Demi Noix, l'histoire d'un brick (1er Partie Ep.1 à 5

[zoski]

Une histoire du Capitaine Kaldal Gilm Rem

Jour inconnue Position à 3 jours de Dominique en provenance de St Barts

      Départ de St Barts il y a 9 jours avec un équipage fort de 72 hommes. Avec �  notre bord suffisamment de vivre pour une traversé de l'atlantique, 10 pièces d'artilleries et des munition �  la pelle.
J'ai passé la première partie du voyage enfermé dans ma cabine plongé dans mes livres, et dans mes cartes, recherchant le plus d'informations sur l'île française de St Bart.

C'est le 3eme jours que tout �  commencé : un navire espagnol en vu : un brick, 60 hommes �  vu de nez est une dizaine de pièces d'artillerie... Si tôt prévenu, je suis sortit de ma cabine, attrapé une longue vu et j'ai observé le navire espagnol : un simple navire marchand, pas d'escorte ! Un matelot me demande alors l'air enjoué :
-Dites moi Cap'taine on va l'aborder cette coque??
La même question me taraude l'esprit!! On l'aborde ou pas?? ..... d'espagnol, comme disait mon premier tuteur: "tu as peur?? et bien ne réfléchie plus, FONCE" J'ordonne alors les manœuvres d'approches : on vire de bord, je fais changer le drapeau et surmontant ma peur j'annonce :
-Tout le monde �  son poste !!! Hissez le pavillon noir !!! Pas de quartier, on va les avoir, �  nous leur butin!!!
Rien de mieux pour motiver mes troupes, je m'approche du pilote sur le pont supérieur et je le jauge : il ne semble pas rassuré !! C'est un brave type, peut être un peux jeune pour un poste avec tant de responsabilités... De toute façon le temps n'est pas questions : le navire espagnol prend la fuite alors que mes gars crient :
-Bandes de lâches, revenez on vous fera pas de mal... Vous êtes pas drôle
Avec force il crient et éructent des insultes pour cacher d'une part leurs soulagement de l'autre leur déception... Après quelque minutes de poursuite on se rend compte que le navire espagnol...





La suite des aventures une autre fois toujours dans ce topic  

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Le navire espagnol vire de bord, ses voiles claquent légèrement alors que nous lui faisons face, il nous présente son bord, notre proue en pleine ligne de mire de ses canons. Depuis le pont supérieur je voix comme au ralentie les bouches noires de ses canons cracher feux, fumé et poudre noir alors qu'il faisait feux sur nous, ses 5 pièces bâbord tiraient dans un vacarme de tout les diables! Avant que la plupart des hommes présent sur le pont se soit jeter contre le dur plancher, les boulets avaient parcourue la distance entre nos 2 bateaux et s'écrasaient sur notre pont, faisant voler des morceaux de bois et de débris dans tout les sens, arrachant le garde fou, coupant les cordage, ou tombant dans l'eau et arrosant le pont...

J'étais debout au milieu de cette tempête de débris et de cris, alors que je me retournais pour faire signe au pilote de virer de bâbord, le bateau fit une grosse embarqué, vira de bâbord violemment, la mature craquait, le pont semblais être un toboggan alors que j'étais projetait contre le garde fou, j'entendais les servant d'artillerie crier alors que les chaîne de sécurité des canons s'arrachaient:
-Merde les CANONS les CANONS!!!
- Tous aux canon!! Retenez les, avec moi les gars!!
Les canons roulant avec grand fracas dans le pont inférieur... La peur me saisit au ventre, comme un uppercut, alors que je mangeais la rambarde de plein fouée.  

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Les canons roulant avec grand fracas dans le pont inférieur... La peur me saisit au ventre, comme un uppercut, alors que je mangeais la rambarde de plein fouée.

Alors que le bateau viré de bord, la mature criant pitié, la vigie vida son poste et fit une vertigineuse chute jusqu'�  atteindre la surface démonté de l'eau blanche d'écume.

