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Auteur Fil de discussion: une grande à®le déserte.  (Lu 19135 fois)
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« Répondre #15 le: 29 Janvier 2008 à 19:50:49 »

Seth regarda sans rien dire raithen... Seth chuchota.

* Ce type part vaincu d'avance...*
- je sais pas si ton idée est bonne mais saches que nous nous en sortirons. avec l'or ou sans et mon gars...

- Venez tous!

C'était la vigie qui venait de chuchoter, tout le monde murmura pour faire passer l'odre. Au dessus ,le ciel sombre fit tomber une douche d'eau tiède mais coulante.

Les marins montèrent avec leur mousquet et  une bache pour protèger leur réserve de balle et de poudre. Les anglais avancaient. ils étaient dans une zone rocheuse assez étoite, il s'agissait d'un large passage rempli de roche entre deux parois rocheuses, un petit chemin menait l�  où les éclaireurs n'étaient pas venus. Devant le chemin une sorte de mur naturel.

Les pirates se divisèrent en groupe, dix d'entre eux dont Seth et son matelot commencèrent �  contourner les anglais les autres se placèrent juste au niveau du mur où les anglais commencaient �  avancer. La nuit était encore clair car tombée seulement depuis vingt minutes.


- mamelle du diable! ils sont nombreux ses anglishs! Tenez vous prêt ils sont ausi nombreux que nous.Murmura le capitaine.
Tout était prêt et sans cirer garde l'enfer fut déclenché. Les pirates francais tirèrent �  tour de role. Des lueurs orangées apparurent devant les anglais suivit dans le même instant des détonations.

les balles sifflèrent et se plantèrent dans les corps des éclaireurs  qui s'écroulaient mort. Les anglais disparurent derrière les rochers et autre planque. Ce fut un combat d'un nouveau genre, les coups s'échangèrent peu touchèrent leur cibles.

Jins était avec trois hommes entrain de recharger. il essayait de trouver un des diables qui leur tiraient dessus. Soudain il vit tomber sur la pierre devant lui une sacoche de cuir avec une méche. Il compri très vite hurlant �  ses amis, il se jeta par terre. Son matelot leva la tête et vit la grenade il hurla de tous ses poumons, mais cela ne couvra pas l'explosion qui lui arracha la tête, projetta un autre marins et envoya en morceau le haut de la roche, dont certain morceau se plantèrent dans la chair du survivant qui s'écroula en hurlant dans son sang.

une autre grenade tomba sur une flaque d'eau.  mais l'explosion avait choqué les anglais, ne sachant pas si c'était une grenade ils craignant la prèsence de canon, Jins se leva pour leure prévenir des grenades. "Grenade" fut son dernier mot avant de tomber les deux pouùmons percés de deux balles.

La pluie mouillait terriblement les baches des pirates qui étaient écroulé par le poid de l'eau mais leur poudre était seche, leur ennemi eux mettait autant de poudre seche que de poudre inutilisable dans leur canon, les tirs étaient presque sans grande précision et puissance. Le terrain devenait boueux, le sang se mélangea �  l'eau et �  la boue, les corps couvraient le terrain.

Les pirates n'avaient pas encore de mort mais plusieur blessé, les balles s'écrasaient près d'eux, les étincelles apparurent �  chaque choc, fessant voler des morceau qui par moment tranchaient un peu de peau.

Cinqs pirates décidèrent de surprender leur ennemis par derrière. Ils vidèrent leur mousquet et pistolet, quatres anglais qui se tenait protègé des pirates derrière un bloc tombèrent dans un cris de douleur. es anglais se retournèrent et les virent,  la réponse fut fatal, les balles traversèrent les arbustes sec et fauchèrent les vies des pirates.

Seth couru, ses ennemis étaient sans balles. ils tomba sur un groupe de trois hommes, prit d'une rage guerrier il frappa un coup qui fut paré par un fusil, il décocha un coup de pingt puis un coup de pied �  un autre anglais et d'un rever de lame il tua deux ennemis et planta après en sautant son cimeterre dans le dos du marin qui était �  terre. Puis Seth se leva le corps couvert de sang et d'eau il cracha et partir.

Le combat continua, les anglais avaient perdu plus de vingts hommes ils se lévrent face �  leur ennemis qui sembaient invincible et sous l'odre du second prirent la fuite. Le second se leva et tira une balle elle atteint l'oeil et le cerveau d'un francais mais la riposte transperca par sept fois le second.

