'horizon, le ciel était d'un bleue t le soleil faisait des reflets argentés sur la mer.

- j'vois rien! dit Simon
- elle doit être loin! ajouta un autre.
- Ach che la vois! Dit Ulrick. désignant du doigt un minuscule point.

Plusieurs marins félicitèrent la vigie, d'autre criaient de joix en voyant en effet la voile, content d'avoir une bonne vue. Béléons arriva avec sa longue vue alors que Angmar remettait dans des cris tout ce monde de faignant au travail.

Bélénos observa silencieux le navire. A en voir la mature, seule chose de visible, c'était un deux mat sans doute un ketch ou un brick. Il allait sur nous.

- Que la vigie le surveille et qu'on me prévienne dans un sablier, si il continue � cette allure favorable sur nous il sera vite sur nous.
- Pourquoi pas changer de cap? et le fuir? Demande le second.
- Inutile pour l'instant, On va l'alerté si on fuit.

Le sablier passa, on pouvait mieux distinguer le navire, un brick car bien trop gros pour être un ketch.

Un autre sablier passa, bélénos cracha dans la mer.
- Armez les canons � la mitraille et ceux de chasse aux boulets ramés. Sonne le branle bas de combat. Mais pas d'agitation! Ordonna sur un ton sec le capitaine

La cloche résonna sur le navire, tout le monde descendit dans l'entrepont pour charger ses armes ou remonter le branle et le placeer au bastingage. Le charpentier proposa même de renforcer le coup avec des vieilles planches usées et trouées,c e qui pourrait aider encore mieux.

Plusieurs hommes descendirent avec lui dans son atelier pour prendre les planches.
On chargea dans le calme le plus total les canons, les hommes étaient prêt � se battre, nerveux et pour certain un peu apeuré.

Le temps passa, tout le monde était silencieux, c'était le calme après la tempête, personne n'osait exprimer son anxiété. Bélénos resta sur la plate forme de poulaine, debout � l'avant du navire.
c'était un brick bien armé dont l'équipage semblait s'agiter un peu. Il sourit quand il put lire le nom du brick.
- Jaguar!
- Oui? Répondit l'indien se tenant derrière lui.
- va me chercher Simon, j'ai un doute.

Simon arriva une minute plus tard. Il monta sur la plate forme à son tour.
- Quoi béléonos? Dit il sur un ton rauque.
Le capitaine lui tendit sa longue vue, et lui indiqua le nom du navire, qu'on pouvait voir sur le devant du navire. il était en partie éffacé, comme pour le cacher. Simon resta un moment sans rien dire puis fit part � Bélénos de ses doutes le smêmes que le capitaine.

Le temps passa, le brick courait vers la goélette. Les pirates étaient de plus en plus nerveux, la grande peur était d'être prit de surprise et attaqué sans aucun signal, et perdre ainsi leur effet de surprise. leur dernier combat s'était passé ainsi.
Les deux navires furent bientôt � porter de voix. Bélénos appela un de ses matelots qui savaient parler anglais.
- demande leur comment va Davis?
Le marin obéissa, ne comprenant pas trop. Sur le navire les
quelque marins qui entendirent furent surpris. Béléons demande de reposer la question en parlant de capitaine. L'autre navire réduisit considérablement sa voilure, et un homme se mit aussi sur la plate forme de poulaine.
- Edward Davis? Hurla le capitaine. La réponse fut affirmative.

Simon qui avait fait retirer les boulets des canons de chase, fit tirer le canon tandis que l'idnein montait le jolly roger le long du grand mat.
La réponse du pavillon fut aussi un pavillon noir. C'était deux navires pirates qui se trouvaient en pleine mer. Les marins hurlèrnet de joix, content de ne pas avoir � se battre. On fit un manoeuvre pour rapporcher et mettre � couple les deux navires.

Edward Davis et certaine de ses hommes allèrent � l'encontre des pirates français, qui commençaient � vider leur canon. Les anglais virent que non seulement les branles avaient été mis mais aussi des planches de bois et que les pirates avaient sortit un fort nombre de mousquet. le combat aurait été très difficile. Davis pria sa bonne étoile de lui avoir épargné cette bataille.

Sur les deux bateaux maintenant � couple il y avait comme un air de fête. Les équipages se mélangeaient et certains avaient même sortis des instruments de musique. La rencontre en pleine mer de pirates est souvent un grand moment de joie et de détente pour ces hommes toujours plongés dans un stresse permanant dût aux conditions difficiles de leur situation.

