Forum Age Of Sea Dogs

 L"homme qui entra dans la taverne n"était pas trés grand mais semblait trés robuste. Il était peu mais somptueusement vêtu, paré d’une ceinture en soie, de boucles d’argent et de glands dorés. Son large ceinturon était hérissé de poignées de dagues et de crosses de pistolets aux gemmes étincelantes.
Une rapière resplendissante, ouvragée d’or et de joyaux, était passée �  un riche baudrier magniquement décoré. A chaque boucle d’oreille,fine et dorée, pendait un rubis rouge et scintillant dont la lueur écarlate contrastait étrangement avec le visage sombre. Ce visage était mince, ses traits aquilins et cruels. Un tricorne couronnait le front haut et étroit, abaissé sur des sourcils noirs et fins ;
pourtant il laissait voir le foulard aux couleurs vives en dessous, noué autour de sa tête. Dans l’ombre du chapeau, deux yeux froids et gris dansaient hardiment, avec des étincelles mouvantes de lumière et de ténèbres.
"Salut les assoifés ... y" aurait-il bonne compagnie pour boire un rhum avec moi ?"

Modifié par anhea le 02/10/2005 08:37:13  

 "Eh bien l"ami, si tu paye la boisson, pourquoi pas...
Anhéa se retourna pour apercevoir son interlocuteur. Il n"était ni grand, ni petit... Malgré l"obscurité, il pu discerner les traits du visage de l"homme, acérés et cruels, avec un sourire en coin qui faisait froid dans le dos... On aurait dit qu"il se fichait de tout, de la chute du cours de l"argent, des conflits entre les grands pays, il ne semblait pas concerné par tout ca...
Il était plutôt bien vêtue pour un pirate, un pentalon de cuir noire, une ceinture richement décorée, a laquelle pendait une paire de pistolet de duel et une rapiere,  une chemise pourpre (peut être avait elle été blanche, il y a bien longtemps...), et une grande veste noire, elle aussi richement décorée...
   L"individu lui présenta une main ornée de bagues, Anhéa ne put s"empecher de penser que pirate dans les caraïbes était un mêtier qui pouvait rapporter gros... "Je suis le capitaine Louis Duguey Throuain, puis je savoir le nom de mon bienfaiteur?  

  Dans un recoin de la taverne, un homme était affalé, le menton appuyé sur son poing. De l"autre, il lache, toutes les 5 secondes, une petite graine dans une timbale d"étain. Sa peau est sombre. Ses traits portent la marque du lointain Orient. Pourtant, il porte une moustache et un fin collier de barbe, d"un noir de jais, �  la mode de la Cour d"Espagne. Un harnais de cuir lui ceint le torse nu, qui retient un pistolet �  long canon et un étrange cimeterre... Il épie avec attention les autres clients. D"une blague de cuir toute ordinaire, il extrait une herbe verte et séchée, peu commune en ces contrées, et la tasse dans une petite pipe d"écume... Une odeur poivrée et sulfureuse s"échappe, et Al Andalus disparait dans ses volutes.  

Une autre personne sortait maintenant des latrines. L"homme parcours la taverne de l"oeil, aprécie d"un regard significateur l"ensemble des marins ici présent, puis va vers le tavernier d"un pas qu"il souhaite le plus assuré. L� , il commande une bonne pinte de bière, et commence �  la boire tranquilement. Il a une apparence qu"il souhaite éclatante, alors qu"il manque totalement de goût : des bottes rouges bien cirées,un pantalon ample d"un violet chatoyant, une chemise verte délavée par le sel, qui devait être étincelante en de meilleurs jours, et un énorme couvre-chef couleur bleu ciel avec une trois belles plumes de faisan.  

 Anhea s"approcha du comptoir

Tavernier !!! Sers une bouteille de rhum �  chacun de ces gentilhommes et mets tout sur mon compte !!!!

Messieurs, trinquons �  nos aventures passées, présentes et futures ... et ... A Marguerite d"Autriche !!!!

Joignant le geste �  la parole, Anhea tira le bouchon d"une bouteille avec ses dents, le cracha par terre, et avala goulument plusieurs gorgée  

  soudain un homme au cheveux longs pénétra dans la taverne ,ces vetements imbibés d"eau laissait présager qu" il pleuvait hors de cette piece.
Il n" avait pas de lame a premiere vue, était il un pirate?
Il avança ver le bouchon de liege et le prit, on pouvait apercevoir un pistolet acrocher au niveau de son tibia, en avait il d" autre?
il pausa le bouchon sur le bar devant anhea.

" ceci t" apartien il me semble, reste t il de ton brevage pour moi?"

Il semblait savoir tous ce qu il c "etait passé ces deux dernieres minute comme si il les avait observé de l" exterieur

Modifié par tutra le 04/10/2005 18:17:11  

 Anhea fixa avec insistance le nouveau venu. Il fit un signe en direction du tavernier qui amena précipitamment une bouteille de rhum

Voil�  l"ami ... C"est pour vous ... Pour vous, capitaine ... Tutra !!! C"est cela ...????
Des légendes étranges courent sur vous ... Et je suis heureux de trinquer avec une légende ! A la votre , Capitaine ...  

  tutra but une gorgé de rhum et dit
"vous êtes plutot perspicace. . .  et généreux, je ne sait pas si vous êtes une legende ( il savait trés bien que les personnes autour de lui n"etaient pas ordinaire! ) mais cela me suffit pour trinquer �  vos cotés  

 "Well, un thé, avec un niouage de lait please."

Tout le monde se retourna. L"individu se tenait près du comptoir, droit, le regard fixé devant lui. le silence s"était fait instantanément dès lors que ce personnage étrange se fut manifesté. Le tavernier s"exécuta sans broncher, apparament il savait ce qu"il devait faire. Effectivement, quelques instants plus tard, il revint, portant une tasse fumante d"un breuvage brun clair.
L"étrange personnage se saisit de la tasse entre deux doigts et l"éleva �  la hauteur de sa bouche, puis se tourna vers les autres personnes présentes dans la pièce.

"Gawd save the Queen!"

Et il avala le breuvage d"un trait. Il reposa ensuite la tasse sur sa petite soucoupe d"un geste simple mais étudié. Puis il reprit son tricorne brun qu"il avait posé sur le comptoir et le rajusta sur sa tête. Il dévisagea l"assistance:

"Good evening men!"  

