Supposons que le champs de mais ai pris feu, les pompiers ont envoyés leurs équipes l’éteindre (canadaires, camions, hommes et compagnie)
Mais avant d'intervenir le canadaire doit remplir ses réservoirs dans un lac.
La veille de l'incendie un crime a été commis dans la ferme de monsieur Pa'debol et plus précisément dans sa grange ou la police a retrouvé du sang et des vêtements.
D"après la police, le crime aurais été prémédité car on a retrouvé des indices sur l'organisation qu'allais prendre ce crime.
Le meurtrier (bien pensant) se dit que s'il jette sa victime, nu (pour éviter toute conservation d'indices qui peuvent résister a la durée dans de l'eau) avec un poids attaché aux pieds et jeté dans le lac on le retrouvera pas mais que si par mégardes on le retrouves, le temps passé dans l'eau aurais effacé toutes traces d’éventuels indices sur notre victime donc aucune chance de retrouver le meurtrier.
Mais n'ayant pas fait attention � la longueur de la corde et ne sachant pas qu'un corps remplis d'air (par la putréfaction intérieure qui dégage des gaz) remonte � la surface, le corps étant � une distance asser proche de la surface mais sans qu'on puisse le remarquer sur la rive, tirait sur le câble tel une bouée. Mais il a négligé
qu'une personne tuée alors qu'elle est terrorisée peut contracter ses muscles et devenir aussi dur que de la pierre même après la mort, entre autre Monsieur Pa'debol tenais en sa poigne une brindille de paille (ce qui confirme le lieu du crime)
Le canadaire peut alors entrer en scène. Il s'approche du lac et le pilote de s’aperçoit pas de cette forme sombre dans le lac et ouvre ses réservoir et frôle la surface de l'eau. Dans son élan il emporte la victime et se dirige vers le lieu de l'incendie : le champs. Vide son réservoir et laisse tomber ce pauvre monsieur Pa'debol au beau milieu du champ de mais, mort nu avec un morceaux de paille dans la main
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est ce ca
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