Archos...

[Archos]

Archos était trempé. Depuis près de deux jours et de nuits qu'il était resté dans son petit bivouac en pleine foret primaire. Deux jours et deux nuits sans feu, sans nourriture chaude, en ne buvant que de l'eau de pluie et les rares fruits présents. Deux jours et deux nuits a se cacher de son régiment de tirailleurs bretons pour le compte du Roy de France. Il avait déserté. Petit roux aux yeux vert, il s'était attiré les foudres de son sergent, lui faisant subir punitions et mauvais traitements. Un jour, en se révoltant après s'etre fais passé une tannée par celui-ci devant toute la troupe, il lui trancha la gorge avec son couteau avant de s'enfuire vers la foret avant que les balles ne sifflent autours de lui. Il ne lui restait de ces quatre années de services, a la veille de son vingtieme anniversaires, son pistolet, son sabre court et son uniforme avec une quizaine de deniers. Apres son petit sejour en foret, ces habits étaient en lambeaux et sa poudre humide.

Il faisait sombre. Le soleil venait de se coucher, et l'obscurité reprenait ces droits. Archos, fatigué par ces deux jours de veille, commencais a s'assoupir. Trempé, il serra autours de lui son uniforme imbibé d'eau pour se donner une illusion de chaleur. Cet a se moment-la qu'il entendit un bruit sourd suivi d'un juron étouffé. Ces sons, très faible, n'avait put n'etre percu par lui que grace a son ouïe perfectionnée.Se levant avec peine, il fit une dizaine de pas en arriere pour pouvoir avoir une vue large sur la portion de foret ou il était installé pour se prémunir d'un danger. Plusieurs minutes plus tard, il apercu, malgré l'obscurité et les arbres, un chapeau se lever pour observer la scene avant de replonger aussitot dans les  broussailles. Sur se chapeau, un petit drapeau blanc avait été peint. Ils l'avaient retrouvé.

Telle une bete traquée, il se mit a observé partout autours de lui pour decouvrir si les soldats avaient rtepérés son refuge. Ainsi, il remarqua que ceux-ci l'avaient encerclé. Nul retraite n'était possible. Sue de cette information, il prit son sabre court tout en posant son pistolet ainsiq eu son uniforme. Des qu'il se retrouva nu, une réaction se produisit au niveau de son bas-ventre,l'un de ces membres se gonflant de sang et devenant dur. juste apres s'etre déshabillé, il grimpa a l'arbre le plus proche, en se cachant dans ces feuilles.

Le déserteur était l� . Martin en était sur. Il avait suivi les traces pendant pres de deux jours, attrapant par la meme occasion un rhume. Mais il était triste. Archos avait été l'un de ces meilleurs amis dans le régiment, malgré sa difformitée, du a sa pauvre mere, paix a son ame. Il était désolé de devoir l'abattre, mais les ordres étaient les ordres... Nul ne pouvait les transgresser, exepté les fous.. Et Archos en était un... Levant la tete pour s'assurer du lieu, il apercu plusieurs branches reliées entre elles de facon peu naturelle. Seul un etre humain pouvait faire un tel travail. Se retournant vers ces dix compagnons, il les assura de la prise. S'approchant a pas de loup, ils se dirigèrent, fusil braqué et baionnette au canon, vers le bivouac. A une vingtaine de pieds du refuge, la moitié d'entre armèrent leurs fusils tandis que l'autre moitié se préparais a fondre sur l'ennemis. Quelques instant plus tard, une decharge survint, traversant l'abri avant de s'enfoncer dans la nature.
"Yhaaaaaaaa !!" Hurlèrent les soldats en sortant de leurs couvert pour se précipiter sur le tas de branches, en pointant leurs baionnette sur l'abri.
"Hé chef! Y'a personne! cria un des soldats.
-Comment ce rien? Il est pas la se couillon ?! interrogea le caporal chargé de la poursuite.
-ben a moins qu'il est raptessit avec toute cette pluie... Y a pas ame qui vive!
-Bordeau, qu'a-t-il encore inventé celui-la..." grommela le chef en quittant sa cachette, suivi de ces hommes. Se rassemblant pres du refuge, il se questionna sur la raison des vetements et du pistolet laissé.
"Heu chef...
-Mhhh ?
-Z'avez un truc blanc qui degouline de vot' chapeau...
-Et meeeerde..... Vivement ma putin..." marmonna le caporal en regardant vers le haut de l'arbre pour connaitre la source de se liquide. Et l� , il apercu le membre particulierement dévloppé d'Archos.
"Qu'est-ce-que..." Il n'eut jamais le temps de finir sa phrase, car une seconde plus tard, Archos, nu, avait sauté sur ces épaules en lui enfoncant le sabre jusque a la garde dans la gorge.

