Les voyages du Black Shark

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Atoll de la mort ====> Martinique

10h sonnait sur la pendule du capitaine Jéricho Balstad. Le Black Shark naviguait toujours petit largue, par jolie brise, avancant ainsi �  6 noeuds. La météo n'était pas fameuse. Un temps humide accompagné d'un fine pluie. Malgrès cela la visibilité restait importante. Jéricho se tenait dans son branle, dans sa cabine situé sur le côté babord du gaillard arrière. Le capitaine se leva et s'asseya �  son petit bureau. Il ouvrit un tiroir et en sortie un parchemin. Il s'agissait des plan que le général de Port-au-Prince lui avait demandé d'emmené en Martinique. Jéricho fut étonné devant le plan, représantant un vaisseau de ligne très lourd.
- Mon dieu, 60 canons par bord sur 3 ponts, 6 canons de fuite et 4 de chasses, et de quoi emporter plus de 1300 hommes.
Les plans était compliqué mais repérer les points clé était facile.  

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La cloche du repas sonna. Jéricho sortis de sa cabine, qui donnait directement sur la cuisine. La table était mise. Neuf couvert était mis. Quatre par côté et un dernier en bout de table, du côté de la poupe. Les officiers commencait à arriver. Le second, les quatre bosco, le quartier-maître, le canonnier et le chirurgien. Jéricho s'installa en bout de table. A sa gauche, les quatre bosco, Hayes étant le plus proche, suivit de Achille, Yann et Hans. A sa droite, Otto Von Graff, Rolland, le canonnier, Jack, le quartier-maître et Enrique, le chirurgien. Le couvert était simple quoique luxueux. Il s'agissait d'assiète, de couteaux, fourchette et cuillère en argent, appartenant jadis a Black. Baptiste, le maître-coq sortis de la cuisine.
- Voilà l'entrée. Un bon pain fait maison, ainsi que du paté de porc de Port-au-Prince.
- Merci.
Le pain était une boule coupé, servit sur une planche en bois. Le pâté, lui, était présenté sur un petit plât en verre. L'entrée fut apprécié de tous les officiers qui mangeait en discutant, sauf de Enrique. Quand Baptiste revint après quelque minutes :
- Vous n'aimez pas le pâté, Mr Enrique ?
- No, yé soui désolé.
- C'est du bon pourtant. Merde ! J'avais oublier !
- Tempis. Pas dé paté por Enrique.
- Je vais vous chercher autre chose.
Baptiste fila avant que Enrique n'eu le temps de dire quelque chose. Le comportement de Enrique s'explique par le fait que Enrique, qui est espagnol, est né de parent musuleman, à Seville. Baptiste revint avec du pâté de volaille, ce qui convaint à Enrique.
- Puis-je amener la suites ?
- C'est bon Baptiste, amène.
- Merci. Peter !
Baptiste enleva le pain et le pâté de la table, tandis que son assistant, un homme de la trentaine, bien portant, arriva avec un plât en terre cuite et une petite marmite en métal. Peter posa cela sur la table, avant de retourner avec Baptiste dans la cuisine. Le menu : patate et poulet. Les officiers se servirent et commencèrent à manger. Durant le repas, Jéricho commenca une discution importante.
- J'ai régardé ce que l'on doit approter en Martinique.
- Qu'est ce ? demanda Hayes
- Un vaisseau de 130 canon, 1300 hommes, une coque en chêne de 10cm et un quatrième mât.
- Et ca marche un truc pareille ?
- J'en sait rien. Mais ca doit peser des tonnes et pas être rapide.
- Par contre, tu te prend une volée dans les dent, tu morfle.
- Certes.
- Comm se noma el navire ?
- Le Titan.
- On comprend pour quoi. Ce vaisseau dans le Caraïbes pourait bien aider la France.
- Cé navire au main dé los anglès, pas bon por nous pirate.
- Cetes, mais les français sont nos alliers, nous n'avons donc rien à craindre.
Comme Jéricho finissait sa phrase, Baptiste et Peter sortirent de la cuisine, puis du gaillard arrière, portant deux gros plât en métal.  

