01 Mai 2024 à 13:17:07 Cacher ou afficher l'entête.
Bienvenue, Invité. Veuillez vous connecter ou vous inscrire.

Connexion avec identifiant, mot de passe et durée de la session
Nouvelles: Réorganisation de la carte
recherche forum pirate  
Accueil jeu :: Accueil Forum :: Aide :: Rechercher :: Identifiez-vous :: Inscrivez-vous
  Voir les messages
Pages: 1 [2] 3 4 5 6 7
16  Forums RPG sur le thème des pirates / Suggestions pour le rp / Re : Ouverture Scénario RP: Le convoi le: 06 Septembre 2015 à 18:11:10
Salut!

J aimerais faire parti de la défense du convoi s'il vous plait. Le capitaine Muzhu est disponible : http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,3956.new.html#new

Merci d'avance  Clin d'oeil  
17  Forums RPG sur le thème des pirates / Personnage principal / Re : Muzhu le: 06 Septembre 2015 à 15:12:02


Frégate "légère" de type corvette.
Nom d'origine : La flamboyante.
Nom actuel : La Déesse oubliée.

Propriétaire d'origine : Le Duc de vendée (pour la marine royale) 1740
Propriétaire secondaire : William Arrow (commerçant londonien) 1740 - 1742
Propriétaire actuel : Muzhu Ainhoa (Médecin ; commerçant )1742 -

Pavillon d'origine : France
Pavillon secondaire : Angleterre
Pavillon actuel : France / Malte   . (selon l’humeur du capitaine et du type de mission)







Chantier de construction : Bordeaux fin1737-début 1739.

Entrée en service dans la flotte du roi aout 1739.
Réformée au service en avril 1740 .
Cause d'abandon par la flotte :Petites cales et  trop légèrement armé pour la guerre dans l'atlantique.

Caractéristiques usuelles:

Type: frégate
longueur :42.5mètres
largueur de la coque : 6.8mètres
contenance : 380 tonneaux max
artillerie : 50pièces

détail armement :
     -14cannons par bordée sur le pont inférieur
     -5 cannons par bordée sur le pont supérieur
     -4coulevrines par bordée sur le pont supérieur
     -2cannons a l'avant comme armement de chasse
     -2cannons a l'arrière pour armement de fuite

équipage maximum : 190 hommes
équipage actuel : 183 hommes

détail de l'équipage:

23 officiers

un capitaine
un second
un pilote
un chevalier de l'ordre de malte
un maitre canonnier
deux chirurgiens
quatre assistants médicaux
un maitre d'équipage
un maitre coq
un maitre voilier
un maitre charpentier
un quartier maitre
huit officiers en formation

100 marins

60 soldats

Remarques particulières :

Navire de qualité avec une très bonne navigabilité . Léger, maniable et rapide. Mal grès son gabarit modeste cette frégate a néanmoins une surprenante résistance aux canonnades les plus dévastatrices. Cependant sa faible capacité de feu et de cales n'en font pas un navire idéal pour s'imposer a la canonnade face aux plus gros bâtiments.    
18  Forums de la communauté Age Of Sea Dogs / Age Of Sea Dogs / Re : Le compte à rebours le: 05 Septembre 2015 à 14:58:09
529  
19  Forums de la communauté Age Of Sea Dogs / Alliances / Re : Présentation : PtiteCreW le: 05 Septembre 2015 à 14:24:29
Salutations capitaines  

L'alliance de la PtiteCreW ré ouvre ses portes!
Quelques places sont disponibles pour des joueurs motivés qui désireraient nous rejoindre. 

Au programme :

- Des attaques en alliances (participation libre)

- Des duels sont proposés aux membres afin que ceux cis puissent bénéficier des bonus liés aux caractéristiques persos.

- Un rp de guilde est en cours de préparation (participation libre)

- Des échanges animés sur notre chat d'alliance et le forum de guilde  Grimaçant

- Des conseils primaires , stratégie de base et des informations utiles relatives au jeu.

- Et bien sur la légendaire hospitalité de notre petite communauté

Si vous êtes intéressés ou que vous avez des questions : n'hésitez pas a nous contacter directement par mp ou ici même!

Dans tous les cas nous vous souhaitons fortune et gloire a l'horizon !
   
20  Forums de la communauté Age Of Sea Dogs / Age Of Sea Dogs / Re : Le compte à rebours le: 02 Septembre 2015 à 11:50:46
539  
21  Forums de la communauté Age Of Sea Dogs / Age Of Sea Dogs / Re : Le compte à rebours le: 01 Septembre 2015 à 17:57:39
546  
22  îles du vent ou petites antilles (zone rp) / Sainte Anne / la remise a flot. le: 01 Septembre 2015 à 14:35:25
Saint Anne (juillet 1742)
                              
Le jour se lève enfin sur la belle ile de Guadeloupe.

