RAPAS

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Chapitre III : Saut HALO

   Quelque jours passèrent. Et puis, un jours, les 2h du matin, un C-130 Hercule survole la Serbie �  8000 m d'altitude. Dans la soute, 5 hommes.

- Largage prévue dans 15 minutes. anonça un haut-parleur.
- Allez, debout les paras ! ordonna un capitaine.

   Les 4 hommes s'équipèrent. Ils mirent leurs sac au niveau des hanches, devant eux, laissant leur dos libre pour le parachute. Sur leur casque, une lunette, et sur le torse un GPS. Accroché au poigné tel une montre, une boussole. Dans oublier les armes, Famas, FR-F2, FN Minimi, lance-roquette. Les 4 hommes étaient vétu d'un camouflage vert-noir-marron. Alors que tous s'équipèrent, Alexandre mit son arme de poing dans son étui, dans le plus grande discrétion. Antoine remarque la particularité de l'arme.

- Tu prend encore ce vieux truc de merde.
- Une arme est une arme. Plus on est �  l'aise avec, plus on est efficasse. Le Colt 1878 SAA est un exellent pétard. Il est plus lent, certe, mais il est précis, fiable, et il sa puissance est plus gradne que les autre pistolet. Il est plus puissant qu'un colt .45, pourtant il utilise le même calibre.
- Il a plus de joule ?
- C'est ça.
- Pourquoi tu le planque ?
- C'est pas un flingue réglementaire. Il va me faire chier.

   Les 5 hommes terminèrent de se préparer. Après se longues minutes d'attentes, les 5 hommes se mirent en place. Le feu était rouge. La soute s'ouvrit, il faisait encore nuit noire. Le froid envahis alors la soute du Hercule. Puis, le chrono défila. 10... 9...8...7...6...5...4...3...2...1...GO ! Ensemble, les 5 hommes sautèrent dans le vide.  

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   La descente fut glaciale. Les 5 hommes avaient sauté �  près de 8000 mètre d'altitude. La vitesse de leur chute et la fraicheur de la nuit engourdissaient leur membre. Après de longue minutes d'attentes, lorsqu'ils arrivèrent �  une altitude exacte de 1000 mètre, leur chrono-baromètres enclencha l'ouverture automatique du parachute. Le commandos descendit ainsi les dernier 1000 mètres en se suivant �  la queue-leu-leu.

   Le lieutenant Lamotte était en tête, suivit d'Alexandre, de Rick, d'Antoine et de Benjamin. Le groupe sedirigea vers une petite clairière, au beau milieu d'une forêt. Les soldats foncèrent vers le sol, encore paralysé par le froid. Puis, vint le choc. Les hommes touchèrent le sol et s'écroulèrent. Rapidement, ils se relevèrent, s'empressant de retirer leur parachute, et de détacher leur sac �  dos, lequel étaot depuis le début accroché devant leurs jambes.

   Une fois ressaisit, ils se regroupèrent, après avoir retiré leur masque �  oxygène. Lamotte ordonna rapidement :

- Bon, on se dépêche d'enterrer le matériel de saut et on y va. Laisne et Valoix, vous montez la garde, les autre, �  vos pelles.

   Lamotte, Rick et Antoine commencèrent �  creuser, tandis qu'Alexandre et Benjamin allèrent faire le tour du site.  

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   Alexandre et Benjamin étaient partis vers le nord, �  environ 200 m du reste du groupe. Les deux français débouchèrent sur une clairière. Benjamin s'adressa �  Alexandre :

- T'en pense quoi du lieutenant ?
- Je ne sait pas trop, c'est un peu tôt encore.
- Moi j'ai l'impression qu'il nous prend pour de la merde.
- Je le pense aussi un peu, après faut voir sur le terrain. Si ca se trouve, c'est un exellent chef.
- Possible, mais j'aimerais bien lui montrer ce que je vaux.
- Ca je pense qu'on en aura tous l'occasion. T'inquiète, on va lui monter �  ce petit prétencieux ce qu'on a dans les tripes.
- Ouais. On va rentrer au QG victorieux et lui y sera deg.
- Oui, mais ne nous emballons pas. Il reste notre chef et un hommes vital pour le groupe.
- Je sais. T'es pas trop deg de t'être fait baiser ?
- Non. Perso je ne me sentais pas trop capable d'assumer une tel mission tous seul dès le début. Et puis je suis toujours avec vous.
- Merci. Mais bon, je pense qu'on airai aimé faire ça rien qu'ensemble.
- Et oui, mais non.