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Quant les officiers eurent fini leur repas, ils quittèrent la table. Jéricho, accompagna Achille, afin qu'il prenne son quart. A vrai dire, celui-ci avait 20 minutes de retard. Au dehors, Bapitiste et Peter sevait le repas aux hommes hors-quart. Une table était installé sur le pont. Les hommes passait devant, tenant une assiette en métal, et un gobelet en bois. Ils passaient d'abord devant Baptiste qui mettait trois ou quatre pomme de terres dans leurs assiette, avant de passer devant Peter remplissant le gobelet de rhum, et donnant un fruit que le matelot pris de sa main libre. Tandis que certain mangeais, les 3ème quart travaillait sans être alléché, car les 3ème quart mange �  11h.

Achille donnait ses ordres. Le vent avait tourné et venait maintenant de l'est, faisant naviguer le Black Shark en sérrant le vent par babord amurre.
- CHOQUEZ LES VOILES MATELOTS ! GABIERS ! FERLEZ LE PERROQUET DE FOUGUE !
Les matelots, dont Kévin, décrochère les bras de vergues et les écoutes, afin de les raccrocher �  une autre enfroit, dans le but de réorienté les voiles. D'autre matelots tiraient sur les bosses de cargue, afin de ramener le perroquet de fougue près de sa vergue, tandis que les gabiers étaient monté au mât d'artimon, afin d'arimer la voile a sa vergue respective.
 

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L'aprés-midi s'entama normalement. La frégate serré un vent d'est de force 4, ayant une vitesse de 4 noeuds. Le Black Shark naviguait Est-Sud-Est, est se trouvait �  environ 300 milles au nord de Caracas. Il était 15h passé quand un cri tomba des hunes.
- VOILE PAR BABORD AVANT !
La plupart des hommes regardèrent dans la direction indiquer, tandis que Achille monta sur le gaillard arrière, scrutant la zone avant-babord. Il déplia sa longue-vue et regarda le navire.
- BRANLE-BAS DE COMBAT !
Un matelot sonna la cloche. De l'entrepont sortie de nombreux hommes. Matelots, gabiers, moucheurs, montèrent sur le pont où grimpèrent dans la mâture.
- Les gabiers avec moi ! cria Yann en grimpant par les haubans.
- Les moucheurs ! A vos mousquet et dispersez-vous dans les hunes et contre le bastingage.hurla Hayes, qui sortait du gaillard arrière un mousquet à la main.[/i]
- Tous les matelots paré à la manoeuvre ! ordonna Hans
Les gabiers grimpèrent avec Yann, les moucheurs montaient dans les hunes accompagné de Hayes, les matelots se tenait près a exécuter les ordre de Hans, Rolland se placa dans la grande écoutille, Cyril se placa dans l'entrepont, les chef de pièce, près de leur canon, furent rejoind par les servant de pièces, déj�  affecté �  un canon. Dans le gaillard arrière, Jéricho mit son manteau contenant 4 grenades, placa 1 pistolet dans sa ceinture, mis une autre ceinture en bandouillère, pris un sabre sur le portique, l'accrocha a la seconde ceinture, mis son tricorne et sortis sur le pont. Tous le monde était près.

Jéricho alla retrouver Achille sur le gaillard avant. Il pris sa longue-vue dans une poche interrieur et observa dans la direction du navire.
- Qu'en dit tu Achille ?
- Une corvette. Il suis une trajectoire parallèle à la notre.
- Mmh ! Mmh ! Otto ?
- Che dirai ozi une gorvette. Mais che ne fois pas son pafillon. Dit le second qui avait rejoin son capitaine.
- On l'attaque ?
- Archtung, il a le fent pour lui.
- Même si on voulait l'éviter on aurait du mal, il vienne de hisser leurs couleurs.
- Espagnols.
- Ya, il faut brendre une décizion, il arrive zur nous est vite.
- On serre le vent babord amure et lui l'a en largue tribord amure. Il doit avancer �  8 noeuds.
- On doit pas aller très vite. Hans, la vitesse s'il te plaît !
- Pon, on fait koi ?
- Rolland !
- Monsieurs ?
- Boulet !
- A vos ordre !
- Vitesse, 4 noeuds ! s'exclama Hans.
- On attaque ?
- On a pas le choix.
Achille quitta le gaillard et alla près de la misaine, tandis que Otto alla au mât d'Artimon. Durant les combat, Achille contrôle les manoeuvres. Il est aidé par Hans, qui dirige les matelots et Yann, avec les gabiers, tandis que Hayes, sur le poste de vigie du grand mât, assure le rôle de chef des moucheurs. Aux canons, Rolland et Cyril dirigent les chefs et servant de canons.

