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« Répondre #1 le: 29 Décembre 2008 à 03:44:31 » |
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Dorian révassait devant les vitres de sa cabine lorsu'on frappa à la porte
_Si tu t'obstine � vouloir, mon brave Dewey, astiquer ma cabine lorsue j'y suis, il se pourrait bien que le grand mat ait besoin d'être nétoyé au beau milieu d'une tempête ! Râlat le capitaine pensant s'adresser � un jeune mousse dont la mal chance l'amusait beaucoup. Mais il se retourna lorsqu'un raclement de gorge qui ne pouvait provenir du jeune le surpris. _ hahahaa c'est donc vous mon cher Achab ! Qui a-t-il, votre manche a balais aurait-il rendu l'âme ?
_Non, vous devriez savoir que le pont est plus propre qu'� neuf depuis quelques jours.Je voulais juste savoir ce que nous allions faire � Montserrat.
_J'ai une affaire � y régler, d'ailleurs mes hommes et moi y avons tous une affaire � y régler ! Lorsque je dis cela, doi-je t'inclure toi aussi dans le tas, ou ne te sens tu pas encore tout a fait concerné par ce qui concerne le passé de ce navire ?
_Cela dépendra l'affaire.
_Voyez vous mon cher Achab,comme on a pu vous le raconter, je ne suis capitaine de ce batiment que depuis quelques semaines, et cela gr� ce ou plutôt � cause du trepas de son ancien capitaine, le regrété feu Wentroth Deker, lâchement assassiné lors d'une attaque que nous menions par un jour de brouillard. Depuis, je suis quasiment persuadé que quelques uns des ces vaux-rien ont réussis � s'enfuir � la faveur des brumes. L'autre jour � La tortue, j'ai surppris quelques conversations qui laissées � penser que certains d'entre eux seraient en ce moment même � Montserra, et je l'espère bien ! Ils vont donc apprendre ce qu'il en coûte de s'en prendre � cet équipage ! Alors cher ami, serait vous des notres, participerez-vous � cette vendetta ?
_Je crois que c'est mon devoir ! Et essayer nos nouveaux pistolets, puis traverser quelques hommes de mon harpon est une bonne idée. Et combien seraient les traitres?
_A ma conaissance pas plus d'une douzaine, quand nous attaquons un navire il n'y a que rarement des survivants, dit-il d'un ton fier et éxagérant légèrement, mais pas ce jour l� malheuresement ! Mais ce n'est pas du nombre d'hommes qui seront avec moi lors de leur éxécution dont je me soucis, mais plutôt de la position que vous prendrez.
_Eh bien pourquoi ne combattrais-je pas � vos côtés? Vous êtes mon capitaine, et s'ils ont assassiné votre ancien capitaine, ils méritent la mort. Si vous voulez, je les éliminerai de ma propre main, pour vous montrer ma loyauté.
_Fort bien ! Veuillez donc avertir les hommes que nous ne devrions pas tarder � apercevoir les cotes, qu'ils se préparent nous allons devoir être rapides, ils ne faudrait pas que ces mécréants aient le temps de s'enfuir et de se réfugier dans la jungle qui peuple l'ile !
_A vos ordres chef, mais n'étant pour l'instant ni bosco, ni second, je ne pense pas avoir � avertir tous les hommes, mais je m'empresse d'avertir au moins les miens.
_Voyons EX-capitaine Achab ! Considérez vous encore qu'il y ait vos hommes et les miens ? Légèrement décevant, mais compréhensible venant de vous ! Quand � votre rôle, vous me semblez bien pressé, laissez moi le temps d'en apprendre un peu plus sur vous avant de le préciser !
_Je n'ai pas plus d'ordres � leur donner que ça.Mais si vous insistez, je file prévenir l'équipage!
Le jeune Maori sortit, et on entendit la voix du jeune Dewey par les portes ouvertes, crier au capitaine qu'on voyait la terre ! Ce dernier, assis � son bureau sourit, "je commence à bien les connaitre les mers par ici !". Puis il devint pensif, l'histoire de l'attaque n'était qu'� moitié vraie, et pas la meilleure partie! Les conditions sont bien véridiques, et la fuite de certains vaincus aussi, cependant, ce n'est pas l'un d'eux, ni la main d'aucun des marins attaqués, qui se jour l� otât la vie au modeste mais néanmoins valeureux capitaine Wentroth Deker. Dorian avait prévu sa traitrise depuis plusieurs semaines, mais jamais les conditions n'étaient réunies, mais ce jour l� , alors qu'il n'y songeait même pas, il se trouva durant un instant seul face � la barre ennemi en pleine attaque, et son geste fut presque instinctif, alors que Deker venait d'envoyer � terre pas moins de trois ennemis, Dorian l'embrocha de tout son sabre et le regarda mourir dans ses bras, sachant maintenant que le Galion lui reviendrait ! Mais si aujourd'hui il continu de pourchasser les rescapés de cette attaque c'est dans l'espoir de gagner encore plus d'estime auprès de son équipage, mais surtout parsqu'il était persuadé que l'un des trois marins envoyés au sol par Deker fesait partie des fuyards, il était donc impératif qu'il le fasse taire ! C'est donc en repensant � cela, qu'il prit ses armes et sortit sur le pont ! _ Et alors peloton de cul-de-jattes ennivrés jusqu'� l'os, soyez parés, le jour de la vengeance et venu !
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