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« le: 05 Novembre 2008 à 10:54:45 »

Bon afin de me passer le temps et de laisser libre champs �  mon imagination je vais tenter d'écrire ici quelque courtes histoires de mon cru souvent simple et courte (comme dit plusieurs fois) sur des thèmes très variés avec des styles tout aussi varié...
c'est juste pour me passer le temps
j'espère que vous apprécierez    
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã�  dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
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« Répondre #1 le: 05 Novembre 2008 à 11:26:27 »

La justice du désert.


- Putain d'apaches! criais-je pour moi même. Adossé contre ma charrue, je retirais lentement ma main de ma plaie. le sang coulait par filet épais et sombre; je ravalais ma salive et regardais ma cuisse. traversée de par en par d'une flèche.
Je fit une grimace de douleur et renifla. Fermant les yeux j'ai brisé la flèche �  ses extrémités et j'l'ai fait glisser en hurlant le satané baton dans ma cuisse pour le retirer.

Sans perdre de temps je prit ma gourde de whisky, fit sauter le bouchon et avala une grande gorgée; puis j'arrachai une de mes manches et versa de l'alcool dessus. Lentement, nerveusement et en serrant les dents, je nettoyais la plaie.

après un long moment sous un soleil brulant, dans un ciel vierge de tout nuage  je mettais fait une atèle et un bandage. J'ai prit mon vieux fusil et je m'en suis servis comme d'une canne pour me relever. Et c'est l� , �  ce moment que j'ai prit conscience du massacre et que j'étais l'dernier.
Sur ce sol sec et poussiéreux, le sang coulait comme la bière dans les bars; il en était gorgé; par moment le vent balayait la poussière �  la surface et faisait voler des nuages rouge de sang qui allaient se reposer quelque mètre splus loin et marquer de sang l'endroit.

Je regardais les six charriots brûlés, les cadavres par dizaines; percés de flèches ou rempli de plombs. Il y a avait aucun indien. Faut dire qu'ils s'étaient attaqué �  des pionniers et qu'ils avaient déboulé par surprise de partout �  la fois. On avait �  peine eut le temps de prendre nos armes et de mettre les charriots en cercle qu'une petite troupe de cavalier avaient pénétrés dans le cercle pour vider leur vieux colts, sans doute prit �  des soldats? qui sait...
Je marchais seul et épuisé dans ce paysage d'apocalypse; sur ce champs de bataille. Contemplant avec dégout que je dis! femmes, gosses, filles, vieillards, tout le monde y étaient passé; sauf moi qui avait été laissé pour mort.

Les indiens avaient eut la "délicatesse" de tuer sans violer ni torturer. Un raid punitif! Mais il a fallut qu'ca tombe sur nous!

Les chevaux étaient mort ou prit pour leur tribut j'étais seul �  moins de trois jours de toute civilisation. j'ai prit un vieux baluchon remplie d'eau; des rares tonneaux qui avaient pas été prit ou percé durant le combat. J'ai prit aussi deux colts navis et une vieille carabine, et avec ma winchester 66 et  mon paterson je prit un poignard et me v'la armé comme un régiment.

Sans perdre de temps après une courte prière aux morts je suis parti; désole de pas leur creusé tous des tombes, masi j'aurais pas la force pour plus de quarante personnes; ca s'rait ma tombe que je creuserais pardi en faisant ça!

Il fallait pas que je sois repèré où quoi que ce soit alors j'ai prit vers le sud; vers les collines rocheuses et ardues, avec ma jambe ca s'ra difficile mais par le diable moins dangereux que de marcher �  découvert sur le territoire apache.
Alors après avoir reprit des forces, et aussi une couverture, car les nuits sont tièdes, j'ai pas trainé plus longtemps.

Laissant derrière moi un massacre, des corps  qui serait très vite bouffés par les charognards que je voyais déj�  en haut tournant dans le ciel; des corps d'enfants et de femmes; pour la plus part scalpés; six charriots couvert de  sangs, avec des bâches brûlées, j'ai pas put en recouvrir les morts.
J'aurais jamais voulu passer la nuit dans ce cercle; la puanteur commençait déj�  �  montée �  cause de la chaleur; le sang séchait et les insectes se mettaient déj�  �  en faire leur festin.



donc je suis montée dans les collines, la peur et la douleur au ventre, j'ai montais difficilement la pente, parsemée de pierre qui glissait �  chaque pas; et avec tout mon matos sur le dos j'avais pas le tâche facile. Alors je me suis reposé �  l'ombre pour dormir. Soudain j'ai senti quelque chose �  mes pieds; j'me suis réveillé en sursaut et j'ai vu un vautour sur moi qui remontait le long de la jambe où il sentait le sang. J'ai bougé les jambes pour le chasser. 

- Déage sale piaf! j'suis pas mort! j'suis pas mort.

Je me le suis répété en hurlant pour y croire; j'étais paralysé par la mort et lui ca l'énerve.
- Par la sainte vierge! Rah tu vas me le payer! Cet oiseau de malheur m'avait frappé au genou d'un coup de bec et il me regarda avant de s'approcher de mon visage. la peur m'a prit il allait me bouffer vivant! Tremblant j'ai réussit �  prendre mon colt et au moment où il ouvrait le bec pour m'arracher le visage; j'ai glissé le canon froid dans l'orifice.
- Mange du plomb avant!  J'ai pressé de rage la gâchette; le vautour a eut la tête éclaté par la balle et son corps vola sur quelque mètres avant de dégringoler la pente. J'étais soulagé.

Mais je me suis pas attardé  j'ai vite but de l'eau et j'ai reprit la course, avec une douleur au genou.
a peine arrivé au niveau des grosses roches, l�  où l'eau de pluie avait fait des galeries; j'ai entendu un bruit de cheval. J'm suis caché et j'ai observé.
Deux indiens venait d'arriver, sans doute qu'ils avaient entendu le coup de feux. Ils ont regardé et le vautour mort et l'un a suivit la piste sur la colline que la bête avait fait, en arrachant les pierres du sol.

Ils sont partis rapidment, j'ai pas eut le reflexe de leur tirer dessus.
j'étais prit au piège; l�  dedans; ils devaient mieux connaitre les galeries que moi , il fallait que j'escalade les parois pour être en hauteur et les avoir de l� . Mais comment avec ma jambe?
 
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« Répondre #2 le: 05 Novembre 2008 à 11:46:21 »

la justice du désert (fin)
[/u]

Alors avec la force du désespoir je me suis engouffré dans les galeries cherchant une paroi que je pourrais escalader. J'ai presque cour �  toute vitesse dans ce labyrinthe, la peur me faisait entendre des bruits; des bruits de chevaux...

mais après plus d'une heure de marche et d'errance dans cet maudit cailloux géant; où l'ombre était généreuse, ce qui était le seul bon point. J'ai trouvé une paroi, qui pourrait être une échelle. Alors je suis monté il m'a fallut trente minutes pour escalader, ces dix mètres. Mais quand je suis arrivé en haut �  bout de force portant sur mon dos mes deux fusils et tout mes vivres, je me suis allongé et j'ai rampé je pouvais plus me lever.
et face au soleil sur cette pierre chaude; je suis resté sur le dos durant au moins une heure �  cuire littéralement avant de pouvoir trouver la force de lever mon regard et voir que tout n'était pas plat. Il y avait encore des rochers qui projetaient leur ombre, et même un trou pour se cacher. Je me suis mit dedans, posant mon chapeau sur ma tête; je me suis reposé calmement. buvant un peu et mangeant.
J'ai eut le temps de réfléchir et me dire que même si j'étais dans la merde j'étais dans la meilleur merde que j'aurais pu avoir. Dans le désert les deux chiens indiens m'auraient sans doute descendu sans que je les vois où au pire je les aurais abattus mais d'autre seraient venu alerté par le coup de feu.
Ici je pouvais me cacher et attendre.

c'est ce que j'ai fait, pardi. Durant la nuit  j'ai mangé en faisant le moins de bruit possible, froid car je pouvais faire aucun feu, j'avais aucun bois et fallait pas que je montre ma cachette; donc j'ai mangeait du lard fumée et but un peu de vieux vin. Le fond d'une bouteille.
Je sais pas si l'alcool fait entendre des voix ou rend l'oreille plus fine car �  peine la bouteille finit j'ai entendu des voix, lentement je me suis redressé et j'ai écouté.

