Forum Age Of Sea Dogs

Doroit était arrivé avec son escorte �  Genade.
Il s'empressa d'aller rapporter la lettre anglaise aux gouverneur:



A la lecture de cette lettre,le gouverneur fut pétrifié et terriblement affolé.[/i]

- Pourquoi ne les avez vous pas attaquez capitaine !  dit le gouverneur sur un ton d'accusation.

- Ils étaient 4 fois plus nombreux que nous et si nous étions mort nous n'aurions pas put préparez la défense de l'île. riposta Doroit

Le gouverneur avisa, il écrivit des lettres aux gouverneurs français des alentours qui seraient amenés par aviso rapide.

Les français devaient défendre Grenade si il ne voulait pas voir Sainte Lucie tomber par la suite.Grenade eut d'important arrivage de marchandise et d'or provenant de Louisiane.Sainte Lucie elle était un endroit de stockage des lingots d'argent,d'or et surtout de plusieurs millions d'écus.

Pour la survie des français aux Antilles,Grenade et sainte Lucie devaient restés sous le contrôle français

Doroit et les quelques capitaines sepréparèrent �  la défense de Grenade sachant que s'ils ont aucun renforts le mois prochain il seront tous massacrer.  

Suite a l'annonce de l'attaque prochaine des Anglais sur Grenade; L'ile fut en pleine effervescence.Nombreux furent les bateaux a quitté le port si bien quand quelque jour il ne resta que des bateaux de guerre qui étais gourmand en homme. Ça Yohan le savait bien et il comptais bien se faire recruter dans un de ces navires, un des ces amis lui avait recommandait le capitaine Doroit un corsaire français qui été présent pour défendre la ville.

Pourquoi pas? pensa Yohan.Si sa ma permet de m'échapper de cet ile et surtout de ce receleur. Surtout que j'ai un bon Cv 3 ans sur un galion L'astrolabe commander pas ce foutu Capitaine Jouan un satanée normand Puis j'ai fait 2 ans dans la garnison de Grenade . Bon a chaque fois je me suis fait jetai a cause de broutille mais cet fois je vais réussir a me faire prendre et a rester.

Pendant que yohan se perdait dans ces pensé il arriva au port, ou de nombreux autres pirates et flibustiers s'étaient réunit pour la même raison que Yohan
   

A Grenade un bureau de recensement pour la protection de la ville avait été ouvert, mercenaires flibustiers déserteurs même des pirates en voix de redemption était l� .

Doroit s'approcha du bureau il chercha des matelots �  recruter.Soudain il fit un jeune homme,ce gars ferais surement l'affaire s'ccorda de penser Doroit.


- toi là bas ! dit Doroit en montrant Yohan du doigt

Il lui demanda d'approcher. Ce qu'il fit avec un pas assurer,ce gars plaisait bien �  Doroit.

- Présentes toi matelots  ordonna Doroit  

Yohan arriva devant le corsair fier d'avoir été interpelé par le capitaine en personne

Je m'appelle Yohan Kérulan Capitaine. je suis un ancien matelot,j'ai naviguer pendant 3 ans sur le galion du Capitaine Jouan. Et j'ai fais 2 ans dans la garnison de Cette ville J'ai été remercié pas manque d'argent pour me payer ma solde . Je souhait faire parti de votre équipage pour défendre la ville et pouquoi pas etre dans l'équipage a part entière .je me débrouille bien avec un coutelas et je sais tiré au pistolet et je peux faire pas mal de truc sur le navire a part cuistot a moins que vous ne vouliez que l'équipage soient malade.Dit il en riant
   

Lerequin avait entendu parler de la future attaque de Grenade, il se dépêcha d'y aller, voila l'occasion de donner un image plus flatteuse de lui, il laissa ses marins boire �  la taverne en attendant l'attaque et alla s'inscrire...
"Nom?Prenom?
-Irvin Lerequin
L'homme sortit son pistolet et le pointa sur Lerequin, qui pointa aussitôt le sien sur lui, les deux hommes se régarderent dans les yeux pendant plusieurs minutes, jusqu'a ce que un officier arrive.
-On se calme, dit l'officier, quel est le probléme?
-Lerequin est ici, il est recherché pour milles piéces d'or par la couronne Française...
-On s'en fiche, tant qu'il peut être utile, peut-être que le roi lui pardonnera si il sauve la ville, et si il meurt et bien...on n'aura plus de probléme avec lui...
Les deux hommes rengainérent leur pistolet en même temps, Lerequin partit en dévisageant l'homme...
Il se rendit �  la taverne et commanda un rhum, un ivrogne vint l'agresser, celui-ci sortit un couteau en défiant Lerequin, il prit son pistolet et lui tira dans la main pour le désarmer, il se jeta ensuite sur lui, le ruant de coups...
   

Pillant sans cesse des galions anglais remplis de marchandises en tout genres, fut bien vite au courant de l'attaque imminente des anglais sur le prot de Grenade. Naturellement, il se rendit au port pour découvrir se qui se tramait. Et c'est une vrai fourmillière qu'il trouva: marin, flibustiers, corsaires du roy, marchands en tous genres s'affairai �  quitter le port, ou �  y rester, en préparant quelques sommaires defenses. C'est alors qu'il remarqua un attroupement de diverses marins devant un batiment, et il se rendit sur les lieux pour en savoir plus...

Il découvrit que c'était un bureau de recrutement pour préparer la défense du port, et se dépécha donc de s'inscrire.

Un officier lui demanda alors:
-Nom, prénom
-Lovecraft, c'est comme ça qu'on m'appelle...
-Mais dis moi... avec un nom pareil tu serais pas un de ces chiens d'anglais?
Lovecraft esquissa un sourir.
-On me connait mieux sous le nom de.. L'artilleur!
l'officer restait bouche bée... comment aurait-il cru qu'un capitaine aussi connu allait rejoindre les rangs des defenseurs du port?
Le capitaine s'impatientait...
-Alors vous avez besoin de moi, oui ou non ?!

Le soldat lui tendit le registre et une plume. Lovecraft signa, il s'était engagé.

Edit: bon rp mais fait toi un perso stp ;) sinon juste pour te dire que ton capitaine étant donné qu'il est nouveau n'a quasiment aucune renommée, tu as dit qu'l était super connu il peu l'être que si il fait partie des capitaine de la Garde de Grenade
kevin26703  

Le combat tournait �  l'avantage de Lerequin, les gens autour d'eux les encerclaient, maintenant c'était la mort pour l'un des deux combattants, Lerequin avec sa grande agilité esquiva l'ivrogne sans probléme, il lui mit un coup de pied dans le ventre et un coup de poing dans le nez, on entendit un grand craquement, Lerequin s'approcha de l'ivrogne pour lui donner le coup de grace avec son sabre, il le lui planta dans le ventre...
Lerequin se dépoussiéra et fis signe �  ses marins de le rejoindre sur son bateau...  

Doroit alla justement vers la taverne, il entra et vit le capitaien Lerequin.

- Vous êtes une nouvelle recure ? demanda Doroit

- Un assassin un ban..hips...dit une fripouille oui ! hurla l'ivrogne

- Du calme les gars si il est là pour défendre Grenade sa dette sera surement éffacer. dit Doroit

Où est ma nouvelle recrue ? Hé Kérulan où est tu ? hurla Doroit

Son quartier maitre lui dit qu'il l'avait envoyé sur le batiment. Doroit le remercia pour cette informations.
Il regarda le capitaine Lerequin et il lui dit:

- Ils sont très rancuniers dans ce coin... Ramenez vous avec votre capitaine... ah excusez moi capitaine je 'lignorais... Bref allait quand même sur les quais �  la rencontre de capitaiens de la garde  

Lerequin croisa le capitaine Doroit qui lui dit d'aller voir le capitaine de garde, il y'alla avec son fidéle second, Sprat. Dans la cour les gardes donnaient des armes aux habitants qui s'inscrivaient pour la défense de l'île...
Lerequin frappa �  la porte
"Entrez, fit le capitaine
-Bonjour Fit lerequin
Le garde pointa son arme sur Lerequin
Décidemment, c'est une manie aujourd'hui pensa-t-il
L'homme désarma Lerequin et Sprat et sortit...
-Désolé pour ceci, je préfére être sur mes gardes
-Je vous comprend, je suis venu pour connaitre le plan de défense...
-Combien de marins possédez-vous?
-trois cents...
-Cent marins devront se mettre dans le fort, le reste sera dispersé dans la ville, j'ai une mission pour vous, vous devez repérer les éventuelles espions ennemis, nous pensons qu'il en reste, votre réputation auprés de la France sera meilleur...
   

Juste derrière depuis la rencontre avec le capitaine Doroit qui ne l'avait pas vu, tant mieux il n'avait pas perdu la main.

Heu excusez moi le commandant Doroit m'a dit de venir sous votre commandement.Capitaine Lerequin heureux de vous connaitre et content que vous soyez dans notre camps, j'aurais plus parier que je ferrai parti des pillard vu vos démêler avec la France et la tension qui est de cet cabine .  

Qui vous a permit devenir armé ici ? répondit le capitaine de la garde

Personnes ne ma demander de déposer mes armes?

Bon nous attendons le Capitaine Doroit qui vous expliquera vos poste respectif bien que je doit fort qu'un vagabond comme vous l'ai impressionné!répondit le capitaine de garde

nous verrons sa  dit Yohan plein de fierté presque sur qu'il pourrait le défaire au sabre ce vieux capitaine de la garde .En plus ces connaissances du combat de rue et de la ville leur serrait d'un grand secours il en étais sur mais bon ce vieux capitaine étais trop fière pour le faire entré dans son navire .Comme allez t'il faire ??




   

Doroit arriva peu de temps après Lerequin.

- Capitaine Doroit un homme dit être de votre équipage,il est armés ! s'exclama le capitaine de la Garde.

- Il fait partie de mon batiment laissez le passez. dit Doroit

- Allez c'est bon !

Le capitaine Doroit et sa recrue montèrent à bord du "Roi des Océans"

- Maitre Pliphard quel poste pouvons nous donnez à la recrue ? demanda Doroit

- Je sais pas... Ah si il nous manque des gars aux canons avec les artilleurs, ils nous manque un gabier de misaine aussi.

- Bien laissez le choisir son poste étant donné qu'il a deja naviguer �  bord d'un navire.Quel était ton poste sur le galion mon gars ? demanda Doroit  

Ba je mocuper de rafiltoler la voile donc mon choit et fais Expliqua Yohan

Après avoir longuement réfléchit yohan avait finalement choisi de faire gabier de misaine même si ce bateau étais loin d'être un galion mais bon c'étais mieux que de suffoquer dans la cale a respirer de la poudre la il occupais un poste assez important pour ne pas être négliger.

Par contre il me faudra un peu de remise a niveau avec les termes de navigation car je naviguer avec un français mais il parlait a son équipage en breton et normand alors les termes spécifique doivent pas mal changer  S'excusa Yohan
   

Lerequin se rendit sur son navire pour informer ses marins, ayant été chargé de reperer les eventuelles espions il ordonna �  cinquantes de ses marins de patrouiller, avec une reléve toute les deux heures, toute les personnes suspectes devaient être arrêté ou tué si jamais elles tentaient de s'enfuir....
La chasse commençait plutôt bien, au milieu de la foule Lerequin vit un homme portant  un petit tonneau, il reconnut un tonneau de poudre, l'homme allait de ruelle en ruelle, il fit signe �  Sprat de contourner et l'interpella.
"Stop, arrêtez vous, stop"
L'homme s'aventurait dans les petites ruelles, il finit par être bloqué par Sprat et Lerequin, il se jeta sur lui, Lerequin parvint �  le maitriser et lui donna un coup de crosse de son pistolet.
"Parle, qui t'a envoyé
-Je n'ai rien fait je le jure
Il lui donna encore un coup de pied dans la tête
-Ah oui, et ton tonneau il contenait de la poudre, pourquoi?
-Je devais approvisionner les réserves, je le jure
-Je te crois..il le lacha
L'homme s'enfuit en courant, Sprat s'approcha de Lerequin
"Capitaine, Pourquoi l'avoir laisser s'enfuir?
-Si c'est un anglais il nous menera �  son bateau, les anglais sont tellement stupide...
L'homme mena jusqu'a une taverne, Lerequin entra, l'anglais s'était aventuré dans une trappe....
Lerequin alla immédiatement prévenir le chef de la garde....  

Lerequin trouva le capitaine de la garde sur les quais du port.Il l'informa que son second Sprat et lui même avait repéré un hommes suspect transportant un tonneau de poudre d'après lui, il avait prit une trappe dans la taverne.

- Ne prenons pas de risque.Je veux 20 soldats avec le capitaine Lerequin et que ça saute ! ordonna le capitaien de la Garde.

Celui-ci expliqua �  Lerequin qu'il devait accompagner ces hommes jusqu'a son second dans la taverne etarreter l'homme en question.Puis le capitaine de la garde le remercia.

Pendant ce temps l� ,sur "Le Roi des Océans":

Doroit accorda le post de gabier de misaine �  Yohan, il lui dit de faire attention  aux bras du Grand Hunier fixe.

Il lui donna un sabre d'abordage en lui disant que cela pourrait lui servir.

Le capitaine de la Garde alla �  la rencontre de Doroit sur son batiment.

- Capitaine Doroit on m'a chargé de vous dire que c'est vous qui serez le commandant en second de la flotte défensive.Vous commanderez la même flotte que la dernière fois. Si vous reussisez la France vous fera capitaine de corvette.

- Bien mon capitaine !

Doroit ordonna �  tous ses soldats de charger les pièces, elles devraient être pretes �  tirer.Tous les soldats devait être armer d'une arme blanche au minimum et devraient être sur de lui.
   

Lerequin venait d'avertir le capitaine qui lui �  dis d'aller arrêter l'homme dans la taverne, en entrant Lerequin et ses hommes virent une dizaine d'homme jouer aux cartes, tous se lévérent d'un coup, ayant eu le réflexe de dégainer, les gardes abattirent cinq hommes avant de se mettre �  couvert, l'un d'entre eux fut touché au ventre, Lerequin sortit de sa cachette en effectuant une roulade, il tira, la balle alla se loger dans la poitrine d'un homme, Sprat et les gardes tuèrent encore 3 hommes, le dernier tira sur Lerequin et le toucha �  l'épaule, le tireur fut touché �  la jambe, Sprat alla prendre son arme et le conduisit au capitaine de la garde...
"Parfait, merci nous allons l'interroger, allez voir le medécin pour Lerequin...."

Edit: attention avec les armes �  feu victor, elles ne sont pas aussi performantes qu'aujourd'hui beaucoup de tirs n'aboutisse pas, enore avec les gardes ça va mais en pleine mer le marins n'ont pas des pistolets super efficace.Pense aussi que les pistolets de l'époque tirait balle par balle et qu'il faut un certains temps pour recharger.
Mais tu n'as pas fais d'erreur ;) c'est un conseil pour évitez le grobillisme ( exagération en quelque sorte) et que ton personnage soit puni ;)

kevin26703  

Errant dans les rues, un colosse dans un vieil uniforme délavé observait la ville tout en réfléchissant �  un moyen de redevenir quelqu'un dans ces Antilles. Il s'arrêta net a coté d'une taverne en observant un paquet de gardes y entrer. Entendant des coups de feu �  l'intérieur. Il porta la main au vieux pistolet qu'il avait fait réparé la veille contre la moitié du peu qu'il possédait et attendit l'issue de la bataille. Les gardes sortirent bientôt, accompagné d'un capitaine a l'allure louche suivit de son second. Ils escortaient un prisonnier et le capitaine semblait blessé. Il vit ensuite deux gardes porter le cadavre d'un de leur confrère, un trou béant dans le ventre.
Comprenant qu'il s'agissait l�  d'une chance pour lui de servir a quelque chose, il suivit la petite troupe. Il entendit les gardes discuter a propos d'une attaque imminente sur Grenade, et, voyant le capitaine dont il se méfiait partir pour se faire soigner, il accosta le chef des gardes.


- Excusez moi, monsieur, mais j'ai constaté que vous avez perdu un homme aujourd'hui. Dans les circonstances actuelles, avec l'attaque qui se prépare, il serait bon qu'il soit vite remplacé, c'est pourquoi je me permet de vous proposer de prendre sa place.

Le capitaine jaugea rapidement l'homme et s'arrêta sur le costume délavé d'officier et le pistolet a la ceinture.

- D'ou tenez vous ces objets ?
- A vrai dire je servait sur l'Empereur il y a quelques temps...
- L'Empereur ? Mais, on m'a dit qu'il avait été pillé par des pirates !
- Certes, mais moi et quelques autres y avions survécu. Je dit avions car les autres sont morts aussi maintenant. Je suis le dernier.
- Mais ?? Comment ?? Vous y étiez officier ? Quel est votre nom.
- Magraen Nasean, promu second du capitaine pendant la traversée.

Magraen avait bien entendu menti en annonçant une promotion qui n'avait jamais eu lieu, mais qui maintenant pourrais le contredire ? Le capitaine réfléchi un bref instant puis :

- Bon, je vous prend. Normalement il devrait y avoir quelques papiers mais l� , on a pas le temps.  Je vous donne commandement sur quatre de ces hommes, a vous de les choisir. J'aimerais que vous soyez de garde permanente sur le port, arrangez vous. Allez, moi, je doit finir un interrogatoire

Satisfait de la tournure des évènement, Magraen choisi quatre hommes au hasard et, après s'être équipé pour ses nouvelles fonctions, il rallia son nouveau poste, heureux. Il instaura une équipe de nuit et une de jour et réquisitionna une chambre dans une taverne proche pour que ses hommes puisse dormir convenablement entre deux quarts. Oui, ces fonctions lui plaisaient.