 C"est �  ce moment, qu"au fond de la salle, un homme vétu d"un long manteau noir, le visage dans l"ombre de son couvre-chef, se leva et interpela en ces termes l"Anglais qui s"aprétait �  quitter la taverne:
" Toi, l"anglais !
Tu crois pouvoir venir ici, boire ton breuvage pour pucelle et repartir en nous insultants tous avec ton " god save the queen " ?
Sache qu"il n"en sera pas ainsi, j"ai passé des mois dans les geoles de la perfide Albion, et je sais trop bien venant de Saint Malo le sort que vous réservez aux femmes et aux enfants des villes que vous prenez. Ma mère est morte pendue dans sa cuisine et mon père a été tué par les soldats anglais, tandis que ma plus jeune soeur était donnée en pature au chien.
Foi de malouin tu ne t"en tirera pas comme ça l"anglais, tout lord que tu sois ! "
" Dégaine ton sabre si tu as des bourses ! "  

  Le capitaine au cheveux longs se leva et dit �  anhea :

" Merci pour ce verre l" ami, j" ai une mission �  terminer.
Peut-être nous reverons nous un jour? "

Il passa entre les deux fourbes, poussa les portes de la taverne et disparut dans la lumiere du jour.



Modifié par tutra le 06/10/2005 12:05:58  

 Le Capitaine Anhea salua Tutra en lui donnant une tape amicale sur l"épaule

Bonne chance, l"ami ... Je suis sur que nos destins se croiseront �  nouveau ...

Puis il se tourna vers deux autres capitaines

Oh hé, braves gens ... Nous sommes entre gentilhommes et de tels propos n"ont pas lieux d"être ... Capitaine Brotonec, j"ai beaucoup de respect envers vous, mais vous ne pouvez tenir rigueur et responsabilité du passé �  un homme que je peux qualifier d"ami. Je puis vous assurer qu"il est digne de respect ... Les exactions de la couronne britannique ne peuvent justifier de telles attaques personnelles ... Nous sommes de la même trempe, notre pavillon commun est celui de la mer, de la liberté et de l"aventure.
Je vous offre un verre Capitaine Botronec et trinquons �  nos navires, �  nos équipages et au nouveau monde !
   

 Je t"aime bien le hollandais, mais on voit que ta famille n"a pas eu �  faire aux anglais. Depuis ce funeste jour où les anglais on prit St Malo, je ne mene ma vie que pour venger ma famille, et tant qu"il respirera un anglais sur Terre ou sur mer, je n"aurai de cesse de les combattre, et ce même après ma mort, j"en fait le serment devant Dieu !
Mais viens avec moi trinquons �  l"amitié, et oublions c"est oenuques.
Tavernier ! Deux chopes de rhum !  

Sachez que le capitaine dont vous parlez est homme de droit et de pureté d"âme.

L"homme qui venait de parler ainsi fixa l"individu, assis sur sa chaise.

Et sachez que je le considère comme ami et compagnon, dit-il en se levant.

Je ne tiens grief de personne ici présent, et mes rancunes ne m"empèchent pas de distinguer des hommes courageux et assurèment bons.
Vous avez devant vous un compatriote français, fervent défenseur de sa patrie. Sachez que je suis désolé pour vos parents, mais cette haine devrait être dirigée vers ceux qui ont commandités pareille chose, ne pensez-vous pas?

Sur ce, il s"approcha du comptoir, saisi la bouteille de rhum et en versa le précieux contenu dans les verres du Français et du Hollandais. Il en demanda également un et se servi. Une fois cela accomplit, il leva son verre, et déclara:
Je trinque non seuleument �  la France, mais également �  nos misères, �  nos conquètes et �  nos voyages, en un mot, �  la piraterie. Messieurs, aux pirates.

Et il avala le contenu de son verre...

Modifié par beroan le 06/10/2005 19:50:36  

  L"offense est faite, mais s"il faut pardonner I shall do it. Je n"attends pas de vous, Sir Botrenec, que vous changiez d"opinion sur les décisions de notre Royal Majesty. Sachez juste que j"ai également mes raisons d"être ici et que la nation de vous n"est pas dans mon coeur.

Le Lord Vandal s"arrêta un instant, cligna des yeux et reprit

 Mais vous parlez de notre breuvage, il vaut ce qu"il vaut, mais je pense qu"on pourrait en dire beaucoup sur la "gastronomie" de le France...
 So, I do offer you a drink?Vous pouvez réfiouser bien entendiou. Of course, je n"oublierais pas vos paroles, ce qui est dit est dit.
Gentleman, I salute you!

Il se servit un verre de vin et le sirota lentement. Il en reposa le verre qu"une fois celui-ci vide.

Modifié par Lord Vandal le 06/10/2005 22:29:14  

 Je vois que l"ambiance dans cette taverne est plus qu"anglophile, comme il n"y a pas de vrai patriote je m"en vais trouver un autre rade ou je me sentirais moins mal entouré.
Patron tu deverais surveiller ta clientelle
Adieu messieurs, quand �  toi l"anglais j"espère que tu ne croisera pas ma route dans l"avenir...
Abaissant son chapeau, refermant son manteau il se dirigea vers la potre basse qui faisait office d"entrée,l"ouvrit et disparu dans nuit pluvieuse et venteuse  

 soulagé du départ d"un tel patriote, je poussai un souffle un peu trop perceptible de soulagement. Je m"en rendis compte trop tard évidement.

"Excuse moi camarade mais c"est que les temps sont durs pour moi : Moi un honnète marchand qui ne veut de mal �  personne me suis fait prendre sous le feu d"abord puis sous les armes et je viens juste de sortir du trou. Cinq longues journées et plus de marchandises...."
Puis, en allans dans un coin je marmonne : "...Hrrrrr MAUDITS PIRATES!!! TOUTE UNE FORTUNE A SE REFAIRE!!!"


   

 Un autre capitaine sortit de sa torpeur, tout le monde l"avait oublié...

Moui maudits pirates comme tu dit!!! Je viens de partager un butin de 100 000 Po, et tu sais ce que cet ingrat d"équipage m"a laissé? 3000 malheureuses piécettes!!! Y"a pas a dire, ca bouffe 350 hommes...

 Puis il se rapporcha du marchand pour lui glisser a l"oreille:
Hmmm t"es nouveau toi... Criez "maudits pirates" au milieu d"une taverne remplie de soudards... T"es fatigué de vivre ou t"es inconscient??? Allez, fait attention de plus vexer les gens de la profession,ajouta-t"il en souriant.