Des indiens pour sûr! J'ai prit mes deux fusils je les ai chargés lentement sans faire de bruit et je me suis caché dans mon trou; mettant mes deux colts devant moi, j'avais de quoi recevoir une bonne troupe. 

J'ai attendu, longtemps et quand j'ai pensé qu'ils étaient partis j'ai levé la tête pour voir sur les hauteurs environnantes si y en avait pas. J'ai pas eut de pot sur ce coup; j'ai vu deux indiens ils ont regardés vers moi. Sans rien dire puis sont partis, �  peine qu'ils étaient hors de mon champs de vision que j'ai entendu le cri du loup. Mais y a pas de loups ici! il m'avait repéré c'était un signal je me suis hissé avec pas mal de douleur hors de mon trou par l�  où on pouvait monter pour les attendre. et j'ai rampé vers le bord de mon rocher. J'ai attendu... quelque instants.

J'ai vu sur le rocher en face une silhouette j'ai visé calmement et j'ai tiré! Le coup a résonné dans la nuit clair; où brillait une demie lune et pas mal d'étoile qui illuminait les lieux. j'ai vu la silhouette marchait lentement; j'ai retiré un coup et elle est tombé se brisant sur les rochers mortes de tout évidence. J'ai eut un sourire; un sentiment de vengeance, j'ai passé ma main sous mon menton pour éponger toute la sueur qui s'accumulaient dans les poils dur et sombre de ma "barbe". 

J'ai vu dans une des boyaux plusieurs indiens avançant lentement j'ai déchargé ma winch dessus, en riant presque de voir tomber deux, puis trois. Puis rien les deux derniers avaient prit la fuite, j'ai pas pu les avoir j'ai appyué sur la gachette mais le chien a percuté dans le vide, plus de balle.
Je me suis glissé en arrière et j'ai rechargé.

J'ai attendu avec le vieux fusil, qui avait qu'une balle �  la fois, mettant entre mes dents deux autres balles pour les avoir plus vite. Une flèche s'est logé dans ma sacoche j'ai trouvé le salaud et tiré; rien rapidement j'ai remis  une balle. ils ont joué �  ce jeu plusieurs fois avant que j'en descende un.
puis plus rien; durant de longue minutes, silencieuse et seul, la lune s'est masquée et la colline devint noir. Soudain j'ai entendu une décharge de plombs, ils devaient trois ou quatre �  m'arroser de toute part. J'ai riposté dans le vide avec mes deux colts que j'ai rapidement rechargé. Et je me suis commencé un combat de tireur avec un indien que j'avais repéré après six coups avec le vieux fusil et deux éraflures de mon côté je l'ai eut  je l'ai vu marcher comme un ivrogne tenant ses mains sur sa tête avant de tomber mou par terre mort lui aussi.

mais la fête était finit ils donnèrent le grand assaut. Je les voyais surgit comme des démons des autres rochers tirant; j'ai vidé ma winch, mes trois colts, rechargeant et les vidant �  nouveaux dans un déluge de feu. Mon heure avait sonné mais j'allais pas partir seul. j'étais prit par le démon riant et tirant; m'illuminant des gerbes de feu qui sortaient de mes armes, mes yeux étaient je le sens injecté de sang et mes dents serré, laissaient passé des filet de bave, par celle manquantes. Certain sont montés sur mon rocher je les ait reçut en bon seigneur je me suis levé, malgré les tirs. C'était fini j'avais pas peur de mourir, enfin plus. j'ai vidé calmement mes deux colts sur les trois indiens, dont le corps morts dansés sous les balles j'ai prit en pleine jambe une balle qui me fit m'écrouler sur le sol puis une autre dans le bras. Je me jeta avec le peu de force dans mon trou, voyant des éclats de balles au dessus de ma tête. Mon sang s'écoulait sur le sol, j'avais mal �  la tête. J'ai prit la whins encore chargé et je me suis redressé du mieux que je pu, hurlant de douleur et de rage.

j'y ai reçut un couteau dans un dos; lentement la bouche entre-ouverte, les yeux grand ouvert de douleur et de surprise. Tenant mon fusil, parce que mon bras semblait s'être figé, la tête dans les épaules je me suis lentement tourné. les tirs avaient cessés. Devant moi un imposant indien, torse nu tenant un tomahawk, il passa lentement la lame de pierre de son arme sur son avant bras gauche et se fit saigner. Puis sautant dans mon trou il s'avança. J'arrivais pas �  le viser; je tremblait pas mais j'avais pas la force de bouger.Je me suis juste reculé et j'ai touché la roche derrière moi. J'en avait eut plus de 6 pourquoi je pouvais pas l'avoir? Il me fixer du regard sur de lui, je crois que j'ai compris que j'avais vu mon ange de la mort et que je pouvais plus rien y faire. J'avais pas la force de lutter. sans dire un mot, avec toujours ce même visage, figé par la couleur et moi la peur. Il m'a attrapé au cou et a levé son arme qui avait cette maudite lame qui semblait briller �  la lueur de la lune..

C'était finie  de moi. Justice était faite; je m'étais défendu.   



hrp
�  lire avec ça (c'est sympa)
et si vous pouviez me dire par mp ce que vous en pensez.    
« Dernière édition: 05 Novembre 2008 à 12:05:59 par scar »
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« Répondre #3 le: 13 Novembre 2008 à 20:06:24 »

hrp: bon dans un autre syle; ce message pourra choquer des jeunes lecteurs mais il a pour but plutôt l'humour que la provocation...

- Ha salut! tu es venu
- Salut Julie! ici! dans notre premier bar.
- tu as de bon souvenir je vois que tu t'en souviens! prend une chaise.
- A défaut de prendre autre chose...
- tu changeras jamais! ce que tu utilises pour réfléchir est un mètre plus bas que pour les autres hommes.
- pas tous Julie pas tous! garcon; un café s'il vous palit
- Je vous l'apporte et pour madame?
- moi... heu un café aussi.


- Bon ca fait trente secondes qu'on se dit rien. tu as eut envie de me revoir pour quoi?
- Bah pour savoir comment tu vas...
- a pied depuis que tu as pris la voiture...
- idiot va! Alors tu es de nouveau en couple.
- Couple sérieux non... disons que j'ai repris mon vagabondage affectif. il m'arrive des fois de rentré chez moi et d'être prit d'un doute; comme les pilotes de chasse; sans savoir ce que j'ai tiré.  et toi?
- Je suis avec personne actuellement mais j'ai rencontré un homme charmant. Mais j'ai une question...
- Oui je t'écoutes.
- Quand on étais ensemble tu m'as trompé?
- hahha! non pour faire simple!
- Quoi je te crois pas
- Tu peux en rire mais c'est vrai!
- Attend celui qui couche avec tout le monde m'a pas trompé en deux ans.
- Tout simplement parce que j'ai t'ai vraiment aimé; avec une autre personne il y a longtemps avant toi. que tu m'as comblée sur le cœur l'esprit comme l'âme.
- Pas une relation d'un soir?
 Hum... non! sur ca aussi on était très bon. Car si je me souviens bien la première année tu avais pas voiture mais chaque matin tu aimais allé �  la pompe. sans compter que des fois on devait dormir sans draps car on pouvait pas en changer et pas dormir avec celui qu'on avait de peur de rester coller dedans!
- t'es horrible! arrête de ricaner.
- sans compter nos voisins d'en dessous qui en avait marre du bruit!
- c'est vrai eux... invivable.



- Ca était vraiment de bonne année Pierre.
- alors pourquoi tu es partie Julie...
- c'est vrai que c'est con de s'être engueulé pour si peu mais bon.
- C'est comme ça on aurait pas pu rester ensemble! mais on reste ami! car on l'est
- ouai ca serait bête...
   