   

Lerequin alla voir le médecin...
"J'ai une très mauvaise nouvelle pour vous, vous avez été touché �  l'épaule, j'ai pu vous retirer la balle mais vous ne pourrez pas vous battre pendant trois jours, le temps que votre blessure cicatrice...."
 Lerequin partit voir le capitaine de la garde, il laissa ses armes en entrant...
"Alors monsieur? il à parlé?
-Oui, c'est bien un anglais, il devait faire exploser le fort lors de l'attaque afin de faciliter la tache des anglais, il nous a dit que les anglais et hollandais ont développé un réseau d'espionnage, et nous �  livré les lieux dans lesquelles ils se trouvent, j'ai envoyé un groupe de cinq hommes dans chacun de ces lieux, vous devriez vous détendre, reposez-vous avant l'attaque...
Lerequin alla jouer aux cartes dans une des tavernes_bondées_ du port...
"Vous êtes au courant? les gardes ont fait un massacre dans une taverne, dit un des joueurs
-Oui, parait qu'il y'a des espions en ville, dit un autre
Une bagarre générale éclata quand le tavernier fut ejecté hors de son comptoir, cinq hommes habillés en uniforme de la garde entrèrent �  ce moment la, l'un d'entre eux portait un uniforme délavé d'officier,les cheveux blonds. Il regardait Lerequin d'un air étrange, la bagarre fut stoppée, les gens dévisageaient maintenant les militaires.
-Est qu'il y'a un John ici? dit celui qui ressemblait à un officier
Un des hommes se mit devant lui...
-Je suis John, pourquoi?
-Au nom de la couronne française nous vous arrêtons pour espionnage, veuillez nous suivre.
L'homme dégainai son pistolet, mais le garde aux cheveux blonds lui mit une balle dans le torse, il fit ensuite signe aux autres gardes d'emporter le corps, celui qui avait provoqué la baggare fut arrêté et emporté par les gardes. Un des joueurs de cartes tenta de briser le silence
-On dirait qu'ils font un grand nettoyage..."
Les gens reprirent leur activité comme si il ne s'était rien passé....  

A peine engagé pour la defense de Grenade, Lovecraft s'enquit de trouver l'endroit le plus important du port, la taverne! Car meme ayant réduit ses quantités de rhum ingurgitées, il ne pouvais se priver de boire un peu, parce que le rhum, c'est bon. Une fois trouvée, il entrat dans l'établissement où reignait l'odeur de la fameuse boisson des Caraïbes.

-Oh tavernier! Une bouteille de rhum pour moi, et une autre pour la fille l�  bas dans le fond!
-La bouteille de rhum je te la donne si t'a de quoi payer.

Lovecraft sortit quelques pièces et les lançat sur le comptoir, tandis que le tavernier posait la bouteille.

-Et ben tu vois qu'on peut s'entendre! dit-il en débouchant la bouteille avec les dents. Au fait t'a oublié la bouteille de la fille dans le fond.
-Non, je lui donne pas d'alcool, elle est déj�  complètement saoulée, regarde elle tient �  peine debout!
-Allez soit sympa! ça va etre drole!
-Non c'est non, elle n'aura pas �  boire!

Lovecraft, visiblement véxé, empoigna la chemise du tavernier et le jeta hors, du comptoir, déclenchant une bagarre générale.
Un officier de la garde, qui patroullait dans le coin et ayant entendut tout ce boucan, mit fin �  la bagarre en tirant un coup de feu au l'air.

-Qui a commencé la bagarre! tonna-t-il

La plupart des hommes présents et encore debouts désignèrent Lovecraft.
L'officer ordonna �  ses deux hommes de se saisir de cet individu, et il lui dit:

-Je suis L'officer Magraen Nasean, et vous allez entendre parler de moi mon gaillard.

Il sortit de la taverne, suivt de ses deux hommes et emportant leur fauteur de trouble, qui venait de remarquer qu'il n'avait pas été le seul �  etre arrété  

Le nouvel officier était somme toute satisfait de cette journée. Il réfléchissait aux divers scénarios lors de la future attaque anglaise sur le chemin des prisons pour y jeter son prisonnier bagarreur avec deux de ses hommes pendant que celui qu'il avait érigé comme second de sa patrouille, un certain Guillaume Detor, menait le cadavre a la fosse commune avec le cinquième garde. Pendant toute la route, il ne prêta guère attention au flot de parole déversé par le prisonnier jusqu'�  ce qu'il croise une autre patrouille dont le chef identifia l'homme comme un défenseur de la ville récemment engagé et en fit part �  Magraen. Celui-ci, étonné, interrogea l'homme a ce sujet :
- Vous êtes un défenseur de Grenade ?
- Je vous le dis depuis qu'on est parti, vous êtes sourd ou quoi ?
- Excusez moi de ne pas vous avoir écouté, j'étais occupé a réfléchir a des choses importantes...
- Mouais, enfin, vous allez me laisser partir ?
- Vous laisser seul ? Ça serait criminel de ma part ! Mais si vous êtes vraiment un défenseur de la ville, je ne vais pas non plus vous mettre en prison...
Il réfléchit quelques instant, puis une idée germa dans son esprit. Il questionna alors différemment son prisonnier
- Dites moi, vous savez vous servir de votre fusil et d'un canon convenablement ?
- Un peu que je m'en sert convenablement ! On ne m'appelle pas l'artilleur pour rien !
- Hum... Que diriez vous de vous joindre a ma patrouille : vous défendez la ville, vous restez actif pas trop loin des bouteilles de rhum, et en même temps je vous ai a l'œil. Ça vous irais ?
L'homme grommela un vague consentement et la patrouille fit demi-tour, rejoignant l'entrée du port ou elle était posté, rapidement rejointe par les deux gardes de retour de leur sale besogne. Garde bien étonné de voir l'individu joint comme sixième homme de la patrouille...
   

Intégré �  la patrouille de l'officier Magraen, Lovecraft, toujours hébété par l'alcool, s'amusait un peu en patrouillant avec ses nouveau compagnons de jeu, les gardes. Il avait mis son fusil �  l'épaule, au lieux de la garder en bandoullière, histoire de faire un peu plus "garde" que "soulard".

Il observait les autres, et decida que finalement, il avait l'air idiot, et voulait se démarquer des ces pantins. Il s'arreta un instant histoire de remettre son arme dans son dos.
Magraen remarqua cette soudaine désobéïssance:

-On ne traine pas! remet toi dans le rang, le fusil sur l'épaule et en avant marche.
-Le fusil sur l'épaule: certainement pas; dans le rang: ne t'énerve pas, j'arrive mon grand; et enfin, en avant marche: et bien cours devant, blondinet, je te ratrappe.

L'officer etait rétourné par tant d'impertinence. Cet homme était-il un si bon tireur, au point de se croire supérieur? Il falait en avoir le coeur net.  

Interloqué par l'impertinence de sa recrue forcée, Magraen décida de le mettre a l'épreuve.

- Tu pense que tu es si doué que ca ? On va voir ca. Tu vois, ici, on est sur les docks ouest. Eh bien, si tu arrive, en trois coups de feu, a couper la corde du pavillon du sloop sur le dock est l�  bas, on discute.
Sinon, je te colle aux fers, défenseur de la ville ou pas.

L'artilleur regarda la pavillon indiqué. Le sloop dont l'officier parlait était collé au quai, derrière deux autres sloops de même gabarit. Couper une corde avec une balle est déj�  extrêmement difficile, au vu de la précision moyenne des armes, alors atteindre la corde indiquée, la couper alors qu'elle est a peine visible, et faire cela imbibé d'alcool comme l'était l'impertinent, Magraen avait jugé cela impossible.
L'homme, lui, esquissa un sourire. Il posa un genou a terre, visa, tira. La corde coupée claqua dans les airs, sous les huées de l'équipage consterné.

- Alors, môsieur, de quoi vouliez vous parler ? ironisa l'artilleur.

Un large sourire sur les lèvres, l'officier donna une tape dans le dos du tireur dés qu'il se fut relevé. Une tape si puissante qu'il peina a rester debout.

- Je crois qu'on va s'entendre. Tant que tu ne m'appelle ni blondinet, ni mon grand, et que tu ne demande pas de courir avec ma jambe, ca devrait aller. Je ne te demande rien d'autre mis a part de rester avec nous.

L'ordre de reprendre la marche fut donné et les gardes reprirent leurs progression, interloqués tant par le tir que par l'attitude de leur chef qui, pour "ne pas faire de favoritisme", leur a donné la permission de se déplacer comme ils le voulaient, sans autre obligation que de rester grouper.  

L'artilleur, qui considérait ce tir comme guère exceptionnel, se demanda si les gardes étaient capables d'en faire autant.
Il demanda �  l'officier:

-hé dis moi... tes gars... ils savent faire quoi au juste?

Cette remarque avait piqué l'orgueil des gardes, mais ils continuèrent �  marcher comme si de rien n'était.

-hum... ils ne sont sous mon commandement que depuis peu... et je n'ai pas encore eu le temps d'évaluer leurs compétences. Mais nous verons cel�  demain, quand tu aura cuvé ton rhum !

Lovecraft esquissa un sourir... il se demandait si les gardes allaient se révéler de bons tireurs ou pas.  

Doroit voulait prendre de nouvelles du capitaines Lerequin il rencontra aux passage Magraen et Lovecraft.

- Messieux vous êtes les nouvelles recrues ? Bienvenue je suis le capitaine Doroit, c'est moi qui commandera une partie de la flotte de la défense de Grenade. annonça Doroit

Lovecraft et Magraen étaient surpris de voir quelqu'un ici, Doroit était bien habillé pas de haillons ni de veste en lambeau, tous ses habits étaient beaux c'était l'archétype du corsaire français.

Doroit pensait que c'est deux nouvelle têtes étaient les recrues promit �  Droit par le capitaine de la Garde.
Doroit alla voir �  l'infirmerie d'où il était deja ressortit le médecin l'informa qu'il était sur les quai.

- Mince je l'ai loupé de peu.. Dommage pensa Doroit.

Lovecraft et Magraen n'avaient pas bouger , ce qui avait étonné Doroit.

Doroit demanda �  ces deux gars l�  de les suivre jusqu'au capitaine de la Garde. Il ne regharda pas si il était suivit par ces deux recrues,il devait trouver Lerequin.

Aux bout de 10 minutes il trouva Lerequin et le capitaine de la Garde ensemble.

- Bonjours capitaines !

- Bonjour capitaien Doroit ou plutôt devrais je dire commandant des forces navals de Grenade dit le capitaine de la Garde en rigolant.

Lerequin salua également Doroit et de suite après le capitaine de la garde lui annonça la blessure et l'arret de Lerequin, Doroit fut triste pour lui mais content que Lerequin et Grenade sont en voie de réconsiliation.

- Capitaine se sont mes deux nouvelles recrues derièrre moi ? demanda Doroit

Doroit se retourna et ne vis personne derrière lui.Quand soudain le capitaine de la Garde demanda �  un de ses hommes d'aller les chercher.


Edit: Ben dit donc ça poste ici lol ! Voila �  vous de poster, Magraen et Arthurius vous devez aller �  la rencontre de Doroit afin que tous le spersonnes se rencontre n'oublier pas je pense que vous êtes mes matelots ;)

kevin26703  

Intrigué par l'attitude de l'homme, Magraen ne l'avait pourtant pas suivit. Il s'était attelé a vérifier l'état d'un des canons du port avec Lovecraft et avait jugé l'homme comme un peu fou. Sa tache terminée, il désigna trois gardes, sous la responsabilité de son second, a la surveillance du port en promettant de les relever a minuit, puis parti faire son rapport au capitaine des gardes avec l'artilleur pendant que le dernier garde allait dormir.
Il remarqua un garde et deux mousses et identifia le garde comme l'adjoint du capitaine. Voyant qu'ils empruntaient la même direction, les cinq hommes firent route de concert et entrèrent ensemble dans les bureaux du capitaine. Surpris d'y trouver le corsaire, Magraen allait saluer son chef quand le marin s'exclama en sa direction :

- Ah, voil�  les matelot ! Qu'es ce qui vous a pris de me fausser compagnie tout a l'heure ? Je ne tolére pas ce type d'insubordination dans mon équipage et... Qui sont ces deux la ?

Le capitaine des gardes, incrédule, observa successivement Magraen, Lovecraft, Doroit, son adjoint et les deux matelot. Il compris enfin le fin mot de l'histoire et éclata de rire, a la stupeur générale.
L'officier et l'artilleur s'observérent un instant avant de faire de même, comprenant eux aussi la situation,
bientot suivit des matelots et de l'adjoint face a un Doroit qui ne comprenait plus rien.

- Mais, allez vous me dire ce qui se passe au moins ?
- Mon bon ami, entamma le capitaine, ces deux hommes que vous voyez la sont le nouvel officier de la garde du port avec un de ses hommes, vos matelots sont ces deux hommes l� ...

L'hilarité générale continua un instant avant de cesser progressivement.

Edit: Pas mal j'ai faillit rire moi aussi  :D :D
Mais surtout attention de ne pas faire parler un PJ tu as fait parler Doroit tu n'aurait pas dut normalement mais je ne t'en tiens pas rigueur sachant que tu n'as dit que deux phrases et que c'est une bonne rencontre

kevin26703  

Lerequin était en train de jouer au dé, il devait faire deux six pour gagner cinquantes piéces d'or, joueur il préféra surencherir
"Trente piéces que je fais deux six, qu'en dites vous?
-Tenu, dit une autre personne
-Même quarante, dis une troisiéme...
Lerequin lanca les dés, deux six, la chance était avec lui.
Alors que Lerequin pris les piéces et les mit dans sa bourse, un homme ivre se leva et voulut frapper Lerequin, celui-ci esquiva, le poing de l'homme alla frapper l'homme derrière lui, celui-ci prit une chaise et la lança dans la taverne, Lerequin but son rhum et sorti de la taverne.
Eh bien, pas besoin des anglais je crois, on sera tous mort avant... Pensa-t-il
Au détour d'une ruelle il vit un homme par terre, frappé par trois autres hommes, Lerequin alla prévenir ses marins leur  demandant de l'aide, les marins acceptèrent.
Ils se cachérent contre le mur pendant que Lerequin s'avancait vers eux pour leur parler.
"Messieur, pas la peine de vous enerver voyons, laissez cette homme tranquille sinon je vais vous tuer...
-Haha, tu est marrant comment tu comptes faire avec une seule balle?
Les hommes se montrérent. Lerequin dégainai son revolver avec sa main gauche, ne pouvant pas se servir de l'autre, il le mit sur la tête du troisiéme homme

-Qui est tu?
-Je suis envoyé par celui à qui ce petit enfoiré doit de l'argent
Lerequin s'approcha de lui
-Ecoute, sois vous rejoignez la garnison du fort, soit on vous tue, votre choix?
-Nous enroler, dire-t-il tous en choeur
Il souriait en laissant échapper un parfait....
Lerequin aida l'homme �  se lever, il lui demande son nom
-Je m'appelle Yohan, je sers sur le roi des océans dit-il.
   

Doroit vit les autres hommes rigoler aussi, il en avait fait de même,il c'était trompé sur toutes la ligne il s'excusa de son comportement et il sortit en saluant tous ces hommes.

Ca bougeait dans tous les sens ici,entre les bagarres et les préparatifs de combat.

- Allons faire un tour du coté de la taverne pour voir s'il n'yas pas de bléssés epnsa doroit

Il vit sa dernière recrue salement amochés soutenue par Lerequin, Doroit aida immédiatement le bléssés.
On lui raconta que tous ceci a commencer lors du partie de dés �  la taverne.
Doroit en avait vraiment marre de cette taverne plein d'ivrogne se pissant dessus.
Il retourna dans les quartiers du capitaine de la Garde.

- Encore des bagarres �  la taverne ça suffit les hommes eront tous morts avant l'arrivée des anglais. hurla de colère Doroit

- Que pouvons nous faire de ces ivrognes...? Que proposez vous ? demanda la capitaine de la Garde.

- Fermez la taverne et mettez les dans la garnison du ofrt bon sang ils seront mieux là ! s'exclama Doroit.

- Vous avez raison. Les nouveaux officiers vont s'en charger.

l fit �  ceux ci d'aller �  la taverne et de la fermer définitivement,une vingtaine de soldats derrière eux les suivirent  

Lovecraft, qui n'avait pas tout compris (encore et toujours �  cause de l'alcool), demanda:

-hé mais attendez si je comprend bien... on doit aller fermer la taverne?

Les officiers supérieurs lui répondirent que oui.
Lovecraft pâlit...

-euh... et on va faire quoi du rhum? si on le laisse au tavernier il va le vendre, et ça fera de la vente illégale. ah bas je vais le garder avec moi, il sera en sécurité!

Tout le monde, y compris les gardes, regardaient Lovecraft, abasourdis, tandis que l'artilleur, courrait seul
 dire au tavernier de fermer son établissement, et de lui donner tout son rhum, parce que sinon on allait le faire pendre.

Il partit sans meme avoir reçu l'ordre de garder le rhum, mais de toute façon, ça ne changerai rien.  

De plus en plus amusé par l'attitude de l'artilleur, Magraen échangea quelques paroles avec ses collègues officiers. Ceux-ci sourirent et l'un d'entre eux aboya un ordre sec. Six gardes se ruèrent sur la taverne au pas de charge survit de douze autre en rang au pas. Les deux derniers restèrent en gardes des portes.
En entrant dans l'établissement deux minutes plus tard, une scène comique apparu aux officiers. Quatre des six gardes les premiers rentrés poussaient dehors chacun un fut pendant que les deux derniers portaient a bout de bras le cinquième, auquel Lovecraft s'était attaché. Les douze gardes, eux, faisaient sortir les clients dans le calme tout en se retenant de ne pas rire de l'artilleur.
Les officiers, eux, ne se retinrent pas et partirent d'un rire sonore alors que les clients, sortis, tout les gardes escortaient les futs vers les docks pour les embarquer sur le navire de Doroit, asile qui semblait le plus sur pour le rhum. Magraen failli rire lui aussi pendant que les deux derniers gardes essayaient de décrocher Lovecraft et que les officiers, hilares, fermaient la taverne, mais il se rappela alors que Lovecraft était dans son unité et, énervé, il pris seul le fut et Lovecraft avec pour les balancer a l'eau, devant l'établissement.
Les officiers et les derniers gardes repartaient a leurs quartiers et Magraen rentra dans l'établissement qui lui servait donc de QG a lui et a ces hommes désormais. Un peu plus tard, L'artilleur entra, trempé et en colère, et il passa comme un coup de vent pour aller dans sa chambre, sous l'œil rieur de son supérieur.  