Inférieur en vitesse et en maniabilité, le Black Shark continue tous droit, s'appretant a passé le long de la corvette espagnol.  

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Dans l'entrepont du Black Shark, les servant de canons armait leur pièce. Kévin était posté sur le canon 214. C'est �  dire dans l'entrepont, le 7ème �  tribord en partant de proue. Le chef du canon 214 se nommait Clément Déchant. C'était un homme de 19 ans, mesurant environ 1m65, un peu mégrichon, mais possédant un sacré caractère. Il portait comme habit un pantalon bleu marine et une chemise noire, ouverte avec les manches relevés. Avec Kévin, Clément commandait un certain Alexandre Riossaux. 18 ans, 1m70, roux, pantalon rouge et maillot banc. Comme tous les canonniers, les trois compagnons chargé leur canon de calibre 12.  

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Les deux navires avancait l'un vers l'autre. Dans quelque seconde, il passerrai l'un �  côté de l'autre, séparé par 164 yard (150m). Les canonniers attendaient. Ceux placé sur le tillac pouvait voir la corvette. Jéricho alla rejoindre Rolland dans la grand écoutille. Hayes et ses tireur était près, tandis que Yann, Hans, gabiers et matelots se tenait près �  exécuter les ordres de leur capitaine. Jack, le quartier-maître, tenait la barre le plus fermement possible. Rolland fixait la frégate et attendait les ordres de Jéricho.

Les 2 navires avancent, et après quelque instant, séparé par 164 yards, le Black Shark et la corvette était côtte �  côte.
- BATTERIE BABORD ! FEU A VOLONTE !
Les 20 canons babord du Black Shark firent feu. Sur la corvette, plusieur tirs. Dix boulet foncèrent sur le Black Shark. Certain matelots, n'ayant aucun poste, purent se coucher sur le tillac, mais certain, même des canonniers, moin chanceux, se firent toucher par un boulet. De nombreux éclat de bois révagèrent le pont. Dans l'entrepont, il y eu aussi quelque boulets. De grand trou se révélèrent dans le bastingage babord, 4 dans le bastingage, 6 dans la coque de l'entrepont. Enrique le médecin du s'occuper de 4 hommes. Le Black Shark ayant expédié 20 boulets sur la corvette, on pouvait remarquer plusieur trou dans la coque de celle-ci.  

[leboboss]

La détonnation babord avez été violente . Malgrés qu'ils ce trouvait sur tribord , le tir de la corvette expulsère de nombreux marin , comme Kévin , sur l'armature du navire . Kévin ce retourna , les hommes s'apprétaient a recharcher . Les officiers tonnère les ordres . Un trou dans la coque parmis a kévin de percevoir le batiment qu'ils attaqué . Kévin ce tourna vers Clément et celui ci sembla devinait sa pensé .

-Oui , moi aussi je suis impatient de leur envoyé une volée , mais pas encore , nous devons attendre la manoeuvre et les ordres . Peut être même que nosu n'aurons pas besoin de tirer ? Enfin , nous verrons .
-Moui ... Nous verrons .  

[Black]

- BARRE A BABORD TOUTES !
Comme le Black Shark continuait de tirer, Jack, le quartier-maître et timonier, fit virer le navire �  babord. La frégate commenca alors a passer �  55 yard derrière la corvette.
- Le gouvernail ! Visez le gouvernail !
- Vous avez compris bande de molusque ? Visez le gouvernail ! Batterie de pont, baissez pour 8°, batterie d'entrepont pour 3°. cria Rolland ayant son carnet à la main.
Tout en passant le Black Shark continua de tirer. Mais seul 1 canon et 4 couleuvrine firent feu, les autre n'ayant pu recharger. Malgrès les indiquation de Rolland, les 5 boulets passèrent très près du safran de la corvette, ne faisant qu'arroser l'étambot en tombant �  l'eau. Le Black Shark continua de virer et bientôt, il se retrouva par arrière-tribord la corvette, �  77 yard, dans la même direction que celle-ci. Pendant ce temps, Achill, Hans et Yann avait, �  l'aide des matelots et gabiers, réorienté le voiles, afin de naviguer en largue, tribord amure.
   

