Forum Age Of Sea Dogs

Une caravelle espagnol avançait, chargés d'or, d'argent, d'esclave et d'autre ressource précieuses. La caravelle aurait normalement dû être escorter, mais après une violente tempête, qui les avait obligé de se séparer de leur escorte et de quitté de leur route initiale et de s'abrite dans les caraïbe en atadant la fin de la tempête, bien que se ne soit pas sur la route prévu. En effet, se n'était pas le chemin le plus cour entre l'Amérique du sud et l'Espagne.
Les eaux était calme, et le capitaine de la caravelle était heureux de ne pas trouver un pirate, et le risque d'en rentrer diminuer chaque seconde, car plus il serait loin des Caraïbe, lus le chance diminuer! Mais soudain:
  -VOILE EN VU DROIT DEVANT! UN GALION! cria la vigie de la caravelle
  -QUEL PAVILLONS? demanda le capitaine.
  -NOIR!
  -malheur! dit le capitaine pour lui même.
Dans le galions ennemi,avec �  sa tête le capitaine Sparrow, les pirates, content de trouver une proie, et sachant aussi l'importance de leur efficacité se préparez au combat. Le galion avait était vu trop tard pour que la caravelle puise fuir, et malheureusement pour elle, l'affrontement était inévitable, et pardessus le matché, elle avait abandonné ses canons au profils de la place pour transporter, et normalement cela ne fessait rien, car elle était escorter, mais l'escorte n'était pas l� !
La caravelle n'avait pas le choix, elle dut se rendre! Le galion récupéra pour près de 1 000 pièce d'or brute, et 8 000 pièce d'or de marchandise! Le galion parti, ravie de son butin.

ps: L'histoire de transport d'or est vraie: les espagnol rapporté richesse d'Amérique du sud vers l'Espagne pour financer leur guerre en Europe!
   

La caravelle ruiné n'eut d'autre choix que de retourner de où elle venait, c'est �  dire au Caraïbe.
Pour financer leurs nourritures, la moitié de l'équipage dû travaillé sur l'île, l'autre moitié allé avec le bateaux pécher! Un jour où le poisson était rare, ils durent s'éloigner des cotes pour aller pécher, mais le pire arriva: 2 voiles pirates apparurent, une devant une derrière, et le même symbole sur les 2: Un dragon sur un fond noir!
La caravelle avait en sa possession 4 canons, mais on ne pouvez en mettre que 2 de chaque coté! elle ne se rendrez pas sans combattre!
Mais les galions pirates était largement mieux armé, et il posséder chacun 200 hommes, contre 50 ennemis!
Le capitaine Sparrow, a bord du black pearl, galion pirates cria:
  -REPLIEZ TOUTE LES VOILES! LAISSEZ QUE LES VOILES CARRES! EH, TOI LE MEC A LA BARRE, 30° A TRIBORD PUIS 20° A BÂBORD! MARIO, DISTRIBUE LES ARMES! MESSIEURS, IL ME FAUT SE RAFIOT SANS TROP DE TROU! ALORS VOUS FONCERAIENT DIRECT A L'ABORDAGE!

La bataille commença, la caravelle ne posséder que 50 personnes, pas assez pour manier le bateau, et encore moins pour canonner, et quand ils entendirent qu'il y aurait un  abordage, ils ne purent prendre le risque de canonner, et le Black Pearl le compris. Le capitaine cria au marins suffisamment fort pour qu'ils l'entende mais pas assez pour que les ennemis l'entende:
  -10 PERSONNES POUR CANONNER, ET NE TIRER QUE SI ILS TIRENT! LES AUTRES A L'ABORDAGE!
Le combat fut rapide: les pirates tirèrent sur les ennemis au pistolet, et les honnêtes, eux n'avait que des épée pour se défendre, et pas assez pour tout le monde, certain se bâtait même avec des balaies! Au premier tire, 35 honnête marins moururent, et ils ne resta qu'une épée! Le deuxième navire arriva et les prit par l'autre coté, et le capitaine du galions qui venez d'arriver, Totus cria:
  -RENDEZ-VOUS ET ON VOUS ÉPARGNERA LA VIE!
Tout le monde regarda Totus, et le combat s'arrêta, déj�  30 pirates du Black Parl était sur le caravelle! Le capitaine de la caravelle demanda �  Totus:
  -Qu'est ce qui se passera si on accepte?
  -Vous serez transformer en esclave, mais des esclaves vivant!
  -Alors nous re...
Il fut interrompu par le bruit d'une gâchette, juste derrière sa tête. L'honnête capitaine se résigna et fini par dire:
  -Nous acceptons! JETER VOS ARMES MOUSSAILLONS!
60 hommes venant des 2 navires pirates vinrent sur la caravelles, les armes et la poudre furent rangez sur le Black pearl. Ainsi la flotte des Sparrow se renforça d'un nouveau navire de 4 canon maximum et de 110 hommes.
Les 3  bateaux rentrèrent �  St eustache, Où il accostèrent peu loin du port.  

Le Black Pearl quitta St Eustache, malgré le temps nuageux, A son bord, le commodore Jack Sparrow et l'amiral Totus Sparrow. Le bateau largua les amarres, déplia toute les voiles, la mer était capricieuse aujourd'hui, mais le bateau pouvait facilement supporté les vagues qui le portait. Le bateau quitta le port, et petit �  petit, il prit de la vitesse. Le temps se faisait de plus en plus menaçant et le vent commencé a donner des coups aux voiles, risquant de les arraché. Mario, le second, zigzagua pour atteindre le commodore.
  -Nous devrions rentrer les voiles capitaine! Elles ne tiendrons plus longtemps! dit Mario.
  -A quelle vitesse somme nous? Ils était obligés de crier pour couvrir le bruit du vent.
  -A 70 nœuds, mais dois-je donner l'ordre de rentrer les voiles?
  -Elles devrai supporter sa encore!
Soudain la pluie commença �  tombé, et les vagues �  se faire de plus en plus violente. Jack regarda le ciel et rappela Mario qui essayer de rejoindre sa cabine:
  -EH, MARIO, rentre les voiles! Nous sommes prit en tempête! Quelle est l'ile la plus proche?
  -St Dominique!
Le commodore fit tourner la barre et mit le cap vers St Dominique, mais la tempête se fit encore plus violente,  et une vigie cria:
  -TOURBILLON D'EAU A TRIBORD!
  -Loin demanda l'amirale Totus, qui venait de sortir de sa cabine pour rejoindre la timonerie.
  -DIFFICILE A DIRE!
  -SORTEZ LES RAMES! NOUS DEVONS SORTIR DE CETTE TENPETE LE PLUS VITE POSSIBLE! commanda le commodore.
Les rames furent sortit, et ils arrivèrent enfin �  St Domminique, où il abordèrent �  2 lieux d'une ville, sur la plage.  

Les quelques dommages furent réparer et le "Black Pearl" put repartir. Les amarres furent jeté, et le bateau partit.
Le commodore Jack et son frère allèrent se coucher, en laissant le commandement du navire �  Mario, le second. Ils furent réveiller par le cri de la vigie:
  -VOILE FRANÇAISE EN VUE
Le commodore et l'amirale se précipitèrent dehors, et demandèrent:
  -QUEL GENRE DE NAVIRE
  -JE CROIS QUE C'EST UNE GOÉLETTE!
  -HISSER LE PAVILLONS NOIR! RÉVEILLER TOUT LE MONDE! CHACUN A SON POSTE! Totus, va �  la timonerie! CHARGEZ LES CANONS, HISSER TOUTES VOILES SAUF CELLE DU MAS DE BEAUPRÉS!
Ses ordres furent exécuter par un équipage qui savait se qu'il devait faire, entrainé �  St Eustache et alléché par la distribution de rhum qui se produit après chaque victoires, mais soudain la vigie cria:
  -C'EST UNE GOÉLETTE! C'EST UN GALION!
  -Misère, il est trop tard pour faire demi-tour! PRÉPAREZ-VOUS A VOUS BATTRE! TRIPLE RATION DE RHUM SI ON GAGNE!
C'était la chose �  dire pour motiver un équipage a 200%! Les gestes furent précis,  rapide et tactique!
  -ON FAIT LA MÊME STRATÉGIE QUE D'HABITUDE, SAUF QU'ON CANONNE!
  -LE GALION ENNEMI ESSAYE DE SE TIRER! cria surpris la vigie.
Soudain, Jack vit mieux le galion, il venait de subir de nombreux combat: le grand mat détruit, des dizaines de canons avait subit une canonnade des plus puissante, et l'équipage avait était ravagé des 3/4, se qui montrait qu'il avait subit un très puissant abordage!
le capitaine du galion comprit qu'il ne pourrait fuir et ne possédait pas assez de boulets pour un combat de cette ampleur,  se rendit.
Mousse et une cinquantaine d'homme montèrent sur le galion endommagé, car même endommagé, il pouvait toujours voyagé!
Ils interrogèrent le excapitaine �  propos des combats, ils leur raconta son histoire:
  -Nous devions transporté un pirates enfermé il y a longtemps par un dénommé Jack Sparrow, mais son père nous envoya sur nous et notre escorte de 6 galions 3 frégate et 1 manowars, notre escorte nous aida �  fuir, mais nous durent repoussé une frégate avant de fuir, c'est pour cela que mon bateau est endommagé, je suppose que les autres bateaux nous recherches!
  -Vous connaissez leur repaire?
  -oui, mais il est imprenable!
  -Faites transporter se capitaine dans les cageot de luxe, et faites nous fuir, l'océan est vaste, mais il vaut mieux ne pas trop rester sur place!
Ainsi, ils allèrent avec leur nouveaux galions à St Eustache où il fut réparer.  