Cependant juste avant de descendre, Lovecraft se saisit de son fusil boucanier, il le plaça juste sur le front de Maegren, et tira. Mais rien ne se passa.

-T'en fais pas, la poudre est mouillée, et je le savais. Je t'ai pas fait peur pour m'avoir jeté �  l'eau, mais pour ce fut de rhum qui a coulé. Gredin! Quand aux autres futs �  bord du navire de Doroit, je les récupèrerai.

Sur ce, il partit dans sa chambre, laissant Maergren et ses hommes, incrédules.  

Après le "petit" différent que Yohan avit eu avec les hommes du receleur qui lui avit mis la main dessus Yohan vit sa dernire heures arriver.Mais l'apparition du capitain Le requin quil avait deja vu dans la cabine du Capitaine de la garde.

Merci pour votre aide .Ils me sont tombés dessus en 2 Secondes j'ai rien pu faire Vous pouvez maider a rejoindre le navire ou je suis affecter L'acha Yohan complètement épuise par les coups subit


Le capitaine étais entièrement d"accord sur le chemin du navire ils rencontrairent les gardes qui avait perquisitionner la taverne quelques minutes plutôt.Après avoir fait les présentations,tous se retrouvèrent sur le navire du capitaine Doriot pour un  petit briefing sur la défense de l'ile qui étais notre objectif commun   

Mais tous remarquèrent que Lovecraft avait disparu, mais tous avaient une idée de l'endoit où ils pouvait etre...

En effet ils durent le tirer de la cale du navire, en train de boire le rhum des tonneau. Il fallut quatre homme pour hisser l'artilleur sur le pont, qui pleurait car il ne pouvait plus voir son rhum.  

Lerequin fut gené
"Ne me remercie pas gamin, c'est normal...."
Ils se rendirent tous chez le capitaine Doriot, l'artilleur était toujours en cale, il ne fut pas facile �  déloger.
Lerequin commença �  parler
"Je ne sais pas ce que vous pensez, mais je propose de tous se replier dans le fort et de tendre des piéges dans l'île, ainsi nous aurons un avantage..."
Il s'assit, but un peu de rhum et attendit les réponses  

Tout en servant du rhum �  l'équipage et aux hommes présent, sauf a Lovecraft qui en avait déj�  trop but,Yohan prit la paroles

Oui c'est une bonne aider et disposer une parti des nos hommes en tirailleurs dans la villes pour diviser les forces ennemies et ainsi diminuer leurs pressions contre le fort.Mais ils faut aussi priez pour que les renforts fasse fuir les anglais dans le meilleurs de cas sinon ils vont nous assiéger et nous affamer.sans trop dé-fort  Dit Yohan conscient qu'il avait toucher le point incertain de la défense de cet ville.je connait bien cet ville et on peut facilement faire des embuscades et repartir aussi vite.    

tu aurais pu poster ici http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,2944.msg83577.html#new (http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,2944.msg83577.html#new)
(message à effacer)  

- Excusez ma franchise, mais se plan ne me plait pas. Il s'agirait de calfeutrer toute la population dans une fortification trop petite pour ca, d'abandonner a l'ennemi tout nos navires du port qu'ils pourraient couler si ils débarquent, et de laisser des hommes sur l'ile qui finiraient par se faire tuer, sous le nombre. 
- Que proposez vous en ce cas ?
- Et bien il va sans dire que l'attaque vient de la Barbade. Hors, la flotte de la Barbade n'est pas suffisante pour a la fois mener l'assaut et intercepter les renforts. Renforts que les Anglais doivent attendre. Or, en ce cas, le meilleur moyen pour eux de ce défendre de ces renforts et d'avoir déjà pied sur l'ile. Ainsi, leur flotte peut repartir intercepter les renforts et les combattre en mer, ou ces anglais auront invariablement le dessus, pendant que leur armée assiège le fort sans pertes, attendant que, étant en surnombre a l'intérieur, nous mourrions de faim.
- Quelle serait la solution ? Vous l'avez dit vous même, il est impensable de vaincre une flotte anglaise organisé, surtout qu'il n'y a que peu de bateaux digne de ce nom ici. Et il n'est pas imaginable qu'une bande de garde et de marins combattent en plein air une armée elle aussi organisée.
- La solution est pourtant simple. Il ne faut pas les laisser débarquer. Je m'explique : A l'exception du fort, il n'y a qu'un canon sur le port. C'est peu. Mais, si les "grands navires" se mettent en travers de l'entrée du port, sous le couvert du fort, l'accès au port sera impossible...
- Jusqu'à ce que nos bateaux soient coulés, bien sur... ce que je ne veux pas !
- Laissez moi finir. Soit vos navires se placent ainsi en défense et se battent, soit ils sont abandonnés aux anglais. A votre place, je préfèrerait tenter ma chance. Surtout que, les autres bâtiments, même plus petits, sont tout de même armés, non ? Or, si on défend le port de cette manière, tout leur armement ne servirait pas ! On peut donc le récupérer pour placer d'avantage de canons encore sur les digues et dans le forts, tout en en conservant pour les placer a des points stratégiques de la ville.
- Pourquoi en ville ?
- Il arrivera un moment ou les anglais débarquerons ailleurs, sur l'ile. Elle est trop vaste pour en défendre toutes les cotes. Cependant, la ville, elle est défendable. De plus, en combats de rues, avec des canons, nous auront l'avantage sur eux et pourrons les empêcher de rentrer, tout en leur infligeant de lourdes pertes. 
- Et qui manœuvrerait ainsi l'artillerie au sol ?
- Les équipages des bateaux a quai, sous le couvert des gardes. De plus, en nous battant ainsi, on peut tout de même abriter les femmes et les enfants dans le fort, tout en réquisitionnant les hommes pour la bataille. Si celle -ci tourne mal, on retomberas sur votre plan initial : les survivant se replient dans le fort et ceux qui n'y arrivent pas mènent la guérilla en ville, pendant que nos bateaux sont coulés ou livré a l'ennemi. Dans cette optique la, il ne faut pas que les anglais aient nos canons. Il faudra les détruire ou les envoyer a la mer.
- C'est risqué.
- Je préfère mourir au combat que coincé dans un fort bondé et mourir de faim, lâchement. Et si vous tenez vraiment a vos navires, vous me suivrez.

Satisfait d'avoir fait impression, Magraen les laissa méditer se plan en sirotant son rhum.  

Le discours de Magraen avait provoqué un brouaha dans l'assemblée, Lerequin réfléchissait en faisant des ronds avec son verre de rhum, il se leva et pris la parole.
"Je suis d'accord avec Magraen, mon idée n'était pas très bonne, la sienne est meilleur, nous devrions avoir une bonne puissance de feu avec tout les navires de guerre présent dans le port, il faudrait en parler au capitaine de la garde..."
Il fit signe �  son second, Sprat, qui était resté monter la garde hors du bateau, il prit une feuille de papier et écrivit un mot, il le donna �  Sprat en lui disant d'aller voir le capitaine de la garde...
Magraen voyant cela lui demanda
"Vous savez écrire?
-Un petit peu, mes parents m'ont appris couramment, je sais aussi lire.
Lerequin se rassit et sirota son rhum  

En attendant la réponse du capitaine de la garde, Magraen décida de faire plus ample connaissance avec ses camarades. Il décida donc de lier la conversation avec son premier soutient, le capitaine Lerequin.

Capitaine, vous me semblez fort instruit pour un marin commun. De plus, je remarque que d'autres personnes vous regardent souvent avec méfiance, ou peur. Je ne suis dans les Antilles que depuis peu, et ma question va vous sembler incongrue, mais, qui êtes vous au juste ?

Surpris par la question, alors que le vacarme continuait dans la salle, chacun discutant du plan du jeune officier, Lerequin ne répondit pas tout de suite. Il préféra siroter son rhum encore un peu, sous le regard intrigué de son interlocuteur.  

Bonjour je viens en tant que civil �  votre assemblée et vous propose ce ci:
une division de la flotte de Grenade faite de navires rapides d'attendre derrière l'île.Dès que les anglais arrivent et que ceux ci ont tirés leurs premières salves sur les gros batiments cette division passe par derriere les anglais , tirent et grace a la furtivité des navires legers ,cette division tourne autour des anglais tout en tirant etet en evitant les tir anglais.
Qu'en pensez vous
   

Lerequin était un peu gêné de la question, il prit une grande inspiration et se tourna vers magraen.
"Eh bien il y'a quelques temps j'ai eu une mission de routine, je devais escorter la fille d'un gouverneur Français, les choses ont mal tourné et elle est morte, depuis j'essaye d'avoir de bonne relation mais ce n'est pas facile, voila pourquoi les gens sont méfiant..."
Il s'assit et écouta un homme parler....
"Oui, ce n'est pas une mauvaise idée, fit Lerequin, mais qui vous a laissé passer?"  

Une voix s'était élevé au dessus du vacarme pour proposer a son tour une idée, et le brouhaha repris de plus belle. Magraen, s'excusa auprès de Lerequin de ne pas écouter de suite l'histoire que ce dernier avait commencé a raconter et se leva pour reprendre la parole et répondre au nouvel arrivant, précédé de peu du capitaine.

- Grenade n'est guère petite. Cacher une division de vaisseau léger est envisageable, bien sur, mais il faut s'attendre a ce que les anglais débarquent en divers endroits. La diversion des vaisseaux légers serait bien sur utile pour alléger la pression sur le port, mais elle nous priverais de canons pour la défense de la ville. Hors, le fort est peu défendu, pour ainsi dire presque pas, les canons n'étant jamais arrivés. Nous avons besoin de ces canons sur terre.
Malgré tout, l'idée n'est pas mauvaise. Non pas pour occuper les anglais, qui peuvent tirer des bordées de bâbord et tribord en même temps, mais pour semer le chaos dans leur rangs.
Voyez plutôt : des navires de guerre anglais vont mitrailler le port et ces défenses pendant que d'autres vont débarquer les troupes anglaises ailleurs. Les navires de débarquement vont donc être en équipage réduit. Si nous en profitions pour nous emparer d'un de ces bâtiments ? Il suffirait d'une dizaine d'homme pour le manœuvrer, ce qui ne creuserait pas de trou énorme dans les défenses, et cela permettrais d'arriver avec un navire au cœur de la flotte britannique. Vous voyez ou je veux en venir ? Non ?
Et bien, si nous chargions se navire d'explosifs...
- Oui, je vois. Mais, qu'arriverait-il a la dizaine d'hommes a bord ?
-  Une fois le navire lancé vers la flotte, ils pourraient sauter discrètement et revenir sur terre. Bien sur il faudra qu'ils sachent nager...

Le brouhaha repartant a nouveau, Magraen reparti vers Lerequin pour écouter son histoire.  

Lerequin écouta Magraen parler, il alla parler �  l'homme qui venait de faire la proposition.
"Comment vous appellez-vous? je ne vous avais encore jamais vu ici...
Il se tourna vers Magraen
-Et vous, racontez moi votre histoire monsieur ?
-Magraen
-Racontez moi votre histoire monsieur Magraen...
Il fixa l'homme en attendant qu'il parle...  

Lovecraft venait de retrouver tout le monde, et cria:

-Objection! hip!

Il était évident que l'alcool fesait encore de l'effet, mais il parvient à parler.

-Pour commander une flotte capable d'assiéger Grenade, les anglais devrons obligatoirement avoir un navire amiral. Il suffirai de couler ce navire et ça serai la débandade parmis les troupes ennemies. Cependant ledit navire risque d'etre une forteresse flotante. C'est l�  où je veux en venir: un tel navire doit pouvoir disposer d'un important stock de poudre �  son bord, dans la Sainte-Barbe, pour maintenir sa cadence de tir. Un seul tir bien placé et le navire de leur amiral explose. C'est pourquoi il faut placer la meilleure pièce d'artillerie au point le plus haut de la digue, il me suffirait alors de me servir de ce canon.

Magraen riposta:

-Mais il faudrai ammener la flotte anglaise à portée...

Lovecraft trancha:

-Pour ça je compte sur vous. Ammenez moi ce navire �  portée, et je le coule d'un seul tir.

Mais l'alcool, en grande présence dans son organisme, eu raison de lui, et s'endormit, la tete appuyée contre un mur.  

Lerequin se leva
"Je suis volontaire pour jouer le rôle d'appat, dites moi seulement par ou je dois les attirer et je le fais"
Il se rassit...  

- En réalité tout ces plans sont réalisables, chacun ayant construit son plan sur ses certitudes. Sommes nous seulement aptes a juger objectivement du meilleur ? Chaque plan a ces faiblesses et ces avantages, mais chaque faiblesse met en péril tant nos vie que Grenade. Il faudrait un homme extérieur pour juger de cela. Il faudrait demander son avis au Gouverneur. N'es ce pas lui le responsable de cette ile ? Soumettons lui nos plans, il jugera. Voil�  mon opinion.
Chacun pourrait défendre bec et ongle ses idées, et ce débat pourrait durer jusqu'au débarquement des anglais. Il faut donc trancher, et vite, si nous voulons avoir le temps de nous préparer a tel ou tel plan. Que le Gouverneur soit juge !

Magraen se rassit dans un silence tout neuf. Puis les conversations reprirent a voix basse, et l'officier en profita pour conter ses aventures a Lerequin. Son départ de La Rochelle sur L'empereur, l'attaque des pirates, la vie sur l'ile déserte avec ses compagnons, le navire de fortune, le naufrage et son arrivée a Grenade.
   

"Je propose d'aller discutez de cela avec le capitaine de la garde et le gouverneur, fit Lerequin, je vais chercher le gouverneur, retrouvons-nous dans le bureau du capitaine de la garde d'ici quelque heures..."
Lerequin sortit du navire, il vit Sprat courir vers lui...
"capitaine, Capitaine, venez vite"
Il le suivit jusqu'�  son bateau, cinq gardes se battaient aux poings contre ses matelots, Lerequin stoppa la bataille en tirant en l'air
"Que se passe-t-il?
-Ils voulaient voler nos canon, fit un de ses hommes
Le capitaine de la garde arriva
-Eh bien? que se passe-t-il?
-Je vous cherchais, nous avons pensé �  un plan de défense mais il faudrait en parler au gouverneur.
-Le gouverneur attend justement dans mon bureau, cela presse?
-Oui, attendez nous s'il vous plait...
Lerequin alla avertir les autres, une fois devant le gouverneur il s'avança
Nous avons pensé �  un plan de défense, mais nous avons jugé que vous étiez le mieux placé pour en parler, Magraen va vous expliquer...
N'ayant pas de chaise il resta debout les bras croisé et attendit que Magraen parle  

Celui-ci se lança alors dans de longues explications détaillées des cinq plans proposés, n'omettant aucun détails, évaluant les avantages et les risques de chacun. Une fois son récit achevé, le capitaine de la garde et le gouverneur échangèrent quelques mots a voix bases puis le gouverneur pris la parole :

- Messieurs, l'invasion anglaise, même proche, n'est pas encore pour demain. Aussi, je vous demande de me laisser deux jours de réflexion. Au terme de ces deux journées, je vous annoncerais le plan retenu et vous donnerais carte blanche pour l'exécuter. En attendant, je vous demande de faire un inventaire exact de nos forces : navires, canons, munitions, hommes, etc... Cela ne pourras que servir, quel que soit le plan choisi. J'aimerais connaitre cet inventaire demain soir, pour rendre mon verdict dans deux jours au matin, avec toutes les cartes en main. Je tien d'ores et déj�  a vous féliciter tous pour votre travail et votre engagement pour la France. SI nous survivons, soyez assurés d'être chacun gracieusement récompensés par la couronne et par moi-même. Vous pouvez disposer.

Tous sortirent de la pièces et se dispersèrent, par petit groupes.  

En sortant Lerequin se dirigea vers la ville, il avait reperé un magasin d'arme qui vendait des sabre neuf, le sien étant un peu usé, il sortit avec une magnifique épée qui brillait. Il se dirigea ensuite vers son navire et demanda �  son second de lui faire un résumé de leur force, il compta quarante canons, trois-cent homme, assez de munition pour tirer une centaine de coups de canon, il alla voir le gouverneur pour lui en parler. Il restait encore quelques jours avant l'attaque, il regagna son navire en attendant que quelque chose se passe  

Lovecraft, bien qu'ayant participé �  la petite réunion avec le gouverneur, commença �  mettre son piège en place.
Pour commencer il repéra la seule pièce d'artillerie viable conter les gros navires (un pièce de 38), qui tronait sur le fort (ce qui était inutile car sa portée ne permettai que de toucher des navires �  quai).
Puis il se dirigea sur la digue pour trouver le meilleur endroit où placer le canon; ce fut une tour ronde, située en bout de digue.
Maintenant il lui falait trouver des hommes pour transporter cette pièce de métal de presque deux tonnes, du fort �  la tour, ce qui fesait pas moins de 800marches d'escalier, et près d'une lieue. La chose n'était pas une mince affaire...


Edit: il te faut au moins 10 hommes pour manouvrer une pièce de 38 ;)
kevin26703  

Yohan et quelques gardes de Grenades partirent aider l'artilleur Lovecraft a placer sa piece de 389

Mais elle pèse 1 tonnes ma parole on va pas pouvoir la monter �  bout de bras il faut faire un échafaudage pour la monter aussi haut dans la tour.Soupira Yohan a Lovecraft Il nous faut un charpentier pour faire tous sa et même avec sa il va nous falloir environ 50 hommes pour construire et monter la pièce.    

Pendant ce temps, après la réunion, le capitaine Jack Navarro(qui s'était pris pour un civil �  cette réunion)metta en place une petite flotte de 3 sloops,3 équipages de 60 hommes qu'il recruta au sein meme de ce port , placa 10 canons par navires,et tout ça pour faire un peu de pagaille �  pleine vitesse lors de la bataille et pour la suite cette flotte se dispercera en 3 pour arriver �  faire venir ce meme navire vers la tour de l'Artilleur

  "Mes amis,pour tout cela, nous devrons nous entrainer dur!"prononca Jack �  ses loups de mer.Et tout de suite ils se mettait �  l'oeuvre
   

(pardon ce meme navire cest le navire amiral anglais)  

Lerequin préparait lui aussi de son côté le piège pour le navire amiral, il prit cent marins volontaire pour pouvoir naviguer, le reste resta sur l'île pour défendre, il laissa trois canon pour se défendre, loua un dépôt pour y ranger ses affaires, afin qu'elle ne soit pas envoyé dans le fond, il tenta d'alléger le plus possible le navire.
   

