Forum Age Of Sea Dogs

suite du sujet Boire sur un faux-rhum ...  

Le capitaine Rutabaga qui avait du mal �  détacher son regard du joli décolté de son infirmière...<:o


"Le capitaine Black?? aucune idée, c"est la première fois que je le vois ici. Mais mon métier m"a appris �  être physionomiste, et ce gars l�  au regard sombre n"a pas vraiment l"air d"un gai Luron, vaut mieux pas le chatouiller!"

-"Une ptite partie de Dés?"




Modifié par simon le 17/12/2005 14:05:26  

 "Il y a fort �  parier que l"on va entendre parler de lui...les dés, est-ce de ceux que tu vends ?  sacré Rutabaga, ne seraient-ils point pipés ?". La demoiselle souriait aux capitaines. "Et toi, ma jolie as-tu déj�  vu le sieur Black, l"homme qui se trouvait �  la table du fond et que tu as servi ?". Le capitaine De Chollet avait de la peine �  la regarder droit dans les yeux...  

 "Comment mes des pipés? attends regarde:

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===================
Ben alors!

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NON! mais je vous jures! c"est incroyable!
Je veux bien me changer en gnou si
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Bon D"accord on laisse tomber les dés.....

Je jouerai bien �  la roulette russe mais je crois que ça n"arrangera pas mon mal de tête....

:siffle:Sans rien paraitre le capitaine Rutabaga avait délicatement passé sa main sous les jupons de la belle infirmière...

[CLAC!]

Ben ça non plus n"arrangera pas mon mal de crâne....


Modifié par simon le 18/12/2005 00:09:22  

 Barbare venait de se reveiller et remarqua se désastre qui régnait autour de lui: "eh bien, vous vous etes bien amusés on dirait, bon j"ai soif tavernier!", pui il détourna son regard sur l"infirmière.  

 "Mon cher Barbare, vous venez re rater quelques passes d"armes... mais je vois que vous vous intéressé �  d"autres passes !...". La fille regarda Etienne De Chollet et lui jeta au visage le rhum destiné �  Barbare :" Pour qui me prenez vous, brigands ! Je ne suis pas de celle que l"on paye!". Elle s"en retourna vers son tavernier de père, les yeux crachants des éclairs...Le visage innondé il contemplait le ravissant postérieur qui s"éloignait. "Par tous les diables, quel tempérament ! Voil�  le genre de femme qui me plait �  conquérir...et quel fessier!"  

 Le capitaine Rutabaga, ne se laissant désarçonner par cette formidable baffe, réajuste son col et s"approche du comptoir....

"Mademoiselle, je m"excuse d"avoir agi de la sorte, c"est ce combat qui m"a fait perdre la tête, je ne savais plus où je posais les mains....."

"Je vous demande d"être une fois de plus mon infirmière, car maintenant c"est mon :love: qui saigne de ne plus vous sentir �  mes côtés...."

Le tavernier le foudroi des yeux....

"je n"ai cure des rustres qui se saoulent dans cette taverne, allons dehors où le vent nous porte!

Et avec son plus beau sourire...

Tenez...



   

 La belle fut surprise...la première fois qu"un homme lui offre une fleur...
Le capitaine Etienne De Chollet assis �  quelques metres ne ratait rien de la scène. La fille du tavernier semblait un rien troublée par le présent du capitaine Rutabaga, son père aussi. Elle n"était pas insensible au charme certain du capitaine français. Elle n"avait connu que des rustres aux gestes déplacés et aux mains baladeuses, perdu sa virginité auprès de tout un équipage hollandais qui n"avait plus touché femme depuis Amsterdam.

Modifié par calvin le 21/12/2005 17:33:04  

Le capitaine Rutabaga, senti le regard concupiscent du tavernier peser sur sa nuque.

Il se retourna et se trouva nez �  nez avec la face porcine aux chicot noirâtres du viel homme.

Alors que le tavernier ouvrait la bouche pour parler le capitaine senti l"haleine fétide et puante lui arriver au visage.

Réprimant un haut-le-coeur, le capitaine Rutabaga commença �  faire l"éloge de sa charmante fille.Celle-ci battait des cils �  son encontre..... (c"est dans la poche)

Alors qu"ils discutaient finances,
Soudain, sa soeur qui était dans le garde manger fit irruption, et jalouse, déversa tout son fiel :

" Enfin vous avez trouvé preneur pour cette Quatin qui, grâce �  la troupe d" hollandais, �  la chaude pisse!! "

L"ainée s"effondra en larmes.....;(


Modifié par Simon le 22/12/2005 00:08:14  

 Les événements prennaient la tournure d"un drame familliale. L"ainée des deux soeurs pleurait toutes les larmes de son corps, qu"elle avait fort joli d"ailleurs. De belles rondeurs, les reins cambrés, de jolis pieds. Son port altier et son accent trahissait les origines andalouses de sa mère. Son père, visiblement, devait surement avoir des origines, mais personne ne voulait en savoir plus... lui non plus. La petite était comme hypnotisée par le capitaine Rutabaga, elle prétait nullement attention aux gesticulations de son père qui tentait, maintenant et �  voix basse, de monnayer les charmes de sa fille.  

 Le tavernier au capitaine Rutabaga :

"ma yé né comprends pas ! yé vous jures ..... et puis l"Amour est aveugle...,n"est-ce pas ?"

Le capitaine rutabaga, évitant les relants de moisi qui lui parvennait au visage, détourna le visage...
en face de lui , l"ainée en pleurs....(Quelle était belle!)

Puis ragarda le capitaine Etienne de Chollet. Celui-ci attentif , l"encourageait par un mouvement de tête.

Le capitaine Rutabaga( en son fort intérieur )" c"est vrai après tout elle est charmante..."

:love::love::fleur::love::love:Et coupant court la discussion avec son tavernier de père il s"élance vers la fille , dans un nouvel élan!

Mais sa Méchante soeur , près du comptoir , n"a pas fini de cracher son venin...

"Et en plus, elle garde les testicules de tous ses amants dans un bocal, je sais , je l"ai vu !!"



:siffle:Gloups.....:siffle:
   

 nanar voyant comment se déroule la suite des évenements, décide de comander un ptit coup de fée verte !

"�  la bohneure, on a droit �  amour gloire et beauté, version flibuste !"  

 quand le capitaine harold entra dans la taverne il fut stupéfait de voir un drame familiale se dérouler sous ses yeux:?:? car pour lui une taverne est un endroit ou l"on picole entre bon marrins!!mais amusé par cette extravagance il alla s"installé a la table d"un matelot qui lui était totalement inconnue et qui,d"aprés son apparance,devait étre l�  depuis longtemps!!il étais ivre jusqu"a l"os!:
"bien le bonjours mon bon capitaine,quel bon vent vous amene?"
"bien que content je suis stupéfait par t"en d"hospitalité!!que se passe t-il la-bas?"
" une histoire d"amour etc...on dirait un épisode des "feux de l"amour!!"
" feux de l"amour? quel est cette sotise?"
"nan rien!!bon mon bon capitaine san vouloir qémender je cherche un navire ou exercer mes talent de pirates!!et si vous avez de la place a bord je vous serais reconnaisant de m"y acceullirent!!"
"ma fois je pense bien qui est une place pour toi sur mon navire!!mais pour l"instant picolons en se moquant des péripécie familial!"
   

 Le capitaine Rutabaga envoyait des oeillades �  la jeune demoiselle, le père de cette dernière continuait �  parler tout seul. La grande soeur au regard de colère lancait des éclairs �  tous ceux qui l"entouraient, elle maudissait tous ces hommes de la mer venus chercher de quoi se rassasier le ventre et le gosier. Le capitaine De Chollet s"attarda sur elle...elle avait je ne sais quoi de particulier, se disait-il en son for intérieur, quelque chose qui l"attirait. Les marins �  proximité s"écartèrent sur son passage, elle se dirigeait droit lui. Elle se planta devant sa table , les mains sur les anches, la poitrine gonflée, le front haut...cela ressemblait �  un défi...  

la donzelle au capitaine Etienne de Chollet :
"Vous les hommes vous êtes tous les mêmes! incapables! Vous ne pensez qu"a vous enivrer et rigoler bêtement de votre sombre existence !"
(elle foudroi du regard comme pour l"exemple le capitaine Harold qui cesse de rire stupidement �  la scène et regarde ailleurs comme pour échapper au regard qui lui brûle la pupille).