Jack et son second atteignirent enfin le Black Pearl, qui était encadré par 1 galion, 1 corvette et 1 caravelle.
Jack se dirigea vers le galion, suivis de Joss, et lui présenta sa cabine, une cabine luxueuse et spacieuse, juste a coté de celle du capitaine. La salle était très bien meublé et Jack se dirigea vers un bureau, entouré de 3 chaises, sur les quelle les 2 arrivant s'assirent, puis Jack déclara:
  -A tu des question? Veut tu les reporter �  demain pour dormir ou même visité le bateau?  

Le navire nommé Black Pearl était vraiment très beau, très grand, très bien armé, décidément, je n’avais pas embarqué sur le plus pourri des bateaux ! En plus mon capitaine avait l’air plein de projet et ambitieux, tant mieux, j’aurais ainsi surement de l’action !! Je pus également remarqué deux autres bateaux a nos côtés, de taille moindre certes, mais ils semblaient tout deux appartenir a Jack !! Et bah……. Mon Capitaine possédait toute une flotte, une armada, plutôt impressionnant, c’est sur, quand j’aurais pris sa confiance, je raserais une bonne fois pour toute Antigua ….. Saleté d’Anglais !!! Je me demandais aussi si j’étais second du navire ou alors de toute la flotte ?? De toute façon, j’étais second du vaisseau mère, donc forcément le second le plus important !! D’ailleurs ma cabine était vraiment vaste, et je possédais d’un certain confort bien enviable !! Je lui dis :

-   Plutôt impressionnante votre flotte Capitaine !! Mais, on va faire quoi avec tout ça ?? Enfin, on va où ??  Et, aussi, pour y faire quoi ???
Ah, aussi, merci Capitaine pour la cabine, c’est que je ne suis pas vraiment habitué a tout ce confort, mais vous en faites, je m’y habituerais vite !!

Je posais ces quelques questions avant d’aller découvrir, me présenter, analyser, l’équipage, le bateau, les voiles, les soutes, les cales, et les canons !!!  

Jack regarda par la la fenêtre, derrière lequel se trouvait un balcon. Joss se demandait se que regardait Jack, quand ce dernier sortit une longue vue, Joss en vit une autre, posé sur le bureau, alors il demanda:
  -Tout se qui se trouve ici est a moi?
  -En effet, ainsi que le titre de second, et l'autorité suprême sur la flotte après moi et Totus, mon frère. C'est d'ailleurs pour lui que nous allons a St Dominique, il y a d'autre allié la bas, qui pourrait bien nous aider contre ces foutus indiens!
Joss prit enfin la longue vue, vut que c'était a lui, et regarda ce que le capitaine regarda, un nouveau galion arrivant, Jack précisa:
  -Un de mes galion rentrant de chasse, visiblement bredouille! Mais il est bien armé et prêt a partir avec nous vers St Dominique! Ah, oui, j'oubliais: derrière cette porte se trouve 2 coffre, 1 contenant 2 pistolets, 1 poignard, de la poudre et des balles, je vous demanderai que pendant votre service vous laissiez vos armes dans ce coffre.  L'autre contient un peu d'argent, 2 000 je crois, plus la somme de votre prime, cela fait 3 300 pièce d'or! Il y a aussi une trappe derrière les coffres menant �  une petite réserve de rhum vous étant réservé!  

Jack m’expliqua alors la situation, notre destination, et me donna les réponses �  toutes mes questions. De plus, il me montra, un de ses galions rentrant de la chasse ……. Je m’exécutais quand il me demanda de poser mes armes dans le coffre !! Mais, j’appris que son frère était a St Dominique et aussi, que nous allions l’aider, nous et d’autre allié. Contre « ces foutus indiens ». Pourquoi devons nous nous battre face aux indiens ??

-   Capt’ain, me battre contre les indiens ça me dérange pas du tout, loin de l� , mais, pourquoi devons nous le faire ?? Sachez que quelque soit la réponse, je vous suis, et j’abattrais le nombre d’indiens qu’il faudra pour satisfaire votre bonheur !!

J’attendais la réponse, puis, sortit de la cabine, me présentant aux autres membres de l’équipage, tous de gabarit différent, en tout cas tous avaient l’air valeureux, de bon petit gaillard !!  

Jack sourie, visiblement heureux de son nouveau second! Il répondit:
  -Nous ne le devons pas, mais je crois que posséder une ile d'attache, ou on aura rien a craindre de ces foutus autorité, française, espagnole, hollandaise et même anglaise! De plus on pourrait levez des impôt, et ainsi s'acheter de nouveaux bateau! A ton avis, quand on aura la plus puissante flotte, comment crois tu que nos ennemie vont réagir en nous voyant? Et se seras toujours une ile de moins pour les anglais et français, qui fraternise avec les indiens!  

-   A vos ordres Capt’ain !! Bon, nous levons l’ancre ?? Moi je vais faire mon petit tour d’inspection…………

[ Désolé, vraiment pas inspiré)
   

Jack sourie et dit oui. Joss sortit pour donner ses ordres quand un membre de l'équipage l'appela et lui proposa:
  -On en a marre du capitaine et de ses indiens, on voudrait se révolté mais on a aucune armes, et les autres bateaux nous tirerait en moins de deux, sauf si il ont des nouvelle venant de vous, et on a aussi besoin d'arme, et vous êtes le seul a par les 2 frère avoir la clef de la salle d'arme! Vous nous aiderait?  

A peine étais-je sur le bateau que j’avais des problèmes avec l ‘équipage !! Ils voulaient se révolter…… Provoquer une mutinerie …. Hum ………… si j’ouvrais le coffre, le post de Capt’ain s’ouvrirait juste devant moi. J’aurais été promu surement capitaine, et �  bord de ce navire, ce poste n ‘est point négligeable. Mais si je tuais Jack, son frère le saura bien un jour ou l’autre, et il me traquera jusqu'�  que je trépasse. Non, non, j’avais reçu la confiance de mon Capitaine pas question de le trahir. Un homme qui avait l’air sympa et bon, non, je ne pouvais me permettre faire une telle ignonie, même si je suis un pirate, ça ne ce fait pas. Je pris alors une voix net et franche :

-   Tout d’abord, je n’ai pas les clefs !! Vous vous êtes des idées !! Je suis tout nouveau sur ce navire, et le capitaine vient de me connaitre, le croyez vous assez bête pour me donner les clefs et le conduire a sa perte ?? Non, mais pourquoi voulez vous vous révoltez ?? Ce navire est un des plus grands sillonnant les mers, votre capitaine un des puissants, talentueux et ambitieux !! Allez, tous a vos postes ……. TOUT DE SUITE !!!! Et levez l’ancre, hissez la grande voile, cap St dominique ……….

Les hommes ne bougèrent pas, semblèrent se concerter, discuter, envisager tout un tas de possibilités.

-   EXECUTION !!!

A ces mots tous se mirent en action, remplissant pleinement leurs fonctions, je fus soulagé, mon petit discours avait eu son effet. Heureusement …….. J’attendis alors que chacun porte son attention sur autre puis je m’en allais vers la cabine du Capitaine, sans toquer j’entrais, il avait l’air d’ailleurs en colère, énervé de mon petit oubli fâcheux. Je lui coupais net la parole alors qu’il allait commencer ces réprimandes :

-   Scusez Capt’ain ……. C’est juste que je viens d’avoir un pt’it problème avec l ‘équipage ….. ils voulaient se mutiner ….. J’ai réussi a en les dissuader ….. J’ai également affirmé que je n’avais pas les clefs pour l’armurerie du bateau, enfin d’être sur de les convaincre !! Pour changer les esprits a tout le monde, j’ai dit de lever l ‘ancre ……. Cap St Dominique !! Restez vigilant Capt’ain, votre présence sur ce bateau ne tient qu’a un fil, la tension est au summum!!    

Jack sembla plus que surpris, et aussi très satisfait! Jack prit un air soucieux, en même temps qu'un air moqueur, il finit par dire:
  -J'avais prévu cette ruse, mais il ne devait la faire qu'a St Dominique... Enfin, peu importe, vous êtes digne de confiance, et pour te remercier, je te donne le commandement du Galion voisin, Voici la clef de la salle d'arme du galion voisin, des copie des carte! Vous serait toujours sous mes ordres, mais capitaines du galion et second de la corvette! Bravo, en 2 jour vous voil�  capitaine!  