A sainte Anne alors que la brume matinale commence a se dissiper , la ville se réveille doucement. Marchands et colporteurs affluent sur la place du marché et les habitants commencent a reprendre possession des ruelles animées du centre ville. Les enfants jouent bruyamment sous la bienveillance de leur mère au milieu des passants. Sur la place une litanie de couleurs vives et d'odeurs d'épices exotiques  embrouillent délicieusement sens et perceptions. Étals de marchands en tous genres côtoient les boutiques des négociants fortunés dans une chaleur, déj�  accablante.  

A la frontière de ce quartier, la ou grand rue se noie sur les quais, se trouve un ancien hôtel particulier . Un bâtiment de deux étages ouvert sur une belle coure intérieure abritant un petit bassin d'eau alimenté par une source claire et propre .
Du passé glorieux et prospère de cette battisse il ne reste plus que l'architecture cossue dégradée par le temps. Désormais l'aspect abandonné rebute les badauds alors qu'il y a encore quelques années ceux cis se pressaient devant afin d’espérer y apercevoir ses nobles habitants. Bien qu'en façade ce lieu soit complétement décrépi, l'intérieur a tout de même gardé son élégance originelle. Carrelages de maitres , marbres blancs , sculptures somptueuses et boiseries exotiques ont bien résisté aux outrages du temps. Le propriétaire : un ancien officier du roi a la retraite n'avait pas hésiter a y sacrifier une bonne partie de sa fortune.Il y était décédé et depuis de sombres histoires de fantômes hantant les lieux avaient terrorisé deux générations de petits voisins.

 L'endroit désormais est occupé par le capitaine muzhu et son équipage . Profitant d'un lieu idéalement placé (entre marché et quais) et d'une superficie imposante le capitaine a décidé d'y ouvrir un dispensaire de soins médicaux. Au départ ils cherchaient seulement une "planque" ou petite case afin de pouvoir reprendre quelques activées lucratives mais quand ils découvrirent le "palace" l'endroit fut aussitôt adopté.  Sans navire et sans revenus trouver cette imposante habitation abandonnée avait été plus que providentiel.

L'équipage s'était démenés sur les travaux de réhabilitation, bien que l'ensemble fut en très bon état. "Le manoir" comme l’appellent les marins était désormais prête a recevoir ses premiers patients. Le capitaine, homme respectueux des convenances (quand cela l'arrange) avait obtenu l'approbation du gouverneur de l'ile. Il avait même réussi a récupérer le matériel médical d'un galion de guerre hollandais confisqué par les autorités. Il avait aussi obtenu des financements pour l'aboutissement du projet. Désormais pour l'équipage "le manoir" fut rebaptisé "l'infirmerie du capitaine". Tout comme "l'institution" ce nom fut vite adopté par toute la ville puis quelques mois plus tard par toute l'ile.

 Muzhu avait récupéré du "poil de la bête" et bonne partie de l'équipage possédait désormais de solides connaissances en médecine . Remarquant les efforts de l'homme le gouverneur en personne vint un soir avec son médecin particulier visiter l'établissement. Ils furent surpris de constater la qualité des rénovations apportées a l’édifice et la propreté de celui ci. Ils firent un tour de l'équipage posèrent quelques questions hygiene santé , diagnostique et techniques médicales. Tout se passa bien. Apres discussion autour d' un bon verre de cognac dans le bureau du capitaine muzhu ils officialisèrent le statut d'infirmerie de campagne du lieu. Dans l'accord il était inclu le statut de clinique privée accréditée par les medecins royaux en plus de rentes régulières de la couronne. Il fut aussi convenu qu un jeune chirurgien tout juste sortis des écoles ainsi qu'un officier de l'ordre de Malte viennent aider a gérer la structure . Le professionnalisme et le sérieux avec lequel la médecine était pratiquée ici enchanta le médecin personnel du gouverneur et celui ci commença alors a venir pratiquer des opérations sur ses patients dans les locaux. Quelques semaines après sa visite officielle avec le gouverneur le vieux docteur fréquentait assidument l'infirmerie. La boucle se boucla lorsqu'il s'accoquina avec le chevalier de l'ordre . La place étant tout de même limitée un accord fut passé avec un couvent de bonnes soeurs a la sortie de la ville affin que désormais les convalescences se déroulent chez elles . Le couvent eut a s’agrandir on construisit alors deux bâtiments qui serviraient de lieux de soins. D'autres officiels Maltais s'ajoutèrent et bientôt les deux structures furent totalement opérationnelles. L'ordre de Malte avait désormais une solide influence sur les autorités Françaises de l'ile. Le capitaine Muzhu connaissait bien l'ordre ; il avait souvent travaillé pour ses intérêts en méditerranée. Il avait alors fréquenté les capitaines chevaliers de l'ordre qui se battaient sans cesse contre les ennemis de la chrétienté et pirates en tous genre. Grâce a cette période de sa vie et ce qu'il avait accompli ici il fut très vite estimé par les chevaliers de la croix. L'infirmerie fut vite réputée dans toutes les Antilles et il n'était pas rare de voir des gens importants faire quelques jours de navigation afin de venir se faire soigner par les mains expertes du capitaine .

