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1  Forums de la communauté Age Of Sea Dogs / Alliances / [Présentation] Les Frères de la Cà´te ( FC ) le: 21 Juin 2014 à 15:43:30
Publié le 17/03/2009 à 12:00 par grandiose sur http://grandiose.centerblog.net/rub-fantasy-armes-et-armures-.html?ii=1


Les Frères de la Côte

L'Alliance des frères de la côtes accueil tout les pirates, corsaires ou contrebandiers des caraïbes. Elle a vocation de relier les joueurs entre eux afin de promouvoir l'entre-aide. Les frères de la côtes ne sont pas des pilleurs de ports, ne recherchent par les conflits avec les autres alliances et ne courent pas après le classement.

Notre philosophie est " chacun pour soi, mais ensemble ". Tu voudrais évoluer pépère, faire tes missions et n'avoir de compte �  rendre �  personne ? Mais pour autant, tu n'es pas contre un peu d'aide, et puis surtout un peu de compagnie !? Alors tu as vraiment l'esprit d'un flibustier et sois le bienvenu !

Besoin d'aide pour trouver un navire, pour les duels, pour éventuellement attaquer un port, ou pour recevoir des conseils, alors sois le bienvenu !

Marre de jouer tout seul sans jamais pouvoir discuter ou te marrer avec quelqu'un ? Sois le bienvenu !  Clin d'oeil

S'il y en a que le RP intéresse, on peut lancer quelques histoires sur le Forum du jeu ou seulement sur le fofo d'alliance.

Vous êtes plutôt un capitaine solitaire, mais pas non plus un ermite ! Vous n'êtes pas un novice, mais pas non plus un expert d'AOSD, vous êtes sociable mais n'aimez pas les guerres d'alliances !? Alors vous ferez un bon frère de la côte !



Toute jeune alliance, dont je suis pour l'instant le seul membre  Grimaçant

TIFANT inscrit depuis le 08/07/2013 12:11:02

- Capitaine Malcost de 21.4 ans.
Score de 4475 points Classé(e) 437ième

Navire "Zwaluw" ( Hirondelle ) : Brigantin de 6 canons 10 couleuvrines

      
2  îles du vent ou petites antilles (zone rp) / Les montagnes et les côtes / Chapitre I : De Basse-Terre à Pointe-à-Pitre le: 11 Juillet 2013 à 21:43:52
Le soleil élevait avec lui les brumes de la forêt moite. Les oiseaux multicolores chantonnaient paisiblement, comme un matin plein de promesse. Dans son hamac de fortune, Frédéric ouvrit les yeux. Combien de temps avait-il dormis, avait-il rêvé les événements de la veille ? Se retournant, il voyait encore s'échapper au loin l'épaisse fumée noire des cannes brûlées pendant la révolte, rappelant au pauvre fugitif sa misérable condition.

Il avait emporté toutes les preuves de son existence au sein de la plantation du seigneur Montgrandis. Mais les esclaves, il le savait, ne pourraient taire longtemps sous la torture sa prépondérante responsabilité dans le meurtre de Marc Vallois et de la rébellion.

Il pensa d'abord longuement au seigneur Montgrandis, qui avait placé en lui toute sa confiance et s'en était retourné en France, avec toute sa famille, sûr que le jeune homme aurait su faire fructifier son seul bien, sa plantation de cannes qui n'avait que difficilement survécu �  la crise. Les petits planteurs qui avaient pu se mettre �  la canne en abandonnant la culture du tabac n'étaient pas nombreux, mais de ceux ci la famille Montgrandis s'en targuait avec gloire, et tenait ferme face aux grandes habitations qui rachetaient toutes les terres.

Il fallait se dépêcher, Vieux Fort n'était pas un endroit sûr où se retirer en cavale. Et même si la ville n'était qu'�  quelques heures de marche, qu'elle pouvait offrir le secours d'un marin rencontré �  bord de la Fortune cinq ans plutôt, elle serait évidemment un piège �  l'heure où sa culpabilité serait démontrée. Sa seule chance était de quitter cette partie de l'île, pour Point-� -Pitre, car la nouvelle de son crime tarderait �  y être annoncée, et que personne n'imaginerait un colon assez fou pour traverser la jungle de Basse Terre en période d'hivernage. A cette époque, les pluies et les ouragans sont violents. Cependant, cela jouait �  son avantage, car empêcherait la nouvelle de se répandre trop rapidement, et lui n'était pas de ces colons cantonnés dans les fortins où �  l'ombre de leurs habitations qui craignent la forêt autant que l'on craignait l'Atlantique quelques siècles plus tôt. Il avait passé nombre de jours dans ces forêt, escaladé la Souffrière maintes fois, descendu les rivières aussi souvent que son temps libre lui permettait.
Mais pourtant, il n'avait que très peu de fois été �  Grande-Terre. Pour les affaires et la politique des Montgrandis principalement.

