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Auteur Fil de discussion: Dunkerque  (Lu 20879 fois)
Black
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« le: 30 Avril 2008 à 19:17:13 »

précendent : http://forum.ageofseadogs.com/index.php?topic=1817.msg48807#new

a lire avec :


Arrivé dans le NooOOrd

Le Black Shark s'avanca vers le port. Au fur et �  mesure de son avancait, la brume disparaissait. Enfin, le Black Shark passa la digue et partis �  la recherche d'un emplacement. L'équipage regardait le port. Les hommes de quart s'occupaient de ferler les voile pour ralentir la frégate. Jéricho, debout sur le bastingage observait.

- On va leur en mettre plein la vue les enfants !

Les dunkerquois observait la frégate. Voiles et coque noires. L'équipage croisa quelque prisonnier anglais qui tournèrent la tête. Avec ironie, Jéricho les salua. Quand le Black Shark arrivait au bout des quais, Jéricho, debout a l'extrémité du mât de beaupré, l'air fier, les regardait d'un air méprisant, bien qu'en rélaité, il avait énormément d'admiration pour les corsaires de Dunkerque. Les dunkerquois le regardait avec un air étonné, amusé de voir un comique pareil arriver dans leur ville. Quand le Black Shark toucha le quai, Jéricho sotta sur le quai et avança vers la capitainerie.


   
« Dernière édition: 08 Juillet 2008 à 18:19:57 par Black »
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« Répondre #1 le: 01 Mai 2008 à 19:31:44 »

Jéricho entra dans la capitainerie du port. Un petit homme chauve était l� , vétu d'un gilet vert et d'un tricorne marron.

- Vous désirez ?
- Je viens pour déclarer mon navire.
- Bien,sa longueur s'il vous plaît.
- 72 mètre de long tout compris. Bôme et beaupré.
- Cela vous fera 1 livre tournoi et 8 sols la journée.
- Bien. Sur ordre de la Marine Royale, ce port est désormais mon port d'attache.
- Sans plit de la Marine Royale je ne peu rien faire. Je note votre navire où je note votre jour d'arrivée. Vous paierez en repartant. Si vous revenez avec un plit signé par la Marine Royale vous n'aurez pas a payer.
- Merci bien.

Jéricho prit le papier que lu tendait l'homme, prouvant que son navire était déposé. Il salua et sorti.  
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« Répondre #2 le: 07 Mai 2008 à 20:24:41 »

Jéricho se rendit au bureau de l'Amirauté de Dunkerque avec son rapport de mer. Il fut reçu par l'armiral commandant la flotte de Dunkerque. Cette homme d'une cinquantaine d'année examina le rapport de mer de Jéricho, où figurait la prise du brick hollandais. L'amiral posa le papier et s'exprima :

- Tous d'abord bravo pour votre prise et bienvenu �  Dunkerque. L'Amirauté va légitimé votre prise, confirmant qu'elle appartiens bien �  l'ennemi et que vous n'avez pas agit pour votre propre compte, mais pour celui de la Courrone de France.
- Merci.
- Nous nous entretiendrons avec votre écrivain afin de répertorier les marchandise �  bord du navire pris.
- Bien sur. Mon écrivain est en ce moment à bord de mon navire.
- Parfait. Je vous prirais donc, ainsi que votre équipage, de rester �  bord de votre navire en attendant que la légitimisation de votre prise et des marchandises prisent soit terminé. Vous pourrez vendre cette marchandise en toute légalité une fois cel�  fait. Le chiffre d'affaire sera ensuite répartis devant le Tribunal des prises.
- D'accord. Je vais donc me retirer et retourner à mon bord.
- Parfait. Nous vous préviendrons quand nousaurons terminé. Au revoir et encore bravo.
- Merci et au revoir.

Un soldat raccompagna Jéricho à l'extérieur et celui-ci retourna sur le Black Shark.  
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« Répondre #3 le: 10 Mai 2008 à 15:09:03 »

(vendredi 14 mai 1707)

Ayant quitté les Caraïbes, l'équipage du s'habituer au climat plus frai de Dunkerque. Cet aprés-midi, le ciel était gris et menacant. Jéricho discutait avec l'écrivain du bord alors que celui-ci dessinait.

