pour le concour rp. Il est loin d'être fini je ferrais deux postes
Un dernier duel
Le soleil haut dans le ciel cuisait la terre, sèche de cette région du Texas, il était un peu plus de midi dans les grandes plaines. Le vent soufflait provoquant le soulèvement des poussières et de nuage de sable, et créant un sifflement long et monotone. Une petite ferme se tenait perdu au milieu de se désert de terre percé par une rivière.
Un homme se tenait tranquillement assis sur une barrière de bois adossé � la poutre qui tenait le pare-soleil. Il regardait devant lui fixant un point. Son visage était tanné par le soleil et le sable, ses yeux � demi clos pour se protéger du soleil. Devant lui le point avançait vite, il devenait une forme et d’une forme une silhouette et enfin un cavalier. Dans la danse des sables volant et formant des cercles, un cavalier avançait au galop. Arrivé � moins de trente mètres du lieu habitable, il a ralenti la course de la bête et avançant tranquillement vers la ferme. Sûr de lui malgré la possibilité d’être tué. Il portait des bottes devenues marron par la terre et le temps, un chapeau noir � bord arrondi, un manteau noir, un jean usé par sa chevauché et un gilet blanc.
Il arriva � deux mètres de l’homme. Le cavalier toujours fixait par cet étrange homme immobile, s’avança et se trouva au niveau de son interlocuteur. Il regarda le visage de l’autre, ce dernier ne bougeait pas le fixant. Il dit d’une voix légère mais sec.-Tu m’as attendu tout ce temps.
- Tu as finit par venir.
Répondit l’homme d‘une voix rauque en détachant son regard du cavalier et le posant sur les cathèdrales de pierre rouge baties par la nature. il posa sa main sur sa cuisse où, tenu par un hoster, se situait un révolver au canon d'un fer polie et un manche bois verni et sculpté.- En effet Franck !
A ces mots l’être immobile leva la tête et sourie.Le cavalier le regardait, froncant les cils pour se protèger du soleil. Je viens de comprendre qui tu étais et pourquoi tu étais l� ! Tu t’es pas mis entre un chasseur et sa proie pap pur charité. Mais parce que le chasseur t’avait déj� échappé. Tu te moquais totalement du conflit entre les Howard et Jims.
- En effet.
Répondit l’homme d’une voix lente. Ce n’était pas sauver des vies que je voulais mais en prendre une.
- De toute manière tu es arrivé trop tard pour sauver ces fermiers comme vous êtes arrivé trop tard la première fois.
Il montra la maison et les nombreux carreaux détruit par des balles.
En entendant cette phrase Franck réentendu une série de coup de feu et de cris qu’ils l’obsédaient depuis longtemps. Il dit enfin après un calme.- Pourquoi es tu venu ?
- Pour mettre fin � cela ! je ne peux pas te savoir dans mon dos !
- Tu as eut du courage j’aurais pu te tuer quand tu arrivais
- Tu ne l’aurais jamais fait !
Dit le cavalier avec assurance. Tu es un trop grand homme pour faire cela. Tu veux m’offrir la mort que j’ai donnée � ton frère ! Car c’est bien de cela dont tu veux te venger.
- De cela et de la mort du sheriff Blond. Mais tu raison tu leur a laissé leur chance je ferrais de même.
- Mais qui es tu vraiment, Franck? � part un homme assoiffé de vengeance.
- La même chose que toi. Un homme d’honneur et d’action. Assez stupide pour donner � sa vie un sens comme l’honneur ou l’argent.
- un vrai ?
Il marqua un temps puis ajouta. Ils se font rare et ce sens nous � permis � tout deux de tenir, toi par la vengeance et moi par l’appât du gain. Sans cela nous serions mort.
L'homme ne rèpondit pas, laissant les monuments de pierre il posa son regard, vide de sentiment mais vif sur son ennemi.
Il dit enfin après un court silence.- Cette chasse va finir ici! Dommage que la scène de ce drame ne soit observée par personne.
Le cavalier descendit. Franck se leva et enfila son manteau d’un blanc sal, jauni par le sable et déchiré sur les bords. Les deux hommes se fixant l’un l’autre passèrent l’angle de la maison afin d’être tout deux � l’ombre, seul le bruit de leur bottes sur le sol venait détruire de calme. Il se fixait, mes mains crispées, le visage sévère et figé. Ils étaient face � face dans ce désert aride, du sol sec où seulement quelques arbustes réussissaient � tenir.