Forum Age Of Sea Dogs

Isabelle trouva une auberge assez vite, il lui rester assez d'argent vu qu'elle avait fait des heures supplémentaire avec le capitaine et qu'elle n'avait donc pas payer pour Arvedui. L'auberge n'était pas bondée en cette fin d'après-midi, Isabelle alla voir l'aubergiste.

-"Bonjour une chambre pour deux personnes s'il vous plait!"dit-elle avec son plus jolie sourire.

l'aubergiste regarda la femme puis le garçon enchainé.

-"voici, Chambre 4 troisième �  droite!"dit-il avec un sourire peu amène.

Isabelle prit Arvedui dans ses bras et monta les escaliers.       

Arvedui avançais sans parler, comme un esclave doit normalement le faire, en attendant que sa maitresse lui adresse la parole. Quand ils entrèrent dans la chambre, ils virent une pièce assez moyenne, faiblement meublé.
Ses liens a ses mains était très resséré a tel point qu'elle était jointe. Mais si on voulait l'empécher de voler c'était le seul moyen.
Arvedui espéra qu'elle le détache, car il n'avait plus d'arme en stoc pour tenter le coups. Même s'il ne tentait rien pendant 5 jours, pouvait toujours inventé et mettre en place un plan!  

Isabelle commença �  s'installer.

-"C'est �  punition pour m'avoir désobéi 2 fois voir plus si on compte le nombre de couteaux chaparder et pour avoir essayé de me tuer une fois.(après un temps)Je viens voir un ami pour des informations toi tu resteras l�  si jamais tu devais t'échapper pour ne pas revenir ne t'en fais pas je te retrouverais et cette fois tu ne pourras plus marcher n'y parler tu ressembleras �  une grande saucisse ficelée par contre si tu es sage tu auras une récompense."dit-elle en se retournant pour le regardé droit dans les yeux.     

Arvedui avala sa salive. Même s'il tentait (vainement) de ne pas le montrer, cette menace avait atteint son but. Il ne supportait déj�  pas d'être attaché au pied, mais être baillonné, sa... Il ne tenta de ne même pas y penser. En réalité, le pire dans cette menace est le ton froid et le regard.
C'est fou a la vitesse qu'il pensais. Il tenta de s'approcher du lit, mais ses chaines a ses pieds se tendirent et il tomba... sur le lit! Il tenta de s'assoir mais sans aucune grâce a cause de ces liens.  

Isabelle appela l'aubergiste et lui commanda deux repas.

-"Non tu resteras comme ça,tu vas encore volé des couteaux pour me tuer et comme les promesses ne te réussisse pas je ne vais surement pas te croire.Je te prévins je ne vais plus être gentille maintenant pas comme ta maîtresse moi je ne punit pas pour rien."dit-elle en rouvrant la porte pour laisser l'aubergiste poser les plateaux sur la table.

Elle détacha les mains d'Arvedui pour qu'il mange, rapprocha la table du lit et alla derrière le paravent pour se changer de tenue.

-"je te détache les mains pour que tu manges,si tu cherches quelque chose �  voler il n'y as rien j'ai vendu tes couteaux et ton pistolet et ton kit son dans mes affaires que j'ai toujours avec moi!Donc mange."dit-elle ne commençant �  se déshabiller.  



        

Arvedui se prépara a se lever, il ne lui fallait que peu de temps pour fuir par la fenêtre, mais quand il tendit les jambes il s'étala de tout son long. Il mit ses mains devant lui et grâce a son agilité réussit a faire la roue. Heuresement, Isabelle n'avait rien vu de son talent caché. Il retourna vers le lit, la déscente par la fenêtre étant trop dangereuse. Il regarda son plateau, la nouriture avait pas l'air mauvaise, mais il remarqua l'absence de couteau. Il prit la fourchette, et de rage la lança en direction de la porte de toute ses forces. Elle se planta dans le bois assez profondément.
Avec ses mains il mangea la grosse pate de poulet qui tronait dans son assiette, et laissa les légumes par manque d'appétit.
 

Isabelle ressortit de derrière le paravent elle avait mi un corset qui le arrivé aux hanches laissant apparaitre son ventre, sa jupe entrouverte sur le coté tombé jusqu'au mollets,des gants noirs cachaient ses avants bras.Elle regarda le couteau dans la porte le prit,le déposa sur la table et s'agenouilla face �  Arvedui.

-"D'accord 5 jours tu as 5 jours pour faire des efforts et j'en ferais aussi.Je parts je reviendrais vers 4h du matin je pense si tu es l�  tu aura gagner le droit que je t'enlève les menottes de tes mains en ville mais je te foulerais une fois �  l'auberge, je te laisse un livre d'images je ne pense pas que tu sache lire.dit-moi une chose es-ce que je suis une mauvaise maîtresse?"dit-elle en se relevant et en lui attachant les mains mais moins serrées pour que ça ne lui fasses pas mal pour dormir.
   

Le lien reliant ses chevilles au lit l'empéchait entièrement de se lever. Ses 2 mains n'étaient maintenant plus joint mais toujours solidement attaché par une chaine de 5 centimètre.
Toute sa vie aurait pu être magnifiquement sympolisé par ses chaines. Tout ce résumé a ça. Et même s'il ne le savait pas, il en avait besoin, car il ne savait presque rien.
Une petite voie en lui lui capella qu'il avait mérité d'être attacher. Malgré tout ces éffort, cette voie resta l� . Pour la faire taire, il décida d'être docile, rien qu'une soirée.
 

