Imprimer la page - le procès des grands. La vengeance de la Hollande pour la prise de Bonaire.

Maitre du jeu

Scar Taranis François deBois étaient tous dans une des cellules � désespérer. Après avoir fait cent fois le tour de la cellule, avoir tenté de voir par les barreaux en haut de la prison pour essayer de s’enfuir. Mais mauvaise idée elle donne sur la salle des gardes. Taranis étaient adossé au mur, François allongé sur le sol et Scar toujours droit digne mais fatigué. Il regarda par les barreaux de la prison leur garde assit avec sur un tonneau devant lui trois pistolets et un fusil sur ses genoux.
- Cette fois ci c’est fini, nos hommes ne peuvent nous sauver. Il y a encore deux navires de guerre au mouillage sans compter celui du corsaire et celui du chasseur de pirate. Il y a plus de fort donc si on attaque la prison ce gars nous tuera sur le fait.
- En plus comme il n'y a plus de fort, les soldats ont des places fortes un peu partout dans la ville et ils se méfient des marins. Dit l'autre capitaine
- Espérons que Karnaj ne soit pas � Bonaire. Car sinon ils vont l’attraper
- Et surtout elle va essayer de nous sauver ou de se défendre et l� c’est fini de nous et de nos hommes. Dit calmement François qui dessinait des cercles dans le vide coupant la parole à son capitaine
- Pour nos vies la corde ou une balle ça ne changera rien
- Parlez pour vous, s’écria Scar. Moi je pouvais espérer juste une obligation de naviguer sous le commandement de la Hollande. Mais avec le lieutenant du fort en ruine il va tout faire pour que je sois avec vous sur une corde. Dans tous les cas cela ne me plait pas. Comme vous tous je préfère mourir l’arme au poing en combat et pas comme un maraud un vulgaire pirate, Pardonne moi Taranis. Mais nous ne sommes pas du même genre. Mais surtout mon père n’aura pas eu vengeance pire : le pays pour qui il est mort aura tué son fils.
-Patience dit calmement Taranis tachons de rester dans les mémoires montrons que les pirates ne sont pas que des brutes mais des hommes libres et courageux. Scar tu devrais y arriver avec tes talents d’orateurs. Dit il après avoir regardé ses compagnons longtemps avec un air moqueur.
-Le vrai risque c’est que les pirates tentent quoi que ce soit alors l� on est sûr d’y rester. Commenta le second, en tout cas je serais mort sous le commandement de Scar, grand pirate et accompagné de Taranis homme respectable que demander de mieux, par tout les Saints ! comme compagnie en enfer.
- Moui, que je sois banni si je retrouve Kerk en enfer. Car comme je lui ai promis on se battra dans un combat épique et mortel sans que personne ne puisse nous stopper…
- Mais votre ami Armis n’a pas réussit � obtenir que l’attaque contre la compagnie des Indes ne soit pas retenue comme un délit??
-Sans doute mais il y a pas que cela qu’on va nous reprocher, cria les second, tous nos actes barbares, tous ! jusque celui d’être né !! Ces maudits politicars ne s’arrêtent devant rien sauf la poudre et le fer. Puis il frappa contre le grille le garde ordonna qu’ils se taisent il fut obéi.

Le tribunal fut préparé ainsi que la potence, les juges cherchèrent des témoins, des preuves, des actes de Scar et Taranis. Ils ont cherché aussi un homme assez fou pour vouloir les défendre.

Voila encore une quête d’un genre bizarre un procès vous pouvez vous inscrire pour la quête sous le nom d’un personnage pnj. Ce que vous pouvez jouer sont le juge, l’avocat de la défense.
Sinon sans être inscrit vous pourrez témoigner avec votre personnage mais n’oubliez pas nous sommes des pirates si vous nous défendez trop vous serez sans doute arrêté et jugé car cela donnera une preuve de vos actions de piraterie… attention � votre langage....

liste des joueurs et des passages:
- scar
- Taranis
- Regnak
- SilverFalcon
- Teryoto
- Hyorg
choix des joueurs et recruteemnts fini

ps: on ne commencera pas la quete tant que j'aurais pas un internet qui marches désolé mais sinon le juge et l'avocat de l'attaque ainsiq ue mon personne ne pourrons pas parler....

Taranis était dans ses pensées. Il se remémorait les derniers évènements qui l’avaient séparé de son équipage pendant l’attaque de la ville par ses confrères pirates. Enseveli sous des gravas après avoir découvert des souterrains sous la ville, puis retenu prisonnier par un chasseur de prime qui l’avait reconnu et qui attendait le bon moment pour le livrer aux hollandais, il venait de s’échapper quand les soldats lui tombèrent dessus dans une taverne au moment où il allait retrouver ses compagnons qui le cherchaient désespérément dans toute la ville.
_Quand je pense que je venais de me sortir des griffes d’un salopard de chasseur de tête… et que je me retrouve ici avec toi Scar… ça me fait bien rire ! Ce qui me rassure, c’est que mon équipage a mit le bateau � l’abri.
_Tu étais prisonnier pendant tout ce temps ? S’étonne Scar. Je me demandais pourquoi tu étais revenu ici te jeter dans la gueule du loup.
_Je ne suis pas fou � ce point sacrebleu ! Mais toi… On dirait bien que tes amis hollandais t’ont abandonnés cette fois-ci.
Scar ne répondit pas. Au même moment la lourde porte de la cellule s’ouvrit et deux gardes rentrèrent suivit du geôlier apportant le repas ; du pain sec, trois gamelles d’une soupe � vous couper l’appétit pour longtemps et du fromage dont l’odeur ferait fuir n’importe quel rat de la ville. Le tout accompagné d’une cruche d’eau imbuvable, sûrement prélevée dans le port. A la vue de ce triste repas, d’un ton ironique, Taranis demande � Scar :
_Ne pourrais-tu pas leur demander de m’apporter du cognac ? Enfin… Si tu as encore de l’influence sur tes anciens amis hollandais bien sûr !
_Ne te moques pas de mon capitaine ! Rétorque sèchement François.
_Du calme l’ami ! Répond Taranis avec un petit sourire en coin. Je plaisantais. C’est tout ce qu’il nous reste pour l’instant, de la plaisanterie…

Soudain des coups de feu se firent entendre au dehors. Taranis,Scar et Francois levèrent la tête et les oreilles. Apparement une bataille faisait rage dans la ville!

Près de la forteresse, se déroulait en effet un combat. Un navire de tonnelure assez grande avancait doucement, entouré de la fumée de ses canons. A l'interieur du navire se trouvait le capitaine SilverFalcon qui s'affairait � cacher ses objets de valeur sur lui. Ensuite, il monta sur le pont ou il rejoignit son quartier maître, William Dawkins. Il prit un mousquet et évalua la distance qui les séparait de la forteresse d'environ 0.5 miles (ou 1 noeuds) Il arma et tira, lancant ainsi un appel aux quelques tireurs d'élites qu'il avait caché dans le faux pont. Ceux ci montèrent alors et formèrent une ligne.Des soldats apparurent sur le toit de la forteresse et tirèrent une déflagration de boulets ramès, qui endomaga sérieusement les voiles. Les tireurs tirèrent et tuèrent tous les soldats. Mais le bateau se rapprochait dangereusement et les mitrailles commencaient � venir � bout de l'équipage.

SilverFalcon fit alors lever un drapeau blanc sur lequel l'on pouvait voir en gros "Pour parler".Les tirs cessèrent alors et l'amiral apparut en haut du batiment ennemi. SilverFalcon se présenta au milieu de son navire, fier malgré son corps en sang et ses vétements déchirés.

