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« Répondre #1 le: 01 Février 2009 à 20:07:26 » |
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Alors que les matelots d'Erwan assurait leur quart, les hommes de Jéricho aidait. Ainsi, il continurai de mériter leur salaire. Achille n'était pas de ce quart, mais surveillais ses hommes, comme d'habitude. Un marins vint le voir.
- Ah lieutenant. déclara-t-il avec son accent scandinave. - Oui Kimi ? - je voulait savoir si je pouvais tenir la barre, un peu. J'ai peur de perdre la main et question cordage je m'y connait plus trop. - Bah, vois avec le capitaine de ce navire, Erwan. Moi je peu rien dire. - Ok, merci monsieur.
Kimi s'en retourna et se dirigea vers le gaillard arrière. Au passage, il regarda l'équipage. Il passa près d'un jeune mousse, qui le regardait. Ce mousse était avait le visage fin, et était plûtot maigre. Kimi continua de monter sur le gaillard. Erwan était l� avec ses cartes et discutaitent avec le timonier. Comme Erwan semblait très occupé, Kimi n'osa pas le déranger.
Le journée se passa sans évènements intéressants. Le Royal Cobra continuait de voguer � bonne allure vers le sud-ouest. Comme il manquait d'homme, Erwan avait pu rentrer les hommes de jéricho dans les différents quarts, cependant, les marins de Jéricho qui travaillaient étaient des volontaires. La plupart travaillaient, mais certain, peu habituer au rôle de matelot, se tournaient les pouces ou discutaient. A un moment de la jouréne, Erwan convoqua Jéricho, qui ne tarda pas � venir. Erwan était en train d'écrire dans son journal de bord, � son bureau.
- Tu m'as demandé ? - Oui, je voulais t'informer sur notre intinéraire. - Ah oui ? - Oui. Afin de réaprovisonner, nous ferons escale � Lisbonne. Tu sais où s'est ? - Oui, bien sur, c'est sur la côte portugaise. - Exacte. Nous avons eu il y a trois jour un combat naval contre une grosse corvette... euh française. Nous l'avons coulé, mais ils se sont bien défendus, et sans compter les morts et les blessé, nous avons utilisé beaucoup de poudre. - Bien d'accord. Je demanderai a mes hommes de rester discret. - C'est l'affaire de un ou deux jours, rassure-toi. - C'est toi le capitaine, à toi de choisir. Sur ceux, je vais te laisser. - Bien.
Jéricho se retira et retourna sur le tillac, croisant un mousse au passage, qui s'empressa de filer en le voyant. La journée se termina tranquilement, ce qui était étonnant vu la position du Royal Cobra.
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