Isabelle déourna le regard Arvedui lui faisait pitié,elle était triste de l'attaché mais elle le devait...Elle sortit en espérant qu'elle ne devrait pu le punir,ferma la porte �  clé et les rendis au tavernier en lui disant qu'il ne fallait pas que l'esclave sorte.Les rues était déserte maintenant il ne faudra plus avoir de pitié pour ce qu'elle croisera maintenant elle doit trouver se quelle cherche...



Ce qui se passe cette nuit l� : http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,2660.0.html  

Arvedui se redressa, tira sur la chaine dans l'espoir de pouvoir la casser mais elle résista solidement. Il lui était impossible de se lever. Il se résigna donc a rester dans son lit. Isabelle n'avait pas éteint la bougie et la lumière permettait de lire. Il ouvrit le livre et regarda, les images montraient principalement des paysage. Mais certaine page, a la fin du livre notamment étaient blanche. Un crayon trainait sur la table de nuit, évidament, ce n'était pas un moyen de s'échapper ou une arme mais c'était toujours un éxelent passe temps.
Il commença a écrire sa vie, illustrant de temps a autre avec un talent fou. Il y passa une bonne partie de la nuit. Il serait presque 4 heures, et Arvedui se rendit compte que si Isabelle regardait dedans, elle découvrirait un de ces talent caché. il décida donc de cacher le livre et profita du temps restant pour trouver une raison  

Isabelle rentra dans la chambre sans faire de bruit pensant que Arvedui dormait,le trouvant réveiller elle lui sourit.

-"Je suis contente que tu ne te soit pas enfui même si je pense bien que tu as essayé demain je te détacherais les mains nous partirons demain soir"dit-elle finissant ça phrase en baillant"Tu m'éscuse mai je suis trop fatigué pour aller derrière le paravent"

-"Maîtresse Isabelle vous savez le livre d'image..."commença �  dire Arvedui.

-"Tu peux le garder c'est celui de quand j'étais petite c'est ton cadeau"dit-elle en se déshabillant vite fait et en se mettant au lit.

Elle bailla"Bonne nuit!"dit-elle.     

Arvedui avait grandi dans la rue et ne connaissait qu'a peine la notion de pudeur. S'il en affichait réellement c'était pour ne pas choquer les gens qu'il rencontrer ou pour ne pas attirer l'attention, ou tout simplement parse que sa maitresse lui demandais.
Sa maitresse ne répondit pas immédiatement, mais Arvedui sut qu'elle avait écouter. Si Isabelle avait par la suite formulé une réponse, il n'en sut jamais rien, car il s'endormit 10 secondes après son monologue  

Isabelle se réveilla tôt il devait-être 6h elle s'habilla normalement et prit un morceau de papier dans sa sacoche ainsi qu'un crayon elle marqua "Je viens te cherchez pour 12h je descend régler une affaire reste sage!" elle ne savait pas si Arvedui savait lire vu kil ne savait pas écrire mais il aurait put apprendre dans la rue même si ce n'était pas le cas il n'aurais d'autre choix que d'attendre son retour et alla prévenir l'aubergiste de lui donner un plat pour qu'elle l'emméne dans la chambre une fois le plat emmené elle partit.  

Arvedui se réveilla assez tard a cause de sa veillé, presque a 11 heure. Il trouva sur la table de nuit un repas et un petit déjeuné. Bizarement, il ne trouva pas le mot. Par réfléxe, il tenta de se lever mais ses pieds restèrent solidement coincé. Ses mains étaient toujours attaché entre elles. Difficilement, il réussit a manger son petit déjeuné sans remarqué un quelconque départ. Il crut que ce faisait partit de sa punition de rester au lit, et quand sa patience eut atteint sa limite il appela Isabelle, croyant qu'elle se trouvait dans l'autre pièce. Le silence suivit ses paroles.
Il regarda le mur, une brique était légèrement plus sortit qu'une autre.Il essaya de la prendre mes ses mains ligoté l'en empêchaient. Il retenta et réussit cette fois. Une petite cavité y était, mais Arvedui n'en avait rien a faire. Il prit la brique et commença a taper sur son canena au pied dans l'espoir de le casser.  

Isabelle arriva vers midi, prit les clés et rentra dans la chambre et éclata de rire Arvedui avait une brique dans la main qu'il tenait en l'air,il y avait un trou dans le mur son repas été l�  et il était saucissonné et essayé de cassé le cadenas retenant sa chaine au lit.

-"Excuse-moi je suis pas très réveillé le matin je pensé que tu aurais pu manger mais tu était bien attaché donc...désolé.Attend je te détache les mains et te débarrassent de se cadenas."dit-elle en s'exécutant.  