- Foutue temps.
- En effet. Cela fait longtemps que vous êtes capitaine ?
- J'ai commencé �  navigué �  10 ans. A 13 je suis devenu chef de pièce. A 15, mon amis Alexandre et moi capturons un navire, alros que notre capitaine est tué. Alexandre devint capitaine, moi second. Au début c'était dur. Nous étions jeune, sans expérience. Malgré tous nous avons réussi �  nous faire une réputation. Alexandre est mort il y a quelque temps et me voil�  capitaine.
- Vous avez étez second à 15 ans ?
- Oui. Second d'un équipage partagé. Certain nous faisait confiance, notament les officiers, et d'autre ne nous faisait pas confience. Je me souveins encore de notre première prise. Un brick de la Courrone de Castille.
- Et cette prise vous a rendu plus populaire auprés de votre équipage ?
- Au départ nous n'avions fais qu'observer notre capitaine. Avec le temps nous aprenions notre métier. Heuresement nous avons réussi a recruté des officiers compétents et fidèles.
- Comme qui ?
- L'actuelle bosco, Hayes. Achille Parcker, Enrique Pablo Rosa.
- Vous avez été chanceux. Une mutinerie est vite arrivé.
- En effet. Un coup de pouce n'a jamais fais de mal à personne.

Jéricho regarda le dessin de son écrivain. Le dessin était magnifique et précie. Jéricho se reconnus.

- Depuis quand dessinez vous ?
- Depuis que j'ai 5 ans. Je voulait devenir artiste, mais ma famille n'avait pas de quoi me payer les études. Alors je m'engagea comme comptable et je suis devenu écrivain militaire.
- Vous décinez fortement bien. En quel honneur me représentez-moi ?
- Je vais passer beaucoup de temps sur ce navire, autant bien le connaître. Et puis je dessine ce qui m'inspire.
- J'ignorais que je vous inspirais.
- Même de l'autre côté de l'Atlantique vous êtes connu. Vos service en Europe durant la dernière guerre aux côté de Jean Bart vous fit connaître par l'Europe.
- J'ai une assez bonne réputation dans les Caraïbes.
- Après 20 ans de succès c'est normal. Cependant je ne pense pas que certain, anglais et hollandais par exemple, concidèrent votre réputation comme bonne.
- De quoi se pleignent-ils, je leur offre l'occasion de s'amuser un peu.

Les 2 hommes sourirent. A ce moment, on frappa à la porte et Achille entra.

- Capitaine, 2 officiers d'administrations sont arrivé pour inspecter le brick.
- Nous arrivons, merci.
- Pas de quoi.

Achille se retira, bientôt suivit par Jéricho et l'écrivain.  
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« Répondre #4 le: 13 Mai 2008 à 15:02:06 »

Jéricho s'avanca vers les 2 hommes, 2 hommes richement habillé.

- Capitaine Balstad.
- Henri Ryte, officier d'administration.
- Georges Mole. Nous venons inspecter le navire que vous avez capturé.
- Il est là. je vous y accompagne ?
- Seul votre écrivain viendra, ordonna Ryte, accompagné de son registre.
- Bien. Comme vous voudrez.
- Je m'occupe detous capitaine, ne vous en faîtes pas. déclara l'écrivain.
- Parfait. Alors bonne visite.

Les 2 officiers et l'écrivain quittèrent le Black Shark et montèrent sur le brick. Jéricho les suivit de l'oeil mais il les perdu quand ils descendirent.