Mon Capitaine n’était pas un inconscient loin de l�  …… Il voulait me mettre a l’épreuve …… J’ai failli défaillir, chance pour moi d’avoir fait pour une fois fonctionner mon cerveau !! D’ailleurs il me confie le commandement du galion voisin !! Je fus vraiment surpris de cette montée en grade mais cependant je dis :

-   Capitaine, je suis honoré de votre confiance, mais, toute fois, je ne peux accepter, je ne suis pas apte a être capitaine pour le moment !! Je souhaiterais, pour l’instant, rester a vos côtés, en tout cas, pour le moment !! La dernière fois que je fus capitaine, cela se déroula mal, je ne souhaite pas réitérer la chose …… Excusez-moi ……… Laissez moi un peu de temps et l� , alors, quand vous m’aurez vraiment vu a l’œuvre, vous pourrez décider, si je suis apte ou pas a être capitaine !!  

Jack continua de sourire, et finit par déclarer:
  -Je comprends, dans ce cas je te laisse, nous partons pour St Dominique! et tien voil�  la clef tant désiré par l'équipage!
Le bateau partit, les voiles sortit. La mer était calme, tout se passait bien, Joss regarda par la fenêtre, les autres bateau les suivait, quand soudain la Vigie cria:
  -VOILE EN VUE! SLOOP ANGLAIS
Un homme entra dans la cabine de Joss, et lui dit avant de repartit:
  -Le capitaine veut vous voir sur le gaillard arrière!
Il dit d'un ton plus amical:
  -désolé pour la mise en épreuve, j'éspère que vous comprenez? Au tout cas, vous qui n'aimez pas les anglais, vous allez êtres servi! 3 contre 1!
Joss se demanda pourquoi il avait dit 3 alors qu'il était 4, mais monta, et s'arrêta quand il vit le capitaine, ce dernier lui tendit la longue vu en montrant du doit une voile, puis déclara:
  -La caravelle ne participera pas! Il est tant de vous mettre �  l'épreuve pour le combat!



ps: mince, faut défier scar!  

J’avais déj�  une occasion de faire mes preuves, un sloop anglais face �  trois navires, sous uniquement les ordres !! Ce combat, il me fallait le gagner et a plate couture, il me fallait limiter les morts, mais en étais je vraiment capable ?? J’ai déj�  échoué en temps que capitaine, mais non, je ne pouvais, je ne devais !! Je réfléchis rapidement, pensant �  un quelconque plan, le sloop était tout petit, nos navires très grands…….. Les deux navires qui étaient pour l’instant sous mes ordres, je leur lançais quelques ordres clairs et simples, ma tactique allait être des plus basiques mais des plus efficaces  je lançais alors :

-   Hissez le pavillon noir !! Armez les canons, préparez vous a la bataille, tous les autres, sur le pont grappin en main !!

Les deux navires alliés s’écartèrent pour se retrouver chacun des côtés différents du navire, les canons déj�  sortis des soutes !! Lorsque le rafiot ennemi fut enfin a porté de vue, l’on pouvait apercevoir quelque soldat, portant leur belle uniforme tellement propre que les médailles brillaient au soleil !! C’est bien ma chance, je n’aime pas les anglais !! Enfin a portée, les feux je j’ordonnais l’ouverture du feu …… Le navire ennemi vola rapidement en éclat, le mat fut abattu, certain corps volaient, les soldats armés de leur fusil se cachaient près a faire feu, le sloop ne semblait pas posséder de canon ou alors très peu !!  Le vaisseau mère glissa, fort bien manœuvré d’ailleurs, �  côté de celui ennemi, je criais alors de toutes mes tripes :

-   A l’ABORDAGE !!!

Tous les hommes s’élancèrent, fort bien armé, sabre et mousquet dégainés, je m’élançais moi aussi sur le pont ennemi sous l’œil avisé de mon capitaine, je n’avais pas le droit a l’erreur. Une fois sur le vaisseau ennemi, j’tirais avec mon pistolet en pleine tête d’un des soldats, et tout en dégainant mon sabre, asséna un coup de pied dans le ventre afin de le faire reculer et basculer par-dessus bord !! Puis mettant un coup de coude �  un  marin juste derrière moi, plantant mon épée dans l’abdomen d’un ennemi en face de moi, puis acheva celui qui avait déj�  reçu un coup de coude. L’assaut fut bref, les navires alliés avaient eux aussi abordés et les anglais furent submergé, nos pertes furent très infimes, un atout pour moi. Lorsque la bataille cessa, quand plus aucune résistance ne se présentait devant nous, je m’approchais du capitaine, portant une perruque ridicule. Je la lui optais avec la pointe de mon sabre  avant de dire :

-   Tu sais quoi ?? Cette perruque ce n’était pas pour toi !!! Et d’ailleurs, la vie non plus ce n’est pas pour toi, tu n’as pas de chance d’être tombé sur moi, parce que tu sais quoi ?? Je n’aime pas les anglais, et tu vas en faire les frais :

A peine avait je eux prononcer ces paroles je décapitais mon interlocuteur, la tête roulant sur le plancher du bateau ravagé par l’abordage.

-   Il y a peut être un autre volontaire ?? Non ?? Très bien, je vous conseil alors fortement de n’opposé aucune résistance mes amis.

Puis m’adressant à mon équipage :

-   Ramassez tous !! Pillez !! Et faites prisonnier le reste !! Prenez même les boulets et les canons !! Et pour finir, coulez ce navire !!!

Puis, une fois cela dit je me dirigeais vers mon capitaine attendant sa réaction et notre départ vers St Dominique.



Ps: Pourquoi ?? Ce n'est qu'un sloop fce a trois navires, il n'a aucune chance, ça va plus vite si je fait tout ça en un post !!


Edit: pas du tout pour la simple est bonne raison que j'allais poster en disant que le sloop se tiré: une caravelle n'a au_nce chance de rattraper un sloop ainsi qu'un corvette et votre troisème navire
il faut penser que les pnj ont une âme tienne �  leur vie, dans un combat perdu où l'on peut fuir certain de survivre y a pas trente six choix on se tire....
de plus tout combat, important pouvant couter la vie de votre eprsonnage doit passer par un duel avec Scar, contre des pnj.
Scar  

Jack semblait contant de cette abordage, mais semblé un peu déçu par la mort du capitaine, et cria:
  -ON NE COULE PAS LE SLOOP!
puis il parla a Joss:
  -Combien crois tu que sa vos un anglais en perruques, en rançon? Au moins 10 000 pièce d'or! Et combien crois tu que sa vaut un anglais en perruque mort? RIEN! ramasse les armes!  

Chapitre précédant:
http://forum.ageofseadogs.com/index.php?topic=1626.msg40580#new

Les 3 vaisseaux firent voiles vers St bart, le voyage long est ennuyeux apparu peu �  peu... Les marins n'ayant rien a faire ne trouvait comme distraction que jouer au cartes ou affuter leur quelque armes...
Jack étant sur "Le sillage de l'ange noir" jouer au cartes en compagnie de Thisbé, Joss, Totus et Mélissande depuis plusieurs heures, pariant du faux argent. Melissande, manquant terriblement de chance vit sa pile rétrécir peu �  peu, jusqu'�  ce qu'elle fasse un coup de poker, ruinant pratiquement Totus! L'ambiance était chaleureuse, les fou rire apparaissant assez souvent, quand un homme cria:
  -L'EAU BOU!
Les joueur de poker accoururent, Totus trop content d'arrêter le massacre de ses jetons!
Soudain Jack compris:
  -Un volcan sous l'eau! si on déguerpit pas vite, on va se retrouver calciner!  

- J'ai toujours voulu mourrir brûlée, déclara Thisbé. Mais sur l'océan ! Quelle belle fin ce serait n'est-ce pas ?  

Elle sourit à Jack et courut sur le pont où Mélissande était déjà.

- Toutes voiles dehors ! 5 noeuds tribord et on accélère l'allure ! Allez ! Du nerf dames ! Hissez ce fichu cacatois lady ! Jamais nous ne progresserons ! Allez !
Enéergie! Vigueur mesdemoiselles ou bien vous serez cendres sans même pouvoir respirer une dernière fois...  

Thisbé virevoltait, comme d'habitude au milieu des femmes, parcourant le pont du navire de long en large, vérifiant certaines manoeuvres elle-même. Mélissande elle aussi donnait des ordres, s'époumonnant, le coeur étreint par une peur immense. Elle croisa un instant le regard de Silk et sa cicatrice ce qui la fit crier davantage.  

La frégate et les 2 galions firent de même, l'allure forcé fit parcourir des yard a une vitesse impressionnante! Chaque coup de rames faisait gagner un peu de vitesse, mais l'eau chauffé de plus en plus...
Jack sourit, regarda Thisbé lorsqu'elle parla de la blague et lui répondit:
  -Dans ce cas, les écrevisses on toute une belle mort... Mais c'est vrai que je m'en plaindrait pas...
Thisbé sourit a cette réponse, puis fila donner des ordres, Jack prit exemple et fit de même, une question dans la tête:
  -Un nouvelle ilot encore inconnu! Pour combien de temps?
Jack ne craignait pas la mort, la seule chose qu'il craignait plus que sa vie était ses proches et le destin de devenir esclave!  