-Salut � vous très cher Amiral! Je vous tirerai mon chapeau s'il n'avait pas été défragmenté pour votre stratégie d'attaque! C'est pour ca que j'aime les combats contre la marine!

-Savez vous que vous mourrez dans quelques heures? Qu'est ce qui vous rend si confiant?

-Mais le canon pointé sur vous cher ami! Vous ne me croyez pas? Eh bien faisons donc une démonstration mes chers tireurs!

Une pluie de coups se firent entendre mais un seul d'entre eux toucha le chapeau du militaire. Les soldats s'apprétaient � achever les pirates mais l'Amiral leur fit signe que non.

-Je risque ma peau! Arretez donc et entendons plutôt les requêtes de ce forban!

-Prenons plutôt un verre dans votre bureau vous voulez bien?

Et c'est ainsi qu'� l'interieur de la chambre de l'Amiral, les parlementations commencèrent.

-C'est simple! Je veux la libération des prisonniers que l'on tient pour responsable de l'attaque de ce port!

-Et pourquoi le ferions nous?

-Car il y a derrière moi tout un armada de navires pirates prèts � attaquer une seconde fois cette ville! Mon navire ne sera qu'unpion!

-Ce pion � le droit de s'en aller cher capitaine SilverFalcon! Mais sachez que l'on vous tient vous aussi pour esponsable de l'attaque! Vous êtes en état d'arrestation!

SilverFalcon eut beau se débattre, les gardes étaient nombreux et de forte ossature; ils assomèrent le second et le quartier maître qui était venu avec lui et emmenèrent les trois gailards vers les geôles. Lorsque SilverFalcon traversa la cour de la forteresse il hurla � l'attention de son équipage qui était en route:

NE FAÎTES RIEN TANT QUE NOUS N'EN AVONS PAS DONNER L'ORDRE! JE VOUS JURE SUR MON EPEE QUE JE SORTIRAI VIVANT DE PORT AVEC LES PRISONNIERS PRES DE MOI! RENTREZ A TORTUGA!!!!

Quelques minutes plus tard, il fut jeté dans la cellule.

Le Titan s'approchait lentement du port de Bonaire, quand la vigie signala des restes de fumées et une armada Hollandaise droit devant.

- Mettez le pavillon Français, rentrez les sabords et la grande voile, reduisez la vitesse, tous les hommes sur le pont.

Un navire plus petit que le Titan s'approcha alors et par signal de fanions demanda la mise en panne du bateau.

- Mettez en panne!!! Preparez vous pour un appontage!

La fregate Hollandaise fit descendre une chaloupe et une dizaine de soldats se dirigerent vers le navire. Ils l'accosterent et monterent � bord.

- Qui est le capitaine de ce bateau demanda un Hollandais drolement habillé
- C'est moi, repondit Regnak, en descendant du pont superieur.
- Capitaine votre cabine je vous prie.

Ils furent guider jusqu'à la cabine et Ils s'installerent.
- Puis je vous demander les raisons qui vous poussent � pénétrer avec un batiment de guerre dans un port Hollandais?
- Naturellement, je viens querir provisions et informations...
- On nous a signalé une flottille pirate dans le secteur. Qu'est ce qui nous prouve que vous n'en faites pas parti?
- Je ne suis pas un Pirate, je suis le marquis de Valon et je trouve que votre ton n'est pas approprié messieur! Si vous ne me croyez pas voila mon titre de noblesse et ma lettre de marque de la France signée par le Gouverneur de Port au prince représentant direct de sa majesté dans ces eaux...

Apparement, le Hollandais ne lisait pas un traitre mot de Français, mais pour la forme il inspecta les deux documents pendant un petit moment avant de les rendre.

- Excusez moi, les massacres de Bonaire ont mis nombre de nos hommes � cran. Je vais vous demander de nous accompagner jusqu'au port ou vous rencontrerez le Commandant. En attendant je vous deconseille d'ouvrir un sabords ou la sainte-barbe...

Le capitaine s'executa et se fut lentement dans le sillage de la Fregate que le Titan commança son entrée dans le port de Bonaire...

Une chaloupe s’approchait lentement de Bonaire a bord un homme vêtus de noir visage et main masquer, un navire hollandais ayant remarqué la chaloupe fit voile dessus et l’homme se fit ordonner de monter a bort pour être questionner.

-Qui êtes vous et que faite vous dans ses eaux avec un si petit bateau, demanda un officier hollandais.
-Je suis un pauvre malade atteint de la lèpre monseigneur dit l’homme en haillon.
-Quoi ? Éloigne toi de moi vagabond dit l’officier d’un air dégouter, mais si tu ne me réponds pas a ma deuxième question nous te jetterons a la mer.
-Mais mon seigneur je viens me faire soigner ici à Bonaire comme il y a un mois.
-Il y a un mois dit tu ?as-tu assisté a l’attaque des pirates dit moi veille homme répliqua le soldat.
-Oui mais je n’ai rien vus de peur de me faire tuer
-Ce n’est rien tu es un témoin et tu va nous suivre dans ta chaloupe.

L’officier ordonna d’attacher la chaloupe a l’arrière du bateau et de faire cap sur l’ile. Le malheureux confiner sur sa chaloupe mais l’officier ne connaissait toujours pas l’identité du mystérieux malade.

Feryot fit jeter l'ancre à environt une heure de navigation du port de Bonaire. Il possédait maintenant un manowar hisant pavillon français et un équipage complet.
-Faite dessendre une barque. ordonna-t-il.

Une dizaine de minute plus tard, il mit les pieds sur une plage déserte.Il était accompagné de 10 marins qui n'était pas venus à Bonaire lors de la première attaque et qui ne pouvait donc pas être reconnu. Pour sa part, Feryoto c'était laissé poussé la barbe et c'était coupé le cheveux. <<Même ma propre mère ne me reconnaitrerait pas>> pensa-t-il. Feryoto se dirigea à pied vers la ville. Il y pénétra avec 5 de ses hommes très facilement et se dirigea vers une petite taverne. À cet endroit, il se renseigna et apprit la date du procès.
-Parfait, maintenant, attendons. Si la situation venait qu'a tourné j'ai établi un système de communication avec le navire pour lui dire d'attaquer. Je ne croit pas que nous puissions faire réellement quelque chose mais au moin nous serons prèt si il arrive un événement inatendu.
-Et si nous somme interrogé ou reconnu? demanda l'un de ses marins.
-Vous n'êtes jamais venus sur cette île et mois j'ai déja fait du commerce ici. Je dirai que je désire recommencer, ces tous. De toute manière, personne ne me reconnaitrera.
-Et s'il demande où est notre bateau?
-Mais tu les a les questions toi. Je t'échangerai contre ma liberté. Ça te vas?

Le jeune pirate dégluti et ne reparla plus de la soiré.

Pendant ce temps dans les cellules, SilverFalcon se réveilla avec une atroce douleur � la tête. Il se la frotta et vit qu'il était plongé dans le noir complet. Puis peu � peu, il émérga et commenca � se rappeler. Lorsqu'il arriva � la prison il comprit enfin ou il était! Jurant sur lui même il regarda tout autour de lui ésperant voir quelqu'un � qui parler. Lorsque sa vue s'habitua � l'obscurité, il reconnut Taranis.

-Ah! Vous! Ils m'ont donc mis avec vous! Cela fait longtemps que l'on ne s'est pas vu! Depuis l'attaque! A votre air, celui de la prison ne vous réussit pas! Je suis tellement bête d'avoir essayé de vous sauver! Maintenant me voila coincé entre quatres murs!