A défaut de pouvoir monter le canon maintenant, Lovecraft ordonna aux hommes (oui oui, ordonna) de monter tout les munitions possibles et immaginables, aussi que de la poudre ,et de la toile pour bourrer le canon, quand on l'aura instalé dans la tour.
Il réserva plus de 200 bariques de poudres, en plus de celle prévue pour le canon. Il fit enlever les pavés du quai pour former trois carrés, puis fit creuser des trous dans ces carrés, et y fit installer les bariques de poudre.
On recouvra le tout d'un plancher sommaire, puis on réinstalla les pavés �  leur place, en prenant soin de laisser un petit trou �  chaque fois, histoire de pouvoir passer une mèche. Quand les anglais arriveraient l�  (si ils y arrivaient), il faudra allumer les mèches. Mais maintenant il fallait plus espérer qu'il ne pleuve pas, auquel cas la poudre serai noyée et ne s'embraserait pas...  

Envoyant tous ces capitaines s afféraient a la préparation de leurs plans respectifs ,Yohan se demanda combien de baril et de canon allaient t ils rester pour défendre le fort et que quand le gouverneur déclara le plan adéquate si tous ces capitaines allaient le suivre �  la  lettre.ils voyaient déj�  le capitaine Navarro armer ces Sloop il le voyaient mal les désarmés tant il était sur de son plan comme le capitaine lovecraft qui plaçait ces barils sur le port.mais voyant tant de bravoure et d'envie dans leurs taches désespérer Yohan se dit qu'ils avaient peu être une chance après tout .


HRP:Je veux juste présiser que je ne critique aucun plan et que je sais que j'en ai pas fourni c'est juste l'observation de mon perso  :)  

Lerequin alla s'entretenir avec Lovecraft afin de savoir un peu plus ce qu'il devait faire...
"Je veux bien servir d'appat mais ou devrais-je aller aprés? je vous enverrai un signal..."  

Pendant que Lerequin interrogea Lovecraft,le capitaine Navarro accosta au port et en marchant eux deux demanda:
Je crois que vous devriez rejoindre ma flotte de diversion Lerequin car mon plan est ce ci:
arriver par derriere les anglais ,faire un peu de pagaille dans leurs rangs,ouvrir  le feu au navire amiral et aussi tot aller vers la tour de Lovecraft(l'artilleur)espérant que ce navire amiral modre a l'ameçon.


Jack Navarro  

Après avoir placé ses barils, et attendant que les hommes aient finis de placer le canon, Lovecraft s'addonna �  son sport favori: l'extermination des mouettes. Car il détestait les mouettes. Il prit son fusil boucanier, et tira six coups et �  peine dix secondes. Et six mouettes tombèrent �  l'eau...

Mais voulant corser l'affaire, il décida de viser le mat du drapeau qui flottait sur le fort, alors qu'il était sur les docks, et il y avait bien une lieue jusqu'au fort... Mais sans vraiment prendre le temps de viser, il tira (au risque de blesser gravement un soldat qui fesait sa ronde sur le fort) et -chtang!!- La balle ricocha sur le mat pour aller se perdre un peu plus loin. Quand au garde il s'était jeté �  terre, mort de trouille. Content de lui, Lovecraft repartit le long des docks, et cherchait un moyen de voler les tonneau de rhum entreposés dans le navire de Doroit.
C'est alors qu'il vit Lerequin qui venait vers lui et qui lui demanda ce qu'il devrait faire pour faire l'appat.

-Il faut trouver un moyen pour que leur navire amiral te donne la chasse, et tu le ramene �  portée du canon. Après t'a plus �  t'en faire, le navire sera coulé. Mais je te conseille d'etre près �  manoeuvrer, pour poursuivre le reste de la flotte anglaise et couler un maximum de navire...  

Navarro ecoutan la conversation de Lovecraft et proposa:
Apres que le navire soit coulé rejoin ma flotte de diversion je crois que lon fera beaucoup de degats avec toi mais pour savoir qu'est-ce que c'est ton navire Lerequin?  

Doroit était rester discret lors de la reuinion il y avait des points pas très logique dans leur plan il s'exprima.

- Vous croyez que votre brulot aura le temps d'arriver jusqu'au navire amiral anglais ? Il sera protégé par des batiments de ligne qui ont autant de canons que deux frégates reunit ! Il sera sous bonne escorte il explosera avant que vous conduisez le brulôt  près du navire amiral !  s'exclama Droit.

Il regarda tous le monde s'éclairsit la gorges et reprit:

- J'ai v cette flotte anglais, ils sont bien pourvu en canons plus que nous.Nous devrions suffire le plan de Magraen je suis d'accord défendons les positions de Grenade depuis la rade et l'île et non en mer.
Mais une flotille devrait partir en mer d'ici ce soir.Son but sera de prendre �  revers les renforts et la seconde ligne de navire, on prendrais les batiments en étau.Le port n'a pas plus de 10 canons, le fort en a 13.
J'ingore qui possède un grosse frégate ici, je sais qu'il y a beaucoup de corvette et de brick ce qui permettrai un repli plus facilement.
Ils seront trop occupé �  s'occuper de la ville nous nous placerons �  500 mètres de la seconde ligne nous envoyons nos chaloupes, ils ne pourront pas s'occuper de vous,. Vous vous devez réduire en miette la première ligne sinon nous serons foutu...
Ceux qui mèneraient une action en mer avec moi seront les plus proche de la mort je vous préviens.
Organisez les défenses de la ville moi et la garde navales nous appareillerons demain. de plus nous pourrons vous prevenir en donnant un coup de canon.
Qu'en pensez vous. demanda Doroit

D'après lui,son absence dans la rade de Grenade ne les affaiblirai pas puisque eux devraient couper les lignes de ravitaillement,la seconde ligne de front et le repli des anglais mais ils étaient 5 �  s'être porté volontaire dont deux frégates de 45 canons environ deux corvette de 28 canons et un brick de 10 �  15 canons.
Ca pouvait matcher mais l'aide des défenses de la ville sont indispensables.

Doroit était pret �  prendre le risque d'attaquer les anglais �  revers même si il devait mourir  

Doroit, si vous devez mourir ce sera avec moi! je rejoind vos rang avec mes trois sloop de 10 canons et 60 hommes(par sloop). MORT AUX ANGLAIS! Et que le diable les emporte!Pour la FRANCE! Pour GRENADE!
s'exclama Navarro devant Dorois  

Magraen, qui avait entendu la conversation remercia de son soutient le capitaine Doroit et se lança dans l'exécution de son plan. Avec une vingtaine de gardes, il ordonna les défenses en récupérant toutes les armes des navires a quai dont les équipages ne voulaient pas combattre en mer. Il récupéra ainsi 120 canons et des munitions en suffisance pour tenir un siège.
Vingt sept canons partirent au forts, quarante sur la digue et les quai, et les derniers furent répartis en ville, avec les munitions a proximités.
Le gouverneur, informé des préparatifs, se contenta d'envoyer une missive approuvant la tournures des évènements et indiquant qu'il cédait temporairement tout pouvoir militaire a l'assemblée des chefs qui s'était réunie chez Doroit. Chacun d'entre eux continua alors les préparatifs pour le plan global.  

Lerequin alla annoncer au capitaine Doroit qu'il ne voulait plus faire partie de son plan, mais qu'il préférait aller tendre une embuscade aux anglais, il répartit ses marins dans le port, invisible, en attendant que les anglais arrivent...
Il plaça une rangée de cinq canon qu'il cacha sous une bâche �  l'interieur d'un batiment, maintenant il n'avait plus qu'a attendre, lui et ses marins, il prit beaucoup de munitions...  

Avant de prendre sa décision, Doroit avait lancé un aviso de reconnaissance,c'est un navire petit très rapide et très maniable qui permet de semer un navire et d'éviter les tirs ennemis plus facilement.

battant pavillon anglais l'aviso eut le temps de repérer les gros navires de combat, les navires de débarquement ne sont pas connu par l'aviso, au bout d'une demi heure �  barbade dans lla rade plus précisément, l'aviso se fit repérer et dut partir en toutes urgence, l'aviso reussit �  semer les anglais.Le capitaines par signaux de bras et optiques fit un rapport:

Doroit eut la nouvelle de Lerequin et il accepta sa décision, il appareilla de suite.Il devait rallier Grenade aux renforts prévu.  

En voyant le plan du capitaien Lerequin .Yohan ce demandit s'il n'étais pas plus efficace dans la ville plutot que sur le navire du Capitaine Doriot.Yohan demanda au capitaine de faire parti du contingent de Lerequin .

Je pourrais leurs apporter une connaissance aprofondit de la ville et je sais me battre dans cet ville en utilisant les ruelles avec ruses.je pourrais leur Etre d'une grande aide

Yohan attendit alors la réponse de son capitaine.


   

Lerequin était sur son bateau en train de réflechir �  son plan quand il vit Yohan entrer en lui proposant son aide, il se tourna vers Sprat qui lui fis signe de la tête que oui...
"D'accord, vous avez une idée de la façon dont je pourrais repartir mes marins et mes canons? je vous propose d'aller discuter de cela autour d'un bon rhum..."
Le cuistot leur apporta deux verres de rhum, Ils s'assirent sur une chaise  

Tous en sirotant son Verre de Rhum Yohan expliqua au second ou placé selon lui les canons 

Vous voyez le Manoir au fond de la cour La bas .Vous pouvez mettre un canon la pour défendre la position de retraite pour vos hommes en cas de coup dur.Et mettez en un vers la taverne c'est une position qui peu être fortifié en édifiant des barricades ce qui permet de mieux défendre la position Décrit Yohan tous en sortant une vielle carte de la ville et en montrant sur la carte les zones propices pour ériger des barricades environ une 20ne sont importantsAvec ses barricades ici et ici vous pourrais repousser une ennemies beaucoup plus nombreuse mais si ils ont des canons elles vont voler en éclats aucun canon ne doit tombés entre les mains des Anglais
   

Lerequin, tout en buvant son rhum écoutait ce que disait Yohan
"Trés bien, je vous propose de diriger les défenses avec moi, que diriez-vous d'avoir un petit groupe d'homme avec vous? avec quatre ou cinq hommes vous suivez les anglais pour nous avertir de leur progression, ainsi nous serons informé des positions anglaise...
Il se mit debout cinq seconde, bougea un peu et se rassit
"avez-vous une idée d'où  nous pourrions attendre les anglais?"  

Yohan réflechit quelque minutes une idée risque lui vient a l'esprit

Pourquoi ne pas emménager les caves en créant plusieurs sortit pour amener les hommes plus vite a un endroit donner.Et les artilleurs pourrait se placé dans les maison environnantes de leurs positions.Et pour de ce qui et de vos hommes les cacher dans la foret au abort de la ville me parait notre meilleurs option.je mexplique dec que les anglais accoste mes hommes les fixes grâce aux barricades dans des endroits stratégiques pour les prendre a revers.Et les renverser et les massacrer.
   

Lerequin ne voulait pas perdre une miette de ce que disait Yohan, son idée lui plut bien, il répondit
"Je vais en parler au gouverneur, lui demander si nous pouvons exploiter cette idée, vous me plaisez bien vous savez."
Lerequin laissa Yohan repartir, il alla au bureau du gouverneur
"Désolé Monsieur mais vous ne pouvez pas entrer, votre nom?
-Lerequin
-Je vais en parler au gouverneur
L'homme entra et resorti, Lerequin entra sous l'oeil du garde
Laissez-nous, fit-il
Veuillez m'excuser monsieur le gouverneur, mais nous avons un plan pour défendre la ville...
Lerequin expliqua tout le plan en détail, le gouverneur semblait perplexe...
Pourquoi pas, aprés tout nous devons faire avec ce que l'on � , je vous autorise �  prendre des hommes parmis les habitants, si vous êtes défait rejoignez le fort... Concernant les caves je peux vous envoyer quelques hommes pour vous aider �  faire les travaux...
Lerequin alla donner la réponse du gouverneur à Yohan
   

Lerequin informa yohan de la décision du gouverneur .

Merci pour votre soutient .je me mets de ce pas en position pour commencer a faire les baricades et agrandir les caves.je vais aller cherché tous les habitant que je pourrais trouver ils nous fait beaucoup de main d'ouvres et de matériaux pour faire ces barricades.  déclara yohan Tout en serrant la main au Capitaine qui l'apprécia de plus en plus avec ce charisme que peu de capitaine on ,yohan étais fière  de se battre a ces cotés.

   

Navarro,le captaine qui a suivi Doroit pour aller retrouver les renforts,étant sur l'un de ses trois sloop s'approcha du navire de Doroit pour s'y accrocher ,monte a bord et demande �  ce même:
Alors Doroit,content de me voir venir avec vous je supose.A votre avis �  combien d'heures sommes nous des renforts?
...  

Doroit avait laissait partir Yohan il ne pouvait pas l'envoyer �  la mort. Alors que le sloop était �  5 mètres de distance de la frégate,Doroit hurla:

- Nous ne devons plus être loin maintenant.

La flotte française était alors a quelques dixaines de minutes de Doroit.La flotte française était maintenant �  porter de vue. Doroit devais trouver le navire amiral.

Au bout d'une heure, le capitaine Doroit et le contre amiral Saint Paul  s'accorda sur un plan.
Le batiment de ligne 13 frégates partirait défendre Grenade, 2 frégates et 5 corvettes partiraient avec Doroit.

Doroit avait maintenant sous ses ordres, 3 frégates,7 corvettes 2 brick et 3 sloops. Cela faisaient une flotte rapide avec une bonne puissance de feu.
Alors que des renforts prirent la direction de Grenade, Doroit et sa flotte  prit position �  500 mètres �  l'ouest de Grenade.

Doroit avait confiance en son plan,ils devaient tous être confiant pour gagner la bataille :
Alors que Grenade devient une ville forteresse,la menace se vit de plus en plus proche, sans le savoir les français devront combattre plus vite que prévu.  

Les travaux pour les barricades étaient en cours, Lerequin lui était occupé avec Yohan dans sa cabine pour parler du plan. un des hommes sur le chantier des barricaces vint le voir.
"Monsieur, il y'a un probléme à la barricade, venez-vite
Lerequin et Yohan partirent en vitesse, ils virent trois hommes qui étaient en train de tenir un autre homme
-Que se passe-t-il?
-On l'a trouvé avec un tonneau de poudre prés de la barricade, il allait l'allumer je l'ai vu.
L'homme se débattait, Lerequin demanda �  ce qu'il soit conduit en prison, et que le prochain espion pris en flagrant délit soit immédiatement tué...
Il désigna l'horizon �  Yohan en disant...
Vous avez vu tout ces points noir? les anglais seraient-ils sur le point d'arriver?  

Navarro,étant toujours sur la frégate du capitaine Doroit ,annonce fortement:
Eh,il y a un groupement de voiles par l� bas,ne serais-ce pas notre ennemis?Doroit!venez voir cela!A l'horizon...  

Lovecraft, qui s'ennuyait, monta sur la digue pour observait l'horizon, car on ne sais jamais, si un navire anglais ou pirate s'approchait, il aurai pu faire un joyeux stand de tir... C'est alors qu'il aperçu une voie �  l'horizon. Ce navire arborait pavillon noir... Des pirates se dirigeaient vers Grenade ! Malheuresement pour eux, ils ne savaient pas que la ville s'appretait �  défendre un siège. Il hurla auprès d'un garde pour qu'il lui donne une longue vue, et il regardait ce qu ise passait �  bord de ce navire: les pirates chargeaient leurs canons! Il lacha la longue vue que le garde rattrapa de justesse, monta en haut du phare (celui où les hommes tentaient encore d'y monter la pièce de 38), chargea sont fusil boucanier et attendit que les flibustiers soient �  portée, pour abbatre des hommes sans trop abimer le navire. Car en cette période de bataille imminente, ils manquaient de bateaux et un navire suplémentaire quel qu'il soit ne pouvait etre que bénéfique.  

A l'horizon on commençait à voir un mouvement important de navire.Il était impossible de déterminer leurs intentions,encore moins leurs nationalités.
On pouvait supposer suelement que c'était des anglais.

- On ne peut pas affirmer que ce sont des anglais, mais vu l'importance du convoi on dirai bien que oui ! annonça Doroit

Doroit appella son second pour lui informat qu'il devait tirer un coup de canon espacer de 30 secondes.
Le second ordonna à l'artilleur de préparer deux pièces d'artillerie.
Le premier coup de feu fut tirer, le boulet tomba dans l'eau.

27...28...29... Feu! cria Doroit

Un second coup de canon se fit entendre à Grenade.Le capitaine de la Garde reconnut le signal de Doroit.

- Doroit a repéré des ennemis !J'espère que les défenses sont pretes !Gardes à vos postes donnez l'alerte dans toutes la ville et que ça saute ! ordonna le capitaine de la Garde.

Les gardes se précipitèrent dans tous les coins de l'île donnant l'alerte que du mouvement a été apreçu par Doroit.

Quand à Doroit sa flotte changea sa position, il reculèrent de 300 mètres sud ouest, ils étaient maintenant moins à la vue de tous les anglais.

Au port de Grenade, les renforts furent apreçu.le batiment de ligne et les 13 frégates arrivèrent au ports de Grenade confirmant que la menace n'était pas les renforts mais surement un mouvement imporant de navire.
Doroit ordonna à Jack navarro de regagner son sloop.
La tactique est simple, les sloops vont en repérage ils ouvrent le feu, le reste de la flotte rapplique.Pendant ce temps là les forces de Grenade attaqueront les anglais.

ils fallaient faire vite,le convoi de navires était pret, les batteires de canons étaient pretes à faire feu.
Un long combat sanglant et éprouvant va avoir lieu dans très peu de temps, demain ou dans quelques heures nous déplorerons les premières pertes.
Doroit tenais un journal de bord, il le tenait pret de lui pour le finir et l'envoyé par bouteille à la mer si jamais il ne devais mourir.  

