Bordeaux

[Black]

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Le Black Shark remonta la Gironde avant d'arriver au port.
- Ferlez les voiles ! paré à amarrer le navire.
Le Black Shark, a vitesse réduite, ferla toutes ses voiles et le navire fut amaré au quai. La passerelle fut abaissé.
les hommes de quart restes à bord, les autre quartier libre jusqu'a ce soir !
Les matelots descendirent rapidement sur le quai, s'éparpillant dans la ville. Mr Pol alla rejoindre Jéricho.
- Bordeaux, enfin.
- Heureux ?
- Et comment ! A propos, toute peine mérite salaire.
Pol tendis une bourse en cuir que pris Jéricho.
- merci beaucoup.
- Il y a là 1.000 écus.
- Parfait.
- Auriez vous l'amabilité de m'accomapgner à terre ?
- Si vous pouvez m'indiquer la capitainerie pour déclarer le navire, avec joie.
- Par ici.
Pol amena Jéricho à la capitainerie du port.
 

[Black]

La capitainerie était un bâtiment carré en pierre blanche. Au dessus de la porte étati marqué en bleu : "Bienvenue �  Bordeaux, capitainerie".
Pol entra le premier.
- Martin ! s'écria une voix.
- Jules ! s'écria Pol.
Les deux hommes se serrèrent fortement.
- Alors mon vieux, comment c'est les Caraïbes ? Ta maigre cervelle n'a pas fondu avec le soleil.
- Non Jules, non. Les Caraïbes sont magnifiques, mais je suis bien heureux de revenir ici.
Jéricho regarda les 2 hommes sans intervenir. Au bout d'un instant, il toussota légèrement.
- Oups, s'exclama Pol, capitaine Black je vous présente Jules, mon frère aîné.
- Monsieur.
- Capitaine Black. Heureux de vous recontrer.
- Le capitaine Black m'a offert un magnifque voyage. Je compte sur vous pour me ramener aux Antilles, capitaine.
- Mais avec plaisir. Monsieur Pol, Jules. Je voudra idéposer mon navire.
- Laisser tomber c'est pour moi. déclara Martin Pol.
- Merci.
- Martin, faut que je te dise un truc.
- Bien sur Jules, quoi donc ?
- Mr Vauban est venu.
- Où est-il ?
- Il est décédé il y a quelque jour.
- Non ! C'est pas vrai.
- Si Martin. Je suis désolé.
Martin Pol s'assit sur une chaise.
- C'était un homme avec qui j'ai beaucoup travaillé. C'était un grand hommes. Paix a son âme.
- Bien, ce n'est pas que je m'ennui, mais je doit me rendre au fort afin de recevoir des instructions sur le rôle que je doit avoir en Europe.
- Au revoir capitaine Black, et au plaisir ! s'écria Jules avec un grand sourire.
- A bientôt.
- Au revoir.
Jéricho quitta la capitainerie en soufflant discrètement.  

[Black]

Le reste de la journée s'écoula tranquillement. L'équipage passait du temps dans les tavernes ou dans les boutiques.
Jéricho avait discuté avec Carl afin d'apporter des modification sur le Black Shark. Carl avait fait des plans afin d'ajouter une 4ème voile et un foc en haut de chaque mât, ainsi qu'une flèche au dessus de la brigantine.
Le navire fut mis en cale sèche. Les hommes de quart avait caréné le navire, tandis que les artisans, aidé par plusieurs volontaire, s'occupaient de rallonger les mâts et d'installer les vergue et nouvelles manœuvres.

Le soir venu, Jéricho se rendis chez Martin Pol. Il s'agissait d'une grande maison �  2 étages en pierre blanche. Quand Jéricho frappa, un domestique vint lui ouvrir pour l'introduire dans la grande salle �  manger.
- Monsieur le capitaine Jéricho Balstad !
Jéricho s'avança. Les 2 frère Pol s'avancèrent vers lui.
- Merci d'être venu, déclara Martin, Je m'en serai voulu de ne pas vous avoir remercier pour votre hospitalité.
- Merci beaucoup.
- Venez que je vous présente mon épouse. Amanda ! Viens par ici !
Une jeune femme blonde arriva.
- Je vous présente Amanda, ma femme. Amanda voici le célèbre capitaine Black.
- Madame.
- Capitaine Black. Heureuse de recontrer un hommes tel que vous.
- Merci beaucoup. Enchanté également.
- Bien, si on passait à table, maintenat que tous le monde est là ?  

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A la table de Mr Pol, il y avait beaucoup de monde. Toutes sorte de notables et bougeois. Le frère de Martin Pol, Jules, avait invité quelques-uns de ces amis marins.
Le repas fut de grande qualité. Les plats étaient nombreux et exellents. Jéricho s'en donna �  coeur joie. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas aussi bien mangé. Martin Pol présenta sa soeur �  Jéricho. Pol étant �  droite de Jéricho, sa soeur �  gauche.
- Capitaine Black, laissez-moi vous présenté ma soeur Marie.
- Mademoiselle.
- Monseigneur capitaine.
La jeune femme était jeune. Elle devait avoir dans les 20 ans. Mais, elle était petite, grosse, pleine de bourlet, bref, moche au possible.
- Alors c'est vous la terreur des Caraïbes ?
- Et bien, je ne suis qu'un humble corsaire au service de la France et la liberté.
- Unh unh.
la jeune femme bu une gorgé et Jéricho mangea un morceau de poulet.
- Il parait que votre navire disparait la nuit ?
- Ses voile noires empêche la lune de se refletter dessus.
- Unh unh.
jéricho mit un nouveau morceau dans sa bouche.
- Vous êtes marié ?
- Mmh.
Jéricho avala fortement.
- Marié ? Euuh, non. Les femmes ne me court pas après.
- Elles ont tord.
Jéricho eu un instant d'arrêt. Il tourna sa tête vers la jeune femme qui le regardait tendrement. Il se tourna vers Pol.
- Vous appréciez ?
- Le repas ? Au oui, magnifique.
- Pas le repas, ma soeurs.
- Euuuh.
- je vous comprend.
Jéricho et Pol ridolèrent silencieusement.
Le repas se termina tard dans la soirée. Jéricho promit �  Pol de le salué avant de reprendre la mère. Jéricho quitta la maison en même temps que plusieurs invité, pour retourné sur le Black Shark.  