- Quel bande de con. répilqua Achille de son habituelle ton grincheux.
- Ouais, la confiance règne.
- Ta pas une chique Jéri ?
- je chique pas moi.
- Tans pis. Achille cracha sa chique par dessus bord.
- Ta plus de chique et tu crache celle qui te reste.
- Ouais, ca fait 2 jours que je l'ai celle-l� . Vivement que ces messieurs ai bougé leus cul, qu'on puisse aller faire les courses.
- Bien d'accord. T'es pas avec Enrique ?
- Non.
- C'est rare. Et en quelle honneur ?
- Il se tape un roupillon et il a bien raison. Qu'est ce qu'on se fait chier.
- Complétement. J'ai envis d'aller me dégourdir les pattes.
- Faudrai qu'on face un jeu avec l'équipage.
- Un jeu à 300 ?
- Ouais. On demande �  l'écrivain de réunir du monde et on monte une pièce de théatre.
- C'est quoi le thème.
- On sera 300 pirates au milieu de milliers d'espagnols.
- Je te vois bien faire du théatre.
- Je ne sais pas si je doit prendre sa comme un compliemnt.
- C'était pas un compliment.
- Evidement, des que j'ai une idée...
- On t'envois promener, oui, je sais, t'es un génie incompris.
- Ouais, parfaitement. Bon, je vais aller siroté ma bouteille de rhum hebdomadaire.
- Attention a l'alcoolémisme.

Achille s'éloigna en trainant des pieds. Jéricho regarda vers le brick. Les 3 hommes discutaient sur le pont.  
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« Répondre #5 le: 13 Mai 2008 à 19:53:06 »

L'écrivain remonta sur le Black Shark retrouver Jéricho. Les 2 officiers avaient quitté le brick et repartais maintenant vers la ville. L'écrivain se montra, son registre sous le bras.

- Alors ?
- Et bien, ces messieur ont inspecté le navire et consulté le registre. Ils ont répertorié toutes les marchandises. Le procé verbal est fait. Ils ont mit leur seau sur les écoutilles et on ordonné le dégréement.
- La routine.
- Voilà, c'est çà.
- Bien. Quand le navire sera dégréé ?
- Je l'ignore. L'Amirauté va sans doute le faire dans les jours a venir.
- Espérons-le. La mer m'apelle et je veux répondre à son appel.
- Je vous comprend.

Les deux hommes se séparèrent. Jéricho entra dans le gaillard arrière et dégusta une pomme tout en regardant l'animation du port �  travers la fenêtre.  
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« Répondre #6 le: 14 Mai 2008 à 15:54:41 »

(samedi 15 mai 1707)

Le lendemain matin, Jéricho dormait paisiblement. Un mince trai de lumière lui traversa le visage. La chaleur du soleil le reveilla. Il se redressa, encore un peu endormis, les cheveux en bataille. Tous en se grattant le manton, il regarda sa montre posé sur sa table de chevet. Il était 10h. Jéricho se leva et retira la planche placé devant la fenêtre arrière. Il regarda d'un air endormi le bric. Toutes les voiles avaient été retiré et l'on commença à faire descendre les vergues du mât de misaine. Jéricho pris son gilet en cuir qu'il mit par dessus sa chemise, enfila ses bottes en cuir, mit son manteau, placa son pistolet à sa ceinture, mit son baudrier avec son sabre et sortis.

- Bonjour monsieur, vous avez bien dormis ? demanda Baptiste.
- Mouais, bof. Et toi ?
- Comme d'habitude, je me suis levé tôt pour donner du pain et du café aux hommes.
- N'hésite pas à leur en donner beaucoup, faut les ménager. Tous le monde s'ennui.
- Oui, les gars râle. Ils s'ennuis à mourrir et veulent vite descendre à terre.
- Pareil pour moi. Demain je pense que l'on pourra. Le brick sera entirement dégréé très bientôt.
- Espérons-le. Je vous sert votre café ?
- Volontié.
- Vous m'excuserez, mais le pain est un peu racit. Mais il doit me rester un peu de beurre salée.
- Parfait.

Baptiste servit un bol de café à Jéricho avec une tartine de pain et un peu de beurre. Malgrés le sel et le fait que le beurre est été protégé de la lumière et de la chaleur, il commencait à sentir. Et le pain aussi. Malgré la bonne concervation du pain dans la soute à biscuit, son âge le rendait un peu dur. Heureusement, en le tranpant dans le café il ramolissait un peu.

