Forum Age Of Sea Dogs

10h sonnait sur la pendule du capitaine Jéricho Balstad. Le Black Shark naviguait toujours petit largue, par jolie brise, avancant ainsi �  6 noeuds. La météo n'était pas fameuse. Un temps humide accompagné d'un fine pluie. Malgrès cela la visibilité restait importante. Jéricho se tenait dans son branle, dans sa cabine situé sur le côté babord du gaillard arrière. Le capitaine se leva et s'asseya �  son petit bureau. Il ouvrit un tiroir et en sortie un parchemin. Il s'agissait des plan que le général de Port-au-Prince lui avait demandé d'emmené en Martinique. Jéricho fut étonné devant le plan, représantant un vaisseau de ligne très lourd.
- Mon dieu, 60 canons par bord sur 3 ponts, 6 canons de fuite et 4 de chasses, et de quoi emporter plus de 1300 hommes.
Les plans était compliqué mais repérer les points clé était facile.  

La cloche du repas sonna. Jéricho sortis de sa cabine, qui donnait directement sur la cuisine. La table était mise. Neuf couvert était mis. Quatre par côté et un dernier en bout de table, du côté de la poupe. Les officiers commencait à arriver. Le second, les quatre bosco, le quartier-maître, le canonnier et le chirurgien. Jéricho s'installa en bout de table. A sa gauche, les quatre bosco, Hayes étant le plus proche, suivit de Achille, Yann et Hans. A sa droite, Otto Von Graff, Rolland, le canonnier, Jack, le quartier-maître et Enrique, le chirurgien. Le couvert était simple quoique luxueux. Il s'agissait d'assiète, de couteaux, fourchette et cuillère en argent, appartenant jadis a Black. Baptiste, le maître-coq sortis de la cuisine.
- Voilà l'entrée. Un bon pain fait maison, ainsi que du paté de porc de Port-au-Prince.
- Merci.
Le pain était une boule coupé, servit sur une planche en bois. Le pâté, lui, était présenté sur un petit plât en verre. L'entrée fut apprécié de tous les officiers qui mangeait en discutant, sauf de Enrique. Quand Baptiste revint après quelque minutes :
- Vous n'aimez pas le pâté, Mr Enrique ?
- No, yé soui désolé.
- C'est du bon pourtant. Merde ! J'avais oublier !
- Tempis. Pas dé paté por Enrique.
- Je vais vous chercher autre chose.
Baptiste fila avant que Enrique n'eu le temps de dire quelque chose. Le comportement de Enrique s'explique par le fait que Enrique, qui est espagnol, est né de parent musuleman, à Seville. Baptiste revint avec du pâté de volaille, ce qui convaint à Enrique.
- Puis-je amener la suites ?
- C'est bon Baptiste, amène.
- Merci. Peter !
Baptiste enleva le pain et le pâté de la table, tandis que son assistant, un homme de la trentaine, bien portant, arriva avec un plât en terre cuite et une petite marmite en métal. Peter posa cela sur la table, avant de retourner avec Baptiste dans la cuisine. Le menu : patate et poulet. Les officiers se servirent et commencèrent à manger. Durant le repas, Jéricho commenca une discution importante.
- J'ai régardé ce que l'on doit approter en Martinique.
- Qu'est ce ? demanda Hayes
- Un vaisseau de 130 canon, 1300 hommes, une coque en chêne de 10cm et un quatrième mât.
- Et ca marche un truc pareille ?
- J'en sait rien. Mais ca doit peser des tonnes et pas être rapide.
- Par contre, tu te prend une volée dans les dent, tu morfle.
- Certes.
- Comm se noma el navire ?
- Le Titan.
- On comprend pour quoi. Ce vaisseau dans le Caraïbes pourait bien aider la France.
- Cé navire au main dé los anglès, pas bon por nous pirate.
- Cetes, mais les français sont nos alliers, nous n'avons donc rien à craindre.
Comme Jéricho finissait sa phrase, Baptiste et Peter sortirent de la cuisine, puis du gaillard arrière, portant deux gros plât en métal.  

Quant les officiers eurent fini leur repas, ils quittèrent la table. Jéricho, accompagna Achille, afin qu'il prenne son quart. A vrai dire, celui-ci avait 20 minutes de retard. Au dehors, Bapitiste et Peter sevait le repas aux hommes hors-quart. Une table était installé sur le pont. Les hommes passait devant, tenant une assiette en métal, et un gobelet en bois. Ils passaient d'abord devant Baptiste qui mettait trois ou quatre pomme de terres dans leurs assiette, avant de passer devant Peter remplissant le gobelet de rhum, et donnant un fruit que le matelot pris de sa main libre. Tandis que certain mangeais, les 3ème quart travaillait sans être alléché, car les 3ème quart mange �  11h.

Achille donnait ses ordres. Le vent avait tourné et venait maintenant de l'est, faisant naviguer le Black Shark en sérrant le vent par babord amurre.
- CHOQUEZ LES VOILES MATELOTS ! GABIERS ! FERLEZ LE PERROQUET DE FOUGUE !
Les matelots, dont Kévin, décrochère les bras de vergues et les écoutes, afin de les raccrocher �  une autre enfroit, dans le but de réorienté les voiles. D'autre matelots tiraient sur les bosses de cargue, afin de ramener le perroquet de fougue près de sa vergue, tandis que les gabiers étaient monté au mât d'artimon, afin d'arimer la voile a sa vergue respective.
(http://i17.servimg.com/u/f17/11/33/61/58/arch_310.jpg)  

L'aprés-midi s'entama normalement. La frégate serré un vent d'est de force 4, ayant une vitesse de 4 noeuds. Le Black Shark naviguait Est-Sud-Est, est se trouvait �  environ 300 milles au nord de Caracas. Il était 15h passé quand un cri tomba des hunes.
- VOILE PAR BABORD AVANT !
La plupart des hommes regardèrent dans la direction indiquer, tandis que Achille monta sur le gaillard arrière, scrutant la zone avant-babord. Il déplia sa longue-vue et regarda le navire.
- BRANLE-BAS DE COMBAT !
Un matelot sonna la cloche. De l'entrepont sortie de nombreux hommes. Matelots, gabiers, moucheurs, montèrent sur le pont où grimpèrent dans la mâture.
- Les gabiers avec moi ! cria Yann en grimpant par les haubans.
- Les moucheurs ! A vos mousquet et dispersez-vous dans les hunes et contre le bastingage.hurla Hayes, qui sortait du gaillard arrière un mousquet à la main.[/i]
- Tous les matelots paré à la manoeuvre ! ordonna Hans
Les gabiers grimpèrent avec Yann, les moucheurs montaient dans les hunes accompagné de Hayes, les matelots se tenait près a exécuter les ordre de Hans, Rolland se placa dans la grande écoutille, Cyril se placa dans l'entrepont, les chef de pièce, près de leur canon, furent rejoind par les servant de pièces, déj�  affecté �  un canon. Dans le gaillard arrière, Jéricho mit son manteau contenant 4 grenades, placa 1 pistolet dans sa ceinture, mis une autre ceinture en bandouillère, pris un sabre sur le portique, l'accrocha a la seconde ceinture, mis son tricorne et sortis sur le pont. Tous le monde était près.

Jéricho alla retrouver Achille sur le gaillard avant. Il pris sa longue-vue dans une poche interrieur et observa dans la direction du navire.
- Qu'en dit tu Achille ?
- Une corvette. Il suis une trajectoire parallèle à la notre.
- Mmh ! Mmh ! Otto ?
- Che dirai ozi une gorvette. Mais che ne fois pas son pafillon. Dit le second qui avait rejoin son capitaine.
- On l'attaque ?
- Archtung, il a le fent pour lui.
- Même si on voulait l'éviter on aurait du mal, il vienne de hisser leurs couleurs.
- Espagnols.
- Ya, il faut brendre une décizion, il arrive zur nous est vite.
- On serre le vent babord amure et lui l'a en largue tribord amure. Il doit avancer �  8 noeuds.
- On doit pas aller très vite. Hans, la vitesse s'il te plaît !
- Pon, on fait koi ?
- Rolland !
- Monsieurs ?
- Boulet !
- A vos ordre !
- Vitesse, 4 noeuds ! s'exclama Hans.
- On attaque ?
- On a pas le choix.
Achille quitta le gaillard et alla près de la misaine, tandis que Otto alla au mât d'Artimon. Durant les combat, Achille contrôle les manoeuvres. Il est aidé par Hans, qui dirige les matelots et Yann, avec les gabiers, tandis que Hayes, sur le poste de vigie du grand mât, assure le rôle de chef des moucheurs. Aux canons, Rolland et Cyril dirigent les chefs et servant de canons.

Inférieur en vitesse et en maniabilité, le Black Shark continue tous droit, s'appretant a passé le long de la corvette espagnol.  

Dans l'entrepont du Black Shark, les servant de canons armait leur pièce. Kévin était posté sur le canon 214. C'est �  dire dans l'entrepont, le 7ème �  tribord en partant de proue. Le chef du canon 214 se nommait Clément Déchant. C'était un homme de 19 ans, mesurant environ 1m65, un peu mégrichon, mais possédant un sacré caractère. Il portait comme habit un pantalon bleu marine et une chemise noire, ouverte avec les manches relevés. Avec Kévin, Clément commandait un certain Alexandre Riossaux. 18 ans, 1m70, roux, pantalon rouge et maillot banc. Comme tous les canonniers, les trois compagnons chargé leur canon de calibre 12.  

La détonnation babord avez été violente . Malgrés qu'ils ce trouvait sur tribord , le tir de la corvette expulsère de nombreux marin , comme Kévin , sur l'armature du navire . Kévin ce retourna , les hommes s'apprétaient a recharcher . Les officiers tonnère les ordres . Un trou dans la coque parmis a kévin de percevoir le batiment qu'ils attaqué . Kévin ce tourna vers Clément et celui ci sembla devinait sa pensé .

-Oui , moi aussi je suis impatient de leur envoyé une volée , mais pas encore , nous devons attendre la manoeuvre et les ordres . Peut être même que nosu n'aurons pas besoin de tirer ? Enfin , nous verrons .
-Moui ... Nous verrons .  

- BARRE A BABORD TOUTES !
Comme le Black Shark continuait de tirer, Jack, le quartier-maître et timonier, fit virer le navire �  babord. La frégate commenca alors a passer �  55 yard derrière la corvette.
- Le gouvernail ! Visez le gouvernail !
- Vous avez compris bande de molusque ? Visez le gouvernail ! Batterie de pont, baissez pour 8°, batterie d'entrepont pour 3°. cria Rolland ayant son carnet à la main.
Tout en passant le Black Shark continua de tirer. Mais seul 1 canon et 4 couleuvrine firent feu, les autre n'ayant pu recharger. Malgrès les indiquation de Rolland, les 5 boulets passèrent très près du safran de la corvette, ne faisant qu'arroser l'étambot en tombant �  l'eau. Le Black Shark continua de virer et bientôt, il se retrouva par arrière-tribord la corvette, �  77 yard, dans la même direction que celle-ci. Pendant ce temps, Achill, Hans et Yann avait, �  l'aide des matelots et gabiers, réorienté le voiles, afin de naviguer en largue, tribord amure.
   