Ce matin, la pluie était douce et calme, mais cela ne durerait guère, il fallait en profiter. Depuis les Bains-jaunes, largement plus d'une journée de marche était nécessaire pour rejoindre la Rivière Salée, du moins par temps calme et �  bonne allure. Il commença donc de s'enfoncer dans la jungle, longeant l'antique sentier des indiens caraïbes. Il se sentait �  l'abri dans cette forêt impénétrable. Il ne prêtait pas attention aux bruits étranges, �  la moiteur ambiante ou �  la faim qui commençait de lui nouer le ventre.

Après plusieurs heures de marche sans problème, la pluie parvint �  percer la canopée pour marteler le sol touffu. Il se trouvait sur le versant sud de la montagne, la chaleur �  l'approche de midi devenait purulente, il fallait continuer, car il était parti très tard ce matin.

Soudain la tempête s’annonçât. Les animaux de la forêt étaient tendus, ils criaient sans cesse, semblaient courir dans tout les sens comme pour trouver un abri opportun.

Frédéric se hâta de trouver un endroit moins en pente, car les éboulements et les glissements de terrains ne sont pas rares sous les pluies battantes. A peine avait-il trouvé son lieu, que le vent faisait déj�  chavirer la cimes des fromagers et autres arbres géants. La lumière du soleil sembla s'étioler et s'éteindre comme une bougie sous le souffle puissant d’Éole. Impossible d'avancer, trempé de la tête aux pieds, Frédéric se morfondait de son crime qui l'avait poussé dans une pareille misère. S'il connaissait la jungle, c'était par beau temps ! De plus, il ne connaissait pas les us et coutumes des anciens indiens caraïbes qui avaient peuplé ces îles inaccueillantes. Combien de temps cela allait-il durer ? Frédéric réfléchissait.

Il pensa �  Marie Montgrandis, et ses promesses d'un mariage commode qui lui aurait apporté une situation confortable, mais plus encore la chance d'un mariage amoureux. Il se souvint, les yeux ruisselant de pluie, ou de larmes, les heures passées �  lui apprendre la géographie et l'histoire, les nuitées oppressantes lors des tempêtes de juillet, la douceur de son front quand il veillait sur elle du temps qu'elle failli mourir de fièvre.

Il ne pouvait rester l�  �  attendre. La tempête pourrait durer des jours. Mu comme par un nouvel espoir, il se dressa et reprit le chemin, même sous les éléments déchaînes, car s'il restait l� , sans manger ni bouger, il mourrait �  coup sûr.

Le traversé fut difficile. Il manqua �  plusieurs reprise de se faire emporter par les écoulements violents qui sillonnaient ci et l�  comme des rivières fulgurantes, la jungle pourtant déj�  pleine de catastrophes. Agrippant avec force ce qu'il trouvait, luttant autant qu'il put, il finit par atteindre la bordure du plateau �  la nuit tombé. A cette heure ci, pendant la saison sèche, il serait déj�  de l'autre côté du plateau, peut-être même derrière la crête du Morne, prêt �  descendre en direction de Petit-Bourg.

Frédéric s'installa sous les troncs multiples et protecteurs d'un gommier géant, le corps endoloris par la fatigue et la faim, craignant la maladie d'avoir bu toute la journée l'eau qu'il trouvait en abondance mais sûrement insalubre. Au moins pensait-il, malgré la tempête, il ne s'était pas perdu. Il avait juste présumé avec trop de hardiesse ses capacités et mal soupçonné la rudesse des éléments.

La nuit fut longue et terrible, il ne put fermer l’œil un instant, fut dérangé par des animaux et insectes et dût changer d'abris plusieurs fois.