C'est alors qu'un vulgaire sloop arborant le pavillion francais, longeait la longue ligne de navire anglais. Le jeune capitaine, Barbe Noire, insurgeait comme a son habitude les capitaines de ces navires. Après avoir fait le fanfaron devant ces fichus anglais il se dirigeât toutes voiles dehors en esquivant quelques boulets vers le port, ou il fut acceuillis a grand houra!! A peine eut il mis le pied a terre qu' il demanda ou signer:- hol�  moussaillon du qu'je signe pour taper sur des tuniques rouges.                                                                                                                     Un moussaillon s'approcha : ici mon capitaine                                                                                                                   Une fois, cette formalité rempli il se dirigeât comme tout bon capitaine vers la taverne pour se deshalterer avec ses hommes.                                                                                

Edit: C'est bien de poster mais fait toi un perso Rp et au moins préviens nous avant de poster et surtout dit nous ce que tu veux poster
kevin26703  

Lerequin entendit les gardes donner l'alerte, les travaux avaient été fini,heureusement. Les caves menaient au fort ainsi que dans la ville pour fondre plus vite sur l'ennemi, un système de poulie pour tracter les canons avait aussi été installé, les ordres étaient clair, les canons devaient être remonté jusqu'au fort grâce aux systèmes de poulie ou être saboté, mais ils ne devaient pas tomber entre les mains anglaise, les caves devaient elles être fermé de l'intérieur, afin de ne pas faciliter le travail des anglais, de plus les hommes présent en ville devaient se replier en cas de perte trop sévère et se replier dans le fort.
Il y'avait quinze canons pour couvrir la plage sud, quinze pour la plage nord ainsi que quinze pour la plage Est, un canon avait été installé �  trois endroits différent pour couvrir la retraite des marins si le pire devait arriver... les hommes étaient caché parmi la végétation ou dans des batiments, les canonniers étaient prêt �  tirer au moindre coup de feu, Lerequin inspecta une dernière fois ces défenses avant de rejoindre ses marins sur la plage Nord, pendant que Yohan était chargé de la plage Sud et Sprat de la plage Est....  

Yohan se trouver vers la plage sud dans la première bâtisse prend a repoussé les anglais.Le capitaine Lerequin lui avait donner 30 hommes pour défendre cette plage.Ce qu'il contait faire a tout prix.Yohan étais stéssé et si les anglais connaissait leurs plan ils pourrait passer derrières et eux et personnes ne pourrais les arrêter.les hommes que l'on lui avait donner étais presque des soldats aguerries pour la plus part ils étaient des sordats de la garnisons les pirates de Lerequin soccupaient des cannons Yohan avait entendu des rumeurs sur leurs courages et il n'en douterait pas.Yohan vérifia les armes de "ces" hommes tout est pret il ne manquent plus que ... LES ANGLAIS .  

Un mois était passé entre la menace des anglais et aujourd'hui, les anglais devaient chercher une pseudo rançon pour sauver la ville.
La flotte anglaise se tena prête sur le lieu du rendez vous,voyant que les français avaient une demi-heure de retard, les anglais savaient que les français se battraient jusqu'au bout.
La flotte anglaise parta �  la rencontre des défenses de Grenade.

Alors que la flotte anglaise s'apporchait,chaque hommes pouvant combattre étaient mis �  contribution. Chacun avait un fusil,pistolet ou un sabre.
Les défenses cotières était prètes.Les français étaient prets encore plus motivés que les anglais pour garder les richesses de Grenade bien caché dans le fort.
Le centre ville c'est lui aussi transformer en fort, des barricades sont présentes dans toutes les rues afin de boucher le plus de boyau de la ville susceptible de rendre l'accès aux centres villes et aux forts plus rapidement.
Les barricades était souvent composés de tous et n'importe quoi, allant du mobilier trouvé dans les maisons au tonneaux rempli avec des pierres et du sable, sans oublier un espace pour le canon.
Les anglais devront avoir vraiment du courage pour prendre Grenade car même si ils arrivaient �  débarquer sur les plages de Grenade leurs objectifs sera de prendre le centre ville.
Un blocus serait insuffisant pour prendre l'île de Grenade, car 1 semaines plus tôt un convoi de 10 flutes de ommerce battant pavillon français ont livré �  Grenade suffissament de poudre,munitions armes, vivres,eau pour tenir trois bon mois de blocus.
Surtout que les anglais n'ont pas autant de temps pour prendre Grenade car les renforts français seront �  Grenade bien plus tôt que cela.
Le capitaine de la Garde controlait lui et ses hommes les entrepots d'or et de divers matériaux,métaux et objets précieux �  l'économie de l'île et de la France.

- Messieux nous devons tenir cette endroit coute que coute, le chemin le moins loin pour venir ici est �  l'est, surveillez cet endroit sans baissez la garde dans les autres directions ! ordonna le capitaine de la Garde.

La flotte anglaise �  porter des défenses de Grenade mais avant que les anglais se mettèrent en position, Doroit et sa flotte firent leur apparition et lancèrent une gorsse attaque sur les envahisseurs.
Les anglais ayant vu Doroit et sa flotte n'avait pas le choix que d'éliminer les renfiorts tous en pillonnant la ville.


(HRP:)N'oubliais pas que vosu avez des renforts français,1 batiments de ligne + 12 frégates, profitez en j'éviterai de controlait cette flotte alors servez vous en ;)
Voila le combat est lancée, ceux qui pourront m'enoyez 5 duels de cannonade dites le moi par Mp SVP
   

Lerequin était content, son épaule ne lui faisait plus mal, les barricades étaient installés, depuis que les renforts étaient arrivé en tout il y'avait quatre-cent quarante quatres hommes aux quatres barricades, ce qui representait cent onze hommes par barricades, il y'avait en plus les cannoniers de Lerequin, une quizaine de personne, qui s'était dispersé dans les quatres barricades, les premiers boulets anglais touchérent la plage, ne soulevant que de la poussiére, l'autre salve explosa, projetant cinq pirates en l'air, trois autres furent touché �  cause des éclats d'obus, Lerequin ordonna de se mettre �  l'abri dans les caves des maisons, dix pirates n'arrivérent pas �  destination, étant emporté par l'explosion des boulets de canon, une des maisons dans lesquelle se trouvait cinq pirates fut détruite, Lerequin ordonna de faire jouer les défenses cotiére, un boulet toucha le mât d'un drapeau anglais, un autre détruisit un de ses navires, deux autres boulet explosérent devant un des navires, projetant une énorme explosion. Une quatriéme salve toucha encore un navire anglais qui dut se saborder, de ce côté de la plage les anglais finirent par débarquer, les hommes se mirent en position d'embuscade...  

Jack Navarro lanca un énorme cri de son sloop jusqua l'oreille de Doroit:
Captain!Les anglais ont accostés la plage "Lerequin"!Que devons nous faire!Quels sont les ordres?!
Le temps que le ultrason arrive �  son oreille,le navire de Navarro fut touché au bastingage,ayant comme pertes un canon sur 10 et 2 hommes sur 60.
Que devons nous faire?!
...  

Doroit avait appris que les anglais ont commencer �  débarquer,ce n'était pas leur mission de leur débarrasser des anglais qui débarquent, eux devaient attaquer les navires anglais en seconde ligne ou même ceux qui pillonent la ville.

Doroit prit pour cible un galion de 65 canons et d'environ 500 anglais.Il pensait que si le galion tombait il y aurait une brèche pour ataquer les batiments de ligne et frégates qui attaquent la plage.

Les sloop eux devaient s'occuper d'une frégate rapidement avant que celle ci ne détruisent les sloop,la frégate anglaise était armé de 32 canons et possédait le double de marins des 3 sloop c'est a dire 360 marins environ.
Les navires de débarquement ne partaient pas d'un navire mais de barbade. Ce sera plus dur pour les renforts maritime.

Les 2 bricks devainet s'occuper d'une grosse corvette de 28 canons et de 200 marins, et par chance prendre ce navire pour l'utiliser contre les anglais.
La consignes était simple , les français devait prendre possesion du navire en priorités seulement si c'est impossible, de l'envoyer par le fond.

Le batiment de ligne français venait de se prendre plus de 120 impacts de boulets se qui fut difficile pour lui de combattre, il riposta en faisant de grand dégats �  une frégate,finalement une corvette française l'acheva.
Les autres frégates se lancèrent un duels avec les corvettes et les frégates anglaises, 5 frégates anglaises venaient d'arriver en renforts.

Doroit demanda aux frégates qu'il avait sous son commandement d'attaquer le batiment de ligne de 87 pièces d'artillerie qui arrivat par l'Est.

- le combat est lancer ! Sus à l'Angleterre ! cria Doroit  

Avant que les 1er boulet arrivent sur la plage et sur les Habitation, Yohan avait placé c'est hommes dans les habitations.Sauf que par malheurs une des ces habitations Fut détruite par les boulet adverse avnt que les anglais n'enflamment cette maison Yohan parti avec 3 hommes pour voir les pertes:30 hommes etais sous cet maison d'après le l'officier en charge du groupe 10 étais soit mort soit gravement blessé .

Retournez au fort si les galeries ne sont pas détruites et diriger vous après avoir déposer les blesser retournée au centre ville on va avoir besoin de tous les hommes disponibles. S'écrit Yohan.

Les anglais ont alors débarquaient ,les bateaux ennemies avaient arrêter de tirer Ce fut le tour de nos canon de tiré ils réussir a détruite 1 chaloupe anglais et démâter une sloop le dernier canon quand a lui ne tira pas il étais chargé de mitraille pour décimé les rang anglais lors de leurs regroupements.Ce canon fit des dégâts non négligeable dans les rang anglais. Après 2 salves le canon fut repérer �  ce moment l� , je décidais de lancer l'assaut pour ne pas perdre le canon .Le combat fut assez inégale les anglais n'avait tous débarquer;Nous les avons repousser avec 13 hommes mort et 5 blesser gravement .Bilan de la 1ère attaque : 23 mort et  25 hors de combats il me restaient seulement 60 hommes.Yohan hésita �  ce replier sur le centre ville il fit quand même replier les canon dans le centre ville pour ne pas les perdre.Ce combats risque d'être plus dure qu'il ne l'avait penser.   


   

Magraen se trouvait avc sa companie dans le fort et essayer d'étoffer la sienne avec des bagnards et des prisonniers, quand soudain il croisa du regard un vieil homme avec une sale tête de flibustier, un bandeau noir sur son oeil gauche et l'air mauvais. Il l'apostropha :
"Et toi c'est quoi ton nom ?!?
"Kane, pourquoi ??"
"tu veux combattre sous mes ordres contre les anglais?
"Contre ses sales chien galeux, toujours ! Donne moi mes armes et je les tuerais jusqu'en enfer !!
"Ca fait du bien de voir quelqu'un qui est un enragé des anglais!
"Enragé, tu l'as dis. Et je peux prendre mon assistant ?  
Magraen acquiesa et ordonna qu'on libère Kane et son assistant et qu'on leur rende leurs affaires personnels.
Sur ce Magraen leur demanda :
"Et au fait tu sais faire quoi ??
"euh ... je sais nager, je me débrouille au sabre et avec Katarina...
"hein qui ??
"mon tromblon, et mon assistant sait parler anglais ...
"Anglais, très bien l'élèment qui me manquait!
"hein, quoi, euh... très bien si vous le dîtes.  

Guillaume avait en effet il y a quelque temps parlé a son supérieur d'une petite plage non défendue par les français ou les anglais avaient de quoi faire débarquer un régiment. Gardant son action secrète et connue du seul Doroit, Magraen avait rassemblé une compagnie d'une trentaine de solides gaillards haïssant l'Angleterre.
Embusqué prés de la plage en question, le jeune officier fut d'une grande joie en voyant une frégate débarquer une compagnie anglaise la et jeter l'ancre dans la baie naturelle formée autour de la plage. Une fois la compagnie de tunique rouge enfoncée dans les terres, seule une chaloupe restait sur la plage.
Se faisant apercevoir, les hommes de Magraen attirèrent la quinzaine d'hommes de garde sur la plage dans un véritable guet-apen discret, au terme duquel la moitié de la compagnie de l'officier avait revêtu des tuniques rouges et était montée dans la chaloupe qui attendait de raccompagner les soldats de sa majesté a la frégate.
Sous ce déguisement, les hommes montèrent dans la frégate. Bien sur, ils furent questionnés par les hommes restés a bord mais, dans un anglais magnifique, l'assistant d'une des recrue de Magraen éluda les questions jusqu'�  ce que six des français se soient hissés a bord. Sortant ses pistolets de sa tenue, leur chef abattis deux anglais pas assez méfiants. Immédiatement, les cinq autres hommes a bords a cet instant tirèrent aussi, ne laissant que trois anglais en vie sur le pont. Deux furent abattus de la rive par Lovecraft qui s'était joint a l'aventure et le dernier fut transpercé par la balle du mousquet de Kane qui venait de se hisser a bord. Les autres anglais qui montèrent sur le pont depuis l'intérieur du bâtiment subirent le même sort. La frégate était passée au mais de Magraen et de ses troupes. L'assistant de Kane parti a terre avec une chaloupe que le groupe resté a terre utilisa pour monter a bord a son tour, pendant que l'homme de main du vieux pirate allait chercher l'arrière garde de la compagnie anglaise, non encore arrivée en ville.
Utilisant sa connaissance de l'anglais, il signala aux soldats qu'ils avaient l'ordre de revenir et d'installer un camp-avant-poste sur la plage, devant la frégate.
Pendant que les tuniques rouges revenaient sur leur pas, le reste de l'équipe de Magraen arma tout les canons de la frégate, les emplissant de mitraille et les tenant tous prêts cotés rive.
Les soldats rouges revenus, il ne furent pas accueillis par leur compatriotes mais par deux salves coups sur coups de mitraille qui semèrent la pagaille das leur rangs. Tirés comme des lapins par leur propre navire, nombreux moururent la et seuls une poigne survécu et se dispersa sur l'ile. Satisfait de la réussite de son piége, le jeune officier et son équipe échouèrent le navire sur la plage et prirent en chasse les anglais ayant survécu a se débarquement...  

Les anglais étaient maintenant sur la plage, les hommes cachés dans la végétation tirérent, touchant trois anglais, dont deux furent tué, ils se repliérent ensuite dix métres plus loin et refirent la même chose, tuant cette fois cinq anglais, Lerequin voulait d'abord user les anglais mentalement, ce qui marchait puisque leurs tirs ne touchaient que deux des quinzes pirates embusqués. Une grosse explosion se fit entendre, les six canons de la plage avaient tiré, trois boulets touchérent les anglais, en tuant dix, les anglais étaient maintenant �  portée de la barricade, les hommes se leverent avec leur mousquet, Lerequin cria
"Feu"
Un déluge de balle sortit des mousquets Français, cinq anglais s'écroulérent �  terre en se tenant le ventre, la riposte anglaise tua cinq hommes, quatre pierrettes rempli de mitraille avait été installé dans des petits trou fait exprès pour, les anglais les virent trop tard, la mitraille en toucha une vingtaine, il ne restait plus que deux anglais, Lerequin en tua un avec son pistolet, le dernier s'approcha d'eux et déposa son arme par terre, il fut conduit �  la prison par les caves. Lerequin se mit �  crier
"Il va en venir d'autre, emmenez les blessés au fort, comptez vos munitions, fouillez le corps des anglais, la deuxiéme vague devrait bientôt arriver..."  

Laissant Guillaume et quatre hommes sur la frégate échouée, Magraen se lança donc a la poursuite des anglais qui les fuyaient, lui et ses hommes. Sans aucune pitié, chaque anglais rattrapé était abattu, et ce jusqu'�  ce que les trois derniers survivants, coincés dans une clairière, ne rendent les armes. S'apercevant de leur proximité avec la ville, Magraen renvoya tout ses hommes a l'exception de Kane, deux gardes et l'artilleur avec lesquels il escorta les prisonniers jusqu'�  la ville. Il aperçut un monceau de cadavres en tuniques rouges devant la barricade de Lerequin et eu juste le temps d'ordonner de se jeter a terre avant que, zélés, les gardes de la barricade n'ouvrent le feu. D'abord invectivé par le capitaine, celui-ci fini par les féliciter pour leur prise et leur demanda d'escorter leur prisonnier vers la prison tant qu'ils y étaient.
Les canons des deux camps continuaient de lancer leur projectiles mortels mais le groupe de l'officier n'eut aucune difficultés a amener ses prisonniers en prison et a revenir a la barricade. De fait, les combats n'avaient pas encore gagné l'intérieur de la ville. Arrivé a la barricade de Lerequin, le petit groupe fut contraint d'aider les défenseurs face a une nouvelle vague d'anglais. Voyant qu'ils repartaient hors de la ville, le chef de la barricade les héla :
Vous allez ou comme ca ?
On repart au bateau qu'on a pris pour voir ce qu'on peut en tirer, bien sur !
Pourquoi ne pas partir en mer pour aider au combats ?
On est pas assez nombreux pour manœuvrer une frégate. Par contre, on peut en faire une belle petite forteresse. Les assauts a terre vont s'intensifier, je pense qu'on ne se reverra pas avant la fin. Bonne chance, Lerequin !
Bonne chance, Magraen. Tenez bon votre bâtiment !  

Après cette bataille, les anglais envoyèrent leurs hommes cinq par cinq, tous furent tué blessé ou fait prisonniers, au bout de quelques heures, voyant que leurs troupes ne pouvaient pas passer ils décidèrent de pilonner la plage nord, ou se trouvait Lerequin, il conduisit ses marins �  l'abri dans les caves des maisons, les pilonnages duraient cinq minutes par heure, ils n'affablisaient pas Lerequin et ses hommes, cachés dans les maisons, la barricade dut subir quelques dêgats et fut endommagé...
Quand les tirs furent arrêté, les défenseurs se précipitaient comme des vautours autour de corps des mort, prenant piéce d'or, sabre et toute autre chose de valeur, Lerequin vit un pistolet double canon prés d'un des corps, il fouille le corps et y trouva aussi un magnifique sabre...
Lerequin ordonna �  deux marins de guetter la mer et de l'avertir de mouvement de troupe, il alla voir Rekans �  la plage Sud  

A la fin de la ème attaque des anglais ils ne restaient a Yohan plus que 30 hommes en états de ce battre.