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« Répondre #4 le: 29 Novembre 2008 à 13:20:19 »

Les ombres du passés.

Il faisait nuit, un froid glacial. Il marchait dans le parc, le cou rentrait dans son manteau, le nez dans son écharpe. Son regard, d'un vert clair, était figé sur les graviers du chemin.
autour de lui la forêt semblait morte, silencieuse et pourtant bien vivante. On pouvait entendre le chant d'un hiboux; le grincement des branches qui le vent faisait vibrer.

Le ciel était couvert et pourtant clair, d'un voile noir tacheté d'argent. La Lune invisible faisait une tâche de bleu foncé et d'argent sur les nuages qui l'a masquée.

Le froid était pénétrant, comme des minuscules poignard qui piquaient la peau. Légèrement et gracieusement des flocons d'un blanc pur tombaient sur le sol couvrant ce dernier d'une mixture de neige marron et liquide �  cause de la boue. Sur certain endroit, que la neige épargnié, le sol était dur comme la pierre; l'herbe devenu blanche.

Il marchait, se dépêchant, �  chaque bruit il accélérait le pas un peu plus. Il semblait entendre des bruits de pas; il se retourna et regarda la route, déserte et la fôret silencieuse. Il hocha les épaules la fatigue lui joue des tours. Il marcha encore; les mains enfoncées dans les poches malgré ses gants.

soudain un bruit. Il eut un éclair de surprise dans ses yeux. Il marcha de plus en plus vite; le même bruit recommence il sorti ses mains de ses poches et commença �  courir. A chaque fois que ce son lui venait aux oreilles il se mettait �  courir puis prit �  court de souffle il s'arrêta.  Un vapeur froide sortait de sa bouche �  chaque expiration; il leva des yeux inquiets autour de lui mais rien. Juste une forêt sombre et dormante. Il resta un moment �  écouter rien, aucun bruit mise �  part ce hiboux, les branches et le battement de son cœur.
Il se sdentit soulagé, son imagination devait lui jouer des tours.

Il reprit la marche tranquillement, quoi qu'un peu inquiet puis se pétrifia d'un coup. Il entendait parfaitement marchait devant lui et voyait même une silhouette s'avancer sur le chemin.
A chaque pas que l'inconnu faisait son cœur battait de plus fort. Il n'entendit que le pouls violent de cœur, les yeux grand ouvert il reculait lentement la bouche ébahit.
La voix de l'inconnu retentit dans les airs; le vent s'était calmé. Il ne s'était pas trompé ce n'était pas un rêve; il était bien l�  il l'avait bien entendu.

La silhouette était nue presque, juste un vieux pagne mais semblait se moquer du froid. Il marchait foullant des pieds les graviers, le regard sur celui qui reculait.

Ce dernier trébucha et n'osa pas crier. aucun son ne lui venait plutôt. Soudain il trébucha sur une racine. Releva la tête et ne vit rien; pas un homme il se leva avec précipitation et observa autour de lui. Personne pas un brui, soudain il hurla: sur la neige restait encore un témoin: des traces de pas, de pied nue qui s'arrêtaient devant lui.

Il courut en hurlant de peur; mais ne prit pas le chemin mais la forêt. Courant �  travers les arbres nues voire écorché; courant dans ce noir; dans les ténèbres il tomba sur une clairière.

Au haut; la lune se montra un moment, éclairant de rayons d'argent la neige, le tapis encore pur de toute trace.

il s'avança, comme attiré par la clairière, silencieuse; plus de chant ni de vent... Puis d'un coup un cri; ce n'est que quelque corbeaux! pensa t il en les regardant s'envoler puis il reposa le regard sur le sol et vit soudain une ombre qui semblait se former, les arbres semblaient se mouver. un chant se fit entendre.

Il regarda apeuré la silhouette s'avancer; ses cheveux se dressèrent sur sa tête; ses mains tremblaient. Le vent qui sifflait dans ses oreilles semblaient être un appel, une voix qu'il avait déj�  entendu. Mais un appel mortuaire celui d'un mort.
La silhouette était toute proche, il pouvait mais n'oser pas la toucher. Il posa genoux �  terre les yeux fixés sur cet être qui leva une main pour attraper le coup de cet homme qui faiblissait.

Il vit la main s'approcher, une main avec un signe sur la paume, un signe funestres une tache noire, pareil �  une brûlure où la peau était encore carbonisée. Il hurla de toute ses forces et s'écroula.

Le silence revint, le hiboux recommença �  guetter les proies, le vent plus doux faisait vibrer les feuilles. Les flocons de neige dansés en tombant lentement poussé par le vent et se déposant sur le sol pur et blanc. Au milieu de la clairière sous une lune qui redisparaissait un homme était allongé mort, les yeux blancs et vide. Mort avec seulement la nature comme témoin.     


hrp: et voila une petite troisième.. je vais pas m'arrêter là!  
« Dernière édition: 30 Novembre 2008 à 11:51:05 par scar »
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« Répondre #5 le: 04 Décembre 2008 à 20:31:05 »

Scar un auteur né!

Je trouve que tu ecrit bien, continue comme ca c'est super j'aime bien tes histoire!  
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« Répondre #6 le: 14 Décembre 2008 à 15:47:33 »

mourir pour Jérusalem

Le vent soufflait le sol sableux et poussiéreux. Dans le ciel aucun nuage, un ciel d'un bleu pur où brûlait un soleil brillant comme le Saint Esprit, illuminant et desséchant la terre, retirant les ombres devant les murs de la sainte citée.

Devant ces derniers une marée d'homme se tenait; des guerriers armés de cimeterre, arc et lance; prêt �  se battre pour Saladin et Allah. Saladin sous la protection d'Allah regarda paisiblement les murs de ville où une agitation pouvait se remarquer.

Les habitants de la ville se préparé �  recevoir une armée plus de cinq supérieure en nombre; les chevaliers étaient fiers de combattre l�  où Jésus été mort, combattre contre les infidèles.

Saladin regarda le ciel bleu il entendit un cris aigu et vit un faucon planer dans le ciel regardant la ville. Ca serait un signe? La bête recut en plein fouet une flèche tirait par un cavalier du désert. saladin osa les épaules regardant l'oiseau tomber au sol. J'espère que non! pensa t il.

Il se retourna vers son armée, ses hommes tous prêt �  combattre.   


- Soldat! ce jour est bénit d'Allah Nous allons enfin pouvoir faire payer aux chrétiens les massacres de caravanes marchandes et les folies de Renaud de Chatillon! Ce soir vous dormirez dans la Ville Sacrée! Je vous demande d'être brave car allah vous observe, ne voyez ni cruel envers leur femmes et leur enfants, ni brutal envers la ville car ca sera la notre!
Il monta �  cheval et fit avancer la bête d'un pas léger devant ses hommes, dont les cottes de mailles et les lames brillaient au soleil et donnaient des éclats qui étaient annonciateur du massacre pour les chrétiens sur les murs. 
- Ce jour est remplit de gloire! c'est la jour du jugement des infidèles et de la justice! Nous ne serons pas une main aveugle mais seul les coupables payeront de leur vie les crimes, ainsi que ceux qui ont prit les armes �  leur côté.
Je vous demande juste d'ouvrir votre cœur �  allah pour qu'il vous donne la force de tenir et manier votre sabre!
Ce jour est notre jour! C('est le jour de allah! Montrons en digne! Pour allah Hurla t-il d'un coup levant les mains au ciel

- Gloire à Allah! Gloire à Saladin notre chef! Beni soit Allah Hutla et répéta l'armée.

Sur les murs de la cité, les hommes grinçaient des dents devant un tel cris; ils ne le comprenaient pas mais savaient que ca jour allaient être celui du combat. Cela faisait trois jours que la ville était attaquée; et cette nuit les trébuchets, pierrettes et catapultes arabe avaient mitraillé la poterne et le corps de garde. Ca sera le grand jour.

Le seigneur, debout sur les murs regarda ses hommes; fatigués, usé par les combats mais armés et voulant en finir.