"Et si ce n"est pas la barrique qui se vide , c"est votre ventre qu"on rempli de victuailles aussi grasses et lourdes que vos plaisanteries débiles sur les femmes !"

"Vous ne savez que BOIRE ! BOIRE ! et fustiger les étrangers! ( ah! j"avais connu un capitaine Anglais..)"

Tout le monde était consterné ,et on entendait plus que le clapotis du bac �  eau qui fuyait...

se retournant vers l"assemblée

"Je vous mets au défis , bande d"Ivrognes ! qui peut aligner 3 mots sans bafouiller un juron ?"

le capitaine Rutabaga ,sentant le vent tourner fit un signe d"adieu �  l"infirmière et s"éloigna �  petits pas...et se faisant aussi discret qu"un courant d"air...  

 Le capitaine De Chollet se leva. Elle se retourna.
" Madame,
d"aussi loin que je me souvienne
je n"ai vu aussi belle jouvencelle".
(il appuya son regard, et en sa direction fit un pas)
"Mes yeux ont parcouru bien des enfer,
sur terre comme sur mer,".
(fit un autre pas, elle recula...)
"et je peux vous jurer que jamais
mon coeur n"a saigner, mais...l� ...".
(En reculant de dos elle se heurta au comptoir, le capitaine se tenait debout devant elle. Il la dépassait d"une tête).
"...devant tant de beauté,
je ne peux que me prosterner!".
(il se pencha et lui saisit la main qu"il couvrit d"un baiser)  

 La belle donzelle, surprise par autant de verve, mis un certain temps �  réaliser...

:[Ses pomettes s"empourprèrent joliment, la rendant encore plus attirante...:[

"Je...Je..crois monsieur que j"ai parlé trop vite..il se pourrait que dans cette taverne il y est des gentilhommes bien intentionnés."

Je m"apelle Eléonor d"Absynthie, je suis enchantée de vous connaitre..."

"Ne seriez vous pas par hasard le capitaine Massa dont tout la ville parle ?" (:?)


   

 la capitaine harold,ayant retrouvé son sourire,s"exclaffa:
"ha!les femme toujours a la recherche de celui qui sera le plus poli!!alalalatoute les même,s"adressant au marin ivre a coté de lu, moi je n"aie pas eu besoins de faire la coure elles étaient attendri par les moments passées �  la couche!!!!hahahahahahaha!!!!!!"
"oui mais je doute que ce soit des femmes aussi raffinée que cette donselle!!"
"oui ma foie elles viennent d"une "maison du bonheur" de la tortue!!!!!"
"mon bon capitaine je vous comprend on dit que la-bas les femmes vous font tourner la tête:w|:w|!!"
et les deux écumeurs des mer restérent assis a causer des femmes!  

 Le capitaine De Chollet fut quelque peu déstabilisé par la question. l"idée de prendre l"identité d"un autre lui traversa l"esprit, il la chassa aussitôt. Bien que la réputation du capitaine Massa n"était plus �  faire concernant ses faits d"armes, il n"en était pas de même pour la gente féminine. Pourquoi cette question ?...il lui répondit : "Hé bien Madame, je ne suis pas celui dont vous parlez, mais il se trouvait ici il y a peu...je me nomme Etienne De Chollet...pour vous servir...et bien que je n"ai pas l"aura du capitaine Massa, je vous prie de croire que je saurai vous démontrer toute ma courtoisie..aurions-nous la possibilité de nous entretenir dans un lieu plus confidentiel ?"  

 La nuit était fort avancée et la soirée n"avait pas été de tout repos. Les quelques marins et capitaines présents avaient plus de rhum que de sang dans les veines...Le capitaine De Chollet ne lachait toujours pas la main de la fille ainée de l"aubergiste. Il crut bon d"insister sur la possibilité de se retirer tout les deux dans quelques recoins plus discrets. Bien qu" elle soit sensible aux avances du capitaine et aux mots doux qu" il lui sussurait �  l"oreille, elle semblait vouloir résister devant tant de facilités. Son père les observait depuis son comptoir, rien ne pouvait lui échapper...  

 hola jeune coq cette jeune fille est ma fiancé  ne lui fais pas les yeux doux ou il t"en cuira lui dit un jeune capitaine aussi beau que distingué ! pour votre gouverne je me nomme chocolat pour vous servir !

le capitaine etienne de chollet regarda le capitaine chocolat d"un air mauvais .....

mias non l"ami je plaisantais je ne connais nullement cette jeune donzelle mais par contre je vois que tu as bon gout !je crois que vous avez déj�  rencontré ma soeur le capitaine j si je ne m"abuse !elle a mis fin �  sa cariière de pirate enfin je l"y ai obligé car il n"est pas bon pour une jeune fille de la noblesse d"etre pirate!
   

 hola jeune coq cette jeune fille est ma fiancé  ne lui fais pas les yeux doux ou il t"en cuira lui dit un jeune capitaine aussi beau que distingué ! pour votre gouverne je me nomme chocolat pour vous servir !

le capitaine etienne de chollet regarda le capitaine chocolat d"un air mauvais .....

mias non l"ami je plaisantais je ne connais nullement cette jeune donzelle mais par contre je vois que tu as bon gout !je crois que vous avez déj�  rencontré ma soeur le capitaine j si je ne m"abuse !elle a mis fin �  sa cariière de pirate enfin je l"y ai obligé car il n"est pas bon pour une jeune fille de la noblesse d"etre pirate!
   

 Le capitaine De Chollet fut surpris de voir un compatriote lui tenir des propos qu"il avait grande peine �  comprendre, peut-être que le rhum avait commencé �  lui ronger le cerveau se dit-il. Visiblement le capitaine qui l"apostrophait de la sorte n"avait pas assisté plus tôt aux passes d"armes qui avaient mené le captaine De Chollet et Rutabaga �  occire quelques malandrins...De Chollet le toisa du regard et lui dit :" Hola l"ami, tu as la langue bien pendue et si tu veux la garder entière remet l�  donc �  sa place ! et si tu arrive encore �  tenir debout...vas au comptoir que je t"offre un verre de rhum �  la santé des filles du tenancier!"  

sachez messire que  je n"ai pas bu de rhum depuis bientot 2 mois , je réserve le rhum �  mes matelots  alors avant de parler réfléchissez! je vous ai dit que je plaisantais ! je ne sais si on vous a appris �  lire!enfin sans rancune et puisque vous me le proposez je veux bien boire un petit coup avec vous!  

 Le capitaine De Chollet trouvait le capitaine Chocolat maniéré et hautain, il devait avoir quelques sangs de nobliaux mais sa jeunesse l"excusait, se disait-il. Au souvenir de sa jeune soeur, il demanda : "Il me semble que votre soeur ai décliné mon invitation �  nous rejoindre �  cette taverne ? Aurait-elle peur de mauvaises fréquentations ? Pourtant  ami Chocolat, regarde autour de toi ! Que de nobles pirates ventripotents et édentés, la fine fleur de la flibuste ! HA HA HA!" et s"en retournant vers celle qu"il n"avait pas laché de la main, lui sussura :"Heureusement Ma Dame que vous êtes l� ....le meilleur du fumier pour la plus belle des Roses...".  

 Le capitaine chocolat avait effectivement du sang noble son père faisait parti de la noblesse de nantes et sa mère de la noblesse de rennes et un de ses aieuls avait combattu au coté de philippe auguste �  bouvines en 1214 ! il trouvait au départ �   l"homme qui lui faisait face un air noble  mais en entendant ces propos il comprit qu"il s"était lourdement trompé!
"ma soeur n"est pas venue car je l"ai empeché de venir dans cette taverne qui ressemble davantage �  un dépottoir de fumiers qu"�  un honnete établissement"
et si vous vous plaisez avec cette jeune donzelle des bas fond tant mieux pour vous mais moi ça me répugne au plus au point !je ne vais point m"attarder ici car je pense que  l"atmosphère va vite se réchauffer et je ne tiens pas �  me bagarrer comme un chiffonier avec ces gens l�  et je ne tiens pas non plus �  avoir de différents avec vous car au fond vous me semblez brave homme! mais moi je suis au service du roi et pas au service de moi meme alors bon vent monsieur"dit messire chocolat au sire etienne puis il sortit en faisant bruyamment claquer la porte!    