Il se remit en chemin dès les premières lueurs, encore qu'on ne les décelait pas franchement puisque la tempête n'avait pas laisser au ciel un pouce de place pour les laisser apparaître.
La pluie fut redoutable jusqu'au Col aux Ananas, car la végétation était moins dense sur cette pente douce balayée par le vent. Une fois passée la Vallée Touchard, la pluie se calma et des morceaux de ciel bleu se présentèrent timidement. Les bas nuages de l'ouragan ne pouvaient passer les crêtes, il était donc enfin �  l'abri sur ces hauteurs, il devait être 9h du matin, si rien ne venait interrompre son voyage, il serait �  Petit-Bourg dans l'après-midi.
 
3  Forums RPG sur le thème des pirates / Chasse partie / Re : registre du capitaine le: 09 Juillet 2013 à 15:54:02
Je signe le registre, Lu et approuvé !  
4  Forums RPG sur le thème des pirates / Personnage principal / Frederic Tifant le: 09 Juillet 2013 à 02:36:03
Nom : Tifant
Prénom : Frédéric
Age : 22 ans
Taille : 1,76 m
Poids : 62 kg


Frédéric Tifant est un jeune homme de bonne constitution, solide et nerveux, plutôt fin et long.
Sa longue chevelure ondulée et noire est déj�  piquée de cheveux blancs depuis son adolescence. Se rajoute �  l'obscurité de son visage une jeune barbe noire qui lui entoure la bouche et lui donne un air vieux et ferme. Tout dans son visage est sombre et anguleux, jusqu'�  sa peau brunie par le soleil antillais.
Il a le sourire franc, comme toutes ses émotions.

Il a le corps svelte et bien bâtis, imberbe comme celui d'un enfant, taillé comme celui d'un esclave façonné par le dur labeur.
Habillé comme un gentilhomme travailleur, il passe pour élégant parmis les gens de peu, et pour un rustre parmi ceux de la haute. Habitué au climat chaud de la Guadeloupe, ses vêtements sont légers.
Souffrant de lourdeurs aux jambes, il passe le plus clair de son temps les pieds nus quand cela lui est possible.
Il porte autour du cou un petit médaillon de bois, de style africain.

Histoire : HRP : Au choix ; pour les fainéants la version condensée, pour ceux qui ont du temps �  perdre la version détaillée ^^

Condensé :

Frederic Tifant, après un court passage au séminaire est embarqué �  bord d'un négrier pour devenir commerçant dans le système triangulaire. Ecoeuré par la Traite négrière, et chassé du Navire " La Fortune " lors d'une escale �  la Guadeloupe après une bagarre contre ses officiers, il intègre une habitation de canne �  sucre ou il se lie d'amitié avec un esclave, Kawali et tombe amoureux de la fille du planteur. Alors qu'ils s'en retournent en France, Frederic se voit attribué la gestion du domaine en collaboration avec Marc Vallois, un engagé brutal, tortionnaire et jaloux qui va tuer son meilleur ami par pur inimitié. Frederic pousse les esclave �  la révolte et participe au meurtre de Marc Vallois. Le voici échappée dans la jungle guadeloupéenne qu'il connait comme sa poche, en chemin vers Pointe-� -Pitre où il espère trouver un moyen de fuir son arrestation évidente.


Détaillé :
Frédéric Tifant est né �  Nantes d'une famille d'artisans ( tailleurs ) aisée. Quatrième et dernier fils de la famille, il était destiné au sacerdoce, considéré comme faible car prématuré, et n'ayant échappé que de peu �  la mort d'une de ces maladies infantiles si communes �  l'ancien régime.

Ayant suivis une éducation religieuse les premières années de sa vie, rien ne le préparait �  l'aventure qui allait être la sienne. Par le concours de la fortune, ses frères ainés moururent les uns après les autres. Tandis que Jean, son dernier frère repris le métier de son père, lui dût prendre la place de son autre frère mort en mer, car la stratégie matrimoniale de la famille Tifant était de faire fortune aux Amériques grâce au soutien d'un commerçant Nantais, Jérémy Beauregard. Des liens de parrainage existaient entre les deux familles, comme des liens d'argent.

Il fut instruit par ce dernier aux choses du négoce maritime, et notamment négrier, nouvelle ambition de Jeremy Beauregard. A ces 17 ans, Frederic prit la mer �  bord de la " Fortune " afin de se familiariser avec le commerce triangulaire.