Mais la réputation grandissante et l'or qui rentrait dans les caisses régulièrement ne suffisait pas a combler Muzhu. Son bateau lui manquait terriblement et bientôt il se mit a chercher un plan pour le récupérer...  

L’occasion idéale se présenta bruyamment par une douce soirée d'octobre. Il était dans les alentours de vingt trois heures lorsque une formidable canonnade tonna au large de la anse sainte Anne.

 Pendant quelques minutes ce fut la panique : le vent du sud amplifiant le son de la bataille la ville s'était crue la cible des cannons. Les soldats étaient  a leurs poste sur les remparts avec officiers hurlants des ordres prêts a faire feu sur la première voile en vue. Certains habitants étaient sortis avec leurs mousquets et s'étaient joints aux équipages des navires a quais qui étaient prêts a soutenir la garnison. Cependant aucun boulet ne tomba sur eux ni aucun navire ne s'approcha. Quand les autorités comprirent que leur heurt avait eu lieu au large on dépêcha au plus vite deux frégates et un brigantin affin d'aller identifier la menace et la repousser si besoin est. La mer était calme , ils sortaient en force rien ne pourrais leur résister.

Quand la force navale arriva sur place, la bataille était terminée. La pleine lune éclairait un brick abimé battant pavillon hollandais , flottant sur un océan de débris. Les frégates prirent place empêchant au navire tout échappatoire et le brigantin tous feux allumés s'approcha en vue d'un abordage. Le brick ne tenta aucun mouvement et très vite il fut abordé. A bord le chaos régnait .Le navire avait démâté et un enchevêtrement de cordages bois et cadavres empêchaient tout passage aisé. Beaucoup de blessés grave dont le capitaine furent embarqués sur une frégate qui rentrait au port. le reste de l'équipage resterait pour manœuvrer lors du remorquage .

A bord du brigantin les capitaine hollandais raconta son histoire. Ils étaient partis de saba en direction de Maracaibo . En chemin ils avait été suivi par deux sloops au pavillon noir. Voulant prendre le moins de risque possible ils s'étaient alors dirigés vers saint Anne en espérant que la proximité des autorités françaises les aurais mis en fuite. Les brigands nullement impressionnés avaient quand même lancé l'attaque. Cependant le capitaine homme rusé avait intentionnellement dirigé un des assaillants sur les récifs acérés. Le navire coula vite mais l'autre ouvrit le feu. Bien sur le brick avait riposté et le combat qui s'en suivi tourna a son avantage. Pour finir le sloop pirate tenta de filer mais une dernière volée de boulet eu raison de lui.

Arrivé au port les blessés furent conduits a l'infirmerie du capitaine. Odeurs d'alcools et de sang ,visions de morts et de désolation , cris de trépas et hurlements de souffrance furent au programme. Même si l'équipage et Muzhu se démenèrent cette nuit nuit la il y eu beaucoup de morts et d'estropiés. Le capitaine hollandais avait perdu sa main gauche.

Malgrès tout ils avaient fait un travail remarquable et l'homme remercia fortement Muzhu. Celui ci parlait un français tout a fait correct et très vite les deux capitaines sympathisèrent . Le hollandais gentil homme et homme d'honneur considérait avoir une dette éternelle envers son sauveur . Muzhu sauta sur l'occasion et raconta son altercation avec le marchand roublard et le gouverneur de Saba en espérant de l'aide pour récupérer son navire.


 L'homme écouta attentivement l'histoire et ne pu cacher la gène sur son visage. Pour la première fois il présenta ses fonctions; Capitaine Van derwig intendant des impôts de Saba , neveu du gouverneur en fonction. Celui ci expliqua se souvenir avoir vendu le navire a bon prix a un marchand Portuguais qui partait pour l'Europe. Alors que tout espoir disparaissait pour Muzhu il ajouta que si cela l'intéressait il y a avait deux navires en saisi a quais et que il pourrait choisir celui qu'il lui plaisait . L'un était un brigantin anglais de Plymouth quasiment neuf et l'autre une jolie frégate corvette des chantiers navals de bordeaux. L'homme était plus que sérieux et il fut décidé qu'a la fin de la semaine Van derwig rentrerait pour Saba et que Muzhu et son 'équipage l'accompagnerais afin de prendre possession de leur nouvelle coque. Le chirurgien de bord et deux hommes vraiment compétents en médecine furent chargé de tenir la clinique en absence du capitaine.