 Toute l"assemblée suivi du regard le jeune capitaine Chocolat s"en aller comme un prince.... Un vieux loup de mer �  l"oeil crevé et la jambe de bois, assis dans un recoin près de la porte, lui cracha sur les talons en mugissant : "Que la belle capitaine aille au Diable avec son Roy !... et sa soeur me trouver pour qu"elle tate de mon autre jambe de bois ! HA HA HA !". Les marins présents rirent �  gorges déployées...Le capitaine De Chollet, saisissant par la taille celle vers qui tous les regards convergeaient, repris :"Allons, frêres pirates ! festoyons ! A la noblesse pour toutes ces richesses ! Sinon point de pillages ni de carnages ! HA HA HA ! que le rhum coule �  flots et que quelques viandes boucanées soient servies �  mes amis ! Tenancier je régale !". A voix basse : " Quand �  vous Ma Belle....j"aurai quelques secrets �  partager... retrouver moi donc sur mon navire "L"Albatros", je vous attendrai...".Elle se désengagea de l"étreinte d"un mouvement de rein et plongea ses yeux dans les siens. Elle lui tourna le dos et disparu derrière son père qui se dressait �  présent devant lui. "Ma yeune coq! yé t"interdit dé touché �  ma fille !". L"odeur dégagé par le tenancier chatouilla les narines du capitaine De Chollet, il failli tourné de l"oeil. Il fit un pas en arrière et porta son bras �  son visage : "Ventrebleu quelle puanteur ! Impossible ! Est-ce l"oeuvre du Démon ou la pourriture vous mange les entrailles ? quelques rats malades ont du déféquer �  l"intérieur... Monsieur, je puis vous assurer que jamais pareil senteur n"eu été aussi forte...eussiez vous parler avec votre séant!"

Modifié par calvin le 13/01/2006 01:01:26  

  le jeune capitaine chocolat qui avait quelques connaissances dans la taverne eut vent de ces moqueries et n"avait pas oublié cet affront que lui avait fait ce vieux cadavre �  la jambe de bois aussi il envoya un messager pour porter cet avis �  toutes les canailles de la taverne
"que tous ceux qui ont des différents ou ont porté affront �  mon maitre  chocolate de  marigny et qui ont le courage de l"affronter  viennent le rejoindre sur son navire  l"antillais ou lui portent des messages d"excuses sinon il fera appel aux autorités françaises  pour déloger tous les crapauds présents ici!"  

 Un jeune freluquet aux allures faussement assurées entra dans la taverne. Il en fit le tour un parchemin �  la main et donna la lecture �  qui voulait l"entendre. Arrivé au comptoir il se présenta devant le capitaine Etienne De Chollet et ses compagnons de beuveries. Son commanditaire, le capitaine Chocolat, voulait réparation.
De Chollet l"apostropha :"Dis �  ton maître que nous autres, humbles pirates, sommes dans la peine de le savoir si contrarié et qu"il sache que nous sommes  toujours prêt �  l"acceuillir lui et sa soeur !....enfin surtout sa soeur!". Et un autre de rajouter :" Oui c"est cela, dis lui de nous envoyer sa soeur...HaHaHA...lui on l"a déj�  vu ! ha HA HA!".un troisième d"ajouter:"Dis lui que les crapauds attendent la grenouille! Ha HA !". Les marins en rire et les verres de rhum s"entrechoquèrent. Le mousse s"en retourna.

Modifié par calvin le 14/01/2006 00:04:46

Modifié par calvin le 14/01/2006 01:00:53  

en entendant les propos rapporté par son messager  chocolate devint  rouge mais garda son calme ! après tout  se battre avec ses miséreux ne l"avançerait �  rien d"ailleurs il allait leur rendre visite!
"excusez moi pour mes manières un peu mondaines, d"ailleurs je vous ai menti je suis peut etre noble de naissance mais mes parents m"ont déshérité car après m"etre engagé comme officier royal j"ai choisi d"aller dans la branche des corsaires ce qu"ils ont trouvé humiliant pour notre nom  aussi je n"ai pas le droit au titre que je vous ai donné , veuillez me pardonner ! et si vous m"acceptez encore je viendrai vous rendre visite de temps en temps!"sur ces mots il marcha vers la porte la tete basse , et honteux !  

le capitaine Rutabaga, se révaillant d"une bonne sieste réparatrice, écoutait avec attention le capitaine chocolat. En son fort intérieur il pensait:
[Pirates de tous les pays , unissez vous!!
"

Modifié par simon le 19/03/2006 23:20:14  

  en voyant cet individu étrange se trouvant juste derrière lui le capitaine chocolat se retourna et  l"examina attentivement il pensa que cet personne n"avait pas l"air de l"apprécier et déçu il sortit en trombe de la taverne et attendit dehors sous l"orage et la pluie qui faisaient rage un petit témoignage d"amitié qui ne viendrait sans doute jamais!  

 le capitaine Rutabaga, attacha son chien Bruknor au pied de la table et suivi le capitaine Chocolatqui allait sous la pluie...

"Attends l"ami ! ne te morfond pas ! tu est nouveau ici ? hein ? ne prête pas attention aux divagations de marins perchés! je me présente : je m"apelle Rutabaga,,,"



j"ai la chance d"avoir mis la main sur une pièce du trésor Inca , cela t"interesses ?

Modifié par simon le 15/01/2006 17:46:34  

 je suis enchanté de faire votre connaissance messire , voys avez mon éternelle reconnaissance mais sachez que je ne suis pas interessé par vos cartes surement fausses mais si vous voulez pour vous faire plaisir je peux l"acheter  

 vous devez etre expérimenté messire , moi je ne possède qu"un sloop mais au niveai financier je suis pltot �  l"aise  , je vous paie une chopine de rhum si vous etes d"accord!  

 Le capitaine Chocolate semblait bien en peine...Peut-être que le capitaine De Chollet l"avait traité avec trop de rudesse. Il semblait que le capitaine Rutabaga avait un faible pour le jeune de Marigny, les deux hommes discutaient sous la pluie devant la taverne. Depuis le perron, le capitaine De Chollet les interpella :"Allons compagnons, venez vous mettre �  l"abri, le rhum vous fera oublier vos déboires...et toi Rutabaga n"essaie donc pas de refourger l"une de tes fameuse carte �  ce pauvre Chocolate !"  

 .....le capitaine Rutabaga gromela quelque chose dans sa barbe, puis considérant le capitaine Etienne de Chollet , souria �  plaine dents

-"C"est plus fort que moi, tu as raison ce n"est pas la journée des affaires!"

et donnant une tape amicale au capitaine Chocolat :

-"Allez viens l"ami , les chopines nous attendent!"

-"et puis tu as certainement des histoires croustillantes �  nous raconter..... "


Modifié par simon le 16/01/2006 00:25:43  

 merci messires ! �  partir d"aujourd"hui si vous l"acceptez je vous considererai comme mes frères! je dois partir pour la martinique mais nous nous retrouverons bientot je vous l"assure bon vent mes amis!  