Puis il repris: Sinon, comment ce porte les seigneurs des mers? Des nouvelles de vos prises? Personnelement je viens de pillez un port Anglais, c"était assez plaisant... Je vous fait le récit de mes avantures pour peu que l"on me paye un coup, j"ai le larynx �  sec...  

 "Mmhhnon! Je me suis emporté.... C"est pas facile pour un marchant de faire fortune tranquilement en ces terres: tu te fais un bon équipage, ton marché devient florissant; mais voil� , ils manquent d"aventure. Dans la crainte d"une mutinerie que m"avait soufflé mon second (elle était bien imaginaire �  mon avis, mais c"est trop tard) j"ai fait comme toi: je les ai libérés. Ce fut une grosse perte pour mon pécule (plus que 2000 pièces d"or) mais, bon marchant je me suis renfloué rapidement.
Et voil�  qu"un mois plus tard je retrouve la moitié d"entre eux, m"attaquant, me pillant et après me voil�  retrouvé au trou!!!
Voil�  toute l"histoire: je viens de sortir et j"en ai profité pour boire un coup. J"ai du penser trop fort.
"  

" Allez racontez moi donc se pillage: c"est volontier que j"entendrai une si bonne nouvelle! "
 Puis, se tournant vers le barman: " Tavernier, deux grandes chopes pour mon ami et moi "  

 Et bien ca c"est passé comme ca, dit il en ce saisissant de la chope, j"étais décidé a attaquer un port, ainsi cela faisait plusieurs jours que je rodais dans le coin, a l"affut d"un port peu protegé et bien rempli... C"est Ainsi que je porta mon attention sur Anguilla... La garnison représentait 120 soldats de la courronne anglaise, j"allais me faire un plaisir de piller ce comptoire...

Ainsi, j"acostait paisiblement dans les docks. Mes relations avec les anglais n"ont jamais été bonnes, je prends même un malin plaisir a ridiculiser la courronne de sa majesté... Et c"est alors que 400 pirates sortirent de mon manowar, l"Achéron, pour prendre d"assaut la garnison... Le pillage allait commencer...
Je sorti a mon tour, accompagné de mon second...
Pendant ce temps, les 100 cannons du navire prirent la forteresse anglaise pour cible, envoyant soldats et debris en tout sens...
J"avais mis soigneusement toutes les chances de mon coté... La victoire ne pouvait m"échapper!!! Le massacre commenca. A 120 contre 400, même les meilleurs soldats du monde ne peuvent rien faire. Je salut au passage le sacrifice de ces nobles hommes pour premettre a ce planqué de gouverneur de s"enfuir...
Je pense que le plus long ne fut pas l"assaut en lui même, durant lequel je perdit une 50aine d"hommes, mais le temps de charger toutes les denrées sur mon navire... Il y avait tellement de marchandises!!! Je ne pu hélas tout charger, sans quoi je serait le pirate le plus riche des caraïbes...

Une fois repartie, apres avoir acosté sur un port français, nous nous mîmes a comter notre butin, puis lors du partage, personne ne fut oublié: 300po par marin, chaqun rentré chez lui satisfait... Tous, sauf moi... Les gredins ne m"avaient pas laissé une somme importante... Mais bon, me revoila a écumer la mer a 27 ans...

Peut etre prendrais-je ma retraite plus tard, qui sait... Mais en attendant, l"heure est a la beuverie!!! Qui fait un concour avec moi???  

:siffle:
Que la bonté nous pendent au bout du nez,
Notre honneur est notre générosité,
80 marins prêts �  partager,
90 bouteilles �  enfiller O:)  

 Botrenec poussa la porte de la Taverne, avec un air dépité epuisé, il était amaigris, et on se demandait ce qu"il était devenu car il n"étais pas passé depuis trois mois
Ah ! Mes amis, je sort de prison j"y ai été jeté par un gouverneur de mon propre pays, moi qui suis un patriote et qui était au service de la courrone.
Et vous savez comment cel�  s"est passé ? Il y a de cela trois mois, j"accostais avec mon galion �  Tobago, et laissant mes hommes aller se souler, je me dirigeait rapidement vers le chantier naval, et l�  je vis une frégate semblable �  celle de mes rêves. Je savais que je ne pouvais l"acheter car, je venais de partager mon butin avec mon précédent equipage. Je devins alors fou, je fonçait chez le gouverneur, un mien ami, et lui empruntais 10 000 pièces d"or ce qui eu pour effet de me faire entrer en guerre contre la France, retournant au chantier naval, on me dit que cet argent plus mon bateau ne suffisait pas �  acheter cette frégate, je rapellais alors mon équipage et prit la route de Trinidad pour emprunter de l"or au gouverneur un mien ami lui aussi, j"empruntai jusqu"�  ce que la courrone d"Espagne me reconnu comme un ennemi, et fit un détour par le chantier naval, je vis une autre frégate, j"avais sur moi quelques 10 000 pièces d"or, plus mon galion qui mouillait dans le port, et cel�  ne suffisait toujours pas �  acheter une maudite frégate ! Je retournai donc �  Tobago esperant que mon ami le gouverneur me preterais quelque deniers de plus, mais celui ci m"accueilli avec ses soldats et me fit jeter en prison.
Aujourd"hui, je suis donc en guerre contre mon propre pays, contre les espagnols, je suis ruiné, et je n"ai pas de frégate.
J"ai beaucoup réfléchis en prison, et maintenant je suis sûr que c"est Belzebuth qui a mis ces bateaux en travers de mon chemin.
Je suis maudit.
Il s"effondra dans un fauteil près de l"atre au fond de la Taverne, avec une coupe de rhum, les yeux agards regardant les flammes.  

