Forum Age Of Sea Dogs

mer et ocean (partie rp) => Mer des Caraïbes => Discussion démarrée par: Ice_1er le 28 Juin 2008 à 12:24:49



Titre: Fire sur la mer caraïbes
Posté par: Ice_1er le 28 Juin 2008 à 12:24:49
Chapitre précédant: http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,2041.0.html


Voila déjà 3 jours qu'il avait quitté Anguilla. Fire s'était amusé a écrire un journal de bord relatant son histoire pour ne pas oublié de détail au cas ou leur entreprise réussirait pour que les génération futur se rappelle de ce jour! Il complétait aussi plusieurs carte, comme une qui était censé être un planisphère incomplet, auquel les témoignage des marins lui avait permis d'aller a une vitesse hallucinante a la compléter. Il y avait aussi un plan approximatif de Aiguilla ainsi qu'une ou figurait les courant, et une autre ou il montrait tout les évènement particulier comme l'endroit ou il avait vu un ban de poisson, de requin ou de baleine, un navire marchant...
Au bout d'une semaine assez paisible, il arrivèrent enfin a leur premier relais ou il avait prévus de vendre leur mousquets. Il en tirèrent 200 pièce d'or, avec un bénéfice de 200%. Avec ils achetèrent du tabac. Il arrivèrent enfin a leur 2e relais ou il revendirent le caisse de tabac pour 300 pièce d'or avec un bénéfice de 150%. N'ayant pas de commissaire de bord, Fire prit cette fonction pour justifier sa part supplémentaire en plus d'être financer d'une partie de la première cargaison. On lui avait donné un livre avec une couverture rouge de très bonne qualité avec des pochettes pour ranger ses cartes. Il y avait a l'interrieur une partie contenant le journal de bord, un autre que celui que tenait Fire, qu'il devait compléter et une partie ou il montrait les bénéfices, la cargaison emporté, vendu, acheté, les pertes en route ect...
Au 3e relais ce fut des épices, qu'il revendirent avec cette fois 200% de bénéfice, se qui leur fit presque 600 pièce d'or a la fin du voyage. Fire avait une chance monstre, et il était déjà passé par la, il savait a peu près quoi acheté et ou le revendre. On partagea, 300 pièce d'or furent donné a la quête commune, 150 a l'équipage, et 150 a Fire et sa tribut pour les exélent pourcentage de bénéfice qu'il avait fait et comme financier

Il arrivèrent enfin a Antigua, ou les rumeur allait vite. Sur la plage, les indiens aclamait les pirates et leur chef de retour comme des héros!

suite: http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,2040.msg52551.html#new  


Titre: Re : Fire sur la mer caraà¯bes
Posté par: Ice_1er le 29 Juin 2008 à 14:49:58
Chapitre précédant: http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,2049.msg52600.html#new

Il avait quitté Anguilla avec la bénédiction des indien caraïbes, mais sans trop d'aide. Bien qu'il leur fournir des provisions, des information et bien d'autre chose, il n'avait pas vraiment servi dans leur quête.
Pour que son entreprise réussisse, il leur fallait des hommes, mais aussi des armes, de l'argent et des bateaux! Il n'y avait pas 36 façon d'avoir ces choses, mais vu qu'il n'avait pas énormément d'argent, on pouvait deviner que le navire avec lequel naviguait Fire ne hisser pas par hasard un pavillons noir.
Il était partit depuis 2 jours, cherchant une proie, quelque chose qu'il leur aurait permit de se faire de l'argent...
Ils durent d'abord cacher leur pavillon a la vue d'un convois escortait de navire. Mais au bout de 3 jours de mer:


  -Voile! Voile! hurla la vigie
  -Combien de mat?
  -2 je crois!

  -Bien, c'est pas un gros navire, On y va!

Toute la voilure fut déployer, et la vigie se mit dos au vent pour prendre le max de vitesse avant de prendre la direction de ce navire. Il se rapprochèrent sans que le brick, car la proie était un brick, ne le remarque. Quand le "Liberté" fut enfin remarqué, il était trop tard!
Le brick s'appelait le "Profond", armée de seulement 2 canon a l'arrière du navire, il possédait un équipage réduit, a peine une vingtaine.

  -Mettez le navire perpendiculairement au vent! Vite!
  -Mais on prendra moins de vent! dit un marin.
  -Ouais, mais on se met a porter de canon et on peut l'intercepte dans son élan.
La poursuite dura a peine 20 minutes. La stratégie de François était bonne. Le canon de chasse tira. Un éclair, un bruit sourd, puis on entendit un craquement. Le grand mat était touché, mais pas assez pour que tout s'en aille. Juste le haut. Le "liberté" s'aprocha, en position bord a bord, les canons chargé a la mitraille.  


Titre: Re : Fire sur la mer caraà¯bes
Posté par: scar le 30 Juin 2008 à 16:25:08
Le brick leva le drapeau blanc après avoir essuyé les deux tirs de canons. Une parti des hommes se lancèrent dans le gréement pour couper les cordages par le grand mat était sectionné au niveau du grand hunier.