 Les capitaines se saluèrent et allèrent prendre congé les uns des autres lorsque tout �  coup un jeune mousaillon arriva en courant. Il était éssouflé et avait grande peine �  parler. Le capitaine De Chollet le reconnu de suite et très étonné lui demanda:"Mais Petit Tom que fais tu ici ?". Il lui répondit: "Capitaine....des hommes ...des hommes en armes ...ils viennent par ici, il vous cherche....".Le capitaine encore plus étonné : " Calme toi...Qui sont ces hommes et combien sont-ils?". Le mousaillon reprennait son souffle les mains sur ces genoux....:"Des marins..trouvé...corps d"une femme sur le ponton qui mène �  L"Albatros...elle portait une missive qui vous était destinée...les hommes du Gouverneur désirent vous parler, ils ont pris position devant notre batiment et quelques uns sont montés �  bord pour vérifier les cales !". L� , le capitaine De Chollet devait se rendre �  l"évidence, la nuit n"était pas terminée..Des bruits de pas et des cliquetis provenaient du coin de la rue. Les capitaines suivis du mousaillon s"engoufrérent �  toute vitesse dans la taverne..Moins de trentes secondes plus tard, les hommes de la garnison envahirent le débit de boissons. Un sergent de forte corpulence s"avança au millieu de la pièce et parcouru l"assemblée :" Messieurs, nous somme �  la recherche d"un capitaine français...Lequel d"entre vous se nomme Etienne de Chollet ?". Le capitaine se tenait derrière ces amis dans la pénombre et malgré l"alcool ingurgité il tentait de comprendre se qu"il se passait, il chuchota au moussaillon :"Passe derrière le comptoir et faufile toi jusqu"�  l"Albatros...préviens Guiseppe que nous allons lever l"encre plus tôt que prévu...je vous rejoins dés que possible...si �  l"aube je ne suis pas l� , dis lui d"aller l�  ou il sait !...Sais-tu qui était cette femme?". Le mousaillon fit un signe de tête que oui :"J"ai entendu le sergent dire �  ces hommes que c"est la fille du tenancier...."et il disparut. Le capitaine était choqué. Comment cela était-ce possible ?
Le sergent avança en direction du comptoir et s"adressa au patron :"Dis-moi ou se trouvent tes filles ?" Il fut quelques peu surpris et se retourna vers la porte qui donnait sur le garde-manger...les deux soeurs en sortirent l"une derrière l"autre, têtes basses...le père �  ces filles ."Ma yé né comprend pas ?...". Le sergent insista "Et la troisième, hein ou es-elle ?". Le père semblait perturbé :" Qé passa..elle dors �  l"étage!..". Le sergent sorti de sa bourse un collier de perles qu"il lança sur le comptoir. Il reconnu immédiatement le collier offert �  sa dernière fille, ce dernier dégoulinait de sang encore chaud...le père eu un vertige et l"une des soeur cria !."Mais enfin Sergent ! Ou se trouve notre soeur? Que lui est-il arrivé ?". Un silence glaciale s"installa, tous les personnes présente étaient pendues aux lèvres du sergent. Il annonça:"Elle �  été égorgée ! saignée comme un pourceau sur le port...et l"assassin se trouve peut-être dans cette pièce !.." Son regard fit le tour des visages qui le fixaient et d"en seul coup il s"arrêta..:"Hé bien Messieurs ? Qui êtes-vous ?" Il s"adressait aux capitaines Rutabaga & Chocolate...:"Je ne vous connait pas ! déclinez votre identité !" La tension était palpable et le capitaine De Chollet caché derrière eux était prêt �  tout...  

un homme qui se trouvait derrière les capitaines rutabagua et de chollet  s"avança vers le sergent ! messire  vous me connaissez  je crois! oui bien sur vous le jeune de marigny et etes  le fils de l"ami du le gouverneur !c"est ça ces capitaine sont de mes amis et aucun des deux ne se nomme de chollet je vous l"affirme sur la sainte bible car ce sont de mes amis et je les connais mieux que vous ! aussi laissez les en paix ou il vous en cuira!  

 Le capitaine Chocolate avec audace tenait tête au sergent de la garde, néanmoins ce dernier semblait circonspet, et lui dit : " Bien Monsieur, si vous en repondez...sachez quand même que nous nous devons d"arrêter l"auteur de cet acte barbare... que ces messieurs s"avancent dans la lumière et répondent �  mes questions !". Un murmure parcourait la salle, tous les hommes se tenaient debout. Le capitaine De Chollet avaient les paumes sur les crosses de ses pistolets �  silex. Les gardes étaient trop nombreux, même avec l"aide de Rutabaga et Chocolate, le combat était perdu d"avance. De Chollet regarda le capitaine Rutabaga qui s"avanca d"un pas en direction du sergent qui se tenait les bras croisés, le menton relevé celui-ci lui demanda : " Qui êtes-vous ?".  

 mais le capitaine chocolate ne voulant pas que que son ami de chollet et que rutabagua   (qui avait sans doute l"intention de se dénoncer sous le nom de chollet)ne se fassent prendre  commis un acte que seul la fougue de la jeunesse permettait  il prit son sabre et attrapa  le sergent il lui mit son sabre sous la gorge et s"adressa aux soldats! si vous ne voulez pas que votre cher sergent meurt  de ma lame lachez vos fusils et autres armes et laissez ses pauvres hommes partir ! si je menace de tuer votre sergent c"est qu"il a osé mettre en doute ma parole et s"obstine �  vouloir voir un certain de chollet en ces braves capitaines qui ne lui ont rien fait ! choisissez ! accusez de pauvres hommes qui n"ont rien fait et  faire tuer votre sergent ou les laissez partir et ne subir aucun ennuis! le capitaine chocolate avaient quelques matelots �  son service qui se trouvaient dans la taverne et qui prirent tous leurs mousquetons et leurs fusils  en les mettant droit dans la direction des soldats!  

 Le sergent :

"Bande de Misérables , je fais partie de la garde rapproché de notre bienheureux gouverneur!"

"Nous ne sommes pas dans un port Pirate Ici ! d"ici peu cette taverne ne sera qu"un vieux souvenir! croyez-moi!"

Le capitaine Chocolat, nullement impréssionné, ressera son étreinte.

Le capitaine Rutabaga prit la parole :

"Allons messieurs, du calme! La violence est l"arme des faibles! laissons tourner le vent de la discorde! Un jour viendra où les hommes seront tous frères et se tiendront la main dans une joyeuse farandole !"

Le capitaine Rutabaga, tellement surpris par la naîveté de ses paroles, se retourna pour voir si quelqu"un avait parlé a sa place....

Ce discours eût au moins l"avantage de calmer un peu la situation.

"Allons du calme " reprit-il " Malgré mes 3 grammes dans chaque chaussure, essayons de procéder calmement...

"Capitaine Chocolat " lâchez le je vous prie..."
il doit y avoir une explication logique...

"tâchons d"en savoir un peu plus sur cette affaire..."


Modifié par simon le 17/01/2006 23:17:45  

Modifié par thekid28 le 18/01/2006 06:28:59  

 La situation semblait se calmer, mais tous les protagonistes se regardaient les uns les autres sans trop savoir par ou commencer... Le capitaine De Cholet rompit le silence : "Messieur, écoutons la voix de la sagesse de ce bon capitaine Rutabaga..." Il posa sa main sur l"épaule de son ami, et reprit :"Je suis celui que vous chercher ! Mon nom est Etienne De Chollet...cependant je n"ai pas quitté cette taverne de toute la soirée...bon nombre de personnes ici présente pourront en témoigner !". Tous se mirent �  parler en même temps..."Silence !" ordonna le sergent. Les soldats reprirent leus$rs armes. Le sergent qui malgré les apparence semblait être habité par le doute et voyant que la situation n"était pas �  son avantage demanda : " Très bien ! soit ! Qui peut certifier sur l"honneur que ce môsieur se trouvait parmi vous en cette soirée ?".
   

 moi !mais je pense que ma parole ne vous suffira pas et je ne me trompe pas je crois!demandez �  tous les hommes présents ici si vous le voulez cet homme est reesté ici toute la nuit �  boire du rhum avec nous ! d"ailleurs il n"avait aucune raison de la tuer car il l"aimait cette fille ! je peux meme prendre sa place si vous le croyez coupable ! conduisez moi au gouverneur que nous nous expliquions un peu!  

 ola tavernier !

versez donc �  boire �  mon équipage qui a grand soif apres cette longue traversée.

et donnez moi donc les dernières nouvelles de céans  

�  l"irruption du capitaine Hierro el Lobo , tous les regards se retournèrent



Le long voyage qu"il avait effectué l"avait surement un peu décalé et il se retrouva au milieu d"une affaire délicate....

Le sergent:
" Reprenons! cette affaire sent l"ail �  plein nez ! Vous capitaine Chocolat ! Vous me semblez prêt �  remplacer le capitaine Etienne de Chollet ..... Ne seriez vous pas un .... Complice? "

La capitaine Rutabaga observait la scène avec intérêt , le sergent transpirait �  grosses gouttes et il était secoué de tics nerveux.... il prit la parole :

" Ecoutez Sergent, le coupable n"est pas en ces lieux, je suis désolé pour cette pauvre fille et le sort s"acharne sur le tavernier (celui-ci se morfondait dèrrière le comptoir).
Laissons lui le temps de faire son deuil, puis nous irons chez le gouverneur pour élucider ce mystère.... "

Le sergent sembla hésiter un moment, pesant le pour et le contre dans sa tête. Puis il déclara :

"C"est d"accord mais je ne vous fait aucunement confiance.... je laisserai un soldat pour vous surveiller et je vous attends chez le gouverneur dans deux heures..."

et sur ces mots il désigna un soldat et lui indiqua l"endroit où s"assoir pour surveiller les compères....