Il s'approcha et exmaina le reste de la cellule. La planche bois qui servait de couchette et table était rongée de tous les sens et dégagaient une odeur qui attirait des nombreux insectes. La porte quant � elle était toute en ferraille, de l'acier plus précisement. une ouverture était situé � une hauteur d'homme mais elle était fermée par un panneau du même bois humide que la planche. Des chaines pendaient aux murs et une chaleur étouffante régnait dans la prison.Une fenêtre de la taille d'un sabord et couverte barreau laissait passer une lumière voilée qui éclairait seulement le milieu de la petite pièce. Les murs avaient l'air épais et surtout d'un granit indestructible.
SilverFalcon soupira et s'appuya contre un de ces murs pourris.

-Je me demande qui sera au procès! Aurons droit � la moindre défense compètente? Pfff! J'espère au moins avoir l'occasion de tuer cet Amiral avant la corde! D'ailleurs dans combien de temps se passera le procès?

Regnak fut conduit jusqu'a l'amiral en chef de la flotte Hollandaise, celui ci avait mis pied � terre aprés l'arrestation d'un nouveau pirate d'apres ce que Regnak avait compris. C'est donc dans la nouvelle demeure de Gouverneur (miraculeusement intacte) que la rencontre eut lieu.

- Capitaine Regnak, marquis de Valon et Vassal de la couronne Française pour vous servir Amiral.

- Entrez Capitaine et installez vous, souhaitez vous boire quelque chose?

- Volontier et si je puis me permettre, vous parler un français presque sans accent c'est tout � votre honneur.

L'amiral servit deux verres, il en tendit un � Regnak tout en s'asseyant en face de lui.

- Marquis, allons droit au but, vous savez que la ville vient de connaitre un passage sanglant, et vous arrivez ici en annonçant que vous souhaitez vous réapprovisionner et querir des informations. Je suis desolé mais j'ai du mal � vous croire.

- C'est possible certes, mais si vous regardez les cales de mon navire vous verrez l'etat de mes provisions et de mon stock de boulet, il n'est pas reluisant et il n'assure pas une nouvelle traversée. De plus je recherche une flotte disparue, et pour se faire je vogue de port en port sans m'attacher particulierement. Vous avez parlé d'un passage sanglant pouvez vous m'en dire plus?

- Des pirates sans fois ni loi ont attaqué la ville, detruit le fort et pillé les entrepots. Nous en avons capturé certains et nous allons les pendre rapidement...

- Hum... Sans procés? Qui sont ils donc?

- Le Capitaine Scar, Taranis et Silverfalcon, tous des pirates sans foi ni loi, certaines personnes parlent aussi d'une femme mais nous ne l'avons pas encore attrapé.

Les noms évoqués etaient connus de Regnak, et sa recherche d'information l'avait souvent mené � eux... Leur perte n'etait pas profitable...

- Amiral, vous allez bien les juger?

- Bien sur, rapidement et efficacement... Le tout est de reunir rapidement suffisament de personnes pour mettre en place ce proces.

- La justice a toujours ete une affaire de noble et en temps que Gentilhomme je me propose de vous aider dans cette affaire, faites moi juge et je les expedirais rapidement sur leur corde.

- Ma foi, je ne sais pas, la couronne française n'a rien � faire dans cette histoire, mais avoir un jugement de noblesse aura plus d'impact... Je vais y réfléchir et je vous donnerais ma reponse demain. Sur ce...

Regnak se leva, et il se retint de ressortir une demande pour juger les mécréants, il avait besoin d'eux et un besoin vivant... Il fallait qu'il les aide, pour qu'ils l'aident en retour...

Dans la cellule on passait le temps comme on pouvait. Seul François était nerveux et s’inquiétait de son sort. Scar laissait paraître une confiance et une indifférence surprenante sur les événements actuels, comme s’il ne craignait rien, pas même la mort, ce qui intriguait Taranis sans pour autant l’inquiéter.
Il discutait tranquillement avec SilverFalcon.
_On ne nous a encore rien dit sur la date du procès. Mais il leur faut trouver des témoins, des preuves, et de ce côté-l� … ça risque de leur prendre du temps, au moins une bonne semaine. On a le temps de voir venir. A propos, quelles sont les nouvelles au-dehors ? Demande Taranis à Silver.
_Il y a une flotte de compagnons qui se regroupe je crois. J’ai vu Feryot se diriger par ici. Je sais que Hyorg voulait s’infiltrer � Bonaire. Je ne sais pas ce qu’il en est. Je n’ai pas de nouvelle de Lady Karnaj, mais j’ai fais la connaissance d’un français, un aristocrate, un marquis � la recherche d’une flotte disparue.
_Un marquis ? Français ? Comment s’appelle t’il ? S’interroge Taranis d’un air curieux.
_Il se fait nommer « marquis de Valon » et…
_De Valon dis-tu ? Tiens, tiens ?
_Tu le connais ? Demande Scar à Taranis.
_Non… Non, je dois confondre.
Visiblement Taranis reconnaît ce nom enfoui dans ses souvenirs mais cherche � détourner la conversation en s’adressant � Scar.
_Je te trouve bien confiant sur notre sort Scar. Ne crains tu pas la mort qui plane au dessus de nos têtes ? Et cette étrange blessure que j’ai cru voir sur ta poitrine, près de ton cœur, quel est donc ce mauvais souvenir que tu tentes de si bien cacher ?

Maître du jeu

Hyorg arriva aux portes du fort et essaya de passer sans se faire repérer, en passant pour un simple badaud. Les deux soldats qui gardaient le fort l'arretèrent du bout de leurs lances. Le premier, plutôt petit fit un signe � son coéquipier, plus grand mais plus large. Celui ci lanca :

-Eh l'ami! Que viens tu faire ici? Si c'est pour le procès, on n'accepte pas les personnes avant midi! Tu m'as l'air bien pauvre pour témoigner alors je te repose la question : que fais tu ici?

-Eh bien, voyez vous, je suis peut etre pauvre mais je viens pour....demander un poste de garde l'ami! Je voudrai voir le commandant pour me renseigner sur les prochaines dates de recrutement!

-Te faire enrôler dans l'armée? Et ou donc? La Marine?

-Tout a fait!

-Bon, passe donc!il baissa le ton et grogna dans sa barbe, s'enrôler dans la Marine?! Les jeunes de nos jours sont fous! Au lieu d'attendre qu'on vienne les chercher, ils viennent d'eux même!

Hyorg se dirigea vers la caserne ou logeait le commandant , puis lorsqu'il fut hors de vue des deux gardes, il tournat brusquement pour se diriger vers les cachots. Il arriva aux portes qui donnaient sur l'escalier qui descendait dans un couloir froid et sombre lorsqu'il se fit interpeller. Il fremit et se retourna lentement :

-Eh l'ami! Tu crois que nous t'avons cru? Tu te trompe! Tu viens te faire recruter dans les cachots? Si tu veux on peut t'y emmener directemnt! Retourne toi donc et montre ton visage!

Sur le seuil de la porte, se trouvaient les deux gardes armès d'une lance pointé en direction de Hyorg. Ils étaient accompagnés d'un homme visiblement haut gradé d'après ses médailles et son habit. Ce dernier prit la parole lorsqu'il vit le visage de Hyog :

-Bonjour � vous l'ami! Je suis le commandant que vous vouliez voir ! Et par mon épée, je reconnais ce visage. il eut un sourire mesquin. Au nom de la loi et de l'ordre, moi commandant Wolverstone, je vous arrete cher capitaine Hyorg!