[Black]

Le Black Shark continua de suivre la corvette par tribord-arrière. 55 yard séparèrent les deux navire, la corvette vira de bord, coupant la route au Black Shark. Les 10 canons babord de la corvette tirèrent sur le Black Shark.
- Tiens le cap Jack !hurla Jéricho au quartier-maître et timonier.
Le Black Shark continua tous droit, subissant les tirs de la corvette. Un boulet détruisit la vergue du mât de beaupré, un autre toucha l'éfigie de proue en forme de requin, un autre encore transperca le bastingage et vint percuter une couleuvriene ; La slave terminé, on ressenca 5 victimes.  

[Black]

Le Black Skark continua tous droit. La corvette aussi. Quand le Shark se trouva derrière la corvette :
- FEU A VOLONTEE !
Au fur et �  mesure que passait les canons, ceux-ci tirèrent. Quand tous les cannoniers tribord, dont Kévin et son groupe, eurent tiré, l'étambot de la corvette était en miette. La corvette se placa péniblement grand largue, tentant de fuir.
- Le poursuivre serait inutile. Ce genre de navire ne transporte rien. Jack, cap au Sud-Est-Est.
- A vos ordre.  

[leboboss]

-Génial , on l'a eu ! on lui a abimé l'étambot !
-Oui , mais on doit ce positionné , alors  RECHARGE !
-A tes ordres !
Alors que dans la fumée suffoante et les cris des blessé , Kévin aidé des deux côtés rechargea péniblement et attendit , dans une grande impatience , de leur envoyé une vollée , ou alors , ce lancé a l'abordage !  

[Black]

Les 2 navires s'éloignèrent l'un de l'autre. Jéricho fonca sur le gaillard arrière et ordonna au canonnier des 3 pièces.
- Tenez le en joue. Si il vint sur nous, feu !
- A vos ordre.
- Otto ! Restez en alerte ![/color]
Le Black Shark s'éloigna de plus en plus de la corvette. Quand celle-ci fut loin, Jéricho mit fin �  l'alerte.
- Fin d'alerte ! Achille ! Sonne la cloche !
Achille sonna la cloche, et les matelots hors-quart quittèrent leur poste, tandis que les servant de canons étant de quart, remontèrent sur le tillac afin de remplir le fonction de gabiers ou matelot. Après quelques instants, la frégate retrouva son train-train quotidien. Seul Carl, le charpentier, Anne, la voilière et Baptiste, le calfat, accompagné de leurs assistants réparrèrent les dégâts sur le navire.

Jéricho s'en alla voir Otto.
- Alors, les dégâts ?
- Une couleufrine est naze, le pastingage papord est endommaché, l'éfigie de broue �  pris un boulet, et j'ai gompder 8 drou au nifeau de l'endrepont, �  paport.
- Merci.
Jéricho alla ensuite �  l'infimerie. Plusieur blessé était l� , ainsi que Enrique, le chirurgien.
- Alors. Ta note ?
- 4 muertes y 5 blessé, dont 2 graves.
- Soignable ?
- Des 2 graves, yé né garenti pa la survit dé uone.
- Tu me fera une liste des victime.
- Si Jéricho.
Jéricho partis de l'infirmerie, installé dans la salle �  manger du gaillard arrière. Déj� , les mort étaient amené sur le tillac, afin d'être enfermé dans leur branle, avant d'être jetée �  la mer. Les autre, les blessé, serons installé dans l'entrepont, isolé des autres, près de Enrique.  

[Black]

Deux jours passèrent. Le Black Shark était maintenant presque arrivé �  Grenade. Le voyage s'était déroulé sans autre incidents. Carl et Baptiste avait réparé la coque, le bastingage et l'éfigie de proue, tandis que Anne avait remis les voile �  neuf.

Un soir, après une bonne journée, le repas des officiers souleva une réclamation de la part de l'équipage.
- Capitaine, en temps que quartier-maître, je doit vous faire part de certaine réclamation de la part de l'équipage. annonca Jack.
- Je t'écoute.
- Et bien, l'équipage trouve que les quarts sont trop long.
- Expliques-toi.
- Six heurs de suite, c'est trop.
- C'est juste. Au bout de quelque temps, ils sont claqué. intervint Hayes.
- Si les quart sont trop long, on peu doubler le nombre de quart.
- Mais dans ce cas, on n'aurais pas assé d'homme.
- Mmmmh.... On pourrait, faire travailler un quart deux fois.
- C'est-à-dire ?
- En fait, chaque quart travaille 3 heures le matin et 3 heures l'après-midi.
- Pourquoi pas. Chaques quart fait son temps, et la coupure de 3 heures fait qu'il peuvent se reposer entre deux services.
- Je proposerai cela à l'équipage, mais ca me semble bien.
Le repas se termina sans autre discution digne de grand intêret. Après le repas, Yann monta prendre son quart, tandis que les autre officiers partirent dans leurs quartiers, comme Jéricho qui alla se coucher.  