Les deux capitaines ne s’étaient pas vu depuis longtemps et c’était un plaisir réciproque que de parler ensemble, d’avoir des nouvelles du monde, même si quelque fois la barrière de la langue faisait obstacle, mais ils arrivaient toujours � bien se faire comprendre.
_Alors le français, toujours avec ta vieille coque de noix ? Ton ami l’indien est toujours l� ? Sacré bonhomme que tu as l� !
_Oui, et ne cherches pas encore � le recruter sinon tu vas goûter � mes canons ! Répond Bélénos avec de l’humour.
_J’ai vu ça, tu as maintenant du 18 français ? Belles pièces mais un peu long � charger � mon goût.
_C’est parce que tu n’as pas Simon notre chef de pièce. Tu as toujours été un peu jaloux de mes hommes, avoues-le !
_Il est l� lui aussi ? Faut reconnaître que tu m’impressionne � garder tes anciens. Les miens se font tuer ou ils veulent débarquer… pour une retraite bien méritée il faut le dire ! Sinon, que fais-tu dans les parages ?

La discussion était agréable et continuait tranquillement, demandant des nouvelles des uns, s’inquiétant du sort des autres. Les deux hommes se promenaient sur le pont du « Jaguar » au milieu des marins qui festoyaient avec leurs confrères d’infortune, et d’autres qui s’occupaient � mettre de l’ordre sur le pont.

Davis et Bélénos s’installèrent sur la dunette, accoudés au bastingage. Chacun avait son verre � la main.
_Alors, où allez-vous à remonter le vent comme ça ? Redemande Davis.
_A la Jamaïque, une petite livraison � faire et après on file � la Tortue. Et toi, que fais-tu dans le coin ?

A l'énonciation de "la tortue" Davis recracha la gorgée qu'il buvait.
_La Tortue ? Es-tu au courant de ce qui c'est passé?
_Non pourquoi ? Il c'est passé quelque chose l� -bas ?
_Évidemment les nouvelles ne vont pas vite en mer ! Lance le pirate en riant. L'île a été attaquée par l'Angleterre et l'Espagne... Elle a été soumise en même pas une journée. N'y allez pas, c'est se jeter dans la gueule du loup.
_Quoi ? Et il y a combien de temps de ça ? Répond Bélénos surprit de cette stupéfiante nouvelle.
_Je ne sais pas trop... Peut être dix jours... Votre Roi ne veut rien faire. Il dit même que c'est un bien de se débarrasser de ce trou de brigand.
_Dix jours tu dis ? Bon sang, ça n'arrange pas nos affaires ça !
Bénélos pensait � Belfort et son butin caché l� -bas qu'ils avaient l'intention de récupérer. Cette nouvelle allait très certainement compromettre leur projet !

Davis préféra changer de discussion, comme pour ne pas assombrir ces retrouvailles en pleine mer.
_Au fait, pourquoi tu remontais si près du vent ?
_Pour gagner en cap et récupérer demain un bon vent de travers qui nous fera plonger directement sur la Jamaïque, ce qui nous fera gagner du temps.
_Toujours aussi bon navigateur je vois !
_Et toi ? Tu ne m'as toujours pas dit ce que tu faisais l� ?
_Oh moi j'ai décidé de quitter les Caraïbes ! Il eut un rire. Les anglais m'en veulent pour la prise d'une de leur flûte de guerre... Je leur ai donné une sacrée leçon de stratégie, aucun mort, prise d'un navire par la force tout en douceur ! Elle était pleine de munition !
_Ah ! Je te reconnais bien l� en fin stratège !
_Du coup après ça, j’ai décidé d’aller � Madagascar m'y reposer un moment.
_Madagascar ? Mais ce n'est pas la porte � côté !?! Qu'est-ce que tu vas faire l� -bas ? Tu vas t'ennuyer � mourir ! Viens plutôt avec nous il y a des sous � se faire � transporter des armes. C'est moins risqué et ça rapporte même plus que les pillages !
_Tu oublies que c'est la Providence de l'océan Indien... Y a toutes les côtes africaines � piller, les anglais ont pas mal de comptoir l� bas...
- Comme tu veux ! C'est un sacré voyage que tu vas faire. Ton bateau tiendra le coup au moins ? Fait Bélénos en rigolant.
_J'espère! Je n'ai jamais fait un si long voyage sur un tel navire. Il est solide, une bonne capacité et assez rapide. Reste � espérer en notre bonne étoile !
_En tout cas, si tu changes d'avis tu seras le bienvenue ! En attendant on va aller voir Sullivan et Ulrick. Ils ont pillés un stock de Whisky... Tu m'en diras des nouvelles !
_Ces vieux briguant ? Ca va me faire plaisir de les revoir !
_A eux aussi ! Ils m’ont demandé de t’amener en bas. Je ne sais pas ce qu’ils te réservent mais attends-toi au pire, on ne sait jamais !

