le cyclone ravage tout

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Dans les terres de la Jamaïque, sous un ciel noir et pluvieux; couvert par des vents rapides et violent déracinant les plus petits arbres; les habitants se réfugiaient dans les exploitation ou le smontagnes.

les cultures se faisaient dévasté; arraché par le vent ou noyait sous un torrent d'eaux. Il ne resterait rien plus surement que si c'était des pirates qui brûlé la mer.

Les animaux couraient aux montagnes; la roche devenait glissante et pratiquement impossible �  grimper �  cause des vents violent.

Un petit groupe de chasseur courait dans la forêt cherchant un  refuge; n'entendant que leur respiration et le bruit du vent, les quatre hommes couraient. Le premier un homme bien bati �  la moustache et l'accent anglais, couru dans une zone boueuse sur un petit sentier qu'il connaissait.
Soudain un grondement de tonnerre se fit entendre, l'homme se retourna pour voir où était ses amis et s'ils avaient rien., �  10 mètres derrière lui; il vit l'un d'eux s'arreter et crier. Il tendit l'oreille et retira ses cheveux mouillé de son visage.

Un craquement de bois retentit. Le chasseur se retourna, les chevilles embourbées dans la boue; il vit un arbre brisé lui tomber dessus. Il hurla de tout ses poumons, le cris couvrit la pluie durant un court instant; ses amis le virent se faire fracasser le crâne sans ne rien pouvoir faire; sauf avoir essayé de le prévenir.

Ils allèrent �  lui et après un court moment de receuillement ils continuèrent leur route.

Seulement deux arrivèrent au refuge; l'un glissa dans une crevasse et se brisa la jambe.     

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Le vent soufflait et s'accélérait dans les rues faisant voler les plus petits objets et tout tissus; les quais commencèrent �  se faire engloutirent par les eaux; plusieurs pontons avaient cédés.
Un des navires au mouillage vit sa ligne de mouillage craqué sous la force des lames qui frappé son bordé tribord; le navire dériva rapidement sous la force des courants; le peu de marins qui se tenaient sur le navire ne purent rien faire; ils tentèrent de border �  contre mais l'armure céda et claqua dans les airs; laissant les voiles se dégonfler.
Dans un craquement de bois et de cordage les haubans du grand mats cédèrent �  leur tours et le grand mat vint s'effondrer sur le pont du navire. Le navires vint s'écraser sur le quai, s'aplatissant totalement sous la pression des vagues; les hommes furent éjectés du navire et s'écrasèrent les os broyés sur les pavés et les murs des batîments. Deux autres navires s'aborder, leur mat s'entremêla et se déchirèetn mutuellement. Leur sort fut réglé le soir même; ils coulèrent.

Les rues de la basse ville et des quais furent envahit par la mer, le cimetière fut englouti par les eaux; de nombreux marins mort et enterré en terre furent au final reprit par la mer qui réclama son dût: la tombe de Henry Morgan.

    Après plus d'une semaine de tempête; la ville noyait. Le cyclone et les vents passèrent �  travers l'île laissant qu'un champs de ruine.

les récoltes furent ruinés; seul l'église la plus haute de la ville dressé encore son cloché; la mer se retira des rues laissant qu'une mare de boue où trainait des cadavres et des débris. Les maisons du quai étaient totalement dévasté et écrasés sur elles même seulement deux navires furent sauvé mais dans un piteux état.