Le Black Shark continua de suivre la corvette par tribord-arrière. 55 yard séparèrent les deux navire, la corvette vira de bord, coupant la route au Black Shark. Les 10 canons babord de la corvette tirèrent sur le Black Shark.
- Tiens le cap Jack !hurla Jéricho au quartier-maître et timonier.
Le Black Shark continua tous droit, subissant les tirs de la corvette. Un boulet détruisit la vergue du mât de beaupré, un autre toucha l'éfigie de proue en forme de requin, un autre encore transperca le bastingage et vint percuter une couleuvriene ; La slave terminé, on ressenca 5 victimes.  

Le Black Skark continua tous droit. La corvette aussi. Quand le Shark se trouva derrière la corvette :
- FEU A VOLONTEE !
Au fur et �  mesure que passait les canons, ceux-ci tirèrent. Quand tous les cannoniers tribord, dont Kévin et son groupe, eurent tiré, l'étambot de la corvette était en miette. La corvette se placa péniblement grand largue, tentant de fuir.
- Le poursuivre serait inutile. Ce genre de navire ne transporte rien. Jack, cap au Sud-Est-Est.
- A vos ordre.  

-Génial , on l'a eu ! on lui a abimé l'étambot !
-Oui , mais on doit ce positionné , alors  RECHARGE !
-A tes ordres !
Alors que dans la fumée suffoante et les cris des blessé , Kévin aidé des deux côtés rechargea péniblement et attendit , dans une grande impatience , de leur envoyé une vollée , ou alors , ce lancé a l'abordage !  

Les 2 navires s'éloignèrent l'un de l'autre. Jéricho fonca sur le gaillard arrière et ordonna au canonnier des 3 pièces.
- Tenez le en joue. Si il vint sur nous, feu !
- A vos ordre.
- Otto ! Restez en alerte ![/color]
Le Black Shark s'éloigna de plus en plus de la corvette. Quand celle-ci fut loin, Jéricho mit fin �  l'alerte.
- Fin d'alerte ! Achille ! Sonne la cloche !
Achille sonna la cloche, et les matelots hors-quart quittèrent leur poste, tandis que les servant de canons étant de quart, remontèrent sur le tillac afin de remplir le fonction de gabiers ou matelot. Après quelques instants, la frégate retrouva son train-train quotidien. Seul Carl, le charpentier, Anne, la voilière et Baptiste, le calfat, accompagné de leurs assistants réparrèrent les dégâts sur le navire.

Jéricho s'en alla voir Otto.
- Alors, les dégâts ?
- Une couleufrine est naze, le pastingage papord est endommaché, l'éfigie de broue �  pris un boulet, et j'ai gompder 8 drou au nifeau de l'endrepont, �  paport.
- Merci.
Jéricho alla ensuite �  l'infimerie. Plusieur blessé était l� , ainsi que Enrique, le chirurgien.
- Alors. Ta note ?
- 4 muertes y 5 blessé, dont 2 graves.
- Soignable ?
- Des 2 graves, yé né garenti pa la survit dé uone.
- Tu me fera une liste des victime.
- Si Jéricho.
Jéricho partis de l'infirmerie, installé dans la salle �  manger du gaillard arrière. Déj� , les mort étaient amené sur le tillac, afin d'être enfermé dans leur branle, avant d'être jetée �  la mer. Les autre, les blessé, serons installé dans l'entrepont, isolé des autres, près de Enrique.  

Deux jours passèrent. Le Black Shark était maintenant presque arrivé �  Grenade. Le voyage s'était déroulé sans autre incidents. Carl et Baptiste avait réparé la coque, le bastingage et l'éfigie de proue, tandis que Anne avait remis les voile �  neuf.

Un soir, après une bonne journée, le repas des officiers souleva une réclamation de la part de l'équipage.
- Capitaine, en temps que quartier-maître, je doit vous faire part de certaine réclamation de la part de l'équipage. annonca Jack.
- Je t'écoute.
- Et bien, l'équipage trouve que les quarts sont trop long.
- Expliques-toi.
- Six heurs de suite, c'est trop.
- C'est juste. Au bout de quelque temps, ils sont claqué. intervint Hayes.
- Si les quart sont trop long, on peu doubler le nombre de quart.
- Mais dans ce cas, on n'aurais pas assé d'homme.
- Mmmmh.... On pourrait, faire travailler un quart deux fois.
- C'est-à-dire ?
- En fait, chaque quart travaille 3 heures le matin et 3 heures l'après-midi.
- Pourquoi pas. Chaques quart fait son temps, et la coupure de 3 heures fait qu'il peuvent se reposer entre deux services.
- Je proposerai cela à l'équipage, mais ca me semble bien.
Le repas se termina sans autre discution digne de grand intêret. Après le repas, Yann monta prendre son quart, tandis que les autre officiers partirent dans leurs quartiers, comme Jéricho qui alla se coucher.  

Le lendemain matin, alors que Jéricho était en train de se restaurer un peu, sur le tillac, le quartier-maître Jack rassembla l'équipage.
- Rassemblement !
Hayes, qui était l'actuel chef de quart, siffla pour rassembler l'équipage.
- Bon les gars ! J'ai revut les quart avec le capitaine. Il propose des quart de 3 heures, deux fois par jours. Un le matin, un le soir.
l'équipage discuta entre lui.
- Donc on fait deux fois 3 heures, ca fait 6 heurs.
- Ouais, on sera moin fatigué.
- Y peuvent pas faire plus de quart ?
- Y pa assez de gars.
- Bon alors !? Ceux qui sont d'accord lève la main.
Une grande partis de l'équipage leva la main, dont Kévin.
- OK les gars. Pour aujourd'hui, on fait comme d'habitude. Demain les nouvelles horaire seron affiché sur le tableau, près de la porte du gaillard arrière. J'ai fini Hayes.
- Le second quart à son poste ! Est que ca saute !
Les hors-quart reprirent leurs occupation. Ceux du second quart aussi. Jack entra dans le gaillard arrière, où Jéricho mangait une tranche de pain avec de la confiture.
- Faut manger la confiture à Baptiste. Après y va encore râler car elle sera périmé.
- Les hommes sont d'accord pour les quart, Jéricho.
- Parfait. Je noterai les horaires après avoir mangé ma tartine.
- D'accord. Si tu me cherche, je suis dans le carré des officiers.
- Compris, amuse toi bien.
Jack salua Jéricho de la tête et quitta le gaillard arrière. Jéricho resta seul avec Baptiste qui entra dans la salle �  manger.
- Elle est bonne ma confiture de framboise ?
- Exellente.
- Alors faite de la pub pour les autre officier. Sinon je devrai en donner à l'équipage.
- Bah fait le. Tu pourrait leur faire un truc pour le matin.
- Ca fait beaucoup de confiture.
- Donne leur au moin une tartine de pain.
- Ouais, je verrai pour qu'il puissent venir prendre du pain quand il se réveille.
- D'accord. Bon, je vais dans ma chambre, salut.
- Ok cap'.
Jéricho entra dans sa chambre, laissant Baptiste seul.
- Peter, sort le pain et vient sur le tillac !  

Le nouveau système de quart mis en place, l'équipage semblait heureux. Ceului-ci, plus en forme, faisait la joie des bosco. Le soir tombait. Le second quart était encore de service, dirigé par Hayes. Le quartier-maître Jack est timonier du 2ème quart, seulement. Jéricho et Hayes se tenaient sur le gaillard avant. Antoine se trouvait �  la vigie, et celui-ci cria :
- Terre en vue !
- Jéricho déplia sa longue-vue et observa le point de terre repéré.
- La Martinique messieur.
Plusieurs hommes étaient allés voir l'île.
- Regardez on arrive !
- La Martinique les gars !
- Enfin on arrive !
Comme tous se réjouissaient de voir la Martinique, Antoine, qui regardait également l'île, se fit appeler par Alexandre Riossaux.
- Tu viens Antoine ?
- Ben, non. J'ai pas encore recu l'ordre.
- Mais tu t'en fou ! On est arrive, on va faire quoi ?
- Ouais, t'as raison.
Antoine commenca à descendre par les haubans babords. Celui-ci releva la tête et :
- ALERTE ! VAISSEAU PAR BABORD !
Jéricho regarda à babord et vit un vaisseau qui leur fonçait dessus.
- Alerte ! Branle-bas de combat ! barre à tribord toutes !
Tous le monde se dépêcha d'aller a son poste. Déj� , Jack avait viré de bord. Les sabord s'ouvrirent, laissant sortirent les canons.  

Kévin , qui jusqu'a présent n'avait que jeté quelques coup d'oeil par dessus le bastinguage , fut heureux de la nouvelle . Il ce précipité vers les hautbans , et s'y agripa . L'île ce dessiné nettement , mais quelques chose détourna son attention , quelques chose comme un batiment de guerre .
-Alerte ! Branle-bas de combat ! barre à tribord toutes !

Fit Jericho d'une voix forte . Kévin ce précipita a son poste . Son sabre était accroché a l'entre pont , en dessous de l'écoutille . Kévin courut droit sur la pièce qu'il devait occupé , le canon 214 , côté tribord  . Alexandre et Clément était déj�  la .
-Allé Kévin !Fit Clément , le chef de pièce .Grouille toi , on charge et on attend les ordres !
Ils chargèrent rapdemment le canon d'un boulet calibre 12 . Ils tirèrent le sabord et regardèrent . Le Black Shark était pile en ligne de tir avec le vaisceau .  

Le Shark virai �  tribord, salué par 2 tirs de chasse du vaisseau. Le Black Shark filait devant le vaisseau. Jéricho fonca sur le gaillard arrière.
- Canon de fuite, FEU !
Les 2 canons et la couleuvrine de fuite firent feu. Jéricho scruta �  la longue-vue le vaisseau, situé �  76 yards.
- Maudits anglais ! Virez à tribord sur 90° !
Jack, placé juste �  côté, fit virer le navire. Le Shark piquait ainsi droit sur la Martinique, que Jéricho espérai pouvoir rejoindre rapidement.
   

Le Black Shark fuyait droit vers la Martinique. Le vaisseau anglais le talonnait. Celui-ci se trouvait par babord-arrière, �  43 yard. Subissant les caprices du vent depuis longtemps, le Black Shark marchait au plus près serré.
- Bordez les hunier et les cacatois ! ordonna Achille, le bosco.
Le vaisseauvira légèrement a tribord pour tirer deux boulets sur le Black Shark. L'un d'eux transperca le bastingage du gaillard arrière et faucha un cannonier; l'autre fit voler en éclat une fenêtre. Plus léger, le Black Shark gagna du terrain sur le vaisseau, plus lourd. Après quelque instant, quand le Fort-Royal fut en vu, le vaisseau arrêta la poursuite en virant de bord. Sur Black Shark, des cri de joie furent entendu, tandis que celui-ci entrai dans la baie du port.  