Les deux capitaines rirent de bon cœur, puis se dirigèrent vers l’entrepont. La nouvelle de la Tortue tombée aux mains des anglais et des espagnols était pour un temps oubliée. L’ambiance était � la fête, tout le monde allait en profiter.

Pierre avait trop de rancune envers les anglais pour se joindre a eux sur le pont et faire la fête. Il se contenter de rangé les mousquets et autres armes tout en pestant de sa barbes naissante qu’aucun affrontement n’est eu lieu, quant Eric descendis pour le convaincre de monter :
-« Allez viens donc t’amuser ! Tiens j’t’ais apporter un peu de rhum.
-merci,mais tu sais très bien pourquoi je reste ici et je ne changerais pas d’avis…
-Allons ils sont pas tous anglais tu sais et puis ils sont avant tout pirates donc dans la même galère que nous.
-A parce que tu te considère comme un pirate ?
-Et bah…on fais partis de l’équipage de ce navire et c’est un navire pirate ok ? Donc aux yeux de la loi on est pirates.
-Quelle logique surprenante…
-Enfin en attendant moi j’ai appris quelque chose que tu ne peut pas savoir puisque tu prend le temps de nettoyer et de ranger chaque armes.
-Et bien vas-y crache le morceaux que t’on appris tes amis anglais.
-L’île de la Tortue est tombée…
-DE QUOI !!! Quand ça et par qui ??
-Apparemment ce sont les espagnols et les anglais qui sont responsables et les combats n’aurait pas durer plus d’une journée.
-Et merde, je compter sur notre escale la bas pour glaner des informations…t’as pas penser a parler de Benoît et Geoffroy a tes potes british ?
-Bin des que j’ai su pour la tortue je suis venu t’en parler…
-Bon amène moi a eux.
-hé bah voila tu vois que tu vas monter sur le pont et avoir des échanges culturel avec les rosbif » dit Eric avec un sourire. Pierre lui répondit avec un regard noir qui eut pour conséquence de déclancher un fous rire chez Eric Vermont légèrement éméché.

La nuit était tombée depuis deux heures déj� . Le « Jaguar » filait gentiment ses six nœuds au pré sur une mer que rien n’oserait troubler. Un bon vent stable et régulier balayait sa surface, entraînant avec lui les vagues que le bateau franchissait tranquillement avec grâce et majesté. La pleine Lune était l� . Elle éclairait de sa lumière réconfortante le voilier et son équipage comme pour veiller au grain. Les hommes, encore dans le souvenir de cette extraordinaire rencontre avec leurs confrères d’infortune en pleine mer, s’étaient endormis dans leurs hamacs fatigués de la fête qui s’en était suivie. Ils devaient rêver, rêver de leur liberté, rêver de la chance de vivre ces aventures qu’offrait le « Jaguar », ils rêvaient tout simplement de connaître encore des moments intenses comme celui-ci.

Mis � part l’équipe de quart, certains se promenaient sur le pont ne trouvant pas le sommeil. Bélénos était l’un d’eux. Il discutait avec Belford � propos de la nouvelle qu’ils avaient apprise par leurs confrères. La Tortue tombée, par les anglais et les espagnols de surcroît, qui l’aurai imaginé ? Elle annonçait la fin de leur quête, c’était évident. Plus tard peut-être ils y retourneront, mais pour l’instant les projets étaient chamboulés. Il fut décidé, qu’après la livraison des armes � la Jamaïque, le « Jaguar » irai � la Petite Goave. Il y a l� -bas un bon chantier naval qu’un des nouveaux, Pierre Cantasbois, connaît très bien. Le voilier commence � avoir beaucoup d’algues et de berniques accrochés � sa coque, le ralentissant dans ses allures. Un bon carénage lui fera le plus grand bien.

Canstasbois étais de quart avec Eric cette nuit l� comme a peut près une nuit sur deux il discutait encore de la terrible nouvelle qu’ils avait appris pendant leur petite fête improviser tout en veillant a la bonne a ne pas entravait la bonne marche des manœuvres :
-« Sérieux, je vois pas comment on va pouvoir retrouver nos deux minots ou même les salopards responsable du massacre la tortue était l’endroit ou on avais le plus de chances d’avoir de bonne infos. » dit Eric plus dépité qu’inquiet.
-« Bah…tu sais apparemment se rafiot a besoin de faire une p’tite cure de jouvence.
-Et alors je vois pas trop le rapport…
-Beh j’ai dit au capitaine que je connaissai bien le gros Jean au chantier naval de petite goave.
-Mais t’es fou ou quoi !? si on met le nez dehors avec toutes les personnes qu’on connais l� -bas on vas se faire prendre en moins de deux minutes !
-Pas si fort tu veux pas le geuler depuis la vigie je crois qu’ils t’on pas bien entendus a New York. De toute façons t’as pas besoins de sortir je vais vite fais avec Bélénos voir le gros Jean et je reviens sa prendras une demi heure, une heure grand max et puis je vais pas me balader avec une pancarte « déserteur » non plus.
- Ok ok mais bon même si ce n’est que petite goave on pourrait apprendre quelques chose a la taverne ou en traînant en ville.
-Je sais mais se serait beaucoup trop risquer…à moins que…bouge pas je reviens »dit pierre en se dirigeant vers Seth. « Hé l’étranger comment vas ? Dis moi j’aurait une petite faveur a te demander… »