 C"est avec plaisir que je reprend une autre rasade en votre compagnie :p
"Tavernier, payent donc une rasade �  tous ces gentilho.... messieurs pour fêter le brillant coup de ce capitaine. Même �  ces foutus anglais qu"ils noient leur grogne dans ce met si délicieux"
   

 C"est avec plaisir que je reprend une autre rasade en votre compagnie :p
"Tavernier, payent donc une rasade �  tous ces gentilho.... messieurs pour fêter le brillant coup de ce capitaine. Même �  ces foutus anglais qu"ils noient leur grogne dans ce met si délicieux"
   

 Texte en italiqueun homme noir entre en fracassant la porte de la taverne....se retournant pour comtempler ce désastre....il hoche les épaules et se retourne.
Texte en italique"OH ! crie (�  raison) le tavernier voyant sa porte complètement défoncée...Il se ravise en voyant qu"il a affaire �  un gredin de la meme espece que sa principale clientèle....il soupire et pousse un gromellement en voyant la nature de ce nouvel arrivantTexte en italique
Il semble fin saoul. Il a deux pistolets chargés �  la ceinture, un sabre dans le fourreau, et plusieurs dagues accrochées �  sa chemise recouverte de sang séché au soleil de la mer. Il porte au dessus de tout ca une longue veste de cuir noire pleine de chaines clinquetante dès qu"un pas est entrepris (entrepris car la, son équilibre est bien entamé !).Il porte sur le dos de cette veste un immense bout de tissu peint comme un crane humain... et il a aussi un foulard sur la tête.
des bottes de soldat....On se rend compte (si on est un minimum observateur) que c"est donc un ancien soldat...
Un deserteur...
Il se tourne vers le bar. Il titube vers le bar dans une lenteur infinie et déconcertante. "il est vraiment jeté ce gars" doivent se dire les autres.Texte en italique

Il salue ses frères de la cote et maudit tous les officiers de toutes les nations

"TAVERNIER ! Pardon pour ta porte. accepte ce dédommagement.
Texte en italiqueil laisse tomber une petite bourse devant contenir 10 PO (pas plus. faut pas déconner no plus)Texte en italique
"Donnes Moi ton meilleur hydromel et que ca saute !"
i]Texte en italique[/i]il s"accoude avec peine sur le comptoir et se retournes pour visualiser sa compagnie...i]Texte en italique[/i]
Le tavernier le prend de haut et lui dit :"dis donc le nègre, tu as trop bu espece de soulard. en plus t"as des gouts de bourgeois avec ton hydromel, j"en ai pas .Allez fous moi le camp et tout de suite.La racaille noire dans ton genre ca vien pas mettre le bordel chez moi"

Texte en italique Le soulard en question semble se reprendre et on voit des flammes le traverser les yeux. d"un bon, il sort son pistolet chargé et le pointe sous le menton du tavernier. il le regarde dans les yeux et lui dit :
" je devrais déja te tuer car tu m"as parlé de la sorte ensuite je devrais te tuer et te pendre par les tripes car tu traites les buveurs d"hydromel comme des bourgeois et enfin je devrais te tuer, te pendre par les tripes et foutre le feu �  ta dépouille flasque et ensanglantée car tu n"as pas d"hydromel..........[long silence, le tavernier semble prier pour que sa dernière heure ne soit pas déja arrivée, le capitaine noir semble,lui, lutter contre l"alcool]
"mais je ne le ferais pas ! car je priverais tous ces joyeux camarades d"un précieux tavernier!
c"était juste pour te faire comprendre que les humains restent des humains qu"ils soient noirs, ou saouls, ou pirates ou les 3 en meme temps. et ca sera alors une bouteille de rhum pour moi et tous les compagnons volontaires !

Mort �  l"authorité !
Vive la fraternité de la cote !
Bénites soient les femmes, le rhum, et la mer qui nous porte toujours plus loin !
Maudits soient tous ces officiers, ces gouverneurs, ces rois, ces représentants de la misère humaine !

�  l"anarchie !

Buvez camardes frères !
c"est Nanar le noir qui vous paye la tournée !  

 Tiens, un sarassin... Dit le capitaine français, avec un grand sourire aux levres. Et bien si c"est toi qui invite, je me ferais une joie de trinquer... A la tienne, camarde!
Il se saisit alors de la choppe, avant de la vider d"un train, sa descente était plus que convenable...

Mouarf je suis de bonne humeure aujourd"hui! Apres le pillage de Rio de la Hacha... Pourtant les espagnoles ce sont battus comme des lions! On étaient plus que deux fois supérieur numériquement, et pourtant chaque soldat emportait au moins un soudard avec lui... Mais aujourd"hui est jour de fetes, je pleurerait mes pertes demain... Trinquons, camardes!!!  

 il se roule un immense joint de marihuana en approuvant.

"Hips ! Santé !"
Mort �  la royauté !    

Un jeune homme entra dans la batisse poussièreuse.

Hol� , y a quelqu"un ?s"écria celui-çi.

Tudieu, on dirait que cette baraque �  rhum n"a pas beaucoup de clients.

Hol� , tavernier ! Hey tavernier, sors de ton trou.
Bon dieu, il est ou celui-l� .

Ah te voil� ... Donnes-moi un pichet de rhum et un gobelet.

L"homme se dirigea vers la table la moins bancale entre toutes ou l"on pouvait voir les quelques restes d"une chaise. Et après une gorgée :

Dis, tavernier, il n"y a plus personne dans ta maison.

Ou sont-ils donc tous ???  

 "Normal gentil homme, son rhum est le plus frelaté des caraibes !"
Texte en italiqueSortant de la pénombre d"un recoin de cette taverne malfamée, un homme �  la démarche assurée et vétu de beaux habits se dirige vers la seule table occupée...
"Je me nomme Etienne de Chollet, capitaine de L"Albatros de passage...je cherche �  recruter les meilleurs marins...as-tu connaissance d"un meilleur endroit que celui-l� ..."
Texte en italiqueDe son bras il décrit un cercle �  l"endroit de la salle vide...  

Le jeune homme assis �  la table se tourna vers le nouveau-venu et dit :

Pour ce qui est du rhum, vous n"avez pas tort.
Mais laissez-moi me présenter :

Je me nomme Ogier d"Argouges et suis actuellement capitaine de la libellule, un petit sloop voguant dans les alentour des ports francais en attandant de se faire connaitre.

Je suis heureux de faire enfin la connaissance d"un compatriote. On ne voit que des Hollandais, des Anglais et des Espagnols de nos jours...

Je ne pourrais malheureusement pas vous donnez d"indications sur l"existence d"une autre taverne, auberge ou bar dans le coin. Il me semble que cet endroit miteux soit le seul que dispose cette ville... que dis-je, ce village.

Ogier réclama un deuxième gobelet au tavernier et servit un verre de rhum au nouveau-venu.

Buvez donc. Même s"il n"est pas fameux, il fait du bien.

   

Texte en italiqueIl avale d"un seul trait :

 "Merci l"Ami...permet moi �  mon tour de t"offrir une rasade de cette pisse...ventrebleu ! elle vous brule les entrailles... Tavernier remet nous ça!"    