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Le Black Shark naviguait cap au nord, par bonne brise, grand largue tribord amure. Le matin s'était levé et le 3ème quart, dirigé par Achille manoeuvrait le navire. L'obscurité s'étant levée, Louis, qui se tenait dans les hune pus crier.
- Voile par arrière !
Jéricho qui s'était levé, monta sur le gaillard arrière, accompagné de son second, Otto Von Graff.
- Il suis notre route.
- Ja. Il peuvent êdre là debuis longtemps.
- Avec la nuit oui. Je n'arrive pas à distinguer son pavillon.
- Z'est une vrégate.
- Je sais. Mais, amis ou ennemi ?
- On hisse le pafillon vrançais ?
- Hissez !
- A fos ordres. Hissez le pafillon vrançais !
Un matelot fut désigné par Achille, et celui-ci alla hissez le pavillon. Le drapeau bleu a fleurs de lys flottait déhormais dans les aire, accroché �  la corne.- Il ne répond pas.
- On l'enfois par le vond ?
- Nan. Pas sans l'avoir identifié.
- Arch ! L'orientation du fent est bourtant bonne.
- A enfin, le voilà qui hisse son pavillon. Le pavillon noir.
- D'autre pirates !
- Attendez. Ce pavillon.... Héléna.  

Tandis que les hommes s'afairraient , Héléna pointa sa longue vue droit sur le Shark . Elle vit le pavillon français ce isser par l'arrière .
-Hmmm ... J'ai l'impression qu'ils ne nous reconnaisset pas .... Joch , Isse nos couleur !
-Tout de suite capitaine !
Le long pavillon représentant une femme , le sabre levé , assise sur un coffre , s'éleva lentement .
-Ralentissé l'allure ! Qu'on prépare une chaloupe !
Le Lalys parvint a ce placé a une vongtaine de mètre du Shark . Une chaloupe fut mise a l'eau et Héléna , Joch , Daphné et trois autres hommes montèrent a bord . Quant ils atteingnirent la quille du Black Shark , ils gravirent , a l'aide des hommes de Jéricho la coque et saluèrent leur amis .
-Jéricho ! Enfin , je parvint a vous rattrapé ! Votre batiment est trés rapide ! Mes hommes ont dut^gardé l'allure toute la nuit pour parvenir a vous rattraper !  

Jéricho aida Héléna et ses compagnons a grimper sur le tillac.
- Merci de votre compliment. Le Black Shark a été concu pour combiner puissance et vitesse. Sa coque le rend plus lourd, mais plus rapide. Mais ne restons pas l� n je vous en pris, venez dans ma cabine.
Jéricho emmena Héléna dans le gaillard arrière et entra dans sa chambre. Jéricho pria Héléna de s'assoir et il lui servit �  boire.
- Alors, que me vaut l'honneur de votre visite ?  

Héléna , aprés avoir jetée un rapide coup d'oeil , ce tourna vers Jéricho .
-He bien , je voulais vous rencontrer au port , mais hélas , vous êtiez partie bien avant le levée du jour ... J'ai donc décidé de vous suivre ... Enfin , bien des choses me tracasse en ce moment , notamment les anglais ... Ils sont a ma recherche . Ils ne peuvent accépté qu'une femme puis le piquer une batiment d'une tel puissance ,elle tourna la tête vers le navire rebaptisé Lalys, sous leur nez . Ils ont déployé de grand moyen , mais je ne suis pas dans la zone ou il me recherche . Celle ci est situé a Philadelphia , loin d'ici ! et vous , que devenez vous ?  

Jéricho, qui regardait le navire �  Héléna �  travers la fenêtre du gaillard, répondit �  Héléna.
- Je suis chargé d'attaquer un convoi espagnol. 4 galion et 1 frégates. La frégates est ma cible principale. Je vais en Guadeloupe rejoindre un navire placer sous mes ordres, ainsis qu'un amis et commodor français, aux ordres d'un vaisseau de ligne. Je pense également inviter Erwan, le frère de Black, �  la fête.
Jéricho regarda Héléna et bu une gorgée.  

Héléna réfléchissa longuement , puis ...
-Erwan ... Ne serais pas celui que Kévin pensais recruter pour l'alliance ?
-Exactement , c'est le frère de Black .
-oui ... MAis , ce convois est une grosse cible ... Me permettrez vous , a moi et mes hommes , de me joindre a vous en me placant sous vos ordres ?  

Jéricho fixa Héléna d'un air ravis.
- Je n'en attendait pas moin de vous, ma chère. Sur ceux, sans vouloir vous expulser, nous devrions repartir. La route est encore longue, et nous devrions profiter de ce merveilleux vent. Que demander de mieux. Vent en grand largue par tribord amurres de force 5.
Jéricho se leva et raccompagna Héléna au bord du bastingage.  

Quant elle fut devant le bastinguage , elle ce tourna , salua Jéricho , et retourna sur son vaisceaux avec ces hommes . le batiment de Black avait repris de l'allure , et le Lalys s'empressé derière lui . Le vent , comme l'avait dit Jéricho , était plus que favorable . Les voiles étaient gonflé a merveille , et les hommes étaient d'une humeur jovial .
-Capitaine , fit Joch , Pourriez vous venir voir ?
-Bien entendu .
Elle descendit du gaillard arrière , et ce dirigea vers la cabine des officier . La , elle trouva Joch , Daphné , William , Lyly , et Max était présent .
-Qu'y a t-il ?
-Nous avons des nouvelles a vous comuniquer , nous les avions reçus par le gouverneur lui même , mais il nous avez interdit de vous les réveller ailleur qu'en mer .
-Et qu'elles sont ces nouvelles ?
-Votre père et votre mère ont étés capturé par les anglais ...
La pensé de sa mere lui revint en mémoire . La rage bouillona en elle .
-Devons nous faire demis tour ?
-Non , nous suivons Jéricho . Nous réglerons ce problème plus tard ...
-Mais vos parent ?
-Si c'est sal porcs touchent a un seul cheveux de mes parents , ils le payrons au prix fort !  

Le Black Shark marchait a vive allure. Le vent était si favorable que Jéricho avait ordoné de ne pas border les cacatois, afin que le Lalys puissent suivre la frégate. Le soir tombait. La belle journée  se terminait, et l'air devint plus frai. Jéricho observa le le petit pavillon, placer sur la barre. Le vent tourna, pour se placer de travers, tribord amure. Le second quart était de service.
- Le vent tourne capitaine. On réoriente ? demanda Hayes, le chef de quat.
- On réoriente Hayes.
- A vos ordres. Paré à la manoeuvre ! Matelots ! Aux bras de vergues !
Les matelots se précipitèrent aux bras de vergues, afin de tirer ou laisser filer les manoeuvres, afin de réortienté les vergues.
   

Le vent forcit. Jéricho observa le cile et recu une goutte sur le nez. La pluies commenca �  tomber plud fortement. Le Black Shark pris de la vitesse.
- Hayes. Le loch.
- A vos ordres.
Hayes alla chercher le loch dans un coffrte sur le pont, et appella un matelot. Hays lanca le loch dans l'eau et et le matelot retourna un petit sablier. 30 seconde s'écoulèrent et le matelot cria :
- Stop !
Hayes stoppa la manoeuve retenant le loch, et annoca à l'attention de Jéricho.
- 9 noeuds.
- On accélèrent. Hayes, il faut rentrez le perroquet de fougue.
- Compris. Vous avez entendu les gars ? Gabiers �  l'artimon ! Matelot larguez les voile et hissez les bosse de cargue !
Le pont s'activa. les ordre de Hayes furent exécutés. Un jeune matelot d'a peine 10 ans avait des difficulté �  défaire une écoute. Hayes s'apporcha et lui montra comment faire.
- C'est fait Jéri.
- Parfait, maintenant...
Un éclair déchira l'air et la pluies tomba encore plus fortement. Le ciel s'assombrit encore.
- Tiens bon la route timonier !
Le vent poussait le navire avec une force 10. La mer commencait �  se déchainer, et le Black Shark fut secoué par une vague de 10 de hauteur. Un matelot fut progeté contre le bastingage. il se releva un peu sonné mais sans blessure.  

-Larguez les voiles !
Le vent frappé de plus en plus fort a présent . Déj�  un homme était tombé a la mer , et les autres s'affairé a la manoeuvre . Des litres de d'eaux tombé sur le navire . Les hommes étaient trempé . Héléna était a la barre , Joch a ses côtés . tous les hommes étaient sur le pont , tous occupé . Soudain , elle vie avec effrois une énorme vague déferlé sur le Black Sahrk et fonca droit sur le lalys .
-Accrochez vous !
Elle n'eu pas le temps de vérifier si ses hommes étaient tous bien accrochez car la vague tomba sur eux comme l'éclair foudrois un arbres ...  

Dans les hunes, c'était l'horreur. Les vagues et le vent faisait horriblement remuer le Black Shark. Les gabiers se tenait aux enflèchures, tentant de vaincre le vertige.
- La misaine les gars ! Ferlez le petit perroquet !
Les gabiers montèrent au mât de misaine. Les matelot hissèrent les bosse de cargue, afin de remonter la voile �  sa vergue, pour que les gabiers puissent ferler la voile.

La frégate avançait a vive allure. Les hommes s'étaient accochés �  leur ligne de survie. Une vague inonda le tillac. Jéricho ordonna de voiler les écoutilles, afin d'éviter que l'eau ne pénètre dans l'entrepont.  

Tout comme les autres hommes , Kévin était sur le pont , a la manoeuvre . Il s'affaira a ferlez le petit perroquet avec de nombreux hommes , tellement le vent était puissant . Une vague le frappas de plein fouet , il but une longue tasse , tomba a la renveserse , et passa par dessu le bastinguage . Il se racrocha de justees , parvenant a peine a ce isser .
-Kévin , attrape ma main !
Ce fut Cyril qui vint a son aide . Il lui prit la main , et ce issa grace a lui .
-Merci ... fit il , totalement exténué .
-De rien , dépeche toi , le temps est de plus en plus pire !
Cyril partie sur babord , tandis que Kévin alla vers la gaillard arrière . Du sang coulé de sa tête , suite au choc contre la coque , et il partu un moment désorienté .
-Capitaine ! Ne pouvons nous pas contourné cette catastrophe ?!
-Hélas , je ne pense guère kévin ! Fit il en hurlant a moitié .
Kévin retourna aidé ses camarades , en pleine guèrre contre les eaux ...  

Le Black Shark était de plus en plus secouer par la tempête. Les hors quart était monté sur le pont afin d'aider leur compagnon. Jéricho et les autre timonier tenaient la barre du mieux qu'ils le purent. Un autre vague inonda le tillac. Soudain, entre le bruit de vent, de la pluie, de la mer et des hommes qui criaient :
- Epave à babord !
Jéricho quitta la barre et s'approcha du bord pour observer. Sur la mer, il vit 3 hommes se tenant �  ce qu'il restait d'un mât. Les 3 naufragé firent signe au Black Shark.
- Timoniers ! La barre babord !
Le Black Shark vira. Le navire se placa alors vent arrière. Ayant toutes ses voile ferlé, l'artimon se bougea que très peu, a cause de la brigantine. Le grand mât, la grande voile bombé par le vent, ne bougeait qu' la limite du résonnable. Quand le Black Shark passa près des naufragé, on leurs envoya des manoeuvre, afin de les hisser �  bord.
- Merci ! mon dieu merci !
- Vous nous remercirait plus tard. En attendant aller vous mettre au chaud dans le gaillardarrière et demander au coq de vous servire quelque chose.
Les 3 hommes, trempé jusqu'au os se dirigèren vers le gaillard.  