En entendant ces paroles Hyorg d’un ton arrogant répliqua :

-Alors mon cher commandant vous ne courez pas vous cacher car c'est ce que j’ai crus voir la derniere fois.

Le commandant sourit et s’approcha de son prisonnier d’un air victorieux :

-Voyez! je ne vous crains pas pirate et je suis ravi de pouvoir vous pendre vous et vos amis.

-Erreur dit Hyorg en lancant son poing dans la figure du commandant qui le fit valser au sol, les deux soldats qui escortaient l’officier pointerent leur armes sur le torse du pirate l’homme au sol se releva en prononcent un juron qui se fit entendre jusque dans les cachots.

-Vous allez me payer sa sale chien dit le commandant en s’approchant de Hyorg puis une fois face a lui l’officier et les soldats pessaire � tabac le pirate avant de le jeter dans une cellule prêt des autres forbans.

SilverFalcon, assis dans sa cellule, jouait en balancant des petits cailloux sur le sol déj� plein de gravats. Il soupira et s'adressa � Taranis :

-On s'ennuie à en mourrir ici! Humil ricana lorsqu'il repensa à son expression! Ironique n'est ce pas? On va mourrir dans quelques jours et on s'ennuie "a en mourrir"! Eh bien, on aura au moins le mérite d'avoir compris enfin le vrai sens de cette expression!

Taranis lui répondit de facon tout aussi morne :

-C'est la vie, Silver! Que veux tu, la corde nous attends c'est sur, mais au moins, on sait que l'on aura mérité! Quand j'y repense, je me dis que tout est parti de rien!

SilverFalcon continua de ricaner en regardant son compagnon de géôle et s'exclama :

-De rien! Tout est parti de cette histoire stupide dans cette taverne! Dire, que j'aurai pu être avec les filles de joie de Tortuga � cet instant même! C'était ma prochaine escale! j'espère au moins que mon équipage aura réussit � s'enfuir!
En y repensant, je me demande que fabrique les autres "Grands de l'attaque de Bonaire" comme ils nous appelent nous autres!! Je n'ai pas eu de nouvelles de Lady Karnaj ni de Hyorg! J'ai croisé Feryoto sur les mers mais rien ni personne d'autre! Tiens d'ailleurs, Hyorg s'en est plutot pas mal tiré pour le véritable responsable de l'attaque!

-Tu lui en veux ?questionna Taranis.

-Non! Le moins du monde! A qui en voudrais je alors que je vais être pendu! Peut être au roi d'Angleterre! Ou bien celui d'Hollande, pour s'être gentiment soucié de nous! Savez tu qu'il a en personne envoyé une lettre pour notre éxecution! "Môsieur le roi voudrait bien, si vous en avez l'aimâble obligance voir pendre haut et court, les charôgnes responsables de l'attaque de Bonaire, ou se trouve la moitié de mes jupons de soie rose!! Ils ont ôsés touchés � mes bas!! Signé, sa Majesté le roi d'Hollande. Bisous affectueux, cher Amiral!!"il mima les gestes d'un dandy ainsi que la voix.

-Essayons de faire passer l'attente par l'humour!dit SilverFalcon avec un vrai sourire, devant la mine enjoué de ses compagnons.

Soudain, la porte s'ouvrit violement et un homme fut projeté au centre de la piece. La lourde porte fut refermée aussi vite qu'elle avait été ouverte et l'homme se releva.
SilverFalcon s'approcha de lui et en découvrant son visage s'exclama :

-HYORG!

Scar rregarda d'un air sombre le nouvel arrivant. Puis il souria
- Ainsi tout les grands pirates digne de ce nom sont reuni pour mourir. Tachons mes frères et amis de prouver que nous sommes des hommes de discours et juste des hommes de la liberté.
Il se tourna vers Taranis
- Pour la réponse � votre question sur ma marque je ne vous ai répondu que très légèrement la dernière fois. Cette réponse vous plaira un peu mieux.

Que savez vous de l'Hadès? Scar laissa un temps où un grand silence regna dans la cellule. Francois se reveilla � ces paroles.
-Quand on a connu cette chose la mort nous fais plus peur et peu même nous paraitre douce. Dit le second Car elle peut nous effacer, espèrons le, de cette vision du diable et du mal.
- Il faut du moins plus qu'une corde pour rompre mon cou. Scar parla serieusement le ton de sa voix était clair et triste. Il souria.
Personne ne pouvait savoir ce que voulait dire cette phrase. Scar aima faire croire qu'il était immortel...
Scar s'allonga sur la paille. Il attendit et cria pour obtenir le silence.
Tout le monde est là. Le procé ne tardera pas, tout est prêt même la corde.

Maitre du jeu

Trois jours après l'arrestation de Hyorg dans la chambre du juge chargé de ce procé.
Il était assi sur une chaise regardant depuis environ une heure des documents relatant tout les faits d'armes et de pillage des accusés.
- Avec un tel palmarés le surnommé "scar" et taranis seront facile � faire passer par la corde.
Un bruit � la porte puis elle s'ouvrit. Il s'agissait du nouvel amiral. Il salua le juge et discutèrent de la stratègie � prendre. Le juge demande si tout les temoins et preuves étaient réuni, la réponse fut affirmative. Puis le soldat quitta l'homme de loi.
Le lendemain monsieur de Regank fut convoqué au tribunal. Les prisonniers furent réveillés de force pour le grand jour.

L'après midi tant attendu arriva.
La salle du procés était pleine de bourgeois, de riches, de nobles et de soldats qui voulaient voir la condamnation de ceux qui avaient fait couler le sang de Bonaire.
Le juge entra dans la salle, suivit dans grand silence. Il salua de la tête le francais Regnak et le redoutable homme de discours Adolf teilen. Le juge prit la parole
- Moi, An Foreinzi, juge et porte parôle de le justice de la couronne de Hollande, l'avocat adolf Teilen et monseigneur de Regnak ambassadeur du royaume de France nous devons juger et comdamner les coupables du massacre de Bonaire, qui fut une attaque au peuple de hollande mais aussi � l'autorité de la couronne.
Faites entrer les dits coupables.

Un grand silence mélé � la curiosité se fit. Derrière la porte où devaient entrer les pirates, on pouvait entendre des bruits de pas et de chaines. La porte s'ouvrit lentement. Les accusés pénétrèrent. Des murmures se firent.
- Ils ressemblent à cela. On pourrait penser qu'ils sont comme nous. Et autres observations sur la morale chrétienne qui était salie par ces hommes. Le juge demanda le calme puis se leva et parla d'une voix forte.

- Voici les accusés. Il prit une feuille et regarda ses ennemis
Un surnommé "Scar" que je vois, Taranis homme de France, un surnommé siver Falcon et le dernier ici présent répondant au nom de Hyorg. Les quatre hommes rèpondirent de leur nom
Vous êtes accusés d'actes de piraterie et rien que cela vous vaut la corde mais si vous êtes jugés en ces lieux ce n'est pas pour cela. Il s'agit de montrer que la couronne et l'autorité de Roi ne peuvent être bafouées même de ce coté de l'Atlantique, et de plus que la justice reste égale envers tout le monde!!
Nous allons vous juger non pas pour piraterie mais pour vos actes qui sont:
Le dénommé Scar est accusé du pillage d'une caravane marchande d'environ quatre flûtes appartenant � la hollande.
Taranais de nombreux meutres et pillages
Hyorg de troubles � l'odre publique et d'avoir poussé � une révolte qui a détruit bonaire et son fortin l'a privant ainsi de toute défense.
Quant � vous "SiverFalcon" vous êtes responsable d'avoir participé comme Tarnais � l'attaque de Bonaire t � de nombreux pillage des navires sous la couronne Hollandaies.
Qu'avaez vous � répondre � cela?