   Soudain, Alexandre leva son poing gauche et s'accroupit. Benjamin fit de même. Alexandre pointa quelque chose avec son index et son majeur. Quand Ben regarda la direction indqiué, il vit deux hommes armée de AK-47. Grace aux hautes-herbes, les deux éclaireur français étaient quasiment invisible. Les deux ennemis, en revanche, étaient �  découvert le long d'un petit court d'eau. Alexandre et Ben se firent tous petit, puis Alexandre mit son toki-woki, directement relié a son oreillette, sur le canal correspondant au reste du groupe

- Yucca 1 de Yucca 2, deux tango en visuel.
- Bien reçu Yucca 2. Que font-ils ?
- Ils longent un petit court d'eau à découvert.
- Vous pouvez les éliminer discrètement ?
- Affirmatif.
- Alors montrez-moi ce que vous valez.
- A vos ordre.

   Ben qui avait entendu la conversation grâce �  son oreillette mit son fusil �  lunette �  l'épaule, lequel était équipé d'un silencieux. Alexandre repassa Alors sur un autre canal.

- On les flingue d'ici ?
- Tu pourrais mais moi non. Et le deuxième risque d'amenter tous le quartier. Je vais ramper dans les hautes-herbes et m'approcher de celui de droite. Toi tu vise celui de gauche. A mon signal, tu tire et moi je poignarde, ok ?
- Ok.

   Alexandre s'allongea et commença �  ramper. Il parcourut tel un fauve traquant sa proie les mètres le séparant des deux Serbes. Puis, lorsqu'il arriva �  quelque mètre derrière ses ennemis, il se releva, et marchant a pas de loup, il mit son Famas en bandouillère, dégaina son couteau de combat, puis leva la main gauche. Pendant ce temps, Benjamin avait garder son Serbes en joue. Puis, Alexandre baissa le bras, sauta rapidement en avant, colla sa mains gauche sur la bouche du Serbe, le serra contre lui, et planta son couteau dans le bas de son dos. Quand Alexandre le lâcha, il tomba aux côtés de son compagnon, tué d'une balle dans la tête. Rapidement, Alexandre revint vers Ben et repassa sur le l'autre canal.

- C'est fait mon lieutenant.
- Parfait.  

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   Pendant ce temps, Rick, Antoine et Lamotte avaient terminé d'enterrer les parachutes ainsi que tous l'équipement de saut. Lamote rapella Alexandre et Ben qui ne mirent pas longtemps �  revenir. Lamotte commença alors son briefing :

- Bien, messieur. Notre première cible se trouve �  5km au sud de notre position. Il nous faudra traverser ce bois, puis une route, avant de faire quelque mètre dans l'herbe rase pour rejoindre un lac. Au bord de ce lac, l'objectif numéro 1.
- Pas moyen de contourner la zone rase ? Si un Antonov* ou un Mil** arrivent ils nous repererons sans difficulté. questionna Alexandre.
- Non. répondit sèchement Lamotte
- Et là ? demanda inocement Alexandre en montrant un point sur le carte.
- Ils nous faudrai faire un détour de 3km pour passer sous ce pont par le torrent. On ne peut pas se permettre de perde autant de temps.
- En marchant vite on ne perdra rien. Et puis si on prend le chemin le plus court et qu'on se fait prendre, ça ne nous aura serbit �  rien.
- Bon. On y va par là alors.

   Lamotte rengea sa carte et lança un regard peu aimable à Alexandre.

- Allez en route. Et gare au premier qui se traîne ou qui râle. Si vous avez quelque chose �  dire, adressez-vous �  l'adjudant Valoix ici-présent.

