tcheu c'est du score sérré ca  

Mes notes �  moi:

alexislaurent: 6/10
bon un scénario... on va dire léger (le prend pas mal hein  )
sinon t'a fait beaucoup d'efforts dans l'écriture et le style, et ça sa fait plaisir.

Arthurius: je me mettrai bien 10/10 mais ça compte pas 

victormcbernick: 7.5/10
toujours au far-west hein? on s'attend vraiment pas �  une fin pareille, j'aime 

Magraen: 7.5/10
j'hésite beaucoup... te connaissant, j'ai deja vu beaucoup mieux de ta part niveau rp, en plus tu a écrit ton histoire dans ton registre (la fantaisy), donc je te met 7.5/10

rekans: 8.5/10
mon préféré , presque rien �  redire

kevin: 7.5
j'ai pas vraiment de commentaire, y manque juste un petit je ne sais quoi, qui pourrai exploser le score...


je me suis amusé �  faire les moyennes provisoires:

1er  : Magraen 8.33/10
2ème : Arthurius+rekans 8/10
4ème : Victor+kevin 7.25/10
6ème : alexis 6.75/10
   

Le petit groupe resta silencieux un moment, lorsu'un bruit sourd se fit entendre, il provenait de la surface...

-Qu'est-ce que c'était?
-Surement la première porte blindée... Il en reste deux autres, mais �  mon avis elles ne tiendront pas bien longtemps.
-Messieurs, ce fut un privilège de travailler avec vous.

Les hommes se mirent debout la main sur le coeur, et chantèrent l'hymne national de leur patrie. Un second coup sourd retentit.

-C'est pour bientot, ravi de vous avoir connus.

Un murmure d'approbation parcouru le groupe.
Le meme homme continua:

-Mais on ne se laissera pas prendre sans résistance! Que tout le monde sorte son arme, et la pointe vers le couloir, et on leur montrera ce dont on est capable, et que ces choses sachent que tant qu'il y aura des hommes, elles ne connaitront pas le repos !  .... Capitaine si vous avez votre emetteur, enclenchez l'autodestruction de cette base.

-A vos ordres.

Le militaire sortit un petit appareil de sa poche, y entra un code et quelques commandes, puis détruisit l'appareil d'un coup de pied.

-Au moins l'autodestruction ne sera pas désactivée �  partir de cet appareil.

Un dernier écran s'alluma, et montra le compte à rebours: 00.05.00

Troisième coup sourd. Le groupe entendais maintenant le cliquetis confus du langage de ces créature.
-Armes pointées sur le couloir!

Tout le monde exécuta cet ordre. Les membres du groupes étaient sereins, ils attendaient le signal, le signal de leur mort...

_00.04.00_

C'est alors qu'un créature apparut dans un nuage de vapeur dense et blanche. Le groupe eu �  peine le temps de réagir, quand le monstre tripode d'environ deux mètres émit un sifflement �  peine audible. Son énorme boite cranienne semblait s'illuminer. Les hommes ne purent pas tirer, leurs doigts refusant d'appuyer sur la gachette...

Les humains avaient les yeux vides... Ils n'étaient plus maitres de leurs corps, mais étaient toujours conscients... Ils pointèrent leurs armes les uns sur les autres, et tirèrent tous en meme temps. C'est �  ce moment qu'ils reprirent le controle de leurs corps.

_00.01.32_

La créture se tourna vers l'écran, et vit le compte �  rebours, le comprenait-elle? Dans tous les cas elle ne put le désactiver. La base s'autodétruisit, anéantissant toute forme de vie �  l'intérieur. Cependant, les envahisseurs étaient nombreux, trop nombreux pour que l'humain reste maitre de la planete...

Le règne de l'Homme s'est terminé �  cet instant  

Quelque part dans une base souterraine...

Trois hommes se tiennent devant un écran qui grésille, des gouttes de sueur perlent sur leur front, la tension est palpable...

Un homme arrive dans la pièce:
-Est-ce qu'on a reçu un signal?

-Toujours rien monsieur... Ah! Attendez!

En effet, un emission sonnore de très mauvaise qualité fut captée...
-(bchzt - chzt) Perdu trois... (bchzt - chzt) ...demande aband... (bchzt - chzt) ...mission... (bchzt - chzt) ...suis près... (bchzt - chzt) ...base... (bchzt - chzt) ...ouvrez La p...  (bchzt - chzt) ...tendez... (bchzt - chzt) ...ais! AAAAHHH !!!

A ce moment tous les appareils se remirent �  fonctionner, de la caméra, jusqu'a l'image thermique en passant par le radar et les capteurs sismiques. Pour finir le capteur de radiations s’emballa…

Sur l'écran on voyait juste une espèce de liquide verdâtre, projetée contre la caméra, qui lacha quelques secondes après. L'imagerie thermique affichait des températures de plus de 782°C. Les capteurs sismiques enregistraient des perturbations répétées et identiques. Le radar montrait des centaines d'objets sur le sol, allant d'environ un mètre jusqu'a plus de quinze mètres, tous en rang et avançant inexorablement, et enfin le capteur de radiations avait dépassé sa limite...