Puis lui et sa troupe sortirent en hâte....

Le soldat, pas vraiment rassuré éleva la voix :

"heu ... un jus d"orange s"il vous plaît ...."    

Modifié par simon le 19/01/2006 20:11:58  

 le capitaine dit au sergent : c"est entendu!nous y serons parole de gentilhomme!toi le soldat prends donc un verre de rhum avec nous ou un jus d"orange comme il te plaira ! mais je te reconnais ne serais tu pas jean de cassigny mon voisin !!!!!!!!sois le bienvenu sache que nous ne sommes pas melés �  cette méchante affaire ! le jeune jean le regarda et lui demanda : mais que fais tu ici ! he bien mon ami je suis corsaire comme je l"avais toujours revé et voici le capitaine rutabagua et le sire de chollet ! ce sont mes amis!sur ce les 4 compères prirent ensembles un verre de rhum!  

 Le capitaine De Chollet entouré de ces amis se sentait rassuré, il déclara : " Ah mes amis ! Que c"est bon de vous savoir prêt �  vous faire pendre avec moi ! Ha Ha HA ! Je ne comprend rien �  cette triste affaire...Si j"attrape le misérable...je le cloue vivant au grand mât et lui ouvre le ventre pour lui vider les entrailles et les lui fais manger ! Par tous les saints...buvons �  l"amitié et la nostalgie du temps des "Frêres de la côte"...Tournée générale ! que le rhum coule �  flots !". La taverne retrouvait le calme. Le capitaine De Chollet souffla �  ces deux compères �  voix basse :" Toute cette agitation, puis plus rien...sauf lui..." d"un mouvement du menton il désigna le pauvre bougre devant son jus de fruit, flottant dans sa cuirasse, son épée au fourreau plus épaisse que lui...il reprit :" Cela me semble louche..laisser un seul homme...Le sergent doit préparer quelques plans pour nous cueuillir �  notre sortie..Que penser vous de cela ?"

Modifié par calvin le 21/01/2006 00:09:38  

 Le capitaine Rutabaga hocha la tête :

" C"est vrai que c"est étrange ...."

" Dis moi Etienne, ça a la"air d"être un bleu.... on pourrait le travailler au corps..... "

Le capitaine Rutabaga désigna le jeune soldat du regard.
il semblait mal �  l"aise dans cette endroit.

Les compères l"observait. Il avait bu une gorgée de son jus de fruit et s"était allumé une tige sur laquelle il tirait d"énormes bouffées comme pour remplir son corps de courage...
Puis d"un geste maladroit il sortit sa rapière qu"il commença �  nettoyer méticuleusement....



" Allons lui parler.... "

Les compères s"avancèrent lentement vers sa table et se penchèrent sur lui .

" Dis moi l"ami, n"oublie pas de t"astiquer le manche aussi.. " Et les compères s"esclaffèrent un instant...

Puis il s"assirent �  sa table.Le soldat semblait impréssionné et tirai de plus belle sur son mégot...

" Allez sans rancune l"ami, tiens, tu ne veux pas un peu de Rhum dans ton jus ? ça donnerai du goût...

-" Non,non jamais pendant le service...."

-" Allez, pour trinquer �  la santé du gouverneur... " et le capitaine Rutabaga s"empressa de remplir son verre de rhum agricole frelaté... "

Puis il leva son verre...

" A la Santé de ce brave gouverneur !!"

Devant la tournure des événement, le soldat n"osa pas broncher et il vidèrent cul-sec leur breuvage....
*Glou-Glou*

" Et maintenant buvons �  la garde royale !"  
*Glou-Glou*
" Diantre! Nous avons oublié ce brave sergent! A sa santé!"
* Glou-Glou*



Ce petit manège dura bien une heure. Au bout d"un moment le soldat était tellement ivre qu"il trinquait �  la santé du chien du gouverneur!!

Le capitaine Rutabaga se tourna alors vers ses compères et chuchotta:

"il est �  point je crois, on va pouvoir l"interroger maintenant..."


Modifié par simon le 21/01/2006 13:42:27  

 du calme mes amis il a du sang bleu comme moi ! et je le connais alors par respect pour moi ne l"embetez pas trop !he mon ami dit il au soldat , que prépare le segent? son ami le regarda en face : "le sergent a décidé de vous prendre en embuscade dans une des petites ruelles qui mènent de cette taverne �  la forteresse du gouverneur !il m"a dit qu"� près il jeterait vos corps dans l"eau avec un boulet pour que vous restiez au fond!Mais si tu veux chocolate je vais voir le gouverneur en lui disant ce que prépare ce sergent de malheur sur ta personne et sur celles de tes amis!
chocolate savait qu"il pouvait lui faire confiance et lui donna une missive �  porter au gouverneur!  

 chocolate  devint impatient d"attendre la réaction de ses 2 amis et partit subitement on ne sait ou!  

 Aprés avoir griffoné un morceau de parchemin qu"il remis au soldat, ce dernier se releva et gagna en titubant la sortie et sur le pas de laporte il se retourna et levant le verre de rhum qu"il n"avait pas laché déclara �  l"assemblée :
"Vide le Grosverneur ! (hips) Vite..heu non..ViVE les parits, (hips)heueu..Non, les pirales..non plus...vives vous autres !". La porte se referma.Après quelques tournée de rhum, le capitaine De Chollet dit au capitaine Rutabaga :" Hé bien , le pauvre garçon en tiens une aussi belle que la notre ! Mais je doute qu"il trouve son chemin jusqu"au palais du Gouverneur! Ha Ha! " Se retournant pour partager l"avis du capitaine Chocolate, De Chollet trouva le capitaine De Genève assis �  sa place, il s"en étonna :" Tiens, vous ici ! Quel vent vous amène ?"

Modifié par calvin le 21/01/2006 22:28:10

Modifié par calvin le 21/01/2006 22:29:07

Modifié par calvin le 21/01/2006 22:29:51

Modifié par calvin le 26/01/2006 21:32:35  

 le capitaine chocolate revint quelques heures plus tard dans la  taverne !capitaine de chollet ça y est j"ai réussi �  voir le gouverneur il m"a dit qu"il allait arranger cela avec le sergent ils ont retrouvé le vrai coupable: un ivrogne qui était anglais je crois!l"affaire est réglée!mais présentez moi �  ce capitaine que je ne connais point!  

 "Un vent mauvais !" répondit le capitaine De Genève. Ils se pencha vers De Chollet :" Ami, je crois que l"on en veut �  ta peau...laisse moi te conter une histoire..voila, après que le capitaine Nanar Le Noir eut rendu son repas sur ma chemise, je m"en retourna sur mon navire pour me changer....je m"apprétai �  monter �  bord, lorsque surgit de nul part une jeune fille apeurée, elle me bouscula puis disparu dans la nuit, j"observait quelques secondes puis monta �  bord de mon vaisseau...du haut de celui-ci j"entendis des bruis d"armures, je me pencha discretement...des hommes en armes, torche �  la main, parcouraient le quai...visiblement ils cherchai quelqu"un.." Il se redressa et regarda le capitaine Rutabaga en fronçant les sourcils : " Qui est-ce ?"  

 oui ce sont les hommes du sergent le gouverneur m"a dit qu"ilk allait s"occuper du sergent demain matin en attendant celui ci essaye de nous tendre une embuscade ! voici le capitaine rutabagua un de nos amis!  

 Le capitaine De Chollet écouta avec assiduité son ami. Il le rassura : " Ne t"inquiètes pas, le capitaine Rutabaga est de nos amis ! Tu peux parler sans crainte... et voil�  le capitaine Chocolate !". De Genève les salua tour �  tour. Après avoir commander du rhum, les quatres hommes prirent place pour écouter la suite du récit du capitaine De Genève.

Modifié par calvin le 21/01/2006 23:11:20  

  le jeune chocolate qui avait bien écouté son maitre �  la cour de france fit sa plus belle révérence de vant le capitaine j j de genève!  

 le jeune chocolate dans l"impatience de la jeunesse pressa le capitaine gnève de continuer son récit car il était curieux d"entendre la suite!  