Lorsque le bateau reprit sa course, parallèle au brick espagnol, bord �  bord, �  bonne distance de feu, je me retrouvais la tête par dessus le vide, le visage baigné d'embruns marin, soulager de ne pas être passé par dessus bord comme bon nombre des marins présent sur le pont et d'être encore l�  �  essayer de réfléchir!! A peine mes esprits retrouvé que nous essuyions une nouvelle salve de boulets, �  nouveau dans un superbe vacarme(excusez-moi le terme), ils s'écrasaient sur le pont, emportant biens et âmes dans la tempête!

Mon navire était l� , subissant les assauts répété de l'ennemie et nous n'avions pas tiré un coup, pas un seul! Alors que le pilote manœuvré pour maintenir notre bateau bord �  bord avec l'espagnol, �  bonne distance de tir, j'entendis un, puis deux et trois de nos canons tirer, ce fut pour moi comme un coup de fouée, au milieu de la fumée je me relevai et courais au pilote-sautant par dessus les morceau de bois et les blessés-lui ordonnant de se rapprocher au plus proche du navire espagnol... Dans le même mouvement je descendait au faux-pont pour ordonner de charger les pièces en mitraille :
- Charger les mitrailles, et feux à volonté!!!!
Alors que je disais cela je voyais les artilleurs s'affairer pour la manœuvre de tir, courant au milieu des blessés qui se vidaient de leur sang, dans cet entre-pont ou l'odeur de la poudre piqué les yeux et le nez et ou le sang imbibé déj�  le plancher, je sentie ma détermination faiblir...


Des conseils à me donner, des commentaires sur mes rp, ou des questions... MP moi!  

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 ...la poudre piqué les yeux et le nez et ou le sang imbibé déj�  le plancher, je sentie ma détermination faiblir...

La mer claquais contre la coque, les hommes criaient, les canons tiraient... Peut �  peut nos bateaux se rapprochaient l'un de l'autre... Dans leurs sillages, morceaux de bois explosé et corps inerte ou criant "�  l'aide" se mélangeaient �  l'écume blanche, sur cette belle mer turquoise!

Je quittais alors le faux-pont et grimpais sur le pont. Je voyais distinctement sur le bateau espagnol, les hommes prêt �  lancer leurs grappins par dessus notre bord!! Je me retournais et criaient :

-Les hommes valides sur le ponts!! Chargez vos mousquets, sortez vos sabres et couteau, préparez vous �  l'abordage!!

Sur le pont espagnol, les hommes se tenaient prêt, ils faisaient tourner leurs grappins, certain avaient sortie leur mousquet et les tenaient prêt �  tirer, 2 ou 3 coups partirent sans grand effet... Je sentais mes hommes tendu, ils étaient jeunes et c'était leurs premier combat pour la plupart!

Tout ce passa alors rapidement, je criais:
-A L'ABORDAGE!!!!!
Et dans la fumée produite par les mousquets les grappins s'envolèrent, certain accroché �  la mature, d'autre au garde fou du bateau espagnol mes hommes s'élancèrent avant que les 2 bateaux ne se touchent, sautant par dessus le vide, accroché �  leurs filins de l'autre côté les Espagnols les attendaient!! Moi qui croyais que ces derniers s'élanceraient aussi vers notre ponts!!
Mais les grappins avaient été un piège et j'étais tombé en plein dedans !! Mes hommes avaient �  peine atteins le pont espagnol qu'ils se faisaient hacher menu par les espagnols, troué de balles!!

Ce n'est que lorsque les deux bateaux furent bord �  bord que nous purent reprendre le dessus, le reste de mes hommes sautèrent sur le pont espagnol et faisant jouer leurs sabres, ils acculèrent les derniers espagnols...  


   

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Ce n'est que lorsque les deux bateaux furent bord �  bord que nous purent reprendre le dessus, le reste de mes hommes sautèrent sur le pont espagnol et faisant jouer leurs sabres, ils acculèrent les derniers espagnols...

  Mais la bataille n'était tout de même pas joué alors que les derniers espagnol étaient dos �  la rambarde, le capitaine sortie du pont inférieur et ralliait les dernier marin qui lui restait et dans un élans de désespoir, ils se jetèrent sur nos ligne tailladant �  tout vas, faisant voler les membres, bras, mains, doigts, tête...
 