- Mes compagnons et frères! Dieux nous a mit �  rude épreuve pour payer les crimes d'un fou! Nous n'allons pas livrer bataille pour sauver sa mémoire et son honneur il n'en est pas digne! Nous allons combattre l'épée �  la main, et mourir tête haute s'il le faut; pour la mémoire de notre Roy et pour la vie de ceux qu'on aime!
Pourquoi combattre pour des pierres? C'est ce qu'ils sont venus cherchés! Dieu n'est pas dans les pierres mais dans le cœur et la foi! Cette cité leur appartiendra s'ils le désirent mais nous n'abandonneront pas ceux qui ne pourront combattre! Et surtout nous ne laisserons pas notre honneur mourir ici! Je ne reviendrait pas au pays pour qu'on m'accuse d'avoir abandonné notre seigneur jésus aux mains des musulmans! Ca serait faux! si je dois partir je n'emporterais que lui!

Les hommes ne semblaient pas convaincu! Il tira son épée et la posa devant lui.
- Si ce jour est le dernier, livrons bataille sans pitié car ils n'en auront aucune! Ni pitié ni pardon! Que chacun d'entre nous tue avant d'être tué et alors nous aurons pas abandonné nos vies et celle de nos aimés mais nous l'aurons vendus! Que dieu nous pardonne nos pêchés et soit prêt �  nous acceuillir; car si c'est en démon que nous avons vécut c'est en saint que nous allons mourir.
Le paradis est pour vous! mais faites le attendre!

Dit il sur un ton autoritaire. Les trompettes arabes résonnèrent dehors! l'armée marchait d'un pas sûr et sourd, chaque avancé résonnait plus forte que la précédente comme la marche de la mort.

Tout cela pour la folie et la croyance de certain... Au final les deux camps ne se battent pas pour la ville mais l'un pour sa vie et l'autre pour faire payer �  son ennemi ses crimes, un ennemi qui au malheur des habitants de Jérusalem, était déj�  mort et ses alliés étaient en europe.

Ca allait être le massacre des innocents, sur la Terre Sainte.
Chaque ruelle de cetet ville allait devenir un mur des lamentations, une tombe? Non, saladin n'est pas un fou, il sait pardonné et préserver la vie des hommes et des innocents.
Seule ceux qui ont voulu mourir ici sont morts, il laissa les autres partir après qu'ils se sont rendus...   
 
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« Répondre #7 le: 18 Décembre 2008 à 19:48:14 »

le poids du devoir

Je sais que je ne suis pas le seul dans ma situation mais je parle pour eux.

Il y a longtemps j'ai prit les armes. Pourquoi? Pour défendre ma patrie, mon foyer, ma femme et mes enfants. c'est ce que disais les recruteurs. Mes enfants je n'en avais pas. Ma femme m'a quitté après la guerre pour ce que je suis devenu. Mon foyer est aussi vide que mon âme et ma Patrie, je l'ai défendu mais maintenant c'est �  elle de le faire car je suis sans arme face �  elle même.

Je n'aurais jamais pu penser que cette guerre deviendrait ainsi; ce ne fut pas un conflit mais un massacre d'innocent. Un crime pour notre monde et la mémoire que l'on laisse au futur.

Je ne peux plus rester seul le soir, et pourtant je le suis. Chaque nuit les démons de cette guerre, mes souvenirs m'envahissent. Je revois ceux qui sont mort devant moi. Je réentend les cris des mourants, des cris qui ne veulent pas s'éteindre alors que la voix qui les prote s'est éteinte pour toujours.

Quand je dis mon passé les gens me jugent pour ce que j'ai été forcé de faire et pour ce que certains n'ont pas osé faire. Beaucoup payent maintenant leur courage. Nous ne sommes pas des tueurs, juste des victimes comme les autres de la guerre.

Mais nous l'avons vécut et nous devons faire face �  nos actes dans un monde qui écœuré par cette guerre rejette même ceux qui l'ont faite.

Je trembles �  chaque fois que j'entends un coup de feu, voit une arme. Je voix le regard figé sur moi de ceux qui sont tombés juste parce que comme moi ils ont obéit �  leur chefs sans savoir pourquoi et qu'ils été moins rapide que moi.

Nul part où aller! Nul part où me cacher! Je ne peux me fuir éternellement mais seul je peux combattre; car je peux pas vaincre ceux qui sont déj�  mort avec des armes il me faut lutter avec mon esprit et mon coeur tout d'eux détruit par ce conflit. Je me surprend �  penser aux meilleurs moyens de renforcer ou détruire une place �  me dire que tuer rapidement irait plus vite pour ceux qui souffrent.
Je ne peux plus aider, je sens un mépris pour ceux qui n'arrive pas �  vivre leur vie alors qu'elle n'a pas été détruite.

Je suis ce que j'ai jamais voulu être, et beaucoup me voit comme un criminel, un coupable sans cerveau: le bras tueur. d'autre m'en veulent non pas d'avoir combattu mais d'avoir combattu pour des causes qui m'étaient pas les miennes; j'avais pensé qu'elles l'étaient et si elles le sont alors je suis un monstre.

La mort ne m'aidera pas, tout ceux qui sont tombés �  cause de moi m'attendent j'en suis sûr ils prendront leur revanche.


Voila ce que beaucoup ont gagné �  faire comme moi entendre l'appel du devoir et l'avoir suivit... Sans savoir pourquoi comme le chant d'une Sirène. Parti pas rassuré mais souriant d'espoir de devenir un vrai homme; revenu défiguré, l'âme noire et le sentiment d'être devenu un monstre ou un paria.   
 
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« Répondre #8 le: 19 Janvier 2009 à 19:22:19 »

hrp: bon j'ai pas tenu ma promesse de faire un texte par semaine (sauf durant les vacances (c compte pas je me repose))
donc je vais tenter d'en poster deux semaines et je commence par la simplicité en recopiant une chanson que j'avais déj�  écrite il y a longtemps.
�  vous de comprendre de quoi elle parle



le jour sans avenir
[/u]

mon de guerre, paix éphémère.
un soleil innocent se leve, l'ange de la mort passe dans le ciel pur
silencieusement il dépose son baisé sur la terre, le petit enfant crie!

Le mont Olympe tremble, la terre meurt
l'infini petit s'éleva dans le ciel pareil �  un monument �  l'horreur
masquant le soleil, qui pleure des larmes de feu. son pouvoir est volé dans un éclair
sombre lumière aveuglante.

Le feu de la terre tomba du ciel
les étoiles se moquèret du soleil levant
qui jamais ne brillera, ecnore
les dieux de la guerre s'éffacent
ils sont morts comme l'avenir.

Le vent de l'apocalypse souffla sur le sol, prenant les âmes ne laissant pas de corps.
l'enfer remonta �  la surface le chariot de la mort fuit soulagé
un grondement de colère résonne, la Nature a montré sa force
Un œil a immortalisé le jour où l'espoir le futur ont cessé d'exister.

Le feu de la terre tomba du ciel
les étoiles se moquèret du soleil levant
qui jamais ne brillera, ecnore
les dieux de la guerre s'éffacent
ils sont morts comme l'avenir.

L'inconscience a tué l'innocence. prisonnier oublié dans les feu éternel, poussièreux cimetière.
La paix �  le prix de l'horreur, le monde se glaca prêt �  brûler toute vie
détenir le secret des étoiles, le pouvoir suprême entre ses mains!
que peut faire l'homme face �  lui même?

Le feu de la terre tomba du ciel
les étoiles se moquèret du soleil levant
qui jamais ne brillera, ecnore
les dieux de la guerre s'éffacent
ils sont morts comme l'avenir.
 
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« Répondre #9 le: 10 Février 2009 à 18:43:25 »

une preuve d'amour.


Lucie se réveilla comme tout les matins assez tard. L'appartement était désert, silencieux. Lucie appela, aucune réponse de Simon, un autre appel, rien. Elle décida de se lever et alla dans la quitta la chambre, pleinement éclairé par le soleil, même si les rideaux étaient tirés, par Simon pour ne pas réveiller Lucie. Le lit était fait...