La mer était calme et la traversée fut longue .Autant Muzhu que l'équipage, ils étaient impatients de découvrir les navires. En effet Muzhu attendait de constater l'etat des navires pours se décider. Enfin Saba fut en vue.
L'accostage se déroula dans le calme. Pendant que l'équipage de Muzhu aidait a décharger le brick celui ci fut invité a venir inspecter les deux navires.

 Dès qu'il aperçu la "flamboyante" ce fut le coup de foudre. La frégate semblait fine et gracieuse , légère mais robuste : elle semblait parfaite. Son bois était de bonne facture et avait été assemblé avec soin. Son architecture bien étudiée devait facilement prendre les 12noeuds et résister a de belles canonnades . Une vingtaine de cannons étaient déj�  a bord mais la belle pouvait en contenir deux fois plus! Du bel ouvrage signé d'un architecte doué d'un chantier réputé. A coté le brigantin faisait pale figure : "the Shield" un navire certes neuf mais basique avec peu de personnalité mal grès son état irréprochable.  

L'homme plus habitué a récolter les impôts et s'occuper des comptes qu'a commercer, vendait les deux a pris semblable. Il ne vit donc aucun souci a céder la frégate. L'accord fut conclu par une bonne bouteille qui bien sur ne resta pas seule bien longtemps .

Le lendemain ,papiers du navire en poche, le capitaine muzhu rassembla sa troupe afin de prendre possession de la "flamboyante". Quand ils montèrent a bord le capitaine eu droit a belle ovation puis l'équipage fit le tour du propriétaire avant de se mettre a la manœuvre d'appareillage . Ils levaient l'ancre pour Saint Anne afin d'apporter quelques améliorations au navire et de recruter quelques bras supplémentaires. Le trajet fut un plaisir : le navire répondait bien a la manœuvre , sa stabilité et sa vitesse étaient exemplaires . Il semblait fendre la mer et les vagues sans aucun effort avec une facilité surnaturelle.

Le gouverneur fut informé que le capitaine Muzhu venait d'accoster . C'est qu'avec surprise on avait constaté son identité car la frégate qu'il commandait battait le pavillon rouge a la croix blanche. Le capitaine battait désormais pavillon de l'ordre a la place de celui du roi? Il faudra tirer cette histoire au clair ...

Une fois a quai la "flamboyante" fut renommée "La Déesse oubliée" et fut équipée a son maximum offensif. On renforça le navire dans son ensemble et le bastingage en particulier. la cabine de médecine elle aussi fut optimisée de satisfaire le capitaine et le nouveau chirurgien de bord. Le plein des cales effectué , le navire fut fin prêt pour l'aventure.







   
23  Forums de la communauté Age Of Sea Dogs / Age Of Sea Dogs / Re : Le compte à rebours le: 21 Août 2015 à 20:28:33
566  
24  Forums de la communauté Age Of Sea Dogs / Age Of Sea Dogs / Re : Petit jeu! le: 16 Juillet 2015 à 20:44:47
Larmes> Tristesse    
25  Forums de la communauté Age Of Sea Dogs / Age Of Sea Dogs / Re : Le compte à rebours le: 16 Juillet 2015 à 20:44:20
683  
26  Forums RPG sur le thème des pirates / Suggestions pour le rp / Re : Recherche personne motivées quant à la création d'un rp le: 16 Juillet 2015 à 20:42:44
Salut

Je viens de créer un perso j attends qu'un mj me le valide (ou le corrige)  et je suis ton homme!   
27  Forums RPG sur le thème des pirates / Personnage principal / Muzhu le: 16 Juillet 2015 à 20:07:35
Nom:Ainhoa
Prénom:Muzhu
Nationalité:Française (basque)
Age:24 ans
Taille:1m78
Poids:70kg


Portrait général:
le visage fin comme taillé a la serpe avec de courts cheveux noirs comme le jais le capitaine Muzhu n'a pas un air très commode.Ses yeux grands et sombres sont particulièrement expressifs avec un regard profond. Mal grès son jeune age il inspire l'autorité de ces vieux capitaines du temps passé. Cependant c'est un être bon et compréhensif a l'intérieur. La justice est pour lui une valeur capitale et sa fiabilité en tant que marin est reconnue. Fin et agile c'est un bon escrimeur au réflexes félins.