Arvedui tapait de plus en plus fort, essayant de casser désespérément ce canena. Encore qu'elle le laisse attaché, c'était presque normal, mais pas au lit! D'un autre coté, c'était sa maitresse et il n'avait rien a dire.
La porte s'ouvrit, et Isabelle entra. Arvedui interrompit son geste et ouvrit la bouche de surprise. Le canena ayant subit de nombreux coups étaient a peine endommagé. La scène aurait pu paraitre drole pour Isabelle: Le gamin habillé seulement d'un caleçon tenait une brique en l'air, la bouche ouverte, l'air ahuri. Ce fut le rire de sa maitresse qui réveilla Arvedui de sa torpeur. Isabelle approcha pour le délivrer et croisa le regard de l'enfant, un regard n'appartenant pas vraiment a un enfant en faite. Il était glassial et ne contenait aucune des émotions qu'il avait ressentit la veille pour cette femme. Un bref instant, la femme hésita.
Il ne comprenait pas exactement pourquoi ses sentiments se changeait aussi rapidement, il ne comprenait pas d'ou sortait cette haine. Tout ce qu'il savait, c'est qu'a ce moment l� , seul ce sentiment sortait. A croire que son coeur avait qu'une réserve limité d'amour et qu'une fois dépenser seul les mauvaises intentions restait.  

Isabelle perdit son sourire, elle ne comprenait pas pourquoi il était si froid avec elle d'accord c'était sa maitresse mais elle le traitait aussi bien qu'elle le pouvait.elle le détacha et s'allongea sur le lit

-"Prend ton temps pour manger nous irons en ville tout �  l'heure je dois dans un magasin je sais nous y allons souvent."dit-elle tristement.

Sur ce elle prit un oreiller et elle le planqua sur son visage.

   

Arvedui tenta vainement de reprendre le dessus sur ses sensation, mais ne réussit qu'a un peu mieux les cacher. Il mangea en silence réfléchissant. Bizarement, et pour la première fois depuis longtemps, il ne pensa pas pas a un moyen de s'échapper ou de tuer. Il pensa au livre. C'était le seul endroit ou il pouvait être totalement libre, lorsqu'il écrivait sa propre histoire ou celle qu'il avait inventé.
Elle ne répondait pas. Il se leva et approcha d'elle, lentement. Il posa une main sur son épaule et elle sursauta.
Qu'es ce qui se passait? Normalement, il n'avait pas le droit de poser une question a son maitre, alors il ne dit rien se contentant de rester l� .  

Isabelle enleva le coussin ses yeux étaient encore un peu rouge, elle ne regarda pas Arvedui lui lança juste un:

-"Très bien on y va."dit-elle en se dirigeant vers la porte.

Ils y avaient du monde dans les ruelles Arvedui aura du monde �  voler les riches étaient de sortit Ils tournèrent une ruelle et arrivèrent devant une armurerie.Ils entrèrent, et se dirigèrent vers le comptoir.

-"Bonjour le pistolet en haut �  droite s'il vous plait."dit-elle en montrant l'arme.

-"Bien. 30 pièces d'or s'il vous plait mademoiselle."dit-il.
 
-"Merci!"dit-elle en prenant le pistolet,qu'elle fourra dans sa sacoche en partant du magasin."Vient au va se promener comme t'es mains sont détaché on va voir se que tu sais faire on traverse et on tourne �  droite �  la dernière ruelle c'est partit!"dit-elle en se mettant derrière Arvedui.      

Arvedui avançait sans rien dire, comme tout bon esclave. Bizarrement, Isabelle l'avait libéré. Il nota qu'elle avait du mal a lui infliger de punition et encore plus a les tenir. Un point faible a exploiter.
Au maximum de la faible vitesse de l'enfant, ils se dirigèrent vers le quartier chic de la ville. C'était un endroit très fréquenter par les riches bourgeois et les gardes. Pour une raison ou une autre, ils commencèrent a patrouiller très près du duo, comme pour prévenir. Mais même leur regard ne pouvait en rien empêcher Arvedui d'utiliser ses talents. Isabelle elle même se demanda s'il faisait réellement ce qu'on lui demander. Un moment la chaine reliant les cheville de l'esclave se coincèrent sur le pavé et il tomba. Heuresement, Isabelle le rattrapa et il s'éffondra dans ses bras.
La suite se passa sans autre incident et ce ne fut que quand ils revinrent a l'auberge qu'il purent a nouveau parler librement. Comme un bon esclave, Arvedui attendit que ce soit Isabelle qui parle la 1er  

Isabelle referma la porte mais pas �  clé, cette "promenade" lui avait fait du bien mais elle était curieuse de voir ce qu'il avait récupéré.

-"Allez vide tes poches qu'on voit se que tu as ramené."dit-elle en souriant.

Elle repensa �  la chute d'Arvedui et se demanda si son poignard était encore �  sa place habituelle il n'aurait pas oser aller le chercher entre ses seins.Elle baissa la tête le regarda puis regarda dans son décolleté et son porte jarretelle.     

Arvedui sourit légèrement, car dans ses poches il avait un trésor qu'il estimait plus que tout l'or qu'il aurait pu récolter. Isabelle avait l'air vraiment surprise, elle releva la tête en sa direction et reregarda dans son décolté. Car le fourreau a l'intérieur était vide.
Arvedui lança quelque chose et Isabelle le trapa instinctivement, c'était le poignard. Heuresement, l'enfant était bon et sa maitresse le reçut par le pommeau. Un deuxième objet vola, le pistolet qu'elle venait d'acheter.
C'était presque les larmes au yeux qu'il parlait. Il ne tentait même pas de cacher qu'il avait été blesse qu'on mette sa parole en doute. Il détourna le regard, sortit les pièces amassé, les posa sur la table et partit en direction du lit. Il tentait en réalité de cacher ses larmes, mais même un aveugle n'aurait pas été dupe. Pour une raison ou une autre, l'opignon qu'elle avait de lui le touchait.  

Isabelle remit ses armes en place, et alla vers Arvedui elle le prit dans ses bras.

