L'amirié ou la mort !

[FrEeDoM]

Les hommes s'éxecutères, l'ancre fut levée et quelques minutes plus tard, le navire prenait le large, emportant avec lui de quoi rendre les hommes encore plus jouyeux qu'ls ne le sont.
Durant la traversé, Dorian avait accordé �  ses hommes de torturer leur prissonniers, conscient que cela augmenterait encore sa position.
Alors qu'il essayait de se rememorer ce qui s'était passé dans la taverne de Monserrat, malgrès les cris incessant :
"Là au moins ils mettent du coeur à l'ouvrage, quand ils veulent !"
En effet, l'équipage avait attaché un des hommes et avait fait passer une corde d'un coté �  l'autre du navire, sous la coque, ce derniè qui y était relié, glissait donc le long bois qui laissait ensuite place aux coquillages et autres minéraux trachantes collés �  la coque.
L'homme avait une bien piètre mine, lorsque Dorian s'écria :
"Gardez les en vie, nous arrivons !"
Ne se souciant plus pour son secret, il avait eu une idée qui lui paraissait assez cruelle pour paraitre terrible aux yeux de son équipage mais aussi pour assouvir ses désirs qui approchaient par moment la folie, et la perversité.
Arrivés aux abords d'un banc de sable qui formait un îlot minuscule, l'ancre fut larguée.
"Je laisserai vivre le vivant", Dorian pronnoça ces mots en observant l'îlot d'un sourir qui en disait long sur les idées noires qui pouvaient parfois le traverser.
Sur ce, les hommes furent assomés et débarqués sur le sable. Quelques heures plus tard, les trois étaient reveillés et commençaient visiblement �  s'observer l'un l'autre.
L'équipage ne perdait alors pas une minute de la scène depuis le Neverland qui mouillé �  quelques encablures. Les hommes avaient déj�  beaucoup misé,le capitaine les y avait autorisé, chose qu'il ne fesait rarement étant donné leur tempérament et la facilité avec la-quelle ils avaient tendance �  faire se terminer tout pari en bagare, provoquant ainsi un manque de discipline que Dorian ne voulait laisser passer dès sa prise de commandemant.
Il savait que cette épreuve prendrait 1 jour ou 2 avant de devenir un suplice pour les victimes et que l'un d'eux se transforme en tueur. Du moins c'est ce qu'il pensait, car un peu avant l'aube une clameur le fit sursauter.
 En sortant il vit des pièces passer de mains en mains, et, tournant la tête, il aperçut sur l'îlot 1 coprs inanimé et un homme les mains autour du coup du troisième, une vue qui lui offrai alors une sensation de plaisir intense.
"J'aurais préféré attendre un peu plus ! Mais un homme cédant �  tous ses instincts de survie aux dépends de la vie de ceux qu'ils cotoyait depuis surement plusieurs années, rien de mieux !
Préparez une chaloupe, Achab, Kranik,Stringfelow, vous venez"
Ils trouvèrent sur l'îlot un homme entièrement désespéré. Il était �  genoux, les yeux vides. Lorsqu'il viet le comité s'approchait, il coura vers eux en criant comme un enfant :
"Je l'ai fait ! vous avez vu ? je l'ai fait ! Bon allez on y va, je veux pas rester ici, on s'en va vous avez promis !"
"C'est vrai, je vous félicite, et comme je suis un homme de parole je vais vous laisser la vie. Allez on s'en va !"
L'homme devint encore plus bleme qu'il ne l'était, il ne compranait visiblement pas !
"Mais, vous disiez ...  je lai fait ! Je dois partir, je l'ai fait !
"Et oui ! dit Dorian lui tournant le dos,Vous l'avez fait !"
L'homme bondit et lui fonça dessu, Kranik l'arréta dans coup de poing qui l'envoya �  terre.
En revenant au navire, les 4 hommes pouvaient entendre l'homme qui répétait sans cesse
" Mais je l'ai fait pourtant ! Je l'ai fait ! Mon dieu je l'ai fait !"
Dorian s'esclaffa un moment puis il ragarda fièrement et désormais sans aucune crainte; ce qui était maintenant, définitivement SON navire !
Les trois autres semblaient plutôt génés, le silence régnait3.
"Fou, il est fou ! Pas d'autre explication"
Visiblement, cette remarque de Kranik, montrait que Dorian n'avait peu être pas fait l'effet qu'il espérait sur ses hommes ...
Toute fois, sur le navire régnait une ambiance de célébration.