Plusieur d'entre eux furent fauchés par les balles. C'était une course �  la vie, ils voyaient leur compagnons mourir �  coté d'eux et cela leur donnait du courgae; pas celui de sauver son ami mais celui de sauver sa vie et ceux qui prenait leur amis sur leur dos espèrait que la balle qui leur était destinait se plantera sur leur compagnons.

Quatre anglais descendirent le petit passage étroit quand ils tombèrent sur un marin armé d'un tromblon, il fit feu. Cela eut l'effet de la mitraille mais en moins fort, les morceaux de chair déchictèrent le premier et arrachèrent la jambe du second. Le dernier anglais reçut une balle dans la tête. l'estropié mouru d'une perte de sang.

les fuyrads tombèrent sur Seth, Fyche et deux autres pirates, ils furent taillé en pièce. Seth fit volé le sang en gerbe dans le ciel, la terre fut couverte de sang.


Le combat était fini mais six anglais avaient réussit �  fuir, cinqs hommes furent lancé �  leur poursuite.



hrp: si tu veux tu peux décrire le combat de ta vision.... après je décrirais le plan qui va suivre    
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« Répondre #16 le: 05 Février 2008 à 20:06:32 »

La bataille était belle et bien finie et c'était une victoire éclatante de la part des pirates francais. Tous hurlèrent leur victoire, commencèrent �  chanter un ôde �  la mer. Tandis que ceux qui en demandaient encore poursuivaient les fuyards. On commenca �  s'occuper des blessés, les pirates achevèrent les anglais trop blessé, seul deux ne furent pas executés.

Les hommes commencèrent �  ramasser les corps et �  dégager les blessés, le barbier-medecin du bord avait quitté le navire pour ce combat. On installa une tente de fortune, avec d'énorme bâche entre un arbre sec et deux rochers énorme. La boue qui se trouvait dans la tente devenait rouge.

Un marin alla voir le capitaine.


- On a écrasé nos ennemis!
- Combien de mort chez nous? demanda sans joie Thibaut.
-  Jean, Homel, Dent-rouge et pierre d'Arc sont morts. Jean Fritali, le frère de Homel, va sans doute le rejoindre, le chirurgien dit qu'il a prit par les fièvres, il lui a amputé et depuis son état empire. Sinon il y a dix blessé.

- Et plus de trente anglais massacré et huit achevés! Ajouta colins qui venait de se faire bander la jambe, le bandage blanc avait une énorme tache rouge, il boitait un peu. Il vit Seth qui marchait lentement fatigué.

- Je vais me reposer, je suis mort. Ca fait deux jours que je veille.
- ok l'étrangers tu as encore prouvé ta valeur, va faire soigner cette égratinure et repose toi!

Seth se retira du groupe et déscendit un chemin, il trouva quatre marins discutant du combat, ils saluèrent leur officiers et l'invitèrent �  boire avec eux. Seth s'excusa de ne pas accepter l'invitation et se glissa sur un vieux tapie déchiré, comme il le faissait dans le temps. Il regarda le ciel noir couvert de nuage, l'orage c'était calmé mais la pluie tombait toujours.

Le capitaine du cotre alla voir les deux anglais.

* Combien êtes vous?* demanda t-il dans un anglais plutot bancal. Le premier cracha sur le marin, qui lui enfonca sa lame dans la tête sans autre forme de proèce, le second plutot jeune devant cet acte trembla et son débit de parôle était tel que le capitaine ne comprit pas tout et l'ordonna de se raire et de répondre aux questions.

* Vous êtes combien?*
-* il doit avoir encore 50 compagnons.* Il recut un coup de poign dans le crane et la garde du sabre dans le ventre.
* Mais c'est la vérité!*
- Je voulais m'en assurer... ils sont encore plus nombreux que nous ces fils de putains!
- Demande lui pour leur brick Ajouta Colins en regardant l'eau ruisselait sous ses pieds. Le capitaine s'exécuta sans trop comprendre.
- Leur birck est surveillé par plus deux hommes et contient 6 canons de calibres 20.
- Pas nombreux mais puissant! s'exclama le maitre canonnier qui venait de rentrer.
- en effet demandons �  Jean de prendre avec lui tout les blessés et qu'ils attaquent le navire durant la nuit. Il faut que le brick ne soit pas détruit mais hors d'état de course... On ne pourra pas vaincre les anglais mais on peut prendre notre or avant eux et fuir, un cotre dévance un brick sans mat!

colins indiqua son stratagème, qui n'eut pas �  être voté par le conseil car les quatres personne présente étaient d'accord comme le serait tout l'équipage.