- Dis moi Baptiste.
- Oui ?
- Tous ce qui ai fait comme un gâteau ou du pain va dans la soute à biscuit. Le reste va dans la cale normale. Mais les aliments demandant une certaine fraicheur, tu les range où ?
- Dans un placard en métal fermé, étanche, avec du sel. Le sel est un parfait conservateur, et le placard garde la fraicheur. Pour rafraichir le placard, je met des glaçons dedans, mais à force, ils fondent.
- Et il est où ce placard ?
- Chaques cuisinier à ses secrets. déclara Baptiste en souriant.
- Je vois. Des fois que je viendrais te piquer du beurre.
- Il n'y a pas que du beurre. J'y met aussi du poisson, du lard, du fromage,...
- Ca doit être un grand truc alors.
- Un environ 1 mètre cube.
- Et bien.

Jéricho vida son café. Apprenant que tous les officier était debout, il sortis sur le pont laissant Baptiste préparer le repas de midi.  
« Dernière édition: 17 Mai 2008 à 16:59:20 par Black »
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« Répondre #7 le: 17 Mai 2008 à 17:23:20 »

- Déjà que vous nous casser les pieds, vous pourriez vous presser un moment !
- Monsieur parcker je ne vous permet pas de me parler sur ce ton infect !

Quand Jéricho sortis, Achille était penché par dessus le bastingage et parlait à quelqu'un. Jéricho s'avança et vit un officier d'administration.

- Qu'y a-t-il ?
- Ce monsieur à une bonne nouvelle à vous anoncer !

Achille tourna des talon et retourna en râlant dans l'entrepont. jéricho repris la conversation.

- C'est pourquoi ?
- Je viens vous anoncer que vous ne pourrez descendre et revendre la prise qu'a partir de demain.
- Vous aurez fini quand ?
- Dans l'aprés-midi. Je comprend que vous voulez descendre mais comprenez-nous, vous n'êtes pas les seul corsaires en attentes.
- Le même truc a chaque fois, ca va être gai.
- Je n'y peu rien moi. Bon, bonne journée.
- Merci. A vous aussi.

Jéricho repartis en soufflant.

- Qu'en est-il ? demanda Jack.
- Pas avant demain matin.
- L'équipage râle.
- je m'en doute et je le comprend. Et ce sera comme ça à chaques retour de mission.
- Pffff ! Ca me soule.
- Ouais, je te garantis que quand on partira ce sera pour un moment.
- Je suggère cependant de trouver une occupation. Les hommes préfère le travail quotidient en mer plutôt que l'ennui.
- T'as raison. Ce soir, on vide les tonneaux de rhum. Je demanderai à Baptiste de vider les cales. Demain, on réapprovisionera tous.
- Je l'annonce aux hommes ?
- Comme tu veux.
- On va leurs faire la surprise.

Jéricho et le quartier-maître se séparèrent. Jéricho retourna dans le gaillard donner ses instruction au coq. Celà fait, il descendit dans le carré des officiers faire un billard avec Hayes et Carl.  
« Dernière édition: 20 Mai 2008 à 19:18:39 par Black »
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« Répondre #8 le: 04 Juin 2008 à 15:00:55 »

Le reste de la journée fut banal. Bapitiste et son assisant préparait le repas pour le soir, aidé par Sabrina et sa mère. Excepté le riz pris sur le navire hollandais, toutes les provision furent prisent. Lard, porc, tortue, poulet, citron, pomme, fraise et autre était réunis dans différent plats exquis.

Le soir venu, Jéricho ouvrit lui-même les tonneaux de rhum et autre alcool, avant d'appeller ses hommes �  se servirent. Toutes la nuit, on but, on chanta, on manga, on ria sur le pont du Black Shark.
 
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« Répondre #9 le: 05 Juin 2008 à 19:09:33 »

(dimanche 16 mai 1707)

Le lendemain matin, le navire avait la majeu partie de son équipage rond comme une queue de pelle. Jéricho se leva péniblement et sorti dehors.