Ogier commença �  sentir l"effet de l"alcool. Faut dire qu"avec 2 pichet de rhum pour deux personnes, il y a de quoi faire...

Mon cher Etienne, avez-vous connaissance de nouvelles de notre chère patrie ?

Et plus précisément de la Normandie, pays de lait et de vin... C"est de la que je viens, voyez-vous...  

 Elle était la seule taverne ou il semblait émaner une certaine agitation...une fois la porte passée, quel spectacle de désolation. Deux gentilhommes riant de bon coeur se trouvaient en compagnies de quelques pichets de rhum...il s"en approcha. Les deux hommes aux regards de veaux semblaient dans état avancé. Il se risqua �  leur encontre : "Hola Mes Seigneurs, il me semble �  votre accent que vous avez traversé l"océan...pour finir dans ce taudis...vous fétez quelquechose de particulier ?"

Modifié par Hobbes le 21/11/2005 01:39:16  

 "la Normandie..."
Des brumes de son cerveau, une image lui revient �  la mémoire. Celle d"un joli brin de fille..une blonde, au visage quelques taches de rousseur...des rondeurs et un parfum de lavande...une fille croisée dans une maison de La Rochelle....Elle lui coûta sa virginité et une bourse bien remplie!

" Ami je n"ai jamais mis les pieds en Normandie, mais la Normandie ma coûté quelques pièces ! Bon sang ! Tavernier remet nous ça !"...

En voyant, dressé devant lui, un gentilhomme semblant lui adresser la parole, il tenta non sans mal de lever son séant. Tenant �  peine sur ses jambes il s"empressa de saluer l"étranger : " Je vous salue ! Nous noyons notre peine dans ce qui semble être de l"alcool de canne...méfiez vous, le tavernier doit y ajouter quelques ingrédients de sa fabrication...joingnez vous �  nous! nous ne serons pas trop de trois pour nous soutenir dans le malheur de ce trou sordide ! Tavernier ajoute donc un pichet pour ton nouveau client ! La France te rend visite !"  

 sortant de sa torpeur alcoolisée, nanar le noir se reprend.
"hola les amis ! buvons, avant que ces satanées poules mouillées de gouverneurs nous pendent car, un jour ou l"autre, ces forbans nous oteront nos vies !"

BUVONS BUVONS  

Ogier eut du mal �  se lever pour saluer le nouveau-venu. Une fois debout, il faillit retomber sur sa chaise.

Je vous salue, compagnon. Venez, buvez en notre compagnie.

Comme Ogier ne tenait plus debout, il se laissa retomber lourdement sur sa chaise.

Tavernier !! Tavernier !! Alors, il vient se pichet !! (hips)
Bon Dieu, qu"est-ce qu"ils sont lent içi... n"est-ce pas, Etienne ? On aurait le temps de mourir de soif.

S"adressant alors au nouveau venu :

Tidju, je ne connais même pas votre nom. Mais prenez un gobelet et buvons �  votre santé.

Ogier leva son gobelet et trinqua avec Etienne qui le suivait avec entrain.  

 Les deux compères offrait un spectacle désolant...pas un pour ratrapper l"autre...le prénommé Ogier y allait avec force...il lui dit �  son adresse : "Hé bien je me nomme Jean-Jacques De Genève... vous avez l"air quelque peu en rhum-er, si je puis m"exprimer ainsi..." il souriait �  son jeu de mot. Dans le fond de ce bas-fond, un autre ivrogne baraguinait dans un accent espagnol... Il était tard, mais le Capitaine De Genève devant cette table de compatriotes eu la nostalgie de son pays. "Allons j"accepte votre invitation...que le rhume coule �  flots ! Tavernier la tournée pour tous ceux qui tiennent encore debout`!"
   

Hips, des compagnons comme ça sont... hips...toujours bienvenu !!! Allez, l"espagnol.. hips... amènes-toi...

Hips, c"est ma tournée...  

 Le capitaine Nanar le Noir s"approcha en titubant de la table. Le tavernier voyant l�  une aubaine pour sa bourse eu un sursaut d"énergie, il allait et venait au rytme des tournées. Nos quatre compères avaient une sacrée descente...nos soulards se contaient leur périples �  travers la mer Caraïbes...Etienne de Chollet s"adressa au dernier venu :
"Dis-moi l"ami, toi qui est ici depuis plus longtemps que nous autres, as-tu croisé quelques belles et plantureuses jeunes gourgandines ?"

A cette question, nos trois français se retournèrent vers Nanar dans l"attente de sa réponse...  

 " Ce brave Nanar a de la peine �  comprendre ! Hé bien, essayons en espagnol ! Hol�  cabron, Donde esta las gourgandinas ?"...

Visiblement, Nanar le Noir était parti. Son enveloppe charnel malodorante se trouvait bien l� , avachi sur sa chaise, mais son regard vitreux semblait perdu...  

 "Par les cornes du diable ! Notre ami  �  l"air d"avoir bu de trop !"

Etienne le tenant par l"épaule, secoua Nanar qui restait inerte...sa tête bascula en avant et un jet de vomi innonda la tablée, maculant la chemise du capitaine De Genève assis en face de lui....

Etienne quelque peu éclaboussé se mit �  rire...

"Cela devait coincé dans sa gorge !"...il extirpa, �  l"aide de sa dague, une arrête de deux bon centimètres noyée dans les restes que Nanar venait de rendre...  

Le capitaine J.-J. De genève recula assis, bousculant sa chaise qui tomba �  la renverse. Debout il comtempla sa chemise constellée du repas de l"espagnol..

"Par la grande verge ! une chemise de la plus belle étoffe,  pillée �  des marchands vénitiens...Que tous les démons des mers te mange ton âme ! Maudit espagnol.."

L"espagnol avait rejoins morphée, �  présent il ronflait son visage reposant dans son rendu...
   

J"ai toujours dit...hips... que les espagnols ne tenaient pas la boisson... hips...

Maintenant, il serait temps... hips... d"arreter l"alcool...hips... parce que les gars ne peuvent...hips...me voir dans cet état.

Ogier, d"un pas mal assuré se dirigea vers le comptoir.

Hola, tavernier, passes-moi un verre d"eau ! Non, attends, donnes-en deux...hips...