Jéricho ordonna de remettre le cap au nord. Le capitaine, posté sur le gaillard avant, scrtutait l'horizon. Au loin, il vit une accalmie.
- Tenez bon les gars ! Il y a une éclaircie droit devant, à moins de 2 milles !
Le Black Shark filait vers l'éclaircie, mais une autre vagues ravagea le tillac. Jéricho fit projeté contre le bastingage et se cogna la tête. Un peu sonné, il se releva, tandis qu'un gabier fut jeté �  la mer.
- Un homme à la mer ! mettez en panne !
Les matelots larguèrent les voiles, et le Black Shark ralenti, inutilement, car le gabier, ne sachant nagé, se noya. Le petit et le grand hunier furent rebordé, et le Black Shark continua dans la tourmante.  

longue furent les heures passaient dans cette tempête . Longue furent les douleurs endurés par les matelots . Kévin saignait abondament du bras , et un filet de sang coulait le long de sa joue , suite a sa chute et a de nombreux autres coup . L'éclaircie encouragea les hommes a donner toute leurs dernières force . Plus d'une passa , dans les éclairs , les vagues qui martelé la coque tel un marteau sur une enclume , mais petit �  petit , la tempête ce qalma , et un vent plus doux ainsi que des rayons du soleil virent les frapper de plein fouet . Ils s'en étaient sortis .  

Après avoir été secouer durant de long instant, le Black Shark sortis enfin de la tourmente. Les hommes étaient trempés. Le tillac inondé. Jéricho laissa ses hommes souffler un instant et ordonna.
- Achille. Hisse les perroquets. Otto. Rapport des avaries et des pertes.
- A vos ordre capitaine. répondis le bosco, Achille. - Gabiers et matelot a vos postes ! Hissez les perroquets ! Bordez les !
- A fos ordre kapitan. annonca Otto Von Graff, l'officier en second.
Les hommes hors quart quittèrent peu �  peu le pont, ne laissant que les hommes de quart. Jéricho était retourné dans le gaillard arrière, où était resté Lucy et Sabrina. Otto frappar et entra.
- Ché fais un rapport kapitan. Le charpentier fous fait zavoir que tous fa pien. Pareille pour le calvat. La maitress foilière fous fais gue l'édai de la mizaine �  laché. Elle le répare. De blus. Le doubib a noté 3 blessé zan gravidé. Mais on a berdu un gabier du 4ème quart venu bour aider.
- Merci Otto. On garde le cap sur la Guadeloupe.
Jéricho se tourna vers Lucy, tandis que le second quittai le place.
- Lucy. Dans combien de temps devrion nous arriver ?
- Si on conserve une vitesse de 6 noeuds, on devrai arriver en vu de la côte sud de l'île dans 1h.
Jéricho paru satisfait devant la réponse. Sur la pendule de sa chambre, 16h20 était indiqué.  

Jéricho se tenait sur le gaillard arrière, près de Antoine qui tenait fermement la barre. Le Black Shark avait quitté le port avec les autre navire, il y a �  peine 5 minutes.
- Achille ! Donne moi la vitesse s'il te plait !
- A vos ordres monsieur !
Le bosco apella un matelot, et ils commencèrent à untiliser le lock.
- 8 noeuds monsieur !
Jéricho paru satisfait. Il descendu du gaillard et entra dans celui-ci, puis dans sa cabine. Il s'installa �  son petit bureau, sortis une carte de la région.
- Voyons. D'après la carte et l'échelle indiqué, 97 milles nous sépare de St Kitt. Nous courons �  8 noeuds, c'est �  dire 8 milles par heures, donc ca nous fait 97 divisé par 8, ce qui nous donne... environ 12h de route. On est partis �  6h ce matin, on devrai donc arriver, si le temps se maintient, �  18h ce soir. C'est parfait ça !
Jéricho sortis un rapporteur, une règle et un crayon. Il traca un trai sur la carte, entre la Guadeloupe et St Kitt, puis un autre parallèle au nord. Puis il mesura l'angle entre le nord et la route �  prendre.
- Ca nous fait 40°. Notre route est �  gauche du nord, donc 360° - 40° fond 320°. Voil�  qui va plaire �  Antoine.
Jéricho se releva, les indiquations marqué sur la carte, et quitta sa chambre pour remonter voir Antoine.

Jéricho remonta à grand pas l'escalier qui menait au gaillard.
- J'ai notre cap Antoine.
- Ah, parfait. Et ?
- Tu dirai quoi à vu de nez ?
- Pour allez à St Cristophe ? Je dirai, cap au 310 ?
- Pas loin. Fait route au 320.
- A vos ordre capitaine. Cap au 320.
Antoine, qui avait fait longé les côte de Guadeloupe jusqu'a présent, tourna la barre �  babord, afin de prendre le bon cap.
(http://i27.servimg.com/u/f27/11/33/61/58/fregat10.jpg)  

Dans l'entrepont, l'agitation montait. Achille avait sonné le chagement de quart, annoncant la fin de service du 3ème quart, et le début de celui de Hans et le 4ème quart. Certain monte, d'autre descende. Parmi ceux qui descende, Sabrina. La jeune fille descendit dans l'entrepont et entra dans le carré des officier, ouvert �  tous l'équipage. Plusieur homme y jouaient, notamment des officiers.
- Alors tous le monde, ca va ?
- Bien et toi ? répondis Hayes.
- Ouais merci. Quelqu'un veux faire une bataille navale contre moi ,
- Ouais si tu veux.
Hayes posa sa bouteille de rhum et s'installa en face de Sabrina, et ils commencèrent leur partie.  

La partis tournait �  l'avantage de Hayes. Il avait coulé 3 navire sur 5 et en avait perdu seulement 1. Antoine entra rapidement dans le carré et alla rejoindre ses amis Jordan, Baptiste et Charles �  la table afin de disputer une partis de carte.
- D'après le capitaine, on devrait arriver vers 18h. annonca le Antoine.
- Super, je pourrai aller faire les boutiques.
Sabrina regarda son jeu tout en débouchant sa bouteille de rhum.
- Elle est quasiment vide ta bouteille et on ai que jeudi.
- Ouais. Faudra que j'attende lundi pour en avoir une autre.

La bataille navale se termina sur la victoire de Hayes, et Sabrina quitta le carré pour retourner sur le tillac.  

La fraicheur de la nuit tenait toujours. Il était �  peine 7h et le soleil commencait enfin �  montrer le bout de son nez.Le navire longait encore les côte de Guadeloupe et il était magnifique d'observer le soleil par desuus l'île. Sabrina observait tous cela. Le Black Shark ne mit plus longtemps �  dépasser Guadeloupe, et enfin la lumière envahis le pont. Sabrina descendis dans l'entrepont et passa entre les rangés de canons, de matelots et de branle suspendu, pour continué �  descendre dans la soute du navire. A travers la porte qui séparait la soute de la soute �  biscuit, dans laquelle se trouvait la sainte-barbe, on entendait les ronflement de Rolland, qui avait installé son branle dans la sainte-barbe, laissant sa place dans le quartier des officiers �  Jéricho. Sabrina fut rejointe par Kévin.
- Bonjour Kévin.
- Salut.
- Qu'est ce qui t'amène ?
- Je viens chercher de quoi nettoyer mon canon.
- T'es chef de pièce ?
- Ouais, du canons FT. Je doit aller �  la sainte-barbe, mais on dirai qu'il y a du monde.
- Ca s'entend. Quel boucan. Normal pour un boucanier.
- Rolland et boucanier ?
- Sauvez de justesse par mon père quand il avait la corde au coup.
- Ah. Et toi que vien tu faire ?
- Je cherche la solitude, le calme.
Sabrina s'avanca vers Kévin et celui-ci recula contre des ballots de coton.
- Tu vois, en se moment je me sens perturbé. J'ai comme, un pincement au coeur, un sensation de chaleur.
- Si t'es malade va voir le toubib.
- Je sais ce que c'est. C'est un sentiment que j'ai connu il y a longtemps.
Devant l'apporche incessente de Sabrina, Kévin s'exclama :
- Tu pourrait reculer ?
Il n'eu le temps de réagir que Sabrina était déjà en train de l'embrasser.  

Kévin ne s'attendit pas a cette réction , il ce laissa faire , mais il recula soudain , prit d'une certaine frayeur .
-Quoi ? fit sabrina
-Tu est la filleul du capitaine , je ne peux ...
-Et alors , qu'est ce que sa peux lui faire ?
-JE ne sais pas ...
Sabrina s'avanca encore un peu , mais Kévin ce redressa soudain .
-Non , Nous allons avoir un dur combat ... et je ne préfer pas ... Du moin , pas avant que l'on ai gagné le combat ...
-Mais enfin , tu n'as pas a avoir pêur !
-Ce n'est pas la peur qui m'influence , mais autre chose ... Quelques chose que tu ne peux comprendre ... Si tu le veux vraiment , tu attendra la fin du combat .
-Bien , si c'est ton choix ...
Kévin ne la laissa pas finir , il s'éloigna rapidement , mais Sabrina lui effleura le bras délicatement au passage .  

Sabrina ne compris pas la réaction de Kévin. Il semblait avoir éprouvait du plaisir mais refusait l'amour de Sabrina. Le fait qu'elle soit la filleul du capitaine ne la gênait pas du tous, et elle était sur que son parrain approuverai. Et pour ce qui ai du combat, elle ne comprenait pas. Durant son ascenssion, Kévin croisa Jimmy, lequel se tenait droit, la bouche ouverte, complètement gaga. Il ne pretta pas attention a Kévin, mais continuait �  fixer l'endroi où Sabrina avait embrassé Kévin.
- Ah Jimmy ! Tu étai là ?
- J'ai tous vu.
Jimmy se retourna brusquement et remonta lui aussi.  

Tandis qu'il remontais l'escalier , de nombreux marins riaient et s'eclafaient , certaint une bouteille a la main .
-Hohuhi ! Kév... hic ! .. Kévin ! Vien te .... joindre a nous !!!
-Non , désolé ... Je suis , occupé !
Il détourna le regard des marins , et réfléchissa a un endroit ou il pourrais etre seul ... Il monta sur le bastinguage et escalada les haut bancs et grimpa vers la hune du mat d'artimon . Il s'assit et regarda la mer , ou tout était calme , seul les cris des marins en dessous dérangé ce spectacle .  

Jimmy monta rapidement sur le pont.
- Hé, c'es hic ! Jimmy ! Vine avec nous mon vieux ! hips !
- Où ai Kévin ?
- Il est hic ! Monter dans l'artimon.
Sans dire merci, Jimmy se précipita aux haubans tribord du mât d'artimon et commenca �  grimper. Il arriva �  la hune d'artimon où Kévin regardait la mer.
- Toi sale ordure !
Surpris Kévin se retourna et Jimmy lui attrapa le col, le mit violement debout et donna un fort coup de poing dans la machoir de Kévin, qui sans les haubans permettant de monter plus haut, serait tomber de la hunes.  