SilverFalcon, s'avanca, la tête droite bien que les mains enchainés, et bien que couvert de haillons. Il s'avanca tel un seigneur et regarda froidement le juge, toujours fier. Il se racla la gorge bruyamment pour avoir le silence puis déclama tel un orateur devant son public dans un superbe hollandais bardé d'accents francais et anglais :

-Tout d'abord, bonjour Monsieur le Juge ! Je m'appele en effet SilverFalcon, Le Faucon Argenté dans la langue de Shakespeare. Du moins c'est le surnom que l'on me donne. Mon vrai nom, je l'ai moi meme oublié ! Je me suis avancé pour répondre de mon acte d'accusation. J'ai en effet participé � l'attaque de Bonaire, et j'ai d'ailleurs trouvéla garnison de ce port un peu fade et désordonnée!

Des murmures se firent entendre dans l'assistance. Un des jurés laissa échapper un juron puis toussota pour se faire oublier.

-Eh bien Monsieur le Juré! Assumez vos paroles au moins ! Eh vus autres de l'assistance, pourris jusqu'a la moelle, venu voir en toute chretienneté la mort d'hommes de même chair que la votre!
Laissez moi finir!

Les bruisements de la salle qui avaient commencés � monter en ampleur s'arreterent brusquement.

-Je suis parfaitement conscient de mes actes! Mais je voudrai simplement être jugé pour ce que je suis devenu et non pas pour mes actes : un pirate!
Qualifiez moi de brute, de fou, de meurtrier! Je vous répondrai que oui ! J'ai choisi cette voie et je préfère être jugé en tant que tel ! Et non pas pour un motif quelconque ! Vous autres Grands de la Hollande ! Ou etiez vous quand votre gouverneur s'est suicidé ? Ou étiez vous quand vos soldats se faisaient massacrés? Quand les femmes de vos citoyens se faisaient violés ? OU ?
Je répondrai � votre place � cette chère assistance qui croit tant au prétendu soutien de la courrone Hollandaise � ses citoyens! Eh bien vous étiez réfugié a Curacao!! N'essayez pas de démentir, j'avais des hommes sur places!
L'attaque de bonaire n'est qu'un pretexte pour assasiner en bonne et due forme des pirates devant les yeux ébahis d'une ville!
Et ne me contredisez pas sur le fait que ce procès est en fait déj� terminé pour nous autres! Ce n'est qu'un leurre pour exposer la justice impériale hollandaise !
Je finirai sur ces mots : jugez nous en tant que pirates, sinon vous nous jugerez en tant que citoyens, des citoyens comme les autres, commes ceux de cette salle!
Et vous verrez alors la colère d'un peuple, d'une nation : la piraterie!

Hyorg se leva pour prendre la parole puis regardant l’assembler il déclama dans un hollandais bien compréhensible :

-Nous somme ici juger pour des actes que votre propre roi aurais été capable de nous donnez si nous travaillons pour lui car pour qu’un dirigeant puise contrôler le peuple il y a deux manier la bonté et LA PEUR, les dirigeants du monde utilisent les pirates comme nous pour propager cette peur en nous traitant de monstres, de démons et même d’hérétiques mais ce n’ait pas eux qui prennent vos fils et les envoient se battre sans aucune raisons valable.

Des bruits se firent entendre dans la foule les nobles juraient et les quelque paysans qui étaient la s'agitèrent en se disputant avec les plus riches. Le juge du demander le silence.

-Mais pour finir je ne dirais que ce si nous croyons a la liberté de chaque hommes qu’il soit blanc ou noire et si Dieu nous a chassé il devrait vous chasser aussi, je m’explique le livre qui a permit de crée vos fusils et vos canons on autre fois été déclarer comme hérétique alors si la connaissance est interdit aux paysan pour quoi ne serais tel pas interdit a tous.

A la fin de ses mot il partit se rassoir prêt de ses compagnons et leur dit :

-J’espere avoir semé la discorde cela nous feras peut être une occasion de nous enfuir.

Edit: n'oublie pas de faira attention � tes fautes. Et surtout ne tente pas d efuit sinon couic ton perso est tué... Cette quête � un but montrer que le rp ne s'arrete pas � dire que son perso est un grobil et qu'il tue ton le monde. Le rp c'ets un choix de possibilité très vaste... évite de choisir celle du combat

Couvert de chaînes et assis sur le banc des accusés avec ses compagnons, scrutant la salle � la recherche de visages familiers, Taranis avait reconnu quelques uns des ses officiers discrètement installés au fond de la salle. Il observait aussi régulièrement le Marquis de Valon, dont le nom, enfoui dans sa mémoire, lui disait quelque chose sans pour autant l’identifier réellement. Ce qu’il craignait le plus dans ce procès, ce n’est pas d’être condamné � la potence pour ce qu’il a fait, mais que l’on découvre son ancienne identité et qu’on le condamne pour ce qu’il n’a pas fait. Cet aristocrate français, assis au premier rang parmi les notables de la ville, l’inquiétait de part sa présence. Pourquoi était-il l� ? Pourquoi ce nom lui disait quelque chose ? L’a-t-il connu en France avant de devenir pirate et dans quelles circonstances ? Connaît-il sa véritable identité ? A toutes ces questions Taranis n’avait aucune réponse et ça lui donnait un sentiment d’impuissance, mélangé d’inquiétude et d’injustice, accompagné d’une colère grandissante, ce qui le rendait mal � l’aise. Il était tout simplement sur la défensive ce qu’il détestait au plus haut point.

Scar se leva à son tour il salua le juge et l'avocat aisni que de Regnak
- Gentil homme je vous remercie de nous faire un procé équitable. Nous aurions déj� été pendu si ce n'était pas le cas.
Mais si vous voulez faire un vrai procé avoir il faut le faire totalement et je demande de me juger non pas comme un roturier mais comme un noble.
CEtte phrase fit scandale. Comment une brute de pirate pouvait vouloir être considèré comme un seigneur un des élitées de la nation hollandaise. Des rires et de cris de terreur se firent entendre.
Adolf s'assit en riant puis demanda avec humour.
- si vous voulez mais il faudrait avant nous dire où se trouve votre titre de seigneur, votre chateau, vos terres, vos serviteurs. et cela je pense pas que vous les sortirais de votre chapeau...
- Mon titre? Cria Scar. je me contente de celui que beaucoup de gens partage. Celui de capitaine. Oui car celon VOS lois le seul maître � bord d'un bateau est, après Dieu, le capitaine du batîment.
le juge regarda étonné Scar. Il connait nos lois et il a raison, pensa t-il.
- mon chateau je vous nommerais juste mon navire. CAr quelle chateau ici peut se vanter d'avoir plus de cinquantes canons et de pouvoir abriter environ trois cents hommes et d'aller partout sur les mers. Mon domaine? la mer car tout le simmensités d'eau sont � personne mais qui mieux que les marins les dominent?
mes actes de pirateries ne sont qu'une application grossière des droits de taxations et d'ailleur nombreux capitaine sont des nobles dont leur père leur � rien donné et la mer est ce domaine que la terre ne leur a point offert.
Plusieur nobles et marin crièrent pour valider les dires du pirate.
et les sujets même si je ne les considèrent pas comme des esclaves mais commes mes égaux se sont mes frères d'armes et tou les frères de la coté.