Quand il furent �  une distance suffisante du danger, Thisbé fit freiner l'allure allant �  l'encontre de l'avis de Mélissande qui jurait ressentir un danger proche. Malgré cela, sa capitaine fit replier les voiles et prit la barre avant que sa seconde ne disparaisse dans la masse de l'équipage.
Alors que la jeune femme rousse naviguait avec ferveur; son visage se reporta, comme souvent, sur le navire des Sparrows. elle eut envie de crier :
"Remonterez-vous à bord ? Jack ?" Mais elle se retint.  

Jack ordonna qu'on consolide la coque roussi et maintenant fragile. Le rithime trop puissant épuisa l'équipage, et pour les récompensez, Jack fit ouvrir des bouteilles de rhum.
Les frégates se rapprochèrent, des grappins attachèrent les frégates pour qu'il suivent la même trajectoire, des centaines de cordes se lancèrent entre les navires tel un abordage, seul différence, a la place des pirates en armes, des bouteilles de rhum a acclamé par les femmes...
Jack en prit une et "aborda" la frégate de Thisbé, puis dit:
  -Puis-je rester a bord, ma "suzeraine*"?


* lol!
   

Une cascade de rire émergea des lèvres de Thisbé. Celui-ci s'évanouit bientôt pour laisser place �  ses mots :

- Croyez-vous mécréant ?

Ces paroles n'étaient pas un affront, Thisbé les ayant prononcées avec un sourire poliment ironique. Elle rendit alors la barre �  la timonière et vint rejoindre Jack. Sur le pont, on fêtait la fin de l'effort... Les festivitées n'étaient pas semblable �  celles qui succédaient un abordage, mais la détente planait. Un peu trop peut-être ?
Thisbé elle n'avait aucune bouteille �  la main pour une fois lorsqu'elle dit :

- Je vais finir par m'habituer �  votre présence �  bord capitaine... , elle s'arrêta regarda ses doigts noués et sourit, amusée, Et comment ferai-je alors quand je n'aurai plus le pouvoir de vous tirer d'un mauvais pas ?  

Elle rit.  

Jack rit de bon cœur, heureux de cette détente et amusé par une réflexion enfin optimiste de Thisbé, peut-être prenait elle des bonnes habitudes en compagnie de Jack?
Il ne répondit pas a la question tout de fois, préfèrent le voir sur un autre angle: "Ce moment sera loin!"
Soudain surpris que Thisbé n'est pas de bouteilles, il lui demanda la raison, lui même en avez 2, une par main! Il finit une bouteille, et lança la bouteille vide �  la mer.
Peu �  peu, le voyage reprit, même si la bonne humeur rester, discuter sur leur lit, au papotant a leur collègue...
Jack ne supportant plus le manque d'éfors, il proposa à Thsbé:
  -Et si nous nous entrainions dans un combat avec des sabre en bois?
Sa voix était marqué de respect, mais aussi un peu de supplications...  

Thisbé sourit... hésita �  se rebeller, �  réclamer de véritable lames... Mais elle oublia cela, et accepta finalement avec joie la proposition de Jack, non sans ajouter :

-Vous ne tenez jamais en place ? L'océan et l'ennui qu'il génère parfois doit souvent vous être inssupportable ?

Elle riait, comme d'habitude. Ces temps-ci elle revivait, se sentant enfin devenir une véritable pirate... même si les grandes batailles étaient loin...
Une fois sur le pont, elle réclama �  Mélissande les sabres de fortune qu'utilisaient les femmes pour s'entraîner. La seconde revint vivement, les fausses armes dans les mains. Thisbé se saisit de l'un, Jack de l'autre, et le duel débuta. Ils se tenaient face �  face les femmes du navire encerclant en silence les duellistes. Les jambes fléchies, Thisbé était prête et c'est dans ce grondement muet de l'océan, que Mélissande donna ordre de commencer.  

Melissande donna l'ordre, les 2 combattants restant face �  face, tournant en cercle toujours face �  face. Soudain Jack fonça sur Thisbé, mais celle-ci esquiva l'attaque d'un geste somptueux et élégant. Avant que la foule ne comprit, Jack donna un deuxième coup, paré cette fois, et on entendit le métal frappant sur le métal, et pour acclamer leur capitaine, la foule hurla "HOOLLEZ"!
Thisbé fit un grand geste, manquant de désarmer Jack et attaqua, Jack para, les 2 corps a quelque décimètre...
Pour la repoussé, il essaya de lui donner un coup de pied, mais Thisbé sauta en arrière, esquivant. Les 2 attaquants se remirent face �  face, guettant un signe de faiblesse de l'adversaire pour foncer au combats...  

Jack fut le premier �  se lancer et c'est avec une précision extrême qu'il porta le premier coup. Thisbé eut juste le temps de l'esquiver d'un saut sur le côté formidable mais mal réceptionné. Le capitaine Sparrow sut profiter de ce fébrile atterrissage : il se jetta sur elle qu'il désarma. Le sabre de bois de la rousse vola en l'air et troua la foule avant de retomber sur le pont dans un claquement sourd. Jack, fort de son succès, revint immédiatement �  la charge mais la capitaine de l'Ange Noir sut éviter �  nouveau l'attaque. Une fois de plus, l'esquive était maladroite aussi tomba-t-elle sur le pont, face contre terre. Un murmure sourd envahit l'amas des "matelotes" qui voyaient, sans pouvoir réagir, leur capitaine dans une position bien facheuse. La rumeur n'ayant pas réussi �  distraire Jack, il réattaqua, mais son assaut fut éviter de nouveau. Thisbé avait roulé sur la droite avant de se relever d'un bond. Elle hésitait... Une attaque �  mains nues serait bien vaine face �  l'épée de Jack, mais celui-ci revenait, il fallait donc vite trouver une solution. Surprise elle-même par son geste, elle envoya volé Jack d'un coup de pied, et le désarma �  son tour. C'est avec triomphe qu'elle s'empara de l'épée de Sparrow.  

La foule hurla de joie en voyant Thibé gagner! Attirer par l'animation, de plus en plus de marins de Jack en permission arrivé, cherchant �  satisfaire leur curiosité!
Voyant sa chance faiblir, Jack ne préféra pas charger en si mauvaise posture, désarmé! Avant même de se relever, il cherche une arme, mais il n'en trouvant pas, il se retourna, et vit Thisbé s'avancer vers lui, soudain, il vit un seau, qu'il lança, Thisbé surprit le reçut sur l'épaule, puis il en lança un deuxième, qui la fit chuter.
Se relevant, il reprit son épée et avant que Thisbé puisse éviter, il la pointa sur sa poitrine...
Haletant, il la fit tourner en l'air, de façon qu'il tienne la lame a la place de la poignet, et tendit la poignet vers Thisbé, se mit a genoux et dit:
  -Ainsi vous savez de quoi est capable votre amble serviteur.
Il se releva, et tandis sa main pour l'aider a se relever.
Dans la foule, un cri de joie explosa, c'était le plus beau combat jamais vu, loyale, complexe et rapide... Jamais rien n'était sur, et même si Thisbé avait perdu, elle s'était télemment bien battu que la foule fut obligé d'admirer un peu plus leur capitaine, et de donner encore un peu plus d'estime!  

Silk avait observait la scène du hunier, où il s'était confortablement installé.
Depuis quelques temps qu'il navigueait avec ces pirates, il aprenait petit �  petit �  devenir un marin, mais il ne connaissait pas encore asser bien la mer pour faire quelque chose de correct, alors il observait et aprenait tranquillement.

Il s'était mis �  fabriquer quelque chose dans du bois avec l'un de ses nombreux couteaux. C'était long, environ 20 cm et asser fin avec des trous �  intervalle régulier. L'objet était creu.

Alors que le combat se terminait, il termina enfin sa drôle de sculpture qui, une fois fini ressemblait étrangement � ...une flute.
Pour compléter les cris des matelots et matelotes sur le pont, Silk commença �  jouer un air entrainant pour féliciter les deux combattants encore haletants.

Quelques têtes se levèrent aux premières notes, puis, très vite, des tapes du pied et des claquements de mains prirent le rythme de la musique, ponctuer de rhum.  

Thisbé éssouflée, avait sourit �  Jack avant de se tourner vers le hunier d'où s'échappait la mélodie. Elle se mit �  claquer dans les mains pour accompagner son équipage. Dans le cercle qu'avait conservée les matelotes, Mélissande et quelques autres s'étaient misent �  danser. Puis Thisbé arrêta ses mains qui battaient le rythme. Elle se tourna vers Jack :

- Et comment danse-t-on chez vous ?  

Elle rit, puis s'arrêta pour de nouveau fixer son regard sur le cercle de lumière.  

La rougeur monta au joue de Jack, honteux, il confia:
  -Je ne sais pas dancé...
Le son était juste assez fort pour que Thisbé, et seulement Thisbé l'entende...  