   Rick seleva en riant doucement, puis il dit à l'attention d'Antoine.

- Quel con. Il se fou de nous alors qu'il ne voulait pas faire 3km en plus.
- Que veux-tu ? Quand on est bête et borné comme lui, on râle devant les idées des autres.

   Le groupe se mit en marche. Lamotte marchait en tête. Derrière lui, Rick, qui regardait devant, lui aussi, suivit de Benjamin et d'Antoine, regardant attentivement chacun d'un côté. Alexandre était en queue et observait l'arrière.

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* Antonov = Antonov est une marque d'avionique soviétique. Antonov est spécialisé dans la frabrique d'avion de transport lourd. L'un des plus vieux et des plus répendus des Antonov et le An-2, qui fut exporté dans la majorité des pays de l'ancien Bloc de l'Est, en particulier en Pologne, Chine et aussi Colombie (même si elle n'est pas du Bloc de l'Est). Il est notemment utilisé en ex-Yougoslavie comme avion agricole, amis servit aussi par les Serbes ou autre comme transporteur, éclaireur et bombardier (les Croates lançaient des bombes depuis Ces avions �  la main sur les Serbes). On en trouve quelque-uns en France, servant pour le parachutage. Certain l'utilise également comme transport sanitaire, avion de lutte contre les incendies et avion météorologique.

Antonov An-2 :



** Mil = Mil est une également une marque d'aéronotique, mais  spécialisé dans les hélicoptères. C'est la marque Mil qui a réalisé l'un des plus grand hélicoptère, le Mi-24, un gros hélicoptère servant aussi bien pour le combat que pour le transport. Parmis les autre hélicoptère de Mil, on trouve aussi le Mi-4 et le Mi-8, tous deux étant des hélicoptères de transport utilisé également en combat.

Mil Mi-24 "Hind" :
 

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Chapitre IV : Début de mission

  Le groupe marcha ainsi pendant plusieurs minutes, �  travers la forêt. Malgré l'obsurité, les français arrivaient �  se repérer. Après prêt d'une heure de marche, le groupe déboucha sur les bords d'un court d'eau. Celui-ci était large d'environ 5 mètres et coulait vers la droite. Malgré la nuit, on pouvait voir que cette rivière était peu profonde.

- Le pont est par là. montra Lamotte. On a qu'a suivre le courant et on y arrivera.
- L'eau n'est pas assez profonde pourqu'on puisse nager ou naviguer dessus.
- Comme si je ne l'avais pas remarqué Laisne. Et bien on marchera. Notre amis Jésiez prendra la tête est servira d'éclaireur.
- Pourquoi faire ? Un mec me voit seul il va pas se dire que je suis seul et me descendre et en rester l� .
- Certes, mais j'en est marre de vous entendre blablater et j'ai besoin qu'on soit tous sur le même canal. Alors seul devant peut-être que vous la fermerez.

   Rick rigola en entendant Lamotte. Puis il s'adressa à Alexandre :

- Si il savait. Il connait pas Jésiez lui.
- Non, il va avoir une surprise. répondit Alexandre d'un air plus grâve.

   A contre-coeur, Antoine pris la tête du groupe, le devançant d'environ 50 mètre.  

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   Le petit commandos progressait dans le lit du torrent, marchant prêt du bord, afin de pouvoir fuir dans la végétation en cas de danger. Antoine marchait d'un bon pas, stimulé par la rage. Celui-ci bougonais dans son coin, assez bas pour que son micro ne transmette pas ses dires. Antoine avancait sur ses gardes, regardant partout.
   Après une bonne demi-heure de marche, le torrent s'enfonça dans la terre et forma ainsi un genre de canyon.

- Yucca 1, ici Yucca 5. J'ai le pont en visuel à environ 500 mètre.
- Comment est le terrain ?
- Le torrent descend en pente douce et s'enfonce dans un canyon.
- Vous voyez des tangos ?
- Négatif, mais il doit surement en y avoir sur le pont et les hauts du canyon sont des point rêvés pour des snipers.
- Bon, mettez-vous �  couvert et attendez-nous, on va ya ller ensemble. Je ne tiens pas �  vous ramener les pieds devants.
- Compris, je vous attend.