- Alors celon vous tout les capitaine doivent avoir le même statu que les nobles ?Répliqua AdolfCE n'est que foutaise!
Le juge éssita puis prit la parôle
-Vous voulez être jugé comme un noble et être décapité et non pendu alros j'accepte mais saches que même votre statu de "noble" ne peut vous protèger des méfaits que vous avez osé causer de pleine conscience.
Le juge avait sentit que son adversaire jouait sur un milieu difficile celui des marins et des cadets nobles devenu capitaine et qui cherche � être considère comme des nobles et non des hommes de la mer.

SilverFalcon se leva a son tour, profitant de l'air destabilisé du juge face a la lettre de marque. Il s'avanca, fier, se racla la gorge et commenca :

-Monsieur le Juge!! Ces lettres de marques, ces titres de noblesse vous on t ils fait reflechir a la condition d'etre humains des personnes que vous jugez? Je ne pense pas, vous êtes une pourriture, et vous resterez une pourriture.

Sachez que moi, je n'ai en aucun cas une quelconque lettre de marque, ou quelconque terre ou je ne sais quel arrangement avec une nation. Je n'ai pas de preference, mais il y en a certaines que je n'apprecie point. L'Angleterre en fait partie par exemple. Mais sachez que si je rechappe, ce qui est fort peu probable je vous l'accorde, sachez tout de même que votre nation, ainsi que vos envoyés seront pour moi des victimes de choix. Je m'accorderai avec joie le plaisir de vous voir bafoue , renié et seul, ainsi que tous ceux qui ont participé directement a ce proces et qui , ne serait ce qu'avoir la pensée, veulent me juger et me condamner en tant que homme. Voyez vous, comme dirait notre cher et regrette Defoe, dans la vie il ya trois types d'hommes : les hommes, les morts et les Pirates!

Je ne me suis jamais accordé la peine de rester a la botte d'une quelconque nation, si ce n'est ma nation, ma patrie, notre mère a tous : la Liberté! Sachez , du haut de votre grade, que cette grande dame ne peut être détruite, et qu'aucun procés, aucun bourreau, aucun esclave, personne ne peut la détruire. Elle reste l� , fidèle � ceux qui hissent son étendard en leur coeur. Elle reste l� , regardant de haut ceux qui se croient grand, remettant � leur place des freluquets comme vous. La Liberté n'a pas d'arme, ni de flottes, ni de roi, ni de reine :elle a les hommes libres, pirates, marrons, penseurs, philosophes, poètes,écrivains, révolutionnaires.
Votre temps est révolu, celui des pirates touchera bientôt � sa fin. Chaque chose a une fin. Mais on peut influencer l'histoire, laisser une trace dans l'eau fluide de la vie humaine, en triomphant ou en mourrant, il suffit juste que l'on pense librement.

Ainsi, je le repete, jugez moi pour mes actes de piraterie, pour mes paroles, pour ma facon de penser, mais pas en tant que simple homme, non libre, ayant participé a l'attaque d'un port. Jugez moi pour cette attaque si il vous en vient l'envie, mais je veux juste que sur les registres, je veux qu'il soit crié dans les rues, qu'on retienne cette phrase, et c'est ma derniere volonté : Le Pirate SilverFalcon meure en tant qu'homme libre a telle date, a tel lieu.

Il alla se rasseoir, content du silence ébahi des spectateurs du procés. Il se tourna vers ses amis et chuchota :

-Le procès prend une autre forme! Ces fous jugent la liberté en nous jugeant, soyons fiers amis, de mourrir en la defendant On retiendra notre nom, soyez en sur.
Mais ne vous leurrez pas, ceci n'est pas un suicide. S'il y a la moindre porte de sortie, je vous jure que je la prendrai!

Maitre du jeu

Adolf fut énervé et cria!
- Vosu êtes la libeté!! vous êtes la liberté? Vous ne la respectez même pas!!! qu'avez vous fait de la liberté de vivre des gens de Bonaire?? que faites vous de la liberté de voyager monsiegneur Scar dit il avec moquerie Vous tuez tout ceux qui bougent...
Qaunt � vous SilverFalcon, être méprisbale jusqu'au bout car incapable de respceter ses parants en oubliant la seule chose qu'ils donnent � leur enfant pour la vie: un nom... Vous serez pendu haut et court et votre corps sera exposé jusqu'� ce que les corbeaux viennent manger tout, votre liberté, vous n'en n'aurez jamais!!! j'interdirais le permi de déscendre votre coprs de la potence... vous resterez pendu pour toujours!!!!

Le bruit sec du marteau du juge fit taire Adolf qui s'énervé.
-Silence! c'est vrai que vous serez pendu, non pas pour acte de piraterie, SilverFalcon , mais pour desctruction de liberté d'autrui. Dit calmement le juge en esperant que cela refroidirait le chevaleir de la liberté.
-La scèance est lévée nous reprendrons demain.

Tout le monde sorti décu, tous espèré entendre la chatiment que les pirates allaient recevoir. Mais la stratègie de ces derniers ne pouvait être jugé en une journée.
Les pirates furent envoyé en prison pour attendre que le jour se leve. Dehors, la potence fut levée.

ps: si vous voulez et que vous vous sentez pas apte � finir le procé, "L'Hadès" peut venir recherhchez Scar son chef.... et ainsi vous liberé.

Maitre du jeu

Tandis que moisissé depuis deux jours les grand pirates, dans la goele. Le juge qui continué � trouver des preuves, recu un courriel du Grand prince. Ce dernier demandait � ceux que les responsablesde l'odieux crime soit jugé en Hollande loin des caraibes. Afin de montrer la toute puissance contre laquelle ils s'étaient dréssé e t'assurer de toue tentative de libération venant de l'extèrieure.
Le brick, discret et rapide, chargé de les ammener fut chargé, très vite. Amménagé pour se faire passer pour un navire pecheur. Mais une partie de ses cales fut elle en prison. Très solidement attaché � la paroi du navire par des chaines, les quatres pirates n'avaient même pas � esperre l'attaque d'un navire qui viendrait piller le brick.
Car si le navire devait subir une attauqe il serait executer directement.
Deux hommes les surveillé en permanence, armé d'un mousquet, de deux pistolet et d'un sabre. Rien � tenter. Ils tiraient � travers les bareaux et tuéraient Scar, Hyorg Taranis et SilverFalcon sans souci.
L'aide tant espèré des prissoniers ne vint pas des hommes mais de la mer. mère de Scar et éternelle compagne de tarnais et ses amis.
Ce fut après plus de vingt jours, � suivre un régime forcé, qu'il entendirent qu'un pavillon noir attaqué. Scar recu une balle dans l'épaule. Mais par chance avant que les autres balles furent tiré l'interdiction d'ouvrir le feu avait été donnée par le capitaine, car le navire ennemi fuyait. Huit jours après cela, la mer se déchaina. Un grand vent frais souffalit, la voilure fut réduite, mais qu'importe la tempete devenait de plus en plus forte. L'un des deux hommes chargés de leur surveillance fit tomber son arme par erreur. Le choc fit tirer qui alla exploser une des chaines de Hyorg, le liberant ainsi de sa main droite. Tandis que Hyorg regardait les yeux grandement ouvert ce miracle. Un vague vint faire sauter le baux ont été attaché les chaines. Scar, Taranis, et Hyorg furent libérés. Mais qu'en parti car la porte était fermé et pire encore l'eau monté. Hyorg étant elui qui avait le plus de liberté (juste une chaine avec un bout de bois qui pendait et un collier de fer avec aussi un gros morceau de bois. Scar blessait semblé se tenir asez bien. Mais silver restait toujours attaché.
- nous voila pas mieux! enfermé dans une prison qui va être notre tombeau. et notre pauvre ami qui est toujours stoppé et moi j'ai trop mal au bras.
taranis vit un pistolet non loin des barreaux de fer.
- Hyorg tu es plus fin que moi et Scar essaye de le prendre avec cela on pourra sauver silver!
- Non!! avec cela on le sauvera pas SilverCria Scar on ouvrira la porte et j'essayerai de trouver les clefs. Je susi le seul � parler couramment holandais. Dépechez vous Hyorg. Scar prit la tête de SiverFalcon. t'inquiete pas l'ami je te sauverais je vais pas t'abandonner. l'eau commencait à penetrer dans le bateau. Grouille toi Cria Taranis Si la poudre ets mouillée tout est fichu!