Dans la cuisine tout était rangé, le bol dans l'évier et les couvert aussi. Lucie ne trouva pas la serviette en cuir de Simon, il était donc parti au travail. C'est ça de se réveiller tard.

La journée passa, Lucie mangea et attendait dans le silence, trainant dans les couloirs de l'appartement après avoir fait une sieste. La nuit passa et personne n'était venu. Le lendemain la faim lui prit elle mit son nez dans le frigo renversant une partie de son contenu sur le sol sans s'en préoccuper.
La journée passa, toujours personne et elle était emprisonné dans cet appartement elle n'avait pas les clefs et elle ne pouvait donc pas en sortir. Vers 16 heure quelqu'un tourna les clefs dans la serrure, elle accourra heureuse de voir Simon. Mais ce ne fut pas Simon mais Hélène Quart, la femme de ménage que Simon avait engagé pour venir nettoyer le vendredi.   


- Salut Lucie! Tu as une drôle de mine! Regardez moi cette truffe! Dit elle en s'agenouillant devant la chienne qui tirait la langue heureuse de voir quelqu'un et espérant quelle la nourrice.

Hélène s'occupa du Lucie et nettoyant l'appartement qui avait été sali par la chienne, qui avait dormi sur le lit et renversé le frigo.

le lendemain Hélène revena, Lucie fut surprise ce n'était pas son jour elle était déj�  venu. La femme prit la chienne et la fit quitter l'appartement, Lucie espèrait une ballade.
Mais la fin de la ballade fut pas l'appartement mais le commissariat. 


- Voila j'ai sorti la chienne, ca ne sert �  rien de la laisser seul.
- En effet son maitre �  disparut. Aucune trace de lui depuis deux jours. Et dommage que vous ayez fait le ménage mais vous le saviez pas! Remarque... comme vous nous l'avez dit la chienne avait tout sali et vous avez remarqué rien d'anormal. répondit un homme en uniforme bleu, frottant sa moustache.
La chienne ne comprenait pas ce qu'il se passait.

Elle fut prise par Hélène qui l'emmena chez elle, où vivait déj�  un homme mais pas Simon.

La chienne fut nourrit mais le lendemain elle profita que la porte fut ouverte pour quitter le lieu et rentrer attendre devant la porte de sa vraie maison.

Lucie comprenait que quelque chose n'allait pas. Simon n'était pas l� .

Hélène la reprise et la remmena chez elle, ce ballet dura plusieurs mois �  chaque fois qu'elle put Lucie allait devant la porte de sa maison et le soir ou la journée Hélène ou son mari venait la reprendre de force.
Certain disait que la chienne était idiote, ne comprenait pas ou qu'il fallait même la tuer. Mais elle avait compris. Mais elle aurait espéré que Simon ne soit pas un traitre au point de la quitter sans lui dire. Les Hommes étaient des maitres de l'hypocrisie, souriant puis vous collant un coup de pied pour vous voir partir de ses pattes alors qu'il vous y a invité. Il n'avait peu d'amour ou moins que leur fidèle compagnons qui chaque jour les attendent ou reviendront un jour.

Lucie attendait chaque jour, les années passèrent une puis deux puis trois. Elle était encore jeune mais quand Hélène dut la donner �  une autre famille, abandonné �  des inconnues la chienne quitta leur foyer et alla devant la porte de l'appartement.
La porte s'ouvrit mais ce n'était pas Simon c'était un couple de jeunes gens. Le premier chassa la chienne mais après quelques jours ils comprirent que rien ne pourrait la faire fuir et sans l'adopter la nourrir. Elle leur était reconnaissant de pouvoir attendre l�  où il avait disparut.

Les années passèrent, Lucie aimait le couple, qui venait d'avoir un enfant. Elle faisait parti de la famille, car cetet maison avait était la sienne avant la leur mais elle espérait tellement revoir Simon, revenir d'on ne sait où.

avec l'âge elle devait encore plus fidèle, attendant chaque jour devant la porte, relevant la tête dès que des pas résonnaient dans l'escalier.
Elle devenait de plus en plus fatiguée mais toujours patiente.

Puis un jours après une longue attente de sept ans, après avoir attendu toute sa vie, la tête alourdit sur ses épaules par le poids du temps, le regard au loin, le souffle dur, l'âge mûr atteint, les muscles fatigués, mais l'espoir de le revoir encore une fois lui donnait une force et de la vigueur. Lucie s'allongea dans le couloir, mit sa truffe entre ses pattes et reposa sa tête, elle ferma les yeux.

Un bruit de pas dans l'escalier elle releva la tête pas de doute cette démarche, c'était celle de Simon. Lucie le voyait avancer dans le couloir, l'appellant elle se leva d'un coup et courut dans ses bras.   


- Je t'ai attendu depuis longtemps! lui dit il.
 si longtemps, surtout quand j'ai vu que tu faisais de même.

Lucie lui lécha le visage de joie, puis Simon se dressa et accompagna la chienne, comme pour une promenade, vers la fin du couloir où régnait une lumière blanche.  
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« Répondre #10 le: 20 Mars 2009 à 19:10:17 »

la chasse à l'homme

Le groupe d'intervention était dans l'usine. Il avait fait bouclé le secteur il était important que personne ne pénètre dans l'usine.

L'inspecteur, en chemise, sa cigarette �  la bouche quitta la pièce des bureaux. Il avait été appelé par un des hommes, en chemise et pantalon noir. il le mena dans la salle des machines.

Il y sortait une odeur de cadavre, plusieurs hommes photographiaient les lieux après qu'il avait été fouillé aux rayons thermique. Au milieu de la salle, couverte de sang, sous une machine dont les rouages étaient rouge, était déposé un drap blanc qui se gorgeait déj�  de sang.


- Ne regardez pas sous les draps blanc c'est un conseil. Mais regardez plutôt cette vidéo.

l'homme mit en marche un écran.
- Ca vient d'un caméra, qu'un des policiers utilisait pour avoir des preuves de leur intervention je pense.
- pas con dit l'inspecteur après avoir jeté et écrasé son mégot.

Il fixa l'écran. On pouvait y voir un homme et un femmes, des officiers de police, plutôt jeune, mais l'homme avait déj�  du ventre.

La femme aux cheveux noir regarda la caméra.

- Tu es prêt? dit le porteur de la caméra, la déplacant étrangement, pour la fixer sur son épaule en déduit l'inspecteur. La femme parla.
- Nous sommes au 201 street Manfref Gold. Nous sommes dans l'usine de Brandon Compagnie sous la demande du chef de sécurité qui aimerait notre présence.
- Allons y

les policiers entèrent dans l'usine, la porte était déjà ouverte ainsi que la lumière.
- Bizarre pas un bruit...
En effet, l'endroit été silencieux, puis soudainement un cris et un bruit.
- Borel c'était quoi!
- Jimmy va à la voiture demander des renforts. dit la femme, l'homme enfonca sa casquette sur son crane et y alla.

Les deux policiers sortirent leur armes, ils étaient tremblant, le silence était pensant. Ils avancèrent, montèrent les marches blanches de l'escaliers et arrivèrent aux bureaux.

L'endroit était dévasté, les papiers renversés, un bureau brisé, comme plusieurs carreaux de fênetre. Les deux policiers étaient perturbés, �  en voir le mouvement rapide de la vidéo..

Ils virent une énorme trace de sang menant dans une autre salle. lentement ils s'approchèrent de la pièce, la porte était entrouverte et l'endroit était sombre. Ils entrèrent et allumèrent l'ampoule après avoir fait les geste d'entrainement pour entrer dans un endroit dangereux.

Dans la salle un homme gisait mort, éventré, le regard vide fixant tout de même les policiers. Dégouté ils reculèrent, puis ils entendirent la porte se fermer derrière eux, ils se retournèrent mais rien, d'un coup la femme fut projeté comme par magie contre le mur, dont le platre se fisura et la ltampoule fut éclaté, le caméraman tira plueirus coups.

La porte se réouvrit, il alla voir la femme.   