Son histoire:
Au l’extrémité sud ouest du royaume de France, la ou les montagnes rejoignent la mer se trouve une contrée assez sauvage peuplé d'hommes tirants subsistance de la mer. Le capitaine Muzhu est née dans un petit village de pêcheur a quelques kilomètres de Bayonne.
 Très tôt au vus des us et coutumes de son peuple et du mode de vie de sa famille il fut en mesure de se destiner a parcourir les mers. Né d'un père architecte naval et d'une mère issue de famille bourgeoise lui ses trois frères et ses deux sœurs ne manquèrent jamais de rien. Ses parents étaient des gens bons,aimants dédies a leurs enfants et a leurs investissements.    pour les investissements  parmi ceux ci comptaient : une grande maison idéalement situées près des quais bayonnais 5 goélettes diverses 6barges la plus part étaient louée a des pécheurs des environs et un petit chantier naval fabriquant  navires de pêche réputés de bonne facture ; Le chantier ne produisait jamais rien de plus grand qu'une goélette mais au vu de sa clientèle bien suffisant  .  
Tout le monde s'entendait bien et l'avenir semblait radieux pour la famille.

Les enfants furent éduqués de façon a devenir de "Bonnes gens" sans toutefois négliger l'enseignement de la mer . tous allèrent tôt a l’école et tandis que ses frères se destinaient a un avenir de négociants armateurs et architecte Muzhu lui avait décidé d'aller étudier la médecine.
 A 14 ans il embarqua sur L'impertinent navire de guerre de sa majesté roi de France en tant qu'aspirant médecin après deux ans préparatoires a étudier a Bordeaux . L'impertinent était une belle frégate de type "course" et embarquait a son bord 260marins et officiers 50canons . Elle était fine légère et rapide tout en offrant une bonne puissance de feu.
 Mal grès cela rien n’aurais pu le préparer a ce qu'il aller devoir affronter. La guerre faisait rage entre l’Angleterre et la France. Les heurts et combats marins étaient fréquents et meurtriers. Limpertinent était commandé par le chevalier de Sévignac grand combattant et bon marin. Grâce a l’expérience de celui ci le navire avait jusqu’�  présent été plus ou moins épargné par cette guerre . Bien-sur lors d'une canonnade: il y a des victimes dans les deux camps. Mais quand on se trouve sous le feu des boulets chauffés a rouge par l'explosion et que l'on doit soigner un nombre croissant de blessés a chaque impact,  la victoire se mélange a la défaite et a la mort dans un bain de sang et de métal fumant .

trois ans avaient passés et La guerre avait perdu en intensité. L'atlantique nord était plus ou moins redevenu paisible on parlait même de traité de paix . Muzhu quand a lui avait changé ces années l'avait rendu taciturne désormais il n'hésitait plus a critiquer les autres guerriers du capitaine.  Quand L'impertinent appareillait de Brest pour les pays bas ce soir la , le capitaine et l'équipage semblait serein: la mer était belle et les cales pleines . Un œil averti aurait même aperçu un soupçon de relâchement au niveau du comportement du capitaine.

A  l'aube du troisième jour la rade de calais s’offrait a eux. Ils s'y engagèrent. Au bout de quelques heures le vent avait tourné et la tempête s’annonçait mauvaise. Une barque fut aperçue se dirigeant vers le navire. le capitaine fit tomber les voile afin de réduire notre vitesse pour la récupération du canot. C'était un canot de sauvage du Hms Queen of wales . La tempête faisait rage au nord et leur navire s’était fait surprendre il avait du percuter les rochers immergés des cotes anglo saxonnes . Tout du moins c'est ce qu'affirmait l'équipage. Aucun officiers n'avaient survécus et ils affirmaient être les seuls rescapés car aucune autre chaloupe n'avait pu etre mise a l’eau avant l'engloutissement du navire. Ils étaient sales mal habillés et semblaient suspect. Ils furent mis au arrêts en tant que prisonniers de la flotte royale. Un bon repas leur fut distribué alors que nous remontions le canot a bord. Bientôt les voiles redescendirent et nous recommencèrent a prendre de la vitesse . Le capitaine en homme prudent désirait se débarrasser au plus vite de ces intrus a bord et par la même occasion de se mettre a l'abri de la tempête. L'impertinent filait donc vers calais.

 Quelques minutes plus tard la vigie annonçait une voile derrière . C'était le Hms Shield un magnifique deux ponts carré qui avait pris en chasse. le capitaine ordonna le branle bas de combat mais au vu des circonstances ils étaient en bien mauvaises posture. Le Shield fendait la mer a une vitesse impressionnante et fut sur eux en un rien de temps. La pluie commença a tomber alors que les premiers coups de cannons retentirent  La canonnade fut brève mais dévastatrice.  Sur 260marins a bord de l'impertinent on dénombrait une centaine de morts et au moins autant de blessés graves. L'équipage avait presque été anéanti et des officiers ou aspirants seul Muzhu était encore en vie. Le hms Shield remorqua non sans difficulté l’Impertinent jusqu’�  Douvres ou le navire fut amarré et réquisitionné par la royal navy.