   Les 4 autres membre du groupe ne mirent pas longtemsp �  arriver. Tous se cachèrent dans un buisson sur la rive droite.

- Alors Adjudant, comment feriez-vous ?
- Je commencerai par faire une bonne reconnaissance du terrain. Ensuite je ferai nettoyer discrètement chaque bord du canyon, avant d'éliminer les possible tangos sur le pont suceptible de nous repérer, ou du moins je les occuperai.
- je suis d'accord. Laisne, vous prenez votre Mini-Hécate et vous scutez la zone.
- Affirmatif.

   Benjamin saisit son fusil à lunette et observa la zone.

- J'ai rien remarqué de suspect.
- En attendant ils vons peut-être pas s'amuser �  poster des gardes ici. Ou du moins seulement sur le pont.
- J'ai deux tangos sur le pont.
- Que font-ils ?
- Ils discutent prêt du bord de notre côté.
- Il faudra s'en occuper. Bien. Valoix vous prenez le bord gauche, Jésiez le bord droit. Laisne vous vous tenez prêt, et vous aussi O'Tragan.

   Tous donnèrent confirmation de l'ordre avant de passer à l'action.  

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   Alexandre et Antoine partirent chacun de leur côté, tandis que Rick et Benjamin s'allongèrent sous un bousquet, depliant le biped de leur arme respectif. Lamotte, quand �  lui, sortis ses jumelles et scruta la zone.

   Alexandre grimpa sur le côté gauche du canyon et rempat près du bord, camouflé par l'épaisse végétation. Antoine fit de même de son côté. Quand l'avait estimé Rick, il n'y avait personne de caché dans la végétation. En effet, étant derrières leurs lignes, les Serbes ne s'étaient pas embêté �  poster des snipers comme pour faire une embuscade.

   Antoine arriva le premier en au bord de la route. Alexandre arriva lui aussi peu après. Les deux ennemis discutaient, leurs kalachnikov �  la main.

- Yucca 1 de Yucca2, deux tangos en visuel. On tire ?
- Yucca 5 vous êtes prêt ?
- Ici Yucca 5, prêt.
- Bien alors f... Nom de d... . Attendez un peu. Tango en visuel sous le pont.

   En effet, Benjamin avait vu un autre soldat Serbes marché dans le lit de la rivière, se rapprochant de plus en plus.

- Je le shoot ?
- Visez Laisne, et attendez mon signal.
- Compris.

   Ben mis son oeil contre la lunette de son Mini-Hécate et...

- Quand vous voulez.
- Feu !

   Benjamin tira et le Serbes s'écroula a terre, tandis que Alexandre et Antoine s'étaient occupé de mitrailler les deux serbes du pont. Avec leur silencieux, le calme ne fut pas rompu.  

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   Alexandre et Antoine s'assurèrent qu'il n'y avait plus personne avant de contacter Lamotte.

- Yucca 1 de Yucca 2, RAS.
- Bien, rejoignez-nous en bas, on va passer sous le pont.
- Compris.

   Alexandre et Antoine ne mirent pas longtemps �  redescendre. Assurez-de la non-présence de l'ennemi, ils purent faire vite. Arrivé en bas Lamotte, Rick et Benjamin quittèrent leur cachette et vînrent vers eux.

- Bien joué. félicita Lamotte. Je ne sais pas si nous faire passé par ici était mieux, mais on passe.
- En passant par ici on a bénéficié de l'effet de surprise. Sinon onb aurai était beaucoup plus vulnérable et visible. s'exprima Alexandre.
- Sans doute. Bon, on y va.
- Hé, si on faisait péter le pont ?
- Non, il ne vaut mieux pas. Il serai au courant de notre présence.
- De toute façon ils le sauront, qaund on fera sauter les SAM.
- Oui mais je préfère qu'ils le sache le plus tard possible.
- La mort de leurs petits copains ne va pas les alerter ?
- Si on cache les corps ils penseront que ces hommes on déserté.
- Juste. Avec votre permission on va avec Ben allé planquer les corps.
- permission accordé. On vous attend sous le pont.