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Jéricho monta sur le tillac de son navire. Les hommes de quart étaient tous éveillé et saluèrent leur capitaine. Comme le quart devait être assuré par Jéricho, l'officer d'interim, Sabrina, fut chargé de remplacer le captaine.
- Salut Jéri. C'était bien ta fête ?
- A l'exception de certaine personne ressemblant à un thon, c'était super.
- Des thons ?
- Laisse tomber. Où en sont les travaux ?
- Achille a fait caréner le navire. Les employé du port étaent très beau.
- Tu m'en diras t'en. Ensuite ?
- J'ai aprs par Jimmy que Carl lui avait demander de me dire pour que je te le dise, qu'il avait, lui est quelque volontaire, travaillé toutes la journée et que tous serait terminé demain midi.
- Et les nouvelles voiles ?
- Anne les avaient faites pendant le voyage. Quand Carl aura fini elle les fera installé. Normalement on pourra reprendre la mer dans 2 jours.
- Bien. Je te laisse à ton travail. Bonne nuit.
- Salut.
Jéricho fit une bise à sa fieul et rentra dans le gaillard arrière afin d'aller dormir.  

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Le ledemain, Jéricho se reveilla vers 10h. Quand il sortis du gaillard, Carl avait repris le travail.
- Les vergues sont presque installé ! Il n'y a plus qu'a fixer les voiles !
- Parfait ! Bon boulot ! Bonjour à tous.
- Bonjour capitaine.
- Salut.
- Salut, bien dormis ?
- Bien et toi ?
- Oui, merci. Tu vas au fort ce matin ?
- Oui. Je vais demander ce qu'on doit faire.
- Ok. Alors a toute a l'heure.
- 'lut.
Jéricho descendit de son navire et pris la direction du fort.  

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Jéricho trouva le fort sans peine. Celui-ci dominait l'entrai du port. Il était haut, solide et bien gardé. Quand Jéricho montra sa lettre de marque, la lourde porte s'ouvrit et un soldat l'accompagna. Quelque minutes plus tard, le soldat introduit Jéricho devant son général.
- Capitaine Black.
- Général.
- Vous désirez ?
- Je souhaiterai savoir ce que l'on souhaite que je fasse pour la guerre.
- Il y a plusieurs zone a surveiller.
- Laquelle souhaitez-vous que je prenne en charge ?
Le général sortis une carte et une liste. Il regarda la liste rapidement ainsi que sa carte.
- Vous allez à Dunkerque.
- Dunkerque. C'est dans le nord ça.
- Oui. Dunkerque sera votre port d'attache jusqu'a nouvel ordre. De l�  vous pourrer hânter les anglais et les hollandais dans la mer du nord et intercepter les convoi passant par la Manche. Des questions ?
- Non. Je compte partir demain matin.
- Parfait. Alors bonne chance.
- Merci bien.
Jéricho quitta le fort et retourna vers le port.  

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(lundi 10 avril 1707)

La journée s'annocait couverte. Le ciel était gris et la pluie menacait. Un pavillon blanc �  rayures noir avait été hissé. Ce pavillon typique au Black Shark indique �  l'équipage dispercé le message suivant : embarquement �  la prochaine heure. Comme il était 8h40, l'embarquement aurait lieu �  9h. L'équipe de quart chargait le navire de vivre, eau, animaux, poudre et boulet. Mr Pol avait offert de canon de calibre 12 �  Jéricho afin de remplacer les 2 manquant.

Suite �  la demande de Jéricho, le général plaça sur son navire un écrivain. Ainsi, la cargaison fut rapidement partagé entre la Courronne, le navire et l'armateur, c'est-� -dire Jéricho. Le navire gagna 73 093 écus. Jéricho gagna 32 893 écus qu'il garda afin de l'utiliser pour acheter et libérer des esclaves.

L'écrivain arriva quand le navire fut pratiquement chargé. Il se nommait Charles Deblau. C'était un jeune homme de 25 ans, blonc, maigre de taille moyenne. Quand la pendule du Black Shark sonna 5 coup, il était 9h. L'équipage était au complé. L'heure de reprendre la mer était venu.

- Mr Hayes !
- Capitaine ?
- Vous savez quoi faire.
- Oui capitaine ! Relevez la passerelle ! larguez les amarres ! Bordez les huniers !

Le Black Shark quitta lentement le quai. Le port de Bordeaux donnait directement sur la Gironde. De ce fait, Jack, qui tenait la barre, n'eu qu'a virer �  babord pour pouvoir suivre la fleuve vers la mer. Quelques heures heures plus tard, le Black Shark avait quitté le fleuve et avait trouvé la mer.

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