Puis tout �  coup plus rien. Tous les appareils sautèrent, et le souterrain fut plongé dans le noir le plus total.

Un homme murmura alors:

-Grands dieux...
   

Lovecraft, qui attendait ce moment avec impatience, hurla sa joie quand il vit se rapprocher de la digue les navires anglais. La pièce de 38 était chargée, et bourée avec un pavillon anglais. L'artilleur avait également chargé son fusil et le mousquet qu'il avait volé.
C'est alors que le premier navire anglais fut enfin �  portée:

-Yiiiiiihaaaa !!! Par le fond !!!

Lovecraft, debout sur le canon, enflamma la mèche. A peine une seconde plus tard le boulet parti dans une formidable explosion, et transperça une corvette anglaise, dans la sainte barbe. La réaction ne se fit pas attendre et le navire explosa, ne laissant qu'un carcasse de bois brulé et des morceaux d'anglais, qui flottaient �  la surface... Aucun marin de ce navire n'aurai pu survire.
Entre temps le reste de la flotille s'était raprochée, et commençait �  pilonner la digue dans l'espoir de détruire la pièce de 38, ce qui arriva. L'artilleur avait anticipé cette contre attaque et parti se mettre �  l'abri le temps que le pilonnage cesse. Il retournerai par la suite  �  un endroit doù il pourrait tirer sur les anglais avec son fusil...  

Pendant sa course �  travers la jungle, Lovecraft fut assomé par une branche. A son grand étonnement il se reveilla dans une cabane, �  coté d'un jeune homme qui préparait une mixture étrange, en concassant une grenouille.

-Ohhh ma tete... ou est-ce que je suis?
-sur l'ile de Grenade.
-ça je sais... ils sont où les anglais??
-les anglais? quels anglais?
-ceux qui attaquent l'ile...
-ah l'ile est attaquée?
-Mais d'ou tu sort toi?? et t'es qui d'abord?
-Hector Lefranc, medecin, et artificier �  mes heures perdues... l�  je fabrique un poison tellement violent qu'il peut tuer un homme en �  peine quelques secondes.
-medecin et artificier hein? on pourrais avoir besoin de toi l�  bas..
- j'ai pas envie de risquer ma peau.

Lovecraft déguaina son mousquet, et le pointa sur Hector.

-et l�  tu viens nous aider?
-M...Mais bien sur monsieur... monsieur?
-...Lovecraft.
-bien je vous suis monsieur Lovecraft, mais avant, enduisez les balles de vos amres avec ce poison, ainsi meme une blessure serait mortelle...

Lovecraft fut impressioné... il pouvait ainsi tuer des anglais depuis la digue, juste en les frolant avec ses balles...

Cet Hector allait se réveler bien utile pour la suite...  

les gars on est dans la merde si mag s'y met ! 

au fait on a vraiment thème libre (on peut vraiment dire ce qu'on veut ?)  

Quand Magraen et l'artilleur sortirent, Kane et Frank virent une bien étrange scène: Magraen, portant l'artilleur par le col d'unem ain et avait une bouteille presque vide dans l'autre.
Lovecraft se débattait, et criai:

-mais tu vas me lacher oui t'a pas autre chose �  faire que de nuire aux honnetes gens ça y est j'ai bu l'alcool d'un officier anglais mort et tu va me chercher des noises
-tu est complètement saoul, tu tiens �  pene debout. et tes insubordinations répétées commencent sérieusement �  m'énerver. ainsi je vais te mettre aux fers le temps que tu cuve ton vin, et ta bouteille sera vidée dans la mer.
-nooooooooooooooooooooooon !!!!

L'artillleur était déserpéré, et saisit son fusil par le canon, ce qui eu pour effet d'envoyer la crosse du dit fusil dans la machoire de Magraen, qui lacha prise.
Lovecraft en profita pour reprendre sa bouteille et commençait �  reculer, car les hommes de Magraen l'avait encerclé. Mais �  force de reculer il buta contre le bastinguage ce qui le fit basculer par dessus bord, et il tomba sur la plage, et y vit Kane et Frank, hilares devant la scène. L'artilleur en profita pour essayer de courrir (malgré son hébriété avancée) et s'enfonça dans la jungle...  

je m'inscrit. mais en gros on écrit juste un rp tout seul et après les autes notent?  

Nom : Lefranc
Prénom : Hector (surnommé Hek')
Nationalité : Française
Age : 27 ans
Taille : 1m74
Poids : 71 kg


apparence physique :
de taille moyenne, un peu freluquet, un tricorne sur la tete, rasé, cheveux noirs et courts.