Scar malgrè sa blessure au bras se releva vite, car sinon le sel s'infiltrerai dans la plaie. Il sorti et regrada ses amis.
- Sans doute pour la dernière fois les gars! Bonne chance à vous je reviens. Il respira un bon coup et monta les escalier et sorti sur le tillac. Il était mouillé, c'était une mare! les vagues le néttoyé et envoyé des objets partout. L'un des coanons de 12 mal attaché commenca � parcourir la longueur du pont en écrasant tou sur son passage dont un marin. Sur le gréement les gabiers s'activaient. un voix puissante couvrait le bruit des pleurs.
Allez les gars! relevez vous bandes de femme! gagnons cette tempete car elle nous épargnera pas les gars!! Pensez � vous femmes qui sont sur la terre. Le vent sifflait énormement dans les oreilles de Scar, qui n'osait pas imaginé le calvaire de eux du dessous, il n'entendit pas le canon arriver sur lui. Il se retourna au dernier moment. Le canon le faucha et alla s'écrser avec lui sur le gaillard avant. Plusieur marins allèrent voir.
- Vite sauvons le malheureux. Quand ils arrivèrent l'und es homme spoussa son doigts sur le coeur de scar.
- Trop tard il est mort!! retournons au boulot vite. Le canon recommanca � glisser et traversa le bastinga pour aller s'écraser dans la mer en levant des tonnes d'eau. Les vagues continuaient � s'écraser sur le navire... Scar regardait la bouche ouverte, les yeux vide le ciel, plus d'expression plus rien pour lui.

La tempête redoublait de violence. Le vent hurle, des déferlantes balayent le pont régulièrement. La situation empirait de façon alarmante. Le navire était ballotté dans tous les sens et les marins s’acharnaient � garder le cap, en vain. On avait l’impression qu’ils perdaient le contrôle du voilier et on sentait bien monter une panique en eux.
En bas, � fond de cale, la situation n’était pas mieux. Hyorg, Silver et Taranis étaient empêtrés dans leurs chaînes, encore attachés l’un � l’autre. A chaque violant roulis, ils étaient éjectés contre la coque et n’arrivaient pas � se tenir debout.
_Il faut sortir d’ici et vite ! Sinon on va tous y passer ! S’écrie Hyorg.
_Mais qu’attendent-ils pour virer de bord là-haut ? Se demande Taranis en colère. Il faut se mettre en fuite, sinon ils vont nous faire chavirer ces imbéciles !
_Scar ne revient pas ! Ce n’est pas normal ! S’inquiète SilverFacon. Il lui est sûrement arrivé quelque chose !
A ce moment, une vague plus forte que les autres frappe le bateau de plein fouet sur le travers. Le bateau se couche dangereusement dans des craquements sinistres. Nos trois hommes sont de nouveau roulés comme de vulgaires sacs dans la cale que l’eau commence � envahir.

Après plus de deux minutes � attendre, Scar ouvrit une oeil. rien plus personne ne fessait attention � lui. Il se leva, les membres avait mal. il souria malgrè les cheveux qui partaient dans tout les sens
- Erreur je suis déjà! Pensa il. Il glissa sur le pont du navire mais se releva douché par une vague... Comme ses amis, il vait juste une veste et un pantalon sans ceinture, afin de s'asurrer que l'on tente pas de se pendre ou de cacher une arme. Scar qui était abitué aux bottes malgrè le fait qu'il marchait souvent du ramper jusqu'� la cabine � deux mètres devant lui. Les marins passaient devant lui, le sel de mer, partout, sur le pont pénétrait dans la peau, le vent sifflait tellement dans les oreilles que scar n'entendait rien. Que deux mètres,mais plus de trois minutes pour les faire.
Yves Kember se trouva devant la porte, il s'approcha � la poiget et y mit tout son poid. La porte s'ouvrit. Scar se releva. Il se trouvait dans une petite cabine de conseil sans prétention puisuqe la chambre du capitaine et la salle des compas ne faissaient qu'une avec eclle du consil. Il s'avanca et regarda le scartessur la table. Tout glisssait de tribord � babord. Scar attrapa une lampe et ragarda la salle. Au fond il vit un homme armé d'un pistolet.
- Dit moi,l'ami tu es le capitaine du navire?
- Non! Répondit l'homme
- C'est normal c'est moi! Dégage de cette cabine!!! menti Scar mais le mensonge ne marchait pas. L'homme hésita puis pointa son arme sur Scar, la main tremblante tout en se retenant � une paroi.
- Tu veux me tuer?
- Oui je vous reconnait
- C'est normal je suis ton chef, imbécile!!
- a oui un chef qui est resté dans les cales, et qui n'a rien comme vetement mais aussi un collier de fer et un bracelet de fer, pour parfaitre la tenue.
Scar regarda le bracelet et leva les yeux. Puis malgrè le vent et les vagues qui maménées le navire, il avanca snas problème.
- Allez tire!! si tu es un homme. Le bosco hésita puis appuya sur la détente au moment où une énorme vague percuta le brick ce qui le fit virer de bord rapidement. Dans la cabine, le tir parti dans une paroi et Scar du se retenir pour pas tomber, puis il avanca et déposa la lanterne et prit un range carte. Son ennemi recula et Scar sauta dessus, le combat fut bref car la porte derrier le Bosco s'ouvrit et les deux hommes se retrouvèrent sur la coulisse de poupe. Frappé par Scar et les vagues le maitre d'équipage perdit il fit jété en vie par dessus bord.
Scar rentra dans la cabine et trouva rapidement les clefs.
Il se débarrasa du collier et du bracelet et ouvrit un coffre, où trois poignards se trouvaient, il les pris. Prit un long tissus et s'en fit une ceinture, il tourva aussi una utre pistolet sans poudre, le prit aisnis qu'un sabre pour lui. Il rangea le tout. Et sorti. Dehors la temête continué.
le ciel était noir, les vagues de même couleur qui jouaient vaec le bateau, un vent et le bruit des vagues se brissant sur la coque étaient les seuls bruits. La pluie commenca � frapper le navire, dans un bruit affreux. scar s'avanca qu'ne il entendit un bruit de bois cassé. il leva la tête et vit le grand mat brisséé juste au dessus de la grande voile. Le reste du mat s'écroula sur le pont scar sauta pour éviter le choc, mais glinca et perdit les clefs. Il les vit, elles étaient emporté par l'eau quittant le navire en emprintant le même chemin que le canon.
-Non!! Scar malgrè tout trouva assez de force pour sauter, pas pour lui, mais pour ces amis. Il apprata les clesf mais tomba par dessus bord.
Scar se tenait avec une main, elleglissait de plus en plus emportait par l'eau de emr quittant le navire. frappé dans le dos deux fois par desvagues et sentant le sel de mer s'infiltré dans de petite plaies de la main, scar perdit le rebord du brick et s'enfoua dans l'eau.
Il coula comme une pierre, amsi sous les vagues subisant jsute les courants il remonta � la surface. Car par chance Scar s'avait nager, même si le mot n'était pas vraiment cela mais plus flotter en avancant. Prit par une vague, il fut soulevé avec des litres d'eau avant de d'écraser sur la mer....

ps: j'espère que cette petite impor de mon imagination vous a plu et c'est � vous!!!

