Concour rpSaguinolement amoureuse...
Ces jours... Ces mois... Ces années... Toutes, toutes sans lumière, sans espoir... Plus jamais le soleil ne se lèvera, plus jamais le soleil ne se lèvera...
Sur Boston... 1834...
Tic tac... La montre d'or chantait son petit bruit habituelle � chacune des secondes, la montre attaché au poignet de l'horloger, chaque seconde s'écoulait, des petits bruits insupportables qui menait tant bien que mal � la mort, chaque secondes nous rapproche de l'inconnu, dans cette horlogerie, aucun des murs était vierge, sans ces instruments qui lui appartenait comme greffé des sa constructions, ces instruments qui transformaient, il y a quelque année le monde en automate.
Il était midi, pourtant il faisait nuit, midi ou minuit? Peu importe, cela fait déj� vingt ans que le soleil � décider de jouer � cache cache avec son amie la lune.
La rue du commerçant du "temps" était sombre, puait l'urine, invitait les rat � danser pendant que les chats n'étaient pas l� et une femme, les souiller décousu et souiller... Par le temps, habiller dans sa veste en frac noir, elle se dirigeait � grand pas comme colérique vers la boutique.
De la buée sortit de sa bouche, son nez coulait, il faisait très froid... Les araignées, les insectes hibernaient depuis si longtemps que l'on ne se rapelle plus qu'elle forme avait un blatte, plus aucun n'allaient embêter les humains, ou du moins, ce qui restait des sangs chauds sur cette planète...
Gling giling, la femme poussa la porte au clochette de l'horlogerie...
- Bonjour...
Fit celle-ci avec un regard noir et sec.
- On est fermer, je ne vends plus rien... Et tu le sais très bien He******
Répondit le commerçant.
- Tu te souviens donc de moi?
- Bien sûr He******... Ne fait pas semblant que je suis pas unique...
Celle-ci se mordit la lèvre inférieure avant de reprendre...
- Et tu n'en as pas mare de ce bruit qui ne sert plus � rien de nos jours "tic tac tic tac"... Et tu le sais, tu ne sais même pas quel jours nous sommes ou si il est midi ou minuit?!
- Les contaminé attaque toujours � une heure fixe...
- Certes... 666 6 et 6, midi ou minuit et 6 minutes mais elle ne te serviront plus � rien...
- Je me fais vieux, comme tu peux le voir, je veux seulement voir ma mort naturelle venir... Salope Creve fille du démon... He******, tu ne pourras pas fuir éternellement...
L'inconnue soupira avant de sauter furtivement sur le comptoir revolvers en main planter dans la gueule du minable horloger.
- tu sais qui est le prochain sur la liste, tu le sais, je le sais?...
- Boguuu... Meutuu...
Aussi vite que l'éclaire, la femme retira son flingue, un gros calibre capable de tirer six balle sans recharger et elle le pointa sous le menton de l'homme...
- Tu sais qui c'est?
Demanda l'inconnue avec le sourire.
- C'est toi He******
- Et arrête de m'appeler par mon nom, ici moi c'est Râ... Comme le dieu du soleil en ancienne Egypte, le soleil qui ne reviendra jamais...
Cling!!!
La fenêtre, petite soit elle vient de se briser tell un coup de foudre, des cris, comme celui des enfants, ou plutôt comparable � des pleurs de femme, He****** se retourna précipitamment... Il est midi ou minuit... Et six minutes... Le douze divisé en deux donne 6... Deux fois 6... 66 et 6 minutes, le chiffres du diable, le nombre de la bête...
Ils sont l� , eux, les contaminé.
- Fichtre, maudis sois-tu horloger, crève!
La femme prit le vieil homme par la peau du dos et sans hésiter, elle le balança par la fenêtre des éclaboussure rougeâtre tacha les murs, son visage de partout, mais d'où?, puis plus rien, plus un cris... Mais le sacrifice n'était guerre assez nourrissant, ils étaient toujours l� , les... Morts de faim, "Râ", elle, le savait... Dailleurs, comme par magie, les cris reviennent et ça sera comme ça jusque demain midi ou minuit et six minutes jusqu'� ce qu'ils se calment... Il n'y a aucun endroit pour se cacher.
Un bras, puis une jambe suivit par une tête sortirent de leur cachette derrière la fenêtre, � l'extérieur, tous aussi blanchâtre les un que les autres, ils se bousculaient, il avait senti l'odeur de la femme, tous, ils la regardaient, bavant autant salive que sang.
- Merde...!
Hurla "Râ" paniquée... Maintenant que l'horloger était mort, elle se rendit compte que... Elle avait sacrifié tout les habitants de Boston... Il ne restait plus qu'elle et les horloges, le temps qui lui murmurait... Tu vas mourir... Tu vas mourir, mais quand? Maintenant... "Peut être me serait trompée?" Se disait la femme, mais cette question, elle l'avait déj� posé depuis son premier meurtre, son premier sacrifice au nom d'un homme, du premier au dernier, elle marchait les yeux bander dans les rue sombre, survivante d'une erreur sur une race supérieur, les virus... Son père y avait succombé... Mais sa mère non, elle, sa propre fille l'avait offerte comme sacrifice... Pour un homme
Tout ça pour nourire son bien aimer... Il ne restait plus personnes et elle ne voulait pas qu'il meure de faim...Son amour... Mort d'une forte fièvre dont les symptôme suivant... était des actes de cannibalisme entre midi ou minuit et six minutes... En ce temps l� , elle était une belle bourgeoise, elle était destiné � ce marier avec cet homme qu'elle aimait plus que tout au monde, mais en ce temps l� , elle se rappelle, un soir... Que le soleil ne s'était plus levé et que des personnes succombaient � des fièvres... On crût que c'était la peste jusqu'� ce que les personnes commencèrent � faire des actes de cannibalismes, on crût alors que c'était un virus semblable � la rage... Jusqu'a ce que l'on se rend compte que, les personnes infectée, était déj� morte, mais avait besoin de se nourrir comme vivant, il était impossible alors de les soigner, toutes mangeait les scientifique, les contaminait et ainsi de suite...
He****** se tenait devant tout ces gens hurlant, contaminé, criant, tendant la main, en première ligne, il y avait quelqu'un qu'elle connaissait... C'était lui! Celui qu'elle aimait plus que tout au monde... Il avait faim et elle, elle l'aimait, la main droite poser sur son coeur, puis posant sur la table son revolver graver dessus l'initiale de son nom de famille "N", elle monta sur l'appui de fenêtre elle tendit ses bras de chaque coté d'elle, telle un ange ou plutôt Icar Avant de...
Et elle plongea sur lui, sur l'homme pour être dévoré... Ou plutôt mourir dans un bain de baisés de la mort...
Héléna.N était morte... Morte par amour...
Fin
(hc: Je n'ai aucun commentaire � faire sur ma nouvelle... A part que c'est de la pure impro, j'espere que ça vous aura plus.)