 " Allons Chocolate! cesse donc de faire le pitre, nous sommes loin des fastes de la cour du Roy ! assied-toi et écoute donc !"  

 oui mais votre ami est bien long à nous faire entendre la suite !dit il à de chollet tout bas!  

 sur ce le jeune capitaine se reprit une chopine de rhum!mais son second qui était son frère de lait lui fit entendre raison et lui prit des mains la chopine !le jeune chocolate reprit ses esprits!  

 " Amis, je ne sais si les hommes que j"ai vu étaient ceux du gouverneur comme semble dire le sieur Chocolate, mais une chose est sur, l"homme qui les commandait... je les croisé pas plus tard qu"il y a quelques minutes en venant vous trouver !" Le capitaine De Genève observait une pause pour avaler cul sec son verre.  

 le sergent non?  

 les capitaines toisèrent du regard Chocolate. De Chollet �  Chocolate : " Milles sabords !, laisse donc De Genève parler ! Ventrebleu  Rutabaga n"a tu pas dans ton attirail quelque chose pour le faire taire !"  

 oh calmez vous!:  

 Un ange passe. De Genève brisa le silence :" L" homme dont je vous parle se trouve �  deux ruelles d"ici...un homme �  la mine patibulaire... il était entouré de deux hommes de mains qui semblaient maintenir un troisième larrons qu"ils venaient de désarmé...ils le rouaient de coups pendant que leur chef lisait un morceau de parchemin..." De Genève pris la bouteille de rhum qui se trouvaient devant lui et remplit les quatres verres de son public, il ajouta : " Attendez...car le pire est �  venir !"  

 Le capitaine De Chollet trépignait d"impatience. Le capitaine De Genève prenait son temps entre chaques verres de rhum... Bon sang se dit-il intérieurement, mais qui peut bien m"en vouloir au point de fomenter ce complot ? Que fesait la fille cadette du tenancier prêt de mon bateau, s"y rendait-elle ? et cette missive adressée �  son nom, peut-être était-ce un faux ou une invention ! Le rhum aidait peu �  la concentration. Manifestement on voulait lui faire porter le chapeau de ce meurtre et le sergent de la garde avait un comportement bien étrange ? Le Gouverneur, au dire du capitaine Chocolate, avait son assassin...alors pourquoi tendre une embuscade ? cela n"avait pas de sens. Le capitaine De Genève avait surement encore d"autres révélations �  faire...De Chollet le pressa :" Par tous les Diables ! Parle De Genève....dis nous ce que tu as vu !"    

" OUI par sang bleu ! "

Nous t"écoutons.....  

 messire de genève s"est assoupi ce doit etre le rhum qui lui fait cet effet là!  

 Le capitaine De Genève repris ses esprits :" Excusez moi mes amis...mais je revois le visage de ce jeune homme...il devais avoir �  peine plus de 18 ans...". Il avala cul sec un autre verre...et repris son récit :" Je failli intervenir, hélas au même moment d"autres hommes portant des torches entourèrent leur chef qui semblait fort énervé...il jurait et devenait rouge sang... il criait au visage du jeune homme effrayé qui implorait sa pitié...�  cette distance et dans la pénombre je ne comprenais pas toute la discution, puis tout �  coup le chef lui enfonca dans la bouche le morceau de parchemin...il sortit une dague  et l"enfonça dans le ventre du malheureux dont les yeux sortaient de la tête. A la lumière des flambeaux, je le vis tomber �  genoux...j"essayais de me rapprocher sans me faire remarqué.Un des hommes le poussa du pied et le corps du jeune homme s"affala sur le sol. Ils discutèrent entre eux et disparurent dans le noir... Je m"approchai �  pas de loup du corps recroquevillé, quand soudain il fut pris d"un soubresaut..je me précipitais pour le secourir...je le retournai. Il avait toujours ce parchemin dans la bouche, je le lui retirai, du sang coula de sa bouche. Les yeux grands ouverts, il tentait de me dire quelque chose. J"approchai mon oreille..." De Genève repris un autre verre qu"il porta �  sa bouche et marqua un temps d"arrêt. Les capitaines se regardèrent, De Chollet semblait soucieux...

Modifié par hobbes le 23/01/2006 23:06:40  

 continuez mon ami continuez ! et arretez la boisson!  

 Le capitaine De Chollet écoutait avec concentration son ami De Genève, soucieux, il l"était. Des questions restaient sans réponse...la seule chose sur laquelle il ne doutait point , était qu"il pouvait compter sur ces amis assis �  cette table, cela le rassurait. De Genève allait leur révélé ce que le jeune soldat lui souffla �  l"oreille avant de trépasser...  

 Oui mais quand le révelera t il ?  

 De Genève sortit de sa manche un bout de parchemin taché de sang. Le capitaine Chocolate le reconnu de suite, il s"agissait de son écriture... ce parchemin était celui qu"il avait remis plutôt �  son jeune ami. Le gouverneur n"avais donc pas connaissance de ce qui se passait en ces murs.  

 Le capitaine De Chollet regarda De Genève dans les yeux et lui dit de manière forte : " Vas-tu nous dire enfin ce que tu sais ! parle, je suis impatient de savoir comment nous allons nous sortir de ce traquenard !"  

 Le capitaine De genève se pencha vers De Chollet :" Mon ami, ces dernières paroles furent les suivantes.. l"Albatros.. ils vont prendre l"Albatros..."
Le capitaine De Chollet resta bouche bée, les yeux injectés de sang, il se leva avec fracas, soulevant la table et renversant sa chaise.  

 Le capitaine chocolate contenant son émotion sortit dehors pour lacher ses sentiments �  l"abri des regards des capitaines!Et ne pouvant se contenir il partit �  la recherche du corps de son jeune ami !Trois quarts d"heure  plus tard il revint �  la taverne tenant dans ses bras le corps de son ami !Le  jeune chocolat était couvert de sang de la tete aux pieds une longue estiflade lui barrait la joue et ses vetements étaient semblables �  des loques !Il s"évanouit alors et se réveilla deux minutes après grace au seau d"eau que le capitaine rutabagua lui avait jeté �  la figure!J"ai rencontré 5 soldats qui se sont rués vers moi j"en ai assommé 2 et tué 3 demain je trouverai le moyen de reprendre mon bateau et je quitterai les caraibes pour quelques jours le temps de ramener mon jeune ami en france ou il aura une tombe digne de son nom!  

 "Si Dieu te prète vie assez longtemps Chocolate ! Pendant ton abscence certaines langues ce sont déliées..." Le capitaine De Chollet parcouru du regard la salle, il ajouta :" Des hommes de la garde �  la solde du sergent sont postés devant nos batiments...je pense qu"ils nous y attendent....Corne du Diable, je m"en vais mettre le feu dans cette ville ! Il faut trouver un moyen de remonter �  bord.." Le capitaine De Chollet alla directement se servir derrière le comptoir, le tenancier était toujours en proie �  la douleur de la perte de sa fille. Il releva la tête et �  la vue du capitaine De Chollet il s"agrippa �  son bras, des larmes plein les yeux :" Vengez ma fille é yé vous donne la main dé sa seur, Puta Madre, yé dé l"or por ceux qui mé donne la tête dou sergent, 500 pièces !" De Chollet repoussa le vieil homme, l"odeur était insoutenable et lui dit ." Ne t"inquiète pas futur beau-papa mais reste �  distance, j"ai peur que ton parfum nous fasse repérer!".Il ramena deux bouteilles de rhum �  la table des capitaines francais et leur adressa solennellement : " Mes Amis ! l"heure est grave, je n"ai pas l"intention de mourir dans cette taverne pourrie et dans ce coin de la Caraïbe...Je compte bien repartir avec  l"or du tenancier et sa fille en prime ! Qui est avec moi ?"  

 Vous avez mon soutien et ceux de tous mes hommes c"est à dire  81 bonnes ames!  

 A la suite du capitaine Chocolate, De Genève ajouta :" Mon sabre est �  votre service !". Les capitaines se tournèrent vers Rutabaga...  

 Le capitaine De Chollet posa sa main sur l"épaule de Rutabaga :" Ami je connais ta valeur au combat ! Je serai rassuré de te savoir �  mes cotés !"  

 il sera à nos cotés!!!!!!!!!!  

