Le fort militaire

[Black]

Jéricho s'avanca vers la porte du fort. Deux soldat montaient la garde. Jéricho s'avanca vers eux et l'un lui demanda.
- Qu'est ce que vous voulez ?
- Rencontrer le général de ce fort. Je doit lui remettre des plans important en provenance de Port-au-Prince.
- Je vais voir si il peux voir recevoir. C'est quoi votre nom ?
- Capitaine Jéricho Blastad, corsaire au service de la courronne française.
Le soldat s'absenta qulque instant et puis revint.
- C'est bon, entrez. Suivez le caporal Jean Duclochet, il vous enmênera.
Jéricho entra et suivit le soldat que le garde lui avait montrer. Duclochet emmena Jéricho dans les bâtiments en pierre du fort. Puis ils s'arrêtèrent et frappa �  la porte.
- Oui ?
- Le capitaine Balstad mon général.
- Faites le entrer.
Duclochet ouvrit la porte en grand et Jéricho entra.
- Alors capitaine. Il parait que vous avez des document à me remètre ?
Jéricho sortis de sa poche les plan et les posa sur le bureau.
- Les voilà.
Le général les ouvrits et sortis un papier, l'ordre de mission.
- L'ordre de mission du général de Port-au-Prince indique que je vous doit 1000 pièce d'or.
Le général ouvrit un tiroir et en sortis un bourse. Il y mit plusieurs pièce et la donna �  Jéricho.
- Merci beaucoup.
- Vous prendrez bien un verre avec moi ? Je vous en pris asseyez vous.
Jéricho s'assis sur un chaise en face du bureau. Le général s'était levé vers son bar et prépara 2 verres qu'il remplis d'eau de vie.
- A la votre capitaine.
- A la votre général. Au fait, n'auriez vous pas besoin de mes service ?
- Si. J'ai une mission pour vous. Connaissez vous le Sagradda Famillia ?
- La cathédrale de Barcelone ?
- Non, je vous parle d'un navire. Une frégate espagnol de 22 canons par bord et 2 de chasse, et manoeuvre par 320 hommes.
- Que dois-je faire. Le coulez ?
- Le couler ou bien le capturer. Si vous le capturer, je vous garantis qu'on vous le rachétera cher. Mais votre mission �  un autre but.
- Lequelle ?
- Le Sagradda et affecté au port de Caracas. Nos espion nous on informé qu'il partait pour Santiago afin d'escorter un convois de 4 galion remplis d'or et d'argent, en route vers l'Europe. Votre objectif et de piller les galions et de coulez ou capturer le Sagrada.
- Minute. Envoyer un rafiot par le fons d'accord. Mais piller 4 galion en convoi, l�  c'est autre chose.
- Je connait votre valeur. Votre amis le capitaine Branty vous accompagnera a bord du Propère, vaisseau de ligne de 114 canons. De plus, je place sous vos ordre la covette Pupuce, 22 canons et 200 gars. Vous irez récupérer tous cela en Guadeloupe, puis vous irez surveiller le passage entre Hipaniola et Porto Rico. Les espagnols ne passeron pas par le nord d'Hispaniola, cette zone est contrôlé par notre flotte.
- Dans ce cas d'accord. Je tente. Les conditions du butin reste les même sue celle de la lettre de marque. Du butin pris sur le galion, 40% vous reviennes.
- C'est d'accord.
Le général sortis un document de son bureau et écrivit dessus. Il le tendit ensuite �  Jéricho qui le pris et le rengea dans son manteau.
- Vos ordres.
- Merci. Au revoir général.
- Au revoir et bonne chance.

Jéricho quitta le fort et retouran sur le Black Shark.  

[leboboss]

Kévin attenda un long moment l'avenue de son capitaine . Soudain , aprés quelques temps , Jéricho revint . Kévin ce précipita vers lui .
-Capitaine ?
-Oui ?
-Quelles sont les nouvelles ?
Couler , ou capturer Le Sagrada Famillia , une frégate de 22 canons par bord , et a son bord , 320 hommes .
-Hmmm , faisable ...
-Oui , sauf que ce navire escorte 4 gallions remplie d'or ...
-Et nous devrons les piller seul ?
Non , Branty viendra , et j'aurais sous mes ordres une corvette .
-Ha ! Voila qui est mieu ! Je sens déjà le combat !
-Oui , mais sa sera sans doute un trés dur combat !
-Oui ! Et c'est cela qui est excellent !  