Après avoir bu le premier, il se dirigea vers l"espagnol, le deuxième en main.
Tout en lançant le contenu du verre au visage de Nanar, il dit :

Tiens attrappes ça !    

 Nanar le Noir ouvrit un oeil, sans bouger, il scruta les alentours, trois paires d"yeux le fixaient...il sourit. De sa bouche édentée une haleine de baleine en décomposition reflua... il releva la tête, un morceau de poisson restait collé �  sa joue.

"Mon Dieu, faites que cet homme....rebus de l"humanité...puisse-t-il un jour vous rencontrer Seigneur...je prierai pour toi l"espagnol, que ça miséricorde soit aussi grande que ma pitié !"

Le capitaine De Genève s"adressa �  ses compatriotes.

"Messieurs je vous adresse mon salut, frêres que la vie vous apporte gloire et richesse... si nos chemins se croisent quelque part dans ces mers, sachez que j"aurai plaisir �  croiser votre épée..."

Il croisa leur regards, les salua bien bas et s"en alla sans se retourner.
   

se réveillant de sa torpeur, nanar se resaisit
hein ?
quoi ?
quesqu"y est arrivé ici ?
ma parole, mais vous etes dégueulasses !

se faisant mettre au courant de ses dernières actions vomtives, nanar rigole et rattrapes notre camarade genevois, il lui rembourses entièrement sa chemise.il est pas malhonnete non plus.

Ils reviennent �  la taverne ensemble reprennant la fete de plus belle.
"désolé pour ce désagrément frere pirate genevois"

"ET UNE TOURNEE GENERALE, c"est pour nanar !
ohé tavernier ramènes un tissu pour éponger toute cette alcool et ausssi des nouvelles bouteilles de rhum c"est le désert aride par ici !"  

 et c"est a ces mots qu"un personnage curieux, qui était au fond de la taverne se leva, on ne pu dire si c"était un homme...ou un monstre, personne ne savait son nom on l"appelait barbare pour sa barbarie sans égale ou le seigneur noir pour ses pensée noire. il avait sur ca tete un énorme capuchon ne laissan dépasser rien, en ne pouvait voir que du noir, ca cape trainait jusqu"a ces chevilles. Il s"approcha de la table ou quelques vieux loups de mers se saoulait joyeusement et cria: j"ai entendu dire avant que les espagnols ne tiennent pas l"alcool! je le met au défi! quand �  ce vieux nanar je ne l"ai point vu, point connu sans les effets de l"alcool (il luit mettit une tape dans le dos qui fit basculer tout le tronc de son camarade sur la table, la tete alla percuter la table en plein fouet, a voir di le barbare, il est encore parti dans son monde imaginaire!
TAVERNIER, met tout cela �  mon compte! amène nous les meilleurs de tes alcool et fait vite cette fois!
puis il sa"ssist �  la table.

Modifié par barbare le 05/12/2005 15:04:10  

le barbare souleva son capuchon et.....


:w|ARGH!!!:w|

Vision d"horreur!
tous ces braves marins comprennent alors son terrible secret!!!
Emprisonné dans un filet �  thon ,
il parcours sans relâche les mers �  la recherche d"un remède.....



Modifié par simon le 05/12/2005 18:35:18  

Barbare regarda fixement simon, il était tellement soul qu"il ne s"était meme pas aperçu que le seigneur noir avait dans ses main un miroir et que c"était lui meme qui était prisonnier dans le filet �  thon! la taverne entière se mit �  rire:D

Modifié par barbare le 06/12/2005 10:28:14

Modifié par barbare le 06/12/2005 10:38:34  

 la taverne avait repris un semblant de vie... devant un tel spectacle de désolation le capitaine De Genève eu un haut-le-coeur : "Messieurs vous n"êtes qu"une bande de pochtrons, quel misère... �  vous saoûler de la sorte, vous finirez aux mieux sur le pavé, au pire une lame au travers de la pance !". Le rire général repris de plus belle. Le capitaine tourna les talons et disparu de ce lieu de perdition...  

 camarade barbare,
quel honneur de te voir ici !
nanar boit une lampée a sa santée.

et celui qui médit encore une fois des espagnols auront affaire �  ma lame, les francais n"en prennet pas pour leur grade que diable, laissons les nationalités loin de nous, ce genre de choses sont bonnes pour les gouverneurs, rois, et soldats de l"armée, pas pour les pirates, hommes libres et affranchis de toutes contraintes, même celles de l"orgine sociale , raciale ou territoriale

et je dirrai a ceux qui sont outrés de la consommation de boisson ici que si le pirate accepte que sa vie soit courte, il exige en retour qu"elle soit bonne !

oups mais quesqui m"arive, quesque ce discours cohérent ?
ALLONS BUVONS ENCORE
TAVERNIIIEEEER ! Une tournée pour feter la venue de barbare !


(le tavernier grommelle dans son coin, ce qui n"est pas sans enerver nanar)

quesque tu rumines ? j"en ai plus qu"assez de toi et de tes manières de racistes !

d"un bond, ananr sort sa lame et fend une partie du bar miteux ou le tavernier fait ses affaires...

"allons pour la denière fois montre un peu tes dents !, souris, tu es en train de faire de bonnes affaires !"

quoiqu"en se forcant un peu, le tavernier arrive �  montrer ses (ou ce qu"il en reste) dents...
c"est un horrbile bonhomme édenté.
"AAAh. bon c"est bon, tu n"est pas obligé de sourrire, tavernier."
mais sers nous �  boire et plus vite que ca !  

 mon chère nanar je vois que tes habitudes ont vaincu le temps! tant mieux! les deux vieux pirates se mirent �  rire puis il levèrent ensembre une chope trinquèrent et cirèrent "A LA PIRATRIE" et finirent leur choppe en moins de temps qu"il faut pour le dire. soudain barbare reprit la parole: je suis �  la recherche d"un galion, ou quelque chose dans le genre eceque quelqu"un peu m"aider?
puis il recommanda une tournée générale en pensant"si ca continue comme ca je n"aurais plus une pièce d"or et c"est mes matelots qui vont me pendre"  

 hey , le barbare!

j"ai un galion pour les durs �  cuire comme toi!!



:fleur::fleur::fleur::fleur::fleur::fleur::fleur::fleur::fleur:

Modifié par simon le 07/12/2005 11:07:01  

 Le capitaine Rutabaga déplia le parchemin ou figurait un magnifique galion... Etienne De Chollet n"en crut pas ses yeux.