Tout en grimpant , Kévin déguéna son sabre .
-Quoi ? Qu'est ce qui te prend ?! sa ne vas aps ?!
Sa levre avait enflé , et sa machoire lui fesait terriblement mal . Du sang coulé de sa bouche , et la rage ce fit voir dans son regard  

Jimmy avait repris ses appui et ne montrai aucun remord.
- Sale lâche. Si c'est aux sabre que tu veux te battre, vient donc sale chien !
Jimmy dégaina son sabre à son tour est sauta sur Kévin.  

Sous le choc , Kévin fut désarsoné , mais usant de la ruse , il donna un large coup de pied dans les côtes de Jimmy , qui eu le souffle coupé et ne put que soufler une large douleur . Kévin en profita pour le désarmer , le plaquer contre le grand mat , et pointa son pistolet droit sur le centre de son crâne . Plus aucun , bruit . Tous les matelots avaient les yeux fixé sur les deux hommes , kévin , plus jeune , avaint une taille légèrement infèrieur a celle de Jimmy , mais c'est lui qui dominé .
-Maintenant , tu vas me dire le problème ?!!!  

Devant la bagarre entre les 2 hommes, plusieur hommes montaient. Le souffle encore coupé, Jimmy répondit.
- T'as embrassé Sabrina espèce d'enfoiré ! Et ce flingue pointé sur mon crâne montre ta lâcheté. Tu prèsfère utliser tes armes plutôt que te battre �  main nu.  

Kévin était sous le choc ... Il n'avit rien fait dans l'histoire , ce n'était pas lui qui avait fait le premier pas ... Jimmy avait raison , il c'était comprté en lache ... Il lacha ses armes , mais n'attaqua pas Jimmy , car il n'avait pas compris . Jimmy en profita pour ce dégager , et lanca un large coup de pied droit sur le flan droit de Kévin . Celui ci , trop pret du bastingage , passa apr dessus bord . La fracheur de l'eau l'immobilisa ... Il ce sentit tombé ... Tombé ... mais il ne put s'empécher de remonté a la surface . Il s'accrocha a la quille du shark , mais il ne remonta pas dessus . Ses forces le quittèrent lentement ... Soudain , une corde fut lancé . Il l'attrapa dificilement , et ce laissa hisser a bord . Arrivé sur le pont , il s'évanoui ...  

On avait déposé le corp de Kévin sur le pont. Jimmy se tenait debout, ne comprenant pas ce qui l'avait poussé �  faire ça. Plusieurs hommes était venu voir ce qu'il s'était passé, dont Sabrina.
- Amenez-le à l'infirmerie ! Jack, met moi cet idiot aux fer !
Enriquer emporta Kévin dans le gaillard en toutes hate, et le quartier-maître attrapa Jimmy par le bras et l'emmena en bas, sous le regard de nombreux matelot qui le regardait de travers. Sabrina ne bouga pas. Elle se sentait fautive de cette bagarre, �  cause de son geste. Jimmy passa �  côté de Hayes quilui adressa un regard de mécontentement.

Dans l'infirmerie, Enriqué avait réanimé Kévin et s'occupait maintenant de le réchauffer et de le maintenir éveillé. Pour ca, il lui apporta 1 grosses couverture et un bon thé.  

Kévin était a bout de soufle ... il revoyait ses parent , sa maison , son premier bateau ... Il revit ses combat a bord du Revenge  , ou il s'était apporté une gloire éternel ... il repassait le combat a antigua , ou tans de ses amis étaient tombé ... Il revoyait c'elle qu'il amait a Port au Prince ... Il revoyait cette homme teint , gambadant sur le toit ...
soudain , il reçut une grosse tape sur la joue qui le réveilla ...
-Que.... Quoi ... Ou suis je ?
-Ha , sénior , enféin .    

Enrique avait enfoui Kévin sous une couverture et lui tendit une boisson chaude. Jéricho entra dans le gaillard. Il s'avanca vers Kévin.
- Kévin, ca va ? Que c'est-il passé avec Jimmy ?  

Kévin prit la boisson , et attendit .
-Je ... Je ne sais pas trés bien ... Sabrina m'a embrassé ... je suis monté sur la hune du mat d'artimon , il m'a suivis , et il m'a mis un coup de poing dans la machoire . J'ai commencé a monté , en déguénant mon sabre , il m'a sauté dessus , on est tombé sur le pont , et la , j'ai pus le plaquer sur le grand mat et le braqué avec mon pistolet et je lui ai demandé pourquoi il agissais ainsi ... Il m'a dit que c'était parceque sabrina m'avait embrassé , et il m'a insulté de lache pour l'avoir braqué ... j'ai relaché mon emprise , et il en a profité pour me mettre un coup de pied dans les côtes , et je suis tombé a la mer ...
Reprenant son souffle , il but une autre gorgée .
-La suite , vous la connaissez ...  

- Jimmy n'est pas un mauvais garçon mais il ne faut pas l'embetter, et l'amour la aveuglé. Ce que t'as fait Sabrina ne me regarde pas, c'est ton problème. Pour Jimmy il restera �  fond de cale jusqu'a ceux que le quartier-maître, Jack, ai discuté de la punition.
- Que risque-t-il ?
- Des coups de fouet. Des heures de services supplémentaire.  

-Je ne veux pas me mettre en mauvaise position avec lui , alors qu'aprés la bataille je vous quitte ...
-Quoi ?
-Oui ... Le temps est venu que je prenne moi même mon chemin ...
-Est tu sur de ce que tu dit ?
-Oui ... Sa fait un moment que j'y songe ...  

Jéricho paru quelque peu décu mais pas aussi étonné que ca.
- Ce qui se disait était vrai. Tu l'as dis �  Cyril, qui l'a dit �  Rolland qui me l'a dit. Je savais pas si tu était sérieux. Si ti veux partir c'est ton choix. Tu a le sang d'un capitaine dans les veines.
Jéricho partis sur la demande d'Enriqué.
- Kévin, tou va aller un peu à l'isoloir médical pour te reposer.
- C'est quoi ca ?
- C'est la partis avant du quartier de l'équipages. Elle est séparé du reste des quartiers par un rideau. En cas de besoin je dors la-bas.
Enrique, aidé d'un matelot, déplaca les branle avc Kévin dedans et l'emmena �  l'isoloir médical.  

L'incident clos, la vie repris son train-train quotidien. Durant le déjeuné, les officiers décidèrent de la punition de Jimmy. Celle-ci se compose de 12 coups de fouet et de 6h de travaux supplémentaires. Dans l'après-midi, la punition fut exécuté, et Jimmy passa le reste de la journée �  aider les matelot en service. Au alentour de 18h, le Black Shark et le reste de la flotte arrivère a Saint Kristophe.  

Les premières heures du voyages furent assez calme. La flotte progressait vers le lieu de rendez-vous avec le convoi espagnol. Il était entre 3 et 4h du matin quand, alors que la flotte étai en vu de Porto Rico :
- Alerte ! Vaisseau espagnol à 2 milles à tribord !
Le cri alarma les autre navires. Jéricho déplia sa longue-vue vers l'assaillant.
- On se casse de l� . Donner l'ordre aux autre navire de restez grouper et de ne pas attaquer.  

La vigie du Black Shark alerta également le navire de Erwan. Celui-ci déplia sa longue-vue.
- Capitaine, le Black Shark nous demande de ne rien faire et de ne pas attaquer.
- OK. On garde le cap et on resert la formation.
Le Dragon noir se rapprocha du reste de la flotte, imité par les autre navire.  

Tous les navire exécutèrent les ordres et la flotte se positionna en V. Le Black Shark voguait en tête. A son arrière-babord, Le Tintin, le vaisseau de Branty, puis Erwan et son Dragon Noir. A tribord, la corvette de Desjardin, le Loulou, puis le Lalys de Héléna. Le vaisseau les avait repéré. Celui-ci leur fonca dessus. Le Black Shark en tête, les autre navire en V, c'est lui qui donnait l'aspiration qui aider les autre �  avancer. Les voiles de la flotte était toutes sortis. Hunier, perroquet, cacatois et même les bonnettes étai hissez et bordez a fond. Au bout de plusieur minutes, le vaisseau espagnol était hors de vu. Cependant la flotte conserva l'allure.  

Durant toutes le journée la flotte fonça. Elle était arrivé au sud de Porto Rico et elle ne tarderai pas �  remonter vers le nord-ouest pour s'ancrer près des côte d'Hispaniola, afin d'attendre le convoi. Le vent lui était plutôt favorable et celle-ci marchait �  6 noeuds. Pendant tous ce temps, l'équipage se préparai au combat, s'exercant au sabre, au tir. Après plusieurs heures de mer, la flotte arriva en vue des côtes d'Hispaniola. Au large de ces côte, une île. D'après Branty, c'était entre cette île et la côte que le convoi passera. La soirée était très avancé et tous les capitaines se réunir sur le Black Shark pour dîner.
- Messieur et mademoiselle, demain matin le convoi passera ici. C'est pour discuter de cela que nous dinerons ici.
Jéricho orti un papier et le montra aux autre capitaine.
(http://i29.servimg.com/u/f29/11/33/61/58/plan10.gif)
- Quand je hurlerai Hissez nos couleur, on passe �  l'action. Le Black Shark se dévoile et martèle la Sagradda �  la mitraille. Ensuite on monte �  l'abordage, aider par Desjardin et ses hommes. Branty et son vaisseau sauterons sur les galions, utilisanr sa résistance pour les démâter. Erwan et Héléna vous ferez pareil. Vous empêcherai les galions de fuir. Pour ca vous les dématerai sans prendre de coup. La Sagradda prise et les galions immobile, on les abordes les uns après les autres tous ensemble, afin de limiter les pertes. Voil�  mon idée. Quelqu'un �  quelque chose �  dire ?  

Tout en regardant le plan , et en écoutant Jéricho , héléna s'exclafa .
-Excellent plan ! si avec sa nous nous faisons découvrir , je veux bien devenir l'une des meilleurs amie de l'angleterre !  

Les offivier fraçais reièrent. Branty s'exclama en rigolant :
- Alors espérons qu'il tombe dans le panneau !
- Cela dit, un échec me serai bénéfique. déclara Erwan.

Tous le monde le regarda et poffa de rire. Jéricho appela Bapitisten le coq, et le repas fut servit, du porc salé.  

Erwan avait apprové le plan de Jéricho. Bien que travailler avec des français, malgrès qu'il soit français, ne l'enchante guère, massacrer des espagnols le motivait. Erwan félicita Bapitiste pour ce délicieux repas.  

Les capitaines dînèrent entre-eux gaimment. Quand le repas fut terminé, les capitaines repartirent sur leurs navires respectif afin de le mettre en position. Une fois tous le monde partis Jéricho donna ses ordres afin de placer le Black Shark derrière le Tintin.
- Levez l'ancre, hissez les huniers !
Le capitaine pris le barre pour diriger le batiment. Le Black Shark se déplaca lentement et vint se ranger le long du grand vaisseau de 45 canons par bords.

