Les mines de Carthagène :
Un beau jour, sur le port Bonaire où nous nous avions jeté l’encre pour refaire le plein de vivre de rhum et d’amour, une missive de la part de gouverneur vint sur le « Rubis » Elle demandait � son capitaine de venir le voir pour une tache. Siegfried Kember, fut étonné et alla au rendez-vous. Après un court le gouverneur lui demanda d’aller piller un navire espagnol du nom « Fidelinos » et de lui ramener sa marchandise, il paya le prix plus de mille pièces maintenant et mille après l’avoir ramené. Autant pour un navire que pouvais t-il contenir, scar fit préparé le navire et notre Sloop parti le lendemain matin.
Le voyage fut difficile � cause du mauvais temps, et long car nous ne savions pas où se allait notre proie. De par la variété de notre équipage : 2 hollandais, plus moi et le chef, un anglais William Roswn, un italien de Florence, deux indiens, un noir d’Afirque du nom de Cesare Ngou’ha, un espagnol-français et deux autres marins nous français ; nous avons réussir, en demandant partout sur les ports et chez les dirigeant hollandais où allait le navire : Maracaïbo.
Tous les voiles gonflés, la barre au Sud. A notre vitesse, nous fendîmes les flots de la mer, envoyant de l’écume jusque sur le pont. Nous n’attaquâmes pas, avec regret, trois navires marchands. Puis on est arrivé enfin � destination. Notre espagnol apprit que le « Fidelinos » n’était toujours pas arrivé. Nous avons remonté le détroits jusqu’� son embouchure est attendu. Les jours se suivaient et aucun signe de notre proie, rien, nous commencions � nous étonner avait-il changé de destination, avait-il été attaqué ? Au bout du septième jour une voile � l’horizon. Scar prit sa longue vue, il souria c’était bien le sloop que nous attendions, et il avait bien été attaqué, sa coque semblé réparé en mer et � voir son équipage il semblait réduit. Encor plus facile. Sa voie se fit entendre sur tout le navire :
-Tous sur le pont, parez les armes, les voiles, sortez les canons, chargez les et barre � tribord!!
Le navire ennemi nous remarqua et préféra éviter le combat, cargua une partie de ses voiles et manœuva pour nous contourner, mais très vite il s’aperçu que celle le combat lui permettrai de survivre. Notre chef ordonna de charger les canons � la mitraille car il ne voulait pas voir le navire couler ou la coque trop endommagée. Car sinon soit la cargaison serait elle aussi endommagée ou nous aurions pas assez de temps pour la mettre dans notre navire. Nos canons crachèrent leur charge dans un bruit d’enfer, de leur bouche se soulevèrent des fumées blanches, cachant ainsi notre pont mais aussi la vue de leur navire puis la fumée se souleva dans les airs. Ils ripostèrent puis nous de même et nos abordions. Le combat fut court le peu d’homme en vie se rendirent dés que nous posâmes nos pieds sur leur navires, leur chef mort en désavantage ils préféraient demande notre clémence. Seulement trois hommes morts chef nous dix chez eux.
La surprise fut la marchandise que nous devions ramener. On s’attendait � un prisonnier, ou des document mais pas � cela un stock d’or. Environ cinquante kilos. Nous les avons mis dans nos cales tandis que Scar avec l’aide de notre Espagnol demanda pourquoi autant d’or et peu de garde. La répose fut que le galion qui les escortait fut obligé de devoir resté au port pour environ un moi � cause d’un attaque anglaise. Cela expliqué le retard et les dommages sur le navire. -D’où vient tout cette or ? demanda t-il. - Des mines du continent près de Carthagène. Il fit ordonné l’exécution des survivants, qui protestèrent mais peu de temps les lames leur fit rendre vie. Il nous explique que lui-même n’était pas très pour, mais il était trop près d’un port pour laisser des survivants qui nous vendraient. Nous fîmes exploser le sloop avec leur réserve de poudre puis nous partîmes rendre compte de notre réussite.
Le voyage fut plus court que l’allé, il regardait sans cesse vers Carthagène, réfléchissant, mais méfiant un telle cargaison avait déj� coûté la vie de capitaine par des mutineries mais Scar avait confiance aux frères de sang. Bonaire en vue, nous rendîmes notre dus. Puis, Scar nous invita � la taverne. Assi au fond de la pièce nous l’écoutâmes, certain plutôt énervés et d’autre étonnés. -Pourquoi pas avoir gardé la marchandise ?Demanda un homme, barbu, maigre dont les yeux jetaient des éclairs. On aurait pas la vendre et se faire un max d’or au lieux de la rendre pour mille piécettes!! Plusieurs approuvèrent, mais le calme revint vite. -Je sais, mais j’ai une idée. Si nous même on attaqué les mines, on aurait beaucoup plus d’argent et les Hollandais ne nous en voudraient pas.
La discutions continua, un marin que je ne connaissait pas était contre l’idée de piller des mines, trop dangereux et qu'il préferait partir. Le second l’emmena derrière la taverne, on ne le reverrait jamais. On approuva, mais il nous fallait des coéquipiers et plus de renseignements.
Chose dit, chose faites. Il alla voir Kalgara, dont il avait vue le navire au port. C’était un drôle de pirate aux cheveux roux, certes il était moins fort que nous mais il avait la folie de la jeunesse comme disait Scar. On l’avait rencontré dans une taverne lors d’un duel de rhum défaite pour lui puis après en mer pas pour un combat. Il accepta mais nous dit qu’il devait encor régler des choses personnelles et qu’il devrait partir dans trois jours. Un allié mais le temps qu’il revienne, on en profita pour faire la connaissance du capitaine de Vendeloves surnommé la Mouche et aussi de Lady Karnaj dont on avait entendu parlé. C’était une femme, chose rare, mais bien trop arrogante et stupide au gout de mon chef et du mien. C’était une anglaise deux tares qui l’excuse comme disait Scar sans méchanceté car il respectait et femme qui su se faire reconnaître dans le milieu des hommes. Certes elle ne comprit pas tout de suite sa place dans la taverne où on se rencontra. Mais après un combat verbale une joute sans pitié, elle préféra mettre fin � ce dernier chose intelligente car ca commençait � énerver certain marin sauf Yves qui s’amusé.
On devait encore attendre.
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