 Le Capitaine Rutabaga fixa les trois hommes...

"Je Vo¨)s Remercie par tant De °°µ*=Hardiesse°°"

 "ma Mödeste Frég@te est �  votre disposition.."

J"ai remplis mes cales,Vian¨des Sèchées;;
                             Du riz, des poules,
                             4 .T de Salpêtre.
                             Du Matos de l"Amidon,
                            Des faucons pour
                           chasser Les poïssöns völänts]°
                          17 Mousquets tout neufs
                         Bariques d"eaux et De Boutanches.
                       8 chauves souris Voyageuses...POur
                     Un contact hebdomadaire des nouvelles
                    De la côte....
                  J"ai également prévu un rationnement plus
                 Drastique sur mes troupes (:() car la dernière
                Avarie nous a causé bien des surprises..."

Et il se retournant vers ses matelots...  

les matelots gromellèrent  -"ET méfiions nous des récifs!!"
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µMais tous finirent de Grémir
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de L"or.. bien sûr, mais aussi des sensations fortes...



Ou des désirs exquis....

..

un sourire s"était illuminé sur la face du capitaine Rutabaga.....Belle aventure en effet!.....
Chocolate adonna un coude dans ses côtes..

Le capitaine Rutabaga se repris et
Se Retourant vers ses compères :

 " Alors où Allons nous ? "
 

Modifié par simon le 29/01/2006 20:27:02  

 Le capitaine De Chollet , et ce malgré la fatigue d"une nuit fort agitée, eu comme une bouffée d"ivresse, ces frêres d"armes l"entouraient, il déclara : " Mes Amis, le jour vas bientôt se lever...peut-être sera-t-il le dernier...sachez que je suis heureux et fier d"avoir fais votre connaisance.." le verre de rhum levé, le capitaine De Chollet versa quelques larmes.
Tout �  coup, la porte de la taverne vola en éclats et des hommes en armes firent irruption. Ils n"avaient rien de soldats, leur tenue et leur aspect faisaient penser �  quelques mercenaires...les marins présents au comptoir se massèrent derrière la table occupée par les capitaines francais, d"autres aux quatres coins de la taverne se tenaient prêt �  intervenir. La tension était palpable. Des agresseurs, trois hommes s"avancèrent de front, sabre et rapières �  la main...le sang allait couler !

Modifié par calvin le 29/01/2006 22:11:43  

 Le capitaine De Genève leva son pisolet �  silex vers le plus proche des bandits. Le coup retentit, l"homme s"écroula sur place, De Genève lacha son arme, puis dans un geste ample il sortit de son dos deux pistolets identiques aux premier. Il fit �  nouveau feu en direction des assaillant, maintenant sur eux. A bout portant l"un des hommes eu la machoire arrachée, le second, touché au bas ventre, se vidait de son sang. Les envahisseurs semblaient supérieur en nombre, l"un d"entre eux dépassait de plusieurs têtes, ils portaient tous des armes blanches. Le corps-� -corps semblaient inévitable...ces hommes étaient l�  pour tuer.

Modifié par hobbes le 30/01/2006 21:47:17  

 Les capitaines francais s"écartèrent pour faire face. De Chollet hurla : " Goutez �  mon sabre ! Bande de macaques ! Ha Ha Ha !" . Devant lui se dressait le géant et �  ses coté un homme au visage balafré. D"un mouvement  De Chollet évita le sabre du petit qui vint se planter dans le comptoir, De Chollet en profita pour botter le cul de son adversaire et celu-ci alla se vautrer dans les tabourets... Le géant bénéficiant de l"inatention du capitaine se jeta sur lui. De Chollet para le coup, mais ce dernier fut d"une telle violence qu"il recula de trois pas. Le géant donna de haut en bas. Le capitaine De Chollet brisa son arme et se retrouvait mains nues. l"homme avança, De Chollet était dos au mur, il ferma les yeux. Rien, uniquement le bruit des armes qui s"entrechoquaient, les râles des hommes blessés ou mourrants...il ouvrit un, puis deux yeux. Le géant était couché �  ses pieds, face contre terre. levant la tête il découvrit Eléonor d"Absynthie (voir pages précédentes), la fille du tenancier, une dague éfilée �  la main. Le sang coulait de sa pointe. De l"autre main elle lança au capitaine une rapière en lui disant dans un sourire : " Vous en aurez encore besoin !". Autour de lui la bataille faisait rage, l"issue restait incertaine. Au milieu de la cohue, il vit le capitaine Chocolate faire démonstration �  deux gueux de l"art de l"escrime. L"un fini la gorge tranchée, d"ou sortait du sang �  gros bouillon, et l"autre transpercé de part en part. De l"autre coté, le capitaine Rutabaga avait fort �  faire, trois hommes tournoyaient autour de lui, mais son expérience lui permettait d"esquiver et parer chaque attaque des adversaires. De Chollet se porta �  son secours, la belle Eleonor se réfugia derrière le comptoir. Si il eu un moment dans la vie du capitaine De Chollet aussi intense, il ne s"en souvenait pas. Pas de doute... il était né pour cela, ses yeux brillaient. Il attrapa l"un des hommes et par derrière le saigna...l"odeur qui régnait �  présent les rendaient furieux. Leur forces décuplaient. Ils tranchaient et découpaient les corps. D"autres hommes entraient dans la taverne découvrant avec effroi ce qui semblait être l"antichambre de l"enfer...tel les Chevaliers de l"Apocalypse, nos capitaines pourfendaient leur ennemis, massacrant  les nouveaux arrivants... Puis se fut le silence. Au milieu des corps enchevêtrés, quatre hommes se tenaient debout. Le capitaine De Chollet s"inclina devant ses frères d"armes. Mais la bataille n"étais pas finie, comme les vagues, quelques hommes firent irruption...�  nouveau...  

 Le capitaine De Genève salua �  son tour et se tournant vers les assaillants déclara :" Voila encore de quoi nous amuser !". Les hommes semblaient hésiter, les plus téméraires d"entre eux approchèrent. En tout une dizaine, de constitution robuste, et savant mieux manier les armes que les prcécédents. Quelques hommes sortaient des blessés par les cuisines, d"autres rampaient vers la sortie laissant derrière eux une trainée de sang. "Voyez ces pleutres, le nombre ne suffit pas ! faut-il encore savoir se battre ! Allez donc retrouver votre commanditaire et dites lui de trembler, car son heure �  sonné!" ajoutant le geste �  la parole, De Genève bondit en avant et prenant appui sur une chaise, puis une table, sauta par dessus les hommes du sergent, pour leur couper la retraite. De Chollet et Rutabaga contournèrent chacun le groupe d"hommes. La situation était surprenante...quatre hommes encerclant dix individus.    

  aprés avoir entendu des bruits de combats richard wagner entre dans le bar!!!et sous la vue de la bataille qui rage devant lui il sort son épées prés �  bondir sur le moin dre individu qui s"approcherais avec des pulsions un peu trop meurtriéres!!mais voyant 5 personnes malmener 10 marouffle il s"exclama:"ha ha ha!c"est bien triste de ce f  

 aprés avoir entendu des bruits de combats richard wagner entre dans le bar!!!et sous la vue de la bataille qui rage devant lui il sort son épées prés �  bondir sur le moin dre individu qui s"approcherais avec des pulsions un peu trop meurtriéres!!mais voyant 5 personnes malmener 10 marouffle il s"exclama:"ha ha ha!c"est bien triste de ce faire malmenner comme sa!!!puis-je me joindre a vous afain de les botter le gosier?" de collet lui repondi :" avec plaisir nous ne serons pas de trop avec vous a nos cotés!" a ce moment richard se plaça aux coté de Dechollet!
les 10 hommes prit en tenaille étaient de plus en plus blême!mais aprés ce moment d"égarement ils repprirent confiance en eux et attaquèrent!!a ce moment avant que personnes n"ait eu le temps de réagir wagner sortie son pistolet et décocha un balle qui alla se loger en pleine poitrine d"un des assallants dons le corps inanimé s"éffondra sur la sol déja tempé de sang!!!les 6 braves se jettérent dans la masse des attaquants!!!


les tête allés sauter!!


   

 le jeune chocolate  s"élança son sbre en main et transperça 2 de ces mecenaires !  

 Dans la mêlée Rutabaga a fait tombé son fusil......