 Muzhu et l'équipage finirent en prison jusqu'a la fin de la guerre. Ils y passèrent 16mois. Ce fut pendant ce temps que Muzhu se perfectionna dans la médecine. Le chirurgien du Shield avait été impressionné de voir un garçon aussi jeune pratiquer des opérations chirurgicales aussi complexes avait un calme et un sérieux inébranlables , lui avait amené nombre d'ouvrages et de matériel afin qu'il puisse bien soigner ses compagnons. Peut être le fait d'avoir recueilli a bord les marins du Queen of Wales avait joué en leur faveur. finalement quand ils furent relâchés il garda contact avec ce généreux homme de science qui lui avait permis de soigner ses camarades alors que leur mort par maladies était presque imparable.

Il passa quelques mois en compagnie du chirurgien qui lui ouvrit des portes jusqu’�  présent fermées.
Quand finalement il rentra en France il bluffa les examinateurs des concours de chirurgie fut vite diplômé  et rentra avec hâte chez lui. C'est avec stupeur que sa famille l'accueilli : ils avaient reçu un papier officiel le déclarant mort. Bayonne la ville avait changé il ne la reconnaissait presque plus son père et deux de ses frères avaient étés emportés par un mauvaise fièvre ses sœurs mariés a deux notables du coin seul son ainé avait repris la direction du chantier naval et sa mère ne parlait plus depuis la mort de son mari. La flottille que possédait la famille avait été vendue pour renflouer les caisses toujours plus vides du chantier naval.

Avec ses quelques économies il fit construire par son frère une belle goélette franche avec laquelle il commença une activité de transport maritime.  Il avait alors 20ans. Il commença alors ces pérégrinations sur l'atlantique puis sur la méditerranée. Sur cette mer les marchands devaient faire face au redoutables pirates musulmans ce qui l'obligea a se surpasser lors des combats il en gardé un certaine habilité a l'épée.  Une fois sa réputation faite il enchaina les courses puis cessa toute activité lorsque il eut suffisamment d'argent de coté pour aller s'installer dans les caraïbes  . La destination fut choisie : l'ile de Guadeloupe . Le voyage se passa bien et ils arrivèrent sans trop d'encombres a destination. une fois sur place ils prirent quartier a Pointe a pitre . Il fit quelques courses  puis lors d'une transaction douteuse avec un marchand de Saba  il se fit arrêter avec tout son équipage et son navire fut saisi . La nuit avant leur procès ils s’échappèrent profitant du manque de surveillance des sentinelles alcoolisées . Avant de partir il pris bien soin de mettre une lame sous le visage grassouillet et ruisselant de larmes du gouverneur de Saba . Il pris bien soin de l'insulter et de se moquer de son embonpoint avec de disparaitre dans la nuit. En une nuit il avait commis : plus de crimes qu'il n'en avait fait dans la vie. Une transaction plus que douteuse une évasion , la menace d'un officiel hollandais et l'humiliation de celui ci par ses multiples larcins.

 Depuis il est rentré a pointe a pitre son navire confisqué et avec un équipage amoindri il a la fâcheuse tendance a boire et délirer ce qui peut renforcer son agressivité.  

(http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,3977.msg118191.html#new)
Mal grès ses déboires il a réussit a fonder une infirmerie de haut standing dans la ville de Sainte Anne. L' institution: sérieuse et professionnelle n'a pas tardé a bénéficier d'une solide réputation . Suite a une série circonstances hasardeuses  il se retrouve désormais en possession d'un nouveau navire . Cependant le voila désormais affilié au gouverneur de Guadeloupe ainsi qu'a l'ordre de Malte qui le revendiquent afin de servir leurs intérêts.
 





avantages:
lire et écrire +2
nager+2
agilité des fauves+4
médecin+3
organisme de fou+3
bon navigateur+1
capitaine +5
combattant hors pair (épée)+2




défauts:
impertinent+3
paranoïaque+2
poursuivie par la justice (quelques soucis avec les autorités hollandaises de Saba)+1
addiction alcool +2
fou+2  
28  Forums de la communauté Age Of Sea Dogs / Age Of Sea Dogs / Re : Petit jeu! le: 14 Juillet 2015 à 00:44:32
médecine > santé  
29  Forums de la communauté Age Of Sea Dogs / Age Of Sea Dogs / Re : Le compte à rebours le: 14 Juillet 2015 à 00:43:29
696  
30  îles du vent ou petites antilles (zone rp) / Roseau / le brick du feu de la saint jean. le: 14 Juillet 2015 à 00:32:37

Il y a de ca quelques années; lorsque vigueur et jeunesse animaient encore ma vieille carcasse ...