" Hé bien, ce brave Barbare vas terroriser toute la grande Caraïbe...HA HA Ha... pas besoin d"équipage et de canons, ces énemis seront mort...de rire ! HA HA HA!"

   

simon regarde bien la dernière fois que j"ai été en france ce pays ou les peintres sont très proches de la réalité dit-on il m"a donné cette peinture en me disant que c"était un jour un pirate complètment idiot qui lui avait demandé de dessiner mais il ne l"avait jamais récupéré et il m"a demande de te le rendre alors voila!  



   

 oh oh !
ah ah !

TAVERNIER ! N"OUBLIES PAS DE REMPLIR NOS CHOPES (c"est en tout cas pas nos poches que tu vas remplir) !
nanar dit (hurla serait plus approprié) ces mots au tavernier en regardant les autres compères se faire leur démonstrations de parchemins tous plus rocambolesques les uns que les autres...

amusé, il se roula un énorme joint qu"il fit tourner �  ses frères pirates.  

Goutez- donc !
 c"est de la tortusienne, les amis, arrosée avec du sang de gouverneur et avec les meilleurs engrais au monde, mais je vous en epargnerez les détails, car cela risquerait de vous gacher ce divin plaisir...AHAHAHA !

c"est ma production personnelle venant de mon petit terrain �  la Tortue...loin de tout, Lorsque je serais trop vieux et que j"en aurais trop vu, je finirais ma vie dans cet "enfer paradisiaque" de l"ile de la tortue en tant que boucanier avec une compagne digne de ce nom... mais pour le moment ma vie est faite d"aventures en tout genre et moi aussi je rêve d"un nouveau bateau, pour plus de pillages, plus de libérations de frères esclaves, plus de guerre contre le monde entier et sa babarie cruelle...

Se voyant s"emporter dans sa rage contre ce monde impossible, nanar se reprit et contenait sa colère....
en la noyant dans l"alcool, en l"enfumant de fumée de joints, en l"oubliant dans les bras des femmes...
Mais un jour...........
[boit une lampée]
nanar tout d"un coup se raidit.
[boit une lampée]
le regard noir et pensif.
[boit une lampée]
silencieux.
[finit cul-sec sa chope �  moitié pleine alors que le tavernier arrive pour re-remplir les chopes vides (il avait maintenant l"habithude, un vrai pro....mais vraiment le regard du type qui se croit supérieur seulement �  cause de sa peau blanche....]
nanr le prend et le fixe droit dans les yeux :
-quesque t"as �  me regarder comme ca, hein ???T"aime pas ma couleur ?
Tu crois que je suis un singe et pas un homme comme toi ???
Réponds ! Salopard de raciste ! Réponds !
[nanar prend un de ses  2 pistolets et le braque directement dans le pantalon du tavernier....qui ne fait que gémir et finit par se pisser dessus]

Les pirates se moquent alors de cet homme "aux prétentions supérieures", même pas capable de se retenir devant un "inférieur"...
pityable...
nanar regardant son pistolet plein de pisse, dit au tavernier :
tu vois, si ce pistolet avait eu une quelqconque valeur sentimentale, je t"aurais criblé de balles sur le champ...
...question de principe...
[il le pointe sur le tavernier, qui ne se contente plus de seulement pisser, on va épargner les détails si vous le voulez bien]
mais c"est pas le cas ! AHAHAHAHAH !
allez va te laver espece de gros porc !
[boit une lampée]
   

 "héhé... ya de l"animation dans le coin" dit une voi qui semblait sortir d"un grand manteau noir surmonté d"un grand chapeau.
 [Mac Adam rentrai en fait juste sa tête entre ses épaule pour laisse reposser son chapeau sur le col de son manteau et buvai en versant la biére, si on peut appeler sa de la biére, par la parite du col non boutoné, ce qui n"était pas sans produire son petit effet...]
le manteau finit sa biére, paru voulior donner une tape dans le dos de nanar, mais paru également se raviser en regardant un peu mieu nanar [par l"air du type qui se laisse taper dans le dos...] puis il dit :
"laisse le donc soulager sa conscience, mais la prochaine souvient qu"un pistolet n"a pas besoin d"être en contacte pour faire bobo, ou vise une autre parti de son anatomie... héhé"  

 Le capitaine rutabaga, perdu dans ses pensées , observe ces bons loups de mer se remplir le gosier et s"enfumer les neurones

O:)sa conscienceO:)
"Allez va y, bois un ptit coup ça va te détendre.."

"Fume juste une taf, histoire d"apprécier"

D"un coup il se relève : NON!! je ne craquerais pas!, j"ai promis �  la fille du gouverneur d"Euleuthéra que mon sevrage serai total!!(:love::[:love:)

(quelques marins étonnés par ces exclamations se retournent un instant puis retournent a leur activités ,impassibles)

Il se rassoit.

fouille dans sa poche (ou les ais-je donc mis?)
Ah les voil� , j"ai plus qu"a ronger mes ,,

Modifié par simon le 08/12/2005 11:37:21  

 je compatis camarade, tu es digne, mais saches que pour avoir des femmes, on est pas obligé que ca soit des mal-baisées de gouvernorantes...

j"ai déja laissé tomber il y a bien longtemps toutes ces foutues moralités imposées !

je le redit, un pirate n"attend pas que sa vie soit courte, mais en revanche, il exige qu"elle soit bonne !

bref, prends cela de ma part...
TAVERNIER ! Un SIROP GRENADINE POUR NOTRE AMI !

[la phrase lancée ne tarda pas �  faire de l"effet dans la salle...Bruyante il y a moins de 2 minutes, elle était dans un silence complet,même les 2 pochtrons se battant au fond du bar, �  coté des chiottes s"étanent battus pour fixer d"un air dubidatif la salle. tout le monde se retournant pour savoir quel fou ne commandair pas d"alcool dans cette taverne...]

...ET BIEN SUR : UNE TOURNEE GENERALE (D"ALCOOL, BIEN SUR) !

[tout d"un coup, l"ambiance se raviva joyeusement,le brouhaha reprennant de plus belle, les sourires édentés de nouveau sur les lèvres, les 2 pochtrons se refoutant sur la gueule...bref ca redevenait normal !]

quant au manteau parlant, je ne ferais pas de mal �  un frère de la cote, quel qu"il soit. je reserves toutes mes forces offensives pour les gouverneurs et les navires ennemis ! (et les taverniers racistes !)

bon il est ou mon joint ?!?