Enfin Il revivait!! La mort du caporal lui avait fait perdre toute notion du danger. Avant que les soldats restant eut le temps de se ressaisir, le déserteur avait bondit sur eux, tranchant la panse a deux tirailleurs. Tandis que les soldats hurlaient en voyant leurs boyaux s'épancher sur le sol, Archos continua son oeuvre de mort en transpercant la gorge a deux soldats l'un derriere l'autre. Virvoltant a travers les soldats, il distribuait a ceux-ci coups de sabre �  volonté, les mutilant pour la plupart. Alors qu'un soldat, rammassant son bras sectionné avec son membre valide, Archos taillada profondemment sa poitrine, laissant une marque sanguinolente, avant de lui enfoncé le sabre dans l'oeil droit, transpercant le cerveau s'échappant du crane apres que le déserteur eut retiré son arme.

Les quatres soldats restant, dont Martin, se repliaient de facon desordonnés. Archos, s'en apercevant alors qu'il était en train de mutiler le visage du capral, regretta qu'ils ne viennent pas se battre. Tirant de la ceinture du sous-officer le pistolet sec, il visa deux des fuyards, et, malgré la distance, les abbatis coup sur coup. Courant pour rattraper Les autres, il eut une explosion de joie, maculant l'arbre le plus proche du liquide blanchatre, semblable a celui qui était sur la veste du caporal. Quelque instant plus tard, il rattrapa Martin et son compagnon qui recut en guise de récompense un sabre dans le dos. Archos, retirant sa lame, la pointa sur la gorge de Martin apres qu'il l'eut poussé au sol.

"Archos, je t'en pris, je t'en supplis meme! me tue pas!! J'ai toujours été ton am, pas vrai ?" supplia Martin �  travers ces larmes.
Le déserteur garda le silence, mais son regard s'illumina sous le coup d'une pensée particulierment plaisante pour lui, tandis que sa verge se redraissant pour la troisieme fois en quelque minutes... Martin regarda apeuré celle-ci...
"Tourne toi... Et a quatre pattes, marmonna Archos.
-Ne fais pas sa." tenta Martin.
Il recut comme toute réponse un coup de sabre lui coupant la levre supérieure. Toujours larmoyant, celui-ci fit se qui lui était demandé. Archos s'empressa de défroquer le pauvre soldat avant de pénétrer en lui violamment.
"Arghhhhhh!! "Hurla Martin avant de se prendre un coup d'épée dans le dos, le marquant a jamais. Archos continua se qu'il était en train de faire, effectuant des coups buttoirs arrachant a chaque fois une larme au pauvre soldat, avant de jouir en lui. Une fois sa besgne faite, il se retira en ordonnant au soldat de se lever et de rester tel quel jusqu'au lever du jour. S'éloignant d'une centaine de pas, il pointa le fusil d'un des soldats mort avant d'abatre son compagnon, le cul a l'air. Détroussant les morts, il récupéra certaine pieces des uniformes pour ne pas paraitre comme l'un des clochards courant les rues, deux pistolets avec une trentaine de balles avec leurs poudres et amorces, ainsi qu'une quarantaine de deniers, amenant sa petit fortune a cinquante cinq deniers.

Une fois sa besogne faite, il s'éloigna vers la ville sans un regard en arriere vers le champ de bataille et de ces jouissances...


Hrp: Désolé j'y suis peut-etre allé un peu fort... xD  

[Archos]

liste avantages :
- tireur d'exeption ( +2)
- combattant hors pair au sabre (+2)
- maitre de combat en foret (+1)
- voit dans la nuit (+1)
- ouï devloppé (+2)

liste défauts:
-pervers sexuel (-2)
- énorme cicatrice (-2)
- ultra violent (-4)


Archos courait déja depuis plusieurs heures dans la foret depuis l'affrontement lorsqu'il apercut, une fois sortit de la foret, une chaumière d'ou s'échappait un mince filet de fumée. Dans le verger voisinant l'habitat, deux bambins s'amusaient avec des simulacres de sabres en bois, jouant aux guerriers. Archos, fatigué par les jours précedents et le combat,avait besoin de dormir. Or, la disparition de la patrouille aurait alerté plus que nécessaire le commandant de la division, qui pourrait le faire rechercher par sa division de tirailleurs. Or, ceux-ci, sans aucun doute, le chercherait dans la foret, pensant peut-etre que sa tete placardé sur les murs de la cité aurait un effet dissuasif sur lui.

