C'était maintenant la centième fois qu'Arvedui passait ce couloir. Cette partie du manoir n'avait qu'une seul utilité: Renforcé la sécurité anti-évasion des esclaves, car ce couloir menait au geole ou l'ont enfermer les 3 esclaves. Sans décoration, presque entièrement dans le noir a cause des nombreux bareaux devant l'unique ouverture, ce couloir était très peu confortable. Au bout du couloir, ce trouvait 4 cellules. 2 esclaves étaient déj� dedans, un par cellule. Une autre était attribué a Arvedui, et l'autre était vide, car l'esclave dedans venait d'être vendu.-Rentre là dedans, esclave! dit le Garde, bien qu'avec un ton neutre
Le garde qui escortait Arvedui jusqu'� sa cellule ouvrit la porte et laissa l'esclave rentrer avant de la refermer a clef. Elle possédait un lit, un trou servant de toilette et une espèce d'étagère de 3 petits étage qui servait elle d'armoire. Mais on n'y voyait rien du tout en faite dedans, car il ne possédait aucune ouverture mis a part la bouche d'arréation.
A taton, Arvedui réussit a trouver le lit et se coucha. Rapidement le sommeil le trouva et l'envelopa de son étreinte chaude et rassurante.Quelque chose frappait la porte, puis Arvedui entendit une clé tourner dans la serure. Une faible lumière entra, déssinant la silhouette du garde. A demi réveillé, il se redressa de son lit. Une chouette huhula dehors, il devait encore faire nuit-Debout! Maitresse Zara te demande
Sans tarder, Arvedui se leva, enfila quelques habit et suivit le garde. Il repassa le même couloir, le même jardin symétrique et très coloré, mais prit la direction du manoir. C'était la première fois qu'un esclave allait dans le palais a sa connaissance? Le garde toqua a une porte et une vois féminine lui ordonna d'entrer.-Très bien, dit Zara, vous pouvez nous laissez.
-Vous êtes sur Mada...
-Que voulez vous qu'il me fasse? Il est enchainé.
Arvedui courbait la tête, attendant que son propriétaire lui adresse la parole. Evidament, il ne pouvait pas voir toute les magnifique richesses qu'il aurait surement voler dans d'autre circonstances. Le garde sortit, les laissant seul.-Assit toi sur le lit.
Arvedui avança, toujours tête basse. Ses chaine au main cliquetait légèrement. Il jeta un rapide coups d'oeil a la femme. Elle était habillé d'une robe très légère et assez moulante dont le décolté ne cachait pas grand chose. Cette image s'imprima dans sa tête en 1 seconde, juste le temps que le regard dura. Enfin il arriva et s'assit timidement. Malgré la différence d'age de 6 ans entre le garçon et sa maitresse, Arvedui avait presque la même taille. La femme aussitôt le poussa pour qu'il s'allonge et commença a tirer sur son pentalon. Instinctivement, le garçon la repoussa.-Je t'ordonne de te laisser faire! dit t'elle en lui plaquant les mains derrière la tête
Arvedui se débatit, réussit tan bien que mal a mettre ses pied sur le ventre de Zara et poussa de toute ces forces. Aussitôt la femme vola en arrière. Elle laissa échapper un petit cri, se releva et lança le regard le plus sombre que Arvedui vit.-Ah c'est comme sa! Et bien je te donnerais a la première racaille que je te trouverais. Et une femme de préférence! Garde!
Aussitôt le garde entra, regarda la femme et se précipita sur Arvedui pour l'imobiliser, même si le garçon n'avais pas fait un mouvement.-Attachez lui les mains dans le dos et les pied. Je vais faire un tour en ville avec lui. Seule. Faite le maintenant!
Le garde s'exécuta, et Zara prit Arvedui par le bras avec une bonne poigne et l'emmena en ville