Dunkerque

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Quand Jéricho rmonta sur son navire, l'équipage sottait de joie devant tans d'argent. Jéricho déposa la part de l'équipage ainsi que la sienne dans le coffre du butin, situé dans la cale, dont l'unique détenteur de la clé est Jack, le quartier-maître. Jéricho envoya ensuite Carl acheté du bois, Anne du tissus et Baptiste des vivres et de l'eau, afin de préparer le prochain voyage en mer.

Peu de temps après, tous revinrent aider de matelots, avec les différentes marchandise demandé par Jéricho. A l'aide du cabestan, on installa ces marchandises dans la cale. Baptiste, qui assurait aussi la fonction de cambusier, s'occupa de ranger les marchandises de façon a gagner de la place et surtout, ne pas désiquilibrer le navire. Les marchandises finissèrent d'être installé en début d'après-midi.

Il était presque 15h quand Jéricho convoqua ses officiers.
- Messieurs, mademoiselle et madame, j'ai deux nouvelles, une bonne et une mauvaise. La bonne c'est qu'on reprend la mer. la mauvaise c'est qu'on y retourne pour casser du british et du hollandais.
- Bah, on a l'habitude depuis le temps. dit Jack en riant.
- Et oui, les méchants n'on qu'a bien se tenir, on ne leur ferait pas pan pan cul cul. répondis Rolland.
- Rassure-toi Jéricho, on va pas se dégonfler, prononca Hayes, on par quand ?
- Et bien, dés que ma chère horloge aura sonné quinze coup.
- Quinze ? Elle n'est pas à l'heure des Caraïbes devant sonné dix coup ? demanda Jack.
- je l'ai mise a l'heure d'ici, afin de simplifier les quart et les repas. Sur ce, je vous invite �  sortir sur le pont.
   

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Jéricho et les officiers étaient sortis. Anne, la maîtresse voilière, inspestaient avec quelques gabiers les voiles ainsi que les manoeuvres. Carl, lui, vérifiait le bonne état de la coque, des mâts et des sabords. Le calfat, Baptiste, inspectait l'étanchéité du navire. La plupart des chefs de pièce contrôlaient leur canon demandant conseil à Rolland ou encore Cyril.

- C'est à qui de prendre le quart ?
- J'en sais rien, attend, je regarde. répndis Hayes.

Le bosco s'approcha de la porte du gaillard arrière. Sur la droite de celle-ci, un petit tableau exposait plusieurs informations. Hayes chercha ce qu'il voulait.

- C'est moi qui prend le quart.
- Bien. C'est donc Achille qui le prendra après toi.
- Mouais, c'est ça. grogna Achille.
- La forme Achille ?
- Bof. Comme d'hab.
- Donc la forme.

La pendule sonna quinze coups. Hayse s'avança plus sur le tillac et commença a donner ses ordres.

- Relevez la passerelle ! Larguez les amares ! Hissez les perroquets !

Le pont s'activa. Le Black Shark quitta lentement le quai, puis le port. Enfin, après quelque minutes, le vaillant navire corsaire avait repris la mer.

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(samedi 29 avril 1707)

   Le Black Shark ne tarda pas �  accoster. Jéricho permis �  l'équipage de quitter le bord, exepté une équipe de veille désigné dirigé par l'officier de quart, actuellement Rolland, qui du rester pour surveiller le navire. Du fait de la nuit, la plupart des hommes restèrent �  bord pour dormir.
   Jéricho alla rapidement �  la capitainerie du port militaire signaler son arrivé, prenat la décision d'aller se présenter �  l'Amirauté dès demain, afin de commencer le processus de revente de la prise.

   Dès que l'aube fut levé, vers 7h, Jéricho de rendis �  l'Amirauté, om il fut reçut. Introduit dans un bureau luxueu, il fut surpri en voyant l'Amiral responsable de Dunkerque.
- Amiral François Leluc ?!
- Jéricho Balstad ! Alors ça c'est une surprise.
- Et moi donc. On vous a replacé ici ?
- Disons que j'étais partis pour Paris il y a quelque temps.
- A je comprend. Nous somme venu il y a deux semaines, c'était un autre. J'au cru que vous aviez pris votre retraite.
- Dieu merci, non. Même à 48 ans, je reste fidèle au poste.

   François Leluc était l'amiral de Dunkerque. Jéricho et lui s'était connu durant la Guerre de la Ligue d'Augsbourg. A cette époque, le Black Sahrk avait déj�  était affecté au port de Dunkerque. La grande amitié entre Jéricho et Leluc s'explique par l'admiration que lui porte ce-dernier, de part ses activité libertaire.

- Alors, on vous a ramener des Caraïbes ? Pas trop froid ?
- Bof, j'ai connu mieux, je l'avoue.
- Tans mieux. Alexandre n'est pas avec vous ? Vous êtiez inséparables lors de la dernière guerre. s'étonna l'amiral.
- Alexandre a été tué l'année dernière lors de l'assaut d'une base d'un traffic d'eclave. annonça Jéricho avec un ton grâve.
- Oh mon Dieu. Le pauvre. Vous avez réussis à prendre cette base ? répondis Leluc, choqué.
- Oui. Il a été vengé.
- Tans mieux. Sa mort n'est pas si inutile. Répondit-il avec regret. Je pense qu'il aurai accepter de mourrir au nom de la Liberté.
- Oui. Au nom de la Liberté. Répondis Jéricho, perdu dans ses souvenir.
- Sinon, je suppose que vous rentrez de patrouille et que vous venez demander la légitimisation de votre prise ?
- En effet.
- Les contrôleurs passerons dans l'après-midi.
- Bien, parfais.

   Les deux hommes se saluèrent et Jéricho retourna sur le navire. Vers 15h, les contrôleurs arrivèrent et inspectèrent la prise, avec l'aide de l'écrivain du bord. Plus tard, la prise fut légitimé, et la revente pu commencer.  

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(Dimanche 30 avril 1707)

   Durant toutes la matiné, les officiers du Black Shark cherchèrent des acheteurs pour revendre leur prise. Lors du déjeuné les officiers exposèrent les différentes offres, et Jéricho choisis les plus intêressantes.
   L'après-midi, la vente eu lieu et elle rapporta 2 051 écus. Jéricho passa informer l'Amiral que la revente était terminé, avec contrôle de l'écrivain du bord, afin qu'il puisse être reçus par le tribunal des prises. L'Amiral informa Jéricho que son entretiens aurai lieu demain à 9h.

(lundi 1 mai 1707)

   Le lendemain, Jéricho se présenta au Tribunal des Prises où l'on légitima sa prise et où l'on annonça la répartition de la valeur de la prise. Sur les 2 051 écus amassé, 205 vont à l'amirauté, le reste revient aux caisse du Black Shark, Jéricho faisant don de sa part d'armateur. En tous, le Black Shark gagna 1 846 écus.

   Dans les heures qui suivirent, on commença à préparer la prochaine patrouille. Jéricho irai jusqu'au cap Finistère, en Espagne, tous en faisant escale à Brest, afin d'y déposer Dorian. On acheta des vivres, eau et rhum pour 5 jours, les munitions et ressources étant en bon nombre, on en racheta pas.

   Vers 11h, quand tous le monde était à bord, le Black Shark quitta le port sous l'oeil expérimenté de Rolland.

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