Le maitre canonnier alla avec les blessés au cotre. Quand soudain les chasseurs arrivèrent annoncant que leur chasse était un désatres, pas un ennemi tué. Ce fut un silence long et pesant dans la tente du capitaine qu'une voix tremblante brissa.


* Et moi?*
* Tu es libre! Va dire �  tes amis que s'il résistent encore ils seront tous tués!* Colins va prévenir Franck et ses trentes hommes de marcher sur le campement!

L'anglais s'enfuya sous les rires des francais. Colins arriva �  niveau de son capitaine.
- c'est quoi cette histoire de Franck? y en a jamais eut!
- C'est un plen...  
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« Répondre #17 le: 09 Février 2008 à 19:07:25 »

La nuit n'était pas finie. De nombreux blessés furent soignés et portés au cotre. Ce dernier reçut un ordre simple mettre hors possibilité de course le brick.

sous une nuit couverte de nuage, le cotre fit voile avec �  son bord le maitre canonnier et le second.
La pluie continuait de tomber en trombe, le ciel était extrèmement sombre et la fin de l'orage ne permit pas au ciel d'être éclairé par moment d'éclair déchirant le noir d'un ciel.

l'eau de pluie ruisselait sur les voiles, les alourdissant ce qui demandaient plus d'éffort pour les carguer ou les frêler. Le pont était recouvert d'un fin filet d'eau froide s'échappant du pont par des ouvertures dans le bastinguage ou dégoullinant dans le caïbotie et passant dans l'entrepont.

Soudain le vent adonna, le course du navire s'accelèra, las canons étaient couvertes d'une bache et déj�  chargés.

Le trajet fut lent car difficile, de nombreux courants et surtotu des recifs.
Au bout de trois heures le navires vit enfin la grève et une lumière sur la mer. Le brick n'avait pas éteint tout ses feux n'étaient pas éteint.

Le cotre fit rentrer ses voiles et se positionna feux éteint.

Sur le brick tout était calme, les marins dormaient dans l'entrepont alors que deux autres surveillés sur le pont sous la pluie. Les deux hommes s'étaient réjugiés �  l'abris de la pluie discutant et riant. Soudain un sifflement aigue, les deux hommes comprirent.

Dans l'entrepont calme un énorme bruit retenti, des morceaux de planches de l'entrepont babord volèrent en éclat sans faire de blessé. Le boulet avait été destiné �  l'un des canons du tillac mais la hôle avait fait rater son tir au maitre canonnier.

les mains se précipitèrent sur le tillac. La profondeur de la nuit les empêchèrent de voir un ennemi, il venait de la mer mais �  quoi ressemblait-il?
L'un des deux hommes de garde se dépêcha de souffler le foyer de la lanternne et observa l'horizon.
Tous virent ce qu'ils redoutent, dans la nuit des lueurs rouge-orangées avec un bruit de tonnerre.

le cotre qui avait tiré de son canon de chasse avait viré de bord pour leur offrir leur volée, seul le maitre canonnier fessait tirer les canons. Règlant chaque pièce séparement, la cadence de tir fut faible mais prècise.
Un des boulets ramés alla trancher l'espar de la contre civadière du mat de beaupré. Un autre s'énfonca dans la mer soulevant un jet d'eau. Un autre siflla et trancha net le mat d'artimont, tandis qu'un autre passa trop haut et coupa les cataras du mat d'artimont aidant ainsi le travail des anglais qu'ils se dépèchèrent de couper les haubans et les étais du mat d'artimont avant que celui ci de tomber.

Cela permi �  Jean de faire virer le navire toute voile pour leur offrir leur deuxième bordée, car recharger serait une erreur, leur objectif n'est pas détruire le navire mais de l'imobilisé comme il venait de le faire.
Les anglais commencèrent �  recharger leur pièces, jurant contre leur agresseur. La deuxième vague de boulet ramée retenti, deux tombèrent �  l'eau, un s'écrasa sur la coque et le dernier trancha le bastinguage et blessa un marin. la riposte ennemi fut moins dangereuse car trop précipité, elle ne fit aucun touché.

