la planque des contre bandiers.

[scar]

Dans la jungle assez dense, une petite prairie où se trouvait une petite maison de bois. Cela ne semblait être rien mais sous elle était creusé une imposante cave rempli de nombreuse marchandises volées ou interdite.

au dessus au niveau du plancher des vaches dans la cabane, trois hommes et une femme s'y tenaient. Le sol était en parquet de bois grossier afin d'éviter les problèmes d'eau, un toi en ardoise et des murs de pierre. Dedans une petite cheminée où brulé du vieux bois réchauffé le lieu mais surtout un blessé qui malgrè les température des caraïbes tremblait sur son lit de paille.
attachée �  une poutre une femme, le visage recouvert par un sac de toila afin qu'elle ne voit pas ses agreseurs.
Un autre homme fessait chauffer dans la cheminée la viande du repase tandis que le troisième sur l'unique table néttoyé les trois mousquets.

Soudain la porte s'ouvrit, deux canons se pointèrent sur le nouveau venu.

- c'est toi!! S'exclama l'un des ravisserus en respirant de soulagement.
- J'espères qu'elle va bien?
- on y a pas touché...

La femme entendit qu'un parlait d'elle et commenca �  essayer de se détacher en se dépatant et hurlant malgè le tissus sur la bouche, un coup de louche en fer la calma.
Le nouveau venu et l'un  des gardiens sortirent pour pouvoir discuter tranquillement sous un ciel clair.

- Ecoutes, Guelle franche, Le sournoi �  trouver un document et �  réussit �  parlementer avec le gouverneur.
- tant mieux cela fait trois jours que l'on gardes la fille et le gosse dans ce lieu, son état ne s'arranges pas il doit retourner �  la ville pour trouver un bon chirurgien.
- dommage pour lui. Répondit l'autre sans aucune émotion de sa voix. Le gouverneur veux retrouver sa fille, j'irais moi même ce soir rencontrer cet homme il me faut la fille je dois repartir avec.
- sans souci elle nous emnerdes...
- Jean et dyari viendront la prendre....


Les deux hommes se saluèrent puis l'un quitta la maison poru rentrer dans la jungle, son compagnon entra dans la maison lui pour manger.