- Alors venez, je me ferai un plaisir de vous apprendre !  

Thisbé tendit sa main à Jack qui refusa. Circonspecte, la capitaine l'observa :

- Pas ici, murmura-t-il !

Thisbé cette fois partit d'un franc éclat de rire, qui fit se tourner vers eux plusieurs têtes curieuses. La capitaine de l'Ange Noir sut distraire ces regard d'un geste vague de la main. Elle jetta un coup d'oeil �  Silk et �  Mélissande qui tournoyait avec hauteur au milieu du cercle... Celle-ci regardait ses camarades l'oeil grave, sa pupille d'un bleu intense semblait abriter un brasier immense.
Après ce rapide regard, Thisbé entraîna Jack dans sa cabine, assez vaste �  son gout pour y apprendre convenablement les danses que l'on effectuait dans la haute société. Thisbé ota sa veste, la jeta sur la table. Elle fit claquer les talons de ses bottes et prit la main de Jack :

- Voil�  comment il vous faudra faire si vous souhaiter vous introduire discrètement dans les fiesta de la haute société de ces chers gouverneurs.

Et elle partit alors, se mit �  tournoyer lentement, expliquant chacun des pas, souriant devant l'air parfois dépité de Jack... Pour la première, elle avait opter pour une valse, danse on ne peu plus répandu. Et elle riait de savoir qu'�  bord d'un vaisseau pirate, on pouvait apprendre �  quelqu'un la danse  

Jack fut ravi que Thisbé comprenne si vite! Il entra dans la cabine, et commença son apprentissage... Etant agile et rapide de compréhensions, il apprit très vite, prit d'une soudaine question, il demanda d'abord:
  -Puis-je vous poser une question sur votre passé?
Dehors, la cloche sonna, le changement de quart fit un peu de bruit puis le bruit disparu.  

Thisbé s'assit. La tête lui tournait un peu, et il était drole que Jack lui pose une telle question dans pareil contexte, néanmoins elle accepta :

- Oui, mais je ne vous garanti comme d'habitude aucune réponse...  

La capitaine reprit son souffle en attendant la question de Jack. Ses larges yeux noirs s'étaient légèrement assombris �  l'évocation de son passé, et ils semblaient retrouver leur mystère, l� , cachés par ses boucles rousses, surplombés par ses longscils noirs.  

Alors que les Capitaines s'étaient éclipsé, Silk eu envie de quelque chose qu'il n'avait pas fait depuis très longtemps, et encore moins avec des personnes qu'il connaissait peu.
Il avait le traque mais il n'était pas du genre �  renoncer.

Certains marins s'étaient équipé de guitares, accordéons voir même un ou deux violons. Silk s'arréta de jouer un moment, mais ça ne géna personne, tout le monde était trop occuper �  danser et �  rigoler.

Il repéra rapidement la personne qu'il cherchais, une blonde aux yeux clairs et perçants.
Il déscendit rapidement de son perchoir pour s'approcher des musiciens. Il leurs demenda de jouer une jigue puis il se tourna vers Mélissande, s'aprocha puis lui demenda en se penchant légérement et en tendant la main droite,

-M'accorderiez-vous cette danse ?  

Mélissande était ravie. Les hommes �  bord étaient bien rares et que l'un d'eux la fasse valser la rendait superbement heureuse .... Cependant, ni les traits, ni la paleur de son visage ne trahit sa joie et elle accepta avec seulement aux lèvres un sourire. Elle tendit sa main �  Silk et se laissa entraîner par la musique qui résonnait sur le pont et sur les flots, unissant l� -bas, �  l'horizon cieux et flots. Du ciel d'encre s'échappait parfois des cris d'oiseaux, des bruits difficiles �  identifier et dont on ne se souciait pas.  

Jack hésita,se demandant s'il était poli de poser cette question:
  -Où avez-vous appris a si bien danser? Ah oui, pourriez-vous m'apprendre les bonnes manière?
Dehors la musique se fit de plus en plus forte, puis changea pour une musique plus douce et romantique...
Jack, épuisait par le duels, se laissa tomber sur une chaise, a bout de souffle par son apprentissage plus sportif qu'autre chose!  

Thisbé avait sourit à la question de Jack dont elle se rapprocha pour lui murmurer :

- Vous promettez comme d'habitude de ne faire vent de cela personne ? Non que ce ne soit une information capitale mais vous savez combien je tiens �  mon mystère...

Jack avait acquiescé aussi continua-t-elle :

- Je viens d'Angleterre. Probablement d'une famille de grands bourgeois, je ne sais pas vraiment. La seule chose dont je me souviens dans mon passé sont les bals où je me pavannait au début de mon adolescence et le prénom peut original de mon premier amour... elle sourit, Ce sont des souvenirs bien lointains et confus ! C'est de l�  que je tire toute cette éducation, maigre héritage de mon enfance... et de l'enseignement que m'inculquait le mécrant qui voulait me marier �  lui. Comprenez bien, il ne lui suffisait pas que je sois �  son gout, il fallait civiliser la sauvage... S'il avait sut d'où je venais...  

Lorsque la musique joyeuse s'arrêta pour faire place �  des chansons d'amour perdus et de marins perdus en mer, Silk s'écarta un peu de Mélissande.
N'ayant jamais danser sur des chanson calmes, il trouva un stratagème asser simple pour remplacer son manque de connaissances en matière de danse.

Il ressortit sa flûte et accompagna les autres musiciens. Alors qu'il jouait, il ne quittait pas pour autant sa cavalière des yeux. Il lui tourner autour, en remuant ses doigts agiles sur l'instrument.

La musique s'élevait dans les airs, posée et rafraichissante, les étoiles brillaient de mille feux et tout le monde profitait de ce moment calme qui ne durerait pas éternellement.  

Mélissande avait beaucoup rit et elle ne cessait de sourire �  Silk, qui selon elle, savait jouer �  merveille pour réchauffer le coeur de l'équipage. Mais vint le moment où elle s'arrêta de danser pour s'asseoir et écouter le jeune homme jouer, l'observant aussi de ses longs yeux pâles. Sa chevelure blanche, humide �  ses tempes, éclairait son visage en cette sombre nuit, et auréolait son sourire d'un éclat magnifique. Un tambourin traînait l�  et ces en tapant timidement dessus qu'elle accompagna le jeune homme avant de se mettre �  chanter une chancon bien célèbre, que toutes les femmes pirates entonnèrent �  sa suite :

"A moi forban que m'importe la gloire
Né fils de roi et de prostituée
Sur des cadavres j'ai chanté la victoire
Et dans un crâne j'ai bu la liberté
Vierge craintive, toi, ma captive
Ce soir je vais dévorer tes appâts
Encore brûlant d'une autre amante
Tes vertus vont expirer dans mes bras

Vin qui pétille, femme gentille
Sous tes baisers brûlant d'amour, oui d'amour
Plaisir bataille vive la canaille
Je bois, je chante et je tue tour �  tour.

Etant forban je vis dans ma cabine
En méprisant les lois , même la mort
Ne vivant que de meurtre et de rapine
Je bois mon vin dans une coupe d'or
Vivre d'orgie est ma seule espérance
Le seul bonheur que j'ai su conquérir
car sur les flots j'ai bercé mon enfance
Et sur les flots un forban doit mourir.

Pendu au mât d'une barque étrangère
Mon corps un jour servira d'étendard
Et tout mon sang rougira la galère
Aujourd'hui fête et demain le hasard
Allons esclaves, debout mes braves
Buvons l'ivresse et l'orgie �  grands flots
Aujourd'hui fête , demain peut être
Mon corps ira s'engloutir dans les flots


Si par hasard par un coup de fortune
Je capturais l'or d'un beau galion
Riche �  pouvoir décrocher la lune
Je m'en irai vers d'autres horizons
L�  vénéré tout comme un gentilhomme
Moi qui ne fut qu'un forban qu'un bandit
L�  je pourrais peut être tout comme
un roi dormir dans un bon lit."
   

Voyant la jeune femme l'accompagner, il se rendit compte que beacoup des marins présent le regardait et l'écouter jouer.
Cela lui donna de l'entrain mais il commençait �  avoir serieusement chaud.
Il retira sa cape et la posa, ainsi que tout son armement.
Il attacha ses longs cheveux noir avec un morceau de tissus puis se remis �  jouer de plus belle. Il n'en avait plus rien �  faire que l'on remarque sa cicatrice, personne ne le regardais bizarrement ou comme si il fallait l'éviter au contraire. Il se sentait bien et avait du mal �  ne pas éclater de rire tout en jouant.

Il s'arretait de danser parfois, sur des passages plus complexes, puis reprenais le thème de la chanson en dansant. Il jettait souvent des cous d'oeil �  Mélissande qui jouait maintenant moins timidement.

Le visage de Silk dégoulinait de sueur, ses cheveux volaient �  chacun de ses mouvements et ses yeux brins avaient des reflets noisette sous la chaude lumière des lanternes.  