Dans le carré, les officier jouaient. Certain aux carte, d'autre aux flechette, ou �  la batille navale. Carl vérifier avec le maître calfat la coque du navire, afin que le navire soit près au combat. Enrique avait autorisé Kévin �  sortir de l'isoloir médical, afin qu'il puisse prendre par �  la bataille, a son grand contentement.  

Tout juste sorti de l'infirmerie  Kévin ce dirigea a l'entre pont , ou il avait déposé son sabre . Il le prit , et l'attacha a sa ceinture . Cyril =remarqua son geste .
-Pourquoi prend tu déj�  ton sabre ?
-Je suis prévoyant ...
-Prévoyant ?
-oui , la bataille pourrais ce passé plus rapidement et un autre pourrait prendre ce sabre ... Il m'est précieux .
-Trés bien , dans ce cas , je te laisse .
et il repartit . Kévin remonta sur le pont , toujours avec une légère douleur au côtes . Il alla sur le bastingage babord , et s'assit , face au soleil , et s'endormit  

Dans la fraicheur de la matinée, une chaloupe apportait les pavillon espagnols aux différent navires de la flotte. Les 6h approchait �  grand pas. Les vigies était sur le qui-vivie et les matelots étaient tendu, bien que confiant envers leur capitaine de longue expérience. Jéricho consulta sa montre et signala �  Hayes, officier du second quart, que le moment était venu. La cloche sonna le branle-bas. Les matelot s'activèrent pour arriver sur le pont le plus vite possible, l'arme �  la main. Quand une grande partis des 300 marins du Shark était sur le pont, Jéricho hural :
- SILENCE !
Le calme retomba sur le tillac.
- Le capitaine a à vous parlez ! s'écria Hayes.
Les matelot se regroupèrent en bas du gaillard, attendant le discourt de leur capitaine.
- Voil�  le topo les gars. Jusqu'a ce que les espagnol arriven on va la jouer comme ça. Seul la batterie babord sera armé. Les 5 premier canon de chaque pont seront armée de boulet ramés. Les autre en mitraille. Matelot ! Juste peu d'entre vous serons dans le grément, mener par Yann. Juste de quoi border les voile �  mon signa, puis les larguer avant de monter �  l'abordage. Gabiers, vous resterez sur le pont. Hayes et ses moucheur se cacherons dans les hunes, afin de descendre les maximum d'ennemi avant l'abordage. Les autres, vous restez caché jusqu'a mon signal. Vous vous planquez contre la bastingage et vous tirerai ensuite. L'abordage sera mener quand tous les canon aurons fait feu. Pendant ce temps, il aurons perdu beaucoup d'hommes et il n'aurons pas eu le temps de tirer. Pour nous aider �  aborder, la corvette de Desjardin nous aidera. Maintenant, garder vos armes avec vous. Achille choisira les matelots qui manoeuvrerons. Quand la vigies donne l'alarme, vous serez déj�  �  vos poste. Ensuite, les choses sérieuse commencerons. Bonne chance �  tous !
Des cri d'éclats, des applaudissements acclamèrent Jéricho, fier de son équipage. Dans les hunes, les 4 vigies du Shark surveillaient, le temps était très dégagé et le vent provenait de sud-est.  

L'exitation monté en lui . Kévin prit le premiers mousquet qui lui tomba sous la main , et commença a le chargé . Il mit un bout de temps a le charger ainisi que deux pistolets , la corne a poudre tremblant entre ces mains . Ujne fois la tache fini , il ce plaqua contre le bastinguage . Un homme qu'il n'avait encore jamais vu le regarda fixement .
-As tu déj�  eu a faire a une tel bataille ?
-Plus que tu ne le crois ...
-Bien , alors tu est un brave ! J'èspère te revoir sain et sauve !
Kévin préféra s'abstenir .  

-Joch , que tous les hommes s'arme jusqu'au dents , mais qu'ils restent a couvert et qu'il ne ce montre pas . QUE L'ON ISSE LE PAVILLON ESPAGNOL !
-Bien capitaine !
-Daphné , fait préparer les canon de chasse et ceux de babord . Fait amener des charges de boulet ramée , nous devons les démater !
-A vos ordres !
-Matelots ! c'est peut etre votre plus grand combat naval ! alors ne ratez pas cette occasion !
-OUI CAPIATINE !!! firent tous les hommes présent sur le pont . Aprés avoir donné ces ordres , Héléna ce dirigea vers ces quartiers , ou elle commença elle même a chargé son pistolet de poudre .
   

Tendu et �  leur poste, les matelots attendaient. Un grand hommes noir vétu d'un grand manteau vert clair cherchait quelque chose sur le tillac. Il regarda les matelots, puis ses yeux se posèrent sur Kévin. Il observa le mousquet de Kévin.
- Hé petit ! C'est mon mousquet que tu tiens.
Kévin reconnu Hayes et lui tendit le mousquet.
- Désolé.
- Va voir �  la cale si il en reste. Mais normalement mes moucheurs les on tous pris. Sinon demande � ... �  �  �  � ... Cyril. Je sais pas si il en a un, mais l�  où il sera je pense pas que ca lui servira.
- Merci beaucoup monsieur Hayes.
Kévin descendi dans l'entrepont et Sabrina vint se mettre �  sa place.

Jéricho faisait les 100 pas sur le gaillard, attendant que l'une des vigies donne l'alerte.  

Sur le Dragon noir, les canons étaient chargé de boulet ramé. Les moucheur était �  leur poste et les matelots attendaient le signal de l'attaque. Le pavillon espagnol flottait dans les airs, et Erwan exprima un certain dégout. Tous le monde scutaient l'horizon, attendant le convoi.  

kévin fit ce que hayns lui avait dit et descendit a la cale . Il chercha quelques temps , puis il tomba sur un mousket . il le prit et le chargea rapidement . Il ce tourna pour scruter les alentour et vit deux grenades a côtés de d'un autre mousket . Il en pris une et la rengea dans la sacoche . Il remonta sur le pont , voyant que sabrina avait prit sa place , il en choisit une autre , qui lui parut nettement meilleur comme poste de tir , car de la , il pouviat atteindre nettement mieux les espagnol sur le pont .


Edit: je rappelles que les combats se déterminent par des duels et que black chef de l'expédition les a tosu raté... donc les espagnols vont ont déj�  repéré et armé le scanons mais ne font rien...
ps: n'oubliez pas les duels et je ferrais un rp pour les espagnols
Scar  

dy Hadionas, la capitaine de la la flotte était sur la dunette fixant de sa longue vu les navires repérés.

Il respira un bon coup. Ils avaient raison de faire charger les canons et avoir mis sur le pied de guerre les marins.

- c'est peut être une de nos flotte! regardez il hisse notre ait Pavillon.
- c'est l�  que l'on voit que vous serez juste bon pour être qu'un stupide second et que j'amais vous axéderez au poste d'officier capitaine. C'est sans aucun doute une ruse, je n'ai jamais entendu parler de tel flotte.
- que faissons nous?
Demanda le maitre d'équipage.

-Hissez le pavillon de demande "de réduction de la voilure". Utilison notre code de communication seul un capitaine du roy peut le connaitre s'ils répondent juste restons méfiant mais je pense que ce serait de nos compatriote. S'ils répondent juste ce que je doutes! Hurla presque l'officier capitaine, en repliant sa longue vue.
- sinon vous donnerez toute la voile et ordonnerez un changement cap nos irons au port le plus proche...
et vous ferrez chargé de boulet ramé les canons et de mitraille les canons de tillac
- c'est déj�  fait comme vous l'aviez demandé.

- C'est exacte.

Le ciel et la mer était dégageé, comment le spirates avaient pu tenter de ne pas être reperé, c'était une erreur que seul les capitaines incompétent pouvait faire. Elle pourrait leur coter leur butin.

Dy Hadionas regardait la flotte suspecte.  

L'alerte était donné. Les matelot était près. Branty se précipita contre le bastingage de son vaisseau, afin de parler avec Jéricho.
- C'est quoi ce pavillon Edouard ?
- Je crois qu'il nous demande de réduire la voilure.
- Vous êtes sur ?
- Si il n'on pas changé de code depuis le dernier moi, c'es ca.
- Réduisez la voilure.
Le scond de Black Shark cria ses ordre et les gabier ferlèrent les voiles. Jéricho observa la Sagradda et nota une certaine agitation.  

Le capitaine souria la flotte réduisez as voilure. Mais une chose le choqua aucun pavillon ne fit hisser pour dire que l'ordre  était recu.

Il avait un doute. Ils connaissaient le code, mais ils pouvaient petre des laches.

- Rod! Faites hisser le pavillon de "cesser le feu", "virer sur tribord" et virer sur "babord".
- Mais cela ne veut rien dire.
- Je sais mais une suite de pavillon je dire quelque chose... Toujours cela fait parti du code.
- Oui mais cette suite...
- obeissez!!

il fallait voir comment réagirrez la flotte et surtout s'il elle hisserais le pavillon voulu. si elle le fessait il y avait pas trop de risque juste surveiller leur manoeuvre mais les risques étaient minime.

ps: j'attends pas un nom de pavillon precis, mais un terme ou une phrase.. si vous ne la trouvez pas vous êtes repérés...  

Branty sur son vaisseau observa la manoeuvre. Il savait qu'elle voulait dire quelque chose en plus de cesser le feu.
- Il demande de cesser le feu. Et il fond des manoeuvre tordu.
- Comment peut-on cesser le feu si on tire pas. Il y a anguille sous roche. Il ont des soupson. Rolland. Ordre �  tous les canonniers de se mettre en place et de charger les canons en boulets.
- A vos ordre.
Les sevant descendirent et armèrent les canon tandis que Branty, desepéré, ayant pour seul but de rapprocher la flotte, fit signe au espagnol de se rapprocher, comme si il voulait leur dire quelque chose.  

- Pleine voile! Fuyons!! c'est un ordre mais ne faisons aucun signe de détresse.

Hissez ce pavillon: "dois faire route sans escale."

la flotte espagnol avait compris... son capitaine préfére tout de même éviter de signaler leur doute �  leur ennemi, toute la voile fut hissée et les navires commencèrent �  voguer. Le cap fut lègérement modifié afin de profiter d'une meilleur allure. si les navires inconnus s'approchés trop, le but était de leur couper les mats pas de les détruires il ne fallait prendre aucun risque.  

Voyant que les chose ne ce passés pas comme l'avait prédit Jéricho , Héléna changea le plan .
-Préparez les canons de fuite en boulet , ont va avoir un probleme ...
-Comment le savez vous ?
-Le code , malgrés que nous soyons bien plus éloignés que Jéricho , je perçoit tout de même la duperie , les espagnol ceux méfis ...
-bien , Changement de programme ! préparez vous a pulvériser la sagrada ! ont reste tout de même prets a démater !
-Et aussi Joch , vas dire au chirugien de ce préparer ...
-Bien capitaine ...  