SilverFalcon , taranis et Hyorg étaient restes coince dans la cale, l'eau menacant dangeresement de les noyer. SilverFalcon reprit ses esprits , se leva et hurla :

-OOOOHHH! GAAARDES!! FUUYARDS!

Puis il se placa deriere es barreaux dans l'ombre, ruisselant et grellotant. Un jeune garde arriva et vit trop tard Taranis et hyorg. SilverFalcon passa ses mains a travers les barreaux et , le visage rempli de haine assoma le jeune homme de la tete. Il prit les cles, marmonnant des mots comme "pourritures", "scar", et "vengeance".

Puis il ouvrit la porte et fit signe aux deux autres pirates de le suivre.

Ils traverserent le couloir et se cacherent a une embouchure lorsque des vruit de pas se firent entendre. Ils continuerent ainsi jusqua la vaste cour. Hyorg parla enfin :

-Enfin bon! Qu'est ce qu'on fout ici!!

Silver ne dit aucun mot et s'avanca vers un batiment. Il rentra dedans et fit signe aux autres. La salle des armes. Ils se servirent a la hate avec acharnement, profitant des lourdes tenailles de forgeron pour casser les chaines restantes. Massant leurs parties endolories. Ils sortirent armés jusqu'au dents. SilverFalcon se retourna et dit aux deux pirates d'avancer. Il tira.
Les trois hommes s'avancerent alors devant les flammes decidés. Ils tirerent sur tout ce qui bougeait pres d'eux avant d'atteindre la cote. La tempete fouettait leurs visages. SilverFalcon s'avanca et cria :

-LIIIIIIIBREES!!

Puis il se retourna vers ses compagnons et tomba extenue par tant d'efforts.

L'énorme vague s'écrasa sur le brick se qui le fit trembler. Scar passa � travers la breche déj� faite dans la prison. Il se releva trempé de la tête au pied. Il regarda heureux en souriant la prison avant de s'apercevoir qu'elle était vide.
- C'est des manières! Se crever à la tache et aux qui partent comme cela. Scar commenca a avancer dans le navire, de l'eau jusque'aux genoux il continua. Jusqu'� voir ses amis. Il alla les voir en nageant puis les livéra de leur dernière chaine pendnate dans l'air.
- Bon vu la tempete nous devons nous aller avec nos geoliers pour ne pas mourir par dame nature. Le capitaine ets un homme compétent � ce que je sais. Mais sa perceverance nous tuera. Mais on peux tenter de s'enfuir q'une fois la tempete calmait. Nosu sommes en plein ocean Atlantique sans savoir où! C'est assez grand pour nous tuer ne l'oubliez pas.
Une vague vint les renverser, les qutres hommes se leverent. Scar leur donnèrent trois dagues et garda le sabre pour lui.
- Trouvons un plan vite avant que nous coulions!

Scar resta septique face � la proposition de hyorg. Mais avant tou il proposa le pistolet � silex aux autres capitaine même si il n'y avait me^me pas de quoi tirer une balle et que le canon était trempé. Scar se mit sur une caisse afin d'éviter d'être mouillé
- Mauvaise idée, tout els marins connaissent leur capitaine et c'est pire dans une tempête. Car nous avons tous une manière diffèrent de combattre la mer, une tenue diffèrente. Mais ton idée m'en a donné une autre.
soit alors on reste caché pour mourir bêtement soit de la mer soit des marins qui nous verrons jors de notre prison soit pire de la famine. Où alors nous aidons les marins et restant un peu caché et toi Hyorg, maître assassin parmi nous, tu tue discretement et tu jets le corps du capitaine. Avec de la cahnce, comme leur second est déj� mort il devront élire un nouveau capitaine, nous pourrions tenter de nous faire élire.
Que choississez vous? et dépechons nous , l'eau monte, pas vraiment mais le navire n'est plus étanche!!

SilverFalcon se tappa la tête et, écoutant attentivement les propositions de ses amis, attendit la fin du discours de Taranis pour se récrier :

-Certes! Je n'en doutes point que vous vous y connaisez en simulation, mais tout marin qui se respecte aussi! La premiere chose qu'il ferront, c'est d'aller vérifier!
Tuer le capitaine, très bien, mais que dire � l'équipage? S'associer? Et l'équipage! C'est ce dernier qu'il faut frapper! Deux choix s'offrent a nous :
ou nous nous acocinons de l'équipage, auquel cas le capitaine sera défait très rapidement.
OU, et c'est cette solution que je préfère, nous rentrons dans le navire, nous nous faisons le plus petit possible, après une éternité passée dans une prison ca ne sera pas dur, et nous frappons au bon moment. Les marins ne remarquerons aps la mort de quelques uns de leurs compagnons. Avec un citron, de la poudre et de la salive, on peut faire passer un mort par étranglement par un mort de scorbut. L'équipage se retrouvera bientot en situation de tension. La moindre attaque leur sera alors fatale!! En moins d'1 semaine, nous aurons un navire, des provisions pour 100 a partager a 3, et cette camarade : la Liberté!

Maitre du jeu

Le brick alla totu droit s'écraser sur les recifs, l'étrave s'enfonca dans le navire alors que ce dernier resta accroché aux recifs, ne pouvant plus rien faire. Le choc fut terrible et les pirates tombèrent par terre et virent que la quille se fendait. Sous la force de la mer et du vent le navire quitta le rocher pour allait couler lentement loin de tout. Mais des vagues le projettèrent sur une falaise, que personne ne put voir avant � cause de la mauvaise visibilité. Le bois traqua sous la percussion, l'enterpont badord parit en miette, les homems tombèrent tu tillac et se noyèrent. Les pirates s'accrochèrent � des morceaux de bois. Et pour beaucoup ce fut leur dernier souvenir.

ils se réveillèrent sur un plage de gravier, la mer était toujours en furie, masi sa colère c'était en partie éstomppé, le ciel éatit clair. Les quatres hommes marchèrent diccilement mais quittèrent le plage et montèrent la alaise, une fois en haut ils regardèrent le désatre et remercièrent la mer pour cette nouvelle liberté qu'il leur avait été offerte.
Mais l'île était déserte, ils durent survivre durant deux semaines, en se nourrisant de ce qu'ils avaient chassé mais surtotu de racine et de plante, mais cela ne les choqués pas, car dans un navire un cas de grosse famine c'est les cordages, certain bois et le cuir que l'on mange.
Un peu plus tard ils firent recceuilli par des pêcheurs et apprirent qu'ils étaient tr ès proche des caraïbes, seulement une semaine. CAr malgrè leur voyage la mer avait fait repoussé le navire qui en faite retourné aux caraïbes � Bonaire car il ne pouvait traverser la mer.
Totu cela pour presque rien.... Ce sont des choses qui arrivent

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mer et ocean (partie rp) => Mer des Caraïbes => Discussion démarrée par: scar le 22 Avril 2007 à 15:06:39