Titre: une menace bien lointaine. Posté par: scar le 31 Décembre 2008 à 12:37:45 Le port était comme toujours en pleine activité sous un soleil écrasant. Les quais étaient envahit par les mouettes et autres oiseaux marin qui espéraient pouvoir prendre une petite part de la pêche, alors que les filets étaient étallés sur les quais et que les pêcheurs en retiraient les poissons.
Le paysage bien que coloré était principalement de deux couleurs: le bleu du ciel et de la mer et jaune: le jaune de la salissure des murs en chaume et boue, le jaune du sable qui recouvrait par fine couche les rues pavés ou en terre battu. Dans un petit palais entouré d'un mur protégé � l'écart de la ville, dans le salon, salle ouverte et aéré décorée de fresque multicolore et de mosaïque de paysage, deux hommes discutaient assis en tailleur sur des coussins en soi rouge. Le premier assez âgé, avec une barbe fine et grise parlait lentement, le second un guerrier � en voir les marque sur son visage et le cimeterre � sa ceinture de gros cuir, l'écoutait en mangeant quelques dattes. Il regarda le vieille homme et dit. - Tu sais très bien que je ferais cela gratuitement, je payerais même pour le tuer. Dit en écrasant la datte qu'il tenait dans ses mains, le jus s'écoula lentement d'entre ses doigts. J'irais et je te ramènerais sa tête. - j'espère bien, j'ai vieilli prématurément � cause de lui! Mais j'aurais le plaisir de le savoir mort avant moi. C'est certain, nous avons retrouvé un de ses navires � Madagascar. les marins avant de mourir sous les tortures nous ont dit qu'il était mort mais leur capitaine est bien en vie. C'est ce qu'� affirmer un capitaine anglais que tu as capturé... - En effet, Grand Mogol, il est encore en vie mais cela ne vas pas durer. J'ai fait armer ma Polacre et le chébec du capitaine Aydfa Yassirim. - Va Saad et apporte moi de bonne nouvelles. L'homme se leva et salue le Grand Logol puis avec un sourire sadique au visage ajouta. - Elles seront très bonnes surtout grâce � votre information, je vais déj� faire un tour chez le vieille Imam Abdelkouheim. Les deux hommes rirent, Saad quitta la pièce d'un pas lourd et violent. |