- C'était quoi?
- j'ai rien vu, y avait rien!
- Tu as tout filmé?
Demanda t elle toujours sous le choc.

Ils sortirent, virent par la fênetre leur compagnon revenir avec le fusil �  pompe. S'armant plus de courage que de leur calibre ils quittèrent les bureaux appelant Jimmy qui leur répondit.

Puis on put entendre plusieurs détonations et un cris inoble. La vidéo devint flou car le porteur couru mais trop tard leur ami était retrouvé la colonne vertébrale brisée.

Le fusil planté dans la bouche traversant le cou.

Les deux pôliciers s'écartèrent lentement de la porte.

Ils pénétrèrent après avoir courur comme perdu dans un labyrinthe, car l'usine était envahit par des bruits de métal que l'on tapait sur les tuyaux, dans la salle des machines qui continuait �  ronronner.

Ils marchèrent entre les machins avant de découvrir un charnier de corps, tous démembrés et déchiquetés. Puis un cris le policier portant la caméra se retourna et nerveux tira plusieurs coups, une balle atteint un tuyau d'où de la vapeur d'eau sortit.

dans le panache blanc une forme apparut, avant de bondir et disparaitre au plafond.

- Putain c'est un cauchemar!

Puis la chose semblait sauter partout, les deux policiers tirèrent vidant leur balles. Très vite leur chargeur devint vide. d'un coup le caméraman tomba par terre, il semblait avoir été tué. La femme hurla de panique, la caméra filmait ses pieds.

elle reculait, puis adossait �  une turbine, se colla et se laissa tomber �  genoux. Elle tremblait, on put entendre dans ses sanhlots une voix grave et rauque, elle pleurait.

D'un coup elle fut soulevé du sol et mise comme un simple sac de patate dans l'une des turbines. Dans un cris horrible de douleur et de peur on put l'entendre se faire broyer, des giclés de sang jaillirent, on put voir sur le sol des traces de pas sanglante apparaitre...
 
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« Répondre #11 le: 16 Avril 2009 à 11:49:16 »

La tache noir.

La maison sur la colline dominait la mer, de petite taille sans étage, faite de pierre relié par un mortier datant. La maison était malgré son apparence vétuste assez grande, avec un toit d'ardoise et un parquet de bois recouvert dans la salle de vie de paille pour lutter pour le froid.

Cette demeure en Bretagne était le refuge d'un ancien pirate qui avait prit sa retraite sereine. Il ne savait pas lire mais détenait un papier du gouverneur de la Guadeloupe qui faisait de lui un honnête homme, vivant serein sans travailler.

Les paysans se demandaient comme arrivait il �  subvenir �  ses besoins, car il ne manquait de rien et même vivait dans le luxe. Les meubles de sa maison pouvaient en témoigner: armoire nordique rustique mêle �  un fauteuil acheté �  un constructeur de meuble de grande renommé des tapis fait par le tapissier du roi lui même, un dénommé Poquelin.

Cette homme vivait avec un femme, ses deux enfants et un autre homme, un marin aussi.

Le soleil se levait tout juste sur la mer déj�  forte se brisant sur les roches dans des jets d'écumes. La porte s'ouvrit laissant entrer la lumière et sortir un homme, torse nue, le corps velu avec un embonpoint, il se gratta ses pattes, qui commençaient �  griser et passa une main sur ses cheveux frisés.

Il respira �  plein nez l'air de Bretagne puis fit sa toilette, il vit au loin quelque chose dans la mer.  Il mit sa main au dessus de ses yeux, pas de toute des restes d'un navire.   


- Boreck! bouge toi les fesses et viens!
- Par toutes les vierges du paradis qu'est t'as? répondit une voix, plus un grognement, un autre homme arriva la tête dans le cul, presque dormant debout. Suivit d'un jeune adolescent au corps bien fait.
- Y a quoi pap?
- Ca

dit il en désignant des morceaux de bois flottant  avec au milieu un pavillon.
-  Yan va prendre la barque et va voir ce que c'est avec Boreck.
- Et tu viens pas toi? demanda Boreck se réveillant petit à petit.
- Non faut que j'aille �  la messe...
- Parfait je vais te le former ce mousse moi! Tu vas voir Jean ton fils va être un dur.
- Évite le bâton je suis le seul �  lever la main sur mes fils tu le sais... dit le plus âgé sur un ton d'ordre.
Boreck alla prendre son bol de vin chaud et une miche de pain. Tout le monde fut prêt et se séparèrent, laissant l'enfant le plus jeune s'occuper de la maison puis il suivit ses parents pour aller �  la messe.

Les deux hommes qui prirent la barque eurent du mal �  lutter contre les premier remous mais �  coup d'aviron ils quittèrent le courant et allèrent vers les débris.


- Parbleu! bizarre... dit le plus vieux presque en hurlant, alors que le vent s'apaisait. Regarde ca! des restes de mat, une bôme, un reste de grand mat je pense, y a même des manœuvres et des poulies qui flottent...
- Le drapeau! dit le jeune en le montrant du doigt.

Ils le repêchèrent grâce �  une gaffe, le drapeau en parti mangé par les vers étaient noir avec des traits blanc et rouge et même vert.

- C'est ça un Joly Rogger?
- Semblerait gamin, semblerait. Aide moi �  le déployer.

C'est ce qu'ils firent, égouttant le bout de tissus dans leur barque, Boreck observa le drapeau il eut soudain un éclair de peur qui passa sur son visage qui masqua rapidement mais ce dernier n'avait pas échappé �  Yan.

Boreck ne dit plus rien ils remontèrent vers la falaise après avoir repêché encore quelque objets encore en état, deux poulies, un pied de mouton. Mais Boreck ne faisait qu'une grimace de couleur sans rien dire, ses épais sourcils froncés et le visage crispé.

La messe était finie, la famille quitta l'église du village avec toute la foule, dans un mélange de couleur noire des robes des femmes et de coiffes blanches ou de chapeau de paille pour les hommes. 


- Alors on ne salut pas ses amis? dit une voix derrière Jean. Ce dernier étonnait se retourna lentement pensant qu'on s'adressait pas �  lui, mais quand il vit l'homme il se retourna de tout son corps, hébété la bouche entre ouverte ne pouvant dire moi, devant cet homme souriant du peu de dents qui lui restaient, le visage traversé par une cicatrice allant du front au bas du menton.

- Haha! surpris! plutôt deux qu'une! dit l'homme en posant un de ses pieds sur une pierre. C'était un marin �  voir son accoutrement, bottes hautes pantalon ample rafistolé, veste anciennement blanche mais devenu plutôt marron part la poussière et la boue.
- Qui est ce? demanda la mère.
- Personne chérie va à la maison je reviens
- Mais
- Va femme! hurla Jean. C'est un compagnon d'affaire.

Sa femme partit le laissant seul avec le marin qui eut un regard énigmatique mais un sourire amusé.
- Toujours aussi autoritaire...
- J'y crois pas par tout les diables
- Surpris je m'en doutais. comme tu vois je vis.
- Et le vieux Bill? Avec sa jambe de bois?
- Non tu l'as bien tué raclure mais la jambe de bois était plus solide que tu le pensais, il est pas mort sur le coup et il t'a laissé un mot.
- Charmante attention... rétorqua Jean de plus en plus nerveux, il était presque les seuls sur la place, hormis une charrette qui passait rempli de céréale et deux hommes bêchés sur l'épaule discutant, et une vieille vache qui regardait les passants comme le faisaient trois vielles dames sans dent et ridées. Personne ne faisait attention �  eux.

Le marin posa sa main sur sa ceinture de cuir, il avait deux dagues �  la ceinture mais il sortit de la bouche de fer un vieux papier.

- On a passé quinze ans �  vouloir te le donner et te prendre ce que tu nous as volé misérable merde.
- Je pensais vous avoir tous expédié rejoindre le diable... semblerait que vous soyez trop débile pour trouver le chemin du premier coup.
- Tu sembles le connaitre, car on va t'y envoyer. et j'le jure sur tout les saints!