-"Je me prépare pour dans les 4 jours je me suis dit que as tout moment tu pouvais me tuer, dit-moi me fais tu confiance? non pas vrai... et bien moi oui comme un imbécile et tu joue souvent de mon caractère maternelle comme quand je t'es rattraper même si c'était pour me montrer ta bonne foi.Tu me hais parce que je suis ta maîtresse je le comprend mais je te garde avec moi parce que dehors des personnes bien plus forte que toi t'attende et elle seront bien pire que ton ancienne maîtresse crois moi j'en est fait l'expérience...Donc j'ai encore quatre jours avant que ta main ne vienne me refouler le décoller et le porte jarretelle pour m'enlever tout espoir de te battre?dit-elle avec un grand sourire"enfaite comment savais-tu pour mon poignard?"
   

Arvedui n'en plus put, il s'effondra totalement en larmes. Il alla pleurer de chaude larme sur l'épaule de sa maitresse. Il se passa quelque seconde avant qu'Arvedui s'écarte et montre a nouveau le pistolet et le lui redonne. C'était presque un jeu. Un jeu gagné d'avance. Il pensa a corser les choses pour plus tard.
Isabelle remit le pistolet en place, mais il le revola. C'était si facile, elle ne voyait strictement rien! Il tenta de le ranger ailleur mais il se fit avoir. Il rougit timidement, même s'il savait qu'il n'avait pas fait de grosse bêtise. Il avait juste tenté de mêtre un peu plus de piment a un exercice bien trop simple.
Ses yeux encore humide brulait de sincérité. Dans un dernier effort pour garder la face, il essuya ses yeux et retint les prochaines larmes.
 

Isabelle éclata de rire.La nuit commencé �  montrer le bout de son nez derrière les nuage

-"Bon allez au lit je t'attache encore et je dors avec toi alors maintenant que je sais que tu es vraiment très habile je te demanderais d'essayer de ne pas t'échapper de la chambre si jamais tu arrive �  te détacher"dit-elle en lui attachant sa chaine qui lui retenait les pieds au lit.  

Arvedui s'allongea docilement, et tendis les 2 poignets. Isabelle les attacha ensemble en ésseyant de ne pas trop le déranger, puis lui attacha les chevilles et se retourna. Arvedui sauta sur l'occasion et tenta de voler la clé, même s'il avait les 2 mains liés. Il réussit a la prendre, mais c'était-il fait voir? Isabelle ralentit un peu le pas... Mais continua d'avancer. Ouf!
Isabelle se coucha. Arvedui ferma les yeux et fit semblant de dormir. Ce ne fut que quand il entendit la respiration d'Isabelle et qu'il fut sur qu'elle dorme qu'il se releva et prit la clé. Les cadenas de ses chevilles s'ouvrirent, mais pas ceux de ces mains. Tan pis. Il se leva et se dirigea vers sa maitresse, elle semblait si paisible comme cela. Elle fit un mouvement, surement un rêve. Arvedui tendit la main et releva la couverture vers ses épaules avant de s'éloigner vers la fenêtre. Sa maitresse fit un autre mouvement, un moment il douta de son sommeille mais quand il la regarda, il changea d'avis. Il regarda par la fenêtre, un monde si vaste. Un monde qu'il ne verrait jamais seul, jamais sans liens. Il prit un papier et écrivit ses mots:
Il posa le mot près de la porte et partis se recoucher, se rattacha et ferma les yeux. Content de sa balade et de ne pas s'être fait surprendre. Isabelle refit un mouvement, elle lachait la poignée du pistolet sous le lit. Elle ouvrit les yeux, elle avait tout vu. Mais Arvedui n'en savait rien et dormait paisiblement.  

Arvedui n'était pas sortit et s'était rallongé, elle avait reposer le pistolet sous le lit et commençait �  somnoler en attendant le jour mais fini par s'endormir. Elle se réveilla de bonne heures,Arvedui dormait, il était très mignon quand il dormait si paisible.Elle se leva,prit le papier, sourit et appela l'aubergiste pour le petit déjeuner, une foi le repas sur la table, elle alla prendre un bain, elle avait porter six seaux d'eau hier soir, elle les mit �  chauffer sur le feu.Elle versa trois seau dans dans la bassine et prit son bain;quand elle eu fini de se laver et s'habiller, Arvedui était réveiller,

-"Bonjour!Tu manges et tu prendra un bain après, j'ai mit tes seau sur le feu, ça va faire un bout de temps qu'on s'est pas laver du moins l'eau sur le bateau s'était pas génial vu quelle était froid"dit-elle en riant .

Elle prit ses clés,l'enfant les avaient remisent sur sa robe hier soir,elle le détacha du lit et avança la table vers lui, elle prit une chaise et commença �  manger.    