Jack cilla:
  -N'avez-vous pas était esclaves? interrogea Jack. Je sais que ce n'est pas très polli de rapelait se genre de souvenir, mais je ne suis plus!
Dehors la faite devenait de plus en plus chaude et avec un sourire, Jack confia:
  -Je crois que Melissande a un fable pour le seul marins a bord...  

Thisbé s'enfonça un peu plus dans son siège, attristée que Jack pose une telle question après un moment d'ivresse semblable �  celui qu'ils venaient de partager. Elle ne répondit pas tout de suite, tergiversant sur ce qu'elle pouvait dire et ce qu'il ne valait mieux pas laisser entendre. Son histoire était peu crédible, Jack peut-être ne comprendrait pas, la croirait menteuse. Finalement, après maintes réflexions, elle décida de ne rien répondre : il trouverait sûrement tout seul...
La capitaine de l'Ange Noir ne répondit qu'�  la seconde observation de Jack :

- Et je suis de votre avis. Mais je ne sais pas si cela est bien possible... Mélissande est de glace avec les hommes. Enfin en général...  
   

Silk, �  bout de soufle, arrêta de jouer. Ceux qui savaient continuaient de danser et ceux qui ne savaient pas aprenaient grâces aux autres.

Après cette folie, Silk se dit qu'il valait mieu pour lui de prendre du recul. Il ramassa ses affaires et se dirigea vers le hunier d'où il était descendu auparavant.

Il s'arréta et croisa le regard de Mélissande, lui sourit puis fila �  une vitesse folle se réfugier dans la voilure.
Il se trouva une position confortable et se roula une cigarette.
La nuit était chaude, l'homme regardait le ciel étoilé où quelques nuages passaient.
Quelques pensées lui traversa l'esprit mais il se sentait trop bien pour y faire vrement attention.
La nuit avait était épuisante, le vent frais qui venait gonfler les voilels lui faisait du bien mais il avait encore trop chaud pour remettre sa cape.
Il restait l� , tranquille, �  faire des rongs de fumée, balancé par le roulit du bateau.  

Comprenant que cette question était mal placé, Jack baissa la tête, et implora pardon a sa suzeraine:
  -Je suis désolé, je ne voulait plomber l'ambiance, ni vous déranger d'une manière ou d'une autre...
Il attendit la décision de Thisbé, s'attendant a une réponse favorable!  

Thisbé ne dit rien. Elle resta dans la même postition, renfermée, le visage caché par sa chevelure de feu. Ses yeux de braises lancaient des éclairs qui transpercaient l'obscurité. Elle était énervée, démesurément énérvée. Enervée de se rappeler dans ce moment, des choses passé, qu'elle avait rangées dans sa mémoire, qu'elle tentait d'oublier : en vain.

- Et pourtant, murmura Thisbé.

Elle se leva, s'approcha de Jack. Le fixa, longuement, faisant jouer l'éclat de ses prunelles. Puis, brusquement elle fit demi-tour et retourna �  sa place. Elle ne s'y attarda pas, sitot sa veste réenfilée, elle grimmpa sur le pont ou la timonière chantait :

Et oui les matelots vous avez tous la frousse
Mais oui je le sais bien qu'il est vieux mon trois mâts
Mais il faut douze hommes, un capitaine, un mousse
Qui le remonteront vers le Guatemala
Alors pendant huit jours il cherche un équipage
Contraint de le former de marins d'occasion
Vagabonds sans aveux dont certains tatouages
Affichent l'anarchie et la révolution
Mais lui le malabar au moment du départ
Leur dit je vous préviens

Je suis le maître �  bord
Moi seul suis le maître
Bien des costauds, des forts
Ont dû le reconnaître
Je vous promets, moi commandant
Bonne ration, bon vent, bonne goutte
Je serai juste et indulgent
Mais il faudra que l'on m'écoute
Et maintenant le cap au nord
Je suis le maître �  bord

Depuis quarante jours le navire est en route
Les vents sont contre lui, le mauvais temps aussi
S'avançant dans la nuit, quatre hommes fous de rage
Vent, l'insulte �  la bouche, le couteau �  la main
Parler au capitaine, au nom de l'équipage
Il faut que tu nous donnes des biscuits et du vin
Mais le malabar leur dit voyez l� -bas
Voyez ce phare c'est le Guatemala

Je suis le maître �  bord
Ce soir du moins je l'espère
Nous toucherons au port
Vous serez libre �  terre
Oui mais ici mille sabords
Je n'admets pas la moindre pipate
Je materais tous les plus forts
Que chacun regagne son poste
Car j'ai sur vous droit de vie et de mort

Mais la brise ne fléchit, balancé par la houle
Le trois mâts va tanguant sous la force du vent
Bientôt c'est l'ouragan, on ne voit plus le phare
Les voiles se déchirent et les flots furieux
Emporte un marin, alors le malabar
Sent le trois mâts craquer et crie sauve qui peut
Les canots �  la mer, que dieu veille sur vous
Mais ils ont répondu venez avec nous
Non je suis le maître �  bord
Je dois le reconnaître les droits me rendent fort
Me font parler en maître mais le devoir commande encore
Demeure au pied du mât de misaine
Tu ne dois pas quitter ton bord
C'est le devoir du capitaine
Et maintenant face �  la mort
Je suis le maître �  bord

Thisbé avait reprit la fin de la chanson. Ses sombres prunelles se paraient d'éclats joyeux et furetaient en tout sens �  la recherche d'une chevelure blonde. Elle ne la vit pas.

Dans les hauteurs du navire, une silhouette �  la peau pâle escaladait. Une fois arrivé vers le hunier où Silk était assis, la seconde réussit �  s'asseoir elle aussi, �  ses côtés, malgré la place exigue. La blonde ne dit rien, elle sourit juste, releva la tête, laissant le vent s'infiltrer dans ses cheveux. Puis, au bout de quelques minutes, elle se tourna vers Silk :

- Vous ne jouez plus ?.. Vous semblez pourtant bien détendu ce soir... ?  

Silk ne bougeait pas, il était les yeux fermés, pour mieu entendre les chansons et les bruits environnants.
Il répondit juste,

-Je suis un peu fatiguer.

Il tourna la tête vers Mélissande et ouvra les yeux. La blonde avait la tête levée vers le ciel, ses cheveux blonds volant au vent et son visage éclairé par la pâle lueur de la lune.

Silk resta un moment �  l'observer puis il lui demenda �  voix basse, comme si il ne voulait pas que quelqu'un d'autre entende,

-Pourquoi vous n'êtes pas rester faire la fête avec vos compagnons ? Pourquoi venir me voir moi ? Pourquoi vous souciez vous de moi ? Moi qui ne suis personne, que vous ne connaissez même pas...

Il baissa la tête et rajouta,

-Moi qui ne suis rien de plus qu'un fantôme.  

- Les fantômes sont les gens les plus passionants qui soient, sussura-t-elle mystérieusement.  

Elle fit une pause, tourna son regard, auparavant tourné vers les flots de manière �  ce que son regard rencontre celui de Silk.

- Et puis, les fantômes sont fascinants. Elle sourit, et acquiesca comme pour se persuader elle-même de ses paroles : Comme vous, poursuivit-elle.

Elle s'arrêta, hocha la tête, et tourna à nouveau son regard vers l'océan.

- Des nuages roulent �  l'horizon, le calme ne durera pas, puis se tournant vers le bas, Ils font bien d'en profiter...  

Elle croisa les bras, replongea son regard dans celui de Silk avant de reprendre plus sérieuse :

- Et puis, vous vous contredisez-vous même, on ne peut pas être �  la fois fantome et rien... C'est contradictoire...    

Silk ne put s'empécher de sourir. Cette air si serieux, il ne put soutenir son regard et il finit par rire.
Lorsqu'il put reprendre un peu de contrôle, il répondit,

-Un homme peut être tout et rien à la fois.

Il reporta son regard vers la jeune femme,

-J'ai l'impression d'être tout et rien à la fois.

Il jeta un bref coup d'oeil sur les nuages au loin et rajouta,

-J'espère qu'ils prendront leur temps.

Silk ne savait pas trop où se mettre, il ne trouvait pas les mots, il avait envie de fumer mais il ne roulait pas, il voulait voir ce que faisait les autres mais il ne pouvait détacher son regard de celui de Mélissande, si profond, ses yeux clairs brillants de malice, et ses cheveux clairs, comme un animal sauvage, impossible �  dompter.

*Comme l'ocean* se dit-il, commençant à penser comme un marin.  

- On verra bien, mais ils se déplacent bien vite, et l'on fonce droit vers eux. A l'aube... Oui �  l'aube surement, la tempête arrivera.

Elle regardait toujours les flots, inlassablement, comme si, détachée de cette vue splendide, son existence perdait son sens. Mélissande se tourna �  noveau vers Silk, conservant la même attitude jusque dans le fond de son regard.

- Alors ainsi vous êtes tout et rien... Elle s'esclaffa, alors vous me ressemblez...

Elle n'en dit pas plus, elle en avait déjà dit trop.