Biographie :
Fils d'un apothicaire français, il apprend bien vite la science des plantes et de la medecine. Il s'engage comme apprentit d'un alchimiste, et apprend au fur et à mesure à confectionner et à manipuler des explosifs puissants. Il embarque sur un navire marchand français en tant que chirurgien direction Grenade, et tombe amoureux de l'endroit au point de ne plus partir, et vis reclus dans son atelier à l'écart de la ville à confectionner des remèdes et des explosifs.

avantages :
science des plantes -4
lire et écrire - 2
medecin - 3

défauts
vertige - 1
phobie(serpents) - 2
froussard -2

Edit: Je n'ai rien a redire Arthurius très bon perso
Personnage accepté
kevin26703  

Pour tranformer le navire en forteresse provisoire, il fallait modifier la disposition des canons: au lieu d'en avoir 16 de chaque coté, on en plaça 8 sur la proue, 4 sur la poupe, et on en laissa 10 sur les cotés. le navire pouvait maintenant se défendre de tout les cotés. Pour la suite du plan (remettre le navire �  l'eau et attaquer la flotte anglaise) il fallait gagner en vitesse, donc enlever tout ce qui est inutile sur le navire, �  commencer par les vivres. On fit également mettre �  terre touts les hamacs des marins, les meubles de la cabine du capitaine ainsi que son service �  thé (toute prise de vitesse est bénéfique).
A la fin il ne restait sur le navire que les munitions, les canons et les voiles...  

Lovecraft, qui était remonté sur le navire avec Kane et Magraen, parti dans la cabine de l'officier de bord, et y trouva un splendide mousquet qu'il coinça dans sa ceinture ainsi qu'une bouteille d'un excellent armagnac. Margraen quand �  lui s'emparra du sabre de l'officier et Kane parti chercher les munitons, et commença �  en faire l'inventaire, car il n'avait pas encore trouvé quelque chose d'interressant.

L'artilleur parti voir les canons du navire et en compta 32, tous neufs ( des pièces de 8 ). A croire que les anglais avaient fait fabriquer des canons juste pour attaquer Grenade...

Mais le plus important pour l'instant était de transformer le navire en forterresse, donc de disposer astucieusement les canons de façon �  pouvoir tirer partout autour et �  modifer le navire en conséquence.  

Lovecraft, qui s'ennuyait, monta sur la digue pour observait l'horizon, car on ne sais jamais, si un navire anglais ou pirate s'approchait, il aurai pu faire un joyeux stand de tir... C'est alors qu'il aperçu une voie �  l'horizon. Ce navire arborait pavillon noir... Des pirates se dirigeaient vers Grenade ! Malheuresement pour eux, ils ne savaient pas que la ville s'appretait �  défendre un siège. Il hurla auprès d'un garde pour qu'il lui donne une longue vue, et il regardait ce qu ise passait �  bord de ce navire: les pirates chargeaient leurs canons! Il lacha la longue vue que le garde rattrapa de justesse, monta en haut du phare (celui où les hommes tentaient encore d'y monter la pièce de 38), chargea sont fusil boucanier et attendit que les flibustiers soient �  portée, pour abbatre des hommes sans trop abimer le navire. Car en cette période de bataille imminente, ils manquaient de bateaux et un navire suplémentaire quel qu'il soit ne pouvait etre que bénéfique.  

Après avoir placé ses barils, et attendant que les hommes aient finis de placer le canon, Lovecraft s'addonna �  son sport favori: l'extermination des mouettes. Car il détestait les mouettes. Il prit son fusil boucanier, et tira six coups et �  peine dix secondes. Et six mouettes tombèrent �  l'eau...

Mais voulant corser l'affaire, il décida de viser le mat du drapeau qui flottait sur le fort, alors qu'il était sur les docks, et il y avait bien une lieue jusqu'au fort... Mais sans vraiment prendre le temps de viser, il tira (au risque de blesser gravement un soldat qui fesait sa ronde sur le fort) et -chtang!!- La balle ricocha sur le mat pour aller se perdre un peu plus loin. Quand au garde il s'était jeté �  terre, mort de trouille. Content de lui, Lovecraft repartit le long des docks, et cherchait un moyen de voler les tonneau de rhum entreposés dans le navire de Doroit.
C'est alors qu'il vit Lerequin qui venait vers lui et qui lui demanda ce qu'il devrait faire pour faire l'appat.

-Il faut trouver un moyen pour que leur navire amiral te donne la chasse, et tu le ramene �  portée du canon. Après t'a plus �  t'en faire, le navire sera coulé. Mais je te conseille d'etre près �  manoeuvrer, pour poursuivre le reste de la flotte anglaise et couler un maximum de navire...  

A défaut de pouvoir monter le canon maintenant, Lovecraft ordonna aux hommes (oui oui, ordonna) de monter tout les munitions possibles et immaginables, aussi que de la poudre ,et de la toile pour bourrer le canon, quand on l'aura instalé dans la tour.
Il réserva plus de 200 bariques de poudres, en plus de celle prévue pour le canon. Il fit enlever les pavés du quai pour former trois carrés, puis fit creuser des trous dans ces carrés, et y fit installer les bariques de poudre.
On recouvra le tout d'un plancher sommaire, puis on réinstalla les pavés �  leur place, en prenant soin de laisser un petit trou �  chaque fois, histoire de pouvoir passer une mèche. Quand les anglais arriveraient l�  (si ils y arrivaient), il faudra allumer les mèches. Mais maintenant il fallait plus espérer qu'il ne pleuve pas, auquel cas la poudre serai noyée et ne s'embraserait pas...