Les hommes étaient appeurés, ils ne voulaient pas livrer bataille, préférant sauver leur vie que les richesses du navire, les 20 sacs de sucre et les 100 guinées qu'ils avaient en commun.

Le capitaine réussit �  calmer ses hommes et fit une manœuvre pour mettre en panne, seul peur que les pirates leur tir dessus ou abuse de la situation et les tortures.
Mais ils avaient préservés leur forces et pourraient défendre leur vie s'ils étaient sûr de la perdre.
 


Titre: Re : Fire sur la mer caraïbes
Posté par: Ice_1er le 30 Juin 2008 à 17:06:13
L'équipage du "Liberté" hurla de joie! Etant déjà en position d'abordage, ils mirent les canons chargé a la mittraille pointé sur le pont. Des soldats menacèrent de leur mousquets les canonnier ennemis et les obligèrent a s'éloigne de leur pièces.
On aborda, et les hommes forcèrent les a se regroupé sur le pont, on fouilla partout, cherchant des hommes en embuscade, mais rien.
  -Capitaine, venez voir. dit un homme.
Il les emmena vers la cale. Il n'avait pas prix grand chose, seulement 20 sac de sucre. Mais il n'avait aucune perte a dépolorer, alors c'était toujours sa de gagner. On trouva aussi 100 guinées. Puis Fire et François se dirigèrent vers l'équipage capturé surveillé par une dizaine d'hommes armée.

  -Y en a t-il qui veulent se joindre a nous? demanda François.
  -Et si on veut pas? dit un homme dans la foule.
  -On prend tout, et on vous laisse sur la 1er ile habité par quelqu'un de civilisé.
le capitaine indigné de cette menace s'avança et s'exclama:
  -Mais enfin nous avons réunit notre or pour vous le donner, nous nous sommes rendus sans nous battre. S'il vous plait soyez bon seigneur laissez nous notre navire. C'est mon seul moyen de gagner ma vie et celle de mon équipage
  - Nous avons des femmes et des enfants! ils nous attendent Rajouta un marin.
Le quartier maitre prit la parole:
  - La perte de notre cargaison nous met déjà dans un sacré pétrin!
Mais deux marins firent un pas en avant, ils allaient rejoindre les pirates trop fier de pouvoir gagner de l'or facilement. Les autres par peur des pirates et du roy et par dignité restèrent au fond avec leur capitaine.
François regarda Fire. l'indien acquiesçât de la tête, et François prit la parole:

  -Vous avez raison. Mais nous prenons comme même vos canons.
  - merci! les marins suivirent et eurent enfin l'espoir de vivre.
  - Pourrais je vous demander une faveur? si vous prenez nos canons pouvez vous nous escorter jusqu'à deux jours de navigation de la première île?
  -Hummm... je crains un piège. Qu'avons nous a gagner a faire sa?
  - rien au mieux des cas être des hommes et quand on vous condamnera je témoignerais en votre faveur! Car les pirates ont une réputation de criminel cruel et vous semblez instruit et l'antithèse de cela
  -Hummm... Je vais voir avec mes hommes. Le problème, c'est que sa nous rapproche des côte et donc des gardes-côte...
  - Mais sans moyen de nous défendre nous pourrons tomber dans la main d'autre pirate qui nous prendront nos vie car ils n'auront pas pu prendre la cargaison!
  -Je vais voir avec les hommes.
François et Fire s'éloignèrent, on attacha les prisonniers le temps de la réunion et ne laissa qu'un garde. Une fois réunit, le capitaine leur fit part de la faveur demandé par l'équipage.
  -On a connu sa aussi! dit un pirate, je pense pas que se soit un piège. Ils veulent juste avoir une chance de revenir chez-eux en un seul morceaux!
  -C'est vrai! Ils craignent les pirates, c'est normal! dit le bosco.
Le débat durra quelque minutes, mais ils était a peu près tous d'accord. On vota, et le résultat fut a 47 voie contre 3 (les indiens votait aussi): on les escortes.
François et Fire passèrent la passerelle. On détacha les prisonniers, et le capitaine annonça la bonne nouvelle:
  -On est d'accord. Mais on a désarmé votre navire et au premier acte suspect, on coule. L'ile la plus proche est Dominique, mais nous n'aprocherons pas de cette ile. Anguilla vous conviendra?
  -Parfaitement.
  -Alors reprenez possession de votre navire et suivez le mien.
Le voyage durra 3 jours. Fire en profita pour recopier les cartes trouvé sur le "Profond". On laissa le navire a 1 jour de navigation de Anguilla. Puis le "Liberté" partit vers Antigua. Il ne fit que passer, déposant la cargaison volé. Puis il partit a nouveau en mer.  