[mary59]

La matinée touché a sa fin , quand un pavillon français parvint a la vue de la garnison . Celle ci alerta tout de suite ses supèrieur qui s'empréssèrent de ce préparé au controle du navire . Celui ci accosta normalement et laissa monter a bord les hommes du capitaine Nivek .
-Qui est le capitaine de bord ?
-C'est moi .répondit une femme avec charisme . Celle ci était accompagné de deux femmes ainsi que trois hommes , les autres membres de l'équipage s'étant répproché du bastinguage .
-Bien , Que transportez vous ?
-De la marchandise en provenance de Grenade , nous avons reçus aussi l'ordre de remettre une missive a votre général . Vous pouvez vérifiez nos cales si bon vous semble .
La capitaine fit signe a ses hommes de fouillé le batiment . Ils revinrent quelques minutes aprés .
-Rien a signaler d'anormal capitaine .
-Bien , sur ce , je vous laisse capitaine ...
-Appelez moi Héléna , si bon vous semble .
-Bien , bon séjour .
Et il repartit avec ses hommes , laissant Héléna et son équipage sur le pont .
-Bien , commencaient a vider les cales . Aline , David , Mary , et Joch , venez avec moi , nous allons voir le gouverneur , lui remettre sa missive et avoir notre dut .
-Bien héléna .Firent ils tous d'une même voix . Ils descendirent du navire , regardant les batiment présent . Héléna remarqua le navire de Jéricho , ancré non loin de la , et fut ravis a l'idée de lui rendre une visite aprés avoir était remettre la missive . Ils marchèrent quelques temps , puis , frappèrent au porte du fort . Deux hommes leur demandèrent leur identité , puis ils les laissèrent passé . Ils montèrent les marches menant au bureau du général , puis ils entrèrent . Un soldat avait déj�  annocé la venue de leur visite .
-Ha , Héléna ! Alors , qu'avez vous pour moi ?
-Cette missive , du général Silbrid , de Grenade .
-Bien , amenez la moi , et patientez dehors je vous prit ...
-A vos ordres .
Elle s'approcha de lui , lui tendit la missive , et sortit en compagnie des membres de son équipage présent , attendant les instruction ...  

[psychosocial]

HRP:pour lire le chapitre précédent: http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,2300.msg61121.html#msg61121

Les quatre hommes arrivèrent complètement essoufflés et paniqués devant le fort, les soldat de garde �  l’entrée se précipitaires vers eux :

-« Que c’est il passer mon commandant ? Où est passer le reste de vos hommes ?
-On a…étaient pris…�  contre feu…un piège…rien pus faire…faut aller chercher les blesser. » dit Cantasbois, encore sous le choque,  n’arrivant pas a faire une phrase correcte.
-«Duclochet emmène les a l’infirmerie pour qu’ils puissent ce remettrent. Je vais chercher le générale. »

Un quart d’heure plus tard le générale était a l’infirmerie, il était plus inquiet de la situation que le commandant Cantasbois mais il essayé de ne pas le montrer devant ses hommes :