Profondément pétris par une morale chrétienne égalitaire, Frederic ne goute déj�  que fort peu �  l'esclavagisme, mais ce voyage va donner un nouveau sens �  sa vie.

C'est d'abord la découverte de la mer et des navires. Curieux de nature, remarquablement intelligent, il passe des heures �  ennuyer les matelots et chefs de quart avec ses questions techniques en chemins vers l'Afrique. Il est fasciné par le système des vents et des courants marins, ébahis devant les instruments de navigation, trouve les cartes maritimes plus belles que tout les tableaux du Titien, et s'intéresse particulièrement �  l'organisation social de l'équipage qui lui semble être une nation �  lui tout seul, avec ses règles et ses devoirs, ses récompenses et ses punitions, surtout prend conscience de la place des individus dans un groupe. Il s'y fait rapidement adopté, car avec son esprit de conciliation, il parvient sans vraiment s'en rendre compte, �  créer une cohésion et rajoute un peu de vie et d'innocence l�  où la rigueur et le labeur sont de mises.

Mais arrivé sur l'Ile de Gorée, principale plaque tournante de l'embarquement des esclaves noirs d'Afrique, le rêve de Frederic commença de se transformer en cauchemar. Venu pour apprendre le métier, il vit de près les négociations âpres du capitaine avec les esclavagistes africains. La première fois qu'il vit un homme noir, il le trouva bien plus beau qu'on ne lui avait décrit, et bien moins sauvage. Si ces êtres étaient digne du salut post mortem selon l’Église, s'ils pouvaient vendre ainsi leurs propres frères aux européens, c'est qu'ils étaient tout �  fait capable de ressentir des émotions, et de penser . Il essayait de s'imaginer la sensation de la captivité, ce qui lui semblait terrifiant. Lors de l'embarquement, il fut témoin d'une scène pitoyable mais malheureusement pas rare : Un esclave sauta �  l'eau, ne sachant nager, il se noya, et plusieurs le suivirent criant et s'étouffant sous l'énervement des négriers français. Plus tard il appris que certains préféraient se donner la mort, craignant de se faire manger par les blancs ( prenez ce pain, ceci est mon corps, buvez ce vin, ceci est mon sang ) et de mourir loin de leur terres natales.

Il vécut la traversé de l'Atlantique comme la pire expérience de sa vie. Des palissades parsemées de clous de parts et d'autre du pont contenaient les esclaves attachés, la rigueur était draconienne, les sanctions exemplaires, et l'atmosphère tendue. Le jour ils déambulaient et s’échauffaient sur le pont, prêts �  tailler en pièce le malheureux marin qui tomberait de la mature, la nuit entassés dans l'entrepont. Chaque portion de nourriture et d'eau était minutieusement réglée, juste ce qu'il faut pour survivre, même pour les blancs, car la pourriture emportaient déj�  les vivres, et tant de personnes avec elle qui succombaient des maladies qui l'accompagnent. Lui même failli y perdre la vie, et passa près de 40 jours impuissant et alité. Le Mal avait touché nombre d'officiers, car les esclaves, même si leur valeur humaine était nulle, leur valeur en tant que marchandise était grande, disposaient de soins pendant le voyage autant que les blancs.

Après la Guyane, la Martinique et la Dominique, "La Fortune" fit escale pour réparation �  la Guadeloupe suite �  une tempête, que l'incompétence des officiers recrutés en Guyane n'avait permis d'éviter. Ne disposant pas de port en eau profonde, la halte fut longue et couteuse. Fatigué par le voyage et écœuré par la Traite, Frederic eut une violente altercation avec plusieurs officiers particulièrement cruels, il manqua presque de tuer l'un d'eux ( celui qui avait ordonné la mise �  mort de trois esclaves dont la seule faute fut d'être �  bord, pendu pour l'exemple ), et dût son exile, plutôt que la mise mort, �  sa proximité avec Jeremy Beauregard, principal investisseur de l'entreprise et �  la clémence toute paternelle du capitaine pour son jeune protégé.