   

ton joint? tu la fini!
mais je t"offre une chose bien meilleure encore, il se retourna et cria au tavernier:BORDEL DE TAVERNIER TU VEUT NOUS FAIRE CREVER OU QUOI? ON A SOIF! le tavernier se rappelant de sa lecon il accouru avec plusieurres bières et dit: ccccccccc" estt le pppatron quuii... offre!  

De la bière :w|  Chiens des Mers, qui sont ces bigots ibériques? échangeraient-ils du rhum pour de la bière? marché conclu, le rhum m"est plus utile que la bière sur ma frégate. Sont-ils seulement venus avec du rhum �  défaut de poudre? quant �  leurs filles, leur distrayant piquant n"a d"égal que leur fatigante charité, autant prendre les voiles après un planteur et un cochon boucané, pour la satiété et la gloire, rien de mieux :siffle:

Modifié par massa le 09/12/2005 17:06:07  

 Voila qui est bien parlé mon cher massa il est vrai que le rhum est meileur que la bière mais je voulais prouver �  notre compagnon qu"il pouvait aussi gouter la bière! alors J"OFFRE UNE TOURNEE GENERALE TAVERNIER!!!!!!!!!!!!! BOUGE TOI SI TU NE VEUT PAS  TE RETROUVER AVEC UN TROU!    

 Les capitaines français présents se levèrent pour saluer le Capitaine Massa, sa renommée légendaire l"avait précédée.
Le capitaine De Chollet s"avança...
"Messieurs levons nos verres au capitaine Massa, seigneur des mers et grand pourfandeur de galions espagnols ! gloire �  ses frasques et que tous les démons des océans lui prète longue vie !"
Les capitaines entourairent le nouveau venu. Ils l"installère �  la meilleure table, s"emprésèrent de lui faire plaçe en bousculant quelques marins. Ces derniers s"en retournèrent aux comptoir en maudissant les français...
"Bougez vous, cabron! le capitaine Massa �  soif et faim..tavernier, sers le au plus vite! ton meilleur rhum..pas la pisse que tu nous a servis et qui nous tord les boyeaux ! Presse toi, ne le fais pas attendre !"
Le capitaine s"adressa �  la cantonade : "Tournée générale! la France vous régal !". Le tavernier eu vite fais de dresser une table et la couvra de cochonaille et poulardes dodues..
"Allons mes amis..mangez et buvez..demain est peut-être le dernier jour de votre vie ! Ha Ha Ha.. Alors capitaine Massa quel honneur que de partager ce repas avec vous, mais dites moi quels sont les raisons de votre présence en ce bas lieu ?"
   

Heureux de vous y rencontrer Capitaine Etienne!
Mes cales sont pleines et les marchands ruinés tandis que mon équipage trépigne �  l"idée de partager, ou de perdre, un butin honorable. Attirés par les boucans si festifs de ce bas-lieu, nous venons nous y détendre et veiller aux bonnes et mauvaises rumeurs! nous repartirons une fois la panse remplie, le palais emmerveillé, la glotte rougie de chants et la jambe de bois séchée. Débauche nous n"accepterons!
Quelle chaleureuse tablée que voil� , pour sûr, ce n"est pas le scorbut qui nous tuera demain! quant �  vos subtils breuvages, apportez aussi épices et vanille afin que nous partagions nos mélanges aux parfums les plus capiteux, mon grand âge me rend difficile ces temps derniers. Que mon artiste musicien prenne place aussi et vous fasse part de ses récentes créations avant qu"il ne soit saoûl, "Hi isse ho, nous resterons en vie demain, et traquerons tout bon requin... "  

 Bienvenue �  toi, il semblerait qu"on te fasse un accueil bien plus civilisé qu"a un pauvre pirate...

Le problème est que vous vous forcer de ramener toute discussion sur votre patrie, apprenez mes amis que ceci est une baliverne, nuos sommes appatrides, sinon pourquoi écumerions-nous les terres au lieu de rester dans nos "bonnes" bougrades de chez nous ?!?

Que tu sois francais, hollandais, anglais ou espagnol ou encore chinois ou que sais-je n"a aucune importance, c"est l"esprit et la conviction qui sont importantes chez un pirate.. Pas le lieu qui t"a vu naitre !

Buvons �  ton arrivée et �  l"internationale pirate !

jmen vais en rouler un autre pour ton arrivée !

et allez amenez l"accordeon et sortez le piano, rammenez les femmes !
 ce soir est une fête de plus !  

 Héhé, cher Nanar, ce chaleureux accueil est le privilège des vieux capitaines endurcis! entre deux bouchées, laisse-moi te rappeler qu"il ne faut pas se fier aux apparences, l"art du déguisement, qualifié par certains de traitrise, est un de nos meilleurs atouts, d"ailleurs, sans raconter toutes mes aventures et te dévoiler mes origines, il m"arrive de piller des vaisseaux français parfois... pour la survie de mon équipage hétéroclite que je respecte plus que tout. (oo)
Bon vent et merci pour le partage, je dois repartir, on vient de me signaler qu"�  Anguilla, il n" y a plus que 100 soldats ;)  

 Et c"est sur les paroles de nanard que l"on vit le capitaine français completement torché en train de composer un hymne sur l"internationale pirate, aux dépends des oreilles de ses camarades (les anglais ne comptent pas:p)...  

 Le capitaine Massa se leva. Tout les capitaines le saluèrent et lui souhaitèrent bon vent...

" Que les démons des Mers lui prète longue vie ! Gloire au capitaine Massa et que le port et les murs d"Anguilla commence �  trembler ! Amis pirates si vous compter vous y rendre, dépéchez vous sinon vous n"y trouverez que des cendres ! Ha Ha Ha..."

les choppes et les verres levés , chaques pirates se mit �  chanter " Tremble Anguilla, voil�  le capitaine Massa. tremblez soldats �  l"heure de votre trépas..."  

 tu me semble bien sur de toi cher massa, ce qui n"est pas non plus un mauvais don car si l"on part avec l"esprit déj�  d"un perdant on arrivera jamais �  rien! je te souhaite une bonne bataille et reviens vite nous raconter d"autres de tes périples!  

 Black se dirigea vers le tavernier, chuchota �  celui-ci et se rendit �  une table du fond sans regarder personne, il était plongé dans ces penssées  

suite du sujet ici : Boire sur un faux-rhum (suite)