Dit le marin serrant de force la main de Jean lui donnant ainsi le morceau de papier.
- Ce soir! ajouta t il. Dit adieu �  ta famille et reste seul sinon elle partira avec toi pour les flammes qui te sont réservées!

Le marin partit crachant au pied de Jean, ce dernier regarda les mains tremblantes le morceau de papier il savait ce qu'y avait dessus. Il vit étonnait que c'était une page d'un livre, la bible.

"chapitre IV 3ième Verset"

Les mains tremblantes, le font dégoulinant de sueur il commença �  le déployer, le prêtre qui avait finit son office commença �  faire sonner les cloches. Jean était seul sur la place, l'église fermait derrière lui retentissant des sons de fer de la cloche, les vieilles femmes avaient fermé leur volet...  
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« Répondre #12 le: 16 Avril 2009 à 12:14:35 »

Guerre de coton.

      la jungle était comme toujours bercée par les mélodies naturelles des animaux, oiseaux et guépard. La jungle du Yucatan était encore très épaisse mais offrait des paysages de grande beauté de couleur varié, avec une dominante de vert mais tacheté de rouge, jaune de bleu cyan et azur.

Soudain vint le bruit des pas d'homme, un grand nombre au pas pesant et lourd mais encore rapide d'une troupe en chasse.

Elle s'arrêta proche d'une clairière sous les ordres des éclaireurs, qui se baissant allèrent rejoindre les aztèques.


- Ils doivent nous attendre ici! La clairière offre peu de défense.
- Parfait Iothixipa! dit un guerrier pas de grande taille mais �  la corpulence musculaire impressionnante portant sur ses épaules une peau de jaguar et sur sa tête un casque fait d'os. Il prit �  son pagne sa masse en obsidienne et leva son bouclier de bois décoré d'un quadrillage de plume. 
- La chasse se finit ici! prêt à capturer notre gibier pour les prêtres?

Silencieusement la troupe lui répondit d'un hochement de tête, prenant leur armes, lance arc, masse poignard.
- N'ai pas peur, "fils de l'étoile"  dit un des guerriers �  un autre plus jeune, dont les jambes tremblaient. Ce dernier masqua sa peur en souriant et répondant.
- Juste envie de pisser!
Les deux eurent un fou-rire.

Les aztèques s'avancèrent dans la clairière, leur bonne vue leur prouvèrent la présence de leurs proies plus fatiguées qu'eux qui avaient décidé de combattre ici.

Il eut un sifflement venant du bout de la clairière dans l'épaisse jungle, les aztèques se rassemblèrent et mirent leur bouclier en avant, ce sifflement fut suivit de ceux de flèches jaillissant de nul part peu touchèrent et ce fut juste les boucliers. Les aztèques continuèrent leur marche mais les tirs redoublèrent d'intensités, plusieurs furent touchés au jambes mais continuaient d'avancer se laissant vider de leur sang par de mince filet dégoulinant de leur jambe.

Quand ils furent �  la moitié de la lisière les aztèques se déployèrent et coururent �  toute vitesse, sortant de la forêt leur ennemis firent de même ils n'étaient ni en avantage de nombre ni de force mais fatigué. Les javelots flèches furent échangés dans les deux camps, certains sifflant dans les airs atteignirent cibles, pénétrant la chair et les os dans un jet de sang et un cris de douleur. 

Le chef aztèque au nom de Teopizox court �  toute vitesse , un de ses hommes se tenait devant lui laissant tomber son bouclier pour courir plus vite.
Un javelot fila dans les airs doit sur lui, Teopizox le fit se faire traverser la cage thoracique , arrêté dans sa course, volant presque au dessus du sol avant de s'écraser dans l'herbe humide mort crachant une dernière fois un flot de sang.

Le chef aztèque vit devant lui un homme avec une masse il intercepta le coup avec son bouclier, il sentit la douleur dans son bras mais riposta avec la sienne le coupa toucha la tête, qui se déforma dans un craquement horrible; l'homme tomba mort. 

- Chose mauvaise Thalox ou Quezacolt n'en profiteront pas! dit il.

La mêlée fit rage, le but pour les aztèques n'étaient pas de tuer mais de capturer, les archer visaient bras et jambes les guerriers tentaient de briser les membres. La clairière fut vite recouverte d'une dizaine de mort, créant de petit ruisseau de sang dans l'herbe encore humide. Il y eut de nombreux prisonnier. Les aztèques frappant avec leur coude ou leur pied pour déstabiliser leur ennemi avant pour les plus rapide de lui attacher les bras ou de le frapper aux jambes pour les plus violent. Une des proies refusa de se faire capturer, son ennemi prit son couteau d'obsidienne et le planta dans le ventre d'un geste fit une large ouverture dans le sens de la hauteur d'où s'échappa les intestin. Cette vison d'horreur calma un des prisonniers. La victoire était assurée.

Mais un cri se fit entendre dans la forêt venant du même endroit qu'avait emprunté les aztèques.

Certains stoppèrent leur lutte pour regarder ce qui allait arriver.
 
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« Répondre #13 le: 17 Avril 2009 à 10:59:01 »

Alors que la chasse avait été  un sucé mais un évènement inattendu fit tout basculer.

Les aztèques qui scrutaient la forêt cherchant l'horizon du cris virent dans le ciel voler une nuée de flèches, de différente tailles, faites en bois avec ou sans pointe de pierre, les projectiles jaillirent des branches et de l'épais feuillage.

Quelques un de ceux qui attendaient virent stupéfiés l'attaque mais ne bougèrent pas n'y croyant �  peine, ce faut quand les flèches leur percèrent la peau et les os  les empalant dans le sol qu'ils comprirent mais trop tard la réalité. L'un des éclaireurs fut empalé au sol par un projectile de plus de deux mètres de long. La prairie qui faisait plus d'une demie encablure de distance permit aux aztèques de fuir sous le déluge de flèche car les arc court n'avait pas assez de puissance pour les atteindre.

Les guerriers laissèrent leur prisonnier sur le champs de bataille, certain espérant être sauvé furent victime de l'ironie du sort: revenant en plein fouet des flèches.

Les aztèques se réfugièrent rapidement sous le couvert des arbres tropicaux alors que le déluge continuait sans avoir provoqué d'autre mort que les cinq premiers mais surtout la panique chez les guerriers.


- Les chichimèques nous on prit en traitre! Hurla l'un des hommes, un véritable colosse mesurant plus de deux mètres.

Les aztèques restaient prêt �  se battre entendant la venu de leur ennemis.
Ces derniers s'avancèrent dans la prairie c'était uniquement des archers, arborant tous une coiffe de plume. Tout les guerriers observaient la chose. Ils achevaient les blessés et même les prisonniers, en y envoyant quelque hommes, dont plusieurs reçurent dans le torse un trait mortel venant de Iothixipa


- Ils ne pratiquent pas la guerre de coton, ce combat n'est pas pour les dieux mais pour eux. Nous ne ferrons pas de prisonniers. Hurla Teopizox  brandissant sa masse vers le ciel, les aztèques ne pouvaient malgré tout rien faire, car les archers étaient plus d'une vingtaine et eux même n'étaient qu'une vingtaine. Se cachant derrière leur boucliers les sauvant des rares tirs qui se faisaient, par moment un éclaireur ripostaient avec plus ou moins de réussite.

Mais soudain une troupe jaillit de la forêt les aztèques se trouvaient entre le marteau et l'enclume. Ils en venaient par grand nombre, hurlant brandissant leur masses, haches et lance, fonçant tête baissée. Le petit nombre ne se découragea pas, pour un peuple de guerrier la mort sur l'autel ou au combat était quelque chose de digne. Teopizox abaissa son arme sur le premier qui se tint devant lui, le coup lui brisa son bouclier, son bras et son crâne.

Le colosse de la troupe attrapa la lance d'un ennemi et le balanca contre un arme avant d'un revers de main d'ouvrir le ventre d'un autre avec sa hache. Fils de l'étoile se mit �  rire.   


