Le périple de l'Enclume Noir

[Leonardo]

A la nuit tombée, sur le pont de la frégate ne reste que deux hommes, éclairé par la lumière d’une bougie.
La flamme vacillait de gauche �  droite dessinant des ombres effrayante et éclairant brièvement le visage des deux hommes assis autour de la bougie. Se partageant une bouteille de rhum, il parlé a voix basse :

"Cette guildive est âpre tu trouve pas ?
-C'est pas faux j'arrive a peine a l'avaler."

Des pas ce fit entendre sur le gaillard arrière.

"J'ai entendu des bruit. Dit l'un a voix basse d'un air paniqué.
-C'est sûrement le bosco.
-Ha, balance la bouteille par dessus le bastingage."

L'autre homme jeta la bouteille dans la mer.

"Vite, prend la brique et un seau."

Les deux hommes s'agenouillèrent et briquèrent le pont.

Un troisième homme arriva une lanterne �  la main. Il prit la parole :

"Et bien, que font deux matelots sur le pont �  une heure aussi tardive...
-He...he ben on brique le pont monsieur Black.
-A une heure pareille, vous êtes sûr ? Levé vous, approché, ouvrez votre bouche."

Le matelot s'éxecutat tandis que son compagnon regardait en se tenant a distance. Monsieur Black, le maître d'équipage renifla l'haleine du matelot.

"C'est bien ce que je pensais, vous étiez plutôt en train de vider une bouteille de cette horreur qu'il osent appelé du rhum. J'ai bien raison.
-Oui, monsieur... dit-il d'une voix soumise.
-Bien, je ferais par de cela au quartier maître qui décidera de votre sanction. Il est mentionné dans la chartre qu'il est absolument interdit d'ouvrir une ou plusieurs bouteilles de rhum sans décision du capitaine ou des officiers.
-Non... non, pitié intervint l'autre matelot, vous pouvez pas nous faire ça.
-Je le peux très bien... Toutefois...

Une heure plus tard :

"Allez, astiquez moi ce pont matelot, allez plus vite que ça. Le milieu de la nuit approche. Allez, plus vite si vous voulez pas que je raconte ça au quartier maître."


La nuit fut passée, les hommes se levèrent et tout le monde s’exécuta �  leurs besognes habituelles.

Tandis que les coups de fouets résonnaient dans l'atmosphère la plus pénible, un homme avec une jambe de bois s'approcha de l'action. Un homme se tenait face au mât de misaine où il s'agrippé, la douleur se lisait sur son visage comme dans les pages d'un roman. Tandis que le matelot avec le fouet arriver �  son 39ème coup, l'homme avec la jambe de bois intervint et fit signe d'arrêté. C'était le quartier maître. Il prit la parole en s'adressant a tout les matelots et autres marin qui regardait l'horrible scène.

"Ce matelot, a reçu 39 coups de fouet pour avoir déclenché une bagarre au pont inférieur la nuit dernière. C'est tout, maintenant retournez �  vos travaux."

Le capitaine sortit de sa cabine et arriva sur le pont. Il regarda tout son équipage s'occuper des tâches habituelles et montât sur le gaillard arrière avec son second. L� , il s'adressa a son second, monsieur Russel :

"Monsieur Russel, l'heure est grave, nous avons dût sanctionner 37 matelots cette semaine. Trente sept ! Dont un que nous avons abandonné sur une île et un autre que nous nous sommes servi comme appât pour pécher un requin. Malheureusement nous n’avons pas mangé le requin mais le requin lui a eu un bon repas. Je veux avoir un rapport demain matin sur ce qui pousse nos matelots ne pas respecter la chartre. Le partage du butin est pourtant équitable, la nourriture est meilleure que d'habitude. Alors je veux ce rapport. Jugez par vous même les meilleurs moyen d'obtenir des information."

Le capitaine prit la barre et cria :

Les oisifs, au cabestan. Le groupe du fonds a la drisse de la misaine. Hissez toutes les voiles de la misaine et du beauprés ainsi que la brigantine. Allez du nerf !





     

[Leonardo]

L'Enclume Noir naviguait d'une allure paisible sur les eaux des Caraïbes. Son capitaine, le capitaine Jack Aubrey tenait fièrement la barre de sa frégate. Le voyage aller durer des jours. Mais on ne manquait pas de vivre a bord, ni d'eau, ni de rhum tout aller bien mis a part le fait que certains matelots commencé �  être de moins en moins discipliné. Le crépuscule mit un arrêt au voyage sous ordre du capitaine.

"Matelots, jeté l'ancre mais laissé les voiles en position, nous gagnerons du temps pour demain."

Il quitta le gaillard arrière et se dirigea vers son Bosco, Monsieur Black.

"Monsieur Black, radouber le navire avec nos charpentiers.
-Bien capitaine."

Jack s'isola dans sa cabine. Il se dirigea vers un petit coffre en sortit des cartes et autres instruments cartographique.
Il étala la carte des caraïbes sur une table et prit un petit carnet. Après une heure �  prendre des mesures, examiné les cours d'eau, les positions des différents récifs et avoir noté sur le carnet diverses informations, il remit son matériel dans le coffre. Il remonta sur le pont, la où les matelots et les officiers discutaient en se partageant des litres de rhum ouvert sous les ordres de monsieur Myron, le quartier maître. Jack se dirigea vers l'équipage et s'essaya avec eux.

"Alors, on discute, on rie, on boit sans son capitaine. Passez moi cette pisse d'âne qu'ils osent appelé du rhum.
Il bue une gorgé,
C'est quoi cette horreur !"
Ils rirent tous en coeur. Un jeune mousse prit la parole et s'adressa au capitaine :

"Capitaine, parlez nous de vos aventures.
-Heu, et ben ça pourrait être une bonne idée, j'vais commencé par lorsque que j'avais 15 ans.
Donc voil� , j'avais 15 ans j'était en Angleterre et je me suis engagé comme mousse a bord d'un navire Anglais, le H.M.S. Surprise, je me suis fait des amis et des ennemies. Notamment, mon officier supérieur, celui pour qui j’étais mousse. Il n'était pas très sympathique et un jour je l'ai tué après une dispute. Pan ! Je lui ai collé la balle dans la poitrine. Le capitaine m'a fait jeté aux fers et quand on arriverait a Antigua j'allais être pendu. Bien sûr, dans ce navire il y avait des esclaves avec qui je me suis fait ami et mes autres amis étaient toujours sur le pont. Et donc tous ensemble on a organisé une mutinerie et j'ai était désigné capitaine du navire. Il ne restait plus que les esclaves et les mousses et quelques matelots. Puis nous sommes arrivés �  Antigua après avoir était attaqué par des pirates. A Antigua, il n'était pas au courant de la mutinerie et du meurtre que j'avais commis donc les mort qu'il y a eu lors de la mutinerie, nous avons fait croire qu'ils étaient morts lors de l'attaque des pirates. Puis nous sommes repartie deux mois plus tard. Après les réparations. Et avec des hommes supplémentaire.
Et nous avons recroisé les pirates. Il ont tiré une bordé et nous aussi, puis l'abordage, pendant l'abordage, mon meilleur ami, qui était mousse est to..."

Soudain, Jack fut interrompu dans son récit par des cris.

"Capitaine, Capitaine ! On a percuté quelque chose sur tribord avant, venez voir."