   Rick et Benjamin montèrent sur le pont. Chacun prit un corp sur ses épaules et commençèrent �  redescendre. Soudain, un bruit se fit entendre. La route se mit �  trembler légèrement. Quelques pierres tombèrent du haut du canyon. Le bruit, un grondement, se rapprochait de plus en plus.

- Yucca 3, que se passe-t-il ?
- J'en sais rien.

   Rick, attrapa ses lunettes �  vision nocturne et observa au bout de la route. Puis il s'écria :

- Merde ! Ici Yucca 3, blindé en approche, je répètent, blindé en approche !
- Descendez, vite, descendez, balancez les corps !

   Rick et Ben lachèrent les corps du haut du pont et allèrent vite se cacher dans la végétation au bord de la route.

- Vite, sous le pont ! ordonna Lamotte.

   Les 3 hommes resté en bas coururent sous le pont se collèrent contre les bord du pont. Le pont si mit soudain �  trembler de partout. De la possièrent tomba du haut de la voûte.

- Yucca 3 ici Yucca1, c'est quoi ce merdier ?
- De tous. Des chars, des VAB, des 4x4.
- Il y a des obusiers et des canon de 155. indique Ben.

   Le lourd convoi mit quelque minutes avant de finir son passage. Quand il eu quitter la place, Rick et Ben redescendirent.

- Une chance qu'il n'est rien capté. s'écria Rick.
- Sur. Les services de renseignement avait bien dit qu'il y avait un fort rassemblement ennemi dans la région. Il faut vite. Jésiez, faite sautez le pont, et on file.

   Antoine placa deux charge de C4 sous le pont et une autre au-dessus. Puis, le commandos quitta la place, continuant dans le canyon. Arrivé �  200 m du pont, Antoine appuya sur le détonateur et les explosifs pluvérisèrent le pont, le rendant inutilisable.  

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Chapitre V : Partie de plaisir

   Le groupe marcha pendant un long moment. L'aube commença �  pointer son nez ; il était presque 6h. Les 5 hommes étaient sorti du canyon, et même de lit de la rivière, puisqu'ils se trouvent desormais au coeur de la forêt serbes. Lamotte marchait en tête, suivit par Rick, Antoine, Ben et Alexandre.

   Il faisait sombre dans la forêt, malgré le soleil qui se levait progressivement. Un bruit de rotor déchira l'air, mais le groupe ne fut pas repéré. Le groupe continua sa marche encore quelque minutes, puis Lamotte fit stopper la marche.

- Normalement, l'objectif se trouvent à 50 mètre, devant.
- En pleine forêt ? Que protège-t-il ? s'étonna Rick.
- Les SAM forment comme un barage qui empêche nos jet de s'enfoncer dans leurs lignes pour bombarder. répondit Alexandre.
- En effet. Ainsi, les Serbes peuvent rranquilement installer artillerie et installations.
- On doit aussi détruire les SAM qui protège ces installations ?
- D'après de QG, il n'y en a quasiment pas. Seul les grosse base en ont, pour le reste il utilise des lance-missule portatif �  infrarouge.
- Bon, on fait comment. demanda Alexandre.
- On élimine les gardes discrètement, on flingue tous le monde, on fait tous sauter, et on repart. lanca Lamotte.
- Génial. Hé O'Tragan, ça te va le programme ? Foncer dans le tas comme une brute, ça te va ? s'exclama Antoine.
- Ferme là.
- Il faudra faire vite pour faire le ménage, reprit Lamotte. Il ne doit pas y en avoir beaucoup, donc je ne veux pas d'incident.
- T'as pigé Rick, tu tire que sur le méchant, alors fait attention avec ton pétard.
- Ferme ta grande gueule, Jésiez ou je t'expédis mon poing dans la figure. s'écria Rick en soulevant Antoine par le col.
- Vous avez pas fini vos connerie vous deux ? s'énerva Lamotte. Ou faut-il que je vous colle au trou. Allez, on y va.