Arvedui se reveilla assez tard, fatigué de ces dernières nuits. Il vit Isabelle sortir de l'unique autre pièce de leur chambre, les cheveux encore mouillé et �  peine fini de s'habillé. Il ouvrit parésseusement les yeux et regarda Isabelle, qui lui parlait déj� .
Il referma les yeux et recolla sa tête sur l'oreiller. Ses chaines cliquetèrent légèrement, mais il s'en fichait, il plongeait déj�  a demi dans le someille. Un bruit de clé se fit entendre, pourtant ses chevilles étaient encore endormit? Son cerveau marchait au ralentit et il ne tenta même pas de se défendre ou de protester quand quelqu'un le souleva et le l'emmena quelque part. De toute façon, ses mains étaient encore attaché, alors a quoi bon ouvrir les yeux. Soudain, il tomba et atterit dans quelque chose de liquide.
Le cri de surprise couvrit a peine son rire quand il se redressa, complètement trempé. Il se regarda, regarda la maitresse, et quand enfin son cerveau se mit en marche et qu'il comprit ce qui venait d'arriver, il rigola aussi.
Il sortit du bac et se dirigea vers les serviettes, se sécha et alla s'assit a la table.
Il tenta de prendre le pain et remarqua qu'il était encore attaché. Isabelle résolut le problème et il se retrouva presque libre, en train de manger avec appétit ce qu'on lui donnais, sans parler a cause de sa bouche constamment pleine, puis alla se laver en prenant les bacs d'eau tiède maintenant. Il aurait pu s'échapper par la fenêtre, mais fuir totalement nu ne le tentait pas trop. Il se lava donc docilement, se rhabilla et se rassit a table.
 

Isabelle le regarda avec un grand sourire.

-"Vu qu'il me reste encore deux jours �  vivre, je dirais qu'on va s'amuser je suis plus mauvaise que toi pour voler surtout en pleine rue mais je prend beaucoup plus de choses précieuses que toi vu que ce sont les gens qui m'invitent chez eux, bref nous aurons bientôt besoin d'argent je pourrais travailler mais je t'es avec moi donc nous allons faire comme la dernière fois on va marcher parmi les gens et les détrousser mais cette fois je joue aussi après nous préparerons nos affaires et reprendrons la mer vers Montserrat c'est assez loin 3 semaines de mers mais cette fois je connais le capitaine et il n'y aura pas de problème."dit-elle en se levant et prenant ça veste.

"Allons-y les riches nous attendent!"dit-elle en riant.  

Arvedui avait maintenant les mains libres. Il ne s'attendait pas vraiment a ce programme très problématique. Car en lui permettant de voler, et lui laissait l'occasion de voler une arme qui pourrait servir 2 jours plus tard.
Un moment il se questionna sur le message. Il se refusait de regarder sous la porte pour ne pas donner la puce a l'oreille a sa maitresse, mais surtout il se demandais la tête qu'elle avait fait en se demandant qui avait pu écrire ce message. Elle ne le soupsonnerais jamais, il prétendait ne pas savoir écrire! Il se leva lui aussi, mais n'avait pas de veste a mettre en plus. De toute façon il ne faisait pas vraiment froid et il avait connu bien pire.  

Isabelle réfléchit, regarda sa bourse puis Arvedui.

-"Ok,j'ai un plan je connais des personnes riches qui vont faire leurs balade après de bon matin, ils emmènent toute la famille, il y a une boutique en bas de la rue où l'on vends des uniformes pour femme de ménage et valet, ça te dit qu'on se déguise?!"Allez viens"dit-elle en descendant déj�  les escaliers.

Les rues commençait �  être bondées quand ils entrèrent dans le magasin.Isabelle savait quoi prendre, elle avait déj�  fait une expédition dans la maison il y a 6 ans.Elle prit se qu'il fallait et les acheta, la maison était dans la ruelle suivante, une grande maison avec un portail et un immense jardin derrière la maison,où du lierre poussait sur le mur donnant un minuscule passage entre deux maisons, avant elle devait sauter pour s'y agripper maintenant il suffisait juste d'un peu de souplesse.Isabelle détacha les pieds d'Arvedui et ils s'habillèrent, passèrent dans le jardin et y cachèrent leurs affaires.Le jardin était immense et sublime.       

Arvedui se releva, et regarda Isabelle. Elle était encore assez méfiante visiblement car elle ne s'était pas débarrassé de sa dague et restait assez près de Arvedui pour le rattraper a n importe quel mauvais mouvement suspect.
Il avait fait semblant de peiné pour monter et avait même solliciter l'aide d'Isabelle pour endormir sa vigilance mais cela n'avait pas fonctionné. Ils s'avancèrent dans le jardin, mais un homme les interpela:
Sans attendre plus longtemps il se dirigèrent dans le palais, les gardes ne tentèrent pas de les arrêter persuader a cause de la scène qu'il était belle est bien du personnelle. Ils rentrèrent dans la pièces et ils virent ce qui devait être la pièces la plus luxueuse de ce "semi palais".
 

Isabelle regarda autour d'elle, personne �  la porte un garde d'un coté du couloir et un autre qu'on entendait marcher plus loin. Arvedui faisait le tour de la pièce.Elle se pencha pour lui murmurer:

-"Ok on ne laisse rien paraitre on prend se qui pourrait passer comme disparut, il vaut mieux si on veut quitter le port sans problème.Allez on y va"dit-elle en s'éloignant vers une coiffeuse.

Ils prirent tout ce qu'ils pouvaient, Isabelle inspecta la pièce refit les lits et rangea quelques affaires pour la forme, ils sortirent de la chambre et allèrent en cuisine où il n'y avait personne en cette heure de la journée, ils sortirent par la porte donnant on jardin, prirent leurs affaires et repassèrent le mur avec plus de difficultés, se rhabillèrent et revinrent �  leur chambre.   