Titre: Re : Fire sur la mer caraà¯bes
Posté par: Ice_1er le 02 Juillet 2008 à 13:53:15
Le "Liberté" voguait a nouveaux, avec 2 canons de plus grâce a sa dernière prise. Il cherchait une autre prise. Il n'avait rien trouvé, mais il ne désespéré pas. La vigie n'avait rien vue, mais sa ne serait tardé. Il cherchait une prise peu défendu, leur petit canon ne leur servant a rien contre un navire bien défendu. Grâce au carte recopié par Fire, il suivait une route de commerce non défendu.
Il finirent par trouver se qu'il voulait. Une goélette peu armée.
La goélette prit aussi tôt la fuite, et le "Liberté" essaya de le rattraper. Il fallut 4 heures au "Liberté" pour le rattraper, mais on finit par être a porter de canons. Les canons était chargée, 3 au boulets ramé, le reste a la mitraille.
  -Paré a faire feu.
  -Attendez... Attendez! Canon de chasse... FEU!
Un éclair aveugla les hommes, et puis un effroyable bruit vint taper les tapans des hommes. Les canons avait tiré leur boulets, et Fire sentit une odeur de souffre, il vit la fumée sortant des canons. En fasse il eut un grand crac, et le crit des hommes, il en eut même qui tombèrent a la mer. La fumée encerclée le navire ennemis. Un second crac. Les même cris d'homme. La fummée se dissipa. Sur le navire ennemis, les 2 mats était coupé par les boulets ramé lancé par les canons de chasse. Une vingtaine d'hommes essayait de coupait se qui reliait le navire au mat, car sa le déséquilibrait.
  -Canon de chasse, rechargez a la mitraille et attendait mon ordres. SORTEZ TOUTE LA VOILURE.
Le navire continuait a se raprocher. On mit les canons sur pivot de façon a ce qu'il puisse tirrer sur la goélette ennemis.
  -CANON... FEU!
Le même éclairs, le même son, a ce si près qu'a la place de l'entendre 2 fois comme a la dernière fois, ce fut 4 fois. Les hommes qui coupait les mats furent haché par la mitraille.
  -RECHARGEZ A LA MITRAILLE ET ATTENDEZ MES ORDRES!
Les navires se rapprochait. Le navire ennemis étant immobilisé, se fut plus que facile. Dès qu'on fut bord �  bord, on lança les grappins sans même balayer le pont car il n'y avait personne. Il s'était replié a l'interrieur. Les pirates enfoncèrent la porte, mais c'était un piège. Les mousquet derrière faisait feu, et l'équipage était en 5 rangs. 7 pirates trouvèrent la mort, et 5 furent bléssé. Ensuite l'équipage chargea, sabre a la main. Surpris et un peu confus a cause du piège, la bataille tourna rapidement en faveur des marchands.
  -Repliez-vous! Repliez-vous!
Les moucheurs couvrirent la fuite. Tirant comme des soldats d'élite, il éliminé les ennemis. Ils empêchèrent l'ennemi de s'éloigné, leur empêchant la retraite, les forçant a abordait. Mais dès qu'il voulurent suivre les pirates, les canons les décimèrent. Les quelque soldats ayant réussi a passer se lancèrent dans un combat inégale. Fire se lança directement dans la baston, a sa façon: Un arc a la main, il tirait ses flèches a toute vitesse touchant une fois sur deux sa cible en un endroit mortelle pour elle, le plus souvent le coeur ou la tête. François quand a lui sortit de pistolet, il en tira avec un sur un marin le chargeant. Il ne faisait aucun doute maintenant qu'il y avait des soldats a bord. Il le toucha au ventre,  François jeta son pistolet et sortit une épée. Maintenant blessé, il n'eut aucun mal a le tuer. Il tira avec son dernier pistolet pour sauver la vie d'un de ces hommes. Puis il chargea dans la mélé. Un premier marin vint s'opposer a lui en essayant de l'embrocher, mais François esquiva et le décapita. Petit a petit, les assayant se faisait repousser. Il essayèrent de se replier, mais les canon leur coupèrent leur fuite. Aucun marins ne se rendit, et ils durent les tué jusqu'au dernier. Le navire était a eux.

  -Capitaine?
  -Oui?
  -Le navire est a nous!
  -Je le sais. Combien de perte?
  -17 mort et 20 bléssés.
  -Tan que sa! La cargaison?
  -Or et argent!
  -En grande quantité?
  -En lingot, oui assez! Au moins 30 lingot d'argent et 10 d'or!
  -Voil�  se qui expliquait la présence des soldats a bord... Embarqué la cargaison a bord du "Liberté" et construisait des mats de fortune a la goélette. Je propose de la renommé le "Loyale".
Un murmure d'apréssation passa sur le pont et après un vote a main levée, il fut accordé. Les réparations prirent toute la nuit, le combat ayant duré de jours, et les navire prirent direction de Antigua, avec malheureusement juste assez d'homme pour navigué. Mais la cargaison en vallait la peine, et il avait un autre navire. Mais il leur faudrais recruter...