Titre: Trois jours de suvie Posté par: Malouk le 06 Avril 2010 à 19:41:11 Cel� faisait trois jours déj� que Maria avait accosté � l'est de la Célèbre île de la Tortue !
Son ami le prêtre était parti en ville pour ses affaires ... pas très orthodoxes, et avait emmener avec lui son chien. Leurs adieux furent poignants. D'abord, il se cacha dans la végétations, ayant oté tout habit qui pu trahir son odeur d'homme aux animaux sauvage. Il s'était enduis le corps d'algues, et de charogne ... on aurait dit un monstre décharné. Il grimpa � l'arbre que son chapeau avait choisi et resta tapis dans le feuillage jusque au soir, hululant ridiculement. Il attendait qu'un oiseau se pose � côté de lui afin de le capturer. Tandis que la lune du premier soir éclairait la plage, Maria se rendit compte que ce qu'il venait de faire n'avait servi � rien, et que maintenant il puait, avait faim, et était coincé dans son arbre ! Finalement, il put trouver le sommeil et se nourri de mouche qui ne voulaient plus le lâcher. Au matin du deuxième jour, il essaya d'élaborer un plan pour descendre sans encombre et réfléchi longtemps ... Au soir du deuxième jour, il se rendit � l'évidence, il fallait sauter ! Et il sauta. Il se brisa une jambe, en faite non, les deux, en faite non, le fumier qui l'entourait avait amorti sa chute. Il passa la nuit sous son arbre, manger de petit insectes rempants qui lui firent regretter la cyme de son hotel ! Au matin du troisième jour, il chassa des crabes et put enfin manger ! Certes, ne sachant faire du feu, il dut manger les crabes vivant, et qui a déj� essayé sait que l'intérieur d'un crabe est liquide tant qu'il n'est pas cuit ! Au soir du troisième jour, il était malade. Alors qu'il se tordait de douleur, il teint ce discours � son pauvre chapeau : AAAaaah ! Bartholomeo ! Perché ? l'atlantique ... pouf, facile ! ... Mais Mourir pour un crabe, ou deux ! Les mécréants seront bien heureux, d'ailleurs, je sais qu'ils m'observent !... Je les entends ... ILS RIGOLENT ! AH non ! ce n'est que l'ombre immense qui se joue de moi ... C'est beau un Bartholomeo ? Boarf, tu n'as jamais était attentif � ma poésie ! Mon ami, je crois que s'en est fini ! Mais qu'ouï-je ? Est-ce l� le glas de la mort, les trompettes célestes du gardien qui sonnent la fin de leur bien aimé Maria ? Où est-il se conquérant macabre, que je lui crache � la figure, ce n'est pas aujourd'hui qu'un crabe me fera tressaillir ! Où est-il se conquérant macrabe ! ... AH ! ne perdons pas notre humour mon cher ! Il commenca alors � se remuer dans tout les sens, comme s'il brandissait une épée. Cependant, il n'avait pas tout � fait tort ... quelqu'un était bel et bien en train de le surveiller ... Tapis dans l'ombre, quelque chose regardait Maria avec pitié et incompréhension. |