précédent :
http://forum.ageofseadogs.com/index.php/topic,2066.msg64475.html#msg64475(samedi 29 avril 1707)
Le Black Shark ne tarda pas � accoster. Jéricho permis � l'équipage de quitter le bord, exepté une équipe de veille désigné dirigé par l'officier de quart, actuellement Rolland, qui du rester pour surveiller le navire. Du fait de la nuit, la plupart des hommes restèrent � bord pour dormir.
Jéricho alla rapidement � la capitainerie du port militaire signaler son arrivé, prenat la décision d'aller se présenter � l'Amirauté dès demain, afin de commencer le processus de revente de la prise. Dès que l'aube fut levé, vers 7h, Jéricho de rendis � l'Amirauté, om il fut reçut. Introduit dans un bureau luxueu, il fut surpri en voyant l'Amiral responsable de Dunkerque.- Amiral François Leluc ?!- Jéricho Balstad ! Alors ça c'est une surprise.
- Et moi donc. On vous a replacé ici ?- Disons que j'étais partis pour Paris il y a quelque temps.
- A je comprend. Nous somme venu il y a deux semaines, c'était un autre. J'au cru que vous aviez pris votre retraite.- Dieu merci, non. Même à 48 ans, je reste fidèle au poste.
François Leluc était l'amiral de Dunkerque. Jéricho et lui s'était connu durant la Guerre de la Ligue d'Augsbourg. A cette époque, le Black Sahrk avait déj� était affecté au port de Dunkerque. La grande amitié entre Jéricho et Leluc s'explique par l'admiration que lui porte ce-dernier, de part ses activité libertaire.- Alors, on vous a ramener des Caraïbes ? Pas trop froid ?
- Bof, j'ai connu mieux, je l'avoue.- Tans mieux. Alexandre n'est pas avec vous ? Vous êtiez inséparables lors de la dernière guerre.
s'étonna l'amiral.- Alexandre a été tué l'année dernière lors de l'assaut d'une base d'un traffic d'eclave. annonça Jéricho avec un ton grâve.- Oh mon Dieu. Le pauvre. Vous avez réussis à prendre cette base ?
répondis Leluc, choqué.- Oui. Il a été vengé.- Tans mieux. Sa mort n'est pas si inutile.
Répondit-il avec regret. Je pense qu'il aurai accepter de mourrir au nom de la Liberté.
- Oui. Au nom de la Liberté. Répondis Jéricho, perdu dans ses souvenir.- Sinon, je suppose que vous rentrez de patrouille et que vous venez demander la légitimisation de votre prise ?
- En effet.- Les contrôleurs passerons dans l'après-midi.
- Bien, parfais. Les deux hommes se saluèrent et Jéricho retourna sur le navire. Vers 15h, les contrôleurs arrivèrent et inspectèrent la prise, avec l'aide de l'écrivain du bord. Plus tard, la prise fut légitimé, et la revente pu commencer.