Jéricho observa la manoeuvr, et lui faire un dessin n'érait pas necessire.
- Bordel de merde ! On est capté !
Jéricho écrasa son point contre le bastingage, furieux que la météo ai permis au espagnol de comprendre l'embuscade.
- On fait quoi Jéricho.
- San Ruan et le port le pus proche où il pourrons se réfugier, mais pour y aller il faudra qu'il contourne cette île. Attendons qu'il ai bien pris leur cap. Ensuite on verra.
- Tu compte faire quoi ?
- On ne pourra prendre les galions sans effet de surprise. On se met tous sur la Sagradda.  

Erwan regarda le convoi se faire la male avec sa longue-vue. Il abaissa sa longue-vue et regarda son second, Elvis Cancrelat.
- On dirai que les chose ne se passe pas comme prévu.
- Il paraiterai en effet. On fait quoi ?
- Je ne pense pas que Jéricho n'ai pas compris que l'on a était capté. Son objectif et la Sagradda, c'est ce navire et seulement se navire qui le contentera.
- Mais nous on viens pour les galions !
- C'est pour ça qu'on attend que Jéricho prenne une décision.  

Les espagnols filaient �  toute allure. combattre n'était pas leur volonté, le plus gros navire chasseur commenca �  être sur le parquet, perdant du terrain. La lutte entre les autres navires restaient la même pas de terrain gagné ni perdu.

Les pirates devraient attendre plusieur jour sans doute pour rattraper leur ennemi et faire attention �  leur puissance de feu et leur résistance.  

La flotte fuya. Jéricho compris que garder sa couverture ne servait �  rien et decida de faire hisser ses vrai couleur, afin que le pavillon noir accomplisse son travail, terroriser ses ennemi :
- Hissez nos couleurs ! Le noir et le bleu !
Le pavillon noir grimpa en haut du grand mât, et le bleu penda �  la corne. Les autre navires de la flotte fire de même. Le branle-bas repris une formation "normale", et le Black Shark mit toutes voile dehors pour poursuivre le convoi, sans la vaisseau, qui ne pourrait tenir l'allure.  

Les capitaines des navires espagnols crièrent de rage et de desespoir en voyant les couleru hissées. La fuite, le combat ou la mort serait leur seule chance, ils n'abandonneraient jamais ni ne capituleraient  

Le pavillon noir su Black Shark, 2 squlette dont l'un armé d'un sabre, brise les fer du second, avait fait son effet. Les espagnols reconnirent le navire, lequelle les combatait depuis près de 20 ans. Toutes la journée, le branle-bas fut maintenu. Les canons de chasse tirèrent sans cesse des boulets ramé sur la Sagragga, touchant parfois ses voile, mais elles furent aussitôt réparé.
- A l'allure où on va on les aura rattrapé dans la nuit.
Sans arrêt, Jéricho observa le navire �  la longue-vue, afin d'observer chaque mouvement sur le navire.  

Quand la poursuite fut lancé par le Black Shark, Erwan ne mit pas longtemps avant de donner sa réponse.
- Depuis longtemps Jéricho et moi travaillon main dans la main. Même si cel�  ne nous concerne pas, je pense que les anglais serons heureux de voir ce navire au font de l'eau.
- On fait quoi capitaine ?
- On suit le Black Shark.
- A vos ordres. Hissez les voiles ! Bordez-les ! Hissez les bonnette ! Et que ça saute ! Timonier suit le Black Shark !
Le Dragon Noir, toutes voiles dehors, suivit le Black Shark par son arrière tribord, poursuivant avec lui la frégate espagnol.
   

Le Black Shark filait �  10 noeud. Le vent était bon mais il favorisait aussi les galion, qui avancé rapidement malgrès leur poids. La nuit tomba. Jéricho donna ses instruction pour le combat. Le Dragon Noir attaquerai la Sagradda avec le Black Shark. Le Lalys et le Loulou devront démater le plus de galion, afin de les aborder ensemble. Jéricho espérait que le Tintin, encore visible mais assez éloigné, arriverai rapidement pour leur préter main forte. Le vent se mit �  souffler fortement et la pluies se mit �  tomber.  

Le Black Shark et le Dragon noir naviguait côte �  côte, poursuivant la Sagradda. La frégate espagnol se trouvait a 40 yard devant eux. Les 2 navires corsaire avaient chargé en mitraille. Jéricho pris la barre lui même, écartant Jack d'un geste de la main.
- Baterie tribord paré à faire feu ! Barre à 20° babord !
Le Black Shark vira sur babord et ses canons furent à porté de la Sagradda.
- FEU A VOLONTEEE !!!!
Tout les canons babord. Les 10 canons de 12 de l'entrepont et les 10 couleuvrine de 12 du tillac, crachèrent une infinité de balle de mitraille, foncant droit sur la Sagradda. De sa longue-vue, Jéricho, a travers l'obscurité, la pluie et la fumée, observait la Sagradda, d'où s'entandait de faible crie de douleur, proveant d'homme fauché par le tir du Black Shark.  

Les 2 frégates navigant côte �  côte, il ne falut qu'un simple signe de la tête pour qu'Erwan et Jéricho se comprennent. Quand le Black Shark vira �  babord, le Dragon noir vira �  tribord, manoeuvré par Simon.
- Feu à volonté !
Les canons babord du Dragon noir crachèrent le feu la mitraille, ravageant le pont de la Sagradda, qui avait concervé le même cap. Le Dargon Noir continua de virer, et quand il fut perpendiculaire �  la Sagradda, il continua tous droit, imité par le Black Shark de l'autre côté. Trop en avant, la Sagradda ne pouvait faire feu sur les 2 frégates pirates.  

Jéricho fit virer le Black Shark, afin de le dépasser.
- Canons de chasse en boulet ramé ! Rechargé tribord en ramé !
Le Black Shark se tenai parralèlle à la Sagradda Familia, situé à 80 yard à tribord.
- Attention ! hurla un matelot en se couchant, imité par ses camarades.
Les galions avait fait feu sur le Black Shark et d'autre sur le Dragon Noir. Les boulets transpercère le bastingage et la coque, fauchant plusieurs homme malgrès l'aipesseur de la coque. Quand les tirs cessèrent, l'équipage se releva et repris son poste.
- Second ! Rapport des pertes et des dégât !
- A fos zordre kapitan !
Le second mit quelque temps avant de faire son rapport.
- 30 hommes à terre her kapitan ! Et la coque babord et bien touché.
- Que Carl et quelques gars aille colmater la brèche avec Baptiste, le calfat ! Bordel de merde. Ces maudit galions vont nous ralentir !
Jérichi fixa la Sagradda, le Black Shark ne parvenait plus �  la dépasser. Heuresement, le Shark étant trop en avant pour se faire toucher par la Sagradda.  

Sur les galions ce n'était pas la fête mais cette volée renonna du courage au sodat. Le navire qui sembalit être le maiter de la flotte et celui de Gollum venait de subir une puissante volée. Le mat de beaupré du navire de gollum commencait �  pencher dangereusement, les focs s'étiraient.

l'équipage du gollum s'activa �  trancher les cacatras du garnd mat et les focs tombèrent. les deux énormes voiles de forme d'un triangle allongé s'écrasèrent, l'une sur le gaillard avant et l'autre fut entrainé avec le mat de beaupré dans les tréfonds de la mer.

a part la perte du mat de beaupré il n'y avait aucune autre perte, ni même humaine, mais cela était tout de même un poitn qui allait géner la manoeuvrabilité du navire.

L'amiral ordonna �  deux galions de virer �  quarante dégre, ils seraient en bon près mais pourrait stopper l'avancé des navires qui risqueraient de les percuter et pourraient les canarder sans soucis.

Les ordres furent donné mais les capitaines des galions ne savaient que faire
Sur tout les navires c'était l'horreur de la guerre, la dureté des batailles mais en mer cela était encore plus cruel.
Car la mer capricieuse était un facteur de plu et personne ne pouvait fuir ni être �  l'abris d'un boulet.

Tout les personnes s'activaient.

ps: Désolé Gollum d'avoir fait intéragir ton navire mais Black �  recu 5 duel qui servait pour toi et black (résultat 4 massacre pour moi et une victoire pour vous) donc c'est normal que tu en prennes un peu car vous étiez les deux visés...  

Comme le Black Shark, le Dragon Noir s'était fait tiré dessus. A travers la nuit et la pluie on voyait les tirs provenant des galions. Couché pour éviter de se faire tuer, l'équipage entendait les boulets percer la coque et le bastingage, projetant des éclats de bois, mortellemnt dangereux. Un homme en recu un dans la nuque, un autre agonise � près avoir été touché au bras.
- La coque et le bastingage en on pris un coup mais on bien protégé l'équipage. Je ne ressens aucun hommes �  terre !
- Parfait !
Erwan regarda la Sagradda et un grincement attira son attention sur le gréément. Il leva la tête et vit le mât de beaupré tomber �  l'eau. Tous comme le Shark, le Dragon ne parvenait plus �  dépasser la Saggrada et se trouvait �  la même hauteur que le Black Shark. Afin de ralentir la Sagradda, Erwan passa l'ordre de charger en boulet ramé.  

Le Black Shark parvint tous de même �  rester en avant de la Sagradda. Le Dragon Noir en revanche, perdait du terrain. Quand les 2 navires furent parallèle, séparé par 100 yards...
- FEU A VOLONTEEE !!!
L'ordre fut répété par le maître canonnier et la baterie babord fit feu. La Sagradda avait elle aussi tiré et le pont du Dargon Noir fut ravagé. Le bastigage vola en éclat projetant des bout de bois dans tous les sens. Erwan, sur le gaillard arrière, observa que son tir avait tous de même bien endomagé les voile de la Sagradda. Scrutant les voile de sa longue-vue, il ne remarqua pas qu'un boulet lui fonçait dessus.
- Attention ! hurla un matelot occupé �  manoeuvrer la bôme.
le matelot plaqua Erwan au sol, alors que le bastingage fut transpersé. Les deux hommes était �  terre. Erwan se tenait l'oeil gauche, duquel coulait le sang. Le matelot, lui, ne bougeait plus, malgrès que ses deux jambes eux été arachés. Il avait donné sa vie pour sauver son capitaine.
- Bordel de merde ! Chang !
Chang, le chirurgien monta sur le gaillard. Voyant le capitaine au sol, il l'emena, avec Cancrelat, �  l'infirmerie. Installé sur une table, Erwan donna ses ordres.
- Cancrelat... haa ! Jéri va pas... être content. Râââ... Coule ce putain d'espagnol. Envoie le par le fond.
- Comment ?
- Recharge en boulet.
Cancrelat aquisa d'un signe de la tête et sortis en donnant l'ordre de recharger en boulet.  

Jéricho regarda la Sagradda. Le Dragon Noir en prenait plein la figure. Il falait en finir. Le second, Otto cria a Jéricho :
- La brège est golmadé !
- Parfait, barre à tribord !
Le Black Shark, légèrement en avant de la Sagradda, �  200 yard du babord de la Sagradda. Jéricho remis la barre �  0° quand le Black Shark était par avnt-babord de la Sagradda, les trajectoires se croisant. Le Dragon Noir continuait de ralentir et allait passer derrière la Sagradda. Quand la Sagradda fut dans un bon angle de tir...
- FEU A VOLONTE !
Les canons du Black Shark firent feu, hors d'atteinte de la Sagradda. Durant ce temps, le Loulou avait martelet la Sagradda par l'arrière.