Le vent n'était pas en faveur des fançais, trop proche, et fort.

Le cotre réussit �  fuir mais en subissant une autre bordée qui par deux fois toucha le cotre dont un boulet qui traversa l'étambot et ravagea la salle de conseil sans faire d edégat humain, un autre qui rentra dans l'entrepont.

Les anglais venait de perdre un mat sur les deux. Leur navie ne pourra jamais poursuivre le cotre qui était soulavé car il avait réussit sa mission sans perte humaine.

la première partie de leur plan était une réussit mais elle conduira �  un échec de la seconde...
 
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« Répondre #18 le: 10 Février 2008 à 09:07:49 »

Les pirates entouraient le campement, dans les hautes herbes de la petite plaine qui donnaient une vu dégagée sur le mer �  l'Ouest.

Les vingt pirates en groupes de 5 étaient cachés un peu partout avec de nombreux mousquet pour offrir une puissance de feu de plus de 60 hommes.

Le campement lui ressemblait �  rien, juste des tentes mise en cercle autour d'un foyer cetrale. Il était entouré d'une barricade haute de plus d'un mètre faite avec du bois de construction et des tonneaux et autre objet réistant et gros qui pouvait être utilisé afin de faire une protection de fortune. Les anglais n'avient jamais pensé devoir se battre ici.
Les anglais avaient plusieur fois tenté de sortir mais le mal leur avait couté. trosi d'entre eux étaient mort plusieur blessé et ils purent découvrir la puissance de feu de leur agresseur, imaginant qu'ils étaient plus d'une cinquantaine, nombre dérisoire.


Plus loin dans la zone rocheuse, sous une chaleur grandissante Seth et plus de six hommes creuséaient dans la grotte, sachant où était l'or il fallait dégager l'énorme malle voir si y en avait pas d'autre et les mettres sur le cotre. Qui lui était au mouillage avec les blessés.

le coffre fut dégagé dans la matiné mais les recherches continuèrent durant plus d'une journée afin de trouver d'autre coffre rempli d'or.

Sur le brick anglais on essaya de réparer le mat trancher mais c'était extrèmement difficil.
Le lendemain, deux jours après l'attaque du brick un groupe de dix hommes furent envoyés prévenir les autres de la mésaventure du brick et d'une menace inconnue.
 
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« Répondre #19 le: 11 Février 2008 à 19:58:18 »

Les hommes attendaient tranquillement que les choses se passent.

Seth et ses compagnons n'avaient trouvé qu'un seul coffre qu'y fut déposé sur le cotre.
seth resta sur le navire afin d'être sûr que personne ne tente de fuir avec l'or laissant les autres sur l'île. Deux hommes allèrent voir le groupe qui tenait en siège le campement anglais.

Cinqs francais discutaient, surveillant les mouvements des anglais.


- J'espère que l'on va se tirer d'ici!
- chut... ca vient de l�  ca doit être les autres...

les cinqs francais regardèrent dans les hautes haies cherchant du regard deux marins qui viendraient leur anoncer la fin de leur combat. Une série de détotation résonna, les balles arrachèrent les herbes sur le passage et les marins francais s'écroulèrent mort ou blessé.

alert! Branle le bas de combat on nous attaques de la terre! Hurla le capitaine. En effet il s'agissait des dix hommes partient prévenir le campement que le brick était immobilisé.

Cette attaque fit l'effet d'un bouchon d'une bouteille qui saute. Les anglais décièdrent de sortir du camps, les francais prit entre deux feux tirèrent �  tout va.
Les balles sifflaient, les hommes de tout camps étaient blessés et mort. Les pirates qui se tenaient derrière une série de rocher furent tous tués, avec eux le maitre voilier.

Les morts tombaient, les francais étaient affaiblie. Leur seul chance tenait dans la puissance de leur feu, tous avec deux fusils. Cela vait tenu en retrait le sanglais croyant être en sous nombre, mais la peur et la soif les forcèrent �  attaquer le blocus invisible.

Le capitaine vut le maitre canonnier tomber, il savait, par le bruit des coups de feux, qu'ils étaient de moins en moins nombreux. Il ordonna le replis, sur les vingts cinqs qui surveillaient le campement, seulement treize fuirent, dont de nombreux blessés.
Les anglais déploiraient six morts seulement mais dix blessés. Ils se lancèrent, plein de haine, dans cette matinée qui avait calme, �  la poursuite des francais.

