Forum pirates rpg | David Duroti,dit DD le borgne

HISTOIRE DE DAVID DUROTI

David Duroti est né � Grenade d’une mer paysanne et d’un père noble, son père refusant d’avouer au reste de sa famille qu’il avait eu un enfant avec une paysanne, partit sans laisser de trace. Depuis 7 ans on passer et David c’est découvert un rêve, celui de prendre la mer pour explorer le vaste monde. Le jour de son 11 éme anniversaire sa mère lui dit tout ce quel savait sur son père, ainsi ce jour l� il apprit que sont père s’appelait Pierre Duroti, qu’il était noble et qu’il avait refusé de vivre avec sa mère pour ces même raison. En entendant ses fait il décida qu’� partir de se jour l� il ne ferra plus rien de respectable. Ainsi, il devient impertinent et de moins en moins aimé, il s’attaquait � tous le monde allant du paysan du coin au plus noble. Un jour, il s’en prit a un garçon de 13 ans plus grand que lui, ce garçon s’appelait Louis Balzac, ne se laissant pas faire il provoqua David en un duel a mort, au sabre. David ne pouvant plus se défiler il retrouva Louis dans une ruelle abandonné. Balzac fournit deux sabre un pour lui et un pour David, ils se préparèrent au combat. Au début David ne fit que parer il reçut même quelque blessure, une plutôt grave et deux superficiel. Au bout d’un certain temps David s’habitua au maniement du sabre et commença a riposté. A force de paré Louis il avait � peu près trouvé sont style de combat. Ainsi pu t’il esquiver un coup fatal et en profita pour désarmé Louis. Répugnant de prendre sa vie il partit en laissant Louis sur le pavé. Lendemain, sa mère l’envoya chercher des vivres, il arriva vers les échoppe quand il croisa Louis, celui-ci l’abborda, il lui dit qu’il s’excuser de l’avoir blessé si durement et que pour se faire pardonnait il l’accompagnerait sur sa route. Ainsi durant 13 ans David et Louis s’entrainèrent ensemble se qui permit a David d’augmenter son agilité, son maniement du sabre et sa résistance a la douleur, Louis apprit même � DD, c’est comme sa qu’il l’appelait, � nager, mais le 16 février 1706, Louis et David se firent arrêter pour bagarre en un lieu public, en effet se jour l� ils s’entrainaient comme des diable au sabre, Louis et David eurent comme punition 100 coup de fouet. Louis qui était épuiser du a l’entrainement du matin succomba au bout de d’une cinquantaine de coup, David quand a lui sans dira avec une énorme cicatrice dans le dos et une envie de se révolté contre se gouvernement qui allait jusqu'� tuer un être vivant pour une chose aussi simpliste qu’un duel entre ami. Ainsi le16 avril au matin décida t’il de s’embarquer sur un navire pour aller sur une île proche de la tortue, St Domingue, il mit 3 jour a trouvé un navire marchant allant jusqu'� l’île et acceptant de le prendre dans son équipage, Cet alors qu’il prit pour la première fois la mer et qu’il réalisa une partit de son rêve d’enfance. Sur le navire il apprit le minimum qu’il fallait savoir pour manier un bateau et il arriva � l’abord de St Domingue le 25 au matin. Il lui fallut un mois pour arriver au rivage le plus proche � pied, au cour du quel il perdit un œil lors d’une bagarre avec des brigands. Puis il trouva une embarcation et partit en direction de la Tortue dans l’espoir de rencontrer un capitaine cherchant un membre d’équipage. David arriva dans l’île des pirate le 29 avril dans la soirée, il dénicha une auberge et si reposa. Il était dans l’auberge depuis 3 mois quand un jour un capitaine de navire arriva dans le lieu. Notre apprentis pirate s’installa sur le bar et écouta la conversation du pirate avec l’aubergiste. Ainsi David appris que le flibustier cherché � remplacer son second mort au combat, DD proposa au capitaine de l’engager � ce poste, mais le pirate lui répondit qu’il devrait faire ces preuves étant donné que David n’était jamais monté sur un vaisseau pirate et que s’il ne valait pas sa place il finirait embrocher au bout d’un sabre. David fit durent 6 mois ces preuve, et le matin du 29 janvier ils arrivèrent � l’île de Tobago et entrèrent dans une taverne. Et ses la que commence le rp.