 Jéricho fit �  nouveau virer le navire �  tribord, et dans le virage, les canons de chasse firent feu touchant la Sagradda. Jéricho continua de virer, et les 2 frégates se tenait parallèle, séparé par 100 yard. Dans quelque instant, la fumée brouillerai tous. Les 2 navires furent bord �  bord, et...
- FEU ! FEU ! FEU !
Les 2 navires se tirèrent dessus. Les canonniers du Black Shark visait la ligne de flottaison. Le Loulou continuait de tirer sur l'arrière de la Sagradda. Le Dragon Noir avait virer �  tribord et avait envoyé une volée sur la Sagradda.

Dans l'entrepont, la fumée, le sang, les débris. Kévin avait pris le contrôle d'un canons situé �  l'arrière babord. Quand son canon tenait en joue l'avant du navire, il fit feu. Le canon recula brutalement. Assité par plusieur autre tir, le boulet de Kévin transperca la coque de la Sagradda, déj�  très touché. La coque ne pu stopper le boulet de Kévin, et celui-ci fonca droit dans la Sainte-barbe. Une énorme explosion ilumina la scène du combat, pulvérisant l'avant de la Sagradda.

De la Sagradda, des mort enflammé volait en l'air, des matelots brulant sotèrent �  l'eau, tandis que les valide s'empressait d'abandoner le navire. En quelque seconde, le Sagradda Familia brulait de proue �  le poupe, s'enfoncant dans l'eau.  

Le Dragon Noir avait vu la Sagradda bruler et couler. Accompagner de la corvette française, les 2 navires rejoignèrent le Black Shark afin de fuir les galions. Bien que le vaisseau de Branty était presque sur place, les galions fuyant continuaient �  tirer depuis leurs canons de fuite.  

Les 3 navire fuyait les galions, ivre de vengeance. Le vaisseau de ligne arrivait �  la rescousse. Une pluie de boulet tombait. Le Black Shark fut fortement touché.

Tous le monde tentais de ce protéger. Les boulet dévastait le pont, emportant corps et âmes, bras et jambe. Jéricho était couché devant le mât d'artimon, �  côté de lui, son second Otto.
- On n'est kaput kapitan !
- Jamais de la vie ! Ce navire est une patie de moi ! Je ferai tous pour le maintenir sur l'eau !
A ce moment, un boulet passa �  quelque mètre de Jéricho et coupa le mât d'artimon. Celui-ci tomba �  la mer. Privée d'un mât, le Black Shark ralenti. Un autre boulet fit tomber sur le pont le grand cacatois.

La mort dans l'âme, les matelots commencaient �  paniquer. Le calfat passa sa tête par une écoutille et signala une nouvelle brèche. Quand il retroura colmater la brèche, d'autre coup de canon se firent entendre. Le puissant vaisseau français passa �  babord du Black Shark. Il lui passa par derrière et bombarda les galions. Violement touché et impressioné, les galions, afin de préserver leur précieux chargement, virèrent de bord pour faire rout e au nord, la rage au coeur.

Le Black Shark rejoignit les autre navire qui s'était réuni. Sur chaque navire, on réparait et soignait les blessé. Jéricho constata que les galions fuyait, qu'il avait gagné, en sortant tous de même en triste état.  

La mort dans l'âme, l'Amiral espagnol fit ordonner de battre en retraite.

Il était sur la dunette avec sa longue vue. il regarda pour une dernière fois le nom du navire de Black.

Ce navire ne naviguera plus jamais, dusse t-il mourir ou trahir son roi en joyant ces fils de chien.

Les galions filèrent, laissant sur leur sillon une mer calme.  

Durant tous le combat, Héléna avait traqué un galion un peu plus isolé que les autre et plus petit. Mais quand le Lalys fut �  �  porter pour tirer, le galion tira de l'arrière. Fortement touché, la misaine abatu, elle préféra fuir.
Quand le combat se termina, le Lalys alla stopper auprès des autres navires.  

Malgrès le combat terminé et le calme de la nuit revenu, on s'activait encore. Le charpentier et son aprenti réparaient la coque avec le maître calfat, tandis que la maîtresse voilière réparai les voiles. Sur les autre navires, on faisait de même.

Jéricho sortis un petit carnet et descendis dans la cale. Un bruit d'eau se faisait entendre.
- Carl ? demanda-t-il au charpentier.
- Baptiste ! Amène encore une planche !cria Carl au calfat.
- Carl !
- Capitaine ?!
Carl s'avanca vers jéricho, un marteau à la main.
- Ton rapport ?
- On a une bonne voix d'eau ici. Le bastingage et la coqueen on pris plein la gueuel et le mât d'artimon est tombé avec le grand cacatois. Je pourrait remplcer le mât qu'a terre. Je colmate la brèche avec Baptiste...
- Qui justement voudrai un coup de main ! hurla le calfat en entendant Carl.
- J'arrive ! Je répare ça et je réparerai ensuite la coque et le bastingage.
- Merci vieux, bon courage.
- Merci.
Jéricho remonta laissant Carl souffler un instant, avant de retourner aider Baptiste qui s'éforcait de colmater la brèche avec des cordage et du tissus.

Jéricho monata retrouver Anne, la maîtresse voilière, avec quelque gabier, sur la grand vergue. Prenant garde �  ne pas tomber, Jéricho s'approcha de Anne.
- C'est pour le rapport.
- A oui. Ben, les hunier ressemble �  des passoirs, faudra les changer. Pour les autre, des trou par-ci par-l�  mais je pourrai reparer.
Jéricho nota cela dans son carnet et salua Anne avant de redescendre.

A travers la porte, on entendait des cri provenant du gaillard arrière. Jéricho entra et vit la salle �  manger remplit de sable rouge de sang. Quelque matelot aidait Enrique �  tenir et porter les blessé.
- Il y a encoré pas mal dé blessé qué yé placé dans lé carré avant dé lé soigner. Ceux dont yé mé souis occupé sont dans l'isoloir.
- Et la note ?
- 60 mort et 94 blessé, dont Antoine, la vigie, les assistants dé dos Baptiste son HS. Lucy y aussi mais c'est pas grave. En revanche, Hans et plus atteind, mais il va s'en sortir.
- Merci bien.
Jéricho laissa Enriqué, qui commencait �  emputer un matelot du bras droit.

De retour sur la dunette, Jéricho demanda �  son second de faire venir tous les capitaine �  bord.  

Plusieur chaloupe se dirigère vers le Black Shark. Arriva en premier, celle de Branty. Ensuite arrivèrent Erwan, Héléna et Desjardin. Quand tous furent �  bord, le groupe monta sur la dunette.
- Bien. Alors voil� . On a coulé la Sagradda Familia, mais on en �  pris plein le figure. Alors Erwan, Héléna et moi allons répare sur l'Atoll de la Mort. C'est �  11 heures d'icci en allant �  4 noeuds. Braty et Desjardin, vous rentrerez �  Guadeloupe.
- Dans combien de temps nous rejoindrez-vous là-bas ? Demanda Branty.
- Au moin 1 semaines.
- Alors parfait. Donc à dans une semaine.
- Au revoir Edouard, et merci encore.
- De rien mon cher. Ent tous cas, chapeau.
- Merci. Au fait...
Hayes s'était aproché de Jéricho et lui soufflait quelque chose à l'oreille.
- Kévin Analak veut te parler, il dit que c'est très important.
- J'arrive Hayes. Donc on fait comme cela. Héléna, vous n'aurez aucune peine �  nous suivre cette fois.
- Non, en effet.
Les capitaines s'éloignèrent et jéricho alla retrouver kévin.
- Tu voulait me dire quelque chose Kévin ?  

Kévin se releva à la vue de jéricho.
- Oui j'ai une faveur à vous demander.
- je t'écoutes.
- Je souhaiterai quitté le Black Shark.
Jéricho paru surpris et poussa un soupir.
- Je m'attendait à cela. Tu ai comme ton père. Un chef, un grand homme.
- Je sais. Je voudrai partir avec le commodor Branty, pour rentrer en Guadeloupe.
- Fort bien. Ce fut un plasir Kévin Analak. Bon courage.
Jéricho s'éloigna et ratrapa Branty.  

Jéricho, suivi de Kévin, repris une discution avec Branty.
- Oui ?
- Voici Kévin Analak. Il souhaiterai que vous le rameniez en Guadeloupe.
- Vous êtes d'accord je suppose ?
- Bien sur.
- D'accord. Mais il paye sa place à bord.
- Je vais payer pour lui, en récompense de son geste. Combien désirez vous ?
- Parce que c'est vous 30 écu.
Jéricho sortis une bourse, en tira quelque pièce et les donna à Branty.
Le commodore fit signe à Kévin de le suivre. Les deux hommes grimpèrent sur la chaloupe et celle-ci se dirigea ensuite vers le vaisseau de ligne, sous l'oeil de Jéricho.

Trois heures passèrent. Vers 3h du matin, quand Anne eu réparé toutes les voile et Carl colmaté la brèche avec le calfat, les 2 navires français firent route à l'est. Jéricho dona à son tour ses ordres.
- Hissez les voiles ! Bordez-les ! Cap au Sud timonier !
A très faible allure, le Black Shark mit le cap au sud. Le Dragon noir, qui connaissait l'Atoll de la Mort pour avoir été le frère d'Alexandre, suivit le Black Shark. Le Lalys se contenta de suivre.

Suite dans "Mer des Caraïbes>L'Atoll de la Mort"  

Suite de "Mer de Caraïbes>L'Atoll de la Mort"

La flottille marchait par vent de travers, et avançait ainsi �  6 noeud. En maintenant cette vitesse, les 3 frégates devrai attendre la Guadeloupe le lendemain, vers 17h45.
Le nouveau système de quart avait pris place �  bord. La plupart des hommes doramit encore de la fête de la veille, ou bien se reposait de leurs blessures.

Jéricho, qui était de quart, envoya un matelot aider Enrique, le chirurgien. Enrique et le matelot descendirent dans la cale et entrèrent dans l'isoloir médical. Il s'approchèrent d'un matelot, dont l'avant-bras été gravement touché.
- Il faut faire vite, aidé moi. déclara le médecin.
- Oui monssieur.
Les deux hommes décrochèrent le branle du blessé, et le portèrent jusque dans le gaillard arrière. La table avait été débarrassé et vetu d'un drap. Enrique et le matelot allongèrent le blessé sur la table. Le matelot étendit du sable par terre, tandis qu'Enrique sortait son matériel. Le matelot mit un morceau de cuir dans la bouche du blessé, après lui avoir donné un verre de rhum. Enrique mit un garot au bras du blessé, saisit son outils et commenca l'amputation. Le blessé poussa quelque gémissement mais fut soutenu par son camarade. L'opération se passa bien, Enrique cicatrisa le blessé, et il fut remis �  l'isoloir.  

Le voyage fut sans histoire. Les 3 frégates marchaient bien sous un bon vent. La nuit se passa sans encombre, pareil pour le lendemain. Vers 18h, la flotte arriva en vu de l'Île de Guadeloupe, et se dirigea vers Basse-Terre.

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