   

Isabelle se débroullait vraiment comme une débutante: Dans la vitesse et sans méthode véritable. Elle s'encombrais d'objet, certe précieux, mais trop volumineux. L'esclave lui annalisa la situation, le mobilier se composer d'un lit, d'un bureau, d'une penderie, d'une commode et d'un coffre. La penderie aurait des vêtements trop reconnaissable, le lit les draps trop lourd, le coffre prendrait trop de temps a ouvrir. Arvedui se dirigea vers le bureau et regarda, tout les tireoir s'ouvrait sauf 1. Il ne s'interessa qu'a celui ci.
Isabelle en train de prendre un biblo en or lui envoya d'un oeil distrait et l'enfant pu ouvrir le tiroir. Il était vide, mais le sol était trop haut, double fond. Il arracha la première couche et tomba sur les bijoux de madame, or, diamant, rubis. Au mois 7 bague, 2 coliers et 3 bracelets. Il prit tout ce qu'il trouva et se dirigea vers la comode. Elle n'était pas fermé mais contenait quelque papier interessant. Le propriétaire devait travaillé au port car il avait une copie du départ et du retour de tout les navires, ainsi que chaque escale et le trajet exact. N'importe quel pirates donerait une fortune pour ces papier.
La chambre était intact en aparassence, mais une bonne partie avait était voler. Ils firent le chemin inverse et se retrouvèrent dans l'auberge. Arvedui sortit les bijoux et le papier. Ce n'était pas ce qu'on avait d'habitude, mais cela en valait tout de même la peine.
Tout le long du trajet, Isabelle ne l'avait pas laché d'une semelle, comme si elle craignait qu'il s'échappe. Même si l'idée lui avait plusieur fois éflorer la tête, il n'avait rien fait pour méritez sa!
L'enfant lui tendit la boite du kit de cambriolage, une flamme de malice dans les yeux. Comme il regardait ses pieds en signe de soumission, il ne craignait pas que sa maitresse la voye et ne tentait donc pas de la faire disparaitre.  

Isabelle enleva tout ce qu'elle avait amassé et se détacha les cheveux où deux colliers de perles tombérent.Isabelle prit le kit des mains d'Arvedui.

-"Merci!On va partir on revendra tout ça �  Montserrat"dit-elle en rattachant Arvedui.

Elle alla préparer les affaires.

-"Nous partirons vers 21heures nous mangerons en chemin.Essaye de te reposer d'ici l� , la traversé va être dure crois moi!"dit-elle en fourrant les affaires dan un sac.    

Arvedui se laissa docilement attaché pieds et mains, Isabelle se méfiait encore et s'était mise entre lui et la sortie. Mais un autre espoir de fuite était née, mais il devrait faire vite. Il alla se coucher sous la couverture et se recroquevilla entièrement, chose qu'il ne pouvait pas faire lorsque ses pieds était attaché au lit. ses mains faisait le tour de son corps et il ne remuait qu'a peine. Il ferma les yeux pour se concentrée, a taton, il est dur de faire ce qu'il tentait de faire.
Un petit "clic" se fit entendre, mais étouffer par la couverture, il tenta de parler, au cas ou il raterais son évasion
Si son ancienne maitresse avait été aussi négligente que celle ci, il n'aurait eut aucun mal a la tuer. Elle avait prit la boite du kitt sans regarder a l'interrieur. Il manquait 2 outils. L'autre clic se fit entendre, mais couvert par la voix du garçon
Pour lui, le monde se résumé a la Guadeloupe, sans plus. L'horizon était le bord du monde, et seul quelques navire sans importance venait de l�  bas. Il ne soupçonnait même pas qu'il y ait d'autre ile, ou même des continents.  

Isabelle sourit et prit une carte dans son sac qu'elle déplia.

-"Tu vois ça c'est les caraïbes la Guadeloupe et l�  c'est Saint-Anne je t'es trouver l�  et nous on va �  Montserrat c'est ici j'ai déj�  vu toutes ces îles mais ça ce n'est que la mer des caraïbes"dit-elle en pointant du doigt les îles tour �  tour.

Elle refouilla dans son sac pour prendre une carte plus grande elle la déplia.

"ça c'est le monde, moi je viens du nord de l'Afrique ici et j'ai traversé l'océan pour venir jusqu'ici.Le monde est vaste hein?!Pendant le voyage il faudrait que je t'apprenne les noms des continents,la langue qu'on y parle toutes ces choses, j'ai lu beaucoup de livres qui parlaient des pays que je n'est jamais visités je te les lirais si tu veux?!"dit-elle en rangeant les cartes.    

Arvedui prit soudain conscience de la taille du monde, même s'il ne réalisait pas encore ce tout ce qui en dépendait. Isabelle se tourna pour ranger les cartes, Arvedui en profita, et il se leva et courut jusqu'�  la porte. Il essaya d'ouvrir la porte mais quelque chose l'en empécha, il regarda, Isabelle l'avait bloqué de la main, de l'autre elle attrapa Arvedui. Ses mains attachées ne lui permirent aucune défense potable et il fut très largement levé en l'air. Après lui avoir attaché les pied, joint et collé entre eux, ainsi que les mains toujours malgré la vaine résistance de l'esclave. Il arreta soudain de gesticuler comme un poisson hors le l'eau (seul mouvement qu'il pouvait vraiment faire) et attendit sa punition. Cette fois ci, il ne s'en sortirait pas par une cabriole ou par réveille de son instinct maternelle.
Il avait presque tout eu, même la torture, mais ce n'avait jamais été une partie de plaisir. Cette fois, il esparait que ce serait rapide.  