- Mais vous savez, ca c'est une question de point de vue... Enfin c'est ce qu'on dit... Tout est question de point de vue...  

Silk la regarda en réfléchissant �  ce qu'elle venait de dire.
On aurait dit que les nuages avançaient plus vite que l'aube et avant de ne plus avoir le temps, il demenda, �  tout hasard,

-M'aprendrais tu à nager ?

Le changement de sujet était aussi brusque qu'une rafale de vent mais il n'aurait peut-être pas une nouvelle occasion de si tôt.  

- On se tutoie maintenant ? Mélissande sourit.  

Elle n'avait pas prononcés ces dernières paroles parce-qu'elle était offusquée. Juste, parce-qu'il lui était agréable de retrouver une véritable "amitié", avec l'un des matelots du bord. Les autres femmes, loin de la détester, ne restaient pourtant pour Mélissande que de vagues camarades de voyages. La jeune seconde s'était toujours refusé, comme si elle eut voulut reproduire les décisions de sa capitaine, d'entretenir une quelconque relation avec l'une d'elles. Trop de ses compagnes étaient mortes au combat. Mortes. Tombées sur le sol, sans que la blonde aux yeux d'azur n'ait rien pu faire. Et ce regard profond avait versé trop de larmes pour s'offrir le luxe de l'attachement. Elle songeait �  ça quand Silk posa la question. Celle-ci la surprit, mais elle n'en montra rien. Pourquoi ce brusque changement de sujet... Que les Hommes lui semblaient compliqués parfois ! Tous avides de garder leurs secrets, leurs mystères, comme si ceux-ci eut été leur bien le plus précieux. Cela devait être une sorte de besoin vital pour eux... pensait la seconde de "L'Ange Noir". Mais après tout, elle aussi avait caché tous les déboires de son existence. Seule Thisbé savait ... Elle retomba brusquement �  la réalité et déclara :

- Par ce temps ? Les nuages d'une tempête s'avance et vous voulez apprendre �  nager... Elle rit. Vous ne craignez dont rien, même la seule chose qu'un marin peu craindre : la fureur de Neptune. Et avez-vous mesuré la profondeur des abysses que nous survolons ?

Ceci dit, il apprendrait vite, elle en était certaine... Et Thisbé ne lui avait-elle pas demandé de le former ?  

Silk avait déja vue des personnes nagé, il connaissait vaguement les bases mais il n'avait jamais eu l'occasion d'ésseyer.

N'ayant pas le temps de se fumer une cigarette pour réflechir aux derniers mots de la blonde, il lança avec un grand sourir,

-C'est le moment ou jamais

Sur ce, il se leva, Mélissande ne comprenant pas tout de suite où il voulait en venir.
Silk commença �  retirer le haut de sa tunique, Mélissande compris que se n'était pas où il voulait en venir mais plutôt où il voulait allez.

Tout en retirant sa chemise, il rajouta,

-Si jamais je me nois, auriez vous l'obligeance de soigner le cadeau de Jack

Une question sans vrement en être une mais ni une ni deux, il se dirigea vers le bord de la hune.
Sa poitrine nue ne montrait que quelques poils, sa peau était pâle et, bien que mince et de petite taille, son corp était suffisament musclé.

Reproduisant le saut de Jack lorsque Silk avait espionné la cabine de Thisbé, il sauta tout en souplesse, le corp uni et les mains jointes, les bras tendus pour fendre l'eau au contact.

La chute paraissait sans fin, et lorsqu'il eurta l'eau, son corp rentra dans l'eau comme une bonne lame rentre dans la chair.  

Jack repensait a la déception de Thisbé pour sa question, a sa propre surprise et a la soudaine sortit de sa suzeraine, il avait envie de rire et pleuré en même temps! Comment les femmes était t-il si complexe, pourquoi changeait t-il d'humeur d'un coup? Et comment avait t-il fait pour la mettre autant en rogne avec une simple question?
Il pensait, honteux et malheureux...dehors la fiesta commencer a s'arrêtait, quand soudain, un bruit de quelque chose tombant dans l'eau, le bruit d'un plongeon. Il courut dehors, et vit Silk entrain de nager, d'abord comme un chien puis a faire la brasse.
Il sauta lui même, força a moitié Silk de monter en lui ordonnant, et il lui expliqua:
  -REQUIN!
En effet, des requins se dirigeait vers eux, ils était loin mais il allait rapidement, mais pas assez, les 2 hommes furent remonter sur le navire avant que les requins ne puisse être très dangereux...  

Mélissande eut un sursaut, elle avait regardé Silk oté sa chemise sans réagir. Lorsqu'il amorça sa chute, un cri grave sortit de sa poitrine. Thisbé se retourna pour la voir. La capitaine comprit vite, elle se jetta vers le bastinguage mais Melissande avait déj�  oté bijoux, perles et armes et elle rejoignait les fougueux marins dans le creux des vagues. La rousse, elle regarda l'horizon. Elle comprit alors la demande de Silk, pourquoi il avait sauté. Et elle pensa en elle-même :
" Voil�  qui n'est pas idiot... Il planifie..." Elle sourit.

Mélissande, avait elle aussi fendut les flots, avec grâce et souplesse. Mais une fois �  l'eau, elle poussa des hoquets compulsifs essayant veinement de localisé Silk et Jack, que les monceaux d'eau lui cachait. Elle avait bu plusieurs fois la tasse quand elle les retrouva... Thisbé fit jetter une échelle de corde aux malheureux. La capitaine suivait l'action avec avidité : Elle ne savait pas nager... Impuissante devant ce qui allait peut-être devenir leur agonie, ses yeux roulaient dans ses orbites trahissant son angoisse...
   

Jack regardait les flot, ces vêtements trempé, puis se tourna vers Thisbé, qui sondait les flot a la recherche de quelque chose, soudain, un marins cria de regarder en pointant du doit... Melissande se débâtant contre la mort. Il sortit ses pistolets et tua les requin, et demanda pourquoi les marines n'y allait pas:
  -On ne sait pas nager! répondit une
  -Vous êtes la fierté de la piraterie!
Puis Jack plongea, nagea sous l'eau ou les vagues n'avait plus d'emprise, et se dirigea dans la direction de Melissande, une fois arivé, personne... Il regarda partout, et pourtant! Plongeant sous l'eau pour échappé a une vague il la vue, cherchant a remontait, mais ne réussissait qu'a se stabilisait.
Il plongea et la fit remontait, l'aidant a soulevé son poids, mais la mer devenait trop puissante, et si une chaloupe ne venait pas bientôt, c'était la mort assuré!  

Silk ne savait pas encore bien nager et sauter �  l'eau n'aurait fait qu'empirer la situation.

Le temps commençait �  se gâter et la houle grossissait.
Heureusement, les deux pirates n'étaient pas bien loin, Silk pris une corde qui trainait, grimpa sur le bastingage et lança la corde.
Il dut çi prendre �  trois reprises pour les atteindres.



hrp: bon dsl, c'est pas bien long. J'espère que ça ne gène pas pour faire une suite...  

Thisbé regardait sa nouvelle recrue agir. Elle ne faisait rien, restait parfaitement calme, sûre que la situation s'arrangerait. Seuls quelques matelots s'activaient, tentant veinement d'aider Silk, étonnés de l'immobilisme de Thisbé qui paraissait jubiler...

Mélissande, elle, s'enfonçait toujours plus dans les méandres de l'océan. Elle tentait de retrouver le chemin qui la mènerait �  la surface. Bientôt, celui-ci s'ouvrit �  elle : miraculeusement. jack l'avait porté �  la surface. Sa chevelure blonde transperca les flots noirs. Elle valsa un moment bercé par la houle si bien que Thisbé faillit sciller croyant bel et bien que Mélissande avait succombé �  Neptune. Mais, peu de temps plus tard, Cette éclatante toison fouetta l'air, pour découvrire le visage de la seconde. Celle-ci tourna le regard : Silk était �  bord, ce qui la rassura considérablement. Voyant l'air de Thisbé, elle comprit. Les mots parfois étaient inutils entre elles et la fusion de leur esprits  supplantait souvent tout language sonore. Elle fit demi-tour de nouveau vit Jack, qui sombrait, elle nagea aussi vite que ses capacités en la matière le lui permettaient. Bientôt, elle avait saisit le pirate �  l'épaule, et tenant dans la main la corde qu'avait lancé Silk, était traînés jusqu'au "Sillage de l'Ange Noir"...  

Silk aidé par des matelotes tiraient sur le cordage de toute leur force.
La mer luttant dans l'autre sens.

Silk s'arréta et vint voir Thisbé. Son air "ailleur" et son calme alors que sa seconde et un ami �  elle risquaient de se noyer le perturbait. Aussi il lui demenda, encore essouflé,

-Expliquez moi.

Il était encore trempé, tout s'était déroulé si vite. Il restait calme lui même, il ne lui arrivait que très rarement de paniquer mais la réaction de Thisbé dans tout ça le laissait perplexe. Avait-elle tout planifier, impossible, mais qu'avait-elle en tête.  

