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Auteur Fil de discussion: l'invasion caraà¯be  (Lu 7374 fois)
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« le: 28 Août 2007 à 15:10:12 »

s'avancant sans bruit dans l'épaisse jungle de l'île d'Anguilla, les caraïbes se tenaient prêt �  toute éventualité. Cherchant du regard des yeux intrus �  fermer, les pieds agile et précis de ces petits indiens se posèrent sans aucun bruit dans la jungle et ainsi de suite.
Ils arrivèrent dans une petite clairière où coulait paisiblement un ruisseau. Dans cette clairière éclairait par la lune se tenait une petite demeure. Une maison de bois, avec un bois de paille, une batîsse de chasseur.
Totu cette demeure dormait paisiblement  quand ,soudain sur le pallier, le chien senti la présence ennemi il se leva et aboya réveillant se smaitres qui las de leur dernière journée voulait savoir qui se lévèrait.
Une flêche fit taire la bête.

- tu vois le preoblème ets reglé, brutus dors de nouveau
- C'est supect! je vais allez voir!
- Je suis avec toi papa. dit l'ainé de la famille

Les deux hommes de la famille sortirent de la maison, sous un petit toit de paille davant la porte, ils ne virent rien. Le pere allait rentrer quand soudain son fils vit le corps inanimé du chien avec une flêche dans le cou!

- Papa! regard c'est horrib...
Il eut pas le temps de finir la phrase il subit le même sort que sa bête, le père voyant cela d'horreur, vit deux projectiles se planter dans les planches de bois de la maison. Il couru dans sa demeure pour prévenir sa famille et prendre son fusil. Il devait le recharger. Mais voyant par un volet de bois brissé lègérement la fille des indiens sortirent de la forêt.
- père regardez ils en viennent de plus en plus!
l'homme se baissa poure regarder par le trou, son oeil éclairé par la lumière naturel vit des centaines d'indiens. Il ordonna �  sa femme et sa fille de partir prèvenir la ville, il resterai avec son second fils, car il faudrait les stopper pour donner une chance �  ses femmes.
Elles sortirent de la maison et virent les indiens courirent vers la maison. Soudain un coup de feu son père, le sindiens courirent dans la maison. Un bruit d'une courte dispute et très vite plus de bruit.
Les deux femmes s'osaient par regarder derrière elles, elles n'entendirent que le bruit et avec le silence elles comprirent que tout était fini.
Bientot la foret une petite chance de rester cacher. Les deux femmes entrèrent dans la forêt.

- Ouf!
trop vite rejoui, bientôt quatres projectilles volèrent deux se plantèrent dans le dans de la mère, un autre dans un arbre et le dernier dans la chaire de la fesse de la fille.
La douleur était forte et s'écroula par terre, le sang coulait et coloré de rouge la petite robe, le sang collait le vetêment �  ses fesses.

- Maman?
demanda t-elle dans un sanglot pas de répose, elle se retourna et vit sa mère mort deux longues flêches de plus d'une mètres. Elle pleura et entenda un bruit et regrda devant elle et vit un pied, la fille leva la tête et vit un indien. Petit mais imposant, l'air grave et cruel, elle lui attrapa la cheville et le supplia.
Il planta sans aucune pitié sa lance dans la cervelle de la femme. Il la retira en entendant un dernier raclement de la part de la fille, il porta la pointe de son arme �  sa bouche et croqua le morceau de cerveau. Il le macha et le recracha: la chaire des hommes blanc ne vaut rien.

Tous repartirent en direction d'un petit bourg qui dormait paisiblement sans savoir la menace arrivant.
 
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Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort, et les morts qui mériteraient la vie, pouvez-vous leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompt Ã�  dispenser morts et jugements. Même les grands sages ne peuvent connaître toutes les fins.
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« Répondre #1 le: 30 Août 2007 à 15:54:44 »

La lune était toujours voilée par de sombre nuage noir dans ce ciel clair et gris, quand els caraïbes tombèrent sur le village. La défense fut piétre et la population préféra courir que défendre sa vie mais ils allaient pas ausis vite que els traits des arcs, et tout ceux qui avaient fuit furent tués. Le peu de défense offerte �  l'envahisseur  ne fut pas assez coordonnés pour être éfficase, chacun défendait sa vie dans sa maison et les indiens en surnombre leur tombait dessus les tués, brulés leur maison et tués tout ce qui couraient.
Dans les rues de terre battues du village, des dizaines de corps innanimés, de tout sexe et tout age, les reflets des flammes qui mangaient les maisons couvraient  d'ombre, les corps des morts.
Sans s'attarder sur le lieux de leur victoire les caraïbes pénétrèrent la jungle pour avancer vers un petit port de pécheur.
La fumée des flammes qui consomés corps et bois s'éleva dans les airs.
Certaine personne s'en appercurent mais que trop tard et surtout ils ne savaient aps ce que cela était.
 