Isabelle sent douté le kit était bien trop léger mais bon il avait recommencer qu'est-ce qu'elle allait faire de lui.

-"Oui, mais je ne suis pas africaine pour autant,demi bretonne demi Irlandaise enfin bref..."dit-elle en soupirant.

Elle s'assit sur le lit �  coté d'Arvedui et le regard fixement.

"Tss tu es irrécupérable... bon je ne te punis pas pour l'instant, tu auras ce que tu mérites bien assez tôt!"dit-elle en prenant Arvedui sur son épaule comme un sac de farine et son sac sur l'autre.Elle paya l'aubergiste en lui rendant la clé et lui demanda de la nourriture �  transporter.Ils partirent, les rues étaient désertes tout était calme.Après plusieurs minutes de marche,Isabelle posa Arvedui assis par terre et s'agenouilla devant lui prit de la nourriture et lui donna �  manger, le temps qu'il mange sa dernière bouché elle s'étira l'épaule, il pesait son poids encore 1ou 2 ans et il la dépasserait largement.Elle le reprit sur son épaule et ils Marchèrent encore, ils avait dépasser le port.

-"Nous allons plus loin l�  où on ne nous verra pas."dit-elle en pressant l'allure.

Un bateau était amarrer prés d'un colline, les hommes le chargé, Isabelle monta sur le pont et alla droit �  sa cabine où elle déposa Arvedui.

-"TU M'ATTENDS ET TU NE BOUGE PAS! C'EST COMPRIT?"a-t-elle hurler.        

Se moyen de transport n'était pas vraiment confortable, et ses liens a ses mains étaient bien trop contraignante pour qu'il le utilise correctement. Elle dut lui donner a manger.
Elle ne s'en occupa même pas, sachant parfaitement qu'il mentait. elle le remit sur l'épaule et recommença a marcher. Puis elle le posa en lui ordonnant de pas bouger. Il ne répondit rien, impréssionner que sa maitresse cri, plus que par ses paroles. Il réfléchit au problème: Il était littéralement saucissonné, et une punition allait bientôt arriver, alors que de l'autre coté, il n'avait qu'a faire des petits sauts et ils aurait la liberté. Le pour et le contre furent vite et il se releva péniblement, fit 3 saut a pied joint et tomba. Cette fois ci, il ne réussit pas a se relever, juste a se retourner pour voir Isabelle le regardait d'un regard désespérant.
 

Isabelle regarda Arvedui, elle n'en pouvait plus.

-"Arrête de bouger ou je t'assomme!"dit-elle en essayant de garder son calme.

Juste �  se moment la porte de la cabine s'ouvrit, un homme entra il était noir, massif et très musclé.

-"Un problème Isa!"dit-il avec un voix grave.

-"Non non ne t'inquiète pas j'allais allé te voir justement pour te dire que j'étais arrivé."dit-elle en ne se retournant qu'�  moitié pour pouvoir surveiller Arvedui.
   

Arvedui regardait l'homme d'un air méfiant. Ce colosse avait quelque chose qu'il n'arrivait pas a identifier, malgré ces bonnes paroles il avait un doute sur ses attentions. Mais il était mal placé pour en parler, surtout a ce moment. Il se contenta de s'assoir contre une paroi qu'il ne vit pas. Pour ne pas se faire assommer, il avait fait cela sans geste brusque et en mettant ses mains en évidence. Il resta ensuite totalement immobile, la menace avait été bien reçut.
Il avait ouvert la bouche, mais l'avait aussitôt refermer. Ce n'état pas le moment de ce faire remarquer. Il se contenta donc de rester l� , dans une position très inconfortale  

Isabelle regarda Arvedui au fond de la pièce celui été immobile il lui avait obéit pour une fois.

-"Je vais préparer le départ appelle-moi si il y a un problème."dit l'homme dans l'entrebâillement de la porte.

-"Oui je le ferais vas aider tes hommes, ne t'inquiète pas ça ira!"dit-elle avec un sourire confiant.

Kyle sortit,ses pas résonnèrent dans le couloir.Isabelle regarda Arvedui, s'avança vers lui en lui souriant, elle s'était calmer,elle s'agenouilla et regarda le garçon, le prit et le posa sur le lit.

-"Kyle ne te fera aucun mal enfin a part si tu m'attaques je dis ça parce que dans 1 jours tu me tues encore demain de repos et il faudra te surveiller après"dit-elle avec un grand soupir.

Le bateau partait.

"En faite je ne t'es toujours pas dit ta punition, je t'es préparer un programme que tu feras avec moi, et crois moi tu ne t'ennuieras pas entre tout ce que je dois t'apprendre dans la navigation tu seras autant �  l'intérieur qu'�  l'extérieur."dit-elle avec un grand sourire."ça va te faire les bras je te prévins!"     

Malgré la taille moyenne de Isabelle, elle possédait assez de force pour "maltraiter" l'enfant. Il écouta la punition sans broncher, mais son regard perdit de son vivant tendit qu'il baissait la tête. La tué sur un navire serait suicidaire, il aurait bien vite fait d'être jugé coupable, et il perdait sa seul défense contre les marrins, surtout qu'une fuite par la suite était sérieusement compromise en plein océan.
 

La voix triste du garçon fit vaciller Isabelle.Elle ne devait pas s'attendrir sinon il en profiterait.