Débarqué �  Vieux Fort, il rejoint Basse-Terre où un client de Beauregard, Claude Montgrandis, accepta de le prendre dans sa plantation de cannes �  sucre. Devenu tuteur des enfants de ce dernier, il eut beaucoup de temps libre qu'il passa �  explorer l'île de fond en comble, apprenant par cœur la géographie des forêts, rivières, monts et côtes, s'intéressant �  la plantation des cannes et tabacs, déplorant toujours autant l'esclavage qui seul permettait la croissance de l'île. Pendant 3 années, sa vie fut relativement douce, et connu même l'amour de la fille ainée, Marie.  D'autre part il se lia d'amitié avec un esclave nommé Kawali, bien que la rumeur disait facilement que Frederic aurait été coupable de crime de chair avec ce nègre. Après la mort de fièvre d'un des fils Montgrandis, toute la famille décida de retourner en France, comme cela était de plus en plus fréquent aux colonies, et confia l'habitation �  Frederic et Marc Vallois, un engagé de longue date et proche de Claude. 

Rapidement, la haine du second pour le jeune parvenu et promis en mariage �  la belle Marie, fut doublé d'une cruauté intolérable envers les esclaves. Plus Frédéric était apprécié par la population servile pour sa tolérance et sa mansuétude, plus Marc devenait hostile et violent.
Après deux ans de cohabitation tendue, Marc porta le coup de grâce au jeune homme plein de rêve, il parvint �  convaincre Kawali de tentative de meurtre sur sa personne et le fit exécuter avec toute sa famille. Pour Frédéric, l’ignominie était �  son comble. Fi des promesses et des relations, fi de la morale et des lois, Frederic Tifant commis l'irréparable. Après l'avoir personnellement tabassé, il le livra aux esclaves insurgés qui le mirent �  mort par le fouet qu'il aimait tant �  brandir contre eux. La Troupe débarqua le lendemain depuis la Martinique et rétablit l'ordre sans effort. Fredéric Tifant avait disparu dans la jungle de la Basse-Terre, toutes traces de son existence avec lui.

Il lui faut maintenant réussir �  atteindre Pointe-� -Pitre au plus vite avant que les esclaves ne révèlent par la torture sa participation au meurtre de Marc Vallois et qu'il parvienne �  s'échapper de cette île qui fut pour lui comme sa terre natale, et l'enfer qu'il n'avait jamais choisi.



Avantages :

Sait lire et écrire : + 2 pts

Loyal et honnête : + 2pts

excellent connaisseur d'une région des caraïbes, la Guadeloupe : +2 pts

bonnes relation avec les esclaves, mœurs et coutumes africaines : + 2 pts

curieux et intelligent, il apprend vite et bien : + 2 pts

Sait se défendre à mains nues dans une bagarre: + 2pts

meneur d'homme, conciliant et ferme, il a le charisme d'un chevalier servant : + 2 pts

organisme de fou, habitué au climat antillais, les fièvres ne l'atteignent plus : + 3


Inconvénients :

Est poursuivis par la justice française : - 3

Haine de l'esclavagisme, tout ce qui touche de près ou de loin �  la servitude le met hors de lui, ses relations avec les habitants et les négriers en sont dégradés : -2 point

Bon comme du pain blanc, est prévisible car prend toujours le parti de la justice sociale, secourt bêtement les opprimés et renonce �  toute corruption, ce qui est très handicapant n'est-ce pas !? : - 2 point


Somme : 17 - 7 = 10





HRP :


Avenir supposé de Frederic : J'aimerais bien qu'il tente de rentrer en France sans jamais y arriver, tomber dans la piraterie malgré lui, faire la chasse aux négriers etc ... Je dis ça pour ceux qui seraient intéressés pour mettre des bâtons dans les roues de mon perso, le découvrir, et participer �  son histoire.


A propos de moi et du RP : Je suis étudiant en Histoire, et notamment �  l'université de Lorient qui est réputée pour ses recherches en matière d'Ancien Régime, de Marine et de commerce colonial. J'aime le côté réaliste d'AOSD qui est �  mon goût beaucoup trop absent des jeux et Role Play de simulation historique sur internet en général. Pas un fin connaisseur du monde maritime, j'en suis pourtant un admirateur sans borne et j'aurais beaucoup de joie �  la partager ici. Pour ceux qui connaissent, je suis un grand fan de la série de bandes dessinées L'Epervier dont vous ne manquerez pas de constater qu'elle façonne mon imaginaire, et mon personnage Frederic Tifant. Je me soumet �  votre jugement ^^  
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