On a pas mal morflerrépliqua un des marins

Oui mais les autres aussi on du avoir beaucouop de perte .Mais je pense pas que l'on puisse résister a un autre assaut.Se lamenta Yohan

Quand soudain on entendit de bruit de pas ,Tous chargèrent leurs fusils pensant a des anglais et garrer .mais ce fut Le Capitaine Lerequin qui vint avec 5 des ces hommes pour voir l'état de notre contingent.

Alors Yohan je vois que vous vous en êtes pas trop mal sortis

On c'est de brouller mais les frégates ont pilloner notre barricades il n'en reste plus rien et on a perdu un canon qui est inutilisable et ils ne reste plus que 30 hommes.Tiens voula les renfort anglais qui arrivent

les francais firent feu sur les renfort anglais tous les tirs de lerequin firent mouche comme ceux de ces hommes.A la fin de l'assaut il ne resta plus que 2 anglais encore vivant et nous n'avions perdu que 3 hommes dont 1 mort.

Très bien exécuté les prisonniers et fouiller les corps ils ont peut être des chose de valeurs sur eux.En se dirigant vers lerequincapitaine que fesont nous nous ne pouvons pas tenir la plage plus longtemps.







   

Le Navire de Doroit arriva en position de tir , mais les hommes de Doroit furent les plus rapide �  ouvrir le feu, la bordée fut très bien placé et les galions subit de grand dégats du coté tribord en ayant au moins perdu quelques canons.Les tirs avaient endommagé l'intérieur du galion tuant quelsques artilleur et en blessant un certaisn nombres.

La riposte du galion ne fut pas longue �  attendre, les canons firent feu et le pont fut touchés, les voiles furent un peu déchiré par les tirs, les mats n'avaient subi aucun dégats mais le bastinguage avait totalement ou presque, arrachés par les tirs ennemis, tuant qdes marins mais en sauvant énormément.

Alors que les hommes de Doroit tentèrent de trouver un moyen pour prendre �  l'abordage le galion "Le Roi des Océans"le navire de Doroit envoya une nouvelle bordé faisant pas mal de dégats sur la coque.

C'est en voyant les dégats que Doroit eut une idée:

- Essayez de grimpez sur le batiment  les autres essayez de passer par les dgats fait avc nos canons et tuez le plus d'artilleur possible.

L'ordre de Doroit fut suivit �  la lettre et avant que certains canons furent rechargé, les hommes de Doroit reussirent �  passer par la coque, seul problème et que le nombre de marin ayant reussit cette prouesse et très limté, seul la moitié des 60 marins sont passés, et devaient tenir leurs positions.

Alors que ceux qui escaladent le navire étaient nombreux mais tomber rapidement aux combats.
Aux bout de pénible effort, les français arrivèrent �  monter sur le navire et �  défendre les positions.
Alors que les français occupés les anglais,un canon du galion fut utilisé contre le grand mât de celui-ci, grace �  cette prouesse les renforts pouvaient grimper par le grand mat.Suivit du mat d'artimon qui fut abbattu par des tirs de canons de la frégate.
La frégate reussit �  s'éloigner du galion pouvant avoir un meilleur angle de tir, les anglais trop occupé �  repousser plus de 150 marins ennemis ne pouvaint tenter des tirs aussi précieux,éfficace et nombreux qu'avant.

Doroit ordonna le départ de chaloupes elles transporteraient dans une premier temps 50 marins.
Deja que sur les 150 marins on compte 35 victimes française alors qu'il y a en a plus de 80 anglais tombé aux combats. Les français on nettoyer rapidement les soutes ennemis, les anglais étaient surprit et abbattu se qui fut une vrai reussite.
Alors que sur le pont il y a avait énormément de mort pour les français comparé aucx anglais, ceux ci se livrèrent une bataille �  coup de mitraille tuant beaucoup de soldats mais amochant aussi les gréement.
Si les renforts français n'arrivent pas aux plus vite le galion repoussera l'assaut.

- Que Dieu soit avec vous et vous mène sur le galion la reussite de la mission est sur vos épaules  soldats !  

Lovecraft, qui était remonté sur le navire avec Kane et Magraen, parti dans la cabine de l'officier de bord, et y trouva un splendide mousquet qu'il coinça dans sa ceinture ainsi qu'une bouteille d'un excellent armagnac. Margraen quand �  lui s'emparra du sabre de l'officier et Kane parti chercher les munitons, et commença �  en faire l'inventaire, car il n'avait pas encore trouvé quelque chose d'interressant.

L'artilleur parti voir les canons du navire et en compta 32, tous neufs ( des pièces de 8 ). A croire que les anglais avaient fait fabriquer des canons juste pour attaquer Grenade...

Mais le plus important pour l'instant était de transformer le navire en forterresse, donc de disposer astucieusement les canons de façon �  pouvoir tirer partout autour et �  modifer le navire en conséquence.  

Lerequin répondit �  Yohan de se replier vers la prochaine barricade, d'emporter les canons gr� ce au systéme de poulie et de fermer les caves pour que les anglais ne s'en servent pas, il retourna vers son coin, les anglais venaient de débarquer, une centaine d'hommes, les canons des défenseurs en tuérent une dizaine, mais l'artillerie anglaise tua vingts des français, Lerequin fit tirer les pierettes et ses hommes, trente anglais furent touchés, maintenant que les forces étaient �  égalité, Lerequin ordonna de charger au sabre, les anglais furent tous tué, au prix de dix hommes, Lerequin ordonna la retraite �  la prochaine barricade, ils étaient maintenant cinquante et un....  

Pour tranformer le navire en forteresse provisoire, il fallait modifier la disposition des canons: au lieu d'en avoir 16 de chaque coté, on en plaça 8 sur la proue, 4 sur la poupe, et on en laissa 10 sur les cotés. le navire pouvait maintenant se défendre de tout les cotés. Pour la suite du plan (remettre le navire �  l'eau et attaquer la flotte anglaise) il fallait gagner en vitesse, donc enlever tout ce qui est inutile sur le navire, �  commencer par les vivres. On fit également mettre �  terre touts les hamacs des marins, les meubles de la cabine du capitaine ainsi que son service �  thé (toute prise de vitesse est bénéfique).
A la fin il ne restait sur le navire que les munitions, les canons et les voiles...  

Kane ayant vu que l'on avait transformé le navire en forteresse volante se demanda qu'elle était la suite du plan. Il demanda �  Frank :
" C'est quoi la suite, d'après toi ?"
" Euh ... vu qu'on a enlevé les hamacs et le service a thé, je dirais que soit on veut s'enfuir au plus vite ...
" QUOI ?? Comme des lâches, face à ces engeances du chaos !!  
" Ce n'est qu'une supposition, où bien on va au milieu de ces chiens et on fait un baroud d'honneur ...
" Du moment qu'on les égorge ces chiens, même ceux qui se rendent. Pas comme Magraen qui veut respecter les "conventions de la guerre"(ironique) , ne pas "éxécuter ceux qui se rendent"(encore plus ironique). Foutaises, Ils se rendent pour mieux nous poignarder dans le dos ! Ils faut tous les tuer, par derrière avec une balle dans la tête !
"Non, pas une balle, leur vie ne valent même pas le prix de la poudre. Il faut juste les égorger, comme des porcs autant qu'ils sont. Mais bon il faut se préparer au combat, faites votre prière, affutez votre lame et préparer Katarina pour le festin qui s'annonce!!
" Tu as raison, et toi n'oublie Natasha ... Ezekiel 25, 17 (marmonement) ...  

Doroit continua le combat avec la galion, mais celuici envoya une bordée destructrice.
un boulet touche légèrement en dessous de la ligne de flottaison. Le navire commencais �  prendre un peu, l'eau, mais le grand mat et le mat d'artimon furent arrachés.Plus aucun de moyen de fuir  pour  Doroit, le navire ne pouvais quasiment plus bougé.De plus beaucoup de pièces artillerie furent touchés peu de chance de gagné par cannonade.
Un nouveau tir anglais vint cette fois toucher la ligne de flottaison,de l'eau rentrez de plus en plus dans la frégate.

- De l'eau s'infiltre dans le navire capitaine ! dit le maitre charpentier très stréssé.

- Et mince... Pas le choix nous devons prendre le galion envoyer encore plusd e marins sur le galion. ordonna Doroit

- Mas capitaien nous pouvons encore... contesta le charpentier

3 boulets virent touchés la coque en dessous de la ligne de flotaison, il n'y avais plus d'espoir, tous les marins prirent le maximum d'armes et montèrent dans les chaloupes.

Celles ci faisaient des aller-retour pour amener le plus de marin sur le galion, Doroit monta enfin sur la chaloupe, le navire était rempli d'eau les soutes étaient immergés.

Les français tentèrent un massacre en règle des anglais mais ceux ci se défendaient bien.
Pour l'instant il ya avait 200 français �  bord du galion 50 encore dans les chaloupes, il y avait eu 100 morts, pour les anglais sur 500 marins il n'en restais seulement que la moitié.Le rapport de force était équitable.

- Tous le monde dans le navire ! ordonna Doroit

Doroit se lança dans un combat avec 2 soldats anglais, il eut du mal les désarmer surtout qu'il fut touché  �  l'avant bras que très légèrement mais il était quand même en mauvaise posture.
Il profita d'une erreur d'un des anglais pour lui enfoncer sa lame dans la poitrine, l'autre anglais tenta de le tuer mais Doroit lui lanca un petit couteau qui toucha l'anglais �  l'épaule.
Etant un bon escrimeur, Doroit tua l'anglais.
Le combat fut rude surtout quand anglais et français s'échager des tirs de pierrettes.  

Lerequin s'appretait �  recevoir la troisiéme vague, ayant du abandonner la barricade les anglais en firent un avant-poste avancé, Lerequin avança petit �  petit, quand il vit les anglais il fit rouler un tonneau de poudre jusqu'a eux et tira dessus au moment opportun, une dizaine d'anglais furent tué, les autres blessées, leurs tirs ne furent pas trés précis �  cause de la fumée provoquée, Lerequin en profitai pour fuir. Les anglais firent feu sur la barricade, celle-ci vola en éclat, provoquant le mort de trois hommes �  côté, les anglais arrivérent mais les pirates, cachés dans les batiments les tuérent, les pierettes tuérent le reste avec la mitraille, les anglais restants furent fait prisonnier et executés...  

Kane et Frank regardaient les marins mettre les canons en position :
" Mais qu'est-ce qu'il peut bien foutre, ce Magraen ?!!
" Je sais qu'il a un plan, mais je sais pas ce qu'il fout dans sa cabine depuis 2 heures !!
" en plus il s'est enfermé avec l'artilleur...
" quoi avec l'artilleur ??! euh ... tu croies pas qu'ils seraient ...
" ouais il est ...
" hein ??
" oui, l'artilleur est un pervers fini ...
" euh, je ne parlais pas de ça !
" hein quoi, j'entends pas !! Parle plus fort !
"euh, non rien ... et peut-être que Magraen est peureux !
" Quoi lui !! Je peux pas le croire !
" Ou bien c'est un traître et un allié de ces ordures d'anglais
" Quoi !! J'en étais sûr on peut pas être blond et être français. Et en plus il a la peau pâle, comme un de ces aristots de ces catains de l'enfer. Que le diable l'emporte !!
" Mais avant tout il faut attendre qu'il fasse un mouvement qu'il le trahisse ce chien de Belzébuth !!
"Attendons encore deux heures �  moins qu'il nous donne des consignes pour attaquer ces engeances du chaos !!
Sur ce la porte du capitaine s'ouvrit et Magraen et l'artilleur sortirent...
   

Quand Magraen et l'artilleur sortirent, Kane et Frank virent une bien étrange scène: Magraen, portant l'artilleur par le col d'unem ain et avait une bouteille presque vide dans l'autre.
Lovecraft se débattait, et criai:

-mais tu vas me lacher oui ??? t'a pas autre chose �  faire que de nuire aux honnetes gens ??? ça y est j'ai bu l'alcool d'un officier anglais mort et tu va me chercher des noises ???
-tu est complètement saoul, tu tiens �  pene debout. et tes insubordinations répétées commencent sérieusement �  m'énerver. ainsi je vais te mettre aux fers le temps que tu cuve ton vin, et ta bouteille sera vidée dans la mer.
-nooooooooooooooooooooooon !!!!

L'artillleur était déserpéré, et saisit son fusil par le canon, ce qui eu pour effet d'envoyer la crosse du dit fusil dans la machoire de Magraen, qui lacha prise.
Lovecraft en profita pour reprendre sa bouteille et commençait �  reculer, car les hommes de Magraen l'avait encerclé. Mais �  force de reculer il buta contre le bastinguage ce qui le fit basculer par dessus bord, et il tomba sur la plage, et y vit Kane et Frank, hilares devant la scène. L'artilleur en profita pour essayer de courrir (malgré son hébriété avancée) et s'enfonça dans la jungle...  

- On va le chercher ?
Pas la peine, Kane, ca servira pas a grand chose. Bon, tout le monde a terre maintenant, on repousse ce rafiot a l'eau, il sera plus utile qu'ici.
Mais, chef, on est pas assez pour  le manœuvrer !!
Je sais Guillaume, je sais... C'est pour ca que je vais recruter quelques hommes en ville. En attendant, poussez le a flot et dés qu'il y est chargez déj�  les canons en attendant, mais ne quittez pas cette baie, compris ?

Mais chef, vous allez pas allez tout seul a travers les lignes ennemies ?
Non... Kane, Franck, on se déguise en anglais et on y va. Si faut passer au milieu de ces salauds, autant en avoir l'air, ca peu passer...
Les trois hommes s'enfoncèrent dans la jungle quelques minutes plus tard, aussi discrètement que possible...
   

Lerequin qui était �  la barricade entendit du bruit dans un buisson, une petite troupe de cinq hommes mirent trois hommes en joue, Lerequin alla voir ce qu'il se passe, il s'approcha d'un anglais...
"Alors? que faites-vous ici? Parlez
-Nous sommes des français Lerequin, nous venons chercher du renfort en ville pour manoeuvrer une frégate
Lerequin lui mis un coup de poing dans la joue, c'est aprés qu'il se rendit compte de son erreur
-Désolé Magreaen, je vous ai pris pour un anglais, que voulez-vous?
-Je vous l'ai dit, il nous manque une quarantaine d'homme pour manoeuvrer notre frégate...
-Je vous aiderai mais nous avons subi de grosse pertes, rendez-vous au fort ils ont quelques hommes, bonne chance...
-Merci, vous aussi Lerequin
Lerequin en profita pour réorganiser les défenses et fit cacher les munitions dans une des caves...  

Un peut plus tard, Magraen repassa suivit d'une soixantaine de solides gaillards, parfois tiré de prison pour l'occasion. Profitant d'un intervalle entre deux assaut, la troupe fila vers le navire et le trouva a flot et y embarquèrent en chaloupe. les 86hommes se répartirent ensuite les postes de manière a obtenir un rendement optimal de l'effectif et partirent en mer vers les autres plages de débarquement. Contournant ainsi la flotte anglaise par derrière sur un de leur navire avec leur pavillon, ils n'éveillèrent pas la méfiance et purent ainsi s'approcher de la frégate qui bombardait la plage de lerequin.
Celui-ci vit ce nouveau bâtiment arriver avec grande appréhension depuis la rive, s'imaginant voir les tirs s'intensifier sur sa position. Quelle ne fut pas sa surprise quand la frégate volée lâcha une bordée de boulets a bout presque portant sous la ligne de flottaison de la frégate britannique qui se mit a lentement sombrer avant d'accoster et de lancer l'abordage d'une autre frégate qui venait de débarquer son équipage et était donc presque vide......
   

Kane pensa que le coup de poing de Lerequin sur ce maudit Magraen n'était pas volé et il était de plus en plus amusé de voir que Magraen se prenait de plus en plus de coup ces temps ci. Il se demanda quand viendrait son tour de lui foutre une beigne. Il se dit finalement qu'il la réserverait au moment ou Magraen s révéleraitêtre un succube de ces damnés chiens de la peste (anglais). Il rit intérieurement de cette scène. Sur ce il se rua dans le Navire anglais et commença �  faire une boucherie sans nom tout en criant des verset de la bible (partie Apoclypse et jugement dernier (bref les plus intéressants)).  

Pendant sa course �  travers la jungle, Lovecraft fut assomé par une branche. A son grand étonnement il se reveilla dans une cabane, �  coté d'un jeune homme qui préparait une mixture étrange, en concassant une grenouille.

-Ohhh ma tete... ou est-ce que je suis?
-sur l'ile de Grenade.
-ça je sais... ils sont où les anglais??
-les anglais? quels anglais?
-ceux qui attaquent l'ile...
-ah l'ile est attaquée?
-Mais d'ou tu sort toi?? et t'es qui d'abord?
-Hector Lefranc, medecin, et artificier �  mes heures perdues... l�  je fabrique un poison tellement violent qu'il peut tuer un homme en �  peine quelques secondes.
-medecin et artificier hein? on pourrais avoir besoin de toi l�  bas..
- j'ai pas envie de risquer ma peau.

Lovecraft déguaina son mousquet, et le pointa sur Hector.

-et l�  tu viens nous aider?
-M...Mais bien sur monsieur... monsieur?
-...Lovecraft.
-bien je vous suis monsieur Lovecraft, mais avant, enduisez les balles de vos amres avec ce poison, ainsi meme une blessure serait mortelle...

Lovecraft fut impressioné... il pouvait ainsi tuer des anglais depuis la digue, juste en les frolant avec ses balles...

Cet Hector allait se réveler bien utile pour la suite...  

Une des sentinelles de la barricade alerta Lerequin qu'un drôle de spectacle se déroulait en mer, il vit deux navires pavillon anglais se battre, il reconnut plus ou moins Magraen, pour l'instant dur �  dire qui allait gagner même si les défenseurs avaient pris un sérieux avantage.
"Ou ont-ils pris les hommes?
-Je crois que ce sont des prisonniers capitaine, ils ont du les sortir des prisons...
-Trés ingenieux, décidément ils me surprendront toujours, je crois que les anglais ne débarqueront pas avant quelques heures, il se retourna vers ses hommes et hurla, reconstruisez les barricades, re-approvisionner les armes et les canons, allez plus vite...
La barricade commença �  devenir un lieu de travaux, Lerequin chargea un homme de surveiller l'ancienne barricade, les anglais ne devaient pas s'en servir comme avant-poste, il ordonna aussi a quelques hommes d'aller chercher d'autre canons...  