 Mon père était architecte au service de la couronne et nous avions l’habitude de le suivre lors de ses chantiers. Cette année la , notre bon roi avait décidé de faire construire quelques fortifications au sud de Roseau afin de surveiller le trafic maritime. Encore une fois ce fut mon père qui fut envoyé afin de réaliser le projet. L'endroit choisi  (:la pointe michel ) avait mauvaise réputation: nombre de forbans naviguaient alors dans ces eaux et la pointe leur servait de point de repère. Certains de ces flibustiers allaient même jusqu’�  allumer des feux sur l’extrémité de la pointe sur le lieux qui leur servait a accoster : une fine bande de sable qui zigzaguait parmi les rochers immergés.

Mal grès sa sulfureuse réputation la pointe était une terre riche en ressources et complétement déserte. Les travaux commencèrent et bientôt le fortin fut terminé il n'avait fallu que quelques mois pour ériger les quatres tours et la muraille .Le reste avait, lui aussi vite suivi : un ponton tout en bois de modeste taille mais plus que suffisant en ces lieux , une auberge et quelques habitations éparses autour. Dans les semaines qui suivirent d'autre masures avaient poussé autour avec diverses échoppes ainsi qu'une place du marché était en construction.

 Les gens arrivèrent petit a petit et bientôt la pointe st Michel se transforma en village parfaitement fonctionnel. Une caserne fut finalement construite dans l’enceinte du fort et deux postes de grades furent aménagés au nord et au sud du bastion afin d'étendre l'influence de celui ci. désormais le village était assez fréquenté et l'endroit tendait a se civiliser un minimum. C'est a ce moment la que mon père reçu la lettre. La France venait de rerentrer en guerre contre le voisin anglois. nous étions rappelés au pays afin de doter Cherbourg de nouvelle fortifications. Ou tout du moins renforcer celles déj�  présentes. Une frégate partirait le 5 de Roseau en direction de Bordeaux.Nous étions alors le 2 au soir et je réalisait avec horreur que nous devrions partir le lendemain pour ne pas manquer celle ci .  La belle vie au soleil a jouer sur la plage était terminée. Triste de la nouvelle j allais chercher mes camarades de jeux pour profiter une dernière fois du temps en passé en leur compagnie dans ce paradis terrestre. Notre petite troupe réunie nous décidâmes alors de descendre vers le sud de la plage la ou les eaux étaient noircies par les rochers immergés et les épaves des inconscients. Nous nous installâmes comme nous avions l'habitude le faire : un petit feu pour faire griller quelques dorades et des tissus pour s'allonger confortablement sur le sable. Pour fêter mon départ mon ami Paul ouvrit une bouteille d'un alcool fort puissant originaire de la region: du ruhm. La soirée si tranquille c'etait transformée en véritable beuverie. Pour la plus part d'entre nous nous n'avions jamais consommé d’alcool et celui ci fit plus que son devoir sur nos pauvres petites têtes. Au fur et  mesure que l'affreux breuvage diminuait notre vue nous rajoutions du bois dans le feu . Si bien qu'il passa d'un simple feu de camp en gigantesque bucher avant que nous ne nous soyons rendu compte de quelque chose. Soudain l'un d'entre nous (je ne sait plus lequel) nous désignât une voile naviguant a bonne allure vers notre direction. Souls comme cochon nous étions émerveillés par ce brick aux grandes voiles blanches navigant a bonne allure, éclairé par la demi lune sur une mer noire d'encre. Il se raprochat rapidement si bien qu'une poignée de minutes avaient suffi pour le porter a seulement quelques miles de la cote. Quand soudain il me vint une pensée folle : serait il attiré par notre feu pensant déj�  être a hauteur de la pointe ou même de roseau? Non cela était impossible! certes le feu était haut mais de la a le confondre avec les feux de signalisation de la cote! Perdu dans ma réflexion je ne fit rien pour éviter le drame.

 Le brick était un navire de commerce français parti d Aruba 5 jours plus tôt avec une cargaison de coton . En effet celui ci se dirigeait bien vers Roseau . Ayant traversé une vive tempête qui coutât la vie a 23 membres d’équipages et du capitaine, le bateau avançait a l'aveugle dirigé par un équipage blessé désespéré et affamé. Le feu que nous avions allumé avait malheureusement bien était pris pour celui qui guidait les navires au ponton de la pointe st Michel.

Réalisant ce qu'il était en train de se passer nous essayâmes d'éteindre le brasier. Peine perdu le brasier était bien trop vif pour que nous puissions ne serait ce que l'affaiblir.