« Dernière édition: 02 Septembre 2007 à 14:27:29 par scar »
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« Répondre #2 le: 02 Septembre 2007 à 14:26:34 »

La nuit ne permis pas au village portuaire de repérer les nuages de fumée sombre qui s'élévaient dans le ciel.
Mais cela fut fait au levé du soleil, car dans un ciel orangé se distingué des panache de fumée sombre qui sortait de la jungle. les paysans furent assez étonné de cela et la garnison de la ville envoya une dizaine d'homme voir se qui se passait.
Les dix soldats marchaient sur le chemin de tere, le soleil transpercait l'épais fauillage et teinté de rouge et de jaune le ciel. Les ombres étaient facielment visible. La chleur monté, alors que les moustiques tournaient autours des pauvres soldats.
L'un d'être eux non rasé, les cernes sous les yeux se donna une claque sur le cou puis observa sa main.


 J'en ai eut un! c'est maudite bête nous arcelent sans arret
- Même la nuit Jock! cest insuportable! je regrette la terre Anglaise...
- Silence les nouveaux! ordonna le sergent, ce dernier remettait son pantalon, son ventre légèrement dodue sortait de la chemise, son chapeau de travers fut remis d'une main sûr.
- On voit que vous connaissez pas ces terres! bon taisez vous et on reprend la marche  c'est la fin de la pause!!

Sur ce les soldats se remirent �  la marche. Ils avancèrent encore une heure sous la chaleur du soleil montant dans le ciel, quand soudain sur le chemin de terre battue, un barrage de pierre.
Les dizs hommes étaient étonnés et sur leur garde. Ils avancèrent fusils pointés dans toute les direections. Le sergant sabre et fusil �  la main se dressa d'un coup sur le petit tas de pierre. Rien derrière le barrage. Rien au alentour. Il se tourna vers ses hommes et leur dit qu'il y avait rien. Il allait descendre des rochers quand il baissa la tête. Il vit dans le jeu d'ombre des lumières, une ombre s'avancant derrière lui.
Il arma son fusil et se tourna d'un coup. L'indein fut surpri le couteau �  la main �  moins de deux mètres de sa cible. Le coup de feu brissa le léger silence de la forêt. On vit des oiseaux s'envoler en stoppant leur chant. une giclée de sang alla sur le sol, tendit que le corps mort de l'indien, le crâne percé, s'écrasa sur le sol soulevant un nuage du poussière.
Le chef souria quand le bruit des sifflements de l'air se fit entendre, il eut le temps de rien faire, une flêche dans la jambe et l'autre dans le dos se plantèrent d'un coup. Les soldats vidèrent leur armes dans la jungle. Deux d'entre eux touchèrent mais la riposte fut mortel.
OPuis un bruit plus rien des corps allongés sur le sol percés de toute part, le sang coula sur la terre avide.
La marche des indiens reprit, l'arrière poste alla retrouver leur compagnon, pour leur annoncé la réussite de leur mission.
 
« Dernière édition: 02 Septembre 2007 à 14:29:54 par scar »
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« Répondre #3 le: 08 Septembre 2007 à 13:39:18 »

la nuit dans le village s'écoula dans l'angoisse. Pourquoi les soldats n'étaient pas de retour?
la garde fut doublée. Sous le ciel noir éclairé par une plien lune respendisante, mais aussi par le reflet d'argent de la mer, les hommes surveillaient. Le bruit calme et apaissant de la mer montant et descendante, se heuretant parfois sur des rochers, vint se mèlanger �  ce des chants nocturnes de certaine bête et de quelque bruit dans la forêt.
"aux portes", devront plutôt dire �  l'entrée de la ville trois soldats guettaient, la luer d'une lampe forgée étaiet leur seul source de chaleur et de lumière.
Devant eux le chemin de terre battue qu'avaient pris les quatre soldats. Sur chaque coté du chemin la forêt.
Un des soldats entendu le bruit d'un craquement de bois. Il se retourna et s'approcha d'un buisson les ombres de la forêt étaient profondes et impénétrable, il dut s'avancer encore plus pour voir, pour voir une tête indienne et c'est tout. Ses yeux se fermièrent sous la douleur et il tomba par terre mort.
Le matin se leva sur le village portuaire, mais perosnne ne vit le ciel peindr een orange et jaune la mer et le ciel. Dans les rues que des cadavres de ceux qui avaient entendu les cris des premiers morts, ceux qui eux étaient mort paissiblement dans leur sommeil. la fumée des incendies s'élevaient du fort en feu mais aussi des carcasses des petite navire dont le plus gros était un chasse marée.
 