Du coté de Yohan les boulet des frégates anglaise avaient emporter 5 de ces hommes mais ces hommes tenirent bon face a l'assauts des anglais. Mal grès cela ils durent se replié, pour ne pas etre déborder,sur le centre ville ou ces hommes pourrait peu être soufflé.La situation devenait tendu et Yohan envoya un hommes informer les capitaine de sa situation.

Avec seulement une trentaines d'hommes on ne tiendra pas longtemps il fait que les renfort arrivent sinon tous le Sud de la ville tombera aux mains des anglais.
   

La frégate qui pilonnais le port était déj�  quasiment complétement coulée, et tout son équipage se raccrochait a ce qu'ils pouvaient ou avait embarqué dans des chaloupes qui avaient menés les hommes se joindre a la bataille de la seconde frégate que Magraen et sa compagnie tentaient de prendre.
L'apport des renforts de la frégate coulée avait obligé les français a se replier sur leur propre bâtiment qu'ils défendaient désormais, empêchant tant bien que mal l'adversaire d'y mettre pied. Les deux partis solidement barricadés derrières tonneaux et caisses, le combat s'enlisait. Les canons étant désormais inutiles au vu de la portée, il fallait trouver un solution rapide aux français s'ils voulaient éviter d'être submergés par les renforts anglais qui ne tarderaient pas a arriver.
Pour le moment, personne n'osait se lancer au corps a corps, les deux camps sachant que celui qui lancerait l'attaque subirait de lourdes pertes avant d'arriver au contact. Seuls quelques coups de feu occasionnels et inutiles étaient échangés. Il y avait deux cents cinquante anglais pour encore soixante dix français. LE combat promettait d'être rude, même si les français semblaient dans la plus mauvaise posture.
En tout cas, cette bataille navale semblait devoir laisser un répit a la défense terrestre. C'était déj�  ca de gagné.  

Jack Navarro prévena en criant �  Doroit ,qui lui venait juste de comencer �  monter sur le navire anglais,qu'il irait tout de suite l'aider avec ses 3 sloups avec pour équipageS 60hommes+40hommes+55hommes.
Arrivés �  s'acrocher au bastingage bâbord tribord et �  la proue en prennant le plus d'armement possible:
des sabres ,des mousquets,...
Sur le coup, 25 des hommess tomberent mais Jack et les siens étaient presque aussi nombreux que eux:60+55+40=159 et dès que Navarro vis Doroit,il ordonne �  59 hommmes d'aller sur le pont par la poupe,50 par la proue et 50 avec lui,par les escaliers centraux.Les anglais ne les voient même pas arriver grace �  la fumée produite par les coups de pistolets,tromblons,mousquets
bilan:les 70 francais de Doroit étaient déja �  moitié sur ce pont, ce qui fait:159+70=229 contre 191
...  

Invisible a la vue de tous, Kane était resté dans les soutes du bateau anglais. Discrètement (ca lui arrive !) il a réussit a saboter le gouvernail de sorte que le navire britannique soit obligé de faire lentement le tour de l'ile et de passer non loin de la pièce de 38 qu'il espérait armée. Il se faufila ensuite part les ouvertures des canons d'un navire a l'autre et surgit sur le bon au coté de Magraen.
T'était ou toi ?
T'inquiète, je me suis arrangé pour que le rafiot des rosbif passe devant les canons du port...
TU AS QUOI ? Mais, si ils passent la et qu'ils se prennent un coup de canon, ils vont exploser et nous avec : ils sont blindé de munitions !
Ben, on as qu'a rompre l'abordage en arrivant la bas..
Y'a qu'a, y'a qu'a... comment on fait si on peut pas atteindre notre gouvernail ?
Pourquoi on peut pas l'atteindre ? On est pas obligé d'y rester, virer un coup a tribord suffira ! Les amares entre les deux bateaux sont pas très solides, elles devraient se couper dés qu'on aura une direction différente... Ce qui en fait est déj�  le cas...
En effet, alors que les deux navires arrivaient en vue de la digue de Grenade et, plus loin, des combats en mer, les liens se cassèrent et, alors que la frégate anglaise allait vers le port, les français, libérés du feu ennemis, manœuvrèrent leur bâtiment de sorte a s'éloigner au plus vite.
Malgré tout, un tir de la pièce de 38 toucha le batiment anglais, causant son explosion, tandis que le navire français était encore proche, subissant ainsi de lourdes avaries. Craignant pour son propre batiment qui ressemblait en tout point a un navire britannique, Magraen fit quelques signes vers la berges pour indiquer sa nationalité et fut surpris de voir Lovecraft lui répondre, a coté de la pièce de 38 qui venait de les débarrasser d'un navire ennemi. Ainsi rassurés, les survivants du groupe de l'officier, encore soixante hommes, menèrent la frégate volée au port et débarquèrent en lieu sur, salué par l'artilleur...  

Lerequin recut le message de Rekans, il chargea dix de ses marins d'aller recrutez parmis les prisonniers du fort, enfin ceux qui ne comptent pas parmis les anglais, ils revinrent avec une vingtaine d'hommes armés de sabre et de mousquet, Lerequin les envoya sous escorte jusqu'a l'autre plage...
Deux nouveaux canons ainsi qu'une pierrette furent pris dans les réserves de la ville, Lerequin les fis positionner pour que leur artillerie ne soit visible qu'au moment crucial, pendant ce temps les défenseurs prenaient armoire et autre objet qui pouvait servir sur une barricade, certains en pillèrent même leurs contenus avant de s'en servir...

Pendant ce temps dans le coin de Sprat
Le temps défilait lentement, de temps en temps quelques boulets touchaient la plage, projetant un nuage de poussiére, pour l'instant tout était calme. Trois français étaient monté dans le plus haut batiment de ce coin-ci, afin de voir les mouvements anglais
Que voyez-vous? hurla Sprat
Quelques mouvements de troupes monsieur Sprat, rien de bien alarmant à peine cinq navires...Cria la vigie
et puis d'un seul coup deux grosses explosion tombérent dans le batiment, qui explosa, les trois français furent ejectés, dix navires frégates pillonaient maintenant la plage, les canons de Sprat touchérent �  peine un seul navire, les tirs s'intensifiaient, puis stoppérent, laissant apparaitre dix personnes qui gisaient �  terre , les anglais attaquérent aussitôt, profitant du choc causé par cette attaque soudaine, désorientés les français perdirent vingts hommes en tuant seulement cinq anglais, ils durent fuir et perdirent encore cinq hommes dans leur fuite, laissant les canons la, ainsi que quarante corps, cinq anglais et trente-cinq français...  

Voyant la débandade des hommes de sprat en ville, Magraen récupéra les survivants tant qu'ils pu, les ajouta a ses hommes et a quelques gardes pour former un contingent de deux cents soldats qui partirent en sens inverse et tombèrent sur les anglais aux portes de la ville.
Ces derniers n'attendaient pas de  leurs adversaires une réorganisation si rapide et furent contraint a faire demi tour sous les coups rageurs des français. Ceux-ci les pourchassèrent jusqu'aux ruines de la barricades de Sprat dont ils récupérèrent les armements pour pilonner la débâcle anglaise jusqu'aux chaloupes, suite a quoi les frégates britanniques reprirent le bombardement de la barricade et les français durent se replier plus loin, hors de portée des canons de la mer.
Cent trente anglais étaient tombés dans la contre attaque, pour seulement vingt français.   

Kane commença à penser
" Quand même faire aller-retour, aller �  droite �  gauche, pourchasser les anglais, se faire pourchasser des anglais Y en a marre ! Et puis y se passe quoi avec le gars qui est parti tout seul au milieu de ces chiens de rosbifs, hein on va pas l'aider peut-etre c'est la-bas qu'il y a le vrai combat c'est que tous les infidèles et les hérétiques se trouvent !! Mais non, le sale blondinet, veut �  tout prix sauver l'île ! Mais on s'en fout !! Ce qu'on veut c'est se farcir du rosbif !! De tous les massacrer, ces engeances du chaos !! Et une fois qu'on les a anihiler faut porter la guerre sur leur territoire ! Leur faire rendre leur monnaie de leur pièces ! Et ainsi on pourra voir si en effet ce sale blondinet est avec ces putains de Satan où si il est juste lent �  la détente."
Il en fit part �  son fidèle Frank, qui acquiesa et qui approuva même cette idée car maintenant les ports sont d'autant plus vulnérables avec la perte prochaine de cette flotte.  

Profitant qu'ils n'avaient guère qu'a ce tenir a l'abri, Magraen commença a opérer les comptes de la bataille.
Il restait encore aux anglais trois énormes bâtiments de lignes qui ne s'étaient pas encore joints a la bataille. Le galion était en pleine mêlée entre les hommes de Doroit les occupants premiers du navire, et sur les treize frégates envoyés par les anglais, il n'en restait que sept, accompagnés de huit de leurs corvettes. Les envahisseurs avaient donc encore dix-huit navires.
Coté français, le batiment de ligne et les corvettes étaient toutes au fond de l'eau, la frégate volée et le batiment de Doroit était hors d'état, ne restaient en mer que deux frégates et les sloops de Navarro... Mais treize autres bâtiments attendaient au port ! Et ce, avec des équipages presque pleins, sauf pour l'un des batiment dont les hommes se battaient a terre !
Laissant une cinquantaine d'hommes sur la barricade, Magraen pris les cent vingts autres et y joint l'équipage d'un sloop a quai, ainsi que Lovecraft de retour. Lançant quelques invectives aux capitaines des frégates, il fit monter son régiment dans la dernière et sorti du port pour rejoindre le combat naval, les douze autres bâtiments sur les talons...
La surprise fut grande dans les rangs de la marine royale anglaise, et d'autant plus que les deux corvettes qui voulurent arrêter la flotte française sombrèrent bien vite, emportant tout de même un des navires de leurs ennemis avec elles...

Courage, Doroit, nous ne sommes pas encore vaincus !  

Sur la galion anglais la bataile faisait encore rage,alors que certaisn marins de tiraient dessus avec les canons du galion faisant beaucoup de dégats �  celui-ci, d'autres, mené par Doroit  combattirent avec leur sabres.
Navarro tenta d'aider Doroit ce qui était très courageux de sa part.

Alors que les renforts montaient et que les combats se déroulèrent dans le galion, un stock de poudre explosa,le stock n'était pas suffisant pour tuer tous le monde mais 20 français furent carbonisés, 75 autres furent �  terre avec quasiment autant d'anglais,mais les ennemis de Grenade tuèrent les français plus rapidement, on déplorait en 10 minutes une centaine de morts coté des hommes de Doroit.

- Capitaine, avec l'explosion nous avons perdu nos position dans els cales du galions, nous sommes présents que sur le pont extérieur ! hurla un soldat français de l'autre bout.

- Horreur ! Ils nous ont eu... Est ce la fin ? Après tout j'ai bien vécut... Non nous devons nous battrre jusqu'au bout pour Grenade ! pensa Doroit qui n'avait plus confiance en cette offensive.

Protégé par 2 français ,il jetta un cop d'oeil sur sa frégate " Le Roi des Océans" si durement acquise, s'enfoncer dans les eaux des Caraïbes.
Doroit savait qu'il y avait peu de chance qu'ils survivent mais si ce galion est encore �  flots, la bataille sera rude.
Il pensa �  lerequin et �  Magraen entre autre, il espérait que la bataille se passe mieux que pour lui de son coté.

Maintenant Doroit se trouvait contre 4 anglais alors qu'avant il se faisait chargé que par deux anglais.
Il tenta de rejoindre navarro mais sa route fut barré par un officier anglais apparament très douer en escrime.
Alors que les hommes de Doroit predirent encore 25 marins, les renforts arrivaient �  peine mais se sera insuffisant pour gagner la bataille.

De 250, les hommes de Doroit étaient passer �  50,le cap des 200 morts lors de l'abordage est passé, 300 si on compte les 100 malheureux qui reposent aux fonds des océans.

Doroit fini par esquiver l'officier et il rejoigna navvarro qui venait �  peine de monter.

- Prenez des chaloupes et quittez les anvires on va tenter de le faire exploser ! annonça Doroit  

Les douze frégates restantes arrivèrent sur la flotte anglaise qui s'organisa en conséquence. Sur les seize navires qui leurs restaient, le galion était inutilisable du fait des combats qui s'y menaient et les trois bâtiments de lignes ne voulaient pas s'impliquer dans les combats pour le moment, les flottes étaient donc équivalentes dans les deux camps, avec a peine un avantage coté britannique.
Navire contre navire, artilleur contre artilleur, les canons crachaient leurs projectiles mortels dans des nuages de poussières. A ce jeu la, les frégates prirent le dessus sur les corvettes britannique, les envoyant toutes les six par le fond, a l'image de la bataille opposant la frégate de Magraen a un batiment déj�  bien entamé.
Durant cette bataille rapide qui ne nécessita pas d'abordage, les morts français furent peu nombreux et les blessés guère d'avantage, même si l'officier c'était fait entailler le bras par un éclat de bois.
Cependant, dans les combats de frégates a frégates, les anglais avaient l'avantage du nombre et ce furent cinq frégates françaises qui durent se saborder, abordages perdus, pour ne pas céder leurs navires aux anglais. Une sixième du faire face a deux frégates en même temps, et sa coque ne résista guère mieux. Il restait donc encore, en mer, six frégates françaises contre sept aux tuniques rouges, ces dernières possédant encore trois batiments de lignes et un galion ou le combat durait encore...  

Doroit envoya des marins dans les reseves de poudres restantes pour mettre feu au galion.
pendant ce temps l� , sur le pont les anglais exténué, se firent massacrer par les français.
Les français tuèrent 20 anglais pour 1 morts de leurs coté soit 60 morts anglais et 3 français morts.
Une véritable performance après le massacre des français.
il restaient 190 anglais et seulement 72 hommes de Doroit.Malheureusement, Navarro perdit énormément d'hommes car les anglais en ont profités pour les abbatrent alors qu'ils montaient sur le navire.
Mais les renforts permettaient quand même de rééquilibrer les forces.

Les hommes dans la cale furent tuer mais les français gagnaient du français sur le pont extérieur.Certaind mettaient �  l'eau les pièces d'artillerie pour éviter que les anglais tirent sur Grenade après une potentiel défaite.  

Les six frégates françaises s'organisèrent alors en arc de cercle dans le but de densifier les tirs sur les navires anglais qui y pénétreraient. Ceux-ci possédant cependant l'avantage du nombre, la bataille resta équilibré, avec un léger avantage pour les français aux canons et pour les anglais a l'abordage. Le sang coulait et les planches éclataient sans que nul ne puisse prendre l'avantage de manière certaine, d'autant que dans chaque camps un bateau était parti par le fond et d'autres étaient sérieusement endommagés.
Voyant que la tournure de la bataille jouerais bientôt en leur défaveur, Magraen ordonna le repli vers la digue, suivit des navires tant français qu'anglais.  

Lovecraft, qui attendait ce moment avec impatience, hurla sa joie quand il vit se rapprocher de la digue les navires anglais. La pièce de 38 était chargée, et bourée avec un pavillon anglais. L'artilleur avait également chargé son fusil et le mousquet qu'il avait volé.
C'est alors que le premier navire anglais fut enfin �  portée:

-Yiiiiiihaaaa !!! Par le fond !!!

Lovecraft, debout sur le canon, enflamma la mèche. A peine une seconde plus tard le boulet parti dans une formidable explosion, et transperça une corvette anglaise, dans la sainte barbe. La réaction ne se fit pas attendre et le navire explosa, ne laissant qu'un carcasse de bois brulé et des morceaux d'anglais, qui flottaient �  la surface... Aucun marin de ce navire n'aurai pu survire.
Entre temps le reste de la flotille s'était raprochée, et commençait �  pilonner la digue dans l'espoir de détruire la pièce de 38, ce qui arriva. L'artilleur avait anticipé cette contre attaque et parti se mettre �  l'abri le temps que le pilonnage cesse. Il retournerai par la suite  �  un endroit doù il pourrait tirer sur les anglais avec son fusil...  

Pendant ce temps, quelques sloops ainsi qu'une corvette étaient resté pilloné la plage de Lerequin depuis une heure, afin de préparer le débarquement des anglais, un batiment partit en fumée, quelques hommes tentérent d'aller éteindre le début d'incendie, les tirs s'étaient arrêté et l'incendie maitrisé.
Finalement les anglais débarquèrent, ils furent accueili par les tirs de canon et les mousquets des français, perdant dix hommes, mais les anglais lancèrent une charge, les pierrettes en tuèrent vingt autres, ils se battaient maintenant furieusement, tuant dix défenseur, encore trente hommes furent tués côté anglais, les trois hommes restant furent fait prisonnier et laissé dans une cave sous la surveillance de deux hommes, il ne restait plus que vingt homme �  Lerequin, il ordonna d'aller en prendre �  la garnison du fort. Un de ses hommes revint avec quinze autres personnes.
C'est tout ce que le capitaine de la garde m'a donné monsieur, on va devoir faire avec...
Lerequin soupira et ordonna de préparer les défenses cotiéres...  

Ca yest les hommes de Doroit ont reussit �  pénétrer dans la cale et a reunir de la poudre pour faire suater le navire.

Alors qu'une escorte de français défendait l'artilleur, celui-ci piéga discretement le navire �  l'insu des anglais.

ceux ci cherchèrent �  éteindre la mèche mais elle est introuvable.

Les anglais crièrent que le navire est piéger et qu'il va exploser.
Tous le monde tenta de fuir mais le galion explosa trop tôt.

Doroit fut progeté par dessus bord et dériver sur une planche du galion inconscient, alors que d'autre comme lui sont morts sur l'explosion.

- Capitaine ! cria l'un des survivants mais il n'eut pas de réponse

- Capitaine vous m'entendez ?

Doroit gisait sur sa planche ensanglantée

- Accrochez vous j'arrive !