La fraicheur de la nuit devenant au fil du temps de plus en plus féroce, Thisbé jetta un tissu de toile qui trainait l� . A sa question elle avait sourit. Ce sourire plus que récurrent, énigmatique et amusé. Elle ne répondit pas tout de suite, puis finit par dire :

- Vous faites très bien vos preuves...  

Sur ce elle s'en alla, disparu dans la foule des femmes. Elle se dirigea vers les rescapés de la noyade : Mélissande et Jack, la peau recouverte de frissons, avaient été remontés �  bord de l'Ange Noir. Elle leur fit apporter, comme �  Silk de quoi se réchauffer. Mélissande, les cheveux dégoulinants refusa elle se sentait "parfaitement �  son aise". Mais ses hoquets intempestifs en disaient long sur son état... La seconde chercha Silk des yeux. Les matelotes qui s'activaient lui brouillèrent la vue : elle ne parvint pas �  le voir.  

Silk resta planté l�  un moment, le temps semblant s'arréter, il se tenait droit, les yeux fixes. Sa respiration était profonde et il refusa une couverture qu'une femme lui proposa, il était perdus dans ses pensées, le monde défilant autour de lui sans que cela ne le perturbe, pas même les frissons qui parcouraient son corp trempé.

Il finit par remonter chercher ses vêtements resté dans la mature, il posa sa cape sur ses épaules et resta l� , �  regarder l'horizon, se tenant �  un hauban.
Il regarda un moment en bas et crus apercevoir Mélissande mais la nuit noir et les pirates en activité empêchaient Silk de bien voir.

Il aimait bien la hauteur, cela ne le dérangait pas et il pouvait observer les alentours, tout en restant �  bonne distance. Cette solitude, ce calme et cette sérénité le reposait.

Il repensa �  tout ça, dire qu'il commençait juste �  pigé le coup de la nage, Thisbé et son air tranquil mais qui pouvait changé dans la seconde en un regard noir et froid, comme le vent, du calme plat �  l'ouragan.
Jack et son impassibilité, qui �  chaque fois qu'il est dans les parages, tu t'attend �  ce qu'il se passe quelque chose, l'imprévisible Jack.
Et Mélissande. Sa chevelure d'or et ses yeux plus clair que l'eau la plus pure....  

Aussitot les pirates remontés �  bord, Thisbé ordonna que l'on repli certaines voiles. La tempête qui se préparait commencait déj�  �  faire mugir le vent sur les flots noirs hantés par d'interminables remous. La capitaine du "Sillage" alla �  la barre.

Mélissande, elle tournoyait déj�  parmis les marins, surveillant d'un oeil l'horizon et de l'autre les manoeuvres. Elle avait froid, et les embruns marins, pour la première fois l'agacaient. Comme pour parer �  cet étrange ressenti elle s'en alla elle-même aider les femmes dans leurs entreprises.  

Silk remis ses vêtements et le reste de ses affaires et aida des matelotes �  côté de lui �  ferler certaines voiles ou �  prendre des ris sur d'autres.
La manoeuvre est délicate et dangereuse mais Silk avait l'habitude des hauteurs et des situations risquées.

Le navire gitait déja bien, mais des rafales de vents se prenaient dans les toiles, �  croire que l'océan essayait de faire tomber les gabiers en action.

Une matelote qui avait mal assurait sa prise glissa et failli tomber, mais son experience lui permis d'éviter la chute.

Silk en aprenais un peu plus �  chaque fois, son esprit vif et sa méticulositée dans son travail lui permettait de comprendre assez vite.
Mais certains termes lui échappait parfois, l'obligeant �  regarder d'autres marins faire la tâche demendée avant de comprendre ce qu'il fallait faire.
Ce manque de connaissance l'obligeait d'attendre sans pouvoir faire quelque chose, et si il avait fallu réagir vite, Silk n'aurait pas put intervenir �  temps.

Les marins s'activaient et le vent forcissait, faisant prendre de la vitesse au navire. Il ne pleuvait pas encore, rendant les manoeuvres délicates moins pénibles, mais les embruns de l'océan étaient violants. C'était un véritable sceau d'eau de mer que l'on prenait dans la figure, aveuglant pendant quelques secondes.
L'humidité frigorifiant les corps et rendant glissant le moindre petit bout de garcette.  

Mélissande sous la tempête, aussi mouillée que lorsqu'elle était sortie des eaux s'agitait sur le  navire surveillant nuages, horizons et matelotes... Bien que glacée par l'haleine qu'exhalait l'océan, elle sifflait des ordres, surveillant d'un coin de l'oeil les objections que pouvait faire Thisbé. La capitaine elle, apparaissait en cette nuit de tempête comme l'une de ces divinités grecuqe qu'on appelle Artémis et qui se révele aussi fière et sauvage que la nature en ces moments de rage. Debout sur la dunette arrière, tenant dans la main gauche la barre humide, Thisbé jettait �  l'ensemble de son navire des regards vifs, précis en rectifiant souvent les ordres de Mélissande, trop vagues pour êtres efficaces.

C'est �  grand peine que l'équipage des femmes pirates sortirent de la tempête, et quand au matin la brume apparut, tout le monde sur le pont somnolait, en proie �  une fatigue assomante due aux efforts de la nuit précédente... Seules Thisbé semblait pouvoir encorefournir effort et disponibilité. Mélissande s'était elle-même retiré...

Quelques jours plus tard, une voile fendit l'horizon de St Barts...

( Suite dans Guadeloupe : "Un avenir... Oui mais à quel prix ?" )  

Les jours en mer s'écoulait, les part bien suffisante avait était gardé d'un commun accord, jusqu'�  un port sécurisé. L'équipage se détendait comme il pouvait, mais il savait que le combats allait surgir d'un moment a l'autre.
Ils avait cherché pendant des mois l'itinéraire de ce galion, renseigné par un pourri corrompu soldats espagnol, il avait était au courant que ce galion passerait par l� . Il attendait au loin cette voile, déguisait en navires marchands espagnol. On avait mobilisait "La flèche noir", frégate de 2 ponts et de 59 canons, "le Black Purl", et 'l'intrepide", tout 2 galions.

  -GALION EN VUS! cria la vigie.

Les trois navires se préparèrent, le but était de les laisser venir...


   

Le galion avançait doucement, persuadait que les navires en fasse leur fournirait de l'eau potable et de la nourriture pour peu chère s'il faisait le soldat barbare et brutale pret a faire bruler le navire s'il n'a pas ce qu'il veut.
Le lourd galion approchait pendant que les navires chargé les canons de mitrailles, et se préparer a faire feu sur un ordres du capitaine.

  -HISSEZ NOS VRAI COULEUR MATELOTS, HISSEZ LES VOILES, OUVREZ LES VOLETS! cria soudainement Jack.
  -AU ARMES! MOUSQUETS! ordonna le bosco

Tous les navires firent de même. Le galion espagnol n'avait que peu de canons, très peu de canons, il les avait sacrifiait pour de la place. Il chercha a fuir, mais trop tard, un bruit éfroillable. Une dizaine de canons avait craché des boulets ramé, démâtant le navire ennemie. Les autres canons avait était chargé a la mitraille.
Les pirates mirent leur mousquet par dessus la rampe et attendirent. Les canons chargés a la mitraille était pointé, s'il ne se rendait pas, s'aurait était un massacre pour l'ennemie.

  -ATTENDEZ! cria le capitaine du navire espagnole, ON SE RENDS! MAIS PITIÉ!

Le navire fut prit, l'équipage du navire, 117 hommes, furent rapidement jeté au fer. Il chargèrent toute les boulets, poudre sur le navire. Le capitaine entrèrent dans la cale, et une très bonne surprise les attendais: les murs de la cales était tapissait de lingots, et des doublons par dizaines de milliers.
Une chaine d'homme de l'équipage transporté de mains en mains ces richesses, essayant d'estimer leur part, ou imaginer ce qu'il feront avec. Certain s'imaginer déj�  en compagnie de toute les femmes d'une nuit du prochain port ou il s'arrêterait.
Le capitaine continua son exploration, le vaisseaux n'avait que quelque canons, il faudrait donc en racheter, mais ce devrait aller. La vaisselle était pour les officier en or ou argent. Jack se demanda si les pirates continuerait de l'écouter quand il disait garder le butin encore un peu, et se dit qu'il ne faudrait pas trop mettre leur patience trop a vif, et un telle trésors aurait quelque tentions, bien qu'il eut confiance en son équipage, mais il essayerait tout de même d'augmenter la part du navire. Les part était ennorme, le butin de Gadeloupe, le trésor de St Eustache, et cette prise, il s'estimait a au moins 160 000 pièce d'or!
Il avait décidait de donner 9 -une de moins que le capitaine- part au capitaine Thisbé en temps que suzeraine de Jack et personne ne le contredit, sachant que toute ces prises était grace a lui, et tout le monde a bord avait confiance en le jugement de leur capitaine, car il leur avait jusqu'ici que richesse et nouvelles prises.
Le trésors fut chargé sur le "flèche noir", et le galion remorqué.