-"Demain, nous ferons le travaille ensemble tu vas voir ce n'est pas si dur que ça, tu ne veux pas apprendre �  manœuvré un bateau,�  s'orienter sur l'océan, �  savoir faire les nœuds �  apprendre les différents noms qui compose un bateau, le foc, la misaine,le perroquet et tout les autres non tu ne veux vraiment pas les apprendre? En plus quand tu bosseras dehors tu n'auras pas tes fers du moins pas ou mains bien sûr je ne te lâcherais pas d'une semelle,mais bon vu que tu ne veux pas je ne vais pas te forcer tu resteras l�  jusqu'�  ce que l'on n'arrive �  Montserrat saucissonné, je ne e libérerais que quand il le faudra vraiment et le voyage ce passera comme ça.Tu choisit quoi?"dit-elle le regard amusé et triomphant.

         

Arvedui eut l'impression que tous ces muscles lâchèrent ensemble. C'était maintenant un enfant sans volonté qui se résignait a subir sans broncher tout ce qu'on lui imposerait.
En réalité, il se demandait surtout saucissonné comment? Car s'il pouvait encore écrire son livre, il serait largement a l'arit de l'ennuie. D'un autre coté, un voyage sur le pont permettrait bien de ramener quelque armes, si Isabelle disparait seulement qui soupçonnera un garçon désarmé? Le mauvais coté était qui lui fallait pour voler travailler durement pendant un petit bout de temps.
3 semaines c'est assez long, mais le travail qu'on lui demandait le serait plus. Il n'y croyait pas tellement et tout espoir d'échappait a sa punition avait disparut de son cerveau. Sa voie était entièrement neutre, et mais quelque chose dans ces yeux s'illumina:

Elle était joyeuse, attentionné et ne l'attachait que pour ces sorties. Elle le "protégeait" du monde exterieur. Et puis il revit cette fameuse soirée ou il avait atterit ici.

Il ne vit aucun rapport, mais n'y réfléchissait pas, ce fut sa seul pensée, alors il décida de ne pas la critiquer. Il garda cette vision, l'une de sa maitresse lui arpprenant a lire et écrire, un pur moment de joie, l'autre, ce qui lui fit perdre confiance en tout le monde... Ses yeux s'éteignirent aussi soudainement et toute trace d'expréssion, de penser ou même de volonter disparut de son regard.  

Isabelle ne savait plus comment se comporter.Elle prit Arvedui dans les bras.

-"Ok trois semaines, je...je te laisse dans la chambre, je serais �  mon bureau je te tournerais le dos tu feras ce que tu voudras ok?!"dit-elle ayant presque les larmes aux yeux.

Elle lui détacha les mains et lui mit son livre et les deux cartes plus un autres livres sur les bateaux �  coté du lit.Elle se retourna, prit un bouteille de rhum et alla �  son bureau et commença �  boire pour oublier se qu'il venait de se passer et �  travailler.Il fallait qu'elle s'occupe sinon elle n'allait pas tenir le coup émotionnellement.      

Arvedui avait toujours les pieds étroitement lié mais ne s'en plaignit pas. Il se coucha docilement et prit les cartes. Il repéra Guadeloupe, et tenta de retenir le tout. Il prit son livre et marqua ses phrases dans son livre
Au fond de lui, il savait pourquoi, mais il refusait d'avouer qui respecte son maitre. Il n'acceptait pas la vérité et espérais se convaincre lui même. Isabelle n'avait pas menti, elle travailla, puis quand il rangea son livre en faisant un peu de bruit elle tourna juste la tête pour le voir docilement. L'enfant lui lança un petit sourir, mais surtout un regard plein de gratitude.
 

Isabelle sourit, il le savait très bien mais elle fit comme si de rien n'était.Elle se leva et alla prés de lui, s'assit et prit le livre.Elle commença �  lire en rajoutant des commentaires par si par l�  en faisant part de ses expériences vécu lors de voyage.Il commençait �  se faire tard,elle ferma le livre, Arvedui commençait �  s'endormir sur son épaule.Elle posa le livre,et enleva les chaussures et le tee-shirt d'Arvedui, le couvra et l'attacha au lit.Elle travailla encore un peu puis jusqu'�  ce qu'elle est fini la bouteille, puis �  alla se coucher un peu saoul.  

Arvedui écouta attentivement. Il aimait lire, mais préférait avoir la prudence de ne pas le dire a Isabelle. Il ne savait pas exactement ce qui pourrait ce passer si on l'apprenait. Il s'endormait déj�  a moitié, il n'eut conscience que qu'on l'attaché et le déshabillait avant de plonger dans un sommeil réparateur
Le lendemain, il se réveilla tôt, le ventre réclamant a manger de toute urgence. Il ne voulait pas  réveiller sa maitresse et commença a tirer sur sa chaine dans l'espoir vain qu'elle cède. Ce fut l'un des gargoullements d'estomac qui réveilla Isabelle qui le regardait surprise.
Isabelle le dévisagea encore quelque seconde, visiblement en train de mémorisé sa tête complètement décourager de casser cette chaine. Mais il continuait. Il reprit en tirant de plus belle sans rien réussir de plus.

HS: Je souligne qu'a partir de ce RP, Nahi control mon personnage pendant la duré de mes 3 semaines de vacances, et ceci dans le but de ne pas bloquer son RP. Elle peut donc dire ce qu'Arvedui fait, pense, dit ect...  Voil� !  

j'ai continer dans mer des carïbes:


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