Les pirates couraient dans le petit bois, d'arbre et arbuste sec, entendant derrière eux les corsaires et parfois une détonation.

Jill, un blessé dont la jambe était totalement paralysé, demanda qu'on le laissa avec deux pistolets et plusieurs grenades. A lui seuls il causa deux morts mais grâce aux grenades ils ralentissa l'avancé ennemi.

Mais c'était une course �  la vie.
 
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« Répondre #20 le: 12 Février 2008 à 20:13:22 »

Deux marins marchaient tranquillement, oubliant leur ennemis, quand une série de détonation et bruit sec les alertèrent. Des coups de feu, ils sont attaqués.


- Par la barbe du diable! Kevin dépéchons nous! les gars on besoin de nous!
Le dit Kevin, homme de forte stature mais de vue très faible, se caressa la moustache. ils commencèrent �  courir.

Marchant avec difficulté dans un champs de pierre ils virent plusieurs marins courient dont leur chef.


-Courez au navire fuez!!! Hurla le capitaine Thibeaut.

Derrièer lui le marin le plus lent reçut deux balles dans le dos, elles pénétrèrent dans la cage thoracitque, l'homme tomba sur une pierre la couvrant de son sang dégoullinant.

Les deux pirates hurlèrent de peur, mais ils tirèrent sur les premiers anglais qu'ils vurent. Sans effet autre que provoquer une riposte qu'elle aussi n'eut aucun effet.
Les pirate sfrancais connaissant un peu ce champs de pierre courèrent du mieux qu'ils purent mais les anglais eux avancaient lentement avec des mousquet vides.


Les francais réussirent �  devancer leur ennemis. Ils foncèrent sans perder de temps au cotre. Kevin annonca dans un souffle l'unique bonne nouvelle mais eprsonne n'y fit attention n'y si réjouissit.


Sur le cotre tout était calme quand soudain on entendit des cris. Seth monta sur l'entrpont et alla au bastinguage, il monta rapidement sur les haubans et regarda la coté. Il vit les francais désendrent �  tout vitesse laissant derrière eux par moment quelque chose, gardant juste leur arme blanche et leur pistolets en cas de combat.

les francais sautèrent dans les chaloupes. Sur le cotre totu le monde prit des mousquet et commenca un feux de couverture, certain ne mettant que de la poudre afin de faire croire �  une puissance de feux rédoutable.

Les chaloupes réussirent sans acune perte �  accoster le cotre sous le feux des anglais.
 
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« Répondre #21 le: 15 Février 2008 à 16:11:52 »

Le cotre filait sous la vu des anglais. Ces derniers de rage se replièrent vers leur brick.

leur espoir de vengeance fut annéanti par la nouvelle d'un marin.

sur le cotre qui filait �  bon allure les pirates étaient heureux, heureux de vivre alors que leur matelot étaient morts.

Dans l'entrepont �  la cuisine le chirurgien-barbier Félinien travaillait du mien qu'il put.
Le coffre et son or fut oublié un moment. Le capitaine regardait l'île s'éloigner au loin, il respira la brisa maritime quand son attention fut attiré par le cris d'un oiseau. Il l'observa voler et se poser sur l'espar du grand hunier.
Un marin prit son fusil et visa la bête.


- Laisse ton fusil gars!! y a eut assez de mort aujourd'hui! Baisse ton fusil c'est un ordre.
- arrr! grogna l'homme en reposant son arme.
Le second, grand avec un tricorne qu'il avait acheté �  la tortue posait sur son crane laissant et serrant ses cheveux long et blond alla voir son capitaine.


- colins est au plus mal.
- Ce jour est taché de sang pour nous... Que dit le docteur.
- Il dit qu'avec les fièvres colins mourira cette nuit ou demain. Il délires. Félinien lui a retiré la balle du foie mais son état ne s'est pas améliorer.
- C'est un échec total! plus de la moitié d'entre nous sont morts

- Mais nous avons le trésor de notre défunt compagnon! Coupa un marin, un homme maigre dont la peau était frippée qui avait été toucha au pied.

Le capitaine souria le moral de certain était bon. La nuit passa mais personne n'osa ouvrir le coffre.

   
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