Tiraillé par la faim, Archos se décida a quitter le couvert des arbres avant de se diriger vers les jeunes garcons. Une fois arrivé a bon port, il leur demanda d'une voix qu'il put aussi douce que possible :
" Bonjour les enfants... Je suis un des soldats du Roi... Seulement, pendant une marche de nuit, j'ai perdu mon bataillon... J'ai marché pendant toute la nuit, sans rien mangé... Pourriez-vous m'héberger pendant quelques heures ?
-Heu... Chai pas m'sieur... Faut d'mander a popa moman". déclara le plus grand d'entre eux, quelques peu effrayé par la large cicatrice qui zebrait son visage, avaant de le mener craintivement vers la chaumiere �  la vue du sabre pendant a la ceinture.
" P'pa ! M'man ! Y a un m'sieur qui veut vous voir!" hurla le garcon avant de se précipiter sur sa couche de paille, suivi de son petit frere. Une jeune femme d'environ 25 hivers se retourna du feu ou elle s'affairait et regarda Archos. Celle-ci avait un visage effilé, des yeux marrons en amande ou petillaient une remarquable intelligence, des sourcils fin, un nez légerment retroussé ainsi qu'une bouche pulpeuse. Son corps était mince et vigoureux, ou ces formes de femme pointaient genereusement dans se corps frais. Archos, troublé, ressentait une tension déja ressentit dans la journée. Mais il ne pouvait faire de faux pas, sa couverture en dépendait.  Il parla donc a la mere des deux enfants:
"-Madame,je me suis perdu et vos enfants m'on tres gentiment proposés un couvert et un gite, n'est-ce pas ?" dit-il en se retournant vers les deux gisses. La femme, interloqué, regarda tour a tour l'étranger et ces enfants, son regard s'arretant a chaque fois sur se visage peu avenant avec sa cicatrice, ainsi que sur son sabre. Etant seule avec ces deux enfants, elle préfera optempérer pour sa sécurité immédiate. Elle s'inclina légerement vers Archos:
" Mon mari est actuellement en train de travailler aux champs, il ne devrait plus guère targué. Je vous en pris, prener place �  cette table et venez mangez le maigre repas que j'ai préparer". Ceci dit, elle retourna au feu sur lequel bouillait une marmite. Archos, une fois la permission accordé, s'asseya devant un bol et sourit de ces dents jaunes aux enfants qui, apeurés, se terraient toujours sur leur couche. Toutefois, une fois la soupe versé dans les bols, ceux-ci se précipitèrent sur la nourriture et l'engloutirent en quelques minutes, tandis que la femme regardait l'étranger manger la soupe. Celle-ci était intrigué par lui. Elle sentait comme une menace pesant sur elle et sa famille, causé sur l'homme, mais son apparente virilité voir bestialité, la laissait reveuse, comparé a son faible mari. Toutefois, sa famille passait avant tout. Proposant une couche pour Archos, celui-ci s'y étala et s'endormit aussitot, gardant pistolets et sabre a porté de main.

Une fois qu'elle se fut assuré du sommeil du jeune homme, elle s'en alla quérir son mari en lui enjoignant d'aller chercher deux soldats de la garnison pour s'assurer de l'identité de l'homme. Incapable de s'opposer a sa femme, le mari s'en alla rapidement vers la ville...

Edit: personnage accepté
kevin26703  

[Archos]