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« Répondre #4 le: 09 Septembre 2007 à 16:44:42 »

trois jours après l'attaque du petit village portuaire par els caraïbes, toute l'île était sous leur commandement. Tout les villages dans les terres furent brûlés, les plantations sascagés. du massacre de l'île il n'y eut aucun survivant et témoin. Aucun navire ne réussit �  quitter anguilla.
Plus rien plus de nouvelle de l'île, plus aucun signe de vie, mais cela perosnne ne le savait.

L'invasion indienne avait réussit, l'île sous leur possétion il pouvez prévenir leur compagnons qui alliaient avec les bravos attaqueraient l'île voisine.
L'invasion d'Anguilla avait pris fin mais l'invasion caraïbe commencait.
 
« Dernière édition: 09 Septembre 2007 à 16:46:21 par scar »
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« Répondre #5 le: 07 Décembre 2007 à 17:08:04 »

La flotte anglaise s'approcha de l'île. Les cinqs navires de guerre rapidement poussé par de fort vent. Les creux des vagues s'approchaien,t de deux mètres, le vent était de force 7. Les mousses pouvaient penser que c'était une tempete mais les rires des marins leur firent comprendre que se n'était rien.

Sur les navires des soldats non habitués �  la mer se préapraient au combat, prêt �  faire couler le sang pour leur patrie. Les deux deux ponts et les trois frègate barque mouillèrent �  moins de cent brasses de l'île.

les chaloupes furent mises �  l'eau, les soldats s'embarquèrent. Ramant ils s'approchèrent de l'île, la mer s'était calmée mais restait violente et il fallait combattre contre elle.

Malgrès tout cela les soldats des premières barques mirent pied �  terre, de l'eau juqu'aux hanches ils poussèrent leur embarcation. Devant eux une large plage et juste devant une épaisse foret silencieuse.

Soudain des volets de flêches jaillirent de la plage, les traits percèrent chair et os. Les cadavres des premiers s'écroulèrent, l'eau devint rouge. Les survivants appeuré remontèrent dans leur barque poure revenir d'autre se cachèrent derrière.

une balle fut tiré par l'officier de la manoeuvre. Elle traversa la chair d'un anglais.


- on en recule pas!!!

Le combat s'engagea. les coups de feux retentirent, certain ramé, d'autre tiré, d'autre rechargé. les balles percaient la jungle mais leur ennemi étaient invisible. le combat semblat être fou, combien d'ennemi? où, les perte augmentés

Sur la dunette l4amiral vit la scène il souria et s'adressa au canonnier.


- Vous voyez, charger les canons n'était pas stupide, nous gagnons du temsp. Faites les tirer! Ordonna le chef, l'ordre sorti de sa bouche rapidement et tranchant toute opossition.

Le canonnier se retourna et fit hisser une drapeau. Les tribords des navires s'ouvrient les bouches des canons sortirent par le sabords et le tonerre commenca. De chaque canon une germe de feu rouge orangé apparu, un boulet de fer ou de pierre sortant laissant une énorme fumée blacnhe derrière lui. Les houles de la mer rendait les tirs moins précis.

Les boulets sifflaient dans les airs, les soldats les entendirent. Ils s'écraserent dans la foret tranchant les arbres dans un bruit horrible, certain tombé dans la palge ou la mer soulevant des murs de sable ou d'eau. Les corps des morts furent déchictés, certain embarcations volerent en éclat sous les projectiles. Mais une majorité de tir avait touché la forêt.

les anglais heureux de voir cela stoppèrent les tirs et coururent vers la plage, l'avancés fut rapide mais de nombreuse homme s'écroulés mort, traversé d'une flêche.
Les indiens restaient devant le nombre d'ennemi le combat ne fessait que commencer.

Les anglais juste devant l'épai mur d'arbre s'arreta, les fusils aux épaules, ils tirent, peu de mort mais un silence, d'autre anglais arrivaient.
Puis soudain une volet de flêche jailli, tout les coups touchèrent et les indiens sortirent attaquer les anglais, le premeir mur d'homme blanc s'était écroulé mort, leur officier avec.
Le capitaine du second régiment ordonna de faire feux. alors que les canons s'étaient tus comme dans un silence de deuil. Mais la poudre parla tout de même par les canons des mousquet, le bruit des nombreux fusils fut assourdissant, els corps des indiens tombèrent sur le sol innanimé, devant cela les survivant fuirent.

Ce fut une victoire!


Heureux un autre règiment rejoigna l'île. La reconquête fut brève et rapide seulement une seule embuscade, ravageuse certes mais qu'une seule. L'île fut de nouveau aux anglais, les soldats purent trouver dans villages en ruine, en cendre des squelettes calciné.
une véritable horreur les attendirent dans la capitâle de l'île.

Mais anguilla était de nouveau anglaise �  un prix de vie énorme.



ps: �  écouter avec cela:
 
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