 Un instant je cru que tout était perdu mais de ma place hors des combat je me rendis conte que les espagnol se battaient �  1 contre 2!! Je pris donc mon courage �  deux mains une fois de plus et saisissant mon sabre me jetais dans la mêlé criant des encouragement :
-Allez les gars, contre la rambarde, poussez les contre la rambarde!!
Du fait de mes encouragements et sans doutes de ma présence, mes hommes donnèrent tout! Leurs dernières forces et forcèrent les espagnol �  se rendre!!

  Il ne restait qu'une douzaine d'espagnols, tous plein de sang mais presque intactes, les autres avaient des membres en moins, en taillades en travers tu ventres, les viscères se répandant sur le pont...

  Notre chirurgien se mit donc �  raccommoder tout d'abords nos marins, avec son aide et le chirurgien espagnol, puis ce fut au tours des espagnols. Ce jour l�  il fut fait un nombre faramineux d'amputations. Et quand la nuit tomba, les blessés gémissaient encore, les ponts avaient étaient grossièrement nettoyé, les morts envoyé �  notre mère la Mer, les deux bateaux côte �  côte, les voiles plié et roulé sur les haubans :nous avions pris le bateau espagnol en remorque et �  petite vitesse nous nous étions approché de petits ilots déserts et nous avions jeté l'ancre.

  Et maintenant la lune et les étoiles éclairaient les deux ponts, sur lequel les homme passaient et repassaient... Nous avions presque gagné...mais tant de frères pirates étaient mort! Nous garderons le bateau espagnol, mes hommes trouverons un nom pour lui, les quelques espagnol restant aurons le choix entre joindre notre équipage ou passé un petit moment sur ces îlots déserts. Enfin jusqu'�  ce que quelqu'un viennent les chercher...

Maintenant il est trop tard pour ce genre de décisions ! Les espagnols son enfermé dans un local de la cale sèche, avec des gardes �  la porte.

   

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  Au final au laissa 15 espagnols sur l'îlot avec de la nourriture pour 3 semaines, la plupart étaient sains, mais parmi eux de jeunes estropiés, et les malades les moins graves! Nous avions décidé de laisser les blessé les plus graves �  notre prochaine escale quitte �  faire un petit détour! Seul le chirurgien été resté, notre chirurgien �  dit :
-Je m'en porte garant, je ne crois pas de toute façon qu'il soit dangereux
 
  Nous avions fait les principales réparations sur notre brick mais le brick espagnol rentrait de l'eau. Les charpentiers avait posé un calfeutre mais le bateau n'était pas totalement étanche, de plus la plupart de ces voiles étaient �  rapiécer, notre bateau réparé au plus vite tractait donc le brick espagnol avec �  son bord 6 marins. Notre pont avait était complètement nettoyé, et le bateau complètement réparé et nous voguions �  très bonne allure vers Dominique malgré que nous traction le bateau espagnol!
  Après 10 jours de voyage par bon vent nous arrivions en vue de Dominique! Les deux bateaux étaient en état de reprendre la mer mais il nous fallait plus de bois d'œuvre et beaucoup de toile pour les voile. Le maitre voilier voudrais refaire toute les voiles rapiécé.



   

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Voici la note que j'ai donné au Magasinier du Demi Noix, pour refaire les stocks du navire :

-35 Marins �  charge, dont 22 blessés, plus ou moins grave;
(nous avons perdu au total 28 frères)
-Voyez avec le cuistot s'il veux des aliments spécifique!
-Voyez avec le chef artilleur pour les munitions, demandez 4 canons pour les 2eme brick!


Bonne emplettes, je suis au bateau, je ne bouge pas!!
Nous sommes pressé ne prenez pas votre temps, pas d'arrêt �  la taverne, prenez les 3 mousses avec vous!!

Edit: jamais de sondage dans la partir rp mais il y aune partie hrp pour le rp
Scar


La suite se passe en La Dominique