Seth qui revenait du gaillard avant, où il avait pu voir danser les remous d'écumes sous le poids de l'étrave, fut appelé par un homme dont il ne connaissait rien.

Il le fixa et alla vers un cordage pour le lover.

- Je t'écoute.

-Vois tu j'ai un service � te demander si on fait escale � la Petit goave. Je dois amener le capitaine au chantier naval. Le problème c'est que ca craint un peu pour moi si on me voit trop trainer dans le coin mais j'ai besoin de trouver des informations...

Pierre mis l'étranger au courant de son "problème" avec les enfoirés qui ont descendus ses hommes et les deux survivants qui ont disparus après leurs captures.

-...et comme tu as a l'air d'un homme de confiance voilas pourquoi je te demande se service car tu comprendra que dans ma situation je dois faire profil bas,bien sur en contre partit le jour ou tu auras besoins d'aide tu pourras compter sur moi et mon ancien subalterne...alors accepte tu?
- Je suis honoré de ta confiance et j'aimerais t'aider l'ami. Mais je suis aussi recherché mais je vais voir ce que je peux faire il parait que le gouverneur a fait un appel aux pirates francais, donc ma présence sera toléré la tienne étant toi un déserteur je sais pas.

Seth posa ma main sur l'épaule du déserteur en signe d'amitié après avoir finit de lover la corde releva la tête et dit.
- Mais je dois faire quoi exactement?
-Et bien � trois rue derrière l'amirauté il y a une taverne où se pochtrone toujours un vieux borgne qui se fait appeler Jim "the peach", me demande pas pourquoi car il est même pas anglais surement un des ses délires d'ivrogne...enfin toujours est-il qu'il écoute tout ce qui se dit.Donc je voudrait que tu aille le voir pour lui ...disont demander des renseignements sur mes deux hommes capturés
seth n'aimait pas trop se présenter à des inconnus mais ca serait pour rendre service.
- Leur nom?
-Le 1ère classe Geoffroy Bofart et le sergent Benoît Dugros

Seth eut un sourire, puis dit qu'il ferrait ce qu'on lui demandait � ce moment le maitre d'équipage tira sur la corde, faisant retentir la cloche pour signaler le changement de quart.

le second qui était de quart laissa sa place � Angmar, Seth regarda les hommes qui lui avaient parlé.
Puis descendit vers l'entrepont heureux de pouvoir dormir.

La nuit continua son cours sans aucun soucis.

Pierre resta encore quelque minutes sur le pont avec Eric :
-« Alors il a accepter ? » Demanda Vermont.
-« Ouais il m’a dit qu’il le ferais on lui doit une fière chandelle sur ce coup là.
-Ca tu l’a dit, t’as eu un sacré culot quand même il aurait put refuser…
-Bah c’était un risque a prendre…c’est comme aux carte et puis on avais pas vraiment d’autre solution.
-Mouais enfin quand tu joue aux cartes tes prises de risque elles sont plutôt foireuses…
-D’ailleurs j’m’en ferais bien une p’tite partit tiens, t’es partant ? » Proposa Pierre avec un sourire en coin.
-« Ha non compte pas sur moi je suis crever et puis les jeux d’argent sont interdit a bord.
-Bah on mise pas on joue pour le plaisir et si tu veux pas j’vais bien trouver quelqu’un d’autre.
-Je pense pas, soit ils pioncent soit ils sont occupés � la manœuvre, de toute façon même sans parier d’argent tu serais foutu de déclencher une bagarre.
-Ouais c’est pas faux c’est vrais que je suis doué pour ça. Bon bah y’a plus qu’a allait rejoindre Morphée. » Dit l’ancien commandant un peut déçu de ne pas avoir pu étancher sa soif de jeux.
-« Aller t’en fais pas tu pourras toujours faire des bras de fer avec Angmar. » Balanças Vermont, un peu moqueur, en tapant sur l’épaule de Pierre.

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mer et ocean (partie rp) => Mer des Caraïbes => Discussion démarrée par: scar le 14 Octobre 2007 à 12:19:52