A bord du brick la joie et la liesse avait envahi l’équipage ils se croyaient sauvés.

De la plage nous entendîmes les cris de joie des marins et la nous nous sommes mis a crier au bateau de faire demi tour de ne plus avancer et même de jeter l'ancre.

Peine perdue . Le brick poussé par le vent se reprocha encore plus vite et dans un craquement des enfers percuta violemment les rochers traitres cachés sous la surface. l’Océan agité ne mis pas plus d'une minute pour engloutir le malheureux esquif et son pauvre équipage. Il était suffisamment près de la cote pour que même en pleine nuit nous puissions lire son nom "le saint jean".

Nous courûmes alors jusqu’�  la pointe ou nos cris réveillèrent  le village endormi. 5min plus tard tous les hommes valides décidèrent de nous accompagner sur le lieu du naufrage . Quand nous sommes arrivés le soleil venait de se lever. d'innombrables bouts de bois de toutes tailles et de toutes formes constellaient la plage . De ci de la des poulies ;cordages  tonneaux et cadavres. il ne restait sur le sable que les résidus du drame qui s’était joué quelques heures plus tôt.

Visiblement choqués par la tragédie un petit groupe d'homme décida de nous ramener a domicile avant de revenir aider les autres a "nettoyer" la plage et enterrer les pauvres matelots .

L’opération fut longue et dura des jours. Bien sur notre famille avait raté la frégate qui devais nous ramener en France et la guerre avec l'anglais ne nous permettrais pas de disposer d'un navire de si tôt. Les mois passèrent et le drame ne fit plus qu'un vague souvenir.

La plus part de mes amis qui étaient la ce soir la avaient rejoins la flotte du roi . Notre village était maintenant devenu une petite ville ou les vaisseaux de guerre venaient de temps a autre s'approvisionner. Seule la guerre faisait parler désormais.

Un soir ou je ne trouvais pas le sommeil je me mis en tête d'aller faire une promenade avec le dernier de mes anciens camarades. Je le trouvais chez lui fumant d'étranges plantes tropicales mélangées au tabac brun des colonies. Il accepta aussitôt la promenade nocturne .

Pendant que nous marchions vers le sud en longeant la cote nous parlions du passé et de ces trois années passés sur l'ile , de nos amis éparpillés au vent et même de la belle Lisa fille d'un notable de Roseau. Bien qu'ayant surement tous deux pensé au naufrage nous n'en parlions point. Mais nos pas nous ramenèrent sur le lieu du drame.

Assez tranquilles nous nous asseyames dans le sable et tandis que mon ami ressortait sa pipe je vis une voile a l'horizon.

La situation semblait irréelle l'histoire se répétait mais ce coup ci aucun feu sur le sable n'aurait pu attirer ce navire alors pourquoi celui ci faisait cap sur eux risquant lui aussi de se fracasser contre les rochers! le gabarit la vitesse cette façon saccadée de changer de cap : cela aurais pu être le même navire.

Mon ami me dévisagea longuement et sans même changer le ton de sa voie me demanda : "tu le vois?"
Sans un mot avec un signe de tête je lui répondit a l'affirmative. Il tira une longue bouffée sur sa pipe. Ne pouvant bouger revivant la scène en boucle dans ma tête je ne puis seulement revivre cette tragédie une fois de plus.

Le brick s'approcha de plus en plus . Et quand finalement il percuta les rochers nul bruit du terrible fracas ne nous parvins aux oreilles sidéré je me rapprochait du navire et la sans criée gare celui ci fit marche arrière ce qui était impossible au vu du choc qu'il venait de recevoir mais aussi d'autant plus impossible que le vent jouait contre lui. le spectre fit demi tour sans un bruit sans se soucier du vent, courant ou même de nous. Comme si dieu lui même n'aurait rien pu faire pour empêcher cela . et tandis qu'il s’arrêtait a notre niveau nous vîmes la lune se découvrir et venir éclairer d'une lueur blafarde la coque du brick ou nous pûmes lire sans aucune difficulté : "Le saint jean".

cette vision hante encore aujourd'hui, mes nuits.

Cette histoire est vraie moussaillon ne la prends pas comme une histoire pour faire peur aux enfants . La mer est belle et claire mais elle peut aussi être sombre et mauvaise ne l'oubliez jamais. Et si une nuit par tribord vous apercevez le saint jean n'oubliez pas de vous signer et de bien  réciter vos prières car nous pouvons être sur de ces intensions .

 




   


   
Pages: 1 [2] 3 4 5 6 7
forum pirates rpg Powered by SMF 1.1.21 | SMF © 2006, Simple Machines
** Respectez la charte **
Page générée en 0.347 secondes avec 21 requêtes.