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Le lendemain matin, alors que Jéricho était en train de se restaurer un peu, sur le tillac, le quartier-maître Jack rassembla l'équipage.
- Rassemblement !
Hayes, qui était l'actuel chef de quart, siffla pour rassembler l'équipage.
- Bon les gars ! J'ai revut les quart avec le capitaine. Il propose des quart de 3 heures, deux fois par jours. Un le matin, un le soir.
l'équipage discuta entre lui.
- Donc on fait deux fois 3 heures, ca fait 6 heurs.
- Ouais, on sera moin fatigué.
- Y peuvent pas faire plus de quart ?
- Y pa assez de gars.
- Bon alors !? Ceux qui sont d'accord lève la main.
Une grande partis de l'équipage leva la main, dont Kévin.
- OK les gars. Pour aujourd'hui, on fait comme d'habitude. Demain les nouvelles horaire seron affiché sur le tableau, près de la porte du gaillard arrière. J'ai fini Hayes.
- Le second quart à son poste ! Est que ca saute !
Les hors-quart reprirent leurs occupation. Ceux du second quart aussi. Jack entra dans le gaillard arrière, où Jéricho mangait une tranche de pain avec de la confiture.
- Faut manger la confiture à Baptiste. Après y va encore râler car elle sera périmé.
- Les hommes sont d'accord pour les quart, Jéricho.
- Parfait. Je noterai les horaires après avoir mangé ma tartine.
- D'accord. Si tu me cherche, je suis dans le carré des officiers.
- Compris, amuse toi bien.
Jack salua Jéricho de la tête et quitta le gaillard arrière. Jéricho resta seul avec Baptiste qui entra dans la salle �  manger.
- Elle est bonne ma confiture de framboise ?
- Exellente.
- Alors faite de la pub pour les autre officier. Sinon je devrai en donner à l'équipage.
- Bah fait le. Tu pourrait leur faire un truc pour le matin.
- Ca fait beaucoup de confiture.
- Donne leur au moin une tartine de pain.
- Ouais, je verrai pour qu'il puissent venir prendre du pain quand il se réveille.
- D'accord. Bon, je vais dans ma chambre, salut.
- Ok cap'.
Jéricho entra dans sa chambre, laissant Baptiste seul.
- Peter, sort le pain et vient sur le tillac !  

[Black]

Le nouveau système de quart mis en place, l'équipage semblait heureux. Ceului-ci, plus en forme, faisait la joie des bosco. Le soir tombait. Le second quart était encore de service, dirigé par Hayes. Le quartier-maître Jack est timonier du 2ème quart, seulement. Jéricho et Hayes se tenaient sur le gaillard avant. Antoine se trouvait �  la vigie, et celui-ci cria :
- Terre en vue !
- Jéricho déplia sa longue-vue et observa le point de terre repéré.
- La Martinique messieur.
Plusieurs hommes étaient allés voir l'île.
- Regardez on arrive !
- La Martinique les gars !
- Enfin on arrive !
Comme tous se réjouissaient de voir la Martinique, Antoine, qui regardait également l'île, se fit appeler par Alexandre Riossaux.
- Tu viens Antoine ?
- Ben, non. J'ai pas encore recu l'ordre.
- Mais tu t'en fou ! On est arrive, on va faire quoi ?
- Ouais, t'as raison.
Antoine commenca à descendre par les haubans babords. Celui-ci releva la tête et :
- ALERTE ! VAISSEAU PAR BABORD !
Jéricho regarda à babord et vit un vaisseau qui leur fonçait dessus.
- Alerte ! Branle-bas de combat ! barre à tribord toutes !
Tous le monde se dépêcha d'aller a son poste. Déj� , Jack avait viré de bord. Les sabord s'ouvrirent, laissant sortirent les canons.