Cela faisait déja plusieurs heures que le mari était partit pour la ville. La femme, inquiete pour celui-ci, nettoyait nerveusement la marmite dehors, au lavoir. Une fois sa besogne finit, elle rentra pour mettre un peu d'ordre dans sa demeure. Lorsque celle-ci rentra, la porte grinca. Réveillé, Archos commencait �  se lever lorsqu'il entendit une voix faible et lointaine au loin:
"Ha gredin, j'espere ben que ton visiteur c'est l'fugitif que nous recherchons, sinon il t'en cuira, �  toi et �  ta donzelle !"
En ecoutant plus attentivement, Archos percut les pas de trois hommes, dont deux d'age mur. Sur de son ouïe, il se leva et se dirigea vers les deux enfants, toujours prostrés dans la meme position de départ, le sabre �  la main."Qu'allez vous faire ?" s'écria apeurée la jeune femme, alors que celui-ci s'emparait du plus jeune en le plaquant sur sa poitrine et menacant sa gorge de son sabre.
"Je sauve ma tete... Si vous ne voulez pas que sa tete vienne rouler a vos pieds, vous avez interet a répondre juste... Y-a-t-il une autre issue que la porte principale?
-Non messieur... Je vous en supplie, ne lui faite pas de mal..." pleurnicha la fille , �  genou. Archos resta absorbé dans ces réflexion pendant quelques instants, dans la recherche d'une solution. En ayant trouvé une, il ordonna �  la femme en pleurs:
"Si tu tiens �  sauver ta peau ainsi que celle de tes enfants, tu va m'obéir scrupuleusement... Dis �  ton gamin de se tenir �  la place que je tenais et de mettre cette couverture sur lui, le cachant entierement. Quant �  toi, tu va te tenir le dos tourné penché sur ton feu, comme si tu préparais �  manger. Et ne faites aucun bruit, sinon..."dit-il en mimant un tranchement de gorge. Une fois que que la jeune mere et le plus grand des enfants se soient mis en position, il se pencha �  l'oreille de son prisonnier et lui murmura:
" Tente quoi que se soit, et tu dormira pour toujours, foi de breton..." Sur ce, il s'installa derriere le battant de la porte, de sorte que, quand les soldats rentreront, il ne puisse etre apercu, cacher par la porte.

L'attente dura quelque minutes, pendant lequel Archos tenta de ralentir les battements de son coeur ainsi que les palpitation qu'il ressentait au niveau de son bas-ventre.

Les soldats, arrivés �  quelques metres de la chaumière, s'arretèrent pour installer une baïonnette �  leur fusil. Une fois ceci terminé dans un tintement métallique, il s'approchèrent �  pas feutrés. La porte grinca lorsqu'elle s'ouvrit sous la faible pression des baïonnettes. Les soldats pénetrèrent aussi délicatement que possible dans la maison. Regardant brievement dans la direction de la femme, ils se rapprochèrent de la couche. Les soudars étant �  quelques pieds du lit, Archos, poussant violemment l'enfant contre le mur de pierre ou il se cassa le nez, il bondit sur les hommes en transpercant la poitrine du premier homme. Alors qu'il s'effrondrait dans une rale tonnante, la femme hurla tandis que le soldat restant se retournat, hébété de voir son compagnon tomber. Retirant alors son sabre de la poitrine du mourrant dans une gerbe de sang éclaboussant le mur opposé, il sectionna l'artère au niveau de la gorge amenant le sang au niveau du cervaux de son compagnon, aspergeant la tete de l'enfant recroquevillé de sang rouge foncé. Pendant cette action, le mari, térrifié d'entendre des bruits de lutte, s'enfuya vers la ville par le chemin d'ou il était venu. Archos, sortant de la chaumiere ou la femme avait enlacé ces deux enfant pleurant, prit l'un des fusils en visant le fuyard. Lorsque la détonation sortit, l'homme, déja loin, s'arc-bouta avant de rouler sur plusieurs metres sur lui-meme, avant de s'arreter sans se relever.

Le combat terminé, Archos, de la bave aux lèvres rentra. Echau ffé par l'attaque, il s'empara du plus jeune garcon sous les cris de sa mere, déja le visage ensanglanter �  causa de son nez, et se mit �  le frapper violement pendant une minute avant de lui pointer son sabre dans la temps. Retirant son sabre il s'avanca vers l'autre enfant le tira brutalement sur lui, tandis que sa mere s'étalla sur le sol la jupe retroussée, entrainé par l'enfant. Celui-ci, mourut uelques instants plus tard comme son frère. Archos, en essuyant son arme sur le visage du petit, se retourna vers la femme et murmura:
"il ne faut pas de témoins..."
Archos, se rapprochant de celle-ci, elle se précipita à ces genous en les enlacant :
" Pitié, mon seigneur, pitié !! Je suis encore si jeune ! Je ne peux mourrir encore ! Je vous en supplie! Je serais pour vous votre fidele suivante..."
En entendant ces mots, le ragrd du jeune homme frétilla de plaisir inavoué. La gilflant violamment, il prit possession d'elle alors que celle-ci hurlait...

Ceci fait, il se rhabilla prestement, avant de la baillonner avec un torchon et d'attacher ces poignets �  une forte cordes, rattachés �  sa taille, avant de s'éloigner de la maison vers les criques, la femme n'opposant plus de résistance, se se n'est en regardant derriere elle sa maison, ou seul son passé était maintenant lié �  ctte demeure, tombe de ces défunts enfants...