Alors que le survivant rama avec ses bras pour faire avancé sa planche près de celle de Doroit,on entendit des cris de marins agonisant.
Le français arriva près de Doroit

- Par tous les Dieux Capitaine ! Non tenez bon vous pouvez pas mourir...  

Lerequin fit préparer les canons qui étaient sur la côté, les navires étaient facile �  tirer, le premier boulet toucha la sainte barbe d'un des sloops, le second toucha un mât, les troisiémes et quatriéme touchérent l'eau, Lerequin fit amener deux autres canon de la ville, sur les trois tirs deux touchérent un des navires qui explosa, l'autre rencontra le mat_déj�  abimé_d'un autre des sloops, la riposte détruisit un des canons, Lerequin ordonna une derniére salve, mais aucun boulets ne toucha sa cible, il ordonna le repli et fit faire un état des lieux.
"Nous avons perdu deux canons ainsi que plus de soixante-dix hommes depuis le début, mais il ne reste plus que quatre navires la-bas. Lui fit un de ses hommes
Lerequin en profita pour ordonner un retour �  la première barricade, et ordonna un déploiement rapide.  

Kane et son fidèle compagnon avec l'aide de quelques marins qui était très content de se mettre �  l'abri de la bataille sanglante qui faisait rage, remplirent d'explosif et de toute la poudre qui était rester inutilisé le bateau très endommagé que le sale blondinet avait réussi �  capturer de haute lutte aux anglais. Sur ce le brouillard se leva et enfuma encore plus le champ de bataille (qui l'était déj�  pas mal après tous les coups de canons que les deux camps s'envoyaient avec le plus de plaisir). Sur ce Kane, Frank et quelques marins qui voulaient avoir une fin héroïque manoeuvrèrent la frégate �  moitié coulé pour la faire sortir du port en toute discrétion et pour la faire parraître comme un navire fantome. En passant devant le navire de Magraen, celui-ci se demandant ce que c'était, recut en pleine tête un petit boulet enrobé d'un message. Le navire fantome traversa les rangs des français puis des anglais qui se mirent �  prier en se demandant quelle fourberie était ce navire. La frégate, continuait de voguer tranquilementen direction du grand large. Pour une raison qui restera �  jamais inexpliqué les anglais des navires de lignes ne firent pas feu sur cette frégate anglaise. Peut-être qu'ils n'avaient pas peur de ce raffiot dont les voiles étaient en lambeaux, que le pont était complétement éventré et que tout le navire menaçait de sombrer �  chaque vague. Dans tous les cas lorsqu'il fut trop tard pour eux de se rendre compte du danger, le vaisseau changea de cap et se dirigea vers eux. Tous les mats restants craquèrent menaçant de se démater et la coque émit de lugubres plaintes.
Kane s'écria alors que le navire était �  deux doigts de s'encastrer dans le vaisseau anglais :
"Alors bande de petites taffioles suçeuses de Lucifer, on baisse sa garde, enfoiré de chiens démoniaques de Belzébuth !!"
Sur ce il alluma la mèche et le vaisseau �  moitié coulant se brisa en deux, le pont complétement pulvérisé, les mats arrachés de leur emplacement et volant en l'air comme des fêtus de paille et une immense explosion remplit l'air de sa chaleur et de son effet de souffle fit claquer les voiles des navires français. Le corps de kane s'envola puis la tête de celui-ci fut arraché du reste et il pu voir les destructions qu'il avait causé �  la flotte ennemi. Le vaisseau de ligne le plus proche fut complétement pulvérisé et tous les vaillants soldats anglais furent carbonisés et déchiquetés dans les plus brefs instants qui suivirent l'explosion de la frégate. Un deuxième fut sévèrement touché par les débris (canons, morceau de bois, armatures ...) qui volèrent dans tous les sens. La tête de Kane qui avait achevé sa parabole, commença �  retomber et il pensa :
"bien fait bande de sales chi..."

Magraen ayant encore reçu un coup sur la tête, déplia le message qui disait dans une écriture maladroite et gauche :

" SALE BLOND VA !      K."

HRP je ne prononce pas sur la mort de Frank West mais �  priori je dirais qu'il est mort ou est considéré comme tel ou disparu ( ça dépend si je reviens sur le rp ou pas, sinon il est excellent^^)  

Lerequin et ses hommes étaient maintenant retourné �  la premiere barricade, un homme vint, suivi de dix autres arriva..
"Capitaine, certains des blessés peuvent revenir combattre, ils sont vingt
-Parfait, nous en aurons besoin, les quatre derniers sloop qui sont de notre côté s'apprêtent �  débarquer, tous en position, hurla-t-il
Les hommes se mirent en place, quand les anglais débarquérent, sur la centaine présente dix moururent, puis quand ils virent jusqu'au barricade cinq autres furent reçu par le feu des défenseurs, les pierrettes tirèrent, tuant vingt homme, s'ensuivit un combat ou les quarantes pirates tentérent de contrer les soixante attaquants anglais, au cours de cette attaque les défenseurs perdirent vingt homme, les anglais s'emparerent des pierrettes et visèrent les français, touchant au passage quelques uns de leur compatriotes. Au cours de ce combat Lerequin reçut une balle dans l'épaule et tomba �  terre, la dizaine de défenseurs restant fuya précipitamment, laissant les canons ainsi que Lerequin, qui gisait �  terre...


[Hrp: bon je ne vais pas faire original mais Suspsense Suspense pour Lerequin aussi, mourra? Mourra-pas? la suite bientôt  ;D]  

Après une lutte acharnée contre la mer,le français reussit �  ramener Doroit sur plage de Grenade.
Malheuresuement pour Doroit l'aventure s'arretera l� , il ouvrit les yeux il tenta de parler mais il mourra sur la plage.

- Vous avez étais quelqu'un de bien de votre naissance jusqu'a votre dernier souffle dit le français

Il était triste, il coura prévenir le Capitaine de la Garde

- Que Dieu te garde auprès de lui Doroit vous êtes un être bon et loyal... Je suis triste de vous avoir perdu

Son corps fut ramener dans des locaux en sécurité  

Ignorant encore les morts tragiques de ses frères d'armes Doroit et Kane, même si inquiet pour leur sort suite aux explosions des navires, Magraen et ses hommes tenaient toujours fièrement face a la marine anglaise. Cependant, leur légère supériorité numérique continuait de servir les envahisseur. En effet, deux navires français de plus étaient partis par le fond, contre un seul navire anglais. Décidé a mettre un terme a ce canardage en règle, Magraen ordonna a ces hommes d'aborder une frégate anglaise pendant que les autres batiments continuaient la bataille.
A peine les français avaient-ils mis pieds sur le bateau anglais qu'ils s'aperçurent de leur infériorité numérique la aussi. Après un début prometteur, la progression des hommes de l'officier fut stoppée et ses marins commencèrent même a reculer, mais non s'en infliger autant de perte a l'ennemi qu'ils n'en subissaient eux même...  

Lerequin se leva difficilement, il vit plusieurs tête l'entourer, petit �  petit le flou partit, laissant apparaître des hommes en uniforme anglais.
"Il est levé capitaine
-Parfait, nous allons l'interroger, amenez le sous la tente...
Trois hommes le portèrent jusqu'�  une tente tout �  fait normal, autour se dressait un camp avec un feu et des tentes,dans l'une d'elle se trouvait un homme qui avait une énorme cicatrice sur la joue, l'homme fit un signe pour que Lerequin soit lâché, un autre homme qui se trouvait �  côté s'approcha de lui.
"Ou suis-je? demanda Lerequin?
L'homme lui mit son poing dans la figure
-C'est nous qui posons les questions, fit l'homme dans un français un peu massacré..
S'ensuivit une serie de questions ou l'on lui demandait ou se trouvait les autres barricades, les points de défenses,d'embuscade, lerequin ne répondit rien.
Il y'eut un bruit dehors, un chariot devala la colline et alla heurter le campement anglais en explosant dans un bruit sourd,une dizaine d'hommes arrivérent, armes �  la main, profitant de la confusion ils tuérent les anglais, deux d'entre eux furent tué, Lerequin fut sortit de la tente et les deux hommes fait prisonnier.
Content de vous voir capitaine, lui dit un de ses marins...
Les anglais restant furent conduit en prison, Lerequin ordonna de se replier �  nouveau vers la deuxiéme barricade, même si il ne restait plus beaucoup d'homme il était décidé �  se battre jusqu'au bout....  

La situation en mer ne s'améliorait guère. Une nouvelle frégate française était en train de sombrer et sur les abordages, les français perdaient énormément de terrain, au point que la bataille se déroulait désormais sur le pont français. Cependant, la bravoure des soldats de grenade augmentant avec le désespoir, les pertes étaient bien cruelle coté britannique, et chaque mètre d'avancée des tuniques rouges était gagné dans un bain de sang...  

Lerequin était en train de faire les préparatifs afin de repousser la dernière vague, les canons furent placé pour deverser leurs mitrailles sur les anglais, les pierrettes étaient prête elle aussi, cinq hommes arrivèrent...
Capitaine, ces hommes veulent nous aider, ils sont blessé mais sont prêt �  mourir pour défendre l'île...
Lerequin acquiesça, il n'allait pas refuser de l'aide en plus....
Les anglais débarquèrent, une masse énorme qui remplissait la plage, les marins se mirent �  prier, un canon tira sur la plage, il y'eut trois mort, une fois �  portée de tir, les canons et pierrettes firent feu, une dizaine d'anglais s'écroulèrent �  terre, touché, les pirates tirérent, mais la riposte anglaise en tua cinq, toujours sous le feu de la mitraille, les anglais arrivérent jusqu'au barricade, les français étaient rempli d'une hargne féroce qui fit que tous se battirent jusqu'�  la mort, les anglais reprirent vite le contrôle de la situation, la barricade était maintenant une vrai mare de sang, les français n'étaient plus que trois, dont Lerequin, qui était au prise avec trois autres personnes, dont un plutôt costaud, un sabre lui transperça le ventre, Lerequin était maintenant �  genoux, il vit quelqun devant lui, sourire aux lévres
je vais me faire un plaisir de t'achever, Lerequin.
Il passa son sabre au dessus de sa tête, très haut dans le ciel, comme pour savourer ce moment, Lerequin ferma les yeux et entendit une détonation, il rouvrit les yeux et vit le corps de l'anglais par terre, il distingua les anglais au prise avec d'autres hommes.
A la fin de la bataille il entendit une voix...
Capitaine?
Sprat? fit-il
Oui c'est moi, ne vous inquiétez pas je vais vous conduire à l'infirmerie du fort
Non c'est trop tard Sprat, je vais mourir, je suis content de vous avoir connu...
Il se vidait de son sang de plus en plus, et vit de plus en plus flou
"Prenez soin de l'os à moelle, il ne doit rien lui arriver...
Il finis de se vider de son sang et mourut...
Son corps fut jeté dans la mer le jour suivant, après une courte cérémonie...

   

Le capitaine de la Garde et ses hommes reussirent �  repousser les anglais hors du Qg qui est situé dans le centre du port de Grenade.

Les anglais alors firent un blocus de la ville,mais lorsque la nuit tomba, les hommes du Capitaine de la Garde,détruisirent un camp anglais obligeant toutes les troupes anglaises désorganisez de battre en retraite dans les terres de Grenade.

- On reprends Grenade les gars ils batent en retraite ! ordonna le Capitaien de la Garde.

Les anglais fortifièrent les positions dans les terres de l'île.Un officier anglais s'avança et prit la parole devant l'Amiral anglais:

- Amiral !Les français ont repis Grenade en quelques minutes profitant de la nuit et de notre désorganisation...

- Quoi !!! Mais ce n'est pas possible Grenade allait tomber ! hurla de colère l'Amiral

- Je sais... Excusez nous... Nous avons perdu rop d'hommes et de navires, Grenade est quasiment en ruine,leurs richesses enfoui sous les décombres...Je ne penses pas que nous pouvons défendre Barbade si nous nous retirons pas...Amiral  expliqua l'officier

- Vous avez surement raison,en plus nous venons de perdre nos batiments de ligne...Avant de partir nosud evons mettre Grenade en feu ! Détruisons la ville ! ordonna l'Amiral

- C'est risquez monsieur !

- Nous enverrons des espions le faire imbécile !

- Excusez mon ignorance. Avec mes respects Amiral !

L'officier se retira,alors que l'Amiral convoqua les espions anglais.  

Sprat avait eu de son côté plus de chance que Lerequin, puisque les anglais ne se sont pas presenté en masse, il fut néanmoins sorti éprouvé de cette dure épreuve, le fait d'avoir perdu deux capitaine depuis le début de sa vie l'avait marqué(oui car Mcbernick a aussi navigué avec lui, et il a été tué par décapitation) il décida donc de prendre les choses en main, il entra dans une taverne, commanda un rhum et monta sur un tabouret
"Je m'appelle Sprat, je suis le capitaine de l'os �  moelle, je cherche des membres d'équipage, toute personne voulant s'inscrire devra se présenter �  moi ici même.."
Il offrit une tournée général et attendit....  

Au terme d'un combat rude et violent, Magraen avait réussis a s'emparer de la frégate. En observant autour de lui après la reddition des britanniques, il fut stupéfait de voir leur flotte s'en aller, emportant les derniers régiments.
Il ne restait de la flotte française que trois frégates, dont les deux de Magraen. Il les ramena au port et les y laissa, en laissant le commandement a d'autres capitaines plus qualifiés qui avaient perdu leur vaisseau.
Éreinté, Magraen se rendit a la Taverne et vit Sprat faire son discours. Vide d'émotion et de pensées, il ne réagit pas. Il resta assis, a sa table, bientôt rejoint par sa patrouille, miraculeusement indemne, baignant dans le même silence que lui.  

La nuit tomba sur Grenade, personne n'avait vu les anglais depuis deja 2 jours,alors que l'on commençait �  reconstruire la ville et �  la ré-armer,il y avait du mouvement chez les anglais.

- Le jour J est arrivé les amis. Vous êtes les 5 meilleurs espions de l'Angleterre,je sais que vous êtes capable de bruler la ville ! Au travail et bonne chance ! annonça l'Amiral

Les espions partirent du camp anglais rejoignant facilement les 1ères lignes de Grenade.Les espions se séparèrent. Le "chef" des espions écrivit sur le sol:


Voila chacun avait sa cible,ce fut qu'à minuit que l'opération Big Fire aurait lieu. Tous les espions étaient en position près à en découdre.


Alors que la flotte anglaise se retira du combat rejoignant l'arrière de l'ile une position renforcée et controlée par les anglais,l'Amiral fit le compte des pertes immenses que sa flotte avait subi.
Il décida donc de partir de Grenade avec l'aide d'un des batiments restant dans la nuit.



Chez les français le Capitaine de la Garde rejoigna Magraen �  la taverne lui disan qu'il avait fait un bon travail.
Alors que les français pensaient le combat finit les anglais étaieent pret �  mettre en feu grenade et l�  ça sera surement le dernir affrontement.  

Sprat était sorti de la taverne avec un de ses marins, il était ivre et hurlait des choses incompréhensible. Il remarqua un homme qui déposa de la poudre sur le sol vers les habitations, il l'interpella.
"Hé toi, qu'est que Hips...fait la? tu est un de ses sales chiens d'anglais pas vrai? ceux qui ont tué Lerequin"
Il commença �  divaguer....Et l'espion �  paniquer, il sortit son arme, qu'il mit sur la tempe du marin, qui tenta de prendre le sien, mais il fut tué avant. Sprat sortit son arme et hurla
"Haha, mauvais choix, il ne te reste plus de balle, tu est �  ma merci"
Sprat tira et rata l'anglais, la balle filtra avec les tonneaux de poudre, il se jeta sur l'anglais en prenant un couteau et l'anglais fit de même...

[Hrp: ouf, si j'avais eu au moins 8/10 duels perdus, j'aurais fait raté Sprat mais aussi fait exploser le tonneau de poudre,  provoquant la mort de Sprat.... Quelle chance^^]  

Les espions furent particulièrement doués.Kingdom fit exploser la reserve de poudre de Grenade, 10 secondes plus tard,Lion enflamme la Caserne de Grenade,le port fut touché par des explosions et des torches enflammés, certains quais furent détruit, empechant les navires d'acoster.George XI fut chargé de l'armurerie,mais des gardes étaient l�   et il fut rapidement mit hors d'état de nuire, il fut abattu sur le champs sans jugement.Heaven lui devaient bruler quelques habitations. Malheureusement, trop sur de lui les villageois le repérerent:

- Là Bas ! Là bas ! regardez, un de ces chiens d'anglais, tuez le ! cria l'un des villageois.

Armés d'arme �  feu de mauvaises qualités, d'un sabre lui aussi en piteux etat et de fourches assez solides.
Poursuivit l'espion prit la fuite, mais les habitants se montrèrent être de farouches résistants et prévenèrent les quartiers voisins,au bout de 10 minutes,l'espion Heaven fut prit aux piège.Il sortit son sabre mais cela ne dissuada pas les villageois qui lancèrent leurs sabres sur l'espion qui fut lui aussi tué.

Les trois survivants retournèrent sur le camps des anglais, pendant la mission les anglais c'étaient préparés �  quitter Grenade . Les trois espions comprirent que Heaven et Georges Xi furent tués.Les survivants allèrent voir l'Amiral:

- Voila nous avons fait notre travail mais Georges XI et Heaven ont périt lors de la mission  annonça l'un des espions.

- Paix �  leurs âmes... Mais sachez qu'ils ne sont pas mort pour rien ! Grace �  vous le port, la caserne et le réserve de poudre ont été détruits donc aucun moyen d'envisager une attaque sur Barbade. répliqua l'Amiral

Un officier anglais entra dans le carré des officiers et alla voir l'Amiral:

- J'ai apprit la semi reussite de l'Opération... Mais les dégats sont suffissament importants pour lancé une dernière offensive sur Grenade non ?

- Si l'offensive échoue alors Barbade est en danger, sachez que Barbade est un port éloigné mais très important pour l'Angleterre c'est dans ce port que tous renforts anglais arrivent ! Si on le perds alors nous n'aurons plus de renforts sur. Ils devront prendre le risques de se faire attaqués par les vautours ! s'énerva l'Amiral

- Bien, nous sommes pret à partir...