S e R Courant d"air et D"ACIER:::::

cours �  son trépas!!
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Modifié par simon le 01/02/2006 19:52:12  

 Tout fut réglé avec rapidité et précision. Avec l"aide du capitaine Wagner, les mercenaires du sergent furent taillés en pièce. Chaques capitaines essuyaient les lames sur les vêtements des corps allongés. Le capitaine De Genève allant récupérer ses pistolets, remarqua un des hommes du sergent encore vivant, il interpella De Chollet :" Sieur Etienne, en voila un qui n"�  pas eu son compte !". L"homme au visage balafré reprennait ses esprits, De Genève désarma  ce dernier et posa son sabre sur la gorge. "Désirez vous lui poser quelques questions avant que je le saigne comme un pourceau ?" De Chollet s"approcha...  

 De Chollet observa l"homme tenu par De Genève, l"homme tremblait..."Dis moi combien d"hommes se trouvent sur le port ?". L"homme ne répondit pas, de grosses gouttes de sueur perlaient sur son visage. "Parles tu francais ?". L"homme ouvrit grand les yeux et d"un geste du menton répondis par la négative. "Bien, dans ce cas, tranche-lui la gorge ... " Il n"eut pas le temps de comprendre, De Genève enfoncait son sabre, un flot de sang jaillit de sa bouche et De Genève, dans un rictus, ajouta : "Adios ! Cabron !". L"homme se tenant des deux mains le cou, tomba �  genoux. Le sang innondait ses habits et il tomba en avant, De Chollet lui cracha dessus " Vas au Diable !".  

 chocolate ne regarda pas ce spectacle affreux car un homme aussi espagnol soit il ne mérite pas ce sort toutefois il fut joyeux de voir qu"il était enfin libre de ses mouvements!" mes amis merci ! Je repars en france avec le cadavre de mon ami �  enterrer!Je reviendrai soyez en sur !" puis il s"agenouilla prit dans ses bras le corps du soldat qui venait d"etre transpercé sortit dehors creusa un trou mit l"homme dans un drap et le déposa dans le trou puis il reboucha le trou et mit une croix au dessus de la tombe!fit son signe de croix et rentra dans son bateau !Les capitaines le virent s"éloigner �  brod de son bateau puis bientot n"aperçurent plus le bateau qui était trop éloigné!  

 Après le départ du capitaine Chocolate, la taverne fut nettoyée et les hommes encore présent s"en retournèrent �  leurs bouteilles.Assis �  une table, un peu �  l"écart, nos capitaines se remettaient de leur exploits. De Chollet pris la parole :"Si le capitaine Chocolate a pu reprendre la mer, c"est que la voie est libre...je m"en vais vous quitter mes amis, je vais essayer de retrouver ce sergent et lui faire gouter �  quelques tortures bien de chez nous...Ha HA HA !..Voil�  ma dernière tournée...Beau-papa sert �  ses gentilhommes ton meilleurs rhum et je te promet de te ramené la tête du sergent!". Au moment de partir le capitaine De Chollet salua  les capitaines Rutabaga et De Genève avec révérence et leurs dit :"Adieu mes amis ! Je ne vous oublierai jamais..Que Dieu dans son infinie miséricorde vous prète longue vie..peut-être nous retrouverons nous en Enfer ! Ha HA HA!". La porte de la taverne se referma.  

 Le calme était revenu. De Genève était fatigué, se tournant vers Rutabaga il s"excusa de quitter la table de la sorte, mais tous ces combats avait eu raison de lui. Il avala d"un trait son dernier verre, et d"un pas hésitant, traversa la taverne. Il croisa les regards des filles du tenancier et leur décrocha un clin d"oeil "Nous reviendrons vous trouver mes Belles ! Et sii De Chollet ne tient pas parole je serai vous le faire oublier..". Il disparut �  son tour pour rejoindre son équipage et voguer vers d"autres aventures...  

 le capitaine rutabaga se tourna vers rutabaga et lui lança d"une voix rocque" alalala belle bataille!!!tu es un fin escrimeur crois moi!!!j"ai longtemps voguer les mer pour affronter un capitaine comme toi!!" et rutanaga lui répondi " on peut en dire de même pour vous et vos réflexes!!!mersi encore"et a ce moment richard wagner se diriga vers la porte d"entrée et cria d"une voix assuré je vais cherché mon équipage nous resterons 3 jours dans cette humble auberge!!

il partis et revint avec 28 marins !!!peux nombreux mais les plus vaillant loup de mer qui n"est jamais existé!!il s"installérent  tous ensembleet richard raconta a ses hommes le combat qui venait de se livrer une heure plutot!tous rirent et commentaires chaques moment du récit palpitant!!!ils restérent l�  plusieurs heures a parler sans cesse en picolant divers alcool!!jusque au moment oû un homme ténébreux entra dans la taverne!!

quelle péripécies allé encore se passé dans ce bar?  

 6 mois plus tard un jeune homme mal rasé �  la peau bronzé et tanné par le soleil , habillé de vetements comprarables �  des haillons et portant une balafre sur le visage débarqua dans la taverne et s"écroula par terre!Un caapitaine se précipita vers lui et l"amena dans son bateau pour l"y soigner !Ce capitaine vit sur le dos du malheureux des traces de fouet et posa un onguent sur ces plaies.Pui curieux regarda l"anneau que portait le jeune homme !Il y avait inscrit dessus : Enguerrand de Marigny officier de la marine royale!Il ne put croire cela !Plus tard le jeune homme se réveilla et raconta ses mésaventures au brave capitaine qui l"avait aidé .Il était revenu en France et après avoir accompli sa tache repartit mais en chemin il fut fait prisonnier et devint galérien sur une galère barbaresque  pendant 6 mois mais  u n jeune prince arabe le prit en pitié et le fit partir en cachette �  bord d"une petite barque mais cette barque fit naufrage près de la cote et il dut nager pendant 2 h puis un bateau européen le prit �  son bord et le déposa ici dans ce petit port!Après avoir terminé son récit le jeune homme se rendormit épuisé!  

 Le capitaine OLantoine débarquait soudain �  l"improviste dans la taverne. Hautain et belliqueux, il avait encore sa défaite de la veille dans sa tête. Escorté de son second et de son Bosco, et de quatre solides Gallois, il prit une table.
Commandant 7 bières fraîches, il évoquait sa patrie d"origine et parlait joyeusement avec ses officiers. Les pirates �  côté entendaient des bribes des morts tels que "pillage", "trésor", "richesse incomparable" et "gloire".
Cela évoquait l"intérêt des frères de la côté qui se rapprochaient insensiblement...  

 Le capitaine Rutabaga s"approcha de la tablée:

"Milles excuses mes seigneurs, mais j"ai toujours une oreille qui traine pour les bons plans,"

"Existerait-il encore un moyen de faire fortune dans ces eaux si dangeureuses?...."

"Mon équipage et moi-même sommes impatient de frayer le sillage d"un butin heureux car cela fait trop longtemps que la mauvaise fortune nous suit comme un charognard sur la dépouille d"un gnou dans la savane Africaine...."

"Seriez vous prêt �  m"en dire d"avantage?"  

 "Hein quoi? Répliqua le capitaine OLantoine....
Se sachant démasqué, il entreprit de s"expliquer...:
-Lors d"une longue et périlleuse traversée, nous tombâmes sur un îlot inconnu... Après un rude combat contre un galion de ces chiens d"espagnols, qui tuèrent la moitié de mes troupes, nous étions assoiffés, et le ventre vide. Apercevant un ruisseau et des cocotiers, je décidai de faire une halte... Nous nous restaurâmes et bûmes avidemment... Soudain, alors que nous étions allongés sur la plage, une horde de sauvages déferla sur nous, armée de lances et d"arcs.   Nous fûmes massacrés. Seuls quelques-uns d"entre nous parvinrent �  rejoindre notre manowar qui mouillait non loin de l"endroit. Moi et mes lieutenants, furent, pour notre part, capturés. Je m"attendais �  trouver des cannibales ou des indiens féroces, et j"eus une bien grande surprise:
A travers la clairière, il y avait un immense puits d"où l"or scintillait... Mais en regardant plus bas, je vis des hommes de race blanche, qui remontaient  

 Un Géant fit soudain irruption dans la taverne avec quinze gros espagnols armés jusqu"aux dents!