- Qu'est ce qu'il t'arrive? s'étonna un guerrier qui repoussait son ennemi.
- C'était évident! les chichiméques nous ont attaqué en pensant que ces gens l�  étaient de nos frères... On est dans la même situation qu'eux, en sous nombre et prit entre deux feux. ha!

Il reçut dans le dos une pierre pointue, s'écroulant son adversaire mit un pied de chaque côté de son corps et levant sa dague pour lui planter dans le coeur. Son bras vola dans les airs, l'épaisse hache du colosse revint lui fendre le crâne. Elle s'abattit sur un autre qui voulait tuer le jeune aztèque, l'homme perdu sa jambe mais la hache se planta pleine de sang dans le sol. Les envahisseurs en profitèrent pour sauter sur le colosse le plantant de coup de lance. Fils de l'étoile tenta malgré sa blessure de sauver son ami, prenant le poingard il trancha les tendons d'un des combattants et se lanca sur son corps l'égorgeant mais lui aussi fit percer de nombreuses lances.

Teopizox comprit que tout était finit, plusieurs de ses guerriers avaient tenté la fguite par la prairie mais  les archers les reçurent d'une volée les tuant tous sur le coup. La forêt retentissait des cris des mourants des cris de douleurs et des chocs des armes, le sang giclé �  en aveugler les combattants, leur corps recouvert du sang de leur ennemi et du leur, avant de s'écrouler �  leur tour mort.

 


- Ca ne peut être des Tlaxactèque alors qui êtes vous!? s'écria le chef aztèque attrapant par la gorge un de ses ennemis. Ce dernier sourit car un traite passa dans le dos de l'honorable combattant et lui donna un coup redoutable au crâne, son casque se brisa. L'aztèque se retourna titubant et d'un geste désespéré frappa �  son tour, le coup fut plus fatal, brisant la mâchoire, d'où sortirent pèle même les dents ensanglantées, et déformant le bas du crâne l'homme mourant tomba au pie de son ennemi.

Les aztèques n'étaient plus qu'une poignet et leur ennemi, sans parler des arches une cinquantaine.

Ils se battirent jusqu'�  la mort car ceux qui se rendirent furent égorgés ou décapités. Ce fut la dernière fois que Teopizox et sa troupe de chasseur d'homme virent l'astre solaire.

La forêt redevint calme, les aztèques gisaient avec les chichimèques au milieu de leur sang et des membres de leur ennemis mais les corps des vainqueurs furent tous emportés pour être brûlé. Ne laissant ainsi aucune trace du glorieux et dernier combat. 
 
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« Répondre #14 le: 15 Novembre 2009 à 12:46:24 »

tada une nouvelle aventure (encore sur le thème des indiens ^^)

L'agonie de l'espoir.


Le froid, encore ce froid, cette neige �  perte de vue. Ils étaient bien loin de leurs terres, où le soleil frappait un sol aride et poussiéreux. Ici comme si le ciel portait leur deuil il avait revêtu un manteau noir de nuage.Seul le vent, soufflant dans les oreilles, perturbait ce silence. On put entendre dans cette nuit obscure une femme pleurer. Elle pleurait ses enfants que le destin lui avait arraché, son fils que le visage pâle aurait tué et ses deux filles pas assez forte pour résister �  leur maitre �  tous: la nature.

elle versait toutes ses larmes sur leur corps, espérant les purifier ainsi ou que la chaleur de cette marque de tristesse les ranime �  nouveau. Mais rien, leur corps étaient froid que le temps. Leur peau était presque blanche, leur lèvres bleuté et leur yeux fermés cachés un regard vide.

Un indien se tenait au dessus d'une petite falaise, il regardait ce ciel sans étoile, sans espoir. Son corps frissonné, il était torse nu la peau recouverte de peinture de guerre et de force. Il baissa lentement ses yeux vers le campement en bas. Des tentes et des baraquements de bois, des hommes autour de feux de camps et de braseros. Des hommes armés qui n'étaient pas �  plaindre s'ils prenaient plaisir �  être l� . Car de ces deux camps qui se faisaient face les deux chefs avaient promis qu'aucun quartier ne serait donné.

Des bruits de pas dans la neige.


- Ca sera pour demain? demanda une voix derrière le guetteur. Ce dernier ne fut pas surpris. Il leva le syeux un moment et répondit d'une voix sans émotion.
- Sans doute... Mais nous ne verrons pas le soleil se lever...
- Ca fait deux jours qu'il est masqué par ces nuages. L'homme alla au niveau du premier. Il portait une geste de laine rouge, et des bottes au fourure ainsi qu'un pantalon et un ceinturon prit �  l'ennemi.
- Nous ne pouvons donc rien faire pour eux?
- Rien, j'aimerais que notre ennemi accepte qu'ils puissent partir... C'est une décision qui m'a tué Oeil de faucon. Après avoir prit telle décision je n'ai plus peur de mourir car mon âme a déj�  quitté mon corps. J'espère que le grand esprit sera me pardonner ma cruauté d'aujourd'hui et ma faiblesse de demain quand je mourirais.
- Comment oses tu penser �  toi! Grogna Oeil de faucon, serrant les poings de froid et de colère. Il montra du doigt un petit campement posé au dessus de la falaise où résidaient quelques tipis et cabane faites de branches mortes. Il y a plus de femmes et d'enfants que de combattants.
- Je sais c'est un choix que j'ai fait pour sauver Crazy Horse. Répondit calmement l'autre indien. J'ai accepté de me ralentir de ses enfants et femmes pour qu'ils puissent fuir et réussir son plan.
- Tu pensais qu'il reviendrait nous sauver? questionna oeil de faucon.
- Et il le fera s'il le peut.
- Alors il nous faut tenir le plus longtemps possible.
- Tu es encore peu informé de la situation, nous n'avons que quelques fusils et pas plus de balles... Je refuses d'abandonner ceux que j'ai condamné.

Cette phrase fit office de conclusion, il se leva et retourna au village, pied nu, son compagnon le suivit. Mais il ne le laissa pas ajouter mot.
- Si tu veux fuit tu ne seras pas un traite part avec Beating il est bon chasseur mais trop jeune pour tomber ici! il peut devenir un bon chef si le temps lui est donné.
- Je te trahirais jamais! hurla Oeil de Faucon. Nous sommes frère de sang!
- Alors trouve les mots pour que beating parte! rétorqua le chef de la tribut en se mettant une couverture sur le dos.

Sans attendre de réponse il pénétra dans une cabane, construite sans parquet juste des herbes séchées pour réchauffer le sol, quelques braises dans un récipient en fer. Il y reposait trois hommes, sur un quoi était disposé plusieurs fusils et arcs. Tous le saluèrent. Il eut un sourire gêné et fit un signe de tête �  ses compagnons, puis alla se réchauffer aux braises.

Ca sera pour demain, Le colonel allait sans aucun doute lancer l'assaut et le massacre sera total. Il tuera tout juste cinquante soldats mais exterminera plusieurs centaines de femmes et d'enfants. Ca ne sera pas une bataille mais un massacre et si seulement celui ci avait le courage de venir en premier ligne alors il le payera de sa vie. Le chef indien réfléchissait �  toute vitesse. Il fallait trouver le moyen de permettre au non soldat de fuir voire �  totue la tribut. Tenir avant que Crazy Horse arrive? mais combien de temps et presque sans vivre... Défier le colonel en duel, il refusera, faire une percé? trop risqué et la fuite sera trop lente ils seront chassés comme du bétail, faire un bloc lors de leur attaque, ca sera sans doute leur dernier refuge.

Lentement la fumée s'éleva, le calme revint le soleil resplendissa dans le ciel gris.

La neige tombait, les flocons dansant bercés par le vent, volant en volupté et en cercle dans les airs avant de tomber sur un sol et se gorger de sang.

Des rivières rouges coulaient sur l'immaculée blancheur de neige, les cadavres reposaient.
C'en était fini, il y avait plus rien ici �  voir hormis la fin d'un peuple.  Combien de visage pâle étaient morts, combien d'indien avaient rejoint le grand esprit?
Le sang coulait encore et l'air sentait toujours la poudre, mais le silence s'était imposé. 
 
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