- Et bien heuresement qu'on ai pas en mer. soupira-t-il

Jéricho tourna la tête vers la mer. En baissant les yeux il aperçu Sabrina assis contre le bastingage et Jimmy. Jéricho tourna des talons.

- Ciel ! C'est celà un navire corsaire ?
- Après une fête, oui.
Un officier d'administration était monté sur le pont.
- Excusez mon arrivé sans gène, mais ne voyant personne je pensait...
- C'est pas grave. C'est pourquoi ?
- Le brick de la Compagnie Hollandaise de Indes Orientales a été dégréé, vous avez donc l'autorisation de quitté votre bord et de revendre la prise dans sa totalité.
- Ah ! L'équipage va être content. Je vous remercie.
- Je vous en pris. Quand vous aurez revendu la prise, veillez vous présenté pour passer devant le tribunal des prises.
- Bien.

Les 2 hommes se saluèrent et l'officier descendit. Jéricho reveilla ses officiers et les réunis dans la salle �  mangé.  
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« Répondre #10 le: 05 Juin 2008 à 19:52:43 »

Les officiers réunis, plus ou moins dans le brouillard, étaient près à écouter Jéricho.

- Messieurs, nous avons enfin le droit de sortir et de revendre la prise. Cette revente sera contrôlé par notre écrivain bien-aimé, et le chiffre d'affaire sera répartis par le Tribunal des Prises. Charles, pouvez-vous énoncer la dite prise, s'il vous plait ?
- Bien, répondis l'écrivain en ouvrant son registre. La prise et constitué de : 1 brick de la Compagnie Hollandaise de Indes Orientales, 100 sac de riz, 300 boulets de 12 livres, 300 barils de poudre, 20 mousquets, 30 sabres et 20 pistolets.
- Bon, alors on va se répartir les tâches, ok ?
- Mouais.
- Bof !
- Hips !
- Si, ok.
- Pfff !
- Comme tu dis, pfff !
- Je demande un équipage sain et conscient ! Je ne veut pas confier la revente des marchandises �  des zombis qui se parfume au rhum, �  la vodka, au schanps, au whisky ou je ne sais quoi ? COMPRIS !!
- Oui capitaine !
- A vos ordre !
- Comme vous voulez !
- Si senior capitaine !
- Que votre volonté soit faîte, amen.
- Vos désires sont des ordres !
- C'est mieux. Bon, Achille et Enrique vous vous chargez du riz. Rolland et Hayes vous trouvez une armurerie pour revendre les boulets, la poudre, les fusils et les pistolet. Jack et Sabrina vous revendrez les sabres dans une forge. Moi je me charge du brick. Des qustions ?
- Une seule, faut vraiment que j'aille avec Jack ?
- Sabrina, avec tous le rhum que tu a ingurgité hier soir, un bol d'air frai te fera du bien.
- Mais, Jéricho.
- Mademoiselle Torik, c'est un ordre.
- D'accord.
- Alors a vous de jouer.

Jéricho et les officiers se levèrent pour quitter le gaillard.  
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« Répondre #11 le: 21 Juin 2008 à 15:50:06 »

Jéricho quitta le gaillard �  son tour. Une fois a terre, il se mit �  longer le quai. En longant un cotre, il surpris une conversation.

- Quoi ! C'est tous ! cria un hommes bien habillé dans un costume vert.
- Oui monsieur Motté, avec la guerre on ne peu s'aventurer loin en haute mer, le cotre n'est pas assez armé. lui répondit un barbu coiffé d'un tricorne noir.
- Au prix ou je vous paye, vous pourriez prendre quelques risque supplémentaire, capitaine Druenne.
- Quel risque, celui de finir coulé par les anglais ou les hollandais ?
- Arrêté un peu votre comédie, vous avez un navire suffisament rapide pour échapper au navires de guerres ennemis.
- Excusez-moi, seriez-vous armateur ? demanda Jéricho à l'homme en vert.
- En effet, je suis monsieur Motté et voici le capitaine Druenne. Ce cotre est ma propriété et le capitaine et ses hommes pêche avec. Seulement comme il ne peu allé en haute mer, la pêche est moin bonne, et le chiffre d'affaire aussi.
- pourquoi ne pas augmenter vos chances ?
- Que feriez-vous ?
- Achetez un autre navire. Ainsi votre récolte sera doublé.
- Qui êtes-vous ?
- Capitaine Jéricho Balstad, corsaire au service de la courrone de France. Il se trouve que j'ai un navire �  vous proposer.
- Quel genre de navire ?
- Un brick que nous avons, moi et mes hommes, pris aux hollandais. Il est en parfait état, �  part l'armée qui l'a dégréé et quelque trou de mitraille. Mais pour les trou, je payerai les réparations.
- Je voudrai voir ce brick.
- Suivez-moi.