-« Laissez nous caporal, ces hommes et moi avons besoins de parler.
-Bien mon Générale.
-Alors Cantasbois que c’est-il passer ?
-Hé bien…nous venions de trouver un petit camp de bandits et nous nous apprêtions �  les encerclés quand nous avons étaient pris �  contre-feu sur la droite. C’était un vrais massacre, mais j’ai réussi a avoir un de ces salauds avant de nous repliés. Mon Générale il y a peut être des blessés il faut y retourné !
-Oui bien sûr…mais pour avoir décimés vos rang si facilement ils devaient être nombreux non ?
-Mais bon dieux de quoi avait vous peur ! Vous êtes dans fort protégé par plusieurs centaines d’hommes ! Et de plus il nous on pris �  contre feu je vous dit, de ce cas de figure pas besoin d’être nombreux pour faire beaucoup  de dégâts ! » hurlas le commandant Cantasbois tout en sachant qu’ils était beaucoup plus nombreux qu’il imaginé et que de simple brigands n’aurais pas put mettre en place une telle tactique de guérilla.
-« Bien ne nous emportons pas commandant dès cette après midi un régiment de fusiliers se rendra sur place.
-Merci mon Générale…je souhaiterais faire partit des recherches mon Générale.
-Impossible commandant.
-Comment ça impossible ?
-Vous êtes mis à pied pour insubordination.Et vos hommes aussi.
-De quoi! Mais je vais le… »la main d’Eric Vermont se posa sur l’épaule de Pierre qui se retins de finir sa phrase, mais ne l’empêcha pas de lancer un regard a faire pâlir le diable en personne au générale.
-« Et quoi que vous puissiez en penser je ne changerais pas d’avis, mais bien évidemment vous pourrais vous promener en ville vous et vos compagnons pour passer le temps.
-Pourrais-je au moins avoir le rapport de la mission ? »
Le générale se retourna avec un grand sourire et acquiescas avant de disparaître dans le couloir.

-« Et maintenant que fait ton chef ? » demanda Geoffroy
-« Je pense que la seule chose que l’on puisse faire est d’aller manger et de se reposer jusqu'�  se que je reçoive le rapport.
-Mon Commandant vous croyait que les copains y sont tous rester ? » le sergent  Benoît sembler encore sous le choque.
-« Hélas je le craint fils, mais garde espoir. Aller allons manger demain nous risquons d’avoir besoin d’énergie.
-Je sens que l’on risque d’avoir des ennuis…
-Si c’est le cas tu le seras bien asser tôt fais moi confiance Geoffroy »
lui répondit Eric.

Sur ces mot plein de mystères les quatre hommes allèrent vers la cantine.       
         
   

[psychosocial]

HRP:pour lire le chapitre précédent: http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,1620.msg61220.html#msg61220

Aux alentours de 18 heures un soldat frappa a la porte du bureau du commandant Cantasbois :
-«Entrez.
-Mon Commandant c’est le rapport de la mission de recherche, tenez.
-Merci vous pouvez disposer soldat. »dit-il en faisant un geste de la main, puis après quelques instants il se retournas vers ses trois compagnons pour leurs lire le rapport a haute voix :
-«Bon on va remettre la partie de carte a plus tard j’ai peur que les nouvelles ne soit pas très bonnes écoutez ça :
« A notre arriver sur les lieux nous avons retrouver les corps de dix de nos hommes et un blesser grave qui succombât de ses blessures multiples peu après notre arriver. Nous retrouvâmes également le corps de l’un des bandits un peu plus loin sur la droite, décéder d’une balle logée juste sous l’œil droit. Ensuite environs quinze mettre plus loin en avant des corps nous avons découvert les traces d’un petit campement, a notre arriver il ne rester que quelque semblants de tentes. Je pense que les bandits on fuit vers le mouillage de Trinité où un navire les attendait, hypothèse qui se confirmera par la suite car nous avons découvert des traces de pas récentes sur la plage. Je conclus se rapport en avançant l’idée qu’il s’agissait d’une attaque préparée dans le seul but de nuire a la garnison en vue d’une tentative d’invasion de l’île ou directement a la vie du Commandant Pierre Cantasbois. Les corps des onze hommes tombés durant cette opération seront enterrés demain �  neuf heure. »Voilas les gars maintenant vous savait tout.
-Bon alors on fait quoi maintenant Pierre ? » demanda Eric
-«Bin déjà on va aller rendre hommage aux copains.
-Chef pourquoi est-ce que ces gars en auraient voulus a votre vie ? » demanda Geoffroy Bofart
-«Ca tu le saura demain gamin, t’en fait pas.
-En tout cas vous l'avez pas rater ce salopar mon Commandant »rajoutat le sergent benoît.


HRP:suite du RP:    http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,1617.msg61347.html#msg61347