Titre: un océan trop calme... Posté par: Nantaiscaribean le 01 Décembre 2007 à 12:59:19 Enguerrand se tenait sur le gaillard d'avant et observait les vagues.Aucun roulis ,peu de vent,le bateau n'avançait pour ainsi dire presque pas.Il soupira après tant de malchance.Un océan comme celui ci dans ces moments l� n'était qu'un lieu d'ennui.Il n'y avait que dans les ports que l'on pouvait se divertir et dans ces conditions l� c'était impossible d'en gagner un.Les gars seraient furieux,pas de filles pour eux aujourd'hui mais il leur accorderait une soirée bien arrosée,ça oui!!
ça ne faisait pas longtemps qu'il naviguait en ces eaux enfin,en tant que pirate.IL en avait été réduit � ça.Déchu de tous ces droits considéré comme gentilhomme dépravé,aucune maison digne de ce nom ne l'accueillait et partout les gens le regardaient,nn franchement il avait bien fait de s'en aller,mais lui qui rêvait de combats palpitants ne se démenait pas furieusement comme il l'aurait voulu,seules les pinasses et sloop étaient � sa portée,maigre exploit.IL devait s'en contenter. -Yann!!!! Le second s'empressa d'arriver. OUi cap'tain? -Apporte moi un verre! Edit: bienvenu parmi nous mais avant de contineur le rp j'aimerais que tu lis et signe la chartre partie et puis que tu fasse ton personnage scar Titre: Re : un océan trop calme... Posté par: Nantaiscaribean le 16 Décembre 2007 à 19:25:15 Hélas un verre ce n'était pas vraiment ce qu'il aurait aimé mais bon ça faisait passer le temps et puis l'alcool était excellent....
IL redonna le verre au matelot et s'apprêtait � rentrer dans sa cabine quand la vigie cria soudainement: (http://jv.gilead.org.il/zydorczak/images/arch_33.jpg) -Bateau � tribord,un manowar il me semble messire......IL ne nous fonce pas dessusmais semble prendre la même direction que nous.Le pavillon noir est accompagné du drapeau anglais.. Jean se méfiait,ces anglais tous des navigateurs nés et commerçants redoutables,il fallait mieux se trouver loin d'eux qu'en travers de leur chemin et cependant voir que la vie subsistait sur cette étendue désertique dans laquelle seule une petite brise passait était réconfirtant et rassurant. Les vagues commençaient � rouler,bientôt sans doute l'on pourrait avancer. |