L'armateur suivit Jéricho jusqu'au brick. Motté demanda à monter à bord.

- Beau bâtiments. Vous parliez de trou provoqué par de la mitraile.
- Mon charpentier n'a pas eu le temps de tous les combler.
- Vous le vendez combien ?
- Combien l'acheteriez-vous ?
- 14.000 louis d'or.
- 17.000.
- Oui, mais il est tous de même un peu âbiné, et puis il me semble avoir vécu. Je dirai qu'il fut construit il y a 10 ans.
- Cependant, il faut prendre en compte les risque pris pour sa capture, et puis l'argent récupéré servira �  servire la courrone.
- Bon, je vous en donne 15.000 louis d'or.
- Marché conclu. Si vous le désirez, mon charpentier s'occupera de boucher les dernier trou, avant que nous repartions.
- Bien, j'accepte.

Jéricho et Motté se serrèrent la main.

- Si vous voulez bien m'accompagner chez moi, nous signerons l'acte de vente et je vous donnerai votre argent.
- Bien, d'accord. Je vous suis.

Les 2 hommes quittèrent le pont du brick. Jéricho demanda a Carl de boucher les trous. Jéricho et Motté se entrèrent dans la ville.  
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« Répondre #12 le: 21 Juin 2008 à 19:44:31 »

Après quelques minutes de marche, Jéricho et Motté arrivèrent devant une maison bourgeoise. Maison en pierre blanche �  2 étages avec balcon, entouré d'un jardin, fermé par un mur en pierre et une cloture en fer. motté ouvrit le portaille en fer �  l'aide de sa clé. Une fois dans l'enceinte, un chemin en gravillé traverser le jardin formé d'arbre et de fleur jusqu'a un cour excalier, montant �  la porte d'entrée. L'intérieur de la maison était assez luxieux.

- Vous êtes wevenu missié.
- Oui, Jules, oui. Voici le capitaine Balstad. Nous devons parler affaire tous les deux, conduis-le dans le salon, s'il te plait, j'ai quelque chose �  aller prendre dans mon bureau.
- D'accowd missié, si missié le capitaine veut bien me suivwe.

Jéricho se laissa conduire par Jules, qui n'était autre que l'esclave de Motté. Jules semblait bien portant et heureux. Cependant, Jéricho le questionna.

- Dites-moi, Jules, êtes vous heureux avec monsieur Motté ?
- Oh si missié, missié Motté me traite comme un amis, je mange le même repas �  sa table. En plus, il me donne 100 louis d'ow chaque mois. Nous nous connaissons depuis longtemps, je suis le fils de l'esclave de son pèwe.

Jéricho n'insista pas. Il se rendit compte que Jules était heureux avec son mettre et qu'il ne mentait pas de peur de son maître. Jules fit entrer Jéricho dans le salon. L� , il le fit s'asseoir sur le canapé.

- Missié désiwe un wafwéchissement ? Whum, cognac, bièwe, eau de vie ?
- un verre de cogna, merci.

Jules servit Jéricho quand monsieur Motté arriva.

- As-tu proposé à boire à monsieur Balstad, Jules ? dit-il en s'asseyant en face de Jéricho.
- Oui missié, vous désiwez quelque chose ?
- Je veux bien un verre de bière mon brave, si tu désire boire avec nous, je t'en pris.
- Mewci missié.
- Capitaine, voic votre du.

Motté donna un grand sac à Jéricho.

- Il y a dedans 15 sacs contenant chacun 1.000 louis d'or.
- Je vous remercis voici l'acte de vente du brick.

Motté signa l'acte, tandis que Jules distribua les verre avant de s'asseoir avec un verre de rhum �  la main. l'acte signé, les 3 hommes finirent leur verre en discutant de divers sujet. Quand ils eurent fini, Jéricho quitta l'habitation pour regagner son navire.  
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« Répondre #13 le: 22 Juin 2008 à 17:43:04 »

Quand Jéricho arriva sur le pont du Black Shark, les officiers étaient de retour de la vente des différentes marchandise.

- Alors, messieurs, combien celà nous a-t-il rapporté ?
- On a trouvé un acheteur pour le riz. Le mec nous en a refilé 50 louis d'or. déclara Achille en machant sa chique.
- La revente des fusils, boulet, pistolet et poudre nous a en tous rapporté 8 150 louis d'or et 45 pistoles. annonca Hayes.
- Et on eu 300 louis d'or en vendant les sabres.
- J'ai enregistré tous cela, capitaine, combien avez vous récupéré d'argent pour la vente du brick ? demanda l'écrivain, Charles.
- 15.000 louis d'or.
- Parfait. Donc, en tous, la revente de toutes les marchandises a donné un chiffre d'affaire égal � ... 188 180 écus d'argents.
- Tu aurais pu tous mettre en pistoles, tu sais, Charles.
- C'est vrai, mais j'aime bien les écus, et puis, je crois savoir que le coffre fort qui renferme le butin de tous l'équipage contiens surtout des écus.
- Juste, merci.

Les officiers se dispersèrent. Jéricho et l'écrivain quittèrent le bord afin de demander audience auprès du Tribunal des prises. L'audience aura lieu le lendemain �  9h.  
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« Répondre #14 le: 23 Juin 2008 à 17:55:25 »

(lundi 17 avril 1707)

A 9h tapante, l'audience commenca. Le Président de Tribunal des prises pris la paroles.

- Audience ouverte �  propos des prises effectué par monsieur Jéricho Balstad, capitaine de la frégate de 4ème rang corsaire Black Shark, ayant pour armateur monsieur Balstad lui même. J'invite donc monsieur Balstad ainsi que l'écrivain du navire.

Jéricho et Jules se levèrent et se placèrent devant le juge. Celui-ci repris.

- Monsieur Charles Deblau, veuillez nous confirmer le produit de la prise ainsi que le montant de la revente.
- Bien sur. répondit Charle en ouvrant son registre. La prise se composait de 100 sac contenant chacun 40 livres de riz, de 300 tonneaux de 20 livres de poudre, de 20 fusils, 20 pistolets �  silex, 30 sabres et enfin 300 boulets de 12 livres. Le tous accompagné par un brick pris �  la Compagnie Hollandaise des Indes Orientales. La revente de ces biens s'élève �  une somme de 188 180 écus d'argents.
- Merci beaucoup.

Le Président discuta un moment avec ses partenaires, lesquels calculaient les parts. Après quelques instants, le Président repris.

- Mr Lamour, vous avez la parole.

Un des membres du tribunal se leva, un papier à la main.

- Après calcul, les parts sont les suivantes. Des 188 180 écus d'argents, 18 818 revienne �  l'Amirauté et �  la Courrone de France. 112 908 revienne �  l'armateur du navire, monsieur Jéricho Balstad. La part de l'équipage et de 56 454 écus.  Charles Deblau, écrivain du Black Shark, avez vous une contestation �  faire de ces calculs ?
- Non monsieur, je suis en accord avec eux.
- Alors la séance est levé. annonca le Présidents.

L'assembler se leva. Les membres du conseil commencèrent �  préparer l'arriver du prochain corsaire. Jéricho et Charles quittèrent le tribunal. A l'aide d'un document fourni par le Président, Jéricho pus récupérer sa part ainsi que celle de son équipage.

   
« Dernière édition: 23 Juin 2008 à 18:23:19 par Black »
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