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Auteur Fil de discussion: La défense de Grenade  (Lu 86002 fois)
rekans
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« Répondre #105 le: 12 Septembre 2010 à 22:06:42 »

Du coté de Yohan les boulet des frégates anglaise avaient emporter 5 de ces hommes mais ces hommes tenirent bon face a l'assauts des anglais. Mal grès cela ils durent se replié, pour ne pas etre déborder,sur le centre ville ou ces hommes pourrait peu être soufflé.La situation devenait tendu et Yohan envoya un hommes informer les capitaine de sa situation.

Avec seulement une trentaines d'hommes on ne tiendra pas longtemps il fait que les renfort arrivent sinon tous le Sud de la ville tombera aux mains des anglais.
   
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Magraen
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« Répondre #106 le: 12 Septembre 2010 à 22:36:49 »

La frégate qui pilonnais le port était déj�  quasiment complétement coulée, et tout son équipage se raccrochait a ce qu'ils pouvaient ou avait embarqué dans des chaloupes qui avaient menés les hommes se joindre a la bataille de la seconde frégate que Magraen et sa compagnie tentaient de prendre.
L'apport des renforts de la frégate coulée avait obligé les français a se replier sur leur propre bâtiment qu'ils défendaient désormais, empêchant tant bien que mal l'adversaire d'y mettre pied. Les deux partis solidement barricadés derrières tonneaux et caisses, le combat s'enlisait. Les canons étant désormais inutiles au vu de la portée, il fallait trouver un solution rapide aux français s'ils voulaient éviter d'être submergés par les renforts anglais qui ne tarderaient pas a arriver.
Pour le moment, personne n'osait se lancer au corps a corps, les deux camps sachant que celui qui lancerait l'attaque subirait de lourdes pertes avant d'arriver au contact. Seuls quelques coups de feu occasionnels et inutiles étaient échangés. Il y avait deux cents cinquante anglais pour encore soixante dix français. LE combat promettait d'être rude, même si les français semblaient dans la plus mauvaise posture.
En tout cas, cette bataille navale semblait devoir laisser un répit a la défense terrestre. C'était déj�  ca de gagné.
 
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alexislaurent
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« Répondre #107 le: 13 Septembre 2010 à 12:55:24 »

Jack Navarro prévena en criant �  Doroit ,qui lui venait juste de comencer �  monter sur le navire anglais,qu'il irait tout de suite l'aider avec ses 3 sloups avec pour équipageS 60hommes+40hommes+55hommes.
Arrivés �  s'acrocher au bastingage bâbord tribord et �  la proue en prennant le plus d'armement possible:
des sabres ,des mousquets,...
Sur le coup, 25 des hommess tomberent mais Jack et les siens étaient presque aussi nombreux que eux:60+55+40=159 et dès que Navarro vis Doroit,il ordonne �  59 hommmes d'aller sur le pont par la poupe,50 par la proue et 50 avec lui,par les escaliers centraux.Les anglais ne les voient même pas arriver grace �  la fumée produite par les coups de pistolets,tromblons,mousquets
bilan:les 70 francais de Doroit étaient déja �  moitié sur ce pont, ce qui fait:159+70=229 contre 191
...  
« Dernière édition: 13 Septembre 2010 à 20:16:35 par alexislaurent »
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Magraen
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« Répondre #108 le: 13 Septembre 2010 à 18:47:07 »

Invisible a la vue de tous, Kane était resté dans les soutes du bateau anglais. Discrètement (ca lui arrive !) il a réussit a saboter le gouvernail de sorte que le navire britannique soit obligé de faire lentement le tour de l'ile et de passer non loin de la pièce de 38 qu'il espérait armée. Il se faufila ensuite part les ouvertures des canons d'un navire a l'autre et surgit sur le bon au coté de Magraen.
T'était ou toi ?
T'inquiète, je me suis arrangé pour que le rafiot des rosbif passe devant les canons du port...
TU AS QUOI ? Mais, si ils passent la et qu'ils se prennent un coup de canon, ils vont exploser et nous avec : ils sont blindé de munitions !
Ben, on as qu'a rompre l'abordage en arrivant la bas..
Y'a qu'a, y'a qu'a... comment on fait si on peut pas atteindre notre gouvernail ?
Pourquoi on peut pas l'atteindre ? On est pas obligé d'y rester, virer un coup a tribord suffira ! Les amares entre les deux bateaux sont pas très solides, elles devraient se couper dés qu'on aura une direction différente... Ce qui en fait est déj�  le cas...
En effet, alors que les deux navires arrivaient en vue de la digue de Grenade et, plus loin, des combats en mer, les liens se cassèrent et, alors que la frégate anglaise allait vers le port, les français, libérés du feu ennemis, manœuvrèrent leur bâtiment de sorte a s'éloigner au plus vite.
Malgré tout, un tir de la pièce de 38 toucha le batiment anglais, causant son explosion, tandis que le navire français était encore proche, subissant ainsi de lourdes avaries. Craignant pour son propre batiment qui ressemblait en tout point a un navire britannique, Magraen fit quelques signes vers la berges pour indiquer sa nationalité et fut surpris de voir Lovecraft lui répondre, a coté de la pièce de 38 qui venait de les débarrasser d'un navire ennemi. Ainsi rassurés, les survivants du groupe de l'officier, encore soixante hommes, menèrent la frégate volée au port et débarquèrent en lieu sur, salué par l'artilleur...
 
« Dernière édition: 13 Septembre 2010 à 19:24:18 par Magraen »
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victormcbernick
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« Répondre #109 le: 13 Septembre 2010 à 19:13:52 »

Lerequin recut le message de Rekans, il chargea dix de ses marins d'aller recrutez parmis les prisonniers du fort, enfin ceux qui ne comptent pas parmis les anglais, ils revinrent avec une vingtaine d'hommes armés de sabre et de mousquet, Lerequin les envoya sous escorte jusqu'a l'autre plage...
Deux nouveaux canons ainsi qu'une pierrette furent pris dans les réserves de la ville, Lerequin les fis positionner pour que leur artillerie ne soit visible qu'au moment crucial, pendant ce temps les défenseurs prenaient armoire et autre objet qui pouvait servir sur une barricade, certains en pillèrent même leurs contenus avant de s'en servir...

Pendant ce temps dans le coin de Sprat
Le temps défilait lentement, de temps en temps quelques boulets touchaient la plage, projetant un nuage de poussiére, pour l'instant tout était calme. Trois français étaient monté dans le plus haut batiment de ce coin-ci, afin de voir les mouvements anglais
Que voyez-vous? hurla Sprat
Quelques mouvements de troupes monsieur Sprat, rien de bien alarmant à peine cinq navires...Cria la vigie
et puis d'un seul coup deux grosses explosion tombérent dans le batiment, qui explosa, les trois français furent ejectés, dix navires frégates pillonaient maintenant la plage, les canons de Sprat touchérent �  peine un seul navire, les tirs s'intensifiaient, puis stoppérent, laissant apparaitre dix personnes qui gisaient �  terre , les anglais attaquérent aussitôt, profitant du choc causé par cette attaque soudaine, désorientés les français perdirent vingts hommes en tuant seulement cinq anglais, ils durent fuir et perdirent encore cinq hommes dans leur fuite, laissant les canons la, ainsi que quarante corps, cinq anglais et trente-cinq français...  
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Magraen
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« Répondre #110 le: 13 Septembre 2010 à 21:22:21 »

Voyant la débandade des hommes de sprat en ville, Magraen récupéra les survivants tant qu'ils pu, les ajouta a ses hommes et a quelques gardes pour former un contingent de deux cents soldats qui partirent en sens inverse et tombèrent sur les anglais aux portes de la ville.
Ces derniers n'attendaient pas de  leurs adversaires une réorganisation si rapide et furent contraint a faire demi tour sous les coups rageurs des français. Ceux-ci les pourchassèrent jusqu'aux ruines de la barricades de Sprat dont ils récupérèrent les armements pour pilonner la débâcle anglaise jusqu'aux chaloupes, suite a quoi les frégates britanniques reprirent le bombardement de la barricade et les français durent se replier plus loin, hors de portée des canons de la mer.
Cent trente anglais étaient tombés dans la contre attaque, pour seulement vingt français. 
 
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« Répondre #111 le: 13 Septembre 2010 à 22:24:46 »

Kane commença à penser
" Quand même faire aller-retour, aller �  droite �  gauche, pourchasser les anglais, se faire pourchasser des anglais Y en a marre ! Et puis y se passe quoi avec le gars qui est parti tout seul au milieu de ces chiens de rosbifs, hein on va pas l'aider peut-etre c'est la-bas qu'il y a le vrai combat c'est que tous les infidèles et les hérétiques se trouvent !! Mais non, le sale blondinet, veut �  tout prix sauver l'île ! Mais on s'en fout !! Ce qu'on veut c'est se farcir du rosbif !! De tous les massacrer, ces engeances du chaos !! Et une fois qu'on les a anihiler faut porter la guerre sur leur territoire ! Leur faire rendre leur monnaie de leur pièces ! Et ainsi on pourra voir si en effet ce sale blondinet est avec ces putains de Satan où si il est juste lent �  la détente."
Il en fit part �  son fidèle Frank, qui acquiesa et qui approuva même cette idée car maintenant les ports sont d'autant plus vulnérables avec la perte prochaine de cette flotte.  
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« Répondre #112 le: 14 Septembre 2010 à 06:53:36 »

Profitant qu'ils n'avaient guère qu'a ce tenir a l'abri, Magraen commença a opérer les comptes de la bataille.
Il restait encore aux anglais trois énormes bâtiments de lignes qui ne s'étaient pas encore joints a la bataille. Le galion était en pleine mêlée entre les hommes de Doroit les occupants premiers du navire, et sur les treize frégates envoyés par les anglais, il n'en restait que sept, accompagnés de huit de leurs corvettes. Les envahisseurs avaient donc encore dix-huit navires.
Coté français, le batiment de ligne et les corvettes étaient toutes au fond de l'eau, la frégate volée et le batiment de Doroit était hors d'état, ne restaient en mer que deux frégates et les sloops de Navarro... Mais treize autres bâtiments attendaient au port ! Et ce, avec des équipages presque pleins, sauf pour l'un des batiment dont les hommes se battaient a terre !
Laissant une cinquantaine d'hommes sur la barricade, Magraen pris les cent vingts autres et y joint l'équipage d'un sloop a quai, ainsi que Lovecraft de retour. Lançant quelques invectives aux capitaines des frégates, il fit monter son régiment dans la dernière et sorti du port pour rejoindre le combat naval, les douze autres bâtiments sur les talons...
La surprise fut grande dans les rangs de la marine royale anglaise, et d'autant plus que les deux corvettes qui voulurent arrêter la flotte française sombrèrent bien vite, emportant tout de même un des navires de leurs ennemis avec elles...

Courage, Doroit, nous ne sommes pas encore vaincus !  
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« Répondre #113 le: 14 Septembre 2010 à 17:50:48 »

Sur la galion anglais la bataile faisait encore rage,alors que certaisn marins de tiraient dessus avec les canons du galion faisant beaucoup de dégats �  celui-ci, d'autres, mené par Doroit  combattirent avec leur sabres.
Navarro tenta d'aider Doroit ce qui était très courageux de sa part.

Alors que les renforts montaient et que les combats se déroulèrent dans le galion, un stock de poudre explosa,le stock n'était pas suffisant pour tuer tous le monde mais 20 français furent carbonisés, 75 autres furent �  terre avec quasiment autant d'anglais,mais les ennemis de Grenade tuèrent les français plus rapidement, on déplorait en 10 minutes une centaine de morts coté des hommes de Doroit.


- Capitaine, avec l'explosion nous avons perdu nos position dans els cales du galions, nous sommes présents que sur le pont extérieur ! hurla un soldat français de l'autre bout.

- Horreur ! Ils nous ont eu... Est ce la fin ? Après tout j'ai bien vécut... Non nous devons nous battrre jusqu'au bout pour Grenade ! pensa Doroit qui n'avait plus confiance en cette offensive.

Protégé par 2 français ,il jetta un cop d'oeil sur sa frégate " Le Roi des Océans" si durement acquise, s'enfoncer dans les eaux des Caraïbes.
Doroit savait qu'il y avait peu de chance qu'ils survivent mais si ce galion est encore �  flots, la bataille sera rude.
Il pensa �  lerequin et �  Magraen entre autre, il espérait que la bataille se passe mieux que pour lui de son coté.

Maintenant Doroit se trouvait contre 4 anglais alors qu'avant il se faisait chargé que par deux anglais.
Il tenta de rejoindre navarro mais sa route fut barré par un officier anglais apparament très douer en escrime.
Alors que les hommes de Doroit predirent encore 25 marins, les renforts arrivaient �  peine mais se sera insuffisant pour gagner la bataille.

De 250, les hommes de Doroit étaient passer �  50,le cap des 200 morts lors de l'abordage est passé, 300 si on compte les 100 malheureux qui reposent aux fonds des océans.

Doroit fini par esquiver l'officier et il rejoigna navvarro qui venait �  peine de monter.


- Prenez des chaloupes et quittez les anvires on va tenter de le faire exploser ! annonça Doroit  
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« Répondre #114 le: 14 Septembre 2010 à 18:28:13 »

Les douze frégates restantes arrivèrent sur la flotte anglaise qui s'organisa en conséquence. Sur les seize navires qui leurs restaient, le galion était inutilisable du fait des combats qui s'y menaient et les trois bâtiments de lignes ne voulaient pas s'impliquer dans les combats pour le moment, les flottes étaient donc équivalentes dans les deux camps, avec a peine un avantage coté britannique.
Navire contre navire, artilleur contre artilleur, les canons crachaient leurs projectiles mortels dans des nuages de poussières. A ce jeu la, les frégates prirent le dessus sur les corvettes britannique, les envoyant toutes les six par le fond, a l'image de la bataille opposant la frégate de Magraen a un batiment déj�  bien entamé.
Durant cette bataille rapide qui ne nécessita pas d'abordage, les morts français furent peu nombreux et les blessés guère d'avantage, même si l'officier c'était fait entailler le bras par un éclat de bois.
Cependant, dans les combats de frégates a frégates, les anglais avaient l'avantage du nombre et ce furent cinq frégates françaises qui durent se saborder, abordages perdus, pour ne pas céder leurs navires aux anglais. Une sixième du faire face a deux frégates en même temps, et sa coque ne résista guère mieux. Il restait donc encore, en mer, six frégates françaises contre sept aux tuniques rouges, ces dernières possédant encore trois batiments de lignes et un galion ou le combat durait encore...
 
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« Répondre #115 le: 14 Septembre 2010 à 18:33:54 »

Doroit envoya des marins dans les reseves de poudres restantes pour mettre feu au galion.
pendant ce temps l� , sur le pont les anglais exténué, se firent massacrer par les français.
Les français tuèrent 20 anglais pour 1 morts de leurs coté soit 60 morts anglais et 3 français morts.
Une véritable performance après le massacre des français.
il restaient 190 anglais et seulement 72 hommes de Doroit.Malheureusement, Navarro perdit énormément d'hommes car les anglais en ont profités pour les abbatrent alors qu'ils montaient sur le navire.
Mais les renforts permettaient quand même de rééquilibrer les forces.

Les hommes dans la cale furent tuer mais les français gagnaient du français sur le pont extérieur.Certaind mettaient �  l'eau les pièces d'artillerie pour éviter que les anglais tirent sur Grenade après une potentiel défaite.
 
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« Répondre #116 le: 15 Septembre 2010 à 18:10:37 »

Les six frégates françaises s'organisèrent alors en arc de cercle dans le but de densifier les tirs sur les navires anglais qui y pénétreraient. Ceux-ci possédant cependant l'avantage du nombre, la bataille resta équilibré, avec un léger avantage pour les français aux canons et pour les anglais a l'abordage. Le sang coulait et les planches éclataient sans que nul ne puisse prendre l'avantage de manière certaine, d'autant que dans chaque camps un bateau était parti par le fond et d'autres étaient sérieusement endommagés.
Voyant que la tournure de la bataille jouerais bientôt en leur défaveur, Magraen ordonna le repli vers la digue, suivit des navires tant français qu'anglais.
 
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« Répondre #117 le: 15 Septembre 2010 à 18:52:27 »

Lovecraft, qui attendait ce moment avec impatience, hurla sa joie quand il vit se rapprocher de la digue les navires anglais. La pièce de 38 était chargée, et bourée avec un pavillon anglais. L'artilleur avait également chargé son fusil et le mousquet qu'il avait volé.
C'est alors que le premier navire anglais fut enfin �  portée:

-Yiiiiiihaaaa !!! Par le fond !!!

Lovecraft, debout sur le canon, enflamma la mèche. A peine une seconde plus tard le boulet parti dans une formidable explosion, et transperça une corvette anglaise, dans la sainte barbe. La réaction ne se fit pas attendre et le navire explosa, ne laissant qu'un carcasse de bois brulé et des morceaux d'anglais, qui flottaient �  la surface... Aucun marin de ce navire n'aurai pu survire.
Entre temps le reste de la flotille s'était raprochée, et commençait �  pilonner la digue dans l'espoir de détruire la pièce de 38, ce qui arriva. L'artilleur avait anticipé cette contre attaque et parti se mettre �  l'abri le temps que le pilonnage cesse. Il retournerai par la suite  �  un endroit doù il pourrait tirer sur les anglais avec son fusil...  
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« Répondre #118 le: 15 Septembre 2010 à 19:01:27 »

Pendant ce temps, quelques sloops ainsi qu'une corvette étaient resté pilloné la plage de Lerequin depuis une heure, afin de préparer le débarquement des anglais, un batiment partit en fumée, quelques hommes tentérent d'aller éteindre le début d'incendie, les tirs s'étaient arrêté et l'incendie maitrisé.
Finalement les anglais débarquèrent, ils furent accueili par les tirs de canon et les mousquets des français, perdant dix hommes, mais les anglais lancèrent une charge, les pierrettes en tuèrent vingt autres, ils se battaient maintenant furieusement, tuant dix défenseur, encore trente hommes furent tués côté anglais, les trois hommes restant furent fait prisonnier et laissé dans une cave sous la surveillance de deux hommes, il ne restait plus que vingt homme �  Lerequin, il ordonna d'aller en prendre �  la garnison du fort. Un de ses hommes revint avec quinze autres personnes.
C'est tout ce que le capitaine de la garde m'a donné monsieur, on va devoir faire avec...
Lerequin soupira et ordonna de préparer les défenses cotiéres...  
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« Répondre #119 le: 15 Septembre 2010 à 19:25:42 »

Ca yest les hommes de Doroit ont reussit �  pénétrer dans la cale et a reunir de la poudre pour faire suater le navire.

Alors qu'une escorte de français défendait l'artilleur, celui-ci piéga discretement le navire �  l'insu des anglais.

ceux ci cherchèrent �  éteindre la mèche mais elle est introuvable.

Les anglais crièrent que le navire est piéger et qu'il va exploser.
Tous le monde tenta de fuir mais le galion explosa trop tôt.

Doroit fut progeté par dessus bord et dériver sur une planche du galion inconscient, alors que d'autre comme lui sont morts sur l'explosion.


- Capitaine ! cria l'un des survivants mais il n'eut pas de réponse

- Capitaine vous m'entendez ?

Doroit gisait sur sa planche ensanglantée

- Accrochez vous j'arrive !

Alors que le survivant rama avec ses bras pour faire avancé sa planche près de celle de Doroit,on entendit des cris de marins agonisant.
Le français arriva près de Doroit


- Par tous les Dieux